(40K) Ascension

[Benfi]

[i] Salut à tous !![/i]
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[i]Bon voilà j'avais fait un passage sur ce forum et cette section il y a bien longtemps et je souhaite me remettre à l'écriture. Je commence donc l'histoire avec un prologue présentant la garde impériale (je n'en dirais pas plus [/i][img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/whistling.gif[/img][i])[/i]

[size="4"]Ascension[/size]

[u][size="3"]Chapitre 1 : Dernier refuge[/size][/u]
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[/u]-…Et c'est ainsi, luisant de mille feux, que Canthon se tourna vers ses soldats. Il avait autant foi en ses hommes que ses hommes en lui, et il puisa dans cette force pour se lancer dans le dernier assaut…

Les hommes étaient pendus aux lèvres du commissaire, alors que celui-ci leur proposait un des passages les plus épiques de son livre. Il yavait là une trentaine de silhouettes, affalées autour d'un feu au milieu de la nuit. Autour d'eux, les formes indistinctes des arbres émergeaient de l'obscurité,ne fussent-ils encore debout que pour quelques heures. La lumière vacillante des flammes se refléta brièvement dans les yeux du commissaire Salim, alors qu'il se dressait pour appuyer son sermon. Il regardait chacun des soldats avec insistance, pénétrant leur âme et y insufflant le courage et la hargne nécessaires à la bataille.

-Rappelez-vous, vous êtes des gardes impériaux, et la force de tous les héros de notre armée coule dans vos veines. Nous allons gagner cette guerre ! Pour la mémoire de nos frères disparus, pour Macharius, et pour l'Empereur !

-Pour Macharius et pour l'Empereur ! reprirent en cœur les hommes du deux-centième régiment d'Ultima Macharia.

Il était temps d'aller se reposer. Salim pris congé des soldats qui se dispersèrent et retournèrent dans leurs tentes. Le caporal Mach Leicker salua quelques un de ses camarades avant de rentrer dormir. Il récupéra les cellules d'énergies pour fusil laser disposées autour de l'âtre. Il vérifia les loupiottes. Toutes vertes, il allait pouvoir tuer de l'hérétique le lendemain.

Alors que le soleil se levait tout juste, le camp avait déjà disparu. Les hommes éteignaient les derniers feux, tandis que Leicker prenait connaissance des ordres, en même temps que tous les autres. L'assaut se centrerait sur la cité ruche Reluus, qui avait sombré dans l'adoration des puissances de la Ruine. Tout bombardement orbital se retrouvait proscrit, en raison de l'importance stratégique de la planète, Certis Prill. Ils allaient être envoyés en première ligne, juste derrière les escadrons blindés, comme plusieurs dizaines d'autres régiments. Ils avaient donc à traverser Les deux kilomètres de champs, sous couvert de fumigènes, puis à engager l'ennemi au niveaudes brèches dans les murailles, pratiquées par les Russ démolisseurs.

Leurs ordres s'arrêtaient là. Les généraux ne devaient de toute façon pas s'attendre à ce que les membres du régiment survivent assez longtemps pour atteindre les murs ennemis. Aucune préparation d'artillerie n'avait été pratiquée, non seulement pour préserver la ruche, mais aussi pour ménager l'effet de surprise d'un assaut terrestre de grande envergure. Les soldats savaient à présent ce qu'ils avaient à faire. Coordonnés par leurs lieutenants, ils s'organisèrent en escouades et montèrent sur les Leman Russ. Assis sur le blindage d'un démolisseur, Leicker en grillait une dernière avec son sergent, alors qu'ils filaient vers l'épais nuage de fumée qui masquait la vue de la cité.

Dès qu'ils arrivèrent en bordure du champ, ils descendirent et se mirent à avancer en ordre dispersé. Plusieurs hommes trébuchèrent dans des nids de poules, masqués par la végétation leur arrivant jusqu'au torse. Ils n'avaient pas tout à fait avancé d'un kilomètre que déjà ils ne parvenaient pas à voir au-delà de cinq mètres. Juste devant Leicker marchait son sergent, en tête de groupe. Soudain, ce dernier trébucha et disparu dans les cultures. Le caporal appela alors plusieurs fois :

-Sergent ? Ça va ? Sergent ?

Pas de réponse. Il épaula son fusil et engagea la cellule. Il fit un pas, puis un autre, et appela de nouveau, toujours sans réponse. Alors qu'il allait avancer encore un peu, Il entendit un bruissement devant lui. Une forme bondit alors sur lui, surgissant des hautes herbes. Il tira par réflexe un coup de laser à pleine puissance, et fut percuté par la silhouette.

Au sol, il ne mit que peu de temps à comprendre que la chose qui l'avait envoyé à terre était un cultiste du chaos, et que ce cultiste, d'après l'odeur de chair grillée, était mort. Dans la main de ce dernier, Leicker vit un énorme poignard, ruisselant du sang de son sergent. Il hurla :

-Embuscade !




[i]Cliffhanger !! [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/icon_mrgreen.gif[/img][/i]

[i]J'ai juste un doute sur ce passage :[quote][/i] la chose qui l'avait envoyé à terre[i][/quote] [/i]

[i]je ne me souviens plus si avec le subjonctif ça donne pas plutôt ça (accord avec "la chose" parce que placée avant le le Qui ou un truc comme ça...) :[/i] [quote]la chose qui l'avait envoyé[b]e[/b] à terre[/quote]

[i]Bon voilà j'ai un peu de mal mais je sens que c'est en train de revenir [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/smile.gif[/img]. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez ! J'irais voir et commenter les autres récits sous peu.[/i]
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[i][url="http://www.warhammer-forum.com/index.php?showtopic=44465&st=100"]Ma présentation[/url][/i] Modifié le 28 juillet 2012 par Benfi

[haldu]

"La chose qui l'avait envoyé à terre", sans E. Parceque c'est le soldat qui est envoyé, et comme il me semble que c'est un homme, l'accord se fait au masculin.

Bon, pour ton introduction. Elle est simple, clair, et se lit bien. Nous avons déjà envie d'en savoir un peu plus.
Toutefois, je ne peut que déplorer le fait qu'elle soit un peu trop courte. N'oublie, la taille minimale ici pour poster est de 1 page Word taille 9 ou 2 pages Open Office standards taille 12.