Garosh Posté(e) le 1 février 2012 Partager Posté(e) le 1 février 2012 (modifié) Salut à tous! Ceci est mon second rapport de bataille et il reprend certains protagonistes du précédent rapport puisque c'est une suite indirecte, si il y en a que ça intéresse il se nommait ''De la chair tendre et rose''. Cet bataille se déroulera entre huit cent points de hauts-elfes et huit cent points d'ogre sur une table décoré avec pour but l'extermination de l'armée adverse. Tout est narré en prose romancé sans aucune photographie. Bonne lecture. [i] Aenarion voguait sur un océan éclatant de lumière solaire. Encore quelques semaine de navigation et il pourrait enfin faire payer à ces immondes tas de graisse son humiliation. Avec amertume il se remémora l'issue de la première rencontre … « C'EST MOI QUI BOUFFE LES LIONS !!! » Ce son guttural annonça à Aenarion la fin peu glorieuse que connaîtrons les magnifiques lions blancs de Chrace, joyaux de l'évolution et seigneur de toutes les bêtes... Engloutis puis chiés quelques heures plus tard … Tout en jurant de se venger Aenarion bénissa son maitre de lui avoir conseillé ce manteau au scintillement mystique. Il ne devait qu'à lui sa survie face aux piaillantes créatures vertes... Snorgut brise-côte le désormais nommé broyeur d'elfes, Aenarion saurait ce souvenir de ce nom... Pendant les mois qui suivirent la défaite Aenarion mit de côté la fougue qui lui avait tant coûter. Il apprit du grand Téclis lui même les subtilités d'Ulgu, L'épée du jugement et le semeur de doutes. Il convainquit Kaeliss un adorateur de Khaine mais aussi l'un des plus expérimentés épéistes de la Tour de l'accompagner lui et cinq de ses frères. Au nom de son rang de mage il leva un groupe de conscrits. Spontanément deux Chraciens mirent leurs haches et les crocs de leurs lions à son service. Aenarion dilapida toute la fortune hérité de son père en artefacts magique de qualité. Enfin il lança l'esprit d'Alith, son défunt d'ami sur la piste de Snorgut. Une fois l'ogre repéré, Aenarion arma un navire depuis Lothern et vogua avec son ost sur les îles du Dragon en quête de vengeance. Et enfin, il eu en vue cette terre, il s'apprêta à la gorger de sang, d'un sang riche en cholestérol... En effet, les Bouff'osses entamaient une énième pause gustative après moult péripéties (qui vous seront peut être narrer un jour). Snorgut brise-côte-le-bien-nommé-broyeur-d'elfes péta avec un manque certain de volupté, puis lâcha un rot sonore qui provoqua l'admiration de toute la tribu. Après s'être curer les dents, il commença à s'autocongratuler. _J'ai vraiment eu une riche idée, n'est ce pas les gars ?demanda t-il en tout modestie. _Sûr, Boss .Grogna l'assemblée en buvant goulûment des litres de piquette estalienne pillée récemment . _Le soleil brille... Le temps est bon, yeah... Ça vous donne pas envie de danser? Les ogres les plus futés en déduisirent que les herbes à fumer arracher à un chaman orque sauvage étaient carrément cool et qu'ils devaient vraiment essayer. _P'têtre après la digestion, Boss... Répondirent les autres. _Je suis vraiment génial, se félicita Snorgut tout en mâchant une cuisse provenant d'un des derniers spécimens vivant d'Ornithominus, En plus la bouffe est bonne!!! _Vous êtes vraiment le meilleur, Boss!!! Piailla un chœur de gnoblars lèches-culs à la voix suraigu. Soudainement, Snorgut recracha un morceau de viande à demi-mâché sur un de ses sbires verts, roula des yeux puis hurla à ses gars de se préparer à la baston. Car au loin apparu la silhouette élancé d'un vaisseau elfique. Sur son pont Aenarion dessinait de complexes arabesques,lorsqu'il eu terminé de sa bouche surgit une chose informe aux proportions titanesques. La chose était dépourvu de toute couleur mais semblait dévorer la lumière car dans son sillage tombait les ténèbres de la nuit. Elle scruta longuement l'île avant de repérer un ogre plus imposant que les autres, le seul d'ailleurs qui n'avait pas salit ses socques. La funeste et dantesque silhouette inspira, où du moins donna l'impression d'inspirer longuement puis hurla un mot, un seul mot qui fit sortir de sa somnolence plus d'un slann, provoquant l'envol prématuré de plusieurs centaines de chauves-souris . Cet unique mot, de trois syllabes était...Vengeance.[/i] [center] Kaeliss et Aenarion prirent pied sur une plage suivit de leur armée. Kaeliss en voulait à Aenarion, sa démonstration du pouvoir d'Ulgu avait été certes, impressionnante, mais avait prévenu les monstres de leur arrivée. De plus l'endroit du débarquement lui déplaisait, la plage était ceinturé par une falaise qui gagnait sur l'océan empêchant les gardes maritimes de leur porter assistance. A la droite des fils d'Asuryan sur une bande de terre délaissé se dressait les ruines d'une chapelle dédié à Manaan seul signe d'une tentative de colonisation, il remarqua aussi à leur gauche un rafiot branlant dont les planches ne tenait ensemble que par l'aide de quelques clous salvateurs, ainsi qu'un tas de caillou badigeonné de motifs tribaux. Environ quarante pas plus loin une colline libérait un liquide aussi brillant que le soleil par ses flancs. Kaeliss fut interrompu dans ses réflexions par les tremblotements du sol qui vibrait sous la masse des bottes ferrées.Ils venaient à leur rencontre... Songea-t-il en dégainant sa lame. Le plus massif des ogres gueula d'une voix de stentor: « Eh, mais c'est la tapette de l'autre fois !!! »,avant d'ordonner aux Bouff'osses de reprendre la progression. Kaeliss ordonna quelques mouvements tactiques, les Chraciens protégerait le flanc droit, Aenarion et ses conscrits le flanc gauche, lui et ses frères tiendrait le centre. La bataille commença enfin, les elfes ne bougèrent que très peu, mouvant juste leur char plus vers la droite pour mieux réceptionner les ventres-durs. La ligne ogre se rua en avant se souciant peu de leur adversaires qui n'était au fond que des ''tapettes en collants''. Les craches plombs escaladèrent la colline, tandis que les autres gars déboulèrent près du liquide mystérieux . Périlleusement le char se positionna dans les débris de la chapelle pour avoir une chance de ne pas être disloqué dès l'impact. De l'autre côté de la colline les conscrits lâchèrent une première salve timide qui arracha juste un grommèlement à un des Buffles. Les ventres-durs traversèrent le liquide mystérieux … et sentirent une odeur caractéristiques de l'andouillette lorsqu'elle rend sa graisse émaner de leur dos, cela ne les empêcha pas de foncer sur le char. Les craches-plombs finirent de crapahuter et lâchèrent une bordée de lames rouillés qui expédia ad patrem un compagnon de Kaeliss. Snorgut et ses gars tentèrent eux aussi la traversée du ruisseau … et devinrent soudain beaucoup plus rapide arrivant à peine sept pas des conscrits. Snorgut décida alors de révéler son atout secret. La bannière en peau de dragon. Celle ci lui permit de cracher un blizzard glacial qui givra l'empennage des flèches elfiques tuant aussi deux conscrits. Les geignards gnoblars tentèrent eux aussi de traverser le fluide venu du Warp, six des leurs y périrent, leurs camarades déjà pas très motivés pour la baston saisirent comme prétexte leur désormais ''infériorité tac'tik'' pour se débiner. Les chraciens jouèrent assez habilement de leur hache pour faire fuir les ''durs'', emportés par leur fougue habituelle ils donnèrent la chasse aux ogres, malheureusement les essieux du char déjà durement mit à l'épreuve par les ruines se désolidarisèrent. Les lions paniqués coupèrent les cordes qui les reliaient à l'attelage les soubresauts firent s'envoler ses conducteurs jusqu'au zénith. Il atterrirent sur la nuque … Les hauts elfes déchainèrent les artefacts de Vaul abattant deux buffles, Aenarion manipula subtilement le vent d'Ulgu rendant les ogres aussi fragiles que des nourrissons, alors que les conscrits bandaient leurs arcs. Une secousse se fit sentir, puis vient un bruit de succion, d'os dont on aspirait la moelle et avec ce bruit une odeur écœurante de sang et de tripes fraîches arriva aux narines délicates d'Aenarion. Les ogres beuglèrent de satisfaction. En effet Aenarion ignorait que le premier réflexe d'une tribu lorsqu'elle débarque quelque part et d'ériger fièrement la dent de la Gueule symbole de leur tribu et lien direct avec l'entité vénéré par les ogres. Cette dernière ne sut pas faire la distinction entre ces fidèles et leurs ennemis. Elle ouvrit un trou hérissé de dents dans le sol engloutissant un adorateur figé par l'incompréhension. Puis vinrent les flèches, achevant un buffle déjà sévèrement blessé par la puissance de son dieu. Snorgut décida de jouer le tout pour le tout et ordonna la charge généralisé de tout ses gars. Les elfes payèrent chèrement la débauche de blessure qu'ils avaient causé précédemment. En effet, les conscrits furent étripés, déchiqueté, puis englouti par les ignobles serfs de la Gueule. Cette dernière soutint ses adulateurs en jetant un éclair de magie cuisinière qui prépara deux autre elfes pour le bouillon. Quand à Aenarion il eut à peine le temps de lancer une pitoyable tentative d'attaque avant de se prendre un coup de botte ferrée de Snorgut le décidément bien nommé Brise-côte. Les trois conscrits survivants détalèrent comme des lapins. Si vite que les ogres prirent un certain temps à les rattraper. Les archers firent volte face conscient qu'ils devaient sauver l'honneur d'Ulthuan, la Gueule ressentant peut-être un engouement pour cette cause perdue leur fit gracieusement don de la résistance des trolls. Malgré tout ce ne fut pas suffisant et ils s'affaissèrent par terre comme les poupées de porcelaine brisés qu'ils étaient devenus. Seul Kaeliss et ses frères tirèrent leur épingle du jeu. Bien qu'un épéiste eu été tué par l'impact, ses frères d'armes tranchèrent violemment les tissus adipeux d'un duo de crache-plombs. Le crache-tonnerre broya une paire de maître d'épée avant de s'enfuir au loin. Kaeliss et son dernier compagnon se retrouvèrent derniers survivants de la resplendissante armée d'Ulthuan, courageusement ils choisirent de tenir bon, se retournant pour faire face à Snorgut et son dernier compère qui déboulaient sur eux. La vitesse et la masse pondérale des ogres rendait la prise de contact extrêmement risqué. Il aurait été probable que l'impact seul suffise à briser l'échine des elfes. Probable, mais pas certain. En effet les gardiens d'Hoeth tinrent bon, puis de mouvement ample et gracile ils firent rouler au sol la tête du buffle, Kaeliss se confronta personnellement à Snorgut, le monstre se révéla plus habile que prévu, parant un coup, esquivant un autre, plein d'assurance il se mit à rire grassement puis cessa subitement, roulant des yeux médusés sur la gracieuse lame elfique qui venait de traverser de part en part son imposant thorax . Kaeliss retira sa lame du corps inerte qui chuta par terre. Cependant la bataille ne s'était pas tout a fait terminé, le crache-tonnerre rasséréné par la distance qu'il avait réussi à mettre entre lui et les effroyables épéistes commença à bourrer le fût de son canon de poudre et de vieilles lames en poussant un rire dément. Il voyait déjà la scène, il allumerait la mèche du canon, viserait, retentirait la détonation et par devant un écran de fumée entrapercevrait les corps déchiquetés des arrogantes tapettes... Kaeliss se retourna lentement sur lui même et marcha vers le monstre. Ses yeux brillaient comme des braises ardentes, il avait bien la possibilité de tuer l'immonde bête en toute sécurité grâce à son puissant anneau, mais il voyait cela comme une offense envers toutes ces âmes que les bêtes avait arraché de leur enveloppe matériel, toutes ces existences qui ne pourraient jamais être vécues. Il voulait voir les yeux du monstre blanchirent, son rictus de terreur qui le figerait éternellement dans la douleur quand l'acier lui fouaillerait les tripes. Alors seulement, les morts seraient vengés. Un pas,deux pas, trois pas, quatre pas,cinq pas …La première détonation déforma l'air, on entendit comme les sifflements d'une centaine de serpent lorsque les lames fondirent droit sur Kaeliss. Un parti de dé devait se disputer entre la Gueule et Khaine car les lames ralentirent brusquement avant de se stopper en l'air à quelque pouces à peine du visage émacié de Kaeliss. Il continua à marcher droit sur sa proie, prêtant peu attention au métal acéré qui flottait en l'air. Les lames tombèrent toutes ensembles, formant une haie d'honneur afin d'éviter que la future légende ne s'abiment les pieds. Paniqué par les manifestations divines, le canonnier bourra hâtivement son arme et tira, espérant naïvement stopper la décision divine en effet le plomb fusa bien loin de la tête de l'elfe. Ce dernier fondit sur l'ogre. Puis saisissant fermement la garde de son arme, l'enfonça dans le bas-ventre et la fit remonter vers le haut, ouvrant l'ogre comme on ouvre les porcs. Encore vivant à cet instant le monstre fixa ébahi l'étendue de l'ouverture, puis pensa… Ne pensa rien. Sa tête déformée par la douleur dévalait la colline. [/center] [center]Ulthuan s'était vengée, mais à quel prix! [/center] [i]Kaeliss pleurait. Cela fessait bientôt deux jours qu'il pleurait. Il pleurait sur l'arrogance d'Aenarion, maintenant guère plus qu'un pantin gémissant. Il pleurait sur la mort de tant d'être de bien, se souvenant de Gaeneth, un conscrit qui avait embrassé sa fille et son fils leur jurant de revenir avec le temps du renouveau. Il pleurait sur la Gueule, une divinité ?Ça ?Pfft ! Un immonde créature préoccupé seulement de son ventre ! Et pourtant elle avait réussi à corrompre une création des Anciens...Il pleurait sur la stupidité des ogres. Ils n'étaient pas foncièrement mauvais juste dénoué de sens moral. Leur race aurait pu être la plus belle des réussites. Aurait pu... Et enfin il pleurait sur Snorgut. Contre toute attente, il avait survécu. Kaeliss avait décidé alors de lui procurer des soins et d'enterrer sans distinction vieille et jeune race. Après tout, tous étaient enfants des Anciens. La première parole que formula l'ogre une fois guéri, fut une promesse de vengeance,une invitation à rejouer le match. Rejouer le match... Ne se rendait-il pas compte de l'énorme boucherie que cela avait été ? Ne voyait-il qu'en pions sacrifiable ses feus compagnons ?Cette dernière pensée glaça son sang et il préféra préparer la nef au départ. Il devait aller annoncer des décès. Sur la grève Snorgut le salua et sourit de toutes ses dents, criant ses trois mots qui voulait tant dire sur ses intentions : A LA PROCHAINE !!! [/i][right]Fin [/right] J'espère que ça vous aura plus. Qu'importe la réponse, commentez, histoire que je n'ai pas l'impression d'écrire pour rien. Si ce sont des conseils, c'est encore mieux. Modifié le 3 février 2012 par Garosh Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dromar Posté(e) le 1 février 2012 Partager Posté(e) le 1 février 2012 J'ai beaucoup apprécié lire ton rapport romancé, ça fait plaisir même si à certains moments je n'ai pas compris ce qui se passait, comme par exemple le coup des chraciens (Char? ) Après, je pense qu'il faudrait aérer encore plus le texte pour le rendre lisible, c'est toujours plus agréable! Donner les listes d'armée ainsi que les règles des décors en prologue aurait été bien, je n'ai pas compris le coup de la dent de la gueule... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ghunterbast Posté(e) le 2 février 2012 Partager Posté(e) le 2 février 2012 Je plussoie l'aération du texte. C'est bien écrit mais ça fait un peu mastoc. La dent de la Gueule, si j'ai bien compris, c'est le sort 6 du domaine de la Gueule, type vortex mais qui ne reste pas sur le terrain. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Garosh Posté(e) le 3 février 2012 Auteur Partager Posté(e) le 3 février 2012 (modifié) Merci pour tout ces conseils techniques. Mastoc ? Je trouve que c'est signe de bonne santé si c'est bien écrit, mais promis je vais l'aérer. Le flou qui plane sur les règles appliquées est nécessaire au style romancé. Trouveras tu le texte aussi beau si j'y insérais "le sort numéro six est lancée, touche de force sept majoritaire, test d'intiative réussi à hauteur de 15%" ? Le prochain rapport verra une nouvelle unité apparaître. Devinez ce que c'est: [i]''La bête se rua sur nous trainant dans son sillage un froid polaire. Mes compagnons d'armes le corps engourdi, n'eurent pas le temps de lever leurs armes"[/i] Effectifs en présence chez les elfes: Aenarion, mage de l'ombre de deuxième cercle possédant un anneau d'Asuryan. Kaeliss, l'épéistes de la tour blanche et cinq de ses frères. Pour les besoins de la mission Kaeliss reçu un anneau de ruine ainsi qu'un étendard canalisant le vent d'Ulgu. Char de Chrace, deux elfes musculeux et deux lions. Que demander de plus ? Les seize conscrits, paysans d'Hoeth de profession, mais archers par la force des choses ils reçoivent un étendard de discipline. Chez les Bouff'osses: Snorgut-brise-côte-le-broyeur-d'elfes porte une armure de relativement bonne facture, un poing de fer, deux pistolets parce que c'est marrant et que mes potes m'autorisent cette petit entorse aux règles, pendant ses pérégrinations il a arraché la tête à une vouivre et l'a étendu sur sa bannière personnelle. Quatre crache-plombs avec gueuleur et vétéran, qui j'espère un jour feront plus de trois de mort avant d'être contraint à la charge. Trois ventre-durs avec ''musicien" Les gnoblars, vingt-quatre petites horreurs vertes avec un état major complet ,ils cachent en leur sein des trappeurs. Le gros de la tribu, six buffles avec état major et poing de fer. Décor [i]Dent de la gueule[/i]: A partir du tour trois, elle s'éveille et lance sur une unité déterminé aléatoirement un sort du domaine de la gueule en version simplifié sans possibilité de dissipation qui a été choisi par le hasard. [i]Colline[/i]: Un tas de terre de bonne taille. [i]Ancienne chapelle de Manaan[/i]: Des ruines qui rendent le terrain risqué pour les engins de guerre. [i]Rivière de lumière:[/i] Toute unité la traversant subit l'effet d'un sort du domaine de lumière. Modifié le 3 février 2012 par Garosh Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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