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[40k] les anciennes colonies.


Silverlord

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Voilà, corrigé, et je n'ai pas chaumé, 3 chapitres suplémentaires arrivent.


Introduction :

Bip ! Bip ! Bip !
Kubrik ouvrit lentement les yeux. À peine il se souvint des événements de la veille qu'un flot de larme vint de nouveau mouiller son oreillé, à peine sec.
Bip ! Bip ! Bip !
Kubrik envoya un violent coup de poing dans l'infortunée machine qui dégringola de la table de nuit avant de frapper le sol dans un bruit de plastique brisé.
<tais toi !> gémit Kubrik entre deux sanglots. Pourquoi se lever ? Il n'avait plus rien à perdre désormais. Autant alors qu'il reste ici pour dormir. De toutes façons il n'aurait pas la force d'aller en cours. Pleurer devant ses camarades ? Jamais ! Plutôt être renvoyé du lycée que ça, de toutes façon il ne pourrait pas avoir plus mal. Pourquoi se comportait-elle ainsi ? Pourquoi ? Kubrik avait l'impression que la terre s'écroulait sous ses pieds. Pourquoi cette fille qui l'aimait, qu'il aimait se comportait ainsi ? Elle était encore partie hier sans un au revoir, comme une voleuse. À la pensée de cette fille il se laissa tomber du lit, le choc avec le parquet fut violent, il se tordit un doigt et se fit mal à la tête mais toutes ces douleurs physiques ne semblaient que de simples pichenettes en comparaison à une seule autre, mentale. La mi-obscurité et le sol froid lui donnaient l'impression d'être enfermé dans une cellule de prison. Oui, il était prisonnier. Prisonnier d'un amour absurde.
Bip ! Bip ! Bip !
Le réveil sonna une fois de plus, mais cette fois, Kubrik le pris et l'éteint. Il se leva, remit l’auto réveil à sa place. Il avança vers la fenêtre de sa chambre. Il s'arrêta à quelques centimètres du verre froid et scruta son visage à travers les ténèbres. Il ne voyait qu'un pauvre garçon aux traits tordus par la peine et l'obscurité, aux cheveux ternes et en pétards et aux yeux troublés par les larmes. Une véritable tête à claque. Il ne la comprenait pas. Tous ces moments à l'embrasser, à la tenir dans ses bras, à lui serrer la main. Après tous ça, elle ne lui répondait plus, l'esquivait et s'échapait comme un voleur devant un policier. Une lumière l'éblouit, sa mère entra dans sa chambre :
< -Kubrik, lève toi ou tu sera en... ça ne va pas ? Qu'est ce que tu fait dans le noir devant ta fenêtre ?
Il se frotta maladroitement les yeux pour faire disparaitre la rivière de larme qui en sortait.
-Ça va. je... j'allait ouvrir mes volets.
- Oui, mais dépêche-toi ! Tu sera en retard en cour ! Allez ! Bouge-toi !>
Kubrik ouvrit la fenêtre ainsi que les volets. Il contempla un moment les montagnes, la vue d'une d'entre elles fit naître un nouveau fleuve de larme devant ses yeux, elle habitait là... enfin, derrière plus exactement. Il se retourna et ferma la fenêtre. Un bruit de moteur retentit alors, Kubrik se tourna, et regarda de nouveau par la fenêtre, sa mère roulait sur la route au volant de son cabriolet, cheveux aux vent, lunettes de soleil calées devant ses yeux. Enfin seul ! Kubrik s'écroula alors en sanglots. L'image du chagrin d'amour n'avait été jusque là qu'une chose inconnue, désormais c'était bien réel, tout lui semblait insurmontable. À quoi servait vraiment l'amour ? À faire souffrir, à faire regretter... À rien. Si l'amour ne servait à rien pourquoi était-il là à se lamenter pour rien. Pourquoi ne pas se battre ? Ne pas accepter son sors ? Il se leva, essuya ses larmes puis se dirigea dans la cuisine. Il prit un bol qu'il remplit de céréales. Une nouvelle vague de larmes, il bomba le torse, à quoi bon pleurer ? Il réglera ses problèmes avec Elisabeth ce soir. Il pris une bouchée, puis deux, puis trois... Pourquoi réagissait-elle ainsi ? Ils ne voyaient certes plus qu'une fois par semaine, mais ce n'était pas une raison... Il ne voyait pas comment il pourrait continuer avec elle, de plus, si les tau arrivaient à l'Ouest, il serait certainement envoyé en mission par les SSF... Ça aussi... Ça aussi, ça lui pesait lourd sur le cœur... Pourquoi lui ? Depuis ses six ans il avait été entraîné à tuer à l'arme blanche et à l'arme à feu, à piloter parfaitement tout types d'appareils, voitures, jets, moto-jet, char de combat, hélicoptères, chasseurs... Et tout cela en plus de ses cours normaux, et pire, en secret, seuls les SSF et lui savaient... Il était le cobaye d'un programme visant à créer une sorte de Super agent secret... Ridicule... Inutile... Ça faisait plus de 40 ans que les tau avaient été vaincu par les FDPI... Le 22 avril 2962, après 50 ans de guerre tout rond. Il avait appris ça en histoire-géo...
Il regarda la pendule, 7heures 25minutes. Il devait se dépêcher, il s'habilla en vitesse, il peigna rapidement ses cheveux longs puis sortit de chez lui. Il descendit sa rue puis s'assit à l'arrêt de bus.
Il n'y avait personne à l'arrêt de bus, Thomas était sûrement malade. 7h45min, toujours pas de bus... Étrange, d'habitude il arrivait à 7h40min... Il avait raté le bus ! Il soupira et leva les yeux aux ciel <Mince ! Comment je vais aller au bahut maintenant ! Certainement pas à... Qu'est-ce que ?C'est quoi ces trucs ?>
Des dizaines de longues traînées de fumées tombaient vers le sol... Depuis quand il y avait des pluies de météorites qui n'étaient pas prévenues ? Une silhouette gigantesque passa alors devant le soleil, projetant une ombre sur toute la région. Lorsque que le soleil réapparut entier, Kubrik aperçut alors des aéronefs descendre en piqué à la poursuite des météores. Il crut que c'était une tentative de destruction des météores, mais non...
L'un d'entre eux dévia sa course, il fonçait toujours en piqué, mais cette fois en direction du village de Kubrik, il lança une salve de roquettes avant de se redresser à l'horizontale, les roquettes mirent quelques secondes à arriver, mais frappèrent le village avec une force inattendue. Le sol trembla, des maisons s'écroulèrent, d'autres prirent feu. Il entendit alors les cris des civils pris par les éboulis et le feu. En quelques secondes, trois roquettes avaient transformé un village de deux mille habitant en chaos de feu et de cris.
Quel pays avait-il put faire ça ?? La Nouvelle Bretagne ? Les États Unis de Terranova ? L' UST ? Le Brésil ? La nouvelle Chine ?
Les météores étaient maintenant visible, ce n'était pas des météores. On aurait dit des capsules de survies spatiales bleues marines. Une grosse lettre oméga ornait chaque cotés des capsules. Modifié par Silverlord
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Chapitre 1 : le lâché des chasseurs.

escadron 7 vous êtes autorisé à décoller.
Quentin sourit, c'était le moment qu'il préférait, le décollage. Il pilotait les plus anciens chasseurs de Terranova, de véritables reliques. Si les 8 Rafales de l'escadron Syncro 7 n'était toutefois pas obsolètes dans les performances, il en allait bien autrement pour l'avionique de ces appareils, pas de verrouillage rapide, pas de ralentisseur temporel, pas de visuelle d'incarnation, bref, juste un cockpit, et trois boutons comparé aux autres chasseurs de Terranova, même les MIG-78 russes étaient pourtant mieux équipés malgré leurs deux siècles d'utilisation. Enfin, au moins il pouvait se vanter de voler et de survivre à bord d'appareils vieux de plus de 900 ans.
Il poussa la manette des gaz à fond et ferma les yeux.
Il compta un... deux... trois... quatre.... cinq.... six........ sept........ et huit ! Il ouvrit les yeux et tira sur le manche du l'avion. Le Rafale décolla et pris immédiatement de l'altitude.
" Ici tour de contrôle, dirigez vous vers l'est, vers les sites d’atterrissages, nous n'avons pas envoyé de troupes au sol pour l’instant, bonne chance Syncro 7 vous serez soutenus par des mirages F-70 et des Hawker MK-LIII britanniques. Bonne chance."
Les MK-LIII passèrent alors à pleine vitesse au dessus des Rafales, le chef de l'escadron lâcha un "Mip ! Mip !" au passage, ce qui ne manqua pas de lui faire grincer les dents. Les F-70 se positionnèrent au dessus d'eux.
Comme avant chaque mission, la vie de Quentin lui repassa devant les yeux
il se rappelait quand, gamin, il regardait les chasseurs affronter les antigrav tau dans la région de la nouvelle Lyon. Quand il fut recruté dans l'armée de l'air, son premier vol en F-60 puis ses premiers combats contre les tau en F-70. Suite à la victoire de la bataille de Vladivostok en majore partie grâce à son escadron, il avait été promu dans la Syncro 7 , l'élite de l'élite, la crème de la crème, bref les As français. Il n'avait jamais connu de femme, et il ne comptait pas en chercher, la seule chose qui comptait pour lui s'était "Tonner" son appareil, dans la syncro 7 chaque appareil avait un nom, on comptait ainsi "Juste", "Faucon", "Zéro", "Paris", "Elisabeth" et "Implacable". Depuis que la guerre s'était terminé, Quentin s’ennuyait, quarante ans de paix, c'est long. Il avait désormais soixante trois ans et comptait prendre sa retraite cette année. Enfin, sauf si une nouvelle guerre se préparait, la Syncro 7 aurait trop besoin de lui.
Les chasseurs commençaient à apercevoir la zone d’atterrissage, une large bande d'environ huit cent mètres par six kilomètre où s'étaient posé les modules, quand le chef de l'escadron des mirages F-70 annonça par radio la phrase tant redoutée : "Appareils hostiles à 15heures ! On s'en occupe ! Terminé." Les cinq mirages rompirent la formation et foncèrent vers les Thunderhawks Ultramarines.
Quentin regarda les chasseurs foncer vers les ennemis, équipés de boucliers de forces, de répulseurs EM, de 6 légendaires mitrailleuses browning, de quatre lance roquettes multiples, de six missiles antiaérien, de douze torpilles à fusion, de trois missiles nucléaires tactiques et de deux canons à plasma, tout ça monté sur un appareil de dix-sept mètres de long, et douze d'envergure. Capables de réaliser n'importe quelle figure, de voler à mach 3 et de porter trente tonnes d'armement, le mirage F-70 était de loin le meilleur chasseur tactique du monde. Qui pouvait lui résister ? Comme pour confirmer sa pensée, le chef des F-70 passa un message au moment où deux boules de feu illuminaient les aurores " cibles abattues ! Quatre roquettes tirées, on revient. Terminé."
"Ici tour de contrôle, vous approchez de la zone d’atterrissage, détruisez les capsules. Terminé."
Les chasseurs plongèrent vers les modules d’atterrissages, mais à leur plus grande surprise ils n'étaient plus. Des modules il ne restait que des épaves carbonisées.
"Hello guys ! It's the captain Brain ! Mission terminée as we say in french !
Quentin grinça une fois de plus des dents, les anglais les avaient encore devancés...
"C'est encowe moi ! Ennemies en haut à seven hours, but we need to refuel. So this is for you ! terwminé.
-Ici Tonner, bien reçut, on s'occupe des fuillards ! F-70 vous pouvez retourner à la base, la Syncro 7 est sur le coup ! terminé."
Alors que les mirages rompaient la formation, l'escadron syncro 7 redressa puis parti à la poursuite des thunderhawks. Modifié par Silverlord
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Pas mal du tout, voilà qui nous conduit au confins de l'histoire de 40K, j'aime beaucoup ce côté anachronique.
Par contre je ne suis pas au point niveau fluff, mais tu vas m'éclairer : ce récit se déroule bien sur terre ?
Et les Tau ont donc été les tout premiers envahisseurs extraterrestres qu'a connu l'humanité ?
Mais visiblement ce sont des ultra marines qui lancent cette mystérieuse attaque, je pensait que les premiers chapitres avaient été créés bien après la découverte du warp ?
Tout cela pique ma curiosité, et j'attends avec une grande impatience la suite de ton histoire !
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J'aime bien ton histoire. Mais : [b]sujet fermé jusqu'à ce que tu corriges les fautes d'orthographe ![/b]

[color="#006400"][b]EDIT Celt : Cf. Le règlement de la section en épinglé, clause d'orthographe et correcteur automatique :whistling: [/b][/color] Modifié par Celt
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  • 1 mois après...
Chapitre deux : Fabian, capitaine de la 3ème compagnie Ultramarine.

"Module lancé ! Qu'Il vous protège capitaine."

Malgré ses centaines années de services dans le chapitre, Fabian était inquiet, on leur avait signalé avant le lancement que malgré l'apparence primitive de ce monde, les anciens colons terriens qui l'habitaient avait conservé le niveau technologique d'avant la grande crise, c'est à dire l’apogée de la technologie humaine. Enfin, ce n'était plus le moment de douter, il était maintenant coincé dans le module d’atterrissage qui le déposerait dans moins de cinq minute sur l'objectif. Il entama une prière à l'Empereur, mais fut repris par le doute, il vérifia que le générateur de ses griffes éclairs était bien activé, oui. En face de lui le champion de sa compagnie, bien qu'équipé d'arme encore plus capricieuses que les siennes paraissait serein. Il chantonnait sa prière comme un jeune enfant. Ah ! Ce frère Giani le surprenait toujours ! Il faisait preuve d'un calme, d'une sensibilité et d'une gentillesse hors du commun, mais lorsqu'un combat éclatait, toute cette retenue, toute cette pitié se transformaient en véritable hargne digne d'un Blood Angel lorsqu'il faisait face aux ennemis de l'Empereur. Il jouait alors de l'épée et du pistolet comme un dieu, même lui, Fabian, capitaine de la 3ème compagnie des Ultramarines, n'avait jamais rien vu de tel. Il avait combattu aux cotés de Sicarius, capitaine de la 2sd compagnie, de Dante, chef du chapitre des Blood Angels, de Bélial, chef de la Deathwind des Dark Angels, de Darnath Lysander, capitaine de la première compagnie des Imperial Fist, aux cotés du commissaire Yarrick et de bien d'autres héros de l'Imperium, mais jamais il n'avait vu aussi bon combattant que Giani.
"Impacte dans deux minute" dit la voix de l'ordinateur de bord.
"Frères ! commença Fabian à l'attention de son escouade de commandement, Nous avons été dépêché par lord Calgar pour cette mission. Nous allons atterrir dans une région peut habitée dans le but de bâtir une base terrestre avancée afin de pour déployer d'importantes forces sans avoir à recourir à l'espace aérien. Selon les services de renseignements de l'ordo Maleus, cette planète dispose d'une force aérienne comme il n'y en a pas deux dans la galaxie, c'est pourquoi dix thunderhawk nous escortent. Une fois à terre il nous déposeront les éléments pré-fabriqués de la base puis couvriront la zone aérienne. Les escouades devastator se rendront sur les zones 3 et 7 afin de profiter du surplomb rocheux pour couvrir toute la zone. Les escouades d'assauts resteront prêtes à intervenir en cas d'attaque. Les escouades tactiques 5 et 6 se sépareront en unités de 5 hommes et patrouilleront de la zone 7 à 1. Les escouades 1 à 4 resteront avec nous pour prendre les éléments pré-fabriqués de la base et la monteront."
Une à une, les escouades firent l'appel, et il conclu que toute sa compagnie était déployée. Il n'avait pas le droit à l’erreur.
"Impacte dans 30 secondes" annonça l'ordinateur de bord.
"Ici Thunderhawk 2, agglomération ennemie en vue, demande autorisation de bombarder le site."
"Autorisation accordé."
"Impacte dans 15 secondes !"
Fabian clama à ses hommes une tirade qu'il avait l'habitude de dire lorsque sa compagnie entière était en déploiement.
"Frères ! Vous êtes les fils favoris de l'Empereur, les fils de Guilliman, ils vous regardent alors ne doutez pas ! Ne craignez pas ! Ne graciez pas ! Pour l'Empereur !"
"Pour l'Empereur !" reprirent en cœur les cent ultramarines à travers leurs radios.
"Impacte immédiat !"
Aussitôt, les propulseurs du modules s'activèrent et il se posa en douceur sur le sol de Terranova.
"En avant frères ! "
"Ici frère Daniel, pré-fabriqué déposés en zone 5."
La compagnie s'organisa alors comme un seul homme, Fabian suivit ses hommes jusqu'aux pré-fabriqués. Il ignorait alors tout de ce qui allait se passer.
"Devastators en position !"
"Ici frère Claudius, nous avons un jeune homme en visuelle, il court vers votre zone, il est armé. Demande les ordres à suivre."
"Assurez vous que son arme n'est pas une arme à plasma ou laser à haute intensité puis capturez-le. Sinon, tuez-le."
"Ici Thunderhawk 5 ! Cibles aériennes en approche. Elles sont encore loin mais son très rapides, mach 4 ou 5. Demande conduite à suivre."
"Couvrez la zone, s'ils font mine de s'approcher, abattez-les."
"J'ai les cibles en visuelle, elle sont six. Je suis verrouillé !! J'active mes leurres !! Leurres inefficaces ! Je m' éj... "
La radio n'émettait plus qu'un léger gazouillis.
"Ici thunderhawk 1 ! Je suis vérou..."
Le capitaine assistait bouche-bée au massacre de ses thunderhawk par des chasseurs dont la seule chose que l'on pouvait voir d'eux tant leur vitesse était grande était la voilure inversée hérissé de missiles et la longue traînée de feu qui suivait leurs déplacements.
"Ici thunderhawk 6 ! Je sau..."
Fabian repris immédiatement le contrôle de ses neurones :
"Thunderhawk ! Repliez vous immédiatement ! Dévastators, ouvrez le feu !"
À ce moment ci, une véritable colonne ne missiles, de lasers et de plasma traversa le ciel et fonça en direction des Hawkers, Fabian se permis un sourire, dans trois seconde, il ne resterait plus rien de ces chasseurs !
Alors qu'il jubilait à l'idée de voir les chasseurs s'écraser dans une boule de feu, un chasseur encaissa missile antichar en pleine carlingue sans mal, l'appareil ne fut même pas secoué, un autre arrêta net un laser lourd, sans broncher.
"Ils sont indestructible..." murmura l'un des sergents dévastators alors que les Hawker fonçaient sur leurs positions.
Les appareils firent un premier passage à basse altitude et à faible vitesse. Lorsqu'ils survolèrent le surplomb rocheux où étaient les devastators, une pluie de bolts lourds les frappa. À part un missile arraché de son lanceur, les bolts n'eurent aucun effet autre que de les faire accélérer et reprendre de l'altitude. L'un des chasseur rompit alors la formation, il fit demi-tour et fonça sur les dévastators. L'un des dévastator tira un coup de lance plasma lourd, ce qui ce passa ensuite fut si rapide que même les sens sur développés des ultramarines ne purent bien le distinguer. Le projectile de plasma arriva près du chasseur, un rugissement assourdissant fit saturer les capteur auditifs des armures énergétiques et le chasseur fit une embardée sur la droite si rapide que l'on aurait put croire qu'il s'était téléporté. Il évita ainsi le projectile qui n'était pourtant qu'à moins de cinquante mètres de lui ! Fabian supposa que l'appareil était un drone, comment un humain pouvait-il réagir aussi vite ?
"Dévastators ! Jetez vous à couvert ! " hurla-t-il
Inutile. Alors même que les marines étaient allongés sur le sol rocheux, trois boules de feu les engloutit.
"Module verrouillé, j'active mes leurres." dit une voix dans son oreillette, il se retourna et vit un éclair frapper le module de pleins fouet. Une vive lumière, un bruit si puissant que ses capteurs isolèrent une fois de plus ses oreilles, le sol trembla, il fut emporté par un souffle irrésistible. Il ferma les yeux. Il volait, il était bien, aucune douleur, il toucha le sol. Il sentit alors quatre pointes brûlantes lui transpercer le buste au détriment de son armure. Il roula plusieurs fois puis s'arrêta brusquement, presque assommé. Une douleur horrible s'empara de lui, dans tout son corps. Il hurla, il n'osait pas ouvrir les yeux, de peur de voir ce qui lui arrivait. Il essaya de bouger son bras droit, mais celui ci était coincé et lorsqu’il forçait, une douleur encore plus forte le prenait. Il essaya de bouger sa jambe droite, celle-ci aussi était figée, mais il ne ressentait pas autant de douleur. Sa jambe et son bras gauche ne répondaient pas. Il était figé, comme si son corps était devenu de pierre, ou de douleur. À chaque seconde, il sentait le sang sortir de son corps, il avait du mal à respirer tant la douleur était atroce, mais son esprit de space marine l'empêchait de pleurer. Il allait mourir. Il le savait. Bien que cela signifiait la fin d'une vie de guerre mais aussi de plaisir. Depuis tout petit il rêvait de sillonner la galaxie, de découvrir des dizaines de planètes au paysages merveilleux, d'écrire par lui même l'histoire de l'Imperium. Il avait vécu son rêve pendant trois cent quarante sept ans, peut-être était-ce le temps de partir, de laisser de nouvelles personnes profiter de son rang à sa place, frère Giani par exemple. Plus il se perdait dans ses pensées plus il sentait son esprit disparaître. Il entendit qu'on lui parlait, on retira son casque, il entendit le bruit d'une culasse tirée. Il ouvrit les yeux et vit un pistolet bolter, canon posé contre son front, il remonta le bras qui soutenait l'arme et reconnu son apothicaire de compagnie. Celui-ci le regardait dans les yeux, il ne portait pas de casque, son visage brûle et ses cheveux en pétard ainsi que son armure en ruine faisaient pitié à voir. Mais quelque chose dans son regard suppliant troublait Fabian, qu'attendait-il pour tirer ? Alors il comprit. Dans un dernier effort surhumain, Fabian rompit le masque de fer qui lui figeait le visage et esquissa un sourire. Il prit une dernière fois son souffle et murmura :
"Heureux de vous avoir connu... Que l'Empereur, et surtout la vie, vous garde..."
Il regarda alors l'apothicaire puis fit un léger mouvement de tête pour lui confirmer qu'il pouvait tirer.
Un bruit retentit alors, puissant, sinistre mais aussi porteur de joie.
Une cartouche grosse comme un doigt tomba au sol.
Une tête, trou rouge au front, bascula en avant, yeux fermés, le visage tordu par une douleur, désormais morte.
La bouche figée en un sourire.

[quote name='juju' timestamp='1339395971' post='2150323']
Pas mal du tout, voilà qui nous conduit au confins de l'histoire de 40K, j'aime beaucoup ce côté anachronique.
Par contre je ne suis pas au point niveau fluff, mais tu vas m'éclairer : ce récit se déroule bien sur terre ?
Et les Tau ont donc été les tout premiers envahisseurs extraterrestres qu'a connu l'humanité ?
Mais visiblement ce sont des ultra marines qui lancent cette mystérieuse attaque, je pensait que les premiers chapitres avaient été créés bien après la découverte du warp ?
Tout cela pique ma curiosité, et j'attends avec une grande impatience la suite de ton histoire !
[/quote]

dsl du double poste mais je préfère pas mélanger le texte avec mes autres postes.

Donc je réponds exactement à tes questions Juju :whistling:
Non, le récit ne se déroule pas sur Terre.
Non, les tau n'ont pas été les tout premiers envahisseurs de la Terre (il ne l'ont jamais attaqué d'ailleurs :lol: ).
Et ce sont bien les Ultramarines qui attaquent la planète, et tu as raison, les premiers chapitres ont été crées bien après la découverte du warp.
T'ai-je bien éclairé ?? :lol:
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Et hop !

Chapitre 3 : Affrontement.

"-Boris ! Tu as pensé à prendre les jumelles multi-visuels ?
-Niet ! Désolé, j'ai pensé à tout sauf à ça...
-Bravo ! Tant-pis, il y a de toute façon peut de chances qu'on en aie besoin. Pourquoi c'est toujours nous qui nous tapons la patrouille ici ? Ça fait douze ans qu'il n'y a pas eut de tension entre l'UST et la nouvelle Bretagne.
-Ouai, c'est sûr... Mais apparemment, il y a du grabuge sur Marachi... Des vaisseaux inconnus sont entrés dans l'espace contrôlé hier, puis ils sont repartis en début de matinée sans s'être identifiés. Enfin, de là à mobiliser des patrouilles part...
-Chut ! Tu as entendu ce bruit Dimitri ? Oh ! Merde... tu as vu ça ? "

Dans la nuit de la toundra, où seul le bruit du vent brisait le profond silence, une lumière rouge éclaira la vallée, elle semblait venir du sol, une lumière rouge sang. La même lumière que celle produite par de la roche en fusion. Boris voyait aussi des cendres viroler dans le ciel.
Un hurlement tonitruant perça la nuit, couvrit le bruit du vent et fit sursauter les deux russes qui reprirent leurs esprits immédiatement :
"-Dimitri ! Informe le QG de ce qu'il se passe et couvre ma zone, je vais monter sur la montagne avec le ST et je vais essayer de voir ce qui ce passe. Si jamais tu as des cibles en approche, tu me le dit et on se retrouve vite. Entendu ?
-Ok. Tient moi au courant"
Dimitri commençait à prévenir la base alors que Boris commençait d'escalader la montagne. La pente était abrupte, ascension rendue encore plus difficile par la neige et les arbres, mais ce n'était pas assez pour arrêter un vétéran de la guerre UST-Nouvelle Bretagne équipé pour l'évolution en milieu polaire.
Quelques tirs de grappins par ci et quelques sauts aux répulseurs EM par là et il fut en position au sommet de la montagne, à plus de quatre mille mètres d'altitude. Le vent soufflait très fort et bien que la température ait beaucoup baissé, son armure polaire avait compensé cela en augmentant sa température intérieure.
Boris vit alors "ce" qu'il se passait. Une vaste zone de la toundra était désormais en feu, de larges failles serpentaient et laissaient s’échapper de grosses coulées de lave. Un nouveau hurlement retentit. Boris ordonna à son armure de lui localiser l'origine du cri. Un petit cercle bleu se mit alors à tourner sur sa visière, entourant une silhouette humanoïde dotées d'une imposante paire d'aile. Il ne l'avait pas vue ! Cette chose était énorme ! Si c'était un homme, il mesurerait au moins dix mètres de haut ! Mais un autre détaille attira son attention, autour du colosse marchaient une horde de créatures rougeâtre portant visiblement une épée.
Il informa rapidement Dimitri de la situation, il lui envoya des images recueillies par ses optiques de visée auxiliaire puis il fut fixé que Dimitri rentrait à la base au plus vite tandis que Boris restait observer le mouvement.
Boris décida alors de voir plus en détails de quoi il retournait, il s’allongea, pris son sniper modèle ST-91, une adaptation russe de l'antique Barrett M82. Bien que les créatures n'étaient pas à portée, il comptait sur sa lunette pour lui livrer de précieuses information.
Il observa d’abord la scène à la lunette grossissante, une marrée d'humanoïdes rouges, au long crânes cornus marchait vers le sud. Le géant lui tournait aussi le dos, il regardait ses soldats avancer avec force hurlement. Il avait une tête cornue, deux énormes ailes de chauve-souris, une main brandissant une colossale hache, l'autre un fouet aux dimensions tout aussi importantes.
Il activa la visuelle thermique, mais il ne voyait rien, la lave, et l'air qu'elle réchauffait faussaient toute la visuelle. Il enclencha le capteur cardiaque. Rien. Il ne voyait rien. Aucun de ces êtres n'avaient de cœur. La peur s'empara alors de lui. Seul sur sa montagne, il commençait à claquer des dents, à transpirer, son souffle s'accéléra, son cœur se serra. Pris de panique, il se releva brusquement et échappa son sniper. Boris crut alors que son cœur allait s'arrêter, il regarda l'arme dévaler la pente dans des gerbes de neige. Boris activa ses répulseurs puis sauta sur le versant opposé, d'où la montagne descendait à-pic. Il attendit une minute que les batteries des repulseurs soient rechargés puis sauta dans le vide.
Il traversa les nuages, puis après d'interminables secondes de chute, il aperçut le sol. Il activa immédiatement ses répulseurs qui le déposèrent doucement sur la neige. Nouveau hurlement. Boris céda totalement à la panique et courut dans une direction au hasard en hurlant.
À bout de souffle, il s'arrêta dans une clairière. Il s'écroula au sol et essaya de joindre le QG par radio, mais comme il le pensait, le froid extrême altérait les communication, pas moyen de joindre qui que ce soit.
Il se retourna sur le dos, débrancha et enleva son paquetage qui rendait la position inconfortable et ferma les yeux. Pourquoi avait-il peur ? Il avait tué plus de deux cents britanniques armés à mains nues lors de la guerre. Il était engoncé dans l'une des meilleures armures russes et portait encore son .44 millimètre à plasma dans sa gaine. Pourquoi ces choses lui avaient fait si peur ? Était-ce leur apparence ? Ou bien la façon dont elles étaient apparues ? Ou encore le fait qu'elles n'aient pas de cœur ? Ou bien les trois en même temps ?
Il entendit alors un fort bruit d'aile. Son cœur se remit à bondir furieusement. Il ne savait plus quelle était sa motivation dans l'armée. Il se releva d'un bond en rebrancha son paquetage au moment où la créature se posait dans un tournoiement de neige.
La bête le dépassait d'au moins deux mètres, elle tenait entre ses dents le ST-91 de Boris. Elle le lâcha puis lui lança d'une voix grave et puissante :
"-Il me semble que cela t'appartient. Pourquoi me regarde-tu ainsi ? Tu ne devrais pas avoir peur de moi. Je suis ton ami. Nous sommes tes amis. Ils sont tes amis."
Alors Boris se rappela.
"-Tu mens sale créature ! Tu vient nous faire subir le même sort que les autres hommes sur Terre ! Je t'arrêterai !"
Toute peur transformée en rage, Boris toisait M'Kar, le buveur de sang.
Le démon porta le premier coup, il fit claquer son fouet puis le lança sur Boris. Le russe évita le coup en bondissant d'un coup de répulseurs. Arrivé à hauteur du démon, il tira son grappin qui se planta profondément dans sa poitrine. Au lieu de se laisser tomber, Boris rembobina son grappin et atterrit sur le buste du démon, il entoura le cou du monstre avec le câble puis se laissa tomber dans son dos avant de tirer sur le câble du grappin. Le démon mugit mais ne pur se rééquilibrer et tomba en arrière, se brisant une aile. Boris tira alors un coup sec afin d'arracher le grappin. Il allait le fouetter avec son grappin quand le monstre se redressa d'une puissante impulsion, il fit un bon en arrière puis lui lança :
"-Que sais-tu sur nous ?
-Rien... Je... Une nuit, en rêve, j'ai vu des guerriers comme vous, comme vos soldats, et bien d'autres attaquer l'ancienne Terre, le berceau de l'humanité et massacrer ses habitants malgré la défense désespérées des hommes...
-Cela c'est passé il y a dix mille ans mon ami. Et sais-tu pourquoi nous pourquoi nous avons attaqué la Terre ?
-Par barbarisme et cruauté !
-Calomnies ! Comment peux-tu donner de l'importance à un rêve ? Nous avons attaqué la Terre en représailles. L'humanité avait-été dominée, mise à genou et exploitée par un tyran qui s'autoproclama Empereur de l'humanité. Ce tyran menaçait mon propre peuple, et c'est par bonté envers l'humanité que nous avons marché sur Terre afin de vaincre ce tyran. Nous avons malheureusement échoué, car si le tyran fut tué, ces serviteurs, les démoniaques space marines, nous ont vaincu, ont déifié ce tyran et ont organiser un empire conservant les lois inhumaines que le tyran avait mis en place. Depuis maintenant plus de dix mille ans nous luttons contre ces humains corrompus. Rejoins nous, nous pourrions faire de grands choses ensemble.
-Bien que je suis plutôt en accord avec vous, si ce que vous avez dit est vrai, j’obéis à l'UST et à nul autre, je sers ma patrie, pas une cause inconnue. D’ailleurs, j'ai fait ce rêve à l'age de 18 ans, or vous parlez d’événements passés il y a dix mille ans, nous sommes en 3002, je n'ai jamais entendu parler de tyran pareil sur à cette époque qui correspondait à l'antiquité égyptienne si je me souvient bien. Vous avez certainement perdu la raison... Enfin, retournez faire la guerre, mais ce sera sans moi.
-Dans ce cas tu mourra ! gronda le démon, On sert le Chaos ou on meure !"
Le démon donna un coup de fouet si puissant qu'il l'envoya voler dans le décor. Boris atterrit brutalement avant d'avoir réussit à activer ses répulseurs. Il tentait de se relever mais le démon était déjà sur lui. Il le coinça sur le sol avec son pieds et fit passer le tranchant de son arme à quelques centimètres de son cou :
"-Tu t'es cru fort ? Tu as cru pouvoir vaincre M'Kar ! Le plus puissant buveur de sang de la galaxie ! J'en ai déjà tué des plus coriaces mon ami !"
Une voix retentit alors dans l'oreillette d son casque :
"-Ici mil-mi 80 ! Donnez moi vos coordonnées, nous venons vous rapatrier.
-Oui, murmura Boris dans son micro en ordonnant à son armure de transmettre les coordonnées
-Que dis-tu ? Rugit le démon, tu crois peut-être me berner avec tes machines ! Il lui arracha son casque, tu es fini !"
Le contact avec la neige donna comme une claque à Boris, il hurla à son tour "Ta gueule ! Je vais te butter démon de mes deux !"
Le démon souleva sa hache au dessus de sa tête et se prépara à frapper, mais Boris tira son grappin qui alla se planter dans son œil. Le démon se cabra en hurlant et échappa sa hache. Boris eut juste le temps de rouler sur le cotés pour l'éviter. Il se releva, dégaina son 44mm à plasma puis rembobina son grappin. Il décolla, attiré par le démon puis lorsqu'il fut à seulement un ou deux mètres
il activa ses répulseurs pour passer par dessus le buveur de sang. Il atterrit dix mètre derrière le démon. Celui ci se retourna et fonça sur le russe qui arracha l'œil du démon d'un coup sec à son grappin. Alors que le grappin arrivait au niveau de son avant bras, l'œil sanguinolent toujours emprisonné dans les douze bras de métal, le démon lui envoyait son poing vers son visage, il se déporta en tournant vers la droite puis d'un geste souple, il visa la tête du démon de son arme. Le démon, surprit par l'esquive rapide de son jouet se retourna vers Boris. Alors qu'un son de rotor couvrait le bruit de vent et les cliquetis de l'armure du démon, Boris tira quatre coups dans le crâne du démon, provoquant quatre trous fumant.
Entre deux râles, le démon hurla "On se retrouvera ! Quelque chose bloque mes pouvoirs, atténue ma résistance ! Le temps de régler ce contre temps et j'en finis avec toi !"
Le démon leva les bras au ciel, et hurla avec une force sans précédent. Son armure explosa, une tornade se forma au dessus de lui. Le vent allait happer Boris lorsque le démon éclata de lui même, dans une effusion de sang et de lumière rouge.
Lorsque le vent cessa, il ne restait rien du démon, seul l'œil encore sanguinolent persistait encore, pris dans les douze bras du grappin.
Boris ramassa son sniper et son casque avant de s’accrocher à la corde qui pendait devant lui. Alors que la corde le montait à l'hélico, il aperçut à travers la neige tourbillonnante sous les pales du mil-mi la hache géante du démon.


J'attends toutes vos critiques, conseils, qu'ils soient littéraires ou fluffiques.
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Alors, déjà, permet-moi de remarquer ton orthographe. Même si elle est encore loin d'être parfaite, et notamment au niveau des accords (plein de E et de S sont ou ne sont pas là lorsqu'il le faut ), je ne peux que constater que tu l'as grandement amélioré. Tes efforts payent, continue comme ça ! :)
Ah, j'allais oublier. Il vaudrait mieux que tu évites de mettre des chiffres dans tes textes. Personnellement, ça ne me gêne pas, mais c'est une convetion d'écriture.

Quand à ton histoire.
A la fois j'apprécie la complexité qui est en train de se mettre en place. Et les anachronismes qui permettent de créer tout un univers de science-fiction original, avec des ajouts précieux d'éléments de Warhammer 40000.
Cependant, à propos de tes situations, et surtout de ton dernier personnage, Boris, je n'ai qu'une chose à dire : BOURRIN ! Modifié par haldu
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Je vais vous éclairer un peu sur l'histoire parce que c'est assez compliqué, l'histoire se déroule jusqu'ici sur Terranova, une exoplanète habitable située proche le l'empire Tau découverte courrant 2500, plusieurs pays ont lancés des expéditions (USA, Chine, Brésil, Russie, Japon,Méxique et plusieurs pays Européens, Royaume Uni, France, et Allemagne) ces pays sont arrivés sur la planète en 2753, ils y ont établit des colonies qui sont par la suite devenues indépendantes.
Le système de la planète a ensuite été isolé du monde par une distortion warp, ce qui a eut pour effet de déplacer le système dans le temps et le faire apparaître en 40 000.
Proche de l'empire Tau, ces derniers ont donc convoité le système et y ont perdu une guerre après 40 de combats. Quand l'Imperium a découvert ce système, l'inquisition puis le mecanucus s'y sont interrsé de près, l'ordo maleus, projetant la conquète du système par la force, le mécanicus une aproche diplomatique. L'Imperium choisi la force. Le Chaos s'y interressa aussi, evidemment.
Voilà pour la petite histoire, mais il y aura bien plus que l'Imperium et le Chaos dans cette guerre, vous verrez :innocent: .

Sur le plan géographique, le système n'a qu'une planète qui n'a qu'une lune, mais cette lune, Marachi, est habité. C'est un roc doté d'un atmosphère constitué essentielement d'oxigène, ce qui permi de produire de l'eau et d'y vivre.

La planète, quand à elle est doté de deux continents, mais vous aurez leur description générale dans le chapitre 6.

Ceci ne fait pas partis du récit. Modifié par Silverlord
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Chapitre 4 : Surprise

Zog courait. Il pleurait même. Il courait et pleurait devant de simples humains malgré ses deux mètres cinquante et son vieux "dakkakiff". Il avait gagné cette arme en gagnant un défit pour la protéger des ses compères. C'était la dernière fois qu'il s'était comporté en ork. La dernière fois qu'il avait été un ork. Ces pensée lui faisaient encore plus peur que les trois gardes qui le poursuivaient.
Mais elle ne pleurait pas. Elle... Comment avait-il découvert que c'était une femelle déjà ? Ah oui, deux jour après l'avoir trouvé dans la ville que les humains appelaient New Boston, alors qu'il rentrait au campement,, ce minuscule truc dans ses mains, il allait le bouffer devant les autres quand un médico fou lui avait pris des mains sous prétexte de s'en servir pour étudier l'anatomie humaine afin de découvrir des points faibles.
Zog mécontent l'avait suivit jusqu'à son atelier, puis lorsque le médico lui enleva le tissus dans lequel elle était enroulée, il s'écria :
" - Mince ! C'est pas un homme ton truc Grim ! Il a rien entre les jambes ! c'est une femelle ! j'peux pas y toucher ! Y parait que ça porte malheur ! À ta place j’irai vite la balancer à la flotte ! Et t'avise pas d'y bouffer ! Ça pourrait te tuer !"
Zog avait alors couru jusqu'à la rivière, à l'autre bout du camp pour y jeter le bébé humain, mais alors qu'il le tenait à bout de bras au dessus de l'eau, quelque chose retint le nob à jeter sa prise de guerre à l'eau. Elle le fixa de ses grands yeux bleus puis lui sourit en disant de sa petite voix aiguë
"-Whaaagh
-Non c'est pas comme ça qu'on dit, la corrigea Zog, on dit WHAAAAAAAAAGH !!!!!"
Malgré la puissance du cri qui aurait fait se boucher les oreilles à un artilleur de Leman Russ et qui fit se rassembler la bande entière autour du nob et du bébé, elle le pleura pas, au contraire, elle ria au éclats et essaya de crier à son tour. Zog se retourna vers ses camarades puis beugla :
"-Vous l'avez entendu ? Tous avec moi ! WHAAAAAAAGH !!!
un silence de mort régna sur la place, personne ne suivit le cris du grand nob. Gnubutz, le big boss de la bande s'avança vers Zog,
-Alors Grim ? T'as perdu la tête ou quoi ? Qu'es t'attends pour la balancer dans l'eau ?
-Bah, elle a crié Whaagh, c'est le premier zome que j'entends dire ça alors pourquoi la jeter, s'astrouve elle peut devnir comme nous.
-Non ! Un homme c'est un homme ! Balance la avant qu'elle nous fasse arriver un malheur !
-Non, j'la balancerai pas ! c'est moi qui l'aie trouvé, c'est moi qui décide c'que j'en fait !
-Ferme la face de squig ! C'est pas pasqu'c'est toi le plus fort de la bande après moi que t'as le droit de la ramener ! Compris sale grot ? C'est moi l'boss alors c'est moi qui décide ! Allez ! Aboule la zome et barre toi !
-Non ! j'te la donnerais pas ! "
Gnubutz s'avança lentement vers lui, le surplomba de toute sa taille puis hurla à toute la bande :
"-Voilà c'que j'propose, on s'bat tous les deux ici et maintenant à main nue ! Le premier qui a plus de dents à perdu. Si tu gagne, tu me donne toutes tes dents en dédommagement et tu reste avec ton bébé zome.
Gnubutz arbora son plus terrible sourire.
-Et si je perds ? demanda Zog méfiant
-Si Grim perds, il se barre de là tout de suite sans rien faire d'autre et portera le nom de Zog. Nous n'allons pas donner à un faible un nom aussi glorieux que Grim !"
Les orks hurlèrent leur accord.
Depuis, les dents de Zog avaient largement repoussé, il avait même une dentition qui aurait fait rougir de jalousie le plus riche bad moon de la galaxie. Quinze ans...
Après son humiliation il avait quitté la planète, que les humains appelaient Terranova grâce à l'aide d'un mécano appelé Clonk (en raison du bruit que faisaient les véhicules qu'il construisait avant d'exploser ), sa navette, en dépit de son inconfort lui avait permis de se rendre sur Shingelheich, une planète impériale réputée pour ses soldats redoutables, donc appréciés au combat par les orks. Les orks et la fillette furent capturés par les autorités lorsque la navette atterrit. Les orks devaient être exécutes et la fillette examiné par l'inquisition. Le simple fait de savoir que des spaces marines allaient la prendre dans leurs sales mains fit naître tant de rage en lui qu'il tua ses bourreaux, libéra sa fillette des inquisiteurs et s'enfuit à bord d'un thunderhawk. Il devint dés lors l'ork le plus recherché de l'Ultima Segmentum. Il se cacha quatre ans dans la jungle équatoriale de la planète, vivant de la chasse avant de se faire retrouver par des scouts Ultramarines en entraînement en milieu équatorial. Il leur échappa de peut avant de quitter la planète caché dans la cale d'un vaisseau commercial. Alice fêta ses six ans à bord du navire. Il avait eut du mal à lui trouver un nom humain, il s'était creusé la mémoire avant de retrouver le seul prénom féminin qu'il connaissait.
Le vaisseau l'avait mené sur Ichar IV ou la troisième compagnie des Ultramarines stationnait, il fut repéré à peine sortit du spatio port et ne dut sa vie qu'à une bande du kult eud'la vitesse qui l’emmenèrent au grand rassemblement ork de la planète, rassemblement en vue d'en départ pour se joindre à la Whaaagh ! Zanzag. Mais les Ultramarines en eurent vent et attaquèrent. Lorsque le capitaine de la compagnie, Fabian, reconnu l'ork il l’affronta en duel. Si Zog était un redoutable combattant, le marine le surpassait de loin et il fut contraint de fuir.
Alice fêta ses sept ans sur Blackreach, Zog avait réussit à se rendre sur la planète en se cacha à bord du vaisseau ork construit lors du rassemblement, si certains orks se fichaient de la jeune humaine que Zog emmenait avec lui, le boss de la planète l'interdit d'embarquer dans le vaisseau. Sur Blackreach, Zog fut exclut immédiatement par Zanzag et se contraignit à se cacher dans les forêts de la planète.
Il consacra alors sa vie à Alice, il lui appris tout ce qu'un ork doit savoir.
Il avait vécu ses cinq meilleurs années de sa vie, lorsqu'il apprenait ce qu'il savait à Alice, elle buvait ses paroles, et alors que lui fatiguait elle en demandait plus.
Jusqu'à un jour, un soir après un entraînement d'escrime, Alice avait alors douze ans, bien qu'elle n'avait pas un dixième de sa force, elle était plus rapide, plus agile, plus précise et c'était bien souvent lui qui finissait le bâton appuyé sur la gorge. Alice avait bien grandit, contrairement à lui, elle dépassait alors la moitié de sa taille soit à peut près un mètre cinquante. Ses longs cheveux blonds lui tombaient au dessous des épaules, il avait pris soin de lui les couper lorsqu'ils dépassaient sa taille. Ses iris étaient d'un bleu profond, ses traits fins et gracieux, si différents des siens qu'il commençait à redouter qu'elle se rende compte que Zog n'était pas de son peuple. Sa poitrine s'était bombée, sa taille s'était affinée, ses hanches élargies, elle avait beaucoup changé.
"-Bien Alice ! Continue comme ça et j' pourrais bientôt taper sans me retenir, tu fera un bon ork !
-Zog... Je... Je ne sais pas par où commencer... Tu sais, je... Je ne serais pas un ork.
-Hein ? Alice... Pourquoi tu dis ça ?
-Ça ne change rien au fait fait que je t'aime Zog, tu sera toujours mon ami, mais regarde, elle mit son bras contre le sien, nous n'avons pas la même couleur de peau
-C'est normal ! Il y a des orks verts, des orks jaune, des orks noirs, des orks beige...
-S'il te plait Zog... Je me souvient bien quand j'avais sept ans lors du rassemblement, j'avais vu des milliers d'orks, et aucuns n'étaient beige, aucun n'était aussi petits que moi, aucun avaient, comme moi, la poitrine comme ça, aucun n'avait la taille fine comme moi. Et puis regarde nos visages comme ils sont différents... Tu as des longues dents, moi des petites, j'ai des cheveux, des sourcils, des oreilles rondes... Dis moi d'où je viens s'il te plaît...
-Mais tu es un ork ! Un peut spécial c'est tout !
-Zog... S'il te plaît...
-Tu restera quand même avec moi hein ? Tu restera avec moi si je te le dit, promis ?
-Promis !
-D'accord ! Alors je vais te raconter ton histoire..."

Trois ans plus tard, Zog et Alice étaient découverts par les scouts du sergent Telion.

Il courait et portait Alice dans ses bras. Les scout gagnaient du terrain, il connaissait la puissance leurs armes, si ils tiraient, ils étaient morts. La voix d'Alice vint alors le conforter
"-Zog, tu es un ork, tu es plus fort qu'eux.
-Peut-être mais tu sais ce que font leurs armes ? J'ai vu des orks se faire réduire en purée par ses armes, alors imagine l'effet sur toi...
-Allez sale squig ! Réveille-toi ! Tu sais encore te battre quand même non ?
-Oui.
-Tu va pas te laisser battre par des marines, toi le grand grim !
-Ouai ! Allez ma p'tite on va les calmer !"
Zog se cacha d'un bond derrière un arbre, il pris le temps de poser délicatement Alice au sol. Il lui dit de rester cachée puis sortit de derrière l'arbre. Dakkakiff pointé sur les scouts. Les deux snipers de l'escouade stoppèrent leur course et sautèrent à couvert sous de grosses racines qui rampaient partout au sol. Les deux bolters firent de même à la suite de leurs ainés, mais le cinquième, certainement le plus jeune s'arrêta sur place, en plein milieu de la clairière. Zog eut un petit rire grave. Il pressa la détente puis fit de son mieux pour toucher le scout. Il vida son chargeur mais ne réussit qu'à lui arracher un bras. Il grogna puis envoya d'un geste l'arme sur le scout. Le scout l'évita, et Zog profita de son inatention momentanée pour lui foncer mains nues. Il vit deux laser rouges balayer la forêt puis entendit deux détonations ponctuées par un sifflement et une piqure à son bras droit. Il vit les deux scout au bolter sortir de couvert. Le cinquième scout n'eut pas le temps de réagir que Zog le prenait en otage. Il se servit de lui pour se protéger de la nuée de bolts qui lui fonçait dessus. Le scout coincé dans l'étreinte imperturbable du nob fut
frappé de plein fouet il en manqua de peu pour que certains bolts ne transpercent pas le scout entier. Alors que les bolter se rendaient compte de la situation avec horreur, Zog lâcha le corps inerte du jeune scout, ramassa en hâte son bolter et se jeta à plat ventre dans les racines.
L'un des scout tira une nouvelle rafale en direction de l’abri de Zog, mais l'autre le rappela à l’ordre :
"-Cesse le feu frère ! Ne gaspille pas tes munitions, c'est l'une des règles fondamentale de la reconnaissance. Tu auras tout loisir de faire des tirs de supressions lorsque tu entrera dans les escouades Devastator.
-Oui frère Telion.
Telion reprit,
-Sors de ta cachette vil ork ! Et libère la jeune femme !
-Tu cause bien p'tite tête ! Mais j'vais t'dire un truc, si tu ne touche ne serait-ce qu'à un cheveux de ma p'tite Alice, je t’arracherais les tiens un par un et je te foutrait des baffes jusqu'à ce que tu lui demande pardon."
Il y eut alors une détonation sourde, un râle, puis une nouvelle détonation et un nouveau râle.

Telion se retourna d'un bond. Quand il vit la raison de ces bruits, il tressaillit, Alice se tenait sur une racine en surplomb, un sniper de scout dans les bras. L'arme était si démesurée par rapport à la jeune fille que s'en était ridicule qu'elle puisse le porter. Mais Telion n'était pas surpris, les snipers scout étaient les meilleurs de l'imperium, faits dans des matériaux d'une légèreté incroyable. La brise faisait flotter doucement ses cheveux ainsi que la longue écharpe qu'elle portait. On aurait dit une apparition. Mais Telion ne se laissait pas abuser, il visa doucement la fille puis ordonna d'une voix forte : "Jetez votre arme ! Ou je vous abat !"
Zog se jeta alors sur lui, mais comme s'il avait prévu, il se retourna à la vitesse de l'éclair son couteau à la main, il dévia le coup de poing de l'ork avec son bolter puis lui enfonça la lame entièrement dans le ventre. Il lui prit ensuite les bras, lâchant sa dague et son bolter pour le retourner face à Alice et se protéger derrière lui.
Alice ne put que regarder impuissante la scène, elle avait tiré une balle sur Telion pendant qu'il plantait son couteau dans l'ork, la balle transperça entièrement l'ork en plein cœur avant de s'arrêter sur la cuirasse du sergent scout, n'ayant plus assez de puissance pour la pénétrer.
Enragée, elle tira dans le bolter du scout, dans le sol puis alors qu'il se jetait à couvert, dans sa tête.
La balle fit littéralement exploser le crâne du grand sergent Telion, le scout le plus réputé de la galaxie. Ce qu'elle venait de faire était un véritable exploit, mais elle l'ignorait, pour elle elle venait de tuer un homme qui l'avait fait tuer sa raison de vivre, la seule personne qu'elle connaissait et qu'elle appréciait. Sans lui elle était perdue.
Elle se laissa tomber de la racine en pleurant, son cœur déchiré, les muscles paralysés.






J'attends vos commentaires avec impatience, ça m'aiderai beaucoup.
J'ai d'ailleurs une question, est-ce trop bourrin ?
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Chapitre cinq : La première bataille

"Les valkyries attendent vos ordres commandant."
Morgan réfléchit, il savait que les valkyries ne faisaient pas le poids contre les redoutables chasseurs des habitants de cette planète, mais leur sacrifice pourrait permettre aux unités au sol de gagner du temps et d'éviter ainsi les foudres des pilotes adverses. Satanés terranoviens ! Une semaine après le début des manœuvres, ils n’employaient que ces saletés de chasseurs, ils n'avaient réussit à en abattre qu'un sur les dizaines qui les avaient attaqués. L' aéronautique semblait être le point fort des habitants de cette planète, il en avait vu plus de modèles en une semaine que dans toute sa vie de militaire impérial, de toutes les tailles, petits comme des voitures ou grands comme des grattes-ciel, à voilure inversée, à aile delta, à empennage canard, de biplan à quintuplant, mais tous partageaient les mêmes points communs, ils étaient rapides, précis, extrêmement résistants et terriblement destructeurs. Les cocardes de ces appareils l'avaient particulièrement intrigué, des fleurs de lys bleu-blanc-rouge, des lion rouge et bleu, des étoiles blanches sous lesquelles était marqué USTAF, des bandes rouges et vertes marquée Mexico, des globes bleus que traversait une bande blanche marquée Brasilia, des dragons rouges portant cinq étoile dont une plus grosse que les autres, des étoiles rouges contenant une faucille et un marteau jaune. Ses technaugures spécialisés en histoire lui avaient certifié que certaines de ces cocardes correspondaient aux cocarde utilisées par d’anciens pays de la Terre comme la Francie, l'Angleterre, le Mexique ou le Brésil.
Quoi qu'il en était, cette campagne le révoltait, il avait déjà perdu trente-six valkyries, treize leman russ et plus de deux cents soldats. Que des chasseurs ! À croire qu'ils n'avaient pas troupes au sol !
Un lieutenant l’interpella alors :
"Commandant ! Troupes au sol aperçues ! "


Boris observait le mouvement d'une escouade venue des croiseurs en orbite, neuf hommes et une femmes, habillés en treillis, portant un casque, un gros sac à dos et un rudimentaire fusil laser. Leur sergent, un grand homme portant un simple pistolet et une énorme tronçonneuse donnait les ordres à son escouade, mais Boris ne put rien comprendre à cause du bruit infernal de leurs semelles ferrés sur les cailloux du chemin. La vue de ces soldat le surprenait, on aurais dit un anachronisme, car ces hommes croulant sous le poids de leur paquetages, de leurs armes, suant à grosses goutte sous le soleil, trottinant vers leur objectif étaient si différents des soldats terranoviens, évoluant seuls et silencieusement dans leurs armures de carbone allégé climatisées. Pour aller vers un objectif, il suffisait qu'un soldat ait l'objectif en visuelle et il n'avait plus qu'à se téléporter, son armure faisant le reste.
Boris avait était déployé pour observer le mouvement de ces hommes avec l'ordre d'éliminer tous ce qui s’approchait à plus de cent mètres des habitations.
Il avais gardé pour lui sa rencontre dans la Toundra pour lui, on l'aurais pris pour un fou...
Il ne comprenait pas ce qui se passait, la semaine dernière et les démons dans la toundra et cette semaine ces hommes qui avaient atterris à cent trente kilomètres de Brasilia. Mais le Brésil ne disposant pas d'une armée conséquent fit appel à la comunauté de défense internationale, recevant l'aide immédiate de la France, de la nouvelle Angleterre, de la Chine, du nouveau Mexico, des UST et de l'UST.
L'escouade s'arrêta brusquement, le sergent gueula à ses soldats :
"Stop ! Regardez ! Des habitations ! Tom ! Dit à la base qu'on a repéré l'objectif ! "
"Dommage que ton voyage sur Terranova s'arrête ici." Pensa Boris en visant le sergent de son grappin. Son armure avait été amélioré pour l'évolution en milieux forestiers. Plus de répulseurs, mais un grappin à chaque bras, des griffes rétractables de sept centimètre dans chaque gantelet et chaussures. Il avait toujours son 44milimètre à plasma mais portait dans son dos un G111 équipé d'un silencieux, d'un lance grenade, d'une lunette multi-visuels et d'un laser. Mais il n'aimait pas tuer à l'arme à feu.
Du haut de son arbre, il tira son grappin qui se planta dans le casque du soldat, avant qu'il ne réagisse, Boris fit passer son grappin pardessus une branche puis sauta. La chute de Boris entraîna le sergent dans les airs, piégé par sa jugulaire. Lorsqu'il toucha le sol il fut accueillit par les quelques tirs envoyé par les deux seuls gardes qui comprirent ce qui se passait, son armure encaissa les tirs sans problèmes puis après avoir fait lâché le casque du garde qui se débattait trente mètres plus haut, il tira son second grappin dans un arbre vingt mètre derrière l'escouade. Il fit rembobiner ses deux grappins et se réceptionna sur l'arbre juste à temps pour voir le sergent s'écraser au sol dans une explosion de sang, de chair et d'os. L'escouade se dispersa immédiatement en hurlant malgré les conseils du radio. Boris lança son grappin libre dans la nuque d'un des soldats, le projectile s'y planta profondément, puis Boris rembobina pleine puissance son grappin, ce qui eut pour effet d’arracher littéralement la tête de la pauvre femme. Il se détacha de l'arbre et partit à la recherche d'une nouvelle victime parmi l'escouade en déroute. Il n'eut pas à chercher longtemps, l'un des hommes lui sauta dessus, un couteau de combat à la main. La lame décrivit un arc de cercle vers le casque du russe, mais celui-ci se baissa et l'arme ne fit que ricocher sur son épaule. Avant que le garde ne se rende compte qu'il avait raté son coup, Boris le prit à la gorge et au poignet puis sortit les griffes. Le garde lâcha immédiatement son couteau et après un instant de flottement durant lequel il semblait fixer son agresseur avec horreur, il donna un puissant coup de tête à Boris qui le lâcha, arrachant des lambeaux de chair sanguinolente. Le russe répondit au coup de tête par un violente gifle donnée de ses griffes qui ouvrit la joue du garde de l'articulation de la mâchoire aux lèvres. L'homme tomba par terre en gémissant, et s’accrocha par désespoir à l'une des jambes de Boris d'une mains, et le ruant de coup de l'autre. Boris jura, il sortit les griffes de son pied libre puis les enfonça à trois reprises dans le thorax du garde. L'effet fut radical et le garde abandonna toute sa combativité.
Boris regarda autour de lui, plus rien. Il entendait encore les hurlements des fuyards mais il ne les voyait pas. Il reçut une rafale sur le flan droit, tourna la tête, il envoya un grappin dans le visage du radio, les tirs cessèrent immédiatement, l'homme hurla. Boris rembobina son grappin en tournant sur lui même de façon à envoyer le corps du garde sur le côté.
Le corps s'écrasa sur un énorme humanoïde en armure bleue marine.
Boris tressaillit, il ne l'avait pas vu, il mesurait plus de deux mètres, portait une armure aux proportions inimaginables, mêmes les armures de combat rapproché britanniques n'étaient pas aussi massives mais elles étaient les seules à résister aux armes à plasma.
L'armure en question était bleue, était ornées de dizaines de décorations dorées en forme de crânes ou d'aigle bicéphale. Une grande cape rouge était fixée sur ses épaules. Son casque arborait une majestueuse crête de plumes qui allait de gauche à droite du casque. Il pointait une grosse épée le long de laquelle crépitait de nombreux arcs bleutés vers Boris. Il avait sur le dos une bannière montrant un aigle posé sur un oméga, le nom de son porteur était inscrit sous la lettre grecque, Sicarius.

"-Quel est ton nom ? lança le marine d'une voix puissante
-Mon nom est Boris Chenkov, du treizième régiment d'élite de l'UST. Et vous ? Qui êtes-vous ? d'où venez-vous ?
le marine baissa son arme et retira son casque, il souriait.
-Chenkov ? Ne seriez-vous pas le frère du célèbre commandant Chenkov de Valhalla ? Ce pauvre homme perdit son frère lors d'une embuscade spatiale dans ce secteur.
-Je ne connais pas ce Chenkov ! Et vous n'avez pas répondu à mes question !
-Parce que vous croyez que je vais vous répondre ? Voyez-vous j’étais partis en reconnaissance avec ma compagnie pour intercepter d’éventuelles troupes au sol afin d'éviter de trop lourdes pertes dans nos escouade. Ma mission était d'éliminer des rigolos de votre genre. Je suis arrivé trop tard pour sauver cette escouade, mais je suppose que vous êtes nombreux à nous attendre, cachés dans vos coins comme des lâches. De plus j'ai horreur que la justice ne soit pas rendue. Vous comprenez où je veux en venir ?
-Un rigolo lâche, vous dites ?! répondit Boris en sortant toutes ses griffes
-Oui, c'est bel et bien ce j'ai dit. Tout compte fait, j'ai envie de m'amuser, je répondrais à vos questions si vous parvenez à me désarmer.
-Entendu, souffla Boris."
Le russe appela silencieusement les autres membres de son escouades en activant sa balise de géo-localisation.
Sicarius allait foncer sur son adversaire quand neuf soldats se matérialisèrent face à lui, armes à plasma braquées sur lui. Ils stoppa immédiatement sa course et fit face à l'escouade.
Boris s'avança vers le marine.
"-Un geste, et vous êtes mort ! Haut les mains !"
Le Marine ne réagit pas. Boris répéta son ordre, plus fort, et le marine obéit, il laissa tomber ses armes.
"Dimitri, appelle la base, nous avons un otage."
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Toujours un poil bourrin tes personnages. Mais l'histoire est passionnante et se suite facilement.
Et mention spécial à l'Ork qui dit, à propos d'Alice "t'avises pas de la bouffer, ça pourrait te tuer" :lol:
Niveau orthographe, de grosses améliorations. Cependant, tu as toujours tes problèmes d'accord. Et aussi, tu remplaces systématiquement le mot "peu" par "peut".
Voilà, rien d'autre à dire. La suite !
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:lol: J'ai bien aimé écrire le chapitre avec Zog et Alice, au passage le chapitre ou ils apparaissent se passe bien sur Blackreach.

Si mon histoire te plait, ça ma fait plaisir, mais j'ésoère qu'elle plait aussi au autres.

Le prochain chapitre se passera entièrement côté impérial et côté spatial. Et celui d'après parlera d'Elisabeth(voir intro) et il ne nous restera plus qu'un personnage important à voir, mais il arrivera plus tard.
Mais là pour la suite vous allez attendre un peu, le chapitre 6 est encore à l'usine et les autres ne sont que des plans :rolleyes:
Vous aurez le 6 dans la semaine mais après vous n'aurez rien pour 3 semaines (Vacances !!! ) mais je reviendrais avec au moins deux chapitres dispos.
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Salut à toi !

Je viens de finir ton récit, et je le trouve excellent !

J'aurais un conseil, tâche de relire tes textes avant de les poster, j'ai trouvé quelques erreurs d'innatention que tu aurais pu éviter, comme :
[quote]Il avais gardé pour lui sa rencontre dans la Toundra pour lui[/quote]

Sinon, il y a une ou deux formulation qui m'ont paru assez étranges :
[quote]mêmes les armures de combat rapproché britanniques n'étaient pas aussi massives mais elles étaient les seules à résister aux armes à plasma.[/quote]
J'aurais plutôt mis un truc du genre "et pourtant", à la place du "mais". Il n'y a pas pas vraiment d'opposition avec le début de la phrase.

Le premier combat, contre les démons m'a paru assez brouillon, par moments, on ne savait plus trop qui tapait qui. Dans ce genre de situation essaie de paraphraser pour qu'on aie des points de repères : Boris, le soldat, le russe, l'homme, et en face M'Kar, le démon, l'engeance du chaos, la créature, etc. Par exemple :
[quote]mais Boris tira son grappin qui alla se planter dans son œil[/quote] serait plus clair avec quelque chose du genre [quote]mais Boris tira son grappin qui alla se planter dans l'œil jaunâtre du monstre[/quote]

En espérant que ça puisse t'aider !
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Merci je vais éditer :)

Sinon désolé je suis pas sur de terminer le chapitre 6 avant demain (je pars demain) donc si je ne le poste pas aujourd'hui vous l'aurez dans 3 semaines :/
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  • 2 semaines après...
Bonjour,

Récit sympa, et qui change agréablement.

Quelques commentaires :

1°L'écart entre la colonie et les impériaux est pas mal vu, mais l'aspect technologique quotidien pas assez marqué à mon goût

2°Je suis assez dubitatif sur le comportement des spaces marines. D'une part dès qu'il y a humains, organisés de surcroit, avec une technologie en avance par rapport à eux, ils auraient essayés d'entrer en contact et de s'en faire des alliés (surtout que les taus sont des ennemis communs). En cas de refus il y aurait certainement eu une phase d'intimidation avant un assaut planétaire. Le premier objectif aurait été la neutralisation des moyens de communication (destruction ou piratage des satellites par ex).

3°L'écart technologique ne me semble pas réaliste. L'aeronotica imperialis dispose de chasseurs lourds dits de supériorité aérienne, qui sont de véritables coffre fort volant et puissamment armés. Ils sont rapides et meurtriers. Et ce ne sont pas des chasseurs dérivés de nos modèles actuels (construits non pas avec de l'adamentium, mais des matériaux composites) qui pourraient leur contester cette suprématie. L'une des différence majeure réside dans la miniaturisation et l'emploi massif d'ordinateur et de robots androides.
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  • 2 semaines après...
Merci !
Bon donc je te réponds Jehan ^^:
1°: Je suis d'accord avec toi quand au comportement des spaces marines, cependant à côté des Ultramarines il y a 3millions de gardes ménés par le commandant Chenkov qui eux, ne se comportent pas pareils. Le but de la mission n'étant autre que de prendre le contrôle de Terranova avant le chaos ne s'y aventure, une aproche lente et progressive mets en péril l'objectif de la mission.

2°: Quand à la technologie, certes les rafales étaient obsolètes, mais pour les autres appareils c'est très différents.
Ensuite je suis d'accord pour l'étalage de technologie quotidienne mais nous n'avons pour l'instant pas suivit de personnage plus de quelques heures... Sinon l'armure de combat de Boris représente bien l'écart entre les deux peuples, gilet par balle fusil laser laser et radio de 50 kilos d'un côté et armure de microtubes de carbonne, capables de régler la températures, bardés de capteurs pour la visée, équipés d'ordinateurs quantiques (cherchez sur wikipédia) avec des dizaines d'équipement suplémentaires allant du grappin au répulseurs EM en passant par les griffes rétractables.

Quand au fluff, si je prends pour l'instant pas mal de libertées, vous verrez que la moitier du récit se déroulera dans l'Imperium, de Maccrage à Terra en passant par Armaggedon ou même Mars. Mais durant cette seconde partie, si je respecterais le fluff, je ferais évoluer l'histoire de W40k pour l'histoire, au déplaisirs de certains et au pllaisir d'autres :D
Vous aurez deux chapitres dans la soirée.
Et un troisème demain peut-être qui se déroulera sur Marachi, la lune de Terranova. Modifié par Silverlord
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Et hop ! un petit 6 ème chapitre

chapitre 6 : Imperator

Le Gigas Aurea se positionna en orbite autour de Terranova, depuis le pont de contrôle, le commandant Giraud, capitaine du croiseur, observait la planète, ses deux continents qui se faisaient face, comme deux géants se toisant. Les deux géants avaient les cheveux et les pieds blancs, mais l'un avait le ventre jaune, l'autre marron et blanc. tout deux avaient le corps vert, où quelques taches grises contrastaient les couleurs naturelles de la planète. les couleurs étaient magnifiques, de gros nuages blancs, le bleu foncé des océans, bleu lagon entre les deux continents. Il se perdait dans la beauté de cette planète, plus belle encore que Talassar où Catachan vu de l'espace. Il avait voyagé partout dans la galaxie, il avait vu des centaines de mondes, mais celui-ci surpassait tout les autres. Le regard vague, les pensées surfant entre son vécu et ses fantasmes, le commandant reçut comme un choc lorsque la barge Ultramarine Octavius se plaça devant son croiseur, cachant entièrement la planète de son champs de vision. Il aurait pu l'écraser en un mot, lui, chef de la flotte tempestus de Bakka, capitaine du Gigas Aurea, le croiseur ayant remplacé le légendaire Dominus Astra après son sacrifice dans la bataille pour Macrage, à la tête de la flotte. Et c'était vrai, en face du gigantesque croiseur de classe empereur, la barge Ultramarine était ridicule. Lors de son inauguration, le légat de l'adeptus mechanicus responsable de sa construction avait affirmé que ce croiseur était le plus important bâtiment spatial impérial en taille comme en puissance après le Roc des Dark Angels.
La sœur Kathleen entra dans la salle de contrôle, le visage grave :
"-Capitaine, nous sommes demandés par Lord Calgar. La situation est grave selon lui. Il nous attend dans la salle de conférence de l'Octavius dans dix minutes.
-Entendu sœur Kathleen, j'y serais." Répondit le commandant, rougeoyant de colère.
La sœur se retourna immédiatement et sortit de la salle, silencieusement. Marcus exlosa alors et hurla à l'adresse d'un pauvre serviteur lobotomisé "Pour qui se prend-t-il ce Calgar ! Je pourrais l'écraser comme un insecte lui et son chapitre ! Sauf que je le ferait seul, à l'aide d'un seul bâtiment ! Deplus la salle de confèrence du Gigas Aurea est bien plus confortable et digne que la sale pièce sombre, d'adamantium incolore de cet Octavius !"
Il demanda sa navette personnelle et sortit du poste de commandement en trombe et fonça vers sa baie de lancement personnelle.
Lorsqu'il arriva, sa navette était prête, il grimpa, s'assit devant un hublot et ordonna au pilote de le déposer sur l'Octavius. La navette décolla, franchit le champs anti-vide puis s'élança vers la barge ultramarine. Bien que par sa taille elle semblait être proche, elle se trouvait à plus de cinq kilomètres du croiseur. Alors que la barge grossissait, la forme étouffante du croiseur conservait sa taille. Et il y avait de quoi, plus de huit mille mètres de long pour au maximum trois mille de haut et mille cinq-cent de large. Comment Calgar osait-il l'inviter à bard de cette barge d'un bleu délavé et sale, alors qu'il avait en face de lui un croiseur couleur or, bien plus moderne et confortable ?
La navette se posa dans une baie d’atterrissage quelconque, pas de baie privilégiée, une baie miteuse et salle d'un bleu aussi terne que le reste de la barge. Marcus sortit de son transport et fut accueillit par une escouade de marines en armes qui l'intimèrent de les suivre. Le commandant les suivit jusqu'à une salle sombre, éclairée que d'un seul globe lumineux. C'était un petit amphithéâtre que présidait, évidement, Calgar. Les huit capitaines de compagnies disponibles étaient présents, Le commandant Chenkov, chef du groupe de combat était là, il y avait aussi Tigurius le maître archiviste du chapitre ainsi que Kathleen. La sœur de bataille illuminait seule la salle de sa beauté. Jamais il n'avait vu si belle femme, malgré son œil droit bionique et sa grosse balafre sur sa joue droite, elle était magnifique, ses cheveux noirs soyeux, son œil bleu azur, sa peau parfaite et sa fleur de lys tatouée sur sa joue gauche. Sa belle voie envoûtante... Dommage qu'elle soit sœur de bataille...
Calgar l'invita à prendre place face à lui.
Ce dernier pris alors la parole en se levant :
"-Je vous ait réuni ici dans le but...
-La salle de conférence du Gigas Aurea aurait-été bien plus adaptée à cette réunion. le coupa Marcus
-Je n'en doute pas, répondit sèchement le marine, comme je le disait, je vous ait réunis dans le but de trouver des solutions au problème qui se pose. En effet nous avons probablement gravement sous-estimé les forces de ce monde. Nous avons perdu notre troisième compagnie au complet sous des frappes aériennes. Messire Sicarius a été capturé hier par des troupes au sol qui ont, auparavant massacré le corps de la garde impériale envoyée sur place. Mais les trois survivants de la troisième compagnie ont réussit à capturer un autochtone."
Deux terminators entrèrent alors dans la pièce, encadrant un jeune homme.
"-Ce jeune homme homme a été capturé afin de nous apporter des informations supplémentaires sur les forces et les équipements des habitants de ce monde. Il parle un vieux français, mais vous devriez comprendre. Alors jeune homme, parlez, quelles sont les forces employés au sol ? Leurs équipement, effectifs ? Allons, parlez !
-Je ne parlerais pas ! Pour qui vous prenez vous ? Vous serez écrasés par nos forces alors à quoi bon vous parler et être traité en traître par mon peuple alors que je peux éviter cela ?
-Dans ce cas tu nous fait perdre notre temps or j'ai horreur de perdre mon temps, lança Chenkov, Soldat abattez cet homme !
un homme en armure verte se leva, il pointa sur Kubrik une arme laser fumante
-SUFFIT ! hurla Calgar, il parlera ! Apothicaire ! Apportez le sérum de vérité !
Je suis le chef de ce corps d'armée et c'est a moi qu'incombe la tâche de donner les ordres !
-Et de quel droit ?! reprit Chenkov, vous et vous 1000 non, pardon, 900 marines, mes 3 millions de soldats, mes 25 000 blindé et mes 1200 troupes de choc ne feraient qu'une bouchée de votre pitoyable chapitre !
-Certes, reprit Calgar toujours plus fort, mais sans flotte vous n'êtes rien, je possède la flotte et l'armée, vous n'avez que l'armée ! Et...
-J'ai la flotte ! coupa Giraud, le Gigas Aurea seul atomiserait votre flotte !
-Une escouade de Terminator en mettrait fin !
Sœur Kathleen se leva prestement et gracieusement puis claqua du doigt,
-Domage, my lord, que mes sœurs et moi même avons établit notre QG dans le Gigas Aurea... Vos terminators, si obéissants soit-ils n'oseraient pas s'en prendre aux filles de l'Empereur.
Elle eut un éclat de rire,
Arrêtez vos gamineries voyons ! Lord Calgar est le chef du groupe d'armée, à quoi bon vous disputer, je vais m’occuper personnellement de ce jeune homme, pour le faire parler il faut le mettre en confiance. Ce n'est pas en l'entourant de terminator ou en le menaçant avec des kasrkins qu'il parlera, continua t' elle dans la langue impériale officielle afin d'empêcher au garçon de comprendre.
sur ce, je vous laisse. Tachez de trouver un terrain d'entente quand à la suite des opérations.
Elle adressa un sourire éblouissant à son auditoire puis, après un bref ordre adressé à ses sœurs, elle descendit vers Kubrik, lui adressa son plus charmant sourire en l'invitant à le suivre.

Kubrik était désormais seul avec la jeune femme qui lui avait apparemment sauvé la vie lors de la conférence. Il ressassait en permanence ce qui c'était passé lors des 48 dernières heures. L'assaut depuis l'espace, sa tentative de défense puis sa capture et son envoie dans l'espace. Il était perdu dans ses pensées, il ne comprenais plus rien. Il pleurait encore ses problèmes personnels qu'on l'avais arraché à même de sa planète et maintenant on lui demandait de trahir son peuple. Il n'avais plus qu'une envie, pleurer, hurler, frapper, tuer tous ces êtres en armures qui l'entouraient.
La guerrière l'avais mené dans une salle de lancement de vaisseaux, il connaissait déjà cette technologie de champs de force. La France possédait de nombreux ports sous marins employant ce genre de technologie pour empêcher l'eau de noyer le port. Quoique l'ouverture sur l'espace rendait la vue vertigineuse.
La femme l'invita à bord de l'appareil posé dans la baie. Il ressemblait aux capsule de transport que Marachi et Terranova échangeaient pour transporter des hommes ainsi que du matériel. C'était une grosse forme ovale au sol plat, l'arrière était ouvert par trois tuyère dont celle du milieu assurais la principale propulsion de l'engin vu sa taille, le poste de pilotage conservait parfaitement la forme ovale de l'appareil, il devait mesurer une quinzaine de mètres de long pour cinq de large au maximum de l'élargissement de l’ovale.
Il précéda la femme et fut surpris de trouver un intérieur assez confortable (qui aurais correspondu à une première classe pour les voyages Terranova-Marachi). Il fut prié de prendre place là où il le désirais, et choisis un gros siège en cuir à coté d'un hublot.
La femme soldat s'assit face à lui et lui demanda :
-Quel est ton nom, jeune homme ?
-Mon nom ? Je m'appelle Kubrik.
-Moi, je m'appelle Kathleen. Tu porte un nom noble tu sais, l'homme qui a voulu te faire exécuter porte le même nom.
-Qu'y a-t-il de noble à exécuter un homme ?
-Rien, je suis d'accord avec toi.
La voie claire, presque sensuelle et le regard insistant bleu glace de la jeune femme perturbait Chenkov, elle lui semblait trop sympathique a son goût pour être sincère. Elle continua :
-Es tu déjà allé dans l'espace ?
-Non, répondit-il sur ses gardes
-Alors prépare toi à passer ton baptême spatiale, lui répondit-elle avec un sourire. Elle s'adressa alors au pilote que Kubrik n'avait jusqu'alors pas remarqué, à mes appartement, pilote, et vite !
Son ton autoritaire était impressionnant, personne
n'aurais put lui refuser ce qu'elle demandait.
Lentement le vaisseau sortit de la baie puis accéléra en direction d'un autre vaisseau. Un vaisseau colossal, plus gros qu'une ville entière. De toute sa vie il n'avais jamais vu rien de tel à part peut être les plus gros bateaux de guerre américains qui passaient au large du continent bis, où se trouvait la France.
Ayant sûrement remarqué son émerveillement, la guerrière lui dit :
-c'est le plus gros bâtiment de tout notre empire, enfin, il en existe un autre plus grand et puissant encore mais il a était bâtit à partir d'une montagne, donc on ne peut pas dire qu'il compte.
Une foule de questions se bousculaient dans la tête de Kubrik, mais il refusait de les poser. Puis il lâcha :
- Combien de temps a pris sa construction ?
-Plus de cinq cent ans.
-Cinq cent ans ! Mais pourquoi a t-il cette couleur dorée ?
La jeune femme paru satisfaite.
-Je ne sais pas. Le légat responsable de sa construction en avait décidé ainsi voilà tout.
-Mais je... Enfin c'est...
-Tu peux me poser toutes les questions que tu le veux, je suis ton amie ici, pas ton ennemie. Crois le...
Le vaisseau atterrie dans une vaste baie colorée. Lorsque Kubrik vit la vingtaine de soldats semblable à celui qui avais faillit l'exécuter son pouls accéléra, mais une main ganté vint se poser sur son épaule :
-n'aie pas peur, ceux xi sont sous mes ordres, ils ne te feront aucun mal.
quand ils sortirent de la navette, les soldats se mirent au garde-à-vous, Kathleen ne les regarda même pas mais leur adressa un "Rompez" en passant par l'ouverture du sas.
Ils entrèrent alors dans un vaste appartement au moins aussi grand qu'une maison.
-Il est beau n'est ce pas ?
Kubrik ne répondit pas.
-Nous avons beaucoup de choses à nous dire, Kubrik.
Elle remua son armure qui grinça
-Je vais prendre une tenue plus confortable, dit elle avec un air espiègle puis elle désigna une porte du menton, je serais là, évite juste d'ouvrir la porte. En attendant fais comme chez toi.
Kathleen disparut derrière la lourde porte, laissant Kubrik perdu dans ses pensées.



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Et un 7 ème chpitre sur lequel je suis très sceptique... A vos claviers !

chapitre 7 :

Elisabeth l'entendait, elle entendait ses lourd pas, sa respiration. Elle entendit un grincement de bois caractéristique, il montait l'escalier !
Depuis qu'il était entré dans la maison, les sons avaient cessés. À part deux détonations, signant probablement la mort de sa mère et de sa grande sœur, le silence avait était des plus profond. Un nouveau grincement, celui ci signalait qu'il était en haut de l'escalier. Elle faillit hurler mais retint sa voie in extremis. Vite ! Elle devait trouver quelque chose, et vite !
Elle entendit la porte de la salle de bain voler en éclat. La prochaine serait ça chambre. Elle trouva. Elle se leva sur la pointe des pieds, fit son lit le plus vite t le plus discrètement possible puis se jeta sous son lit une seconde avant que sa porte ne vole en éclat.

Il, ou elle, peut-être ça. Elle ne savais pas ce qui était entré dans sa maison. A part les lourd pas qui faisaient trembler le sol au fur et à mesure qu'il se rapprochait et sa forte respiration, elle ne savais rien de lui. Lui parce que quoi qu'il, elle ou ça était, c'était un intrus. Elle faillit pleurer en pensant à l'absence de son père, mobilisé dans l'escadron syncro 7 pour combattre ces mystérieux envahisseurs au Brésil, mais elle s'empêcha une fois de plus in extremis en se mordant la langue.
Ses pas étaient lents et ils faisaient trembler tout l'étage, à tel point qu'à chaque fois que son pied touchait le sol, elle avait l'impression que son armoire s'écroulait. Elle vit alors ses pieds, deux bottes aux dimensions monstrueuses. Elle étaient apparemment faites d'acier. Sa respiration était si forte qu'elle crut une second qu'un aspirateur se mettait en route.
Elle l'entendit arracher brutalement la couette et les draps du lit. Elle retint sa respiration et ferma les yeux, comme si ignorer ce qui se passait le ferait disparaître. Mais l'heure n'était plus à savoir si elle rêvait ou pas. Elle s'était déjà pincée, mordue ou fait tout ce qui aurais pur prouver qu'elle rêvait. Mais elle ne rêvait pas.
Un poing rouge, or au niveau des jointures, transperça le lit et s'enfonça de plusieurs centimètres dans le sol. Il retira légèrement son bras, de la même couleur, de façon à libérer sa main du parquet. Il tâtonna quelques secondes le sol. Elisabeth n'en pouvait plus de retenir son souffle, ça devenait intenable.
Il retira son bras du lit aussi brutalement qu'il l'avait enfoncé puis sortit de la chambre plus rapidement qu'il y était entré. Elisabeth inspira l'air a plein poumon, elle n'y croyait pas ! Si il était fort, c'était un idiot. Elle remarqua qu'il avait arrêté de marcher.
Un rire démoniaque envahit la maison. Et les pas reprirent, vers son lit.
Lorsqu'elle revit les botte, un long grincement ce fit entendre et les rires cessèrent. Une main se posa sur le sol, proche des botte, puis un horrible visage apparut. On aurais dit un crâne, mais les yeux brillaient d'une lumière démoniaque, éclairant le rouge écarlate du visage.
Une voix horrible sortit du visage, sans que ses lèvres ne bougent :
"Je t'ai trouvé !"
Il se releva brusquement puis un bruit de moteur à explosion couvrit le rire fou du berserk. Une tronçonneuse d'au moins moins un mètre cinquante sectionna le lit en deux, à quelques centimètres de sa tête. Elle eut à peine le temps de se recroqueviller sous les pieds arrières du lit pour ne pas être écrasé que le lit fut de nouveau tailladé. Cette fois elle sortit de sa cachette, et se jeta au sol, évitant par chance un moulinet de l'épée tronçonneuse.
Elle réussit à se lever mais fut obligé de reculer sous les coups frénétiques du marine. Elle finit par sortir de sa chambre en courant et en hurlant toute sa peur. La peur, incompréhension, elle ne bougeait que par instinct. Ce fut par chance qu'elle choisit de se ruer dans les escaliers. Quelqu'un était en train de les monter, quelque chose de noir et de gigantesque, alors qu'elle allait lui foncer dessus, une main ferme et rassurant la ralentit puis l' étreignit, tandis qu'une voix de femme rugissait :
-Fuis hérétique, ou je te purifie jusqu'à ce que ton corps ne contienne plus une goutte de sang !
La voix résonna comme un coup de tonner malgré sa clarté et sa grâce.
-Jamais ! répondit l’hérétique, plutôt mourir !
-Pauvre fou. Conclut Kathleen."
Le bras qui serrait Elisabeth se tendit vers le berserk et un éclair bleu en jaillit et frappa l'hérétique. Celui ci fut pris de convulsion et alors qu'il échappait son épée tronçonneuse, une longue épée aux arcs d'énergie crépitants battit l'air gracieusement puis empala le berserk qui hurla de douleur. La sœur de bataille retira son épée du ventre du berserk puis le décapita d'un élégant revers de la lame.
La tête heurta le sol dans un bruit sourd, mais le corps de l'hérétique ne bougea pas et resta debout.
-Mais qui êtes vous ?! Demanda Elisabeth
-Je m'appelle Kathleen, je suis là pour t'aider. Et toi quel est ton nom ?
La voix de la géante était douce, autoritaire, on aurais put faire une liste infinie d’adjectifs pour qualifier sa voix.
-Je m'appelle Elisabeth. Où est ma mère ? Où est ma sœur ? Pourquoi venez vous m'aider ?
Dans le noir, Elisabeth ne voyait qu'un visage pâle flotter, éclairé par les arcs d'énergie crépitants de l'épée.
-Ta mère et ta sœurs sont... Le berserk les a tué.
Sa voix tomba comme la foudre. La décharge avait paralysée Elisabeth.
-Pourquoi ? Pourquoi ?! Dites moi seulement pourquoi ?! Hurla t' elle.
-Je suis désolé Elisabeth, mais je suis arrivé trop tard... Viens avec moi s'il te plait, je t'expliquerai tout c'est promis, mais là ou sommes tu es en danger. Si ses compagnons nous trouvent, dit-elle en montrant le cadavre du berserk, je ne pourrais pas te protéger. Allez, viens.
Elisabeth n'avais aucune envie de la suivre, mais le ton de la guerrière la forçait à obéir.
Une forte lumière accompagné d'un cliquetis infernal de chenille illumina la pièce en passant par la fenêtre puis perdu en intensité. La vue des deux cadavres sur le canapé, l'un sans tête l'autre poitrine explosée, la vie s'écrouler de pleurs. Kathleen ouvrit sa main gauche, la même qui avait lancé l'éclair, et une petite orbe sombre et lumineuse à la fois sortit de nul part dans sa paume. Curieusement, aucun son ne sortait de sa bouche, et aucun ne parvenait à ses oreilles.
Kathleen rangea son épée dans son fourreau et pris Elisabeth de sa main libre. Elle la tira jusqu'à la porte d'entrée par la main. Elle lança l'orbe dans les escalier et bouche les oreilles d'Elisabeth en les couvrant de ses grosses mains gantées.
Un sifflement retentit quand la petite orbe se brisa sur l'escalier.
En dehors de la maison, Elisabethe entendit des hommes hurler "Mort au faux empereur !"
Puis un géant en armure non plus rouge mais violette brisa une porte fenêtre et entra dans la maison en riant. Lorsqu'il vu Elisabeth et Kathleen son rire cessa immédiatement et il pointa son énorme fusil sur elles.
"Ceux ci, dit Kathleen à l’oreille d'Elisabeth, je peux m' en débarasser facilement !"
Kathleen éclata de rire puis, exploitant la surprise du renégat, il pointa ses deux bras vers le guerrier mais il ne se passa rien. Elisabeth frémit quand elle vit la mine déconfite de la sœur de battaille.
-Hahahahaha, fit le renégat, tu ne sais même pas te servir du warp, pauvre laquai de l'usurpateur, je vais te montrer !
Deux halos de feu partir de ces coudes puis montèrent vers ses mains, il lâcha son arme puis explosa de rire lorsque les halos formèrent deux boules de feu dans ses mains.
-Voilà ce qu'est la maîtrise du warp fille du faux empereur !
-Tu veux voir du feu, hérétique ? demanda Kathleen sur un ton amusé
deux halos apparurent au niveaux de ses coudes mais au lieu de monter vers les mains, ils s'étendirent jusqu'à ce que deux brasiers recouvrent entièrement les avants bras de la sœur de bataille. Trois nouveaux marine du chaos entrèrent et observèrent l'étrange scène qui se déroulait.
Le psyker lança ses boules de feu sur les deux femmes d'un air satisfait. Mais ses boules de feu s’éteignirent mystérieusement, soufflées par une puissante bourrasque qui fit même reculer les quatre renégats.
Kathleen se mit devant Elisabeth, face aux quatre hommes, elle écarta ses bras. Les brasiers s'étendirent jusqu'aux épaules, puis des arcs d'énergie se joinrent au ballet infernal des flammes. Comme un, seul homme, les renégats ouvrirent le feu, Elisabeth se jeta au sol en hurlant. Mais un mur invisible arrêtait les balles à un mètre de la sœur.
Puis celle ci tourna sur elle même et tendis le bras vers les renégats. Un flot de flamme et d'énergie traversa la pièce et fit fondre les armures des hérétiques jusqu'à ce que chacun ne soit plus qu'un petit tas de cendres noyé dans une petite flaque d'adamantium.
"Suis moi, vite ! "
Kathleen enfonça la porte d'un coup de pied puis s'élança dans le noir de la nuit, Elisabeth en pleurs sur ses talons. Modifié par Silverlord
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Vous n'avez aucun com à me faire ?
Même un petit truc ce serait sympa de me faire part de vos remarques sinon j'arrêterais.
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Alors, Silverlord...

En tant que "vétéran" de ces sections (Récits), je crois que je dois intervenir ici.
Personnellement, je lis beaucoup par vagues. Il m'arrive de ne rien lire pendant des semaines, et puis d'un coup de me faire plaisir avec une rangée de cinq ou six textes d'un coup. Ce qui peut expliquer que l'activité de la section soit cyclique, c'est qu'une prtie des membres réguliers de cette section suivent le même fonctionnement.
Ensuite, et là je parle pour moi uniquement, je lis très peu les récits situés dans l'univers de Warhammer 40.000, car je les trouve souvent moins inventifs - un paradoxe sur le Warhammer forum :D - que ceux se situant dans d'autres univers, plus originaux souvent. En fait, l'univers de 40.000 est très riche, et peut être décliné à travers bien des styles - une sombre suite inquisitoriale dans une ambiance gothique, les affres psychologiques d'un général qui envoie ses troupes mourir à la guerre, la découverte angoissante et effrayante d'une nouvelle planète -. Or je n'ai que rarement retrouvé de ces idées originales dans les récits 40K. Du coup, je ne les lis plus, en effet. Ça, c'était l'explication pour ma non-lecture personnelle.
Enfin, il faut que tu restes patient. C'est très important que le manque de lectures n'entame pas ta motivation personnelle. En effet, si ta seule motivation pour écrire est d'être lu, ça veut dire que tu écris pour les autres,pour être reconnu par eux, et non pas pour toi. Or c'est bien là le plus important. Si tu sens que ta motivation décline, alors lance-toi dans des récits de moindre envergure, dont tu sais que tu pourras les tenir sans source de motivation extérieure. C'est dur, je sais, et on n'y arrive pas facilement. Mais certains, comme Inxi-Huizi en F&H se sont spécialisés dans l'écriture de sagas ; et malgré les rares messages entre deux chapitres, il continue vaillamment son écriture !

Sur ce, j'engage tous ceux qui lisent ce message à lire le récit de Silverlord et à le commenter ! ^_^ Modifié par Celt
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Bonsoir,

Je viens de lire tes deux nouveaux chapitres. Mes réflexions initiales sur le background que tu utilise sont toujours d'actualité :

1°Personne de la garde ne se permettrait de parler à Marneus Calgar de cette manière, je te rappel qu'il est maitre de chapitre. A la limite qu'un haut seigneur de Terra se le permette, soit. Mais pas un "simple" militaire. C'est tout simplement inconcevable. Si c'est un loyaliste il sera en admiration, et ses "réserves" seront soient gardées pour lui, soit exprimées avec la plus grande déférence. Si c'est un renégat, voir un traitre, c'est plutôt une tentative d'assassinat qui serait envisable, et dans ce cas je gage qu'il resterait très discret et ne se ferait pas remarquer de la sorte.

2°Une compagnie complète anéantie par des aéronefs ??? Et en plus tu sites trois survivants, donc deux incohérences la première si la 3ème est anéantie il n'y a pas de survivant (il faudrait que trouves une meilleur formulation). Et la seconde les armures énergétique sont bien meilleurs que tu ne le pense, il faudrait que tu en revois les caractéristiques. Et je maintien, que dans cette situation, jamais les locaux n'auraient eu la moindre chance face à l'armada impérial (vu qu'ils ne possèdent pas d'astronefs d'après ce que tu nous dis).

3°Une soeur de bataille n'est pas une interrogatrice. Là j'aurai mieux vu une inquisitrice jouer un tel jeu, et en plus un petit groupe inquisitorial n'aurait pas été illogique, vu la situation (là tu peux trouver une raison de leur présence). En plus une soeur de bataille porte elle aussi une armure énergétique, et en principe elle ne grince pas (ou alors elle est très mal entretenue et je peux t'assurer que cela lui vaudrait un sacré blâme!!)

4°Une soeur de bataille psycher ???!! non et non !!! Sauf si c'est l'équivalent d'un archiviste (là pour le coup je ne connais plus leur organisation exacte.

5°Attention à de petites fautes, et tournures un peu trop floue.

En conclusion : Revoir le fluff des impériaux, reprendre sur Taran (pour le coup c'est le seul site qui dispose d'une bonne source pour la période du moyen-âge technologique) les comparatifs humains/spaces marines...
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Moi qui suis si à cheval sur le fluff d'habitude, me faire critiquer la dessus me fait bien rire ^^ Mais tu as raison, j'ai oublié deux trois détails...
Comme la dernière fois je vais te répondre point par point :

1°: Chenkov n'est pas un "simple militaire" lui non plus, c'est le commandant des forces de Valhalla mais c'est surtout un personnage impitoyable et orgueilleux.
Ce qu'il a dit lui retombera dessus (de même qu'à Giraud). Ensuite il faut savoir que je n'aime pas les Ultramarants mais je vais essayer de moins le faire apparaître... :/

2°: J'ai légerement éxagéré sur "l'anéantissement" de la 3ème compagnie, tois hommes ont survécu (le champion Giani, l'apothicaire qui a achevé Fabian, et un troisième marine, ce sont eux qui ont capturé Kubrik).
Quand à la résistance des armures NRJ, voir qu'une galette F8 PA3 d'un obusier abat une escouade à chaque tir, des torpilles à fusion lancées non pas depuis un char rutillant de la garde mais depuis un chasseur moderne d'une colonie avancée sur la technologie devraient avoir un effet similaire puissance 10...

3°: Sur Kathleen je ne dirais rien, ce personnage est en fait une des pièces maîtresse de l'histoire, oui son arme grince, oui c'est une psyker (oui oui ^^) mais elle a ses raisons et elle va vous surprendre.

Pour le reste dites vous qu'à chaque chapitre, où qu'il se passe quoi qu'il se passe, le guerre embrase de plus en plus Terranova et des moyens de plus en plus importants sont employés.


Vous aurez le chap 8 d'ici la fin de la semaine (il sera long).
Il se déroulera sur Marachi, la lune de Terranova et fera apparaître deux nouveau personnages, Pedro, un soldat et Vrael qui est très très spécial. Vous aurez peut-être du mal à comprendre le concèpt mais j'essayerai de l''expliquer au mieux. Modifié par Silverlord
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  • 2 semaines après...
J'ai mis ^plus longtemps que prévu... J'ai eut pas mal de boulo...
chapitre 8 :

"Debout mauviette ! Dépêche que j'ai pas a me répéter ! Sinon j'ordonne à ton diable de te bouffer ! "
Pedro se leva péniblement de sa couchette, même les officiers étaient traité comme des moins que rien ici. il s'étira, sous son lit, Vrael dormais encore dans son coussin. Il lui caressa doucement le dos puis se rendit dans la penderie, il y pris son uniforme, incluant un caleçon rembourré pour protéger une certaine partie du corps, un pantalon vert foncé, une chemise, une cotte de maille de kevlar, un lourd manteau vert foncé portant les médailles de son propriétaire, une casquette d'officier arborant un croissant de lune doré, emblème de la république indépendante de Marachi.
Une paire de chaussettes et de bottes achevaient l’ensemble.
Il alla dans sa salle de bain puis se dévêtit de son pyjama pour enfiler son uniforme. Il allait mettre sa casquette quand Vrael entra dans la salle de bain en baillant :
-Alors ça y est. La grande bataille commence.
-Oui Vrael, si nous perdons, Marachi sera perdu, et il ne sera pas la peine de compter sur les Terranoviens pour nous aider. Ce sera difficile, l'imperium est très fort.
-Combien sont-il ? demanda Vrael, en commençant à se lécher les pattes.
-neuf cent trente mille soldats, quatre mille blindé et pièces d'artillerie ainsi que deux mille aeronefs, en gros tout ce qui a survécu à la campagne, réuni ici, à Kenec...
-Et combien sommes nous ??
-Deux cent quatre vingt mille homme, neuf cent blindés et deux cent chasseurs. On a pour ordre de tenir le centre ville seuls, Vrael. Seuls avec notre bataillon et trente chars pendant que les 6 autres bataillons se cacherons en attendant que la garde nous fonce dessus, en admettant que l'Imperium use de sa tactique habituelle, on se retrouvera à 50 000 contre un million. Mais lorsque le reste des bataillions chargeront par l'arrière, nous aurons une chance de les vaincre, mais j'en doute... Ils sont 3 fois plus nombreux que nous.
-Ils ne sont que 2 fois plus nombreux, répliqua Vrael en se léchant le dos, tu oublies les deux cent quatre vingt mille diables de canahan qui se battrons. Tout n'est pas perdu Karethi, tu vaux plus de trois de ces satanés d’impériaux, quand à moi je suis un diablathil, ils ne m'auront pas.
-Je ne m'inquiète pas pour toi Vrael, tout de fois tu as beau être un diablathil, tu n'as que douze ans, tes pouvoirs ne te rentent pas invincible. Et tu risque de perdre ton karethi plus vite que tu ne l'imagine. Je suis peut être capable d’abattre plus de trois hommes, mais un seul tir peut me tuer.
Le diable souffla son désaccord puis après un bref silence, il demanda :
-Que ce passera-t-il si nous perdons ?
-Nous seront massacrés... Les civils sûrement asservis d'une façon ou d'une autre. Les survivant n'auront plus la force de se battre... Karachi n'a pas grand chose a offrir... Nous n’étions déjà qu'une pauvre république dans l'ombres des pays terranoviens. Notre armé est faible, nous aurions perdu contre le plus pauvre pays de terranova, alors imagine contre une armée qui inquiète Terranova entière...
-Les diables de canahan ne baisseront pas les bras ! Ni les khajiits d'ailleurs ! Tout n'est pas perdu Pedro !
-Normal, les diables peuvent se cacher n'importe où et se faire passer pour de simples félins sauvages ! Les khajiits sont plus forts, plus rapides, plus agiles, ont une vue infiniment meilleure, sont plus endurants, ne craignent ni le chaud ni le froid et ne sont jamais sans défenses grâce a leurs croc et leurs griffes. Mais pourquoi parler des khajiits, ces traîtres ont préféré suivre les ordres de leur empereur et se terrer dans leur forteresse plutôt que venir empêcher l'anéantissement des humains. Alors qu'alliés a nous ils auraient sauvé Karachi...
-Les khajiits sont imprévisibles, mais ils savent réfléchir, je ne peux pas croire qu'ils restent inactifs jusqu'à ce que l'imperium viennent taper a la porte de Fort Noir...
-Oui mais le fait d'avoir autant de chance de les trouver autant a nos cotés qu'aux cotés de nos ennemis. Et je sais de quoi je parle, j'ai vu un groupe de mercenaires à l’œuvre la semaine dernière, et que ce soit leurs boucliers répulseurs, leurs dagues et épées thermiques ou leurs bâton de mort ou leurs arcs, je n'aimerai pas me retrouver face à eux quand nous...
Il fut coupé par la voix tonitruante du haut parleur :
-LE DEPLOIEMENT EST REPOUSSÉ DE QUINZE MINUTES, NOUS VENONS DE RECEVOIR UN MESSAGER DE L'EMPEREUR M'AIQ !
Lorsque la voix se tut, Perdro et Vrael purent entendre un brouhaha inhabituel emplir la forteresse.
Perdro s'empressa de finir de revêtir son uniforme, passa sa ceinture, y accrocha son pistolet et son sabre énergétique. Vrael quand a lui, prononça une rapide formule qui fit apparaître un bouclier de force autour de son corps.
Ils sortirent de leur chambre puis débouchèrent dans un couloir bondé de soldats mal réveillé, accompagnés de leur diable de canahan. Les soldats firent de brèves saluts à leur supérieur tout en continuant de discuter avec leurs camarades. Une phrase sortait de toutes les bouches : <Les khajiits ! Les khajiits ont envoyé un messager!>
Pedro se frayaient un chemin parmi les hommes peu disciplinés de son bataillon. Ses hommes n'avaient aucun respects envers lui, ils se contentaient de lui adresser un « salut capitaine » en grommelant. Les diables, eux, accueillaient Vrael avec le respectueux salut canahan : « Usis ki'na diablathil. » Qui signifiait dans la langue gutturale Canahan « Heureux de vous voir commandant. » Les plus zélés ajoutaient « Da guraths fue kha'tu ! » Ce qui signifiait « Que Guraths (l'empereur des diables) soit avec toi. ». Vrael leur répondait aimablement « For'doy diablathane. » Qui signifiait « Bonne journée soldat. ».
Ils sortirent du couloir par une lourde porte blindé, donnant sur les quartiers de l'état major. La casemate qu'il occupé était confiée à son bataillon ainsi qu'a un régiment de troupes d'élite. Il avait environ cinquante mille hommes sous ses ordres, et faisait partie des vingt hommes les plus gradés de Marachi, mais malgré son importance, le commandant des cent vingt soldats d'élites présents lui raflait le commandement et permettait à un de ses capitaines de venir le réveiller le matin dans sa chambre de son bunker. Il traversa le hall de l’état major, où ses subalternes se mirent au garde à vous et restèrent en position imperturbablement jusqu'à ce qu'il soit passé devant eux.
Il entra dans la salle de contrôle tactique, l'officier d'élite l'y attendait, la mine renfrognée. C'était un homme d'une trentaine d’année en apparence, mais la taille de son diable dénonçait un age bien plus avancé. Chaque homme ou femme entrant dans l'armée planétaire de Marachi recevait à son entré un diable de canahan du même age et ces derniers grandissaient jusqu'à l'age de soixante ans, age auquel leur taille égalait celle d'un bœuf. Tel était l'énorme diable de canahan qui attendait derrière son maître, un félin au pelage épais et blanc. Si le diable avait une soixantaine d'années, l'homme avait environ quatre-vingt ans. Probablement était-ce un de ces riches militaires pouvant s'offrir des régénération cellulaires et des injections de SINE (système immunitaire nano-élémentaire) faites de nano robots qui occupaient le rôle de tous globules blancs ou rouges du système immunitaire en plus de faire cicatriser n'importe quelle blessure en quelques minutes. Il n'en fallait pas plus a Pedro pour le détester. Un homme suffisamment riche pouvait facilement devenir immortel sur Marachi, alors que de telles pratiques étaient interdites sur Terranova où l'on interdisait les soins rajeunissant à partir de l'age de mille ans. Age jamais encore atteint puisque les techniques de rajeunissement n'existaient que depuis quatre au cinq cent ans.
L'homme pris la parole :
« -Je suis le commandant Mantis, et voici mon diable, Belgabad. Il avait une voix de jeune homme, mais ses yeux légèrement vitreux dénonçaient son age.
-Foroy diablathane, foroy karethane. Dit le diable géant d'une voix grave et puissant. »
Le fait que le diable lui parle en canahan était une marque de respect. Pedro remarqua que les poils de Vrael s'étaient hérissés en voyant son gigantesque semblable.
« -Bonjours commandant. Répondit Pedro, foroy diablathil Belgabad.
-Bonjour commandant Mantis, foroy diablathil Belgabad. Dit Vrael
-J’aimerais plus de respect à l'avenir petit diable je suis ton supérieur ne l'oublie pas ! Activez la projection tactique soldat ! »
Pedro s'avança vers l'un des murs de la pièce puis y appuya son index, un petit clavier apparut derrière lui en suspension dans la salle, il entra le code puis valida en dessinant dans l'air chacun des chiffres du code. Les lumières s’éteignirent dans la salle jusqu'à ce qu'il fasse noir complet.
Un plan de Kenec en trois dimensions se matérialisa dans la salle et les quatre individus découvrirent avec horreur que la forteresse était encerclée de points rouges.
« Vite ! Gueula Mantis, sortez prévenir nos hommes ! Vous effectuerez une sortie, vous foncez avec trois milles hommes sur le sud est , vous brisez l'encerclement, vous vous rassemblez aux alentours du poste de la police puis vous envoyez vos homme par petits groupes harceler les impériaux ! Pendant ce temps je tenterais une sortie massive du fort. Allez remuez vous ! Belgabad vient avec vous. »
Pedro ne put rien ajouter, il présenta la situation dans son micro puis demanda a trois compagnie de le rejoindre devant la porte sud, puis sortit de la salle, Vrael et Belgabad sur ses talons.
Il débouchèrent dans les couloirs interminables du fort au pas de course parmi les soldats affolés par l'appel de leur commandant. Ceux qui ne s'écartaient pas devant Belgabad étaient violemment bousculés par le puissant félin.
Les sergents et les capitaines commençaient t'a donner les ordres à leurs hommes. La forteresse s'éveilla comme un seul homme, les pièces d’artillerie étaient armées, les fusils chargés et le cliquetis des sécurités des-bloquées emplit la place forte. Les diables quand à eux s'étiraient et commençaient-a prononcer de longues litanies dans leur langue, préparant leur corps, leurs cœur et leur âme au combat à venir.
Avant d'entrer dans le hall de la porte sud, Pedro demanda à Vrael de monter en haut des murailles pour observer les positions ennemies.
Puis il ouvrit la porte qui donnait sur le balcon de commandement du hall.
L’immensité des halls du fort l'avait toujours ébahit, des salles de quarante mètres de haut longues de plus de cent mètres et larges d'au moins cinquante. Les trois milles hommes étaient rangés, diables à leurs cotés, au garde à vous main droite sur le cœur et fusil posé au sol. Les diables eux se tenaient assis, tête levée et queue pliée contre leur coté droit.
Belgabad s'avança jusqu'au bord du balcon, surplombant les soldats d'une vingtaine de mètres, Pedro se plaça à ses cotés.
Belgabad annonça ensuite d'une voix surpuissante et plus grave que tout ce que Pedro avait entendu jusqu'à maintenant :
« Soldats ! Hommes ! Femmes ! Diablos ! Diablas !Nos ennemis ont était plus rapide que nous ! Nous pensions les prendre par surprise, mais c'est nous qui nous retrouvons en mauvaise posture !
Mais nous ne sommes pas perdus pour autant ! Vous êtes de vétérans de Marachi ! Vous combattez tous les jours depuis maintenant trois semaines, nous avons connu des hauts comme des bas, mais sommes les habitants légitimes de Marachi ! Il semblerait que la stratégie à aborder soit désormais une défense ! Nous venons d'apprendre que chaque fort de chaque bataillon de Marachi est assiégé comme le notre ! Mais le notre est le plus puissant et le plus solide de la planète après le Fort Noir des khajiits ! Nous sommes dans Fort Hraggstad ! Le fort du huitième bataillon de l'armée planétaire de Marachi ! Nous avons juré de défendre notre fort jusqu'à la mort ! Les impériaux pensent que notre forteresse de pierre ne tiendra pas longtemps sous leurs tirs de basilisk ou de colosus ! Et ils auraient raison si le fort n'était fait que de pierre ! Mais ils ne l'est pas ! Notre fort est protégé par les puissants enchantements que des milliers de diables ont prononcé pour renforcer les rocs dont Fort Hraggstad est fait ! Il ne craint ni la fournaise des tirs de plasma ni la force des coups de leurs titans ! Mais l'enchantement que nous avons érigé ne tiendra pas éternellement ! Ainsi nous devons effectuer une sortie pour annihiler ou au pire repousser nos assaillants ! Le messager khajiit nous a appris que l'empereur M'aiq a envoyé huit mille khajiit en avant garde soutenir chaque fort avant l'arrivée de l'armée entière des khajiits ! Dehors nous seront peut-être a un contre dix mais quand les khajiits seront à nos cotés, le faiblesse du nombre sera largement compensé par la qualité individuelle ! Chaque khajiit vaut au moins quatre d'entre vous diable compris ! Vous vous battrez avec honneur et talent ! Vos fils, vos petits fils vanteront vos exploits pendant des siècles quand nous aurons libéré Marachi de la racaille impériale ! Pour Fort Hraggstad ! Pour Gurats ! Pour Kenec ! Pour Marachi ! »
Belgabad acheva son discours par un rugissement digne des dragons de Markrath, les murs tremblèrent, les casques tintèrent, les diables plaquèrent leurs oreilles contre leurs tête, les hommes vacillèrent mais aucun ne commit l'impolitesse de se couvrir les oreilles. Le félin blanc aux yeux bleus se retourna et sortit du balcon, au passage, il dit à Pedro d'une voie grave :
« A votre tour karethane, tâchez de motiver vos hommes, je ne suis pas sur que mes paroles leurs conviennent totalement. Nous retrouverons en bas. »
Pedro s'avança là oùu se trouvait le diable au par avant puis leva les bras poings serré :
« Soldats !!! Je n'ai pas la voie aussi forte que notre bon diablathil Belgabad, mais je peux tout de même m'adresser à vous ! Je vous parlerai sur un plan plus tactique que le diablathil Belgabad. Chaque bataillon de notre armée se trouvent à l'heur actuelle dans la même situation que nous : assiégés par la garde impériale ! Au moment où je vous parle, une bataille sanglante se déroule aux pied des murailles de Fort Dunstad ! Au moment où je vous parle les pièces artilleries de Fort Amol échangent leurs salves avec l'artillerie mobile impériale ! Au moment où je vous parle la porte de Fort Mortal est attaquée par un titan warlord ! Au moment où je vous parle, nos pièces d'artilleries ont le viseur braqué sur les lignes imériales, n'attendant que l'ordre de tirer ! Au moment où je vous parle les basilisks et les colosus impériaux sont chargés de leurs obuts, les leman russ attendent qu'on leur ordonne de foncer vers nos murailles, les titans warhounds, reavers et warlords impériaux se préparent à marcher sur notre forteresse ! Mais au moment où je vous parle Fort Noir vomit des légions de khajiits ! Au moment où je vous parle, huit mille khajiits se cachent dans les ruines du poste de police de Kenec ! Au moment où je vous parle, soldats, sont comptés les dernières heures de la présence impériale sur Marachi !!! Car oui ! Avec l'aide des khajiits, nous pouvons vaincre la garde impériale !! Avec moi soldats !!! POUR MARACHI !!!!! »
Le cris des trois milles hommes n'eut pas l'effet espéré par Pedro, si ses hommes étaient motivés, convaincu de la justesse de leur cause, ils n'avaient pas dépassé en puissance le hurlement du diable.
Après un garde à vous déterminé, Pedro sortit du balcon puis descendit les escaliers jusqu'aux rangées de soldats. Vrael l'attendait, assis aux cotés de Belgabad.
«-Alors ? Demanda Pedro
-Alors c'est pas gagné... Les sentinelles estiment cent vingt mille hommes autour du fort, trois cents pièces d'artilleries et deux cents chars d'assaut. Mais ce n'est rien comparé aux quatre titans warlord et aux deux reavers qui pointent leurs armes sur nous. Au moins, aucun aéronef n'a encore montré le bout de son nez... »
Les paroles de Vrael lui glacèrent le sang. Une rude et sanglante bataille se préparait.




A vos claviers !
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  • 1 mois après...
Voilà le chapitre 9 !
Désolé de vous avoir fait tant attendre, n'ésitez pas à commenter :)

Chapitre 9 :

Quentin essayait de se concentrer, mais le fracas de la bataille empêchait tout simplement toute tentative de tir visé. Il commençait à comprendre que l’honneur de piloter des rafales était en fait un piège. Il était capable de vaincre un thunderhawk ou un thunderbolt en combat singulier, mais pris dans le chaos d'une bataille aérienne, les appareils de la synco 7 étaient totalement inutiles.
Il n'avait plus de leurres et plus que quelques torpilles à fusion ainsi que ses missiles nucléaires tactiques, mais les impériaux avaient bien joué leur coup en faisant tomber cette immense armada sur la ville, ainsi, l'état major avait interdit l'utilisation des missiles nucléaires, réduisant considérablement les risques pour les civils, mais augmentant lourdement la difficulté de la bataille.
Les impériaux avaient de leur coté des appareils lourds de plus de cent mètres de long, bardés de canons laser et de batteries de missiles. En réponse, les russes avaient envoyé leurs PE-747, les plus destructeurs des forts aériens. Ces appareils en formes d'avions comptaient plus su leurs répulseurs que sur leurs ailes pour voler, longs de plus de six cent mètres, haut comme d'une cinquantaine de mètres et larges de soixante dix, le poids de ces appareil les empêchait de voler, la plupart d'entre eux étaient d'ailleurs en surplace, et seraient bientôt les derniers appareils lourds terranoviens en lice.

Un marauder passa au dessus de lui à pleine vitesse et son artilleur arrière lui ouvrit le feu dessus avec son autocanon. Quentin ne l'avait pas vu, il vira immédiatement de bord en envoyant une rafale de sa mitrailleuse en vain. Un obus de l'autocanon transperça son aile droite et frappa un de ses missile nucléaire. Quentin loua le hasard qui avait fait que l’obus frappe un missile nucléaire, dont le contenu n'était pas dangereux tant que le détonateur n'était pas déclenché, et pas une torpille à fusion qui aurait immédiatement explosé... La plupart des appareils terranoviens étaient équipés de systèmes empêchant ce genre d’incidemment, mais pas son rafale. Il se rendit compte à quel point sa vie ne tenait qu'à un fil dans cette bataille, cette pensée le fit frémir et pour la première fois depuis le début de cette guerre, son cœur se serra, son pouls et sa respiration accélérèrent, il avait peur.
Quentin lança rapidement un diagnostique des systèmes de son appareil, il avait une fuite de carburant. Il commençait à se questionner au sujet d'un retour à la base quand il remarqua qu'il n'avait pas vu d'appareil terranovien depuis quelques minutes à part les PE-747 que l'on voyait de toute façon de n'importe quel point du champ de bataille, il réactiva sa radio (qu'il avait désactivé afin de ne pas être déranger par les discutions des trois milles pilotes terranoviens qui combattaient à ses cotés), il demanda sur ligne commune « Ici Tonner du sycro 7, y a t-il un problème, je n'ai plus aucun allié en visuelle ? »
Un silence pensant envahit la ligne, Quentin remarqua que six thunderbolts et trois thunderhawks l'avaient repéré et se lançaient à sa poursuite, « Merde ! » Jura-t-il, sans leurres, il ne pouvait qu'essayer de leur échapper, il activa le post combustion, mais il ne put que voir avec horreur que les vieux réacteurs de son appareils ne pouvaient le porter plus vite que les propulseurs des impériaux. Il savait qu'il était perdu, sa vie repassa devant ses yeux, il avait presque sauvé le monde des Tau il y a de ça quarante an, il était vieux, n'avait pas d'enfants, pas de femme. En fait il n'avait jamais connu l'amour, son seul amour revenait à Tonner. Il se rappela que tous les membres de la syncro 7 à part Nicolas, le pilote d'Ellisabeth, qui était retourné à la base, les yeux en larme, il se retourna, « Si nous devons mourir, couvrons nous de gloire !! » rugit-il il fonça vers ses poursuivants qui n'eurent pas le temps d'anticiper son demi-tour, il tira ses missiles vers les thunderbolts, les missiles se détachèrent de leur soc, leur propulseur s'activa et ils foncèrent vers les chasseurs impériaux qui, surpris, rompirent leur formation.
Les marauder lancèrent leurs hellstrike puis rompirent la formation.
Les yeux emplis de larmes de Quentin lui empêchèrent de voir ce qui se passe ensuite distinctement, un appareil le dépassa, lança quatre éclairs de plasma vers les marauder qui explosèrent sans rien pouvoir faire. Mais les hellstrike fonçaient toujours vers lui, une lueur d'espoir lui envahit l'esprit, il plongea vers le sol pour échapper aux missiles au cas ou les marauder ne l'aient pas verrouillé avant de tirer. Une rafale le frappa alors de plein fouet, une aile de son appareil fut arraché par les balles, son moteur pris feu, son par brise éclata et il eut un bras arraché par un projectile. Alors que la douleur le gagnait, le rafale partit dans une vrille infernale, il hurla de rage et de désespoir, en voyant le sol se rapprochait, son unique bras ballotté dans tout les sens par la chute lui empêchait de tirer la languette d'éjection.
Puis tout s'arrêta dans un bruit sourd.
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Mais divers point sont asser etrange autour des ultramarsouins:
-Pour en revenir a la résistance des armure tu te base sur les regles et non sur le fluff une armure énérgétique résiste a peu pret a n'importe quoi.
-Calgar et 8 capitaine dans le même vaisseau ? sa signifie que le chapitre est présent dans la quasitotalité pour une planete ? je trouve que c'est un peu abuser meme pour la croisade du golf de damocles qui était une opération de premiere importance Le chapitre entier na pas été mobilisé.

Je te conseille ce sujet sur les sm : http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=190689

Pour le reste:
-Un char de la garde impérial a beau ressembler a une antiquité il doit être supérieur a n'importe quelle char dit moderne.(preuve il a été produit durant le moyen age technologique)
-Je ne comprend pas comment il peut rester un seul appareil de défence sur cette planete La navy impérial a les moyen de bombarder les instalations militaire depuis l'espace.

Désolé pour la critique mais j'adore ton histoire continue la !
Ensuite j'ai adoré la référence a elder scrolls je pense que les habitant de marachi devraient se mefier de l'empereur desz chaét c'est un menteur ! Modifié par Kodai
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  • 2 semaines après...
J'adore ton histoire qui m'a completement captivé. Vers la fin on note une grosse reference a skyrim (je me disais bien aussi que y a des noms que je connais :)/> ). Enfin bon sinon oui un peu les meme remarque que les autres, surtout sur les marines qui tombent comme des mouches. Boris le bourrin qui se tape un demon tranquil (un russe quoi).
Ensuite si j'etais a la place de Calgar, je les aurais tous buté. Who is the boss ? Le soldat n'oserait jamais contredire un marines, aors un maitre de chapitre j'en parle meme pas. Modifié par iahen
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