criomega Posté(e) le 3 octobre 2013 Partager Posté(e) le 3 octobre 2013 Bonjour à tous, Voici un one shot que j'avais écrit il y a fort longtemps. De mémoire ce devait être un essai scolaire pour mon frère d'où l'absence de références de fluff trop profondes (ben oui, il s'agissait de ne pas perdre le prof en route, c'eût été ballot ) --------------------------------------------------------------------------------- Le Mig-29 se lança dans une courbe gracieuse, l’aile se déformant légèrement sous la pression de l’air. Le paysage morne défilait sous la carlingue de l’appareil. Son pilote connaissait les légendes à propos de la Mer d’Okhotsk, mais il n’y avait jamais vraiment cru. Pourtant il aurait pu, venant d’un pays où les croyances superstitieuses avaient beaucoup d’importance. Il renversa son appareil afin de rentrer vers sa base située à environ cent trente cinq kilomètres de sa position actuelle. Le chasseur plongea brièvement vers la surface de l’océan avant de se remettre à l’horizontale. Puis il remarqua le voyant rouge. Son anémomètre était défaillant. Iaroslav ne s’en soucia pas, ce genre d’incident était courant à bord des appareils soviétiques. Il fronça les sourcils. D’autres voyants s’allumaient en cascade, embrasant le copit de leurs lumières rougeâtre. Puis l’altimètre s’affola avant de rendre l’âme. L’avion se mit à plonger vers les flots, manquant de faire perdre connaissance au pilote. Iaroslav tenta désespérément de redresser le chasseur devenu fou. Il crut y parvenir lorsque les flots de l’océan se stabilisèrent sous son appareil, mais cette sensation ne dura qu’un bref moment. Dans une plainte pathétique le hurlement des moteurs s’interrompit. Iaroslav sut qu’il allait mourir. A deux mille mètres d’altitude son chasseur prendrait trop de vitesse et l’impact sur les flots serait aussi fort que s’il était lancé à pleine vitesse vers une montagne de son pays natal. Il pouvait toujours tenter de redresser son appareil afin de provoquer un amerrissage forcé. Ses espoirs furent réduits à néant lorsque le manche à balai refusa de répondre. Le chasseur se mit à plonger de nouveau et la mer se rapprocha à toute vitesse. Iaroslav eut le temps de finir sa prière et se prépara à son inévitable destin. Cinq cents mètres le séparait encore de sa mort, trois cents, cinquante, dix, et Iaroslav sut qu’il était mort. -Ses signes vitaux se stabilisent, signala un robot médical de sa voie métallique et atone. -Enfin, au moins nous n’aurons pas à gaspiller de médikit sur celui-là, soupira le chirurgien. Son assistant le rejoignit et regarda le corps contusionné et couvert de plaies. -C’est un miracle qu’il est survécu. Une chute pareille depuis un chasseur lancé à pleine vitesse… Iaroslav ouvrit les yeux et regarda autour de lui. Il essaya de se redresser sur son lit mais une douleur lancinante satura ses nerfs et lui arracha un hurlement. Ses muscles furent pris de contractions spasmodiques et il s’affaissa un peu plus sur son matelas. Il ne comprenait pas comment il avait survécu ni comment on l’avait retrouvé. Il sentit à travers les brumes de sa souffrance qu’on lui enfonçait une aiguille dans le bras et l’instant d’après son esprit dériva avant de sombrer dans l’inconscience. Il se réveilla plusieurs heures plus tard et il sentit les vibrations qui agitaient sa couche. La douleur était passée et il put se redresser sur son lit. Il appela le chirurgien et lui demanda ce qu’il se passait. -Vous ne vous êtes toujours pas remis de votre choc ou quoi ?lui demanda le médecin. -Pourquoi, je devrais savoir ce qui se passe dehors ? Mais le médecin s’éloignait déjà vers un autre patient. Iaroslav se leva complètement et s’habilla. Puis il regarda autour de lui. Plusieurs autres lits étaient alignés de part et d’autre du sien. Mais ce qui le frappa surtout c’était le fait que ce centre médical se trouvait sous une tente et que le sol vibrait continuellement. Son regard fut alors attiré par la silhouette du médecin. Ce dernier était vêtu d’une simple blouse de travail et ne portait pas de protection particulière. Le médecin revint vers lui. -Maintenant que vous êtes rétabli vous pouvez récupérer vos affaires et libérer la place, d’autres blessés attendent votre place. -Bien, j’y vais, inutile de vous énerver. Le médecin regarda Iaroslav avec des yeux noirs avant de hausser les épaules et de s’éloigner. L’odeur du sang emplissait les narines du russe et celui-ci sortit de la tente en titubant. Ce qu’il vit alors dépassa complètement sa compréhension. Au loin, à environ deux kilomètres, il reconnut les explosions d’obus de pièces de campagne. Il ne put pas pousser plus loin son examen de la situation. Un véhicule chenillé s’approchait dans un nuage de poussière, emplissant l’air d’une odeur d’huile de moteur. Il s’arrêta devant Iaroslav et la tête d’un homme jaillit de la trappe située au dessus du char. Son visage maculé de suie se tourna vers le pilote et s’adressa alors à lui. -Allez monte, le temps presse et le terrain d’aviation est à trois kilomètres d’ici. Ton escadron t’attend. -Mon escadron ?s’étonna Iaroslav. L’autre le regarda avec un air suspicieux puis disparut à l’intérieur de l’engin et actionna la commande de l’écoutille latérale. Il fit signe à l’homme de monter et Iaroslav s’engagea à l’intérieur de la bête de métal. Une simple banquette d’acier renforcé et des logements pour fusils étaient les seuls éléments visibles dans la pénombre qui régnait à l’intérieur du véhicule. Celui-ci repartit dans un rugissement de moteur, emportant Iaroslav vers son destin. Les cahots du terrain n’étaient amortis en rien par le banc de fer blanc et Iaroslav était projeté tantôt sur le côté, tantôt vers l’avant, manquant de se briser quelque chose à tout instant. Le véhicule tressautait de façon démente et Iaroslav s’agrippa aux courroies qui pendaient du plafond. Le pilote dit quelque chose au chef de char et ce dernier se tourna vers le convalescent. -Nous allons traverser une zone dangereuse, ça va secouer !cria-t-il au soldat assis, Markin monte prendre la mitrailleuse ! Un troisième homme se leva et gravit l’échelle qui menait à la trappe de tir. Iaroslav entendit un sifflement et une explosion retentit, toute proche, faisant se soulever le côté du lourd char. Un cri retentit puis du sang s’écoula par la trappe d’où pendaient les jambes du soldat Markin. -Markin !cria le chef de char. Une voix faible leur parvint, Markin n’était pas mort, ou du moins pas encore. -Ca va chef, j’ai pris un éclat dans le bras mais je peux tirer. -Bien, je n’aurais pas voulu vous perdre. Capitaine Iaroslav, voudriez vous prendre la mitrailleuse de coque ; cela nous fournirait de précieux tirs en plus. -Comme vous voulez commandant, répondit le pilote. Il se leva et se dirigea vers l’avant du char. Sa réaction le surprit. Il ne se souvenait pas d’avoir jamais vu un tel véhicule et pourtant il avait su instinctivement où se trouvait l’arme. Il s’assit donc dans le siège réservé au mitrailleur et activa le système d’armement. La cartouchière s’engagea immédiatement dans son logement, et Iaroslav se mit à scruter le paysage dévasté à la recherche d’un ennemi. Puis soudain il le vit. Il était vêtu de loques rougeâtres et brandissait une arme rudimentaire mais ressemblant fortement à un lance roquettes. Il était à vingt mètres du char, légèrement sur la gauche. Iaroslav pointa sa mitrailleuse vers ce qu’il savait être un ennemi. Il n’eut pas le temps d’appuyer sur la détente que déjà l’homme était pris de violentes convulsions. Markin avait ouvert le feu le premier et ses balles avaient réduits la menace à un tas de pulpe sanguinolente. Mais il ne cessa pas de tirer. Iaroslav regarda à nouveau vers l’extérieur et vit une marée humaine se diriger vers le char. Sans réfléchir, son doigt se crispa sur la détente de son arme, ses munitions fauchant les rangs adverses tels du blé mûr. Puis la vague d’assaillants se trouva juste devant le char. Le pilote accéléra encore, écrasant sans pitié ses ennemis. Du sang éclaboussa le blindage avant, et Iaroslav en reçut sur sa veste. Puis le vacarme des tirs cessa, et seule l’odeur d’huile de moteur persista dans l’habitacle du tank. Iaroslav resta assis à la même place durant le reste du trajet. Puis le tank vira brusquement sur la droite et sa vitesse se réduisit de manière parfaitement sensible. Puis il s’arrêta tout à fait. Le chef de char actionna l’ouverture de l’écoutille arrière et fit signe à Iaroslav. -Capitaine, nous sommes arrivés. Je dois vous laisser. Bonne chance et que l’Empereur vous garde ! Le soldat était déjà descendu et rendit son salut au chef du char. Il ne comprenait pas le sens de la dernière phrase. Iaroslav resta immobile sur le terrain accidenté lorsqu’il vit que quelqu’un se dirigeait rapidement vers lui. Il se mit alors à avancer vers la silhouette. Celle-ci arriva bientôt à sa hauteur. -Capitaine, ravi de voir que vous allez mieux. Nous vous attendions. -Pourquoi, que se passe-t-il ?demanda le soldat complètement déboussolé. L’autre le regarda un instant puis lui répondit. -Vous avez du prendre un sacré choc Capitaine. Nous vous attendions pour le briefing. Vous et votre escadrille allez décoller pour détruire un campement d’hérétiques. Iaroslav acquiesça et suivit l’autre soldat. Ce dernier l’emmena au travers d’un dédale de couloirs et de corridors. Il remarqua que des emplacements d’artillerie, des nids de mitrailleuse et des tourelles lance missile étaient disposés à intervalles réguliers tout au long du complexe. Puis il arriva dans une salle brillamment éclairée. Une dizaine d’autres hommes étaient présents. Tous arboraient des cicatrices et d’autres marques dues aux combats qu’ils avaient menés. Mais surtout, et Iaroslav le remarqua tout particulièrement, une flamme guerrière brillait dans leurs yeux. Lorsqu’il fit son apparition tous les hommes se levèrent et saluèrent. Puis il s’assit et ses compagnons l’imitèrent. Un colonel prit alors la parole. -Messieurs, votre objectif est situé à environ deux cents kilomètres de notre position actuelle. Vos chasseurs pourront se rendre sur la zone en quinze minutes. Vous effectuerez votre raid le plus rapidement possible afin d’éviter au maximum les tirs et la chasse ennemis. Vous disposerez de votre armement habituel. Avec, vous devriez être en mesure d’éliminer l’adversaire. Vous partez dès la fin de cette réunion. Des questions ? Non ? Rompez et que l’Empereur vous garde ; vous en aurez besoin. La dizaine de pilotes se leva et Iaroslav les suivit. Il enfila sa combinaison de vol et rejoignit ses hommes sur le tarmac. Ceux-ci se dirigèrent alors vers leurs appareils respectifs et Iaroslav marcha vers une des machines. Il fut surpris de voir qu’il savait où aller, mais son étonnement laissa place à l’incrédulité la plus totale lorsqu’il vit son chasseur. L’appareil consistait en un fuselage effilé sur lequel se greffait une voilure en V inversée. Deux dérives verticales situées à l’arrière complétaient le chasseur. Iaroslav monta la petite échelle menant au copit et se glissa à l’intérieur. Il n’avait jamais vu de tels appareils au sein des forces aériennes de Russie. Cela ne pouvait être réel. La dernière chose dont il se souvenait était de s’être écraser dans la mer. Il était mort et ce qu’il voyait devait être une réalité autre que celle d’où il était venu. Abaissant sa main gantée vers les commutateurs du chasseur, il enclencha les moteurs. Le rugissement assourdissant qui monta alors lui parut familier. Il s’entendit alors parler dans son système de communication intégré à son casque. -Nova Leader paré au décollage. Escadron au rapport. Ses pilotes accusèrent réception de son ordre et lui indiquèrent les uns après les autres qu’ils étaient également prêts à partir. -Contrôle, escadron Nova paré au décollage. -La piste est à vous Nova. L’Empereur vous garde. Iaroslav ne répondit rien et orienta son appareil jusqu’à ce que le nez du chasseur pointe vers la piste. Puis il abaissa la manette des gaz. L’accélération le plaqua contre son siège aussi facilement qu’il aurait poussé un bloc de mousse. Il redressa son manche et l’appareil s’éleva gracieusement dans les airs. Ses équipiers imitèrent sa manœuvre et trente secondes après l’escadrille au complet fonçait vers son objectif. -Ici Nova Leader, on monte au plancher de combat. Nova Deux vous êtes mon ailier. -Reçu Leader, on se met en formation. Les chasseurs prirent alors de l’altitude, traversant les couches de nuages et de pollution qui obscurcissaient le ciel. Ils se rapprochaient de leur cible. Il leur fallut environ vingt minutes pour arriver sur la zone cible. Alors ils amorcèrent leur descente. -Cible numéro une, les dépôts de munitions et de carburant. Séparez-vous et faites-moi sauter tout ça, ordonna Iaroslav. -Bien reçu leader. C’est parti ! Iaroslav agissait comme le chef d’une force d’attaque alors qu’il n’avait jamais eu les aptitudes nécessaires pour commander. Cela le surprenait. Peut être était ce cela la mort. Puis la voix d’un pilote retentit dans sa radio. -Ici Nova Quatre. Je capte de nouveaux signaux en provenance de l’ouest. Ils viennent droit sur nous et sont en approches rapide. -Reçu Quatre, répondit Iaroslav, groupe un, continuez l’attaque sur le dépôt de munitions. Les autres avec moi. Vitesse maximale et pas de quartier. Les six chasseurs firent vrombir leurs turbines et filèrent vers les signaux qui n’avaient rien d’amicaux. -Ici Six, quinze chasseurs ennemis droits devant. -Compris Six, effectuez les manœuvres d’évitement puis engagez le combat. Volez par paires. Leader terminé. Les chasseurs rencontrèrent l’ennemi. Iaroslav vit plusieurs traînées se diriger vers son appareil et il comprit que des missiles l’avaient pris pour cible. Le système de détection n’avait pas remarqué le verrouillage. Puis Iaroslav comprit. Les missiles avaient pour seul but de diviser ses forces. Puis il n’eut plus le temps de réfléchir. Un adversaire venait de se placer derrière lui, et les traînées lumineuses qu’il voyait passer à côté de son chasseur n’avaient qu’une seule origine : les mitrailleuses de son ennemi. Il effectua une barrique défensive, puis un tonneau et enfin une boucle serrée qui l’amena derrière son poursuivant. Son doigt se crispa sur la gâchette de tir et ses mitrailleuses envoyèrent des centaines de projectiles vers l’appareil adverse. Celui-ci fut secoué par une explosion de faible intensité, mais il ne cessa pas ses tirs. Une boule de flamme salua ses efforts et Iaroslav traversa la sphère de gaz surchauffés. Puis un hululement retentit dans l’habitacle. Un ennemi venait de se verrouiller sur lui. Il lança son chasseur dans une large courbe mais son adversaire ne le lâcha pas. Puis il disparut soudainement du radar de poursuite de Iaroslav. Ce dernier ne comprit pas jusqu’à ce que l’alarme de proximité ne l’avertisse qu’un missile allait l’atteindre. Iaroslav vira désespérément sur la droite mais le missile heurta sa poupe. Son appareil se mit alors à piquer vers la surface de la planète. Il eut le temps d’entendre un de ses pilotes confirmer la destruction des cibles ; puis son écran lui indiqua que l’escadrille fortement diminuée faisait demi-tour. Iaroslav vit le sol se rapprocher de lui à toute vitesse, un chasseur ennemi à ses trousses. Un autre missile jaillit et fila droit sur son appareil. Iaroslav sut pour la deuxième fois de la journée qu’il allait mourir. C’était un sentiment curieux que de se dire qu’après la mort on pouvait encore être tué. Iaroslav dans une vaine tentative tira le manche à balai vers lui ; dans l’espoir bien futile de tenter un atterrissage ventral. Puis il vit le missile. Puis il ne vit plus rien. Une énorme boule orangée l’enveloppa. Il comprit qu’il était mort. Iaroslav ne voyait que du noir et son esprit dérivait. Pourtant il entendait toujours le rugissement des moteurs du chasseur. Alors péniblement il ouvrit les yeux. Et il poussa un grand cri de surprise. Son copit n’était plus le même. Il était de nouveau à bord de son Mig-29, celui-ci rasant la surface des flots. Sa radio émettait un message dont il n’entendit que la fin. Après dix secondes d’attente, le message se répéta. -Pilote Iaroslav, ici le centre de contrôle de Tigil me recevez-vous ? -Ici Iaroslav je vous reçois. -Nous avons cru vous perdre. Que vous est –il arrivé ? -Je ne sais pas, j’ai perdu les commandes de mon appareil et je suis…Iaroslav suspendit sa phrase. -Vous êtes ? -J’ai cru m’écraser dans la mer. Je ne sais pas ce qui s’est passé. -Pilote Iaroslav vous avez ordre de rejoindre votre base. -Bien reçu contrôle, je me mets en route. Iaroslav terminé. Le Mig-29 se lança dans une courbe gracieuse, son pilote prenant la direction de la Russie. A vos claviers, Crio Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ocrane Posté(e) le 3 octobre 2013 Partager Posté(e) le 3 octobre 2013 (modifié) Hello, Une petite histoire sympa dans laquelle on reconnait bien ton style (je ne m'étendrai pas outre mesure sur ce point mais c'est toujours sympa de te lire). C'est fluide et précis, du Crio quoi. Quoique sur le dernier point (texte pour un néophyte (le prof) oblige) on perde en précision un peu lors de la partie 40k. Quelques fautes (de frappes essentiellement) mais qui ne gênent pas outre mesure la lecture. L'histoire est originale et mériterait d'être développée. Sans forcément en faire 36 chapitres (bon c'est vrai qu'avec les contraintes d'un devoir c'est pas évident), une petite version director's cut en insistant un peu plus sur le choc de Iaroslav de se retrouver là serait bien. (peut-être en rajouter sur le thème "viré comme un malpropre de l'infirmerie" ? Et "Mais qu'est-ce que je fous làààà !" "Ta gueule et tire, capitaine !) Pendant la lecture j'hésitais entre "c'est certainement un délire de mec agonisant..." et "C'est réel ! Il mourra dans 40k !" [Spoiler]Du coup un peu déçu qu'il survive mais surpris. Et c'est ce qui compte lors d'une première lecture.[/Spoiler] Question : (Si c'était noté) Combien a mis le prof ? Modifié le 3 octobre 2013 par Ocrane Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
criomega Posté(e) le 4 octobre 2013 Auteur Partager Posté(e) le 4 octobre 2013 Bonjour, Ocrane, lecteur fidèle parmi les fidèles [quote]Une petite histoire sympa dans laquelle on reconnait bien ton style (je ne m'étendrai pas outre mesure sur ce point mais c'est toujours sympa de te lire). C'est fluide et précis, du Crio quoi. Quoique sur le dernier point (texte pour un néophyte (le prof) oblige) on perde en précision un peu lors de la partie 40k.[/quote] Merci. Pour les précisions sur 40k; j'étais obligé parce que pour expliciter l'univers grimdark de 40k en quelques pages ET fournir une nouvelle un tant soit peu consistante, c'était juste pas possible... (va expliquer qu'un bolter lourd c'est un genre de canon de 20 mm qui tire des obus à masse réactive, ou ce qu'est un Lightning impérial...(ou tout simplement les factions de 40k)) [quote]'histoire est originale et mériterait d'être développée. Sans forcément en faire 36 chapitres (bon c'est vrai qu'avec les contraintes d'un devoir c'est pas évident), une petite version director's cut en insistant un peu plus sur le choc de Iaroslav de se retrouver là serait bien. (peut-être en rajouter sur le thème "viré comme un malpropre de l'infirmerie" ? Et "Mais qu'est-ce que je fous làààà !" "Ta gueule et tire, capitaine !)[/quote] Entièrement d'accord. Ca me permettrait de m'essayer à ce genre d'écriture: le côté décalé et humoristique. En fonction du temps que j'aurai je me pencherai sur la question. [quote]Pendant la lecture j'hésitais entre "c'est certainement un délire de mec agonisant..." et "C'est réel ! Il mourra dans 40k !"[/quote] C'était efectivement ce flou autour de cette dualité que je recherchais. La notion de vie après la mort, la réincarnation, tout ça tout ça... [quote]Question : (Si c'était noté) Combien a mis le prof ?[/quote] Je ne sais plus. La nouvelle date des années lycées de mon frère, soit plus de 6 ans...Mais je gage que ce fut une bonne note Crio Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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