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Un millier de fils


Undred

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[center][i] [/i][b][u]Un millier de fils :[/u][/b][i]


« Quel est votre devoir ? Regarder l'univers droit dans les yeux et lui
faire face avec insolence. Mourir un juron aux lèvres et le doigt sur la
détente. Savoir que vous êtes condamné, mais essayer malgré tout. »
Inquisiteur Soldevan, Ordo Hereticus[/i]

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Le ciel est couleur de sang et de charbon, recouvert par une chape de lourds nuages noirs qui s'enroulent avec mollesse autour de la tour qui transperce le ciel chaviré, comme une lance transperce le corps de son ennemi, elle porte encore les bannières en l'honneur de l'Empereur-Dieu, éclaboussées de sang et certaines trouées par des tirs perdus. L'air était étouffant, tant à cause de la chaleur des incendies et de l'électricité statique qui venait toujours avant les orages. L'air convoie l'odeur de fumée, de chairs carbonisées et de poudre qu'emploient les belligérants avides de sang, maquillés sous les oripeaux nobles de la justice ou de la liberté, leurs armes déchirent ce monde. L'air retentit des cris des agonisants, des staccatos des armes et des pièces d'artilleries, rugissant leurs suppliques aux cieux insensibles.

Mais l'atmosphère, elle, est chargée de la peur, de la mort et de la folie. Elle véhicule les énergies de l'Immatérium qui s'enroule autour des partisans de cette démence. Kario s'est replié sur elle-même, déchirée par les révoltes brutales et les séditions. Les forces de défense planétaire s’étaient divisées en trois groupes. D'un côté, les loyaux à l'Impérium, de l'autre, les rebelles et au milieu, insensible à la querelle qu'ils avaient pourtant rejoint et payé du prix fort, les morts. C'est là que le destin se joue, dans cette tour défiant les cieux et les hommes, éclaboussée de sang et témoin de leurs vanités futiles, derrière des murs de plastobéton et d'adamantium, que va se jouer l'une des pièces les plus importantes de cette planète et du destin d'une poignée d'âmes humaines étroitement enlacées dans une danse macabre. Ils vont se déchirer et se battre, sous le rire et le regard moqueur des dieux assoiffés de sang.

Les combats avaient endommagés les cages d'escalier de la tour, marquant comme autant de stigmates le plastobéton des murs d'innombrables cicatrices, les combats avaient fait rage au début et seulement quelques minutes auparavant. Le premier affrontement était le signal qu'avaient attendu les traîtres et les hérétiques de ce monde pour lancer un assaut contre les dirigeants légitimes. Et le dernier affrontement en date a vu une escouade de courageux et valeureux hommes, affronter les traîtres bien décidés à défendre cette tour au prix de leurs vies. L'assaut avait été mené par l'inquisitrice Nastya Brisevire, dans l'espoir fou d'empêcher d'autres rébellions alors en arrachant le cancer qui ronge cette endroit. Maintenant, elle est partie faire face à son destin, regrettant de ne pouvoir emmener d'autres soldats avec elle, mais les rebelles lançaient assaut sur assaut sur les positions loyalistes. Les perdres équivaudrait à perdre la planète, alors que la mort de l'investigateur de cette folie influencerait à plus long terme le secteur. Elle se mentait à elle-même, elle ne voulait pas que d'autres soient témoins du secret que l'investigateur portait avec lui.

Elle grimpe les marches maculées de sang et de viscères, accompagnée par Astrid, son assassin personnel. Son épée énergétique, œuvre d'un artiste aujourd'hui mort, léguée par feu-son mentor, une arme d'une facture exceptionnelle, jette des éclairs semblables à l'ire d'un dieu dans la pénombre parfois déchirée par les lumiglobes moribonds, témoins de la vaillance des esprits de la machine à lutter pour vivre encore quelques minutes supplémentaires. Les éclairs se reflètent dans l'aigle bicéphale de son armure carapace ouvragée de main d'un maitre artisan ayant maintenant rejoint l'empereur. Sur ses talons, vêtue d'une tenue sombre comme la nuit, spécialement conçue pour elle, la mort des hérétiques et des traîtres la suivent, maniant deux poignards énergétiques affûtés, Astrid, prêtresse du culte de la mort de Kerlos.

La cage d'escalier était remplie de l'écho de la mort et du tourment de ceux tombés pour leurs causes. Surgissant de derrière une porte comme un démon sortant d'un horrible cauchemar, un garde, baïonnette en avant, lance dérisoire, symbole phallique pitoyable, se jette sur les deux femmes qui vont à la rencontre de leurs destins, ses intentions belliqueuses récompensées par les réflexes surhumains d'Astrid qui lui tranche la tête d'un mouvement plus rapide que l’œil. Le bref interlude n'arrête ni l'une ni l'autre. Les deux se campent devant la dernière porte qui marque la fin de leurs parcours. Nastya déclare à sa collaboratrice et amie, pour autant qu'elle puisse considérer Astrid comme une amie :
« Je recommanderai vos services à l'Empereur, Astrid, vous m'avez été fidèle tout le long de votre vie ! »

L'assassin n'était pas du genre théâtrale, mais l'irrévocabilité du ton de l'inquisitrice lui glaça la moelle. Avant qu'elle ne puisse la questionner davantage, l'inquisitrice ouvrit la porte et pénétra, épée au clair, outrepassant les règles de prudence les plus élémentaires, elle hurle :
« Léondrin ! Arrête de te cacher, c'est l'heure de faire face à ton destin.»

Dans les ténèbres de cette tour, dans la pièce la plus haute, contemplant la destruction et la guerre, qui, malgré les nuages, étaient visibles à cause du tonnerre de l'artillerie, il contemple comme un dieu despotique regarde ses ouailles combattre et mourir en Son nom, en une parodie du maître de l'humanité qu'est l'Empereur-Dieu, se dresse l'inquisiteur Léondrin. Il se retourne sans se presser pour les dévisager et contempler leur avancée, la mine sombre, mais résolu. Il était grand, un homme d'une stature majestueuse, son corps musclé engoncé dans une armure carapace couverte de sang et de fragments de chair, l'aigle impérial bicéphale encore visible malgré les traces de laser qui avaient fait fondre les extrémités ailés, ses yeux bleus, enfoncé dans ses traits burinés, luisent de l'éclat des fanatiques persuadés d'avoir fait le bon choix. Il tient dans ses mains gantées une terrible épée énergétique qui avait été ointe du sang des fous qui avaient eu l'audace de l'affronter, une œuvre d'art, un témoin des âges glorieux de l'humanité. Sa voix ronflait comme le moteur d'un Leman Russ :

« Nastya, te voici. »

« Je t'interdis de m'appeler comme ça, Inquisiteur Léondrin Talbein. Tu n'es qu'un hérétique et un traitre. Je vais nettoyer la galaxie de ta présence nauséabonde. »

Astrid sort une paire de dagues de jet, prêtes à être lancées sur la cible, mais elle se sentait comme paralysée par cet instant. Elle avait l'impression étrange que cet moment était la conjonction de destins multiples et elle sentait, au fond d'elle, que quoiqu'il se passerait, quelque chose allait changer profondément. De la baie panoramique, la lumière qui se déverse du soleil rouge de ce système solaire, donne à la scène un éclat sanguin, reflet probable du sang qui allait s'écouler bientôt. Léondrin reprit, d'une voix calme et sereine :

« Je ne suis ni un traitre ni un hérétique. Ce que je fais, je le fais pour le bien de l'Impérium et de l'Empereur. Je le fais pour l'avenir de l'humanité. Tu comprendrais si tu prenais le temps d'analyser la situation. »

« J'ai eu le temps. J'ai eu le temps de voir les dégâts que tu as causés par tes séditions et tes créations de rébellions. Chaque planètes que tu as visitée a été soulevée par des vagues d'émeutes et d'hérésies. Nous avons perdu d'innombrables âmes vaillantes dans des guerres que tu avais causées. Plusieurs milliers d'innocents sont morts. Une planète a dû être détruite, même. Et tu prétends le faire pour le bien de l'humanité ? »

« La guerre qui a purgé le bon grain de l'ivraie. Chaque guerre que l'humanité fait est un moyen de se renforcer. À chacune des guerres majeures que nous avons subies, nous avons connu des flambées de foi et de technologie stupéfiantes. La guerre nous renforce. Quant aux âmes que j'ai expédiées dans le Warp... combien d'âmes innocentes ont été détruites par tes exterminatus, Nastya ? Un million ? Deux ? Dix ? Cent ? Mille ? Ne m'accuse pas de détruire des innocents, tu en as tuée bien plus... »

« J'ai détruit ces mondes, car tel est le destin de ceux qui pactisent avec les démons et se perdent du droit chemin... »

La main d'Astrid se détend envoyant un dard d'acier sur l'Inquisiteur corrompus, profitant de la conversation pour mener une attaque foudroyante. La dague vole dans les airs, se dirigeant vers la tête de l'inquisiteur. Il se déplace plus vite qu'Astrid ne l'avait prévu. Il bouge légèrement la tête et la dague se plante dans le verre derrière lui. Elle reste un instant statufiée. Aucun humain n'avait esquivé une de ses dagues. L'inquisiteur lève la main et aussitôt, les membres d'Astrid sont liés par quelque chose de plus solide que l'acier. L'assassin tombe au sol, entravée, se débattant pour sortir des liens que les talents de Psyker de son adversaire avaient convoqués pour la lier au sol.

Nastya ne quitte plus des yeux Léondrin, l'homme qu'elle avait admirée, qu'elle avait considérée comme l'inquisiteur n'ayant aucun reproche et aucune crainte. Sa trahison lui poignardait le cœur et l'emplissait d'une haine et d'un dégoût sans fin. Dire qu'il avait été son amant à une époque. Ils se rapprochent, épée au clair, prêts à se battre. Comme c'est anachronique songe-t-elle. Les deux étaient dotés de pouvoirs psychiques de même niveau et de maîtrises égales. Elle n'a plus de munitions de son pistolet bolter, mais lui ne semblait pas vouloir en finir, il déclare tout simplement :
- « Je ne suis pas un traître ni un hérétique ! Pour l'Empereur !»

Elle ne perd pas sa salive à lui répondre et lui donne une estocade en visant sa gorge, il la pare et contre-attaque en tentant de transpercer la femme de son épée. Les deux étaient des épéistes confirmés. Mais leurs styles divergeaient. Nastya privilégiait la défense et la riposte, alors que Léondrin était partisan de l'attaque soigneusement calculée. Elle tente une botte vers son bas-ventre qu'il pare avant de diriger sa lame vers sa gorge et de tenter de la décapiter. Elle le bloque, mais doit faire face à un véritable déluge d'acier. Sa défense malmenée par la force de son adversaire, manque de céder. Il attaque avec la vivacité du duelliste confirmé, sans perdre son calme ni céder à l'impatience, elle réussit à rompre l'échange pour passer à l'attaque en alternant feinte et botte. Soudain, la main gauche de Léondrin se détendit et un objet vola vers le front de Nastya, qui ne put esquiver. L'objet lui cogna le front, l'entaillant. Elle titube et ce faisant, elle oublie pendant un bref instant son mouvement d'escrime.

Léondrin d'un mouvement brutal de l'épée, lui tranche le bras. Elle hurle, tandis qu'un flot de liquide vermeil jaillit de la plaie. Elle titube et tente d'empêcher la lame de Léondrin d'en finir avec elle en interposant son autre bras entre la lame et son visage. Le mouvement suivant, son bras vole et rejoint le premier au sol, tandis que la pointe de l'épée lui trace un I sanglant sur le visage, manquant de peu son œil. Elle s’effondre en arrière, s'allongeant dans la flaque de son propre sang. Léondrin la regarde, ses yeux vont de l'objet qui lui a permis de prendre l'avantage, sa rosette inquisitorial, un I en or massif, surmonté d'un crâne, il le ramasse puis, tandis qu'elle agonise, il prononce en se détournant, affligé malgré lui de l'issu du duel :
« Acta est fabula... »

Elle gargarise une insulte qui se noie dans des gémissements de douleur.

« Je suis désolé. »

L'inquisiteur Léondrin s'éloigna et s'enfonça dans les ténèbres. Nastya avait arrêté de gémir, la douleur est partie et avec elle, ses forces. Elle était si fatiguée, si épuisée... Le soleil rouge qui réchauffe ses membres transits lui sembla la plus belle chose qu'elle ait pu contempler. La lumière devient de plus en plus forte et aveuglante, oblitérant tout... au loin, quelque part, quelqu'un s'époumonait en appelant en vain un médic... ses appels sont couverts par le rire des dieux avides de sang...

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Le sang des martyrs est la sève de l'Impérium.
Mieux vaut mourir pour l'Empereur, que vivre pour soi-même.[/i][i]Mieux vaut mourir pour l'Empereur, que vivre pour soi-même.[/i][/center] Modifié par Undred
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Un texte plutôt sympa dans son ensemble mais je l'ai trouvé trop... pompeux. Tu utilises beaucoup trop d'adjectifs... je ne pense pas qu'on ait besoin de tout ces détails.

Un passage qui m'a semblé trop lourd et redondant:[size="2"] [color="#330000"][quote]œuvre d'un artiste aujourd'hui mort, léguer par feu-son mentor, [/color][color="#330000"]une arme d'une facture exceptionnelle, jette des éclairs semblables à l'ire d'un dieu dans la pénombre parfois déchirée par les lumiglobes moribond,[/color][color="#330000"][/quote][/color][/size]

Autant de détails ne sont, à mon avis, pas nécessaires.. L'intention est louable mais tu veux en dire beaucoup trop pour ne rien dire.. Si cette arme est l'oeuvre d'un artiste, elle est forcément exceptionnelle, on ne s'improvise pas artiste (d'ailleurs, j'aurais plutôt un truc avec "orfèvre" ça sonne mieux à mon goût); mais par contre pourquoi est ce que c'est le mentor qui l'a filé au gars qui est censé l'avoir faîte? Bon la fin de la phrase... beaucoup trop exagérée..

Je pense que tu cherches à rendre un côté "épique et solennel" à ton texte sans pour autant te relire et te demander si ce que tu écris ne fait pas too much..

Pour faire un mauvais jeu de mots avec le titre de ton sujet: c'est cousu de fil blanc..

Pour finir cette mini critique, attention à ton orthographe et au vocabulaire.. c'est une tare et des fois on a du mal à comprendre ce que tu veux dire. Exemple tout bête:
[color="#330000"][size="3"][quote] lui sembla la plus belle chose qu'elle aille plus contempler[/quote][/size][/color]
Lui sembler la plus belle chose qu'elle aller plus contempler --> ce que tu as dit, avec des infinitifs.

Lui sembla la plus belle chose qu'elle eu pu contempler. (ma conjugaison n'est surement pas excellente mais je pense que ça se tourne comme ça..)
Lui sembla la plus belle chose qu'elle avoir pouvoir contempler --> ce que tu aurais dû dire, avec des infinitifs. Modifié par Remoraz_cool
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L'histoire est sympa, je trouve que le côté "too much" évoqué par Remoraz aide justement à retranscrire le Grimdark de l'univers de 40k. Je veux dire par là que dans le 41eme millénaire tout est dans la démesure et la surenchère donc du coup c'est sympa (ok, je vais arrêter avec "sympa" et trouver un synonyme).

Sur la forme, l'utilisation du présent met le lecteur dans l'action. Le soucis c'est que tu le mélange allègrement avec le passé, parfois au sein d'une même phrase.

ex : [quote][color="#330000"][size="2"]Astrid sort une paire de dague de jet [...] mais elle se sentait [...] [/size][/color][/quote]

Fais gaffe à la concordance des temps.

En fait, c'est le gros soucis du texte. Peut-être pourrais-tu faire une première partie descriptive au passé, où tu pourrais justement introduire le côté grandiloquent de l'univers, avant de dérouler, dans un second temps, l'action au présent, où les descriptions seraient justement réduites puisqu'introduites précédemment, te permettant de te concentrer sur la partie épique.

Ça et une petite relecture après coup ( les fautes, c'est comme les manques d'espace ça attire l’oeil [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/wink3.gif[/img] )
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Pompeux et solennel : Intentionnel de ma part. [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/whistling.gif[/img]

Et le côté "Too much" est récurent dans W40K, donc, j'ai juger que tant a faire un texte avec description, autan user et abuser de superlatif, après, chacun est juge et je comprend vos dires.

Quand aux fautes, j'en ai toujours fais beaucoup et malgré les relectures, on n'efface pas toutes les erreurs dans mes textes.




Merci pour les critiques. ^^



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Alors, ton texte est pas trop mal, mais il me semble tout de même, que lorsqu'un bras est coupé, c'est pas un flot mais un véritable ras de marée et la douleur plus la perte de sang entrainent très rapidement perte de connaissance. On m'a raconté l'histoire d'un gars ayant eu la jambe coupée par une machine outil et la seule chose qu'il ai eu le temps de faire ca a été de mettre son pouce dans l'artère pour stopper l'hémorragie.
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  • 3 semaines après...
Bonjour,

Je rejoints Remoraz sur l'utilisation abusive d'adjectifs. C'est particulièrement flagrant dès... la première phrase... :unsure:

[quote]Le ciel est couleur de sang et de charbon, recouvert par une chape de lourds nuages noirs qui s'enroulent avec mollesse autour de la tour qui transperce le ciel chaviré, comme une lance transperce le corps de son ennemi, elle porte encore les bannières en l'honneur de l'Empereur-Dieu, éclaboussées de sang et certaines trouées par des tirs perdus.[/quote]

Faut s'accrocher pour respirer...Autant utiliser beaucoup de superlatifs pour évoquer le côté trotrodark de 40k ne me dérange pas plus que ça, autant là...La phrase telle quelle est, désolé pour l'expression, imbuvable...

Je constate que peu de gens pensent à utiliser le point virgule ce qui est dommage et qui permet pourtant beaucoup de chose en écriture.

Pour revenir à cette phrase, la scinder en deux ou modifier la ponctuation permettrait de la rendre plus simple et plus lisible.

[quote]
Newlight

Posté 04 août 2013 - 11:18
Alors, ton texte est pas trop mal, mais il me semble tout de même, que lorsqu'un bras est coupé, c'est pas un flot mais un véritable ras de marée et la douleur plus la perte de sang entrainent très rapidement perte de connaissance. On m'a raconté l'histoire d'un gars ayant eu la jambe coupée par une machine outil et la seule chose qu'il ai eu le temps de faire ca a été de mettre son pouce dans l'artère pour stopper l'hémorragie.
[/quote]

[quote]
Undred

Posté 04 août 2013 - 13:50
C'est exact. Et tout dépend de la zone où tu coupe, suivant les zones, tu aura plus ou moins de sang, au niveau du coude par exemple, il y aura une artère tranché et une perte de sang très importante dans un délai réduit. ^^
[/quote]


Ben pour moi, si tu coupes un bras avec une épée énergétique, tu cautérises en même temps...Donc l'épanchement fluvial de sang, j'y crois moyen là.

Bon c'est un détail mais j'aurais plus parié sur la perte de connaissance, le fait que Léondrin (chouette patronyme au passage) attende qu'elle se reveille, lui dise trois-quatre truc et l'achève ou la laisse sur place comme une chaussette.

Une suite est prévue? Parce que le fin donne un sentiment d'achèvement même si la guerre évoquée en arrière plan peut laisser entrevoir un dévelopement futur.

Une dernière chose:

[quote]Un millier de fils :
[/quote]

Quel rapport avec ton texte??

Je demande parce que comme c'est aussi le titre d'un "roman" se rapportant aux Thousand Sons je m'attendais à ce qu'ils soient, sinon décrits, au moins évoqués.

Mes deux sous,

Crio
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