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Pas encore de titre


Lord Paladin

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Bon allez je me lance. L'idée est de commencer un vague roman feuilleton qui paraîtra quand j'aurais le temps/la motivation/mon PC sous la main, je pense écrire environ une page word à la fois pour avoir un rythme simple et des épisodes pas trop longs donc plus facile à suivre.
N'hésitez surtout pas à critiquer, je fais surtout cela pour m'améliorer. Que ce soit au niveau du style, des intentions, des détails culturels, je prends tout et généralement j'en tiens compte.
Au niveau des titres, c'est pas encore très folichon mais ça viendra... enfin je l'espère.
Sur ce, je vous laisse lire la première scène :

[center][size="5"]Titre[/size][/center]
[size="4"]Chapitre 1[/size]
Sa décision les avait tous surpris. Sa sœur, en premier lieu. Son frère bien sûr. Mais même Roland, son sénéchal et plus fidèle conseiller n'avait su sentir la brusque bourrasque arriver. Elle les prit tous au dépourvu et il dut avouer que l'image de ces trois là, bouche béante et regard effaré, les pensées furieusement giflées par cette simple déclaration, lui resterait comme un dernier souvenir particulièrement heureux de sa maison natale.
Car oui, lui, Guillaume de Ferrand, détenteur du nom et maître de la maison de Ferrand depuis plus de quinze ans maintenant, partirait demain aux premières lueurs de l'aube pour s'en aller à la recherche du Saint Graal. Oui, lui qui avait toujours trainé les pieds pour rejoindre le roi lorsqu'on lui en donnait l'ordre. Lui qui avait appelé la Dame de noms que la morale réprouve jusqu'à ce que la lourde charge de la maison sur ses épaules finisse par le rendre plus diplomate. Lui qui avait toujours fait preuve de la plus élémentaire discourtoisie, de la loyauté la plus discutable et de la plus grande absence de courage. Lui enfin, qui croyait au Saint Graal au moins autant qu'aux crapauds magiciens, chevaucherait par monts et par vaux pour défendre le royaume contre les forces du mal et tenter d'y trouver, enfin, l'absolution.
Sa résolution était ferme et rien ne pourrait le faire changer d'avis.
L'intensité dramatique de la scène fut soudain brisée par les éclats de rire de son insupportable frère. « Ah, j'ai compris. Commença t-il. Tu nous as bien eu vieux salopard dis donc. Et dire que j'ai failli me prendre à ta farce ! » Le visage de sa sœur commença à se dérider, croyant elle aussi qu'il ne s'agissait que d'une plaisanterie. Seul Roland – mais n'avait-il pas toujours été le premier à saisir sa pensée – gardait un visage tendu et grave.
« Non Arnoul, tu n'as rien compris, et ce n'est certainement pas une facétie, rétorqua t-il d'une voix plus cassante qu'il n'aurait voulu. Je rejoindrais demain les routes de Bretonnie et si je reviens un jour dans ce château, ce sera après avoir trouvé et obtenu le saint calice. Pernelle, poursuivit-il en se tournant vers sa sœur, peux tu m'accompagner jusqu'à la chapelle après le conseil pour que je prononce le serment ? » Sans mot dire, cette dernière se contenta de hocher la tête pour confirmer. « Arnoul, tu auras par conséquent la charge du domaine en mon absence. Roland…
– Permettez que je vous accompagne mon seigneur. Le coupa ce dernier d'une voix encore emprunte de doute. J'ai toujours été à vos côté et je souffrirais d'être séparé de vous si rapidement.
– Non point compagnon. Ta place est ici auprès de mon frère, tu y seras bien plus utile qu'avec le vieux débris que je suis. Et ça ne sert à rien de tergiverser, les routes de la quête doivent être parcourues seul. Sur ce, la séance est levée. » Sans plus attendre de réponse, il se leva de son haut siège de bois sculpté et sortit à grandes enjambées, laissant les torches vaciller sur son passage.
Les trois hommes se regardèrent un instant. Ayant encore du mal à digérer la nouvelle. Pas une voix. Pernelle ne tarda pas à se rappeler sa promesse et sortit elle aussi pour rejoindre son frère à la chapelle. Elle avait tant de questions à lui poser. Et la lourde atmosphère qui commençait à prendre ses aises dans la pièce ne lui disait rien de bon.
Seuls, Arnoul et Roland se jaugèrent du regard. Si Guillaume quittait réellement le château, ils allaient devoir rebattre les cartes des affaires du domaine et chacun commençait déjà à calculer mentalement les forces, les faiblesses et les différents atouts de son adversaire pour pouvoir tirer le meilleur parti de cette nouvelle situation. Ou le moins pire.

[right]Pal'[/right] Modifié par Lord Paladin
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Aha ! Un feuilleton warhammeresque.

J'ai hâte d'en voir plus car le "roman de chevalerie" moderne doit se traîner un sacré boulet : celui de l'image, pour parler crûment, du texte neuneu. Je demande donc à quel élément de rupture tu vas faire appel pour échapper à ce cliché. Mais je suis sûr que, que ce soit l'ultra-violence des rdc originaux, un cynisme à la Eddings ou un quelconque atout de retournement que tu gardes dans ta manche, ça va marcher[sup]1[/sup] :)

J'aurais du mal à donner une analyse très poussée sur un échantillon aussi court, mais pour l'instant, ça tient la route.

Je relève :
[quote]de ses trois là,[/quote] "Ces", non ?
[quote]dernier souvenir particulièrement heureux de sa maison natale.[/quote]
[quote]maître de la maison de Ferrand[/quote]
Le 2ème usage de "maison" est correct, le premier me dérange un peu car les nobles ne naissent et grandissent à priori pas dans des "maisons". "Demeure" éviterait en outre la répétition. (Pas besoin d'écrire en pseudo moyen-français pour obtenir un effet de cohérence. Quoique ça claque ;) )

[sup]1[/sup]Par contre, mais là c'est par goût personnel, j'avoue que je serai déçu si tu embrayais sur une vision anglo-saxonne du moyen-âge, utra-obscurantiste, alarmiste et inutilement choquante que j'ai crû déceler dans les 2 premiers LA Bretonniens. Bref, je t'attends au tournant :)
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AIE ! Ca Pique les yeux !

Dire que tu oses prétendre taper sur WORD ! Active la vérification grammaticale, tu verras, il y a moult coorections proposées qui permettent de ne point s'énerver à chaque paragraphe, et d'éviter de relire un phrase deux fois car une virgule manque !

Correction après un simple passage dans le correcteur orthographique de WORD et la mise en place d'une poignée de virgules :

[quote]Sa décision les avait tous surpris. Sa sœur, en premier lieu. Son frère bien sûr. Mais même Roland, son sénéchal et plus fidèle conseiller n'avait su sentir la brusque bourrasque arriver. Elle les prit tous au dépourvu et il dut avouer que l'image de ces trois là, bouche béante et regard effaré, les pensées furieusement giflées par cette simple déclaration, lui resterait comme un dernier souvenir particulièrement heureux de sa maison natale.
Car oui, lui, Guillaume de Ferrand, détenteur du nom et maître de la maison de Ferrand depuis plus de quinze ans maintenant, partirait demain aux premières lueurs de l'aube pour s'en aller à la recherche du Saint Graal. Oui, lui qui avait toujours trainé les pieds pour rejoindre le roi lorsqu'on lui en donnait l'ordre. Lui qui avait appelé la Dame de noms que la morale réprouve jusqu'à ce que la lourde charge de la maison sur ses épaules finisse par le rendre plus diplomate. Lui qui avait toujours fait preuve de la plus élémentaire discourtoisie, de la loyauté la plus discutable et de la plus grande absence de courage. Lui enfin, qui croyait au Saint Graal au moins autant qu'aux crapauds magiciens, chevaucherait par monts et par vaux pour défendre le royaume contre les forces du mal et tenter d'y trouver, enfin, l'absolution.
Sa résolution était ferme et rien ne pourrait le faire changer d'avis.
L'intensité dramatique de la scène fut soudain brisée par les éclats de rire de son insupportable frère. « Ah, j'ai compris. Commença t-il. Tu nous as bien eu vieux salopard dis donc. Et dire que j'ai failli me prendre à ta farce ! » Le visage de sa sœur commença à se dérider, croyant elle aussi qu'il ne s'agissait que d'une plaisanterie. Seul Roland – mais n'avait-il pas toujours été le premier à saisir sa pensée – gardait un visage tendu et grave.
« Non Arnoul, tu n'as rien compris, et ce n'est certainement pas une facétie, rétorqua t-il d'une voix plus cassante qu'il n'aurait voulu. Je rejoindrais demain les routes de Bretonnie et si je reviens un jour dans ce château, ce sera après avoir trouvé et obtenu le saint calice. Pernelle, poursuivit-il en se tournant vers sa sœur, peux tu m'accompagner jusqu'à la chapelle après le conseil pour que je prononce le serment ? » Sans mot dire, cette dernière se contenta de hocher la tête pour confirmer. « Arnoul, tu auras par conséquent la charge du domaine en mon absence. Roland…
– Permettez que je vous accompagne mon seigneur. Le coupa ce dernier d'une voix encore emprunte de doute. J'ai toujours été à vos côté et je souffrirais d'être séparé de vous si rapidement.
– Non point compagnon. Ta place est ici auprès de mon frère, tu y seras bien plus utile qu'avec le vieux débris que je suis. Et ça ne sert à rien de tergiverser, les routes de la quête doivent être parcourues seul. Sur ce, la séance est levée. » Sans plus attendre de réponse, il se leva de son haut siège de bois sculpté et sortit à grandes enjambées, laissant les torches vaciller sur son passage.
Les trois hommes se regardèrent un instant. Ayant encore du mal à digérer la nouvelle. Pas une voix. Pernelle ne tarda pas à se rappeler sa promesse et sortit elle aussi pour rejoindre son frère à la chapelle. Elle avait tant de questions à lui poser. Et la lourde atmosphère qui commençait à prendre ses aises dans la pièce ne lui disait rien de bon.
Seuls, Arnoul et Roland se jaugèrent du regard. Si Guillaume quittait réellement le château, ils allaient devoir rebattre les cartes des affaires du domaine et chacun commençait déjà à calculer mentalement les forces, les faiblesses et les différents atouts de son adversaire pour pouvoir tirer le meilleur parti de cette nouvelle situation. Ou le moins pire.[/quote]

De plus, le premier paragraphe est lourd ...

Enfin, je n'ai pas trop tes tournures de phrases, mais c'est juste histoire de gout personnel, n'y voit rien de personnel contre toi.

Petit détail, tu viens d'introduire 4 personnages, mais il manque un détail important : leur âge. La seule mention "le vieux débris que je suis" ne suffit pas à donner une indication assez précise. Le narrateur peut vouloir simplement tourner son âge en dérision, alors qu'il n'a peut être que 35 ans, et 10 ans de plus que tous les autres ...

A+
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Oups... je vois ! Donc réponse rapide : je n'utilise pas Word mais OpenOffice. Cela dit, je m'étais habitué il y a longtemps au correcteur de Word et donc à ne plus relire mes textes (honte à moi), vu le résultat de ce test je crois que je vais reprendre cette saine habitude. D'où : my mistake je recommencerais plus !

Et sinon : oui je ne compte pas faire du texte débile de chevalerie mais je ne sais pas encore vers quoi je vais m'orienter. Et pour la description de la Bretonnie, tu poses une vrai question. D'une part, je milite depuis suffisamment d'année pour une vrai réhabilitation du moyen-âge pour savoir que non, ce n'est pas une époque pourrie remplie de paysans loqueteux et écrasés de taxes. Mais d'un autre côté, la Bretonnie n'est pas le moyen-âge historique et elle est décrite comme un pays complètement pourri par une guerre permanente entre les différents seigneurs, etc. Bien que là non plus, je n'ai pas encore choisi mon parti pris, je devrais bien finir par en faire un et je suis pas forcément rassuré là dessus. Mais bref !

Pal'

PS : La suite est écrite, mais pas encore relue !
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Pouf, un début de suite ! Même remarques qu'au départ, tout commentaire est le bienvenu !

La chapelle de la Dame s'élevait à une petite heure de marche au Nord du vieux château. Le chemin longeait les près communaux et contournait un maigre bosquet de bouleaux avant de descendre dans la calme vallée où se trouvait le petit édifice.
Aussi loin que remonte la mémoire des Ferrands, la chapelle s'était toujours trouvée ici. Et dans cette paisible région au sud du port de l'Anguille, ce n'était pas les hordes démoniaques qui allaient descendre soudainement pour prendre d'assaut ce refuge des anciennes traditions bretoniennes.
À mi chemin du lieux de culte, une fine pluie se mit à tomber, à peine suffisante pour humidifier les vêtements mais assez pour que le froid et la morosité pénètre les vêtements des deux cavaliers. Pernelle cherchait dans sa mémoire tout les indices qui auraient pu expliquer une déclaration de départ aussi brusque, mais rien ne lui venait. Pas de dispute récente, pas de problème particulier dans le royaume. Pour d'autre la simple lassitude de son frère à gouverner un domaine aussi paisible aurait peut être pû expliquer son désir d'aventure. Mais elle connaissait trop Guillaume pour croire sérieusement à cette hypothèse. Alors elle cherchait une raison valable, et elle n'en trouvait aucune.
Guillaume de son côté, laissait son cheval suivre la haquenée de sa sœur sur le maigre chemin de terre. Il profitait de cet instant de calme pour embrasser du regard son domaine, enfin, son ancien domaine ! La haute forêt de chêne qui s'imposait sur le sommet des collines à l'Ouest. Le chant clair du ruisseau gonflé par la pluie en contrebas. Le vent froid jouant dans les champs de son enfance. La douce chevelure blonde de sa sœur ondulante comme une rivière d'or devant lui.
Tout cela il le voyait sans doute pour la dernière fois, non que l'aventure emplisse son cœur d'effroi. Après tout, renouer avec les routes poussiéreuses du royaume ne serait pour lui qu'un retour en enfance. Mais à cette lointaine époque, il n'avait pas encore gouté le véritable délice d'une vie de repos en ce havre du monde et il ne rêvait que de découvrir le monde, de guerroyer par monts et par vaux, la tête toute emplie de légendes et d'héroïsme. Il se voyait revenir les bras chargés de trophées vers la maison familiale où sa sœur serait revenue l’accueillir pour le prendre dans ses longs bras…
« Tu es bien songeur Guillaume, cela ne te ressemble pas ! »
Perdu dans le fil de ses réflexions, il n'avait même pas vu qu'ils étaient déjà arrivé à la chapelle et que sa sœur était descendue de cheval. Comme toujours la porte du bâtiment était grande ouverte et l'intérieur baignait d'une lumière irréelle malgré la lourde couverture nuageuse. Alors qu'il mettait pied à terre, il chassa de son esprit toutes ses pensées jusqu'à ce qu'il n'en demeure plus qu'une, terriblement obsédante ! Devait-il lui dire ?
La cérémonie fut courte, protocolaire même. Sa sœur se contenta de lui réciter les quelques phrases rituelles alors qu'il ne les écoutaient même pas. Tiraillé par la peur, l'honneur et milles autres sentiments qui se disputaient son cœur et scellaient ses lèvres. Lorsqu'elle eut finie, elle lui demanda une première fois de déclarer son engagement à servir la Dame avant d'allumer la première bougie de la nuit. Puis elle le laissa là, agenouillé devant l'autel, murmurant ses prières et ses regrets d'une voix inaudible.
Elle prit la longe du lourd palefroi et se hissa sur sa jument avec délicatesse pour remonter le chemin jusqu'au château. Derrière elle, la nuit descendait progressivement sur les collines.
Non décidément, elle ne le comprendrait jamais !

Pal'
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Moins de fautes, mais quand même ...

Toujours pas d'indication sur les âges respectifs.

Autrement, cela me va ... Vu qu'il n'y a pas grand chose de neuf ! J'espère que tu ne vas pas nous laissez manguir trop longtemps sur la motivation du PP.

A+ Modifié par aun shova
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Eh bien ça prend forme, même si c'est vraiment petit à petit...

C'est vrai qu'il faudrait vraiment faire attention aux fautes, ça déconcentre du récit. D'autre part, il y a de vilaines répétitions qui métiteraient un bon coup de blanco :)[manque de relecture ?]

Je voudrais m'attarder sur des points un peu plus spécifiques
[quote]près communaux [/quote]y a des communes en Bretonnie ? c'est pas du total féodal ? :whistling: Moi j'veux bien, mais ça cadre pas avec l'argument, très juste, que tu avais soulevé en disant en substance que la Bretonnie n'est pas l'occident des XIIIème et XIVème siècles.

[quote]son cheval suivre la haquenée[/quote]
Là ça va pas. Les deux bestioles sont des chevaux, mais l'une d'elle est qualifiée par son espèce générique, l'autre par sa catégorie.
Donc tu peux partir sur un système cheval/monture (pour éviter la répétition ou encore monture/jument) soit sur palefroi -puisque palefroi il y a- / haquenée.
Au passage, "palefroi" est-il judicieux ? Transposons à notre époque : si je me prépare à partir en quête, j'aurais plutôt tendance à mettre mes rangers plutôt que des mocassins... Je suis pas un spécialiste de la Bretonnie, mais de ce que je comprends/reconstitue, la veillée pré-quête se fait dans la sobriété, limite avec les vêtements de voyage et les armes ou alors genre une aube blanche... mais certainement pas sur un cheval d'apparât.

Au passage, comme on est sur une tonalité nostalgique (et mystérieuse) on devrait avoir plus d'info sur l'instant présent, les habits, l'attitude... Là c'est pas trop développé. (je dis pas ça pour me """venger""" de tes commentaires sur mon texte de concours, hein^^)
Et surtout, si ma soeur me voyait m'engager dans une aventure dangereuse auréolée de mystère, elle aurait ptetr peur pour moi et chercherait à graver dans sa mémoire (Prêts les violons ? Un, deux...) comment je suis habillé, de quoi j'ai l'air... Et elle traquerait pour en savoir plus !
[quote]
Devait-il lui dire ?
[...]
Non décidément, elle ne le comprendrait jamais ![/quote]

ça j'aime bien, l'échange est intéressant, ça serait bien de creuser, approfondir ce rapport.
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Meuh si, il y a du neuf, subtil certes, mais du neuf quand même !

Alors quelques points :
Il me semble que les communaux étaient des prés appartenant au seigneur mais sur lequel les péons avaient le droit d'amener paître leur bestiaux. Mais wikipedia est un peu léger sur le tout et je ne suis plus très sûr de moi maintenant, je m'informe et je corrige si besoin est !
Bien pris pour cheval/haquenée ; par contre pour les chevaux soyons précis :
detrier => cheval de bataille nerveux et super hargneux donc un peu énervant sur le long terme !
roncin => cheval plus calme, donc moins pratique en combat mais plus sympa
sommier => cheval de bat
palefroi => cheval super cher et n'étant utilisé que pour les déplacements (ou éventuellement la chasse).
Un chevalier normal de base ayant les trois chevaux et n'enfourchant son destrier qu'une demi heure avant le combat.
Mais bref, tout ça pour dire qu'un palefroi n'est pas complètement idiot dans ce cas.

Oki pour la description je tacherais de m'amender.

[quote] Et elle traquerait pour en savoir plus ![/quote]
Hm, bien pris, ça peut être très drôle ça !

[quote]ça j'aime bien, l'échange est intéressant, ça serait bien de creuser, approfondir ce rapport.[/quote]
Well, disons que c'est prévu ! (depuis le départ)
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Destrier, pas détrier ...

Un gars qui part en campagne part avec un roncin et un destrier. MAis laisse le palefroi au garage (à bestiaux).

Pour le pré (et non pas prè) communal, on dit seulement les communs, ou le pré commun. C'est en effet une étendue où chacun peut faire paître ses animaux : n'existe que près des bourgs et des villes, les villages et les manoirs n'en ont pas besoin, il y a assez de terres pour y faire paître ses animaux dans les bois voisins ...

Le pré commun ne devient communal qu'à la formation des communes, y en a t'il en Bretonnie ?

A+
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