Sdge Posté(e) le 4 avril 2012 Partager Posté(e) le 4 avril 2012 (modifié) Bonjour à tous ! Je fais ce post pour partager une nouvelle que j'ai écrite depuis quelques jours, pour avoir votre avis. C'est plus ou moins mon premier récit de ce genre que je poste sur un forum et je suis donc à la recherche de conseils/idées/méthodes pour m'améliorer [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/smile.gif[/img] [quote] Petite introduction pour avoir quelques repères avant la lecture : l'action se passe sur Necromunda, dans un arène où des gladiateurs s'affrontent dans des combats sanglants. L'héroïne a été capturée dans des circonstances étranges (tiens ça me donne une idée de nouvelle ça^^) et se retrouve enfermée avant de combattre. Je tiens également à préciser qu'il y a déjà pas mal de références au sang et à la haine, mais qu'il y en aura surtout dans la suite de ce récit. Bonne lecture ! [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/smile.gif[/img] [/quote] [center][size="5"][b]EVASION (partie 1)[/b][/size][/center] Skryn ouvrit les yeux et regarda autour d'elle. Elle était toujours dans cet univers cauchemardesque dans lequel elle était retenue et souffrait depuis trois semaines. Trois semaines qu'un tribunal corrompu avait détruit sa vie et décrété sa mort en la vendant à la Guilde de l'Arène, spécialisée dans le trafic d'esclaves, et dans des combats d'arène plus sanglants les uns que lesautres. Trois semaines que résonnaient dans sa tête des hurlements de douleur et d'agonie. Elle sentait la mort présente autour d'elle à chaque seconde, mais ne ressentait que de la haine. L'Arène lui avait tout pris. Elle n'avait plus que ce désir de se venger. La porte,blindée pour résister aux chocs, mais constellée de taches de rouille s'ouvrit, laissant entrer une forme sinistre. Mi-humain, mi-machine. La chair à vif était entremêlée de plaques de métal clouées dans son corps. Le bourreau, borgne, n'avait pour voir qu'un unique œil bionique, qui émettait une douce lumière rouge dans la pénombre en se fixant sur la prisonnière. Les bras de la créature qui avait été un homme étaient en réalité un assemblage hétéroclite de lames, de seringues et d'outils de tortures. La plupart étaient constellés de taches de sang. Certains de sang frais, qui tombait régulièrement sous forme de gouttes sinistres. Skryn serra le poing en sentant monter en elle de la colère et de la haine, à la vue de celui qui l'avait torturée depuis son arrivée, uniquement pour le plaisir de la faire souffrir, et la satisfaction de la voir ressentir une douleur jamais éprouvée auparavant. Il n'avait aucune pitié. Et la détenue n'en aurait pas non plus. « Debout ! Aujourd'hui tu combats, ordonna une voix inhumaine provenant de l'orifice vocal du bourreau. Il n'avait plus de bouche, probablement suite d'un coup de poignard. En fait toute la partie inférieure de son visage était ravagée. _ C'est parce que tu n'as pas réussi à me tuer c'est ça ? cracha Skryn avec un mépris mêlé de haine. _ Dommage pour toi que tes… amis du gang n'aient pas tenu » répliqua-t-il en faisant un sourire cruel, qui ressemblait plus à un rictus. La partie droite de son visage était en métal sombre, ce qui donnait un ensemble particulièrement macabre. Skryn bondit immédiatement, sous l'emprise de la fureur. Elle s'élança vers le serviteur en arrachant un morceau de métal au mur. Ses forces étaient décuplées par la haine qu'il venait de libérer. Un mercenaire de la guilde s'interposa immédiatement et lui asséna un coup puissant qui la jeta au sol, le souffle coupé. Un autre garde la releva, et ils la saisirent par les épaules d'une poigne de fer, la conduisant dans le couloir. Elle hurla au serviteur : « Je te tuerai, toi et tous les autres ! » Il ne répondit pas et s'éloigna dans l'obscurité. Mais elle crut entendre un rire alors qu'il devenait invisible dans le couloir, et se laissa conduire par les gardes. Alors qu'ils avançaient le long des catacombes de l'Arène, Skryn observait les mercenaires qui l'encadraient. Ils étaient équipés de nombreux implants et membres bioniques. Son regard se heurta à leurs visières réfléchissantes munies de filtres anti-aveuglants. Elle n'y voyait que son reflet, celui d'une humaine couverte de blessures, mais dont le regard brûlant de haine était insoutenable.Les deux soldats, silencieux et impassibles, n'avaient plus grand-chose d'humain. Elle, n'accepterait jamais de se voir transformée en une hybride de sang et de métal. Arrivés devant une salle à l'éclairage saccadé, l'un des gardes prit une seringue sur un plateau de métal chromé, et lui la planta dans l'épaule gauche. Elle sentit immédiatement la drogue se répandre dans son organisme, sans savoir exactement ce qu'elle était. Puis ils repartirent. Elle savait à présent que c'étaient les tueurs de la Guilde qui l'accompagnaient. Ils ne ressentaient ni la souffrance ni aucun sentiment ; rien qu'impassibilité et résolution. Après avoir marché quelques minutes, ils arrivèrent devant une porte blindée. Sur leur passage, le sol métallique grinçait sous le pas des colosses qui l'encadraient.Les fondations de l'arène étaient tellement rongées par les polluants chimiquesdu sous-monde qu'elles menaçaient chaque jour de s'effondrer. La porte à doubles battants était composée d'un étrange métal noir qui semblait absorber la lumière. A son centre on pouvait observer le symbole de la guilde gravé dans l'acier : un crâne à moitié humain, tenant dans ses dents une épée et un fouet. C'était la porte de l'arène, il n'y avait plus de doute possible. Skryn sentit naître en elle de la peur, mais aussi de la haine et de l'excitation. La drogue que l'on lui avait injectée devait être un stimulant de combat, conçu pour les gladiateurs : elles faisaient ignorer la douleur pendant quelques minutes, et faisait circuler une quantité importante d'adrénaline dans le sang. Beaucoup de gladiateurs et d'esclaves mouraient quelques heures après l'injection ; leur organisme ne parvenait pas à surmonter l'épuisement suivant le déclin des effets de la drogue. Skryn la sentait gronder en elle, accélérant les battements de son cœur. Elle se sentait emplie d'un puissant désir de tuer,de verser le sang. Elle se demanda quels ravages la substance chimique était en train de créer en elle, mais elle repoussa cette pensée. La vraie question qui importait maintenant était de savoir quelle quantité de blessures elle serait capable d'infliger… mais aussi de supporter… Voilà ! J'essaierai de poster la suite bientôt, avec notamment le récit d'un combat assez violent. Sdge. Modifié le 29 avril 2012 par Sdge Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
haldu Posté(e) le 4 avril 2012 Partager Posté(e) le 4 avril 2012 Bonsoir Le texte est un peu court, bien que d'un longueur acceptable. Je n'ai pas grand-chose à dire. L'ambiance ne me plaît pas trop, mais je dois tout-de-même reconnaître que tu l'as parfaitement fait transparaître dans ton récit. Un énorme bon point pour ça. Et une petite remarque fluffique : les serviteurs ne sont-ils pas censés êtres des créatures décérébrées, incapables d'éprouver quelque sentiment que ce soit, y compris le sadisme? Voilà, c'est tout. Au plaisir de lire la suite Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sdge Posté(e) le 6 avril 2012 Auteur Partager Posté(e) le 6 avril 2012 (modifié) Hop ! Merci de ton commentaire, pour ce qui est de la justification fluffique : dans mon esprit le serviteur était en fait programmé pour la torture et le sadisme^^ Donc la suite, j'espère avoir le temps de tout écrire maintenant ^^ [center][size="2"][b]EVASION (partie 2)[/b][/size][/center][center][left]Les combats d'arène étaient interdits normalement. Mais grâce à la corruption des forces de l'ordre en faction, l'organisation de mises à mort était fréquente dans le secteur. L'arène était entourée de ruines, vestiges de peuplement, témoignant de l'action des raids des esclavagistes. Dans les combats, la mort était violente, extrêmement sanglante, lente et douloureuse. On mesurait la popularité d'un gladiateur aux morts qu'il donnait.[/left] [left]L'un des gardes lui donna une arme. C'était une vibrolame. La lame était longue d'un peu moins d'un mètre, et était parfaitement aiguisée. Elle avança, débarrassée des mercenaires. Elle se retrouva devant une vitre blindée. Derrière était présent un autre combattant, armé de la même manière. Skryn exécuta un signe avec ses doigts dans sa direction, signe auquel il répondit, le visage crispé. Il n'y avait plus qu'à espérer que le plan d'évasion se déroulerait normalement. Mais plus rien n'était normal dans sa vie depuis qu'elle s'était engagée dans son gang et avait commencé à combattre. Le symbole du gang était tatoué sur son omoplate gauche, et rien ne pouvait l'effacer.[/left] [left] Devant eux étaient placés leurs adversaires. Deux monstres de chair et de métal, vétérans des combats et survivants de nombreux duels, comme l'attestaient les multiples rayures de leur armure et les cicatrices. L'adversaire de Skryn possédait en plus de ses deux bras de chair un troisième bras en métal. A l'aide de ses membres, il maniait avec dextérité trois vibrolames, renforcées d'un champ magnétique qui accélérait leur mouvement. A ce moment, il les fit tournoyer avec ses poignets bioniques à une vitesse hallucinante. Skryn résista aux motifs hypnotiques décrits par la tempête de lames et croisa le regard de la machine à tuer. Il exprimait ouvertement le mépris et l'envie de meurtre. Mais elle lui renvoyait de la haine et du défi.[/left] [left]Au milieu de l'étendue de tôle renforcée, constellée de plusieurs flaques de sang, le compte à rebours s'écoulait, inscrit en chiffres galactiques. Il restait trois secondes. Les duellistes n'étaient plus qu'à quelques pas les uns des autres. Deux secondes. Les ruchiers et les esclavagistes vociféraient dans les gradins, avides de voir les esclaves gladiateurs se faire étriper sous leurs yeux. Une seconde. Skryn ferma son esprit aux hurlements de la foule déchaînée, à sa souffrance, et ressera sa prise sur la lame d'acier. Il allait falloir agir très vite pour avoir une chance d'atteindre le toit de l'arène sans être désintégrée par le champ de force. Puis tout s'accéléra.[/left] [left] Les grilles d'acier qui séparaient les combattants s'effacèrent, et Skryn se mit à courir en tenant son arme en position d'attaque. Son adversaire adopta une posture défensive ; une lame en garde devant son torse, et les deux autres en position de riposte sur les flancs. Elle anticipa le premier coup et fit un pas de côté alors que l'épée allait la frapper. Elle esquiva un autre coup, horizontal cette fois, en se baissant et attaqua le gladiateur aux jambes d'un balayage vertical, coup qu'il para immédiatement avec sa troisième lame. Les lames se mouvaient à une vitesse inhumaine avec une précision mécanique. Il utilisa le revers de son premier coup, passa sous la garde de Skryn et lui entailla profondément la hanche. Elle recula, déséquilibrée, en grimaçant de douleur en sentant le sang couler. Le gladiateur de métal se lança dans une série d'attaques foudroyantes de force et de célérité. La blessée, perdue dans cette tempête de lame qui se déchaînait autour d'elle, para à gauche, esquiva de justesse la pointe d'une arme qui allait lui déchirer la gorge, se baissa encore, et après avoir simulé une attaque de dégagement, et enroula une lame de son adversaire en exécutant une torsion incroyable du poignet. Elle mit toute sa force dans son bras et se fendit d'un geste souple. La lame toucha un obstacle, qu'elle sentit se briser. Une des lames de l'engagement tomba à terre. Sous la rage, le mutilé envoya un couteau de jet, caché dans une cachette de son poignet bionique. La lame lui causa une profonde coupure au dessus du sourcil, aveuglant la combattante d'un flot de sang. Elle secoua la tête pour dégager son champ de vision... Juste à temps pour voir un poing blindé lui arriver dessus. Son épaule se brisa sous la violence du coup et l'envoya au sol, près du centre de l'arène. Le gladiateur aux deux lames marcha lourdement vers elle. Sa cuirasse d'acier était couverte de sang. « De mon sang » pensa-t-elle en essayant de se relever. Un coup droit avec l'une des épées arriva rapidement. Elle bloqua le coup avec son arme. Mais son adversaire était doté d'une force largement supérieure à la sienne. Il la déploya et fait reculer la lame qui l'empêchait d'éventrer l'humaine qui le mettait tant en colère. Skryn hurla en sentant sa propre lame lui entailler sa chair.[/left][left] [/left] [left]Voilà je vous laisse sur ce combat pour ce soir ! Je posterai ce WE la fin de la nouvelle ![/left] [left]N'hésitez pas à poster un commentaire ça fait plaisir :-)[/left] [left]Sdge[/left][/center] Modifié le 7 avril 2012 par Sdge Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
haldu Posté(e) le 6 avril 2012 Partager Posté(e) le 6 avril 2012 [b]Oui, un commentaire. Merci de bien vouloir éditer ton texte pour rajouter les espaces manquants entre les mots, pour le rendre plus lisible. Et ceci dés que tu liras mon commentaire.[/b] Sinon, le problème, c'est que là encore c'est trop court. On reste donc sur notre faim et on a rien à ajouter. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sdge Posté(e) le 9 avril 2012 Auteur Partager Posté(e) le 9 avril 2012 (modifié) Bonjour ! Voilà le fin de la nouvelle. Cette fois je vais essayer de faire une partie plus longue que les autres. [b]PARTIE 3[/b] [b] [/b] Le colosse de métal riait, le visage penché sur sa victime. Sa face, composée de plaques de métal, ne laissait voir que ses yeux. La créature n'avait jamais été humaine. Les yeux étaient jaunes, parcourus de fines lignes sombres. L'iris était d'un noir impénétrable. Un mutant. Mais celui-ci devait posséder un instinct de prédateur extrêmement poussé pour avoir survécu aussi longtemps dans les arènes. Il souriait cruellement, en voyant sur son corps le sang de son adversaire. Et pourtant elle continuait à se battre. Il força encore de son arme sur celle de la blessée. Il éprouva une joie intense et sauvage en l'entendant hurler à nouveau. Le sang coulait abondamment à présent, tachant le sol rendu glissant. Il voyait à présent que son adversaire s'affaiblissait rapidement à cause du fluide vital qu'il perdait. Il tira un poignard à lame courbe. Il était temps d'en finir, mais avant il s'agissait d'offrir du spectacle. Il hésita. La gorge ou la poitrine ? La gorge : il était plus près. Il approcha sa lame, prêt à éliminer définitivement son adversaire. Skryn voyait la lame devant ses yeux. Elle essaya de se dégager, mais la prise était trop forte. Soudain elle aperçut un reflet de lumière à moins d'un mètre d'elle. C'était une partie de sa vibrolame, brisée lors de sa chute. La garde était entière, mais la lame ne se prolongeait que sur une vingtaine de centimètres. Cela était suffisant. Elle tenta de ramper pour l'atteindre. Le mutant se mit à rire en la laissant s'échapper, sans avoir vu le but de son adversaire. Il allait le laisser dans l'illusion qu'il pourrait lui échapper et le tuer ensuite. Mais la blessée se retourna, une lueur sauvage dans le regard. Son bras se détendit, libérant un éclair d'acier. Le poignard se planta directement dans l'oeil carnassier. Il rugit de douleur, momentanément aveuglé. Elle se releva en récupérant son poignard tombé à terre, et frappa à nouveau. Elle transperça une plaque de métal et sentit la lame trancher de la chair, tandis que le gladiateur tentait de frapper à l'aveuglette. Du coin de l'oeil ,elle aperçut une lame arriver à toute vitesse pour la couper en deux. Une autre s'avançait de l'autre côté. Il n'y avait plus qu'une esquive possible. Skryn sauta en arrière en direction du gouffre. Elle exécuta un saut périlleux arrière suicidaire pour éviter la fosse. Le rebord de l'arène s'approchait d'elle mais il était trop loin. Son élan était insuffisant. Avec l'énergie du désespoir elle réussit à se rattraper sur une passerelle tournée vers le fond de la fosse. Impossible de se hisser en haut ; son épaule refusait tout mouvement. Elle adopta une prise renversée sur son poignard et le planta sur le rebord. Puis elle s'en servit comme levier pour se hisser à nouveau dans l'arène. De l'autre côté du gouffre le gladiateur avait réussi à se remettre de ses blessures. Aveuglé par la rage il prit son élan et sauta lui aussi. Mais sa vision se brouilla soudainement et il se retrouva plongé dans une confusion qui le laissa à la merci de son adversaire. Skryn se fendit alors que la machine à tuer était encore en l'air, et enfonça le poignard improvisé dans la gorge du gladiateur. Le coup était fatal, mais elle dégagea, puis frappa à nouveau son adversaire d'un coup sauvage à la gorge, en enfonçant le poignard jusqu'à la garde. Le moribond recula, incrédule en voyant la lame enfoncée en lui. Il essaya de la sortir, mais il tomba en arrière dans la fosse. Son agonie ne fut pas longue ; son corps tout entier fut déchiré en quelques minutes au milieu des hurlements de la foule. Skryn se mit à courir. La chute d'un des combattants avait dû désactiver le bouclier énergétique qui empêchait les duellistes de quitter l'arène. Elle enfonça du poing une barrière métallique, et se retrouva sur les gradins. La plupart des ruchiers s'enfuyaient précipitamment, mais une patrouille de la guilde pénétra par l'autre côté. Elle se hissa sur le toit et se remit à courir pour s'échapper du lieu de souffrances. Elle se retrouva brusquement devant les habitations abandonnées qui bordaient l'arène. Mais entre les deux se trouvait une fosse, remplie d'une étrange substance, qui était colorée d'un vert radioactif. Elle inhala par inadvertance une des vapeurs qui s'en échappaient, et sentit immédiatement le goût du poison. Voyant la patrouille arriver, matraques énergétiques activées, elle prit son élan et sauta dans le vide. Elle eût la chance de se réceptionner sur la rive, et s'enfuit dans la pénombre. Derrière elle, un garde tenta de la suivre, mais il était trop lourd. Il tomba dans les douves empoisonnés et vit son corps se liquéfier sous l'effet d'un acide inconnu. Tout ce que voyaient les autres gardes était une silhouette sombre qui s'effaçait à l'horizon. Hors de portée, même pour leurs fusils de combat. Skryn courait, épuisée. Elle risqua un coup d'oeil en arrière. Ils ne le la poursuivaient pas, mais elle savait que dans une heure toute une escouade de chasseurs de primes allait être à sa recherche. Un éclair de douleur la parcourut, la jetant à terre sous son intensité. Elle ressentit de la colère en voyant son état. Elle était couverte de blessures, et laissait derrière elle des traces de sang, qui constituaient un moyen infaillible de la trouver. Elle tenta de se relever, mais sa jambe gauche ne la supportait plus. Elle rampa sur quelques mètres avant de s'effondrer, à bout de souffle. La douleur revenait, alternant entre pics de souffrance et absence. Les effets de la drogue de combat, qu'on lui avait injectée s'estompaient. Dans quelques minutes, ses blessures lui causeraient une telle souffrance qu'un jour de torture dans l'arène semblerait facile à supporter en comparaison. Elle était seule dans les ruines, de toute façon qui l'aiderait ? Au mieux un passant dégainerait une arme et l’achèverait. Elle se mit à espérer que quelqu’un allait passer et la tuerait rapidement, mais elle était seule dans le secteur. Elle n'avait rien pour se soigner, et pour se relever. Aucun moyen d'en finir avec ses blessures. Elle saisit un morceau de métal qui traînait par terre, vestige d'un objet utilitaire détruit. La pointe était aiguisée. Elle tenta de refermer son poing sur l'arme improvisée, mais elle ne saisir que du vide. La douleur lui donnait des hallucinations. A moins que ce ne soit les vapeurs empoisonnées de l'acide. Ses pensées étaient confuses. Elle ne ressentait plus que de la douleur dans tous ses membres. Sa vison s'obscurcissait, elle voyait des ombres se former dans les ruines, puis disparaître. Elle savait qu'elle allait mourir. Au moins mourrerait-elle ailleurs que dans une cellule, ou dans une arène. Ses dernières pensées se tournèrent vers la seule personne qui aurait pu la sauver. "Karth" murmura-t-elle d'une voix brisée. Non, c'était inutile. Il avait du être tué dans l'arène. La seule personne qui la comprenait, qui l'empêchait de se tuer tous les jours dans l'enfer de Necromunda . Elle n'avait plus rien. L'arène lui avait tout pris, et après lui avoir tout arraché, la tuait. Elle regrettait de ne pas avoir pu se battre contre la guilde. Puis elle s'effondra et tout devint noir. A quelques centaines de mètres une silhouette encapuchonnée se mit à courir. Elle était vêtue d'un long manteau noir. Arrivée à l'endroit où Skryn venait de perdre connaissance, elle sortit de son manteau un long fusil de sniper. Le sniper balaya les environs de son viseur laser, puis fit un signe de sa main derrière lui. Un speeder s'avança, tous feux éteints. Son blindage était cabossé et ouvert d'impacts de balles, témoignant de multiples combats dans la ruche. Le sniper retourna le coprs de la gladiatrice, frotta le sang qu'elle avait sur l'épaule, et découvrit le tatouage qu'elle portait. Quatre tireurs surgirent du véhicule et emportèrent le corps dans le speeder. Puis le sniper monta à son tour, et l'engin démarra à sa vitesse maximale, vers une destination inconnue. Voilà c'est la fin de la nouvelle, j'espère que ça vous a plu :-). De mon côté je suis en train de réfléchir à une autre, mais bon je ne sais pas trop ce que cela va donner ;-) Edit 2 : Oui mais j'étais en train de l'éditer directement ^^ C'était juste pour ne pas avoir à perdre en cas de problème tout ce que 'javais écrit... Qui est bourrin ? [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/laugh.gif[/img] Sdge. Modifié le 21 avril 2012 par Sdge Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
haldu Posté(e) le 9 avril 2012 Partager Posté(e) le 9 avril 2012 Hum. Ce n'est pas une super bonne initiative de commencer une suite, la poster, et l'éditer plus tard, si tu veux mon avis. Une petite remarque : certes, on dit "un" adversaire. Mais quand il s'agit d'une femme, on dit "une" adversaire. Donc toutes les fois où tu as accordé avec le genre masculin au mot adversaire, c'était une faute. Je trouve que le texte n'est toujours pas assez long. Et enfin, ton héroïne est bourrinne. Allez, courage. Je suis sûr que tu te rattraperas pour la suite Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sdge Posté(e) le 19 avril 2012 Auteur Partager Posté(e) le 19 avril 2012 (modifié) Bonjour ! Je m'y remets pour un autre nouvelle, qui se situe temporellement juste après la première. [size="4"][center][b] Chapitre II - REVELATIONS [/b][/center][/size] [size="2"]++ Quelques heures plus tôt, dans l'arène ++[/size] [size="2"]Un homme entra dans la pièce, en repoussant violemment la porte blindée qui lui barrait le passage. Il était vêtu d'un long manteau noir qui flottait derrière lui. La capuche de son habit voilait son visage, que l'on devinait dans l'ombre. Les bottes d'acier écrasèrent les marches qui menaient au trône qui occupait le centre de la salle. Autour du siège destiné au Maître de l'Arène étaient disposés plusieurs projecteurs holographiques qui montraient en temps réel les différents combats. Le trône était occupé par un autre personnage, vêtu d'un manteau pourpre incrusté de crânes humains. Tout le monde ici savait que la coloration de la cape du Seigneur de l'Arène n'était pas le fruit d'une teinture coûteuse, mais du sang de nombreux morts. Il avait trouvé par un procédé mystérieux et macabre le moyen de l'incorporer définitivement à sa cape. C'était probablement pour cette raison qu'il semblait être suivi d'une perpétuelle odeur de sang.[/size] [size="2"]- Kilarn...Alors où en est-on ? demanda le chef de la Guilde.[/size] [size="2"]- Elle résiste toujours. Mais elle ne va pas tenir longtemps. Les dernière décharges électriques que nous avons utilisées lui ont fait de l'effet. Votre nouveau fouet électrique est un instrument très intéressant, répondit Kilarn avec un sourire carnassier qui fit briller un instant des crocs d'acier dans l'ombre de son visage.[/size] [size="2"]- Sais-tu pourquoi elle nous a été livrée au moins ?[/size] [size="2"]Il fit un geste et le dossier de Skryn s'afficha sur le projecteur le plus proche. Puis il continua :[/size] [size="2"]- Elle préparait une rébellion. Et elle était même douée pour cela. Unir sous la même bannière des combattants de tous les gangs mérite du respect. Sauf que la rébellion est maintenant en marche. Comment aurais-tu agis à la place de ses leaders ?[/size] [size="2"]- Je l'aurais éliminée.[/size] [size="2"]- C'est pour cela que nous l'avons comme prisonnière. Pour l'éliminer. Un million de crédits. Mais je n'ai pas envie de la tuer par la torture, répliqua Rhynil. Elle est assez belle tu ne trouves pas ? demanda-t-il avec un sourire à son tueur. Non je ne veux pas qu'elle meure dans une cellule cela ne serait pas intéressant.[/size] [size="2"]- On pourrait essayer de nouvelles méthodes ? Je peux la mutiler membre par membre et la garder en vie jusqu'au bout.[/size] [size="2"]Rhynil fit courir ses doigts sur le crâne sculpté sur l'accoudoir de son trône de fer. L'idée était plaisante. [/size] [size="2"]- Non, cela la défigurerait. Prépare un combat dans l'arène avec un duelliste expérimenté.[/size] [size="2"]- Ce sera fait, monseigneur. Il faudra juste quatre heures pour qu'elle se remette de la dernière séance, conseilla le bras droit du chef de la Guilde. Dommage pourtant, il aurait bien aimé s'occuper personnellement d'elle.[/size] [size="2"]- Je lui en donne une, répondit-il. Au fait, Kilarn, dit-il alors qu'il s'éloignait ; si elle survit elle sera à toi.[/size] [size="2"]Le tueur s'éloigna, satisfait. Soudain une idée lui vint à l'esprit. En guise de remerciement pour le boss et aussi d'un moyen infaillible de la garder.[/size] [size="2"]++ Quelques minutes plus tard ++[/size] [size="2"]- Quand vous lui injecterez la drogue de combat, rajoutez ça pour moi, dit le tueur en tendant une fiole sombre au mercenaire de la guilde. Celui-ci déboucha la fiole et huma la substance. Il se rejeta en arrière quand il se rendit compte du contenu.[/size] [size="2"]- Chef elle ne tiendra pas avec ça dans les veines vous le savez, annonça le garde. Elle n'est pas en état de le supporter. Je croyais que vous vouliez la garder en vie finalement, avec ce que vous a proposé le boss.[/size] [size="2"]- Elle le supportera, détrompe toi. Cela ne se déclenchera que dans quelques jours, pour durer jusqu'à sa mort. Oh non, ça ne la tuera pas. Mais elle se souviendra de moi à chaque moment de sa vie quoiqu'il lui arrive, et plus sûrement que n'importe quelle cicatrice, coupa Kilarn avec un sourire qui fit ciller le garde tant son regard exprimait la perversité et le meurtre. Après tout elle est à moi maintenant. Au fait vous allez faire quelque chose pour moi soldat. Trafiquez le système de mouvement du droïde et son système de visée. Et aussi une de ses armes. Mais pas plus, sinon cela risquerait de s'apercevoir.[/size] [size="2"]- Ce sera fait chef, termina le garde.[/size] [size="2"]++ Trois jours plus tard, dans un secteur oublié du Sous-Monde ++[/size] [size="2"]"La mort est froide. Elle absorbe tout. Elle éteint toutes les lumières d'une vie et la garde à elle. Sans aucun retour possible."[/size] [size="2"]Tout défilait. Une fusillade entre gangs. Des courses de Jets dans les couloirs sombres de villes oubliées. Des combat avec des Patrouilleurs. De Karth. Puis de la capture devant les ruines d'un avant poste de l'Arbites. Comment elle avait hurlé à Karth de s'enfuir alors qu'elle se savait perdue. La chute dans l'obscurité d'une arène. Pendant des heures ? des jours ? des semaines ? des mois ? Des années ? Un enfer de souffrance, dont elle ne savait même pas si elle en était sortie. Rien n'était clair. Tout se bousculait dans les cauchemars depuis qu'elle était tombée face aux Patrouilleurs. Quand cela allait donc cesser ? Elle voulait mourir, mais elle ne savait même pas si elle vivait. La douleur remplaçait tout, en faisant disparaître toutes[/size][size="2"] émotions.Les souvenirs [/size][size="2"]s'effaçaient[/size][size="2"] déjà, et reviendraient bientôt pour la détruire à nouveau. [/size] [size="2"]"La mort efface tout. Même la douleur. Rien n'est plus puissant que cet oubli."[/size] [size="2"]Elle ressentait la souffrance dans un tel nombre de blessures que nul ne pourrait en faire le compte. Blessures physiques. Blessures psychologiques. Son âme comme son corps avaient été ravagés. Pourquoi elle ? Pourquoi personne ne venait l'achever pour que tout s'arrête ? Une simple pression sur la détente. Un simple mouvement avec une lame.[/size] [size="2"]"Souviens toi que tant que tu ressens quoi que ce soit tu es en vie. Et que je t'aime."[/size] [size="2"]Elle était donc en vie ? Rien n'était moins sûr. Elle ne voulait plus vivre. Toute sa famille avait été exécutée. La moindre de ses émotions utilisée. Elle même avait été torturée jusqu'à un point inconcevable pour l'esprit humain. Necromunda était donc inhumaine ? Elle n'avait plus rien, tout semblait irréel. Sauf cette voix.[/size] [size="2"]"Skryn relève toi" disait-elle. [/size] [size="2"]Elle ouvrit les yeux en s'accrochant à cette voix qui la tirait vers la vie. La lumière l'aveugla aussitôt. Elle fut immédiatement submergée par un flot de souffrance. Elle resta comme elle était en laissant déferler la vague. Elle était couchée. Ré-ouvrait les yeux elle vit qu'elle portait de nombreux bandages. Ceux de son poignet et de sa hanche étaient tachés de sang. Des tuyaux fins remplis d'un liquide rouge partaient de son bras vers...[/size] [size="2"]- Skryn ! s'exclama Karth. Il était pâle et semblait fatigué. Il ne s'approcha pas,de peur d'aggraver ses blessures mais il lui serra le poing intensément.[/size] [size="2"]Elle ne dit rien pendant un moment, épuisée elle aussi. C'était cette voix qui l'avait sauvée.[/size] [size="2"]- Tu m'as sauvée, murmura-t-elle.[/size] [size="2"]- Tu aurais fait pareil avec moi, répondit Karth. Comment tu te sens ?[/size] [size="2"]- Tu vas t'étonner mais j'ai mal, dit-elle avec un léger sourire. Comment vous m'avez retrouvée ?[/size] [size="2"]- Après ta capture (il hésitait presque à prononcer ce mot devant elle), on a passé des jours à consulter nos informateurs. On a fini par en trouver un qui ne soit pas un charlatan et qui a parlé d'un accord entre l'Arbites et l'arène. [/size] [size="2"]- Quel accord ? demanda-t-elle, surprise. Elle pensait que l'arène avait payé pour la faire combattre. Mais cela se révélait être l'inverse.[/size] [size="2"]- Ils ne pouvaient pas te tuer eux mêmes à cause des conséquences que cela aurait eu sur l'état d'esprit de la ruche. C'est pour cela qu'ils t'ont envoyée là bas. Mais je n'ai pas pu en savoir plus. Ils ont descendu le type quelques secondes après qu'il nous ait donné l'info.[/size] [size="2"]Skryn tressaillit soudain. Une douleur fulgurante lui parcourut le corps de l'épaule gauche au poignet droit. Son regard se brouilla sous l'effet de la douleur, et elle dut lutter pour ne pas perdre connaissance. Puis la sensation disparut aussi vite qu'elle était venue, ne laissant que des étincelles de souffrance. Puis, émergeant du brouillard qui avait pris place dans son esprit, elle entendit Karth lui parler avec une vive inquiétude.[/size] [size="2"]- Skryn qu'est-ce que tu as ?[/size] [size="2"]- Je ne sais pas. La douleur est venue soudainement, dit-elle avec effort. C'est parti de l'épaule. [/size] [size="2"]Karth contourna la table d'opérations. C'est alors qu'elle vit que les tuyaux de sang partaient de son poignet pour arriver jusqu'à elle. Surprenant son regard, il lui dit d'une voix plus calme :[/size] [size="2"]- Il n'y avait pas d'autre moyen. Tu perdais trop de sang.[/size] [size="2"]Elle savait qu'il était inutile de protester. Pendant ce temps il lui enleva les bandages de son épaule. Elle se retint de gémir en sentant sa blessure se rouvrir en serrant les bords de la surface métallique sur laquelle elle était allongée avec ses doigts. Puis elle s'étonna du silence de Karth. Elle lui demanda ce qui n'aillait pas mais il ne répondit pas. Elle tourna la tête pour essayer d'apercevoir son épaule. Ce qu'elle vit lui glaça le sang. Des dizaines de petites ramifications sombres s'enroulaient autour de l'endroit où on lui avait injectée la drogue, duquel coulait du sang et une substance sombre qui se mêlait au fluide vital.[/size] [size="2"]"La drogue et autre chose" pensa-t-elle. Les ramifications s'étiraient de tous côtés sans causer de blessure. Elle sentit de la peur monter en elle. Elle ne connaissait aucune substance, aucun poison qui aurait pu faire ce genre d'effets. Que lui avaient-ils injectée dans l'arène ?[/size] [size="2"]- Skryn je connais cela, annonça Karth en diminuant un peu la crainte qu'elle ressentait. C'est... une substance qui vient des laboratoires de Helmawr en personne, créée à partir de venin de serpents Kryats très concentré. [/size] [size="2"]Elle sentit un frisson lui parcourir les épaules. Une morsure de ces créatures tuait n'importe qui dans d'atroces souffrances en quelques secondes. Quand des chasseurs en croisaient dans leurs expéditions dans les parties les plus profondes du sous-monde, aucun ne s'attardait dans le secteur.[/size] [size="2"]- Qu'est-ce que ça va me faire ? demanda Skryn en essayant vainement de maîtriser la peur qui montait en elle.[/size] [size="2"]- A forte dose tu serais déjà morte. Ils ont dû t'injecter une faible dose. Skryn, ça te faire souffrir intensément comme ce que tu viens de subir... jusqu'à ta mort. De plus en plus fort. Je suis désolé.[/size] [size="2"]Elle s'effondra sur la table. Ils avaient détruit son passé et lui prenaient son avenir. Elle croyait qu'elle sentirait de la peur ou du désespoir, mais elle ne ressentit rien de tout cela. Une larme coula le long de son visage. Une larme de haine. Alors qu'elle s'écroulait, vaincue par la fatigue, elle sentit une haine brûlante l'embraser. Désormais cette flamme ne la quitterait plus.[/size] [size="2"]- Skryn, je serai toujours avec toi. Je les tuerai, je te le promets, murmura Karth en serrant le poing de colère.[/size] [size="2"]- Ensemble, dit-elle en glissant dans l'ombre.[/size] [size="2"]Voilà j'espère que cette suite (qui en amènera une autre bien sûr) vous a plu ![/size] [size="2"]N'hésitez pas à commenter pour laisser vos impressions et vos idées pour améliorer ;-)[/size] [size="2"]Sdge.[/size] Modifié le 27 avril 2012 par Sdge Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kritislik Posté(e) le 20 avril 2012 Partager Posté(e) le 20 avril 2012 (modifié) Alors, je n'ai pas lû le tout dernier texte, mais j'ai déjà à raconter sur la première nouvelle: Dans l'ensemble, ça se laisse lire, mais avec pas mal de petits truc gênants: [list][*]Quelques de répétitions, surtout du mot "métal".[/list][quote]Mi-[b]chair[/b], mi-[b]métal[/b]. La [b]chair [/b]à vif était entremêlée de plaques de [b]métal [/b]clouées dans son corps.[/quote] [list][*]Deux erreurs fluffiques: Primo pour le serviteur, comme l'a fait remarque Haldu, il ne ressent pas d'émotions, car pas assez intelligent. Taran t'apprendra qu'il y bien longtemps, un incident avec les intelligences artificielles a provoqué une situation à la terminator, ce qui a conduit à un certain dégoût des IA trop développées. Du coup, pour l'intelligence d'un serviteur, bases-toi plus sur un I phone que sur HAL. Secondo: l'adversaire, c'est un xeno ou un mutant? Ou un alien mutant?[/list][quote]tandis que l'alien tentait de frapper à l'aveuglette[/quote] [quote]Un mutant[/quote] [list][*]L'héroïne est trop forte, et j'ai vu le truc venir gros comme une maison: après la description impressionnante de l'adversaire "vétéran", avec trois membres surpuissants et d'une vitesse inhumaine, expérimenté, monstrueux, bardés d'implants et en armure lourde, je me suis dis: il ne va pas faire gagne notre petite femme contre ce truc? Et j'ai été un peu rassuré par le (logique) massacre en règle qui a suivit, mais cette victoire... Elle vise bien au couteau, pour une blessée grave à terre sous excitants, non?[/list][list][*]Et puis, au final un style pas optimal. Il y a des tournures de phrase peu agréable et c'est peut-être lié aux répétitions, mais voilà.(enfin, c'est être un peu tatillon, car dans l'ensemble, ton style est assez agréable)[/list] Voilà, en espérant avoir contribué à t'améliorer (ne prends rien mal, surtout) Modifié le 20 avril 2012 par Kritislik Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sdge Posté(e) le 21 avril 2012 Auteur Partager Posté(e) le 21 avril 2012 (modifié) Bonjour ! [quote] [color="#330000"][size="2"]Deux erreurs fluffiques: Primo pour le serviteur, comme l'a fait remarque Haldu, il ne ressent pas d'émotions, car pas assez intelligent. Taran t'apprendra qu'il y bien longtemps, un incident avec les intelligences artificielles a provoqué une situation à la terminator, ce qui a conduit à un certain dégoût des IA trop développées. Du coup, pour l'intelligence d'un serviteur, bases-toi plus sur un I phone que sur HAL. Secondo: l'adversaire, c'est un xeno ou un mutant? Ou un alien mutant?[/size][/color] [/quote] Ah oui ça recommence Non plus sérieusement c'est vrai pour le serviteur, je crois donc que je vais modifier le texte pour le remplacer par un bourreau plus..normal, ce qui ne l'empêchera d'être à moitié une machine à cause d'anciennes tortures. Pour l'adversaire il s'agit d'un mutant à moitié bionique (décidément ^^) mais comme j'étais en manque de synonymes.. Bon en tout cas je vais modifier cela aussi. [quote] [color="#330000"][size="2"]L'héroïne est trop forte, et j'ai vu le truc venir gros comme une maison: après la description impressionnante de l'adversaire "vétéran", avec trois membres surpuissants et d'une vitesse inhumaine, expérimenté, monstrueux, bardés d'implants et en armure lourde, je me suis dis: il ne va pas faire gagne notre petite femme contre ce truc? Et j'ai été un peu rassuré par le (logique) massacre en règle qui a suivit, mais cette victoire... Elle vise bien au couteau, pour une blessée grave à terre sous excitants, non?[/size][/color] [color="#330000"][size="2"][/quote][/size][/color] [size="2"][color="#330000"]Je dirais pour ma défense que premièrement elle est quand même assez forte, qu'elle hait à fond son adversaire, qu'elle a une drogue de combat, et que le couteau est sa spécialité (à voir dans le prochain chapitre ;-) ). De plus, comme c'est écrit dans le chapitre 2, le mutant/droïde a été plus ou moins saboté pour que Skryn survive. Il faudrait que je modifie un peu pour mieux rendre compte de cela.[/color][/size] [size="2"][color="#330000"]En tout cas merci de tes remarques qui m'ont aidé à tout clarifier ! :-)[/color][/size] [size="2"][color="#330000"]Sdge.[/color][/size] [size="2"] [/size] [size="2"][color="#330000"]Edit : quelques corrections ont été rajoutées sur le II ;-)[/color][/size] Modifié le 27 avril 2012 par Sdge Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kritislik Posté(e) le 24 avril 2012 Partager Posté(e) le 24 avril 2012 Ok, toutes mes excuses, en lisant la deuxième partie, on comprend mieux la victoire. (même si je maintiens que...) Sinon, au sujet de la suite... Le premier paragraphe contient une répétition de "qui" assez astronomique. C'est pas très joli, au final. Relis-toi et tu verras. Une faute (pour faire mon chieur ) : [quote] Je peux la mutiler membre par membre et la garder en v[u][b]u[/b][/u]e jusqu'au bout.[/quote] Et [quote]elle sentit une haine brûlante l'embraser. Désormais elle ne quitterait plus cette haine.[/quote] c'est pas très joli, il faut l'admettre. En fait, quelques tournures un peu moches et répétitions viennent plomber l'ensemble. Et pas seulement sur ce texte-ci. C'est vraiment dommage, pour le coup. Voilà, mon humble contribution. (au passage, je me fais de l'auto-pub, ily a un texte juste au-dessous, n'hésitez pas à commenter ) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sdge Posté(e) le 29 avril 2012 Auteur Partager Posté(e) le 29 avril 2012 (modifié) Hop ! Après une certaine absence (poignet cassé, tout ça ;-) ) me revoilà pour le chapitre III ! N'hésitez pas à commenter pour améliorer ;-) Edit : j'ai un problème avec le système de copié-collé avec Word 2003. Le texte paraît normal, mais dès que je poste le message des espaces disparaissent et d'autres se forment o_O Vous avez une solution ? [center][size="2"][b]Chapitre III[/b] - [b]LE MOYEN[/b][/size][/center] [size="2"][font="Arial"]Elle était à nouveau étendue sur une surface métallique et froide. Elle avait mal dans tout son corps et ressentait des sensations de brûlure dans son dos, là où les pointes d'énergie l'avaient blessée. Ses poignets, aux blessures encore récentes, étaient immobilisés par des électro-liens. Une invention de l'Arbites, des liens conçus quelques décennies auparavant pour immobiliser les prisonniers en les empêchant de tenter de se libérer. Elle essaya de se dégager et ressentit aussitôt un puissant choc électrique qui la parcourut instantanément. Les liens étaient actifs. Ce qui voulait dire qu'il revenait... La porte s'ouvrit ; étais-ce la deuxième fois ? Ou bien la dixième ? Les jours s'écoulaient sans qu'elle en ait conscience ou bien qu'elle puisse s'en apercevoir. Et le bourreau entra à nouveau, avec ce même regard qui l'immobilisait et qu'elle avait appris à craindre. Il n'était accompagné cette fois d'aucun adjoint et n'avait pas d'armes à la main.Venait-il pour la libérer ? Il s'approcha sans un bruit et baissa les yeux sur elle. Soudain son bras se détendit et le fouet à pointes de feu gifla son visage en projetant du sang sur le mur. Elle essaya vainement de se débattre de l'étreinte des liens mais retomba sous le choc électrique des entraves de ses poignets. Le deuxième coup arriva rapidement, sur sa poitrine.Puis un troisième sur son bras. Puis elle ne put plus compter les coups. Ils tombaient sur elle, causant une douleur de plus en plus intense. Les lanières du fouet étaient terminées par des pointes d'acier qui lançaient des décharges d'énergie à chaque choc. Elle avait perdu connaissance plusieurs fois mais à chaque fois le tueur la réanimait en la frappant plus fort. Les coups nes'arrêtaient pas. Un regard à travers le brouillard de sa souffrance lui montra que le bourreau avait maintenant deux fouets. Il lui sembla que les murs étaient couverts de sang sans en être sûre. Elle hurlait, et suppliait qu'on la tue. Son tortionnaire se contentait de rire en la frappant. Soudain un gladiateur s'interposa et la transperça d'une de ses trois lames. Et tout devint noir et froid.[/font] [/size] [font="Arial"][size="2"]Skryn se réveilla en sursaut des ténèbres de son cauchemar et se mordit la lèvre pour s'empêcher de crier. Elle refaisait ce rêve toutes les nuits depuis son évasion. A chaque fois elle revoyait le même bourreau, et se faisait tuer. D'autres fois, et c'était pire, c'était sa famille et Karth qu'elle voyait mourir. Et une autre nuit, c'était tous ceux qu'elle avait tué qui venaient se venger. Elle n'avait amené que des morts autour d'elle.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]Haletante,elle se laissa tomber sur le dos, incapable de dissiper la terreur qu'elle ressentait ; une peur ravivée à chaque fois qu'elle revoyait son emprisonnement dans l'enfer de l'arène. Cela faisait une semaine qu'elle s'en était évadée. Chaque nuit, elle refaisait les mêmes rêves qui la faisaient hurler ; chaque jour, elle ressentait de plus en plus intensément le venin de serpents Kryats dans sa chair, dans des crises de douleur qui l'affaiblissaient de plus en plus. Et le fait qu'elle ne dorme que quelques heures par nuit n'arrangeait pas son état.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"] [/size][/font][font="Arial"][size="2"]Elle resta immobile encore un certain temps, trop affaiblie pour bouger. Elle se rendit compte qu'elle serrait dans son poing un poignard depuis son réveil,sans savoir quand elle l'avait attrapé. Elle avait toujours une arme sur elle, mais maintenant elle était incapable de vivre sans sentir le poids rassurantd'un couteau aiguisé. Elle le serrait par réflexe dans ses rêves, comme pour lutter contre eux.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]"Ce qui est réel, je peux le détruire. Mais cela non." se dit-elle. [/size][/font][font="Arial"][size="2"]Elle se leva, sans lâcher son arme, sortit de la pièce et se trouva devant Karth.Sans réfléchir elle se jeta dans ses bras. Il entoura les épaules de Skryn avec [/size][/font][font=Arial][size=2]les siens et, doucement, lui prit son arme.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]- J'aimerais pouvoir t'aider Skryn, lui dit-il.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]- Tu ne peux pas, répondit-elle dans un souffle. [/size][/font] [font="Arial"][size="2"]Quand allait-elle arrêter de souffrir ? Le venin était conçu pour tuer lentement sa victime, dans la douleur la plus extrême. Combien de temps lui restait-il avait qu'elle ne succombe à l'étreinte de la mort ? Il devait lui rester à peine quelques mois avant que cela n'arrive.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]« Je ne les laisserai pas m'avoir comme ça. Plutôt me tirer une balle que de leur donner la satisfaction de m'avoir tuée » se dit-elle. Alors c'est tout ce qu'il restait à faire ? Tuer, tuer encore et se suicider après. A cette pensée, la flamme de la haine qu'elle portait se réveilla et l'entoura. Oui,elle allait les tuer. Le chef de la guilde. Quaritch. Kilarn. Tous ceux qui l'avaient brisée et qui voulaient la voir mourir. De toute façon, elle n'avaitplus rien à perdre.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]- Je n'en peux plus Karth. Je vais les tuer même si je n'en reviendrai pas.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]- Skryn… commença-t-il.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]- Ne m'en empêche pas, coupa Skryn. De toute façon je n'ai plus que ça.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]- Je ne t'en empêcherai pas, répondit Karth avec effort. Je t'aiderai pour qu'on leur fasse payer ce qu'ils nous ont infligé. De quoi as-tu besoin pour ça ?[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]Elle resta silencieuse pendant un moment. Elle réfléchissait. Pour commencer, il lui fallait des armes, et en nombre. Elle ne possédait qu'un fusil de sniper et un poignard, idéal pour le lancer. Et un moyen de s'entraîner au combat. D'être la plus forte possible, d'être capable de tuer de vingt manières différentes avec un couteau. De tirer une cible à un kilomètre en quelques secondes de visée. De pouvoir utiliser des poignards de jet les yeux fermés. Voilà ce qui lui fallait pour accomplir sa vengeance.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]- J'ai besoin d'apprendre à tuer, dit-elle d'une voix basse. Et d'armes.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]Karth eût un sourire de prédateur. [/size][/font] [font="Arial"][size="2"]- Cela je peux te le donner, répondit-il. [/size][/font][font="Arial"] [/font] [font="Arial"][size="2"]++Quelques heures plus tard ++[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]-Ce que je vais te montrer ne doit pas être connu, annonça à Skryn l'ancien gladiateur qui les avait accueilli dans un grand entrepôt désaffecté. Si tu parles, tu meurs.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]-Il n'y a pas de risque, répondit Skryn. En fait, elle se demandait sur ce qu'elle allait trouver. Une salle d'entraînement ? Une armurerie secrète ? Un groupe d'assassins ?[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]-Une petite question avant de que tu entres, dit encore l'homme. Qui veux-tu tuer ?[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]-Le chef de l'Arène du secteur 16 et son bras droit. Le commandant de la sécurité du 2.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]-Alors bienvenue parmi nous, termina l'ancien combattant tandis que les battants de la porte blindée s'écartaient devant eux.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]Karth la prit par le bras et l'emmena dans un couloir sombre, dont l'éclairage saccadé ne suffisait pas pour y voir à un mètre devant soi. Alors qu'ilsavançaient depuis une vingtaine de secondes, Skryn sortit son poignard soudainement en sentant un mouvement d'air au dessus d'elle.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]- Ne t'inquiète pas. Ce ne sont que des drones de combat, lui dit Karth.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]Skryn rangea l'arme dans son étui en jetant un regard au dessus d'elle. Les drones lui rappelaient trop l'arène. Sondant le plafond, elle ne vit que des ténèbres insondables. Mais l'obscurité était partout de toute façon. Necromunda était un enfer de noirceur. Parfois, un contrebandier ou un marchand parlait d'autres mondes, de soleils multicolores. Totalement invraisemblable. Comment des ruchiers qui n'avaient vécu que dans le noir pourraient-ils croire en l'existence de sources de lumières plus grandes mêmes que la ruche ? Elle non plus n'y croyait pas. Pourquoi cela existerait-il ? Personne ne les avait jamais aidés. Si d'autres mondes existaient, elle n'aurait que du mépris pour eux.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]-C'est ici, déclara le mystérieux individu vêtu d'une combinaison étrange qui semblait réfléchir la lumière. Il désignait une porte à moitié rouillée, mais qui se révéla d'une masse peu commune quand il l'ouvrit. [/size][/font] [font="Arial"][size="2"]Au début Skryn ne vit qu'un flot de lumière, habituée à l'obscurité du couloir et du sous-monde. Puis, sa vision s'adapta à la nouvelle luminosité et elle vit qu'elle se trouvait devant une salle aux dimensions gigantesques. Sur sa droite,des rateliers d'armes s'étalaient sur des dizaines de mètres. Ils contenaient plus de lames, de fusils et d'explosifs qu'elle n'en avait vu pendant les vingt-six ans qu'elle avait passé sur Necromunda. Il y avait des lames pas plus grosses qu'un doigt, et d'autres de la taille d'un homme. Sur sa gauche,elle vit une sorte de cube sombre, haut d'une dizaine de mètres. Elle y voyait une porte sur le côté, mais Karth la dissuada d'y aller en secouant légèrement la tête.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]-Tu verras cela plus tard, lui dit-il à l'oreille. Mais va plutôt voir ça, fit-il en l'emmenant vers le centre de la salle.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]Skryn crut d'abord que des gens étaient dans la salle, alignés autours de nombreuses étagères. Mais ensuite elle se rendit compte qu'ils étaient immobiles. Et qu'ils ne pouvaient pas être humains. Il y avait en fait dans la salle des centaines de cibles, imitant des ruchiers avec un réalisme troublant. Chaque groupe de mannequins était regroupé autour d'un petit ratelier d'armes. Chacun était différent. Elle vit un ratelier avec des poignards, un autre avec des épées, un troisième avec des pistolets bolter.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]Soudain un éclair d'argent déchira l'air devant elle. Par réflexe, elle se jeta à terre et tira son arme, prête à riposter.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]L'homme qui les avait guidés dans la salle se tenait à une trentaine de mètres devant elle en tenant une autre épée. Face à lui, juste devant Skryn, l'épée qu'il avait lancée vibrait encore de sa pénétration dans le sol.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]-Tu as des bons réflexes. Mais saurais-tu faire la même chose ? demanda-t-il, impassible. Il parlait dans un murmure, mais la salle était totalement silencieuse. [/size][/font] [font="Arial"][size="2"]« Probablement pour améliorer les sens » se dit la combattante. [/size][/font] [font="Arial"][size="2"]Elle s'empara d'un poignard long et effilé sur un chariot qui passait devant elle.Ses doigts s'attardèrent pendant quelques secondes sur l'arme. Le couteau était parfaitement équilibré, et avait l'air très résistant. Elle visa une cible sur sa droite en expirant doucement. Elle s'imagina que le cœur fictif qu'elle visait était celui de Rhynil. Son bras se détendit soudainement, à peine quelques secondes après qu'elle eût saisi l'arme. Le poignard se planta dans le cœur du mannequin en projetant du sang de tous les côtés, alors que la cible s'effondrait sur le côté en gémissant de douleur.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]« Du sang et des cris ? ». Les mannequins étaient trop réalistes.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]- Tu trouves cela dérangeant et je le sais. Mais comment veux-tu apprendre à tuer en éliminant des bouts de caoutchouc synthétique ? Lui dit l'ancien gladiateur. Tu tires bien, mais ce que tu fais ne te suffira pas.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]- Qu'est-ce que je dois faire ? demanda Skryn. Sa question n'était pas seulement une interrogation sur l'entraînement qu'elle allait commencer, mais aussi sur le moyen de devenir capable d'accomplir sa vengeance.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]« Devenir une tueuse » pensa-t-elle avant d'écarter cette pensée.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]- Tu dois penser différemment. Savoir combattre différemment. Tu hésites à frapper. Dans un mois, tu n'hésiteras plus, répondit l'homme avant de s'éloigner.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"] [/size][/font][font="Arial"][size="2"]Ce n'était pas la réponse qu'elle attendait. Elle pensait se voir assigner des épreuves à accomplir, pas d'être confrontée à elle-même.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]- C'est lui qui t'a formé ? demanda Skryn à Karth.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]- Oui. Il y a dix ans. Tu devrais aller te reposer. Tu en auras besoin demain.[/size][/font] [font="Arial"][size="2"]Voilà, c'était le chapitre III ! Je vais essayer de vous proposer le IV le plus rapidement possible [/size][/font][img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/smile.gif[/img] Sdge. Modifié le 29 avril 2012 par Sdge Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
haldu Posté(e) le 29 avril 2012 Partager Posté(e) le 29 avril 2012 Rien à dire en particulier sur l'histoire. Elle est un peu morbide, mais bon, c'est Warhammer 40000 et Necromunda. Au moins, tu retranscris bien cette ambiance. Pour ton problème, je ne peux pas t'aider. Mais si tu veux savoir, Open Office est téléchargeable gratuitement sur Internet, et depuis que j'utilise ce programme, je n'ai jamais eu de problème de copier-coller. Sinon, la seule autre solution, c'est de faire attention. (Au passage, même si il reste quelques espaces manquants, je tiens à te féliciter pour ton orthographe) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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