Illuminor Szeras Posté(e) le 28 octobre 2013 Partager Posté(e) le 28 octobre 2013 [quote name='Tzzzeentch' timestamp='1382989013' post='2456187'] "Light"évoque l'espoir, le savoir, toussa toussa, tandis que les DA sont des gars qu'on pourrait qualifier de OMG TROP DARK (désolé) [/quote] Une lumière peut aussi être aveuglante au point de masquer la vérité. Regarde un peu les Orii de Stargate SG-1. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ocrane Posté(e) le 29 octobre 2013 Partager Posté(e) le 29 octobre 2013 A moins qu'ils ne porter des projecteurs à ultraviolet... "Dark light Bearer" et la boucle est bouclée... Sinon existe-t-il vraiment une espèce de "règle de coïncidence" entre les chapitres successeurs et leurs pères ? Certains n'ont pas grand chose à voir au niveau du nom ou de l’héraldique avec leur primogéniteur mais est-ce quelques exeptions isolée (à la faveur d'une fondation particulière... au pif la 13ème ou la 21ème) ou est-ce assez fréquent ? Aucun chapitre n'est créé juste pour le fun mais certains le sont en se basant sur des raisons plus ou moins ésotériques (tarot de l'empereur, stratégie prédictive... ). Pourrait-il en être de même pour le choix des gene-seed et des couleurs ? [Spoiler] " Astropathe ! Que dit le tarot de l'Empereur ? - As de pique en contre, Seigneur ! Et l'arcane majeur indique que ce sera un descendant des Ultramarines ! - Et pour la couleur ? - J'ai tiré successivement : [font=sans-serif][size=2]253, 63 et 146[/size][/font] . " Et c'est ainsi que naquirent les "Ace of Spades" dont je vous laisse deviner la couleur de la livrée... [/Spoiler] Résultat idiot mis a part, le choix peut également être dicté par un mélange de nécessité et de calcul à plus long terme. On peut imaginer, par exemple, que les gene-seed Ultra soient employées (sur demande de Marneus lui même? les ultra ont suffise ment de pouvoir personnel pour l'ouvrir sur le sujet) mais que les haut-seigneurs décident volontairement de "séparer" le chapitre nouvellement créé de son primogéniteur en choisissant une planète chapitrale avec des coutumes bien particulières (qui se retrouveront d'une façon ou d'une autre dans les coutumes du nouveau chapitre) plutôt qu'une autre ou en imposant une série de conditions particulières : Exemple : "Il sera légèrement différent du codex astartes parce que <insérer ici une bonne raison>. C'est la volonté de l'Empereur qui s'exprime par notre bouche !" Ceci afin que le nouveau chapitre soit trop différent pour se reconnaître réellement dans les idéaux de son primogéniteur et ainsi, entre autre, de respecter l'esprit de la division opérée par Guilliman (éviter que ne se reforment des entités aussi puissantes que des légions complètes). Si je parle beaucoup des Ultra c'est parce qu'ils ont déjà le statut de "chapitre de référence" et parce qu'il sont, en règle général, assez lié à leurs descendants, ce qui sert mon exemple. Mais on peut imaginer ses raisons similaires pour d'autre chapitre fondateur. Peut-être, au besoin, en ramenant le problème à un niveau plus local (un segmentum, voir Un Secteur ?). Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ser Eddard Posté(e) le 4 novembre 2013 Auteur Partager Posté(e) le 4 novembre 2013 [quote]Bon, je sais qu'il est un peu tard pour ça, mais le nom de ton chapitre ne m'évoque pas trop des successeurs des DA. ces derniers sont paranoïaques,sombres, obsédés par leur passé, tandis que Light Bearer m'évoque plutôt des conquérants, voir des descendants des Word bearers s'ils étaient restés loyaux à l'empereur. "Light"évoque l'espoir, le savoir, toussa toussa, tandis que les DA sont des gars qu'on pourrait qualifier de OMG TROP DARK (désolé)[/quote] Dans mon esprit, Light Bearers faisait référence à Lucifer (porteur de lumière en latin), qui est le noms du diable avant d'être rejeté par Dieu. Donc on retrouve le côté borderline des DA. La lumière, dans ce cas, faisait plus référence à des illuminés fanatiques religieux qu'au savoir et à la connaissance. En outre, c'est tout le paradoxe, les Light Bearers ont des armures noires, vivent sur un monde assez sombre, où il fait quasiment toujours gris, et recouvert de sombres forêts hantées par des créatures étranges, qui rappelle pas mal Caliban. C'est un chapitre à l'esthétique et à la culture très "gothique" et sombre. Je les ai cependant voulus plus flamboyants que les DA, en effet. Dans leurs croyances, la lumière est un idéal à atteindre, une promesse de rédemption (d'où les bures et tabards blancs portés par ceux qui se rapprochent de cet idéal). J'aime pas mal cette dualité que ce côté sombre/lumière implique: ils luttent pour atteindre un idéal de pureté (qui n'a rien à voir avec "l'espoir, le savoir, toussa, toussa", mais plutôt avec une sorte d'illumination mystique) afin d'échapper à une damnation qui les guette en permanence. Mon chapitre est tout sauf cool: ce sont des machines à tuer fanatiques et intolérantes. Et sinon, en effet, le nom du chapitre et ses croyance ne rappelle pas nécessairement le chapitre père: Le patrimoine génétique influence certainement les doctrines et la mentalité du chapitre, mais sinon, celui ci se forge sa propre identité au fil des siècles. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Vietlord Posté(e) le 4 novembre 2013 Partager Posté(e) le 4 novembre 2013 Tu me rappelles Les chevaliers de la Lumière de la BD chronique de la Lune Noire Pieux nombreux élitistes ... Mais un "cercle intérieur" dirigé pour les intérêts (secrets) de frater sinister Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ser Eddard Posté(e) le 5 novembre 2013 Auteur Partager Posté(e) le 5 novembre 2013 (modifié) Ouais y a un peu de ça pour les chevaliers de la lumière..... Et voilà la suite, une description de la planète de mon chapitre (les joueurs de Diablo 3 reconnaîtront vite l'inspiration à peine déguisée): Monde natal : Lorsque le chapitre fut créé, les Angels of Vengeance venaient de conquérir un système planétaire au terme d’une longue croisade menée dans le quadran Est du Segmentum Obscurus. Ce système, qui fut nommé Aeron, était situé aux marges du secteur gothique. Il comprenait six planètes en tout. La troisième en partant de l’étoile retint toute l’attention des Impardonnés. En effet, son continent nord était couvert de sombres et épaisses forêts. Elles étaient habitées par des clans de guerriers et de chasseurs qui avaient régressé à un niveau féodal. Les forêts étaient hantées par de terribles prédateurs de toute sorte, dont certains étaient réellement énormes. Les hommes qui vivaient sur cette planète étaient des êtres endurcis habitués à la menace permanente de ces bêtes redoutables. Ce monde évoquait naturellement Caliban, la planète d’origine de l’antique première légion. Mais les Angels of Vengeance avaient déjà de nombreux mondes de recrutements. Par conséquent, quand trois chapitres furent créés à partir du patrimoine génétique des Dark Angels lors de la huitième fondation, ces derniers proposèrent que l’un d’entre eux soit basé sur cette planète qui fut rebaptisée Sanctuary. C’est ainsi que les Light Bearers naquirent sur ce monde féodal du secteur gothique. Les premières recrues furent recrutées au sein des clans qui vivaient au sein des forêts de Sanctuary. Elles furent entraînées par un cadre de vétérans des Impardonnés, surtout des Dark Angels et des Angels of Vengeance. Ils transmirent la culture calibanite aux membres du nouveau chapitre. La forteresse monastère fut bâtie sur un grand éperon rocheux qui émergeait de la forêt. Largement agrandie au cours des siècles, son architecture gothique se dresse, à la fois rayonnante et sinistre, dans toute sa gloire sur près d’un kilomètre de haut. Sanctuary est composé d’un seul super continent qui baigne dans un océan perpétuellement agité de tempêtes et de cyclones. Le continent, nommé Borea, est séparé en deux par une immense chaîne de montagnes, les Monts Areat qui courent de l’équateur jusque au pôle nord en décrivant une grande courbe. La forteresse monastère du chapitre, appelé « la Tour de Lumière », se dresse sur les contreforts Ouest, dans l’hémisphère nord de la planète. L’extrémité Sud de Borea est désertique, et l’on y trouve des ruines anciennes, d’origine inconnue. Le taux de radiations de cette région est anormalement élevé, et beaucoup de scientifiques de l’Adeptus Mecanicus qui ont exploré la planète pensent qu’elles étaient encore bien plus élevées autrefois. Certains ont émis l’hypothèse que les terribles créatures qui hantent la planète seraient en fait des créatures ayant muté sous l’effet de ces radiations en des temps immémoriaux et dont les espèces se seraient stabilisées par la suite. De la civilisation qui existait au Sud de Sanctuary et du cataclysme qui l’anéantit, il ne reste aucunes traces. Certains ont évoqué l’existence de créatures très étranges et extrêmement dangereuses qui vivent au plus profond des sinistres forêts de la planète. Ces êtres, surnommés les « spectres », ont une forme humanoïde et semblent dotés d’une certaine intelligence. Ils sont extrêmement discrets et leurs apparitions sont rares. Mais ils inspirent une telle terreur aux tribus de Sanctuary que nombre de leurs légendes les plus inquiétantes les évoquent. Certains membres des Light Bearers et de l’Adeptus Mecanicus les ont étudiés et les immenses bibliothèques de la Tour de Lumière recèlent tout ce que l’on sait sur ces créatures. Elles font partie du folklore de Sanctuary. La planète dans son ensemble est un monde sinistre et inquiétant. Les tempêtes redoutables qui agitent les zones océaniques déstabilisent le climat. D’énormes dépressions balayent en permanence Borea, à l’exception de son extrémité Sud protégée par une vrille des Monts Areat. La quasi-totalité du continent est perpétuellement plongé dans une grisaille sombre. Les nuages menaçants et les brumes obscures baignent les grandes forêts et les établissements humains. Il règne sur Sanctuary une pénombre permanente, seulement dissipée par quelques éclaircies. Lorsque les rayons du soleil blafard percent les nuages, c’est un évènement remarqué, et toujours perçu comme un bon présage. Les précipitations y sont très abondantes et les cours d’eau, marécages, et autres tourbières omniprésents. Les seules hautes terres se situent au Nord du continent et sont d’immenses plateaux de granite recouverts de landes rêches et austères. Mais la particularité la plus marquante de Sanctuary, ce sont ses immenses forêts. Elles sont composées d’essences endémiques. La plus nombreuse est le chêne noir. Il s’agit d’un arbre noueux aux formes tordues et tourmentées. Son écorce est noire et craquelée. Les branches lugubres qui se tortillent telles des griffes sur le ciel gris et plombé ne portent que quelques feuilles de couleur vert sombre qui peinent à capter la pauvre lumière de la planète. Ces immenses forêts, inviolées pour beaucoup, sont des endroits inquiétants, et même terrifiants en certains lieux. Les troncs noirs sont baignés de brumes. Des sons étouffés émergent des frondaisons, quand ce n’est pas les cris lointains de quelque bête immonde. Les clairières sont rares, et les zones humides et cours d’eau omniprésents. Considérant le climat singulier de la planète, la densité de beaucoup de zones forestières, et les vastes zones inexplorées et sauvages, un imprudent a tôt fait de se perdre. Les prédateurs qui rôdent dans ces forêts se chargeront alors de le mettre en pièce dans un cri de terreur. Ces prédateurs sont très variés et nombreux. Les Gévadans sont des créatures de la taille d’une vache. Ils semblent être le mélange abject entre un loup et un gorille. Leur toison noire d’ébène se camoufle parfaitement au milieu des bosquets de chênes noirs, seuls leurs quatres yeux jaunes percent la pénombre des sous bois. Les Snaerch sont d’horribles petites créatures bondissantes dont les crocs et les griffes effilés sont capable d’entailler la chair de nombreuses coupures. Leur morsure étant venimeuse, leurs proies ont peu de chance de leur échapper. Ils chassent en bandes de quelques individus, et leurs cris piaillant sont l’annonce d’une mort imminente pour le voyageur égaré. Les « spectres » sont les plus craints. Ils errent dans les sous bois les plus profonds, mais il est arrivé d’en apercevoir dans les alentours des communautés humaines. Généralement, il s’agit d’apparition fugace, d’une silhouette passant d’arbres en arbres. Leur présence suscite chez un être humain une terreur irraisonnée. Parfois, des corps livides, une expression de terreur absolue figée sur leur visage, ont été retrouvée de façon inexpliquée. Les légendes à propos des spectres, très nombreuses par rapport à la fréquence de leur apparition, hantent les rêves des sanctuariens. Ces derniers vivent dans des ilots de civilisation au milieu des ténébreuses forêts. Le monde de Sanctuary étant baigné de ténèbres, la lumière joue un rôle déterminant dans leur culture. Leurs communautés sont des villages-forteresses disséminés à travers les forêts de Borea. Tous sont entraînés à combattre dès leur plus jeune âge. Les bêtes des forêts s’attaquent régulièrement aux défenses de ces villages, ainsi qu’aux caravanes qui parcourent les chemins lugubres qui les relient. De nombreuses lanternes sont attachées dans les rues des villages, et le long des chemins, sur les ponts. Les lueurs jaunâtres qu’elles émettent sont parfois indispensables pour ne pas s’égarer dans le brouillard. Les Porteurs de Lumière sont ceux qui entretiennent ces lanternes. Ils sont les héros quotidiens qui, en petites patrouilles, parcourent inlassablement les routes et les chemins de Sanctuary pour raviver la flamme salvatrice qui fait reculer les ténèbres. Ils sont extrêmement respectés par les sanctuariens. Ce sont tous des combattants émérites et des chasseurs hors pairs. Leurs arbalètes de poing et leurs capuchons noirs sont leur marque distinctive. Un certain nombre des premières recrues des Light Bearers étaient issues de leurs rangs, car on devient très tôt un homme sur Sanctuary. Nul doute que la culture de cet ordre et que le nom du chapitre Astartes qui s’établit sur ce monde furent inspirés par les exploits des porteurs de lumière. Aujourd’hui, ils dépendent du chapitre et ont le statut de serfs. Ils sont ses agents au sein de la population. Ils sont chargés de transmettre toute information utile aux Astartes à propos des évènements qui agitent leur monde chapitral. Lorsque l’Imperium annexa Sanctuary, des missionnaires de l’écclésiarchie arrivèrent rapidement. Leur prêche trouva rapidement échos au sein de la population de la planète, qui vivait dans la peur permanente sur un monde ténébreux. Ils devinrent de fervents adorateurs de l’Empereur et de sa lumière. Chaque communauté possède au moins une chapelle. Les dogmes de l’Adeptus Ministorum se fondirent avec les anciens mythes. Par la suite, quand les Light Bearers s’y établirent, ils devinrent une partie intégrante des mythes locaux. Les Light Bearers partagent peu de liens avec les populations de Sanctuary. La Tour de Lumière est situé dans un endroit isolé, loin de toute communauté. Malgré cela, lorsque très rarement une éclaircie apparaît, elle dévoile parfois une lointaine et immense spire qui rayonne de lumière. Les sanctuarien tombent alors à genoux en prière, car il s’agit pour eux du meilleur des présages. Les Light Bearers se contentent de surveiller les mortels qui peuplent Sanctuary de loin. Cependant, lorsque les créatures qui hantent les forêts menacent des communautés entières, il leur arrive d’intervenir. C’est ainsi que les sanctuariens vénèrent les anges noirs de l’Empereur dans leurs prières et leur demandent protection. Les conditions de vie sur la planète ont façonné une population de guerriers courageux et taciturnes, habitués à la mort et à l’esprit froid et résolus. Pour les Light Bearers, il s’agit d’une source de nouvelles recrues parfaite. A la nouvelle année, chaque année durant 16 mois terrestres, une grande fête a lieue dans toutes les communautés. A cette occasion, de grands tournois sont organisés. Tous les jeunes hommes des différentes communautés sont amenés à s’affronter dans diverses épreuves, parfois très dures. Les vainqueurs sont extrêmement respectés et trouvent leur place au sein des Porteurs de Lumière. En fait, ces derniers agissent comme les recruteurs des Light Bearers. Ils « collectent » les vainqueurs des tournois du nouvel an, et sélectionnent les meilleurs d’entre eux. Ils sont alors amenés, au terme d’un long et dangereux voyage, au bord d’un grand fleuve aux eaux noires nommé l’Artaval. Alors que les Porteurs de lumière s’évanouissent dans la pénombre des sous bois, les sélectionnés, souvent très jeunes, se retrouvent en groupes de plusieurs dizaines, isolés au milieu d’une nature sauvage et ténébreuse. C’est à ce moment que surgissent les chariots de feu des anges noirs. Ils emmènent leurs nouvelles recrues, qui subissent aussitôt arrivés à la tour de Lumière les premiers tests afin de savoir s’ils sont suffisamment forts pour être transformés en space marines. Ceux qui ne le sont pas deviennent des serfs affectés à la tour de lumière. Aucun ne rentre jamais chez lui. Les épreuves pour devenir un frère de bataille des Light Bearers sont extrêmement difficiles. L’ultime d’entre elle est un parcours initiatique au centre de la culture et des croyances du chapitre. Les recrues ont alors reçues la quasi-totalité des implants et ont subis un entraînement des plus intensifs. Ils ont subis également de nombreux lavages de cerveaux et des endoctrinements destinés à les rendre totalement loyaux envers le chapitre et l’Empereur. Ceux qui sont arrivés à ce stade sont abandonnés au cœur d’une région extrêmement sauvage, au beau milieu de la forêt. Armés seulement d’un couteau de combat, ils doivent trouver leur chemin jusqu’à la Tour de Lumière. Ce parcours initiatique est simplement nommé « l’Ascension ». Les prédateurs qui rôdent représentent un danger mortel même pour les astartes en devenir que sont les jeunes recrues qui doivent passer cette épreuve. En outre, les transformations physiques et psychiques qui les ont affectés, tout comme les opérations chirurgicales et les chimio thérapies qu’ils ont subies, sont alors récentes et ils en ressentent les douleurs et effets secondaires durant leur périple. Ils n’ont en outre pas le droit de se nourrir durant l’épreuve, le jeun étant partie intégrante du rite de l’ascension. Ceux qui arrivent à la Tour de Lumière sont acceptés en tant que membres du chapitre et reçoivent le droit de rejoindre la dixième compagnie du chapitre, sous l’autorité du maître des recrues. Ils devront encore prouver leur valeur sur le champ de bataille avant de recevoir la carapace noire et de devenir des frères de bataille des Light Bearers. Modifié le 5 novembre 2013 par Ser Eddard Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Frere Kris Posté(e) le 9 novembre 2013 Partager Posté(e) le 9 novembre 2013 Comme d'habitude, un superbe morceau de fluff ! Et je trouve ça très sympa le clin d'oeil que tu as fait aux Angels of Vengeance, merci Alors, par contre, quelques légères contradiction sont apparu : 1) La Fondation de ton Chapitre : entre les débuts et la fin du fluff, la création des LB passe de la 4ème à la Huitième fondation. Je suppose que tu reste sur la huitième (donc vers la moitié du M34) ? 2) Le nom du monde d'origine : au début Aeron, désormais Sanctuary (j'ai vérifier sur Taran, il n'y a étrangement pas de planète qui s'appel Sanctuary, donc de ce coté là, tu ne rentre pas en conflit avec le BG officiel, c'est top !). C'est juste pour être sûr, afin de faire un morceau de fluff croisé avec le tien Continue comme ça, c'est super ! FK Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ser Eddard Posté(e) le 11 novembre 2013 Auteur Partager Posté(e) le 11 novembre 2013 (modifié) [quote]1) La Fondation de ton Chapitre : entre les débuts et la fin du fluff, la création des LB passe de la 4ème à la Huitième fondation. Je suppose que tu reste sur la huitième (donc vers la moitié du M34) ?[/quote] En effet, mais c'est peut-être du au fait que dans mon premier post, c'était vraiment une ébauche, les premiers éléments listés les uns après les autres. Au fil de la rédaction, ça s'est affiné/modifié. Je relis et je modifie le cas échéant, mais sinon oui, c'est bien la huitième fondation sur laquelle je me suis arrêté. [quote]2) Le nom du monde d'origine : au début Aeron, désormais Sanctuary[/quote] J'ai modifié ça en rédigeant le texte: l'inspiration venue de Diablo était tellement évidente que du coup, je me suis dis "autant y aller jusqu'au bout" ( en outre, Sanctuary convenait parfaitement pour le monde chapitral des Light Bearers.... tant mieux si il n'existe pas déjà une planète de ce nom, ceci dit, l'Imperium est tellement vaste qu'il est tout à fait plausible d'avoir deux, voire plus, planètes portant le même nom ou quasiment...). J'ai gardé Aeron pour le nom du système. De la même manière, dans les premiers éléments sur le monde chapitral de mon chapitre, j'avais évoqué la présence de cité ruches sur le continent sud. J'ai décidé de les "déplacer" sur une autre planète du système d'Aeron. Je rédigerai un petit paragraphe sur le reste du système d'Aeron où j'expliquerai exactement tout ça. La suite est en cours, avec une description de la forteresse monastère. Modifié le 11 novembre 2013 par Ser Eddard Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tzzzeentch Posté(e) le 23 janvier 2014 Partager Posté(e) le 23 janvier 2014 Ce topic serait-il mourant ? C'est dommage, ce fluff est très (très) intéressant Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ser Eddard Posté(e) le 23 janvier 2014 Auteur Partager Posté(e) le 23 janvier 2014 Merci pour ton retour... J'avoue ne pas avoir trop bossé sur la suite en ce moment. Je me focalise sur mes Space Wolves, mais ça viendra! N'hésite pas à donner ton avis de façon plus développée! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tzzzeentch Posté(e) le 19 février 2014 Partager Posté(e) le 19 février 2014 Sinon, Anténax est-il voué à l'un des 4 dieux du Chaos ou s'agit-il d'une entité du Warp indépendante ? Monoligne interrogatif. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ser Eddard Posté(e) le 27 février 2016 Auteur Partager Posté(e) le 27 février 2016 (modifié) Le sujet sur le fluff m'a rappelé que j'avais posté ce bout de background ici.... Et comme j'ai un peu continué depuis.... bon c'est une description de la forteresse monastère, rien de transcendant: Forteresse Monastère : La Tour de Lumière est une formidable forteresse qui se dresse à près d’un kilomètre de hauteur dans le ciel de Sanctuary. Son architecture gothique, extrêmement ornementée, ne laisse pas imaginer sa redoutable puissance. Les flèches, voûtes d’ogives et arc boutants sont innombrables et ornés d’une foule de statues, bas relief et autres éléments qui donnent un aspect surchargé à l’édifice. Sur de grands piédestaux, des statues d’anges colossales ornementent la forteresse à tous les niveaux. Les deux tiers de la forteresse depuis la base sont perpétuellement plongés dans la pénombre caractérisant Sanctuary. Ils sont en permanence environnés de volutes de nuages et de brumes qui ne permettent quasiment jamais d’embrasser l’édifice du regard dans sa totalité. Malgré cela, la Tour de Lumière se présente comme un immense pinacle qui semble vouloir percer les cieux. Les premiers niveaux sont très étendus et couronnent l’immense éperon rocheux où est bâtie la forteresse. Ils ont la forme d’imposantes murailles hérissés de créneaux ornés de rosaces, de flèches et de tours massives qui sont autant d’abris pour des batteries de défense orbitale à la taille colossale. Un immense pont de pierre mène aux portes principales. Des statues monumentales d’anges encapuchonnés le bordent. Les portes en elles-mêmes sont également extrêmement ornementées, notamment par deux figures dorées représentant des anges encapuchonnés hérités de la culture calibanite des Impardonnés. Les deux battants sont de monstrueuses plaques de blindage de plus d'un mètre d’épaisseur et de quinze mètres de haut. Au-delà de la première enceinte se situe une esplanade qui sert aux parades et manœuvres d’entraînement du chapitre. C’est également là que se dressent les baraquements des nombreux serfs, notamment des Ecuyers, les soldats chargés d’assurer la défense de la forteresse, forts de plus de 10 000 hommes. En tout, c’est 50 000 serfs qui vivent dans la Tour de Lumière et, accompagnés d’une foule de serviteurs de divers types, assurent son bon fonctionnement et son entretien. Les serviteurs les plus étranges qui hantent les corridors et les grandes salles de la forteresse furent conçus à l’image de « ceux qui regardent dans les ténèbres », étranges créatures qui accompagnent les Impardonnés, mais chez les Light Bearers, il ne s'agit que d'êtres mécaniques, souvenir des origines du chapitre. Ils assistent les officiers du chapitre et les archivistes dans les bibliothèques. Le grand pont de pierre continue derrière les grandes portes et domine les quartiers des serfs. Il s’arrête enfin devant une seconde porte, moins grande mais encore plus ornementée que la précédente, toujours des mêmes figures d’anges, mais relevées d’or et de blanc. Au-delà s’étend la forteresse monastère proprement dite. L’ensemble de l’édifice s’étage sur quatre grands niveaux couronnées de flèches comportant des dizaines d'étages et un dédale de cryptes percées dans l’éperon rocheux qui soutient l’énorme forteresse. Premier niveau : l’enceinte des justes. Le premier niveau s’étend au-delà de l’esplanade protégée par la première enceinte. Un deuxième rempart, d’une hauteur colossale, l’entoure. Contrairement au premier, il est percé d’innombrables fenêtres en forme d’ogives, ornementées de vitraux et de rosaces. Ce premier niveau comprend les lieux notables suivant: Le hall de l’honneur : Cet immense corridor voûté en ogive est baigné dans une lumière tamisée. On peut y voir de nombreux serviteurs chérubins voleter dans la pénombre des voûtes. De nombreuses bannières anciennes ornementent les murs. Dans des alcôves en forme d’absidioles se dressent les statues des plus grands héros du chapitre. Mesurant plus de 20 mètres de haut, c'est l'une des salles les plus grandes de la forteresse, les voûtes se perdant dans la pénombre. Les salles d’entraînement : C'est là que les jeunes recrues du chapitre subissent leur entraînement quotidien sans relâche sous l'oeil sévère de vétérans. Cages de combats, salles d'armes, stand de tir, s'y trouvent par dizaines. Un ensemble de salles et de couloirs sont uniquement conçues pour l'entraînement en escouades. De nombreux systèmes possèdent plusieurs options, allant de ripostes non léthales aux exercices à balles réelles. En plus des recrues, les frères qui résident dans la forteresse entre deux campagnes y passent beaucoup de temps afin de parfaire leurs compétences. L’arsenal : Entouré d'une chape de ferro béton très épais pour protéger la forteresse d'un éventuel accident, les salles de l'arsenal renferment toutes les armes du chapitre. Des chapelles y sont également présentes où sont entreposées les reliques et armes rares. En-dessous, des forges et des usines semi automatisées, où travaillent sans relâche de nombreux serviteurs, produisent munitions et armes conventionnelles du chapitre. Ces usines sont situées juste au dessus du Saint Sépulcre où les anciens du chapitre, confinés dans des sarcophages dreadnought, dorment en attendant leur réveil. De grands hangars attenants renferment les véhicules, chars, land speeders et des garrages permettant de les entretenir. Des ascenseurs colossaux servent à les acheminer vers les baies d'embarquements situées plusieurs dizaines de mètres plus haut, où des thunderhawk peuvent les charger et les acheminer vers les vaisseaux en orbite. L'arsenal, les usines qui en dépendent et le Saint Sépulcre sont le domaine des techmarines et des artificiers du chapitre qui se sacrifieraient sans hésitation pour le défendre. La salle de la pureté : Immense salle circulaire bordée de galeries et de bas côtés, il s’agit du cœur de la forteresse toute entière. Au centre, sur une grande estrade de pierre se trouve un énorme sarcophage de marbre. Sur les côtés, on peut admirer des bas reliefs représentant des anges combattant des démons. Le couvercle est ornementé d’un gisant représentant un astartes aux traits impassibles. La sculpture, œuvre d’un artiste de grand talent, est d’une finesse incomparable. Elle ne retranscrit pourtant qu’une infime part du charisme et de la présence qui étaient ceux de Merevius, le plus grand héros du chapitre, considéré comme un véritable saint. Le jour, un rayon de lumière frappe en permanence le sarcophage. Elle est reflétée par un système de miroirs extrêmement complexe depuis le sommet du pinacle d’argent, la grande flèche qui domine la forteresse monastère et qui émerge de la mer de nuage qui baigne en permanence Sanctuary. La demeure des frères : Outre l'arsenal, ses unises et ses immenses hangars, l'essentiel du premier niveau comporte les cellules où les frères de bataille peuvent se reposer et obtenir de rares moments de solitude propres à la méditation. C'est dans ces cellules qu'ils conservent également leurs effets personnels, qui se résument souvent à une poignée d'objets, quelques robes de bures qui sont leurs seuls effets quand ils ne portent pas leurs armures. Celles-ci y sont également exposées. Leur entretien et leur ornementation est une activité très prisée des frères du chapitre lors des quelques moments de temps libre dont ils disposent. C'est une des raisons pour lesquelles les space marines du chapitre sont connus pour leurs armures rutilantes et extrêmement ornementées. Seule une longue et difficile campagne peut entamer leur superbe. Chaque frère ne conserve avec lui que son bolter. Les autres armes sont remisées à l'arsenal quand leurs porteurs résident dans la forteresse. Comme pour tous les chapitres, il est rare que les frères résident longtemps dans leur forteresse monastère. Ils ne s'y attardent qu'entre deux campagnes, le temps que leurs blessures guérissent, que leurs armes soient réparées et de parfaire leur entrainement. Par conséquent, la plupart des blocs sont le plus souvent quasiment vides et ne résonnent que des pas des patrouilles d'Ecuyers, et du vrombissement des serviteurs d'entretien. Les cellules sont organisées en blocs qui correspondent aux escouades. Ces blocs sont groupés en sections qui correspondent aux compagnies. Seuls les officiers et la première compagnie disposent de quartiers à part, situés au deuxième et au troisième niveau. Blocs et sections sont séparées par des nefs et des cloîtres où les frères peuvent se retrouver. Il existe un refectoire par compagnie, annexé à chaque section. Une section à part abrite des cellules encore plus sobres que celles des frères. C'est là que résident les recrues du chapitre en cours de formation. Elles disposent d'un accès direct à l'Apothecarium où les recrues subissent les opérations chirurgicales et le suivis médical qui fera d'eux, à terme, des frères de bataille. Modifié le 27 février 2016 par Ser Eddard Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Frere Kris Posté(e) le 3 mars 2016 Partager Posté(e) le 3 mars 2016 Salut Ser ! Content de te lire à nouveau. Rien à dire, c'est bien écrit et cohérents. Peut-être le nombre de Serfs est-il un peu élevé. De mémoire le Roc tourne avec 800 Serfs (hors serviteurs). Il faudrait voir dans "la Bataille du Croc" combien de Serfs ont les space toutous. Ah, et une toute petite faute : La demeure des frères : Outre l'arsenal, ses unises Je suppose que tu voulais écrire "Usines". Sinon, c'est toujours agréable de te lire ^^ Fauit que je termine et t'envoi mon texte d'ailleurs... Tu repasse quand sur le Dafo exposer tes Anges ? F.K Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wulfen888 Posté(e) le 3 mars 2016 Partager Posté(e) le 3 mars 2016 (modifié) 800 serfs pour le Croc, ça me semble ridiculement peu, on parle quand même d'une forteresse monastère de la taille d'une montagne, de tout le chapitre à entretenir et tout. Si c'est dans une publi officielle GW, c'est vraiment du caca. (Je suppose que tu voulais dire Croc et pas Roc, mais ça doit être pareil pour le Roc.) Modifié le 3 mars 2016 par Wulfen888 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Frere Kris Posté(e) le 4 mars 2016 Partager Posté(e) le 4 mars 2016 Nan, je voulais bien dire le Roc. La Forteresse-Monastère des Dark Angels. Et oui, c'est une publication de GW : le roman "les Anges des Ténèbres" (de mémoire). C'est lors d'une conversation entre le Chapelain-Investigateur Boreas & Astellan. Hors, ils parlent bien de faire tourner la forteresse, uniquement. C'est sans compter les Serfs de la flotte, ceux qui servent les Compagnies, etc... Après, pour des SM, le nombre de Serfs doit dépendre de l'organisation du Chapitre. Un Chapitre où chaque SM à un (ou plusieurs) serf(s) qui lui sont directement soumis (comme les Salamenders par exemple) doit forcement avoir plus de serfs qu'un Chapitre ou il n'y a pas de serfs attribué à chaque Marine. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ser Eddard Posté(e) le 4 mars 2016 Auteur Partager Posté(e) le 4 mars 2016 (modifié) Je trouve que c'est ridiculement petit. Pour abriter 1000 astartes au max et 800 péquins, pourquoi avoir des forteresses énormes qui font la taille d'un astéroïde ou d'une montagne?????? Et surtout comment, avec si peu de monde, gérer toute la logistique, l'entretien du matos, la flotte (rien qu'une barge de bataille, y a plusieurs milliers d'hommes d'équipage.... bon, ils sont pas compté dans les effectifs de la forteresse monastère, mais c'est pour dire qu'un chapitre, c'est pas juste les 1000 SM, loin de là, déjà que ce chiffre est un peu aberrant......), la surveillance..... Il faudrait voir dans "la Bataille du Croc" combien de Serfs ont les space toutous. J'ai pas de chiffre en tête, mais y en a pas mal, toute une armée de FDP et d'autres. Moi je trouvais mon chiffre un peu faible en fait! Merci pour les retours sinon.... Modifié le 4 mars 2016 par Ser Eddard Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Uvogovine Posté(e) le 4 mars 2016 Partager Posté(e) le 4 mars 2016 Bah comment dire... A partir du moment où tu essaies de caser du réalisme dans 40K, tu vas forcément te heurter à un truc : un chapitre = 1000 hommes... Donc dur de faire de leur repère une forteresse gigantesque, sauf avoir une armée de gonz en soutien Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Piopio Posté(e) le 4 mars 2016 Partager Posté(e) le 4 mars 2016 Système automatisés, toussa... C'est sûr qu'au 41e millénaire les meuwinz sont incapables de faire des systèmes d'armes automatiques et d'en ajouter des couches et des couches. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TaoDogg Posté(e) le 5 mars 2016 Partager Posté(e) le 5 mars 2016 Et oui, c'est une publication de GW : le roman "les Anges des Ténèbres" (de mémoire). C'est lors d'une conversation entre le Chapelain-Investigateur Boreas & Astellan. N'oublions pas que c'est Gav Thorpe qui a écrit ce roman... Le truc des 800 serfs parait tout aussi improbable que la plupart des informations qu'il donne dans le livre. Je n'ai même pas su continuer son deuxième livre Dark Angels, sur la Ravenwing, tellement il était mauvais. Pourtant mon armée principale reste les Dark Angels. Sérieux quoi, ça voudrait dire qu'il n'y a moins d'un serf par marine pour l'équiper, entretenir ses armes et son armure, nettoyer sa cellule et exécuter ses commissions. Sans compter qu'il faut un certain nombre de serfs pour l'Arsenal et l'Apothecarion au moins, en plus des tâches administratives. N'oublions pas les serviteurs non plus, qui sont reliés aux systèmes de défense de la forteresse-monastère et occupent les postes de tir dans les aéronefs. D'autres sont aussi détachés auprès du commandement de la base et tous sont entretenus par l'Arsenal. Je pense que ça fait un paquet de gens. Système automatisés, toussa... C'est sûr qu'au 41e millénaire les meuwinz sont incapables de faire des systèmes d'armes automatiques et d'en ajouter des couches et des couches. Tu serais surpris mais l'Imperium, sous l'influence de l'Adeptus Mechanicus, déteste produire des IA. Ils n'ont pas confiance à cause du passé du Culte de Mars et préfèrent s'appuyer sur des humains transformés en serviteurs. Donc la plupart du temps tu auras des serviteurs qui contrôlent les systèmes d'armes, sauf pour des systèmes très rudimentaires possédant un esprit de la machine peu développé, comme les Tarantulas [ATTENTION SPOILER DE LA TRILOGIE NIGHT LORDS D'AARON DEMBSKI-BOWDEN] Ça n'a rien à voir avec les Dark Angels, mais dans le tome deux, il décrit l'attaque d'une forteresse-monastère des Marines Errant par les Red Corsairs. On y trouve des dizaines de milliers de serfs qui occupent des tâches aussi diverses que la surveillance de la forteresse et l'écriture de sceaux de pureté. Il est dit que la plupart des serfs n'ont même jamais vu un seul space marine de leur vie, et n'en verront probablement jamais, d'ailleurs les space marines ne vont presque jamais dans la plus grande partie de la forteresse-monastère, simplement parce qu'ils n'en ont pas besoin. Quand la forteresse est attaquée, les serfs semblent entrainés pour se battre en escouades, munis de fusils laser, et sont plutôt disciplinés, perso je dirais un tout petit peu meilleurs que les forces de défense planétaire. Les femmes occupent les mêmes postes et combattent de la même façon que les hommes. Rien que pour la comparaison, le vaisseau de la bande des Night Lords, qui n'est pas vraiment vouée au Chaos dans le roman, compte au début du troisième tome environ 30.000 humains et 92 Astartes à bord. Et apparemment ce chiffre est loin de se rapprocher de celui des effectifs d'un navire de cette taille lors de l'hérésie d'Horus. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lost Angels Posté(e) le 5 mars 2016 Partager Posté(e) le 5 mars 2016 Ils ont peut-être oublié un 0 et sa serait 8'000 et pas 800 serviteurs Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Aeneas Posté(e) le 5 mars 2016 Partager Posté(e) le 5 mars 2016 Je pense aussi qu'un chapitre doit avoir au moins un serf par marine plus un nombre plus ou moins élevé pour l'administration, l'entretien, la défense etc. Je pense donc plusieurs milliers de de serfs, 8000 me semble plus probable que 800 en tout cas. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Elaida Posté(e) le 5 mars 2016 Partager Posté(e) le 5 mars 2016 Un fluff perso sympa comme tout Ser Eddard. :) Bon pour les serviteurs, je pense que cela dépend du chapitre, j'imagine que certains SM sont plus indépendants que d'autre. Genre un chapitre orienté Iron Hand aura tendance à s'occuper lui-même de son arsenal avec l'aide de serviteurs triés sur le volet et beaucoup de décérébrés. Un chapitre tel que les DA aura un personnel limité de 'moines', allant et venant très discrètement. Un chapitre lancé dans une croisade comme les Black Templars auront autre chose en considération que d'entretenir une armée de valets, alors qu'un chapitre du style Ultra eux auront un paquet de gens dédiés à l'administration et l'entretien, etc etc. Ca doit dépendre aussi du genre de la forteresse monastère. J'imagine sans mal qu'un chapitre nomade aura beaucoup moins de personnel qu'un chapitre possédant une forteresse fixe. Tu serais surpris mais l'Imperium, sous l'influence de l'Adeptus Mechanicus, déteste produire des IA. Ils n'ont pas confiance à cause du passé du Culte de Mars et préfèrent s'appuyer sur des humains transformés en serviteurs. Donc la plupart du temps tu auras des serviteurs qui contrôlent les systèmes d'armes, sauf pour des systèmes très rudimentaires possédant un esprit de la machine peu développé, comme les Tarantulas Attention, automatisation ne signifie pas gestion par une IA. Il suffit de voir une usine automobile, quasi tout les outils de productions sont automatisés et ne requiert que la présence/contrôle de quelques personnels. Je pense que même si l'AM rejette les I.A, il n'en va pas de même pour les systèmes automatisés, sous gestion des serviteurs mécanisés probablement (le rêve de tout industriel lol ) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Aeneas Posté(e) le 5 mars 2016 Partager Posté(e) le 5 mars 2016 Un chapitre nomade aura besoin d'équipages pour sa flotte. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Elaida Posté(e) le 5 mars 2016 Partager Posté(e) le 5 mars 2016 (modifié) Un chapitre nomade aura besoin d'équipages pour sa flotte. Oui bien entendu^^. Je voulais dire en gros qu'un SM n'a pas besoin d'avoir 5 serviteurs pour lui seul. Qu'est ce qu'il en ferait de toute façon? Considérer les SM tels des chevaliers du moyens âge, ça ne cadre pas avec l'image qu'ils ont je trouve. A mon avis, seuls les officiers ont un 'écuyer' attitré. Et là aussi, ça doit dépendre des traditions du chapitre. Certains doivent en avoir des milliers voir plus, comme les Ultras, qui ont un poids politique très important, d'autre genre les DA doivent se débrouiller pas mal seul, même si le Roc est immense. Les DA je les vois bien reclus sur eux même, avec quelques serviteurs qui trainent, muets si possible, les secrets, toussa^^. J'imagine qu'ils sont rassemblés dans un endroit précis du Roc et ne fréquentent quasi jamais les humains chargés de l'entretien. Bref des gens chargés de l'entretien il y en a surement un paquet, mais ils doivent le plus souvent former une communauté bien à l'écart des SM. On ne mélange pas les torchons et les serviettes, non mais^^ Modifié le 5 mars 2016 par Alethia Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ser Eddard Posté(e) le 5 mars 2016 Auteur Partager Posté(e) le 5 mars 2016 (modifié) Les serfs d'un chapitre ne sont pas là que pour assister les marines au quotidien... Une forteresse monastère est..... une forteresse (le scoop!). Et une forteresse vide ne sert pas à grand chose. Sachant que les marines sont à droite à gauche à combattre ailleurs, il n'y en a pas beaucoup en permanence sur le monde d'origine du chapitre (puisque il y a ce chiffre aberrant de 1000...). Faut de la troupaille pour garder la place, veiller à ce qu'il n'y ait pas de problèmes, entretenir les lieux. Les serviteurs et systèmes automatisés peuvent faire une grosse partie du taff, c'est vrai, mais vus les endroits colossaux dépeints dans le fluff et les illu, faut quand même un minimum de monde. Et puis faut recycler ceux qui n'ont pas passé les tests pour devenir marine.... certes, y a au choix la possibilité de les renvoyer chez eux, mais c'est quand même compliqué de renvoyer des mecs comme si de rien était dans leurs tribus, ou de les éliminer.... solution comme une autre à 40K. En faire de fidèles serfs est une troisième solution qui peut être plus profitable pour le chapitre. Il me semble que les "karls" décrit dans la bataille du crocs sont des candidats ayant échoué aux tests pour devenir marine. Sinon, suite de la description de la Tour de Lumière: Le deuxième niveau : Le cercle de lumière : Le diamètre du deuxième niveau est un peu moins grand que celui du premier. Avec le premier et le troisième niveau, ils forment des cercles concentriques qui se rétrécissent pour supporter l'amoncellement de flèches du quatrième niveau, le pinacle d'argent. D'énormes batteries anti aériennes et orbitales viennent casser la monotonie des arc boutants et des immenses facades percées de vitraux colossaux. Ici sont notés les lieux les plus notables de ce niveau : La demeure des preux : La première compagnie dispose ici d'une section à part. C'est un grand honneur qui accompagne la nomination au sein des vétérans du chapitre que d'investir une de ces cellules. Elles sont plus spacieuses que celles des simples frères et plus ornementées. Chacune dipose d'un petit oratoire où se trouvent des icônes saintes représentant l'Empereur et le primarque. Des salles d'entraînement spécifiques s'y trouvent également, notamment pour le port de l'armure tactique dreadnought. Les blocs de cellules correpondent ici aux cinq confréries qui composent la 1ere compagnie. Chacune possède des salles d'entraînement spécifiques à leur mode de combat. La plus petite mais aussi la plus reclue est celle des archanges, élite de l'élite des Light Bearers. Le hall des justes : cette grande nef, disposant de nombreux bas côtés, est une ode à la gloire de la première compagnie. Des bannières et armes antiques y sont entreposées et nombreuses sont celles qui portent les stigmates de combats anciens. D'innombrables cierges y brûlent en permanence, renouvelés par des serviteurs de type chérubins, en souvenir des héros du chapitre tombés sur le champ de bataille. Des fresques, des tapisseries et autres bas reliefs illustrent leurs exploits afin qu'ils résonnent encore et toujours à travers les siècles. C'est également dans cette salle qu'ont lieux les rites d'intronisation dans la première compagnie et ceux propres à chaque confrérie quand ils n'ont pas lieux très loin de Sanctuary, directement sur le champ de bataille. Les baies d'embarquement : C'est au deuxième niveau que se trouvent les plus grandes baies d'embarquement de la forteresse. Lorsqu'une grande campagne est en préparation, ces immenses hangars sont tels des ruches où les serviteurs sont autant d'abeilles bourdonnantes qui acheminent matériel et munitions dans les thunderhawk dont le ballet incessant emplissent les lieux de rugissements assourdissants. Les grands ascensceurs, capables d'acheminer d'énormes land raiders, montent leurs monstres d'acier depuis l'arsenal. L'apothecarium : l'apothecarium du chapitre est similaire à ceux que l'on retrouve chez les autres astartes. Les salles d'opération carrellées de blanc, les laboratoires divers où officient les apothicaires tranchent par leur fonctionnalité et les nombreux appareils et outils médicaux qui s'y trouvent avec le style gothique, sombre et surchargé du reste de la forteresse. Une odeur de produits chimiques plane en permanence. C'est ici que les recrues subissent les nombreuses opérations qui les transforment en Space Marines, et que se trouvent des salles d'opération spéciales pour créer des serviteurs ou intégrer le corps mutilé d'un frère dans un dreadnought. Seule la salle de la genèse, où sont conservées les implants et le patrimoine du chapitre, ainsi que les glandes progénoïdes récupérées sur les frères défunts, prend la forme d'une chapelle ornementée. Des serviteurs de combats, des systèmes d'armes automatisés, et tout un ensemble de systèmes de détection font de cet endroit l'un des lieux les plus inviolables de la forteresse. Le troisième niveau : l'Ascension :Bien plus réduit dans son diamètre que les deux autres niveau, le troisième est cependant le plus haut, atteignant la bagatèle de 175 mètres d'élévation. Des ascenseurs permettent de se déplacer au sein des étages. Ses facades de pierres sont percées d'innombrables fenêtres. La section centrale, d'environ 30 mètres, est composée d'immenses vitraux qui sont renforcés par des montants fait d'alliages hyper résistants capables de résister à des tirs directs de canons de cuirassiers. Statues d'anges, arc boutants et flèches continuent à ponctuer les enceintes et créneaux jusqu'au sommet. Lieux notables : Le Librarium : le domaine des archivistes du chapitre est composé de nefs de plusieurs dizaines de mètres de haut dont les parois sont couvertes de parchemins, d'anciens grimoires et receuils divers. La connaissance joue un rôle important dans les doctrines de Merevius. Cependant, pour les Light Bearers, la connaissance n'est pas à mettre dans toutes les mains, et les archivistes veillent jalousement sur leurs secrets. De nombreux chérubins virevoltent entre les colonnes et les étagères de pierres, apportants rouleaux et grimoires aux copistes et à leurs serviteurs humains chargés d'y consigner les hauts faits des membres du chapitres. On y trouve une foule de traités sur les xenos, sur l'organisation impériale, sur le warp. Mais les ouvrages renfermant des connaissances devant rester secrètes, ainsi que les ouvrages les plus précieux que possède le chapitre se trouvent dans l'Arcanum. Cette salle circulaire, protégée par des sceaux psychiques et de nombreux systèmes de défense, se trouve au centre du librarium. En son point central se dresse un pied d'estal sur lequel repose un énorme grimoire. Un rayon de lumière, captée aux moyens de mirroirs, illumine ses pages de parchemins enluminées. Il s'agit de la version originale du code de la pureté, écrite de la main de Merevius lui-même. C'est l'ouvrage le plus sacré du chapitre, et lorsque les officiers le consultent, seuls autorisés à tourner ses nobles pages, c'est avec la plus grande déférence qu'ils parcourent ses lignes de caractères en haut gothique. D'innombrables copies de cet ouvrage ont été réalisées, et chaque frère en possède une version. A côté, mais légèrement en retrait, se trouve une version du codex Astartes remontant au 36ème millénaire. Attenantes au librarium se trouvent les salles d'entraînement et les cellules des archivistes. Les appartements du Grand archiviste se trouvent juste au dessus. C'est une cellule plus spacieuse disposant de nombreux pupitres où Asharus, le grand archiviste en titre, peut s'abandonner à l'étude des secrets du chapitre. Le reclusiam : immense cathédrale illuminée de nombreux cierges et baignée en permanence de fumées d'encens dégagées par des braseros et des encensoirs agités par des serviteurs, il sert au culte et aux rites du chapitre. Sa grande nef est capable de recevoir la totalité du chapitre et il occupe ainsi, avec le librarium, la plus grande partie du troisième niveau. C'est là que les chapelains officient. De grands ascenseurs permettent de s'y rendre depuis le pied de la forteresse, situé des centaines de mètres en-dessous. Des reliques guerrières y sont conservées. De nombreuses chapelles y sont rattachées. Si les effigies de l'Empereur dominent, on y trouve également de nombreuses effigies d'anges, et une chapelle est totalement dédiée à la mémoire de Merevius. La lumière joue un rôle important dans les croyances et doctrines Light Bearers. Le Reclusiam se situe à l'endroit où la forteresse émmerge peu à peu de la chape de nuages qui recouvre Sanctuary en permanence. La lumière d'Aeron, l'étoile qui donna son nom au système, pénètre par de grands vitraux, et ainsi, le jour, le reclusiam tranche avec le reste de la forteresse par sa luminosité alors que les niveaux en dessous sont perpétuellement plongés dans la pénombre, battus par les vents et la pluie. Le cloître d'éternité : cet immense cloître à l'architecture surchargée entoure une vaste esplanade où quelques plantes sont entretenues par des serviteurs. Il jouxte la grande nef du réclusiam et les frères du chapitre aiment à s'y rassembler après les offices. A ciel ouvert, la lumière du soleil parvient jusqu'ici la plupart du temps. Les volutes de brume et de nuages viennent envelopper les statues d'anges et des héros du chapitre qui environnent cet endroit. Modifié le 5 mars 2016 par Ser Eddard Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ser Eddard Posté(e) le 8 mars 2016 Auteur Partager Posté(e) le 8 mars 2016 Suite et fin de la description de la forteresse monastère: Le quatrième niveau : le pinacle d'argent : Contrairement aux autres, le quatrième niveau n'est pas fait d'un seul bloc. Il est composé d'immenses flèches qui émergent du troisième niveau. D'immenses statues les côtoient. Cette partie de la forteresse émmerge de la masse de nuage de Sanctuary. Elle est également fait d'une pierre plus claire et lorsque les rayons d'Aeron viennent frapper les tours, elles scintillent telle l'esprit saint de l'Empereur. Le dôme de la pureté : Cette grande salle circulaire occupe le sommet de la flèche la plus haute. Elle est surmonté d'un vitrail en forme de dôme qui laisse passer la lumière du soleil. Seul des bas-côté bordés de colonnes restent dans l'ombre. Cette pièce, petite en comparaison de beaucoup d'endroit de la tour de lumière, est pourtant l'une des plus importantes dans les croyances et les doctrines du chapitre. C'est également l'une des mieux protégées. Des sceaux psychiques très puissants empêchent toute intrusion non souhaité depuis le warp. Car cette salle est celle qui sert au rite de l'Illumination. Les grands maîtres suprêmes du chapitre doivent y subir et repousser une tentative de possession démoniaque. Nul ne sait comment les Light Bearers invoquent ces entités et quels sont les sombres secrets qu'ils utilisent. Lors d'un rite de l'Illumination, la salle est protégées par les Archanges, et le Maître de la foi veille, pistolet bolter au poing, à ce que la paix de l'Empereur soit apportée à un aspirant qui échouerait. Les archivistes du chapitre sont chargés d'entretenir les sceaux et autres protections psychiques. Quant à l'invocation, c'est un secret dont aucun Light Bearer qui assiste à ce rituel n'a le droit de parler. Comme protection supplémentaire, des charges explosives sont fixées à la base de la salle et réduiraient le sommet en poussière en cas de danger important. La tour des anges : il s'agit d'une des principales tours composant le 4ème niveau. Son accès est réservé aux membres du cercle intérieur. C'est là que celui-ci se rénunit pour aborder les questions devant demeurer secrètes : tout ce qui concerne la Némésis du chapitre, les liens que les Light Bearers entretiennent avec l'Inquisition sont discutés et débattus ici lors d'assemblées présidées par le Grand Maître Suprême du chapitre. Cependant elle est peu utilisée car les illuminés sont la plupart du temps à la tête des détachements qui combattent à travers la galaxie. Un système de communication à très longue portée, et des générateurs d'hologrammes permettent cependant de convoquer le cercle intérieur où que soient ses membres en cas d'urgence. Le haut pinacle : il est la deuxième tour la plus haute après celle qui supporte le dôme de la pureté. C'est là que se trouvent les appartements des capitaines et des maîtres. Ils sont composés pour chacun de plusieurs pièces, oratoires, salles d'arme, et le mobilier y est plus varié que dans les cellules des frères du chapitre. Les plus spacieux, qui composent le dernier étage de la tour, sont ceux du grand maître suprême où celui-ci dispose de tout ce dont il a besoin, dont un certain nombre de serviteurs, pour commander et diriger le chapitre. Comme chez les Impardonnés, les officiers du chapitre sont des êtres taciturnes, froids et calculateurs plutôt que des meneurs d'homme charismatiques. Cependant, ils sont adulés par les frères du chapitre qui voient en eux un idéal à la fois martial et mystique à atteindre. Le tout est organisé autour du strategium, une salle d'état major où les officiers du chapitre peuvent planifier et suivre toutes les opérations en cours ou à venir. La tour des voyants : Cette tour fine et élancée abrite le choeur astropathique du chapitre. Des serfs psykers, assermentés et ayant subi le rite de l'unification des âmes et fournis par l'Adeptus Terra, permettent au chapitre d'entretenir des communication à longue distance. Ils ne quittent que rarement la tour et sont sous bonne garde, les archivistes les gardant toujours à l'oeil. Un grand pont, qui domine le vide, relie directement la tour des voyants et le haut pinacle. Il permet un accès direct au Strategium afin d'apporter le plus vite possible les dernières nouvelles, ordres et requêtes qui pourraient parvenir au chapitre. De grands dômes ornementés reposent également sur la masse du troisième niveau. Ils renferment les énormes générateurs de boucliers qui sont la première protection de la forteresse contre un éventuel bombardement orbital. La Tour de Lumière constitue ainsi un ensemble monumental et une forteresse extrêmement bien défendue. Au cours des millénaires qui composent l'Histoire du chapitre, elle n'a eu à subir que trois attaques. A chaque fois, ces fines tours à l'apparence fragile ont montré leur résistance étonnante et prouvé le génie des prêtres de l'Adeptus Mechanicus qui les ont conçu en résistant à des tirs nourris depuis l'orbite. L'attaque qui réussit le mieux vint cependant de l'intérieur. Anténax parvint un jour à percer les défenses psychiques de la forteresse et envoya ses serviteurs la détruire de l'intérieur. Les combats contre les démons durèrent des semaines et on craignit que l'Evènement, simple nom que les frères donnent à l'incident dans le warp qui façonna le chapitre tel qu'il est aujourd'hui, ne se reproduise. Mais plus que jamais, l'endoctrinement issu des enseignement de Merevius montra que les Light Bearers étaient doué d'une foi et d'une volonté dépassant l'entendement. Il fallut tout de même le retour du grand maître suprême, accompagné d'alliés chevaliers gris, pour mettre un terme à l'invasion. Des salles entières furent purifiées par le feu et reconstruites selon des rites bien particuliers. Mais à part cet épisode douloureux, qui rappella au chapitre le danger qui plane sur lui en permanence, la Tour de Lumière demeura inviolable. Elle est le centre qui sert de repère à tout le chapitre, le symbole de son existence et de sa culture, abritant toute l'histoire des Light Bearers. Pour les habitants de Sanctuary, elle est un lieu mythique, inaccessible. Ils savent que depuis cet endroit mystérieux, les anges noirs de l'Empereur veillent sur eux, mais les surveillent également et sont sucseptibles de venir les punir de leurs péchés. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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