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Hiver rouge sur la Drakwald


Thancredon

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[center][size="5"]Hiver rouge sur la Drakwald[/size][/center]

Ceci est une petite nouvelle Warhammer Fantasy Battle, ce n'est pas quelque chose de très sérieux, cette nouvelle à été rédigée juste pour le plaisir d'écrire. N'hésitez pas à commenter ! Mais ne prenez guère attention aux fautes et aux mauvaises tournures de phrases présentes ( je suis un jeune écrivain amateur, ne soyez pas trop sévère ^_^/>/> . Sur ce, bonne lecture !
Prologue :

Palais du grand-duc du Talabecland :

Hans Waldberg tremblait et fuyait le regard de son maitre, son timbre de voix était rempli de terreur :

"l'Hiver étant très rude, surtout dans le Middenland et le Nordland, la famine et la dysenterie se sont installés à Middenheim . Nous avons ... comme vous le savez, reçus des messagers venus de la capitale du Middenland annoncer le triste sort de la cité . Votre ordre, Herr Feuerbach, a bien été appliqué, des convois de vivres avec escortes ont bien été envoyé à Middenheim ... Mais des chasseurs ont ... ont retrouvé, ils ont retrouvés ..."

Le Comte Électeur se leva de son trône de Grand Duc du Talabecland , et foudroya du regard Waldberg :

" Venez-en au fait , Herr Waldberg !"

"Eh bien...ces rôdeurs ont trouvé sur la vieille route qui traverse la Drakwald...Notre convoi ! Tous les hommes, les convoyeurs et tous les soldats se sont fait massacrer..."

Le Duc se rassit, abasourdis par ce qu'il venait d'entendre, il murmura quelque chose d'impossible à comprendre dans sa longue barbe puis dis avec une voix remplie d'incompréhension à peine audible :

"Comment ... comment est ce possible ? Le convoi était imposant, il y avait plus de 200 convoyeurs et 60 soldats de métiers, des doppelsoldner ( joueurs d'épées) du Hochland...et où est passé la marchandise ?!

"Mein Herr ... Les soldats furent dépouillés de leurs armes, les coffres et les charrues ont été totalement vidés , et les corps...Ils ont étés mutilés d'une façon effroyable, pour certains il a été impossible de savoir à quoi ressembler leur visage initial !
Les sentinelles qui nous ont averti, disent que les choses qui ont commis cette ignominie seraient cachées non loin des collines hurlantes dans les ruines d'un ancien bastion nain, ils y auraient écouté des cris de choses mi-homme , mi-betes et empli de rage et qui venaient de ce lieu ..."

Étrangement, Helmut Feuerbach resta stoïque à cette remarque .

"Ce serait alors des Hommes Bêtes . Mais il y a quelque chose d'étrange , ce sont des bêtes, d'habitude ils se terrent au fond des bois de la Drakwald , jamais ils ne prennent possessions de batiments et sortent rarement de leurs trous pourris ... c'est inquiétant, s'ils contrôlent la vieille voie, tout contact avec le Nord-Ouest de l'Empire et inenvisagable !"

Konrad Waldberg avait étrangement perdu son anxiété et fixait son suzerain droit dans les yeux mais avec tout le respect qu'un roturier devait avoir pour un sang noble, et dis au Comte Électeur :

"Herr Feuerbach ... Il faut réagir, maintenant !"

...

La taverne était gorgée de monde, Markus Bloch était assis devant le comptoir en savourant une pinte de bière , malgré son jeune âge il venait souvent à l'auberge "Der Spaßvogel befriedigt" pour y passer du temps à la beuverie en compagnie de toutes personnes souhaitant trinquer avec lui , qu'ils soient des gueux couverts de fange ou des bourgeois venuse se vautrer dans la débauche à l'abri du regard des personnes du même rang . Il se fiche de la classe sociale de son voisin et ne cherche pas les ennuis mais se défend en cas d'injures malgré son jeune âge de 17 ans , en effet, Markus était quelqu'un de très susceptible et impulsif qui pouvait réagir au quart de tour pour frapper son voisin s'il cherchait la marave mais heureusement pour lui cela arrivait très rarement .

Étrangement, ce jour-ci il y avait beaucoup moins de monde que d'habitude, la majorité des clients étaient des personnes ayant passé facilement les 40 printemps, Bloch était le seul avec un paysan tout au fond de la salle , surement un vilain qui devait avoir une petite vingtaine d'années, dans l'établissement à avoir en dessous de quarante ans . Markus appela le Tavernier.

"Schlachtermann ! Pourquoi n'y a-t-il quasiment pas d'hommes ce soir ? Sans vouloir te vexer Amadäus , il n'y a que des vieillards ( à l'époque médiéval l'espérance de vie ne dépassait pas 40-50 ans , d'où le terme "vieillard" , je ne veut vexer personne ! ) aujourd'hui dans ton bar, d'habitude il y a toujours des gars qui chantent des chansons paillardes au comptoir ou des ivrognes dansants sur les tables, où sont passé ces canailles de Theobald et de Ruprecht ?"

"Eh bien ... à ce que j'ai compris ils ont tous été engagés de force dans la milice pour former un régiment qui partira bientôt combattre des hommes bêtes dans la Drakwald , Theobald aurait refusé, et y s'rait dans une geôle de la caserne de la ville mais bon c'est p'ttet juste des racontars, en tout cas toi tu ..."

Schlachtermann l'aubergiste n'eut pas le temps de finir sa phrase, car soudainement la porte de la taverne fut défoncer de ses gonds par deux hommes armés, ils entrérent dans la salle en direction de la table qui se située au centre de la pièce tout en jetant des regards dédaigneux aux vieils ivrognes, ce qui était étrange c'est que l'un d'eux portait un livre qui pendait à sa ceinture , les deux hommes cherchaient quelque chose du regard un quelque chose qui échappait totalement à Bloch . Le jeune paysan qui était assis au fond de la salle à déguerpi , à marche accélérée , de la taverne , tout en évitant les 2 soldats et s'échappa dans la rue derrière l'auberge pour une raison que Markus ignorait encore et il se demanda durant l'espace d'un instant s'il n'aurait pas dû faire de même . Il but cul-sec ce qui restait de bière dans sa chope tout en regardant discrètement les deux gens d'armes ...

Les deux hommes qui regardèrent le vilain s'enfuir se retournèrent brutalement tous les deux au même moment vers Bloch, celui-ci les voyants le fixer fut parcouru d'un frisson et se retourna immédiatement vers le tavernier, celui-ci le fixa d'un air inquiet et fit un geste de gauche à droite avec ses yeux tout en continuant de regarder Bloch comme pour l'avertir d'un danger . Il ne comprit pas ce que lui voulait Amadäus même si c'était assez facile à deviner, lorsque soudain une main se posa sur son épaule, ce fut bien sur l'un des soldats .

"Que fait un grand gaillard seul devant une chope vide ?" s'exclama l'homme, il ne laissa pas le temps à Bloch de répondre . " Tavernier, rempli la chope de mon ami, c'est moi qui paye !" Les deux soldats s'aseyerent chacun d'un côté du tabouret de Markus Bloch .

"Je me présente, dit le premier soldat, Bartholomaeus Käschmacher et mon acolyte c'est Karl Wilbrechth, soldats du Talabecland ". Schlachtermann posa la pinte devant Bloch.

"Markus Bloch, simple voyageur ! " Pas plus d'explications, il but goulument une gorgée de bière brassée et s'essuya sur sa manche gauche .

Le deuxième homme s'exprima "Quel âge à tu petit ?" on pouvait entendre un accent du Hochland chez celui-ci .

" 17 ans m'sieur !" , " Et déjà voyageur et bon buveur ! c'est plutôt rare pour des jeunes gars comme toi !" Bloch avait quasiment fini sa deuxième chope .

"Dis-moi, est-ce que tu as déjà pensé à t'engager dans l'armée ?!" Il avait maintenant fini sa pinte . Schlachtermann le tavernier lança un regard noir aux soldats . Le deuxième soldat lui fit un geste disant à la fois de ne pas se mêler de la conversation et d'aller chercher à nouveau une chope . Schlachtermann savait très bien ce qui aller se passait, mais il obéit au soldat et donna sa troisième chope à Bloch .

" Non, je ... je n'y avais pas réfléchi, c'est bien payé ?" Sa réponse était due à l'alcool, Schlachtermann le savait, les deux recruteurs aussi et en étaient satisfaits .
"Oh que oui, et il ne faut pas oublier les nombreuses aventures que tu vivras si tu t'engages !"Au même moment Bloch tout en écoutant continuait de boire et avait un air approbateur .

"C'est décidé ... je veux être soldat pour défendre l'Empire !" dit-il tout un levant sa pinte quasi vide .

"Très bien l'ami !" Le soldat décrocha le livre qui était à sa ceinture et le posa bruyamment sur le comptoir et prit une plume sur son chapeau de lansquenet, il sortit un pot d'encre qui était dans une poche à l'intérieur de son manteau et se mit à écrire, " Heu ... ton nom déjà ... Markus Bleucsch, Blasch ?

"Bloch ! Markus Bloch, pour vous servir ! " dit-il complètement saoul .

Une fois tout son arsenal rangé, le soldat se leva, son homologue fit de même, celui-ci posa la monnaie, le tavernier la ramassa et compta pour vérifier si le compte y était, on ne sait jamais avec ces rapaces ...

Ils emmenèrent avec eux le jeune Markus Bloch complètement saoul, Amadäus Schlachtermann les regardaient partirent, ce jour-là il avait l'impression d'avoir commis une énorme erreur en ayant laissé s'engager Bloch dans l'armée et de l'avoir ainsi laissé à la mort ...

...

Le Grand-duc Helmut Feuerbach fixait du haut du parapet la masse de gueux rassemblé devant lui . Ils avaient été armés de force pour qu'ils deviennent 3 régiments de miliciens qui doivent combattre les hommes bêtes dans la Drakwald , Feuerbach semblait sceptique, bien qu'il préfére voir mourir de la vermine plutôt que des sangs-bleus comme lui, il savait que même avec plein de bonne volonté et de bravoure ces paysans allaient se faire massacrer, il en voyait qui étaient déjà malades, certains toussaient à s'en arrachés les poumons, il en aperçut même quelques-uns qui devaient être borgne ait en jugés par une tache noire sur l'oeil que l'on pouvaient apercevoir de loin, surement un bandeau, ils n'ont même pas combattu que certains étaient déjà blessés et bien amochés ... Et même s'ils revenaient victorieux, nombre d'entre eux serait tombé au combat ... Mais qu'importe ! L'acte effroyable qui avait été commis par ces créatures devait être réparait, qu'importe le coup, ces créatures devaient subir les conséquences de leurs actes !

"je veux qu'ils partent dès maintenant ! Nous ne pouvons plus attendre ! Le trafic entre Talabheim et Middenheim doit être rétabli au plus vite ! " dit il a Hans Waldberg, son conseiller acquiesça . " Oui ! Ces scélérats doivent payer pour les vies qu'ils ont fauchées ! Il faut purger les forêts jusqu'à il ne reste aucun hommes-betes ! "

*

Markus Bloch était en train d'enragé , on l'avait manipulé pour qu'il s'engage dans la milice et plus que ça, maintenant , il devait " faire le beau "comme un chien avec ses nouveaux frères d'armes devant le balcon du Grand-duc, il s'attendait à ce que celui-ci fasse un discours ou harangue ses "soldats", mais il n'en fut rien, il tourna les talons et rentra dans la tour, son conseiller lui, descendit les escaliers qui menaient à la grande place et éperonna un cheval brun . Les officiers quant à eux discutaient entre eux à voix basse et avaient un air grave .

Bloch cogitait, il ne se souvenait pas du soir où il avait été ennivré et où l'on avait fait signer un contrat qui stipulait qu'il s'engageait dans l'armée, il ne savait rien de cela, il se posait des tas d'interrogations . Que c'était il passait le soir précédent ? Comment s'est-il retrouvé engagé dans l'armée ? Il savait qu'ils allaient partir aujourd'hui mais pour combattre qui est où ?, les officiers étaient resté silencieux à ce sujet ... mais c'était du passé, il ne pouvait rien y changer, c'était trop tard car maintenant il faisait partie de la milice. Les questions fusées dans sa tete . Ce matin-là, il avait été réveillé de force dans une écurie par un capitaine du nom de Bartholomaeus Käschmacher, son visage lui avait paru étrangement familier, ils se sont peut-être croisés auparavant . Et si c'était cet homme qui l'avait drogué et engagé de force ?

Bloch fut brusquement retiré de ses réflexions lorsque des cors retentirent . Les officiers haussèrent le ton et se mirent à crier des ordres de mise en formation, l'armée de gueux fut regroupée en trois régiments distincts : un d'archer, une de piquier et enfin celui des hallebardiers où avait été affectait Bloch, auquel on y avait rajouté bien sûr un convoi de vivres mais aussi d'autres soldats, mais eux étaient de métier : une vingtaine de pistoliers volontaires et avec comme chef Hans Waldberg : baron du Hoschenberg et conseiller personnel du Grand Duc du Talabecland, son maitre lui avait ordonné de diriger et de mener l'armée à la victoire, une cinquantaine de lansquenets et autant d'arquebusiers , et même deux petits onagres ayant pour munitions des pierres mais aussi des sacs de brais, les créatures de forêts craignant le feu . Au cas où la vermine se ferait tailler en pièces, les nobles et les soldats de métiers seraient là pour renverser la situation !

" Nous partons immédiatement ! " dit le sergent le plus proche de Bloch " où allons nous combattre ?" répliqua un hallebardier ayant une barbe hirsute et une balafre lui parcourant la totalité du visage, on pouvait facilement sentir de la satisfaction dans son timbre de voix, c'était surement un vétéran impatient de combattre de nouveau . " Nous partons pour la Drakwald ! La vieille voie n'est plus sur et nous devons la sécuriser et annihiler toutes les forces qui bloquent la route, à ce que j'ai compris ce serait les hommes bêtes qui en seraient la cause ... "

Les soldats se figèrent, la crainte et l'effroi sont apparus sur leurs visages . L'enthousiasme avait totalement disparu . Une majorité d'entre eux était d'origine paysanne et nombreuse étaient ceux qui connaissaient les légendes effroyables que ne l'a racontés sur la Drakwald et les hommes bêtes dans les campagnes, rien qu'à l'idée d'y penser Bloch fut parcouru d'un frisson qui lui traversa tout le corps . Ceux qui s'étaient engagés volontairement dans la milice le regrettaient amèrement ... mais le temps n'était pas aux regrets, les cors retentirent de nouveaux et les troupes se mirent en marche ...

**

La Drakwald d'ordinaire si sombre s'était recouverte d'un linceul blanc avec l'arrivée de l'hiver, la neige avait caché le sang versé par les hommes bêtes, celle-ci rendait la marche encore plus désagréable . Le régiment des hallebardiers, qui servait d'arrière-garde avait déjà essuyé des victimes, en effet durant la 1 re nuit, une attaque a eu lieu dans le camp, des hommes bêtes ont effectué une mission suicide : leur but était de tuer un maximum d'hommes, 12 soldats ont péri tués par 4 ungors, certains furent tués dans leur sommeil, leurs cris avaient réveillé tout le camp y compris Markus Bloch . Les soldats ont rapidement neutralisés les ungors . La nuit avait été courte pour tous et les soldats étaient déjà harrasés avant même d'avoir atteint l'objectif désigné par l'Hans Waldberg et ses officiers : Kazad Thingaz, un ancien fort nain qui a été abandonné par ces derniers après des attaques incessantes des forces du chaos à l'époque où Sigmar n'était alors qu'un rejeton . Mais après l'installation des hommes bêtes, ces derniers l'ont " reconstruit " à leur façon avec mult palissades de bois et de murets en terre séchée sur lequel l'on avait installé divers ornements décoratifs tels que des paysans empalés, et de petites pyramides de cranes .

L'armée avançait péniblement dans la neige qui s'était transformée en boue après le passage des premières dizaines de soldats et de chevaux . Le bastion en question n'était plus qu'à une demi-journée de marche, mais celui-ci n'était pas en lisière de la vieille route mais à environ deux heures de marche à l'est, cerné par la Drakwald et c'est dans cette direction que les soldats et Bloch se dirigeaient pour leurs plus grands regrets ...


Hans Waldberg scrutait l'horizon et la mer de neige immaculée , qui ne tarderait pas à devenir une infâme boue rougeâtre .


"L'hiver est la plus belle des saisons car jamais le sang n'est aussi beau que sur un linceul blanc ! ", il se retourna vers ses officiers, " Messieurs, mon plan d'attaque consiste à prendre la forteresse en un minimum de temps et de mener une diversion, en premier lieu nous allons pilonner le fort avec de la brai, nous y mettrons le feu avec les traits de nos archers, ces créatures détestent le feu, elles sortiront en grande partie du bastion, nous les massacrerons à leurs sorties avec le gros des forces, au même moment la moitié des hallebardiers et des archers prendront le fort après avoir fait le tour de la colline qu'elle surplombe et une fois la citadelle prise nos archers du fort resteront dans celui-ci et tireront sur les hommes bêtes, les hallebardiers quant à eux après avoir purgé le bastion sortiront de celui-ci et nous encerclerons les hommes bêtes et nous les taillerons en pièces, de plus les tirs des archers et des onagres nous soutiendrons ! "
" Messieurs, formez vos bataillons ! Nous attaquons ! "


*


Bloch tremblait et était parcouru de frissons à la vue des sombres ruines dont le chemin de ronde était parcouru par des gors provoquant les troupes impériales avec des tetes humaines décomposés fichés sur des piques qu'ils brandissaient . Waldberg avait donné l'ordre de donner l'assaut à la cinquième heure du jour, les hommes bêtes se sentant moins à leurs aises pour combattre en plein jour préférant effectuer des combats dans l'obscurité totale . Bloch était appuyé sur sa hallebarde en attendant le moment fatidique au milieu de ses frères d'armes alignés, on leur avait donné l'ordre, de faire le tour du fort dans la plus grande discrétion possible pour prendre le fort .


Quelques cors sonnèrent à l'arrière de leur position, et aussitôt les onagres balancèrent des sacs remplis de brai et finirent par s'écraser dans la forteresse . Les archers suivirent, ils trempèrent leurs flèches dans de petits brasiers faites à cet effet . Ils bandèrent leurs arcs et lâchèrent les traits impatients de griller du sauvage . Elles s'abattirent en un instant au même endroit que les sacs de brais, c'est-à-dire au coeur du fort . Soudain, le brasier, tant attendu par les forces impériales, apparu et le fort disparut dans la fumée et les flammes purificatrices .


Comme il était prévu, des hordes d'hommes bêtes de toutes sortes, des gors, ungors, wargors et bestigors sortirent du fort et dévalèrent la colline que celui-ci surplombe pour devoir allaient dans la clairière en contrebas . Les pistoliers chargèrent seuls, mauvaise idée, en un instant ils disparurent dans la masse d'hommes bêtes qui les entoure . À leurs plus grandes surprises, des titans sortirent de la forteresse, un ghorgon couru droit sur les positions de l'armée impériale mais ce n'était pas tout pour leurs plus grands regrets ... Une abomination s'envola dans les airs sous les rituels de chamans hommes bêtes, nombre des soldats poussèrent des cris de terreur en voyant le jabberslythe fonçaient droit sur eux . Les archers tirèrent une salve de flèches enflammées, sans effet , la bete fondit sur eux et en attrapa avec ses serres mais aussi avec une immonde langue munie de griffes .


La créature reprie de l'altitude et lâcha ses prises sur les positions des hallebardiers où se trouvait Bloch .


Il releva la tete et vit un des archers lâchés par la bete, en un instant il s'embrocha sur la hallebarde du soldat derrière Bloch . Le soldat cria et lâcha immédiatement sa hallebarde . Bloch eut un haut-le-coeur .


Cette fois-ci le jabberslythe fondit sur les hallebardiers , immédiatement ils prirent une position de phalange . La bete hurla lorsque les hallebardes lui perçairent la chair verte, au moment où la bete cria certains soldats sombrèrent dans une folie instantanée et s'enfuirent du champ de bataille dans un language d'onomatopées incompréhensibles comme s'ils étaient possédés . Bloch utilisa son arme pour la première fois , un sang noir et épais coula des plaies du monstre mais la bete n'était pas pour autant vaincue, les artilleurs et archers s'en aperçurent, des sacs de brai explosèrent sur la bete, et immédiatement de suite les flèches enflammées transformèrent l'animal en brasier vivant, la bete hurla pour la dernière fois et s'effondra sur les piquiers juste devant la position des hallebardiers . Les chamans enragèrent à la vue du monstre vaincu .


Les impériaux n'eurent pas le temps de se réjouir, le ghorgon était déjà sur eux, la bete était cinq fois plus grande qu'un homme de l'Empire, qui sont pourtant les plus grands du vieux monde avec les norsii, celle-ci avait autour du cou un collier fait de cranes humains mais aussi plus étrangement d'hommes bêtes, surement des sacrifiés . Elle avait à chaque poignée de ses quatre mains des torques munis de longues griffes de métal servant surement à faucher les tetes ...


La 1 re ligne était composé des piquiers, d'Hans Waldberg et de sa petite garde personnelle, l'animal titanesque allait droit sur eux ."Tenez vos positions " hurla Waldberg . Les piquiers reprirent la position de phalange et leurs lances se plantèrent dans le ventre de l'animal, Waldberg fit de même avec Krischtaal , sa longue épée, le ghorgon rugit et d'un seul coup de sa masse géante il faucha toute la première ligne, c'est-à-dire les piquiers qui se trouvaient à l'avant mais aussi le conseiller du grand-duc et commandant de cette armée , celui-ci s'effondra par terre, inerte .


Les soldats ayant vu le ghorgon tué leur chef, se ruèrent pleins de rage sur la bete pour l'achever, un soldat fougueux lança sa pique sur le visage de la bete . La lance se planta dans l'oeil droit de l'animal . Le ghorgon hurla, son cri était un étrange mélange de rage animale et de plainte humaine, pour se débarrassait de la lance, il tira sur celle-ci , terrible erreur, car il s'arracha l'oeil avec celle-ci ! L'animal hurla de plus belle et tomba à genoux, les mains sur le visage dégoulinant de sang, au même moment les hallebardiers viennent au secours de leurs compagnons piquiers . Bloch tente de s'illustrer, et s'approche de la bete qui est à genoux et qui est toujours à l'agonie , Markus Bloch saisi l'occasion et asséne un coup de hallebarde en plein poitrail de la bete . Un geyser de sang crasseux et épais coule à gros bouillons de la plaie, Bloch est éclaboussé par celui-ci et recule et finit par tomber . Il eut à peine le temps de s'essuyer le visage qu'il vit la bete chancelait et qui finit par s'écrouler juste à coté de lui . Bloch n'en revenait pas, il avait réussi à abattre un ghorgon ! Ses homologues poussèrent des cris de joie et le félicitèrent . Mais la bataille n'était pas pour autant terminée, les hommes bêtes grouillaient encore en contrebas de la colline . Le plan de Waldberg ne peut plus etre appliquer puisqu'une grande partie des troupes devant mener la diversion et prendre le fort ont été anihilées ! Il suffit de tailler en pièces les hommes bêtes de la clairière ...


L'armée n'ayant plus son chef, les officiers donnèrent l'ordre de descendre la colline et de combattre devant le fort et d'anéantir les hommes bêtes ...


Bloch était au coeur de la mêlée, les hommes bêtes surgissaient de partout les hallebardiers et piquiers tentaient de protéger les archers et le seul onagre, l'autre ayant été détruit par un seigneur minotaure , il fut abattu mais toutefois il tua quinze vaillants soldats ayant voulu le tuer . Bloch faisait face à un ungor au visage caprin, celui-ci avait entre ses mains griffues une lame courbée surement d'origine arabienne, elle avait dû être volée à des marchands malchanceux, il abattit sa lame sur Bloch, celle-ci ripat sur le manche de la hallebarde, la petite onde provoquée par le choc déstabilisa la créature, Bloch en profita et se servit de la lame de sa hallebarde comme celle d'une hache et en un mouvement il lui plongea dans le torse, l'ungor tituba puis s'effondra, il fut immédiatement remplacé par un autre, celui-ci était un gor , il n'eut le temps de rien faire Bloch lui plongit la hallebarde dans le ventre, son corps s'effondra sur le précédant vidés de ses viscères, Bloch eut un rictus de satisfaction, légèrement sadique .


Le nombre d'hommes bêtes diminua considérablement, la fin de la bataille approchait, les lansquenets survivants taillèrent en pièces les gors, et autres ungors . Soudainement une dizaine de wargors foncèrent sur eux, les lansquenets qui les combattaits furent massacrés malgré leurs efforts, Bloch et les hallebardiers répliquèrent immédiatement, certains trop peureux pour les chargés lancèrent à leurs lances sur les monstres, deux d'entre eux tombèrent sur le sol contre toute attente . Les huit autres s'abattirent sur les piques, les lames tranchérent chairs, muscles et tendons, les masses écrasèrent cranes et os, le combat provoqua de nombreux hauts le coeur chez les nouvelles recrues impériales . Les archers possitionés à l'arrière de l'infanterie envoyèrent une salve dans les tetes des hommes bêtes . Il n'en reste plus que trois, deux wargors et un Minotaure . Bloch fit face à un wargor et d'un rapide et habile coup il trancha la gorge du monstre, s'effondrant par terre les mains sur la gorge . Son voisin faisait face à l'autre wargor, celui-ci était désarmé, le soldat candide était totalement hébété, la bete lui arracha la pique des mains et lui planta dans le ventre, le wargor lança l'homme embroché sur l'archer situé juste à l'arrière de lui . Bloch révolté fondit sur celui-ci avec d'autres soldats , Bloch rempli de haine lui faucha les deux jambes : " Tu ne l'auras pas volé celle-là ! " la bete tomba à genoux, un lansquenet lui planta son épée entre les omoplates, le wargor tomba en poussant un mugissement, comme s'il voulait maudire des assassins . Le dernier géant, le seigneur Minotaure fut assailli par tous les soldats, de sa masse il faucha les tetes de deux soldats, instantanément une douzaine de lames le percutèrent, sept dans les flancs, la bete hurla lorsque ses tripes coulèrent par les multiples plaies . Les coups ne cessaient pas de fuser, le bete s'effondra . Les soldats poussèrent des cris de joie . Le gros des forces de l'ennemi était vaincu, les chamans hommes bêtes refusant le déshonneur foncèrent sur les lignes ennemies alors qu'ils n'avaient pas d'armes, bien sûr les impériaux les tuèrent pour venger leurs frères d'armes tombés, les survivants fuyaient dans les bois pour ne plus jamais en ressortir, la victoire était acquise !

Epilogue :

Après la victoire contre les hommes bêtes dans la Drakwald, la vieille route accueillie de nouveau le trafic impérial, Middenheim fut ravitaillée et sauvée, Markus Bloch quant à lui fut gradé au rang de capitaine et est devenu un fervent soldat et défenseur de l'Empire .

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Bonsoir,

Déjà: félicitation pour te lancer dans le grand bain de l'écriture :clap:

Alors à chaud: c'est pas mal mais j'ai du mal à percevoir le style que tu veux adopter: narratif classique ou plus point de vue rapport de bataille; voir même souvenirs de guerre de ton héros?

Bon, après, je vais y aller dans le désordre.

[quote]Mais ne prenez guère attention aux fautes et aux mauvaises tournures de phrases présentes[/quote]

Beh...comment dire...
Autant les tournures de phrase un peu gauche ça peut passer vu que tu te présentes comme un jeune écrivain, autant les fautes nuisent grandement à la lecture. Je ne vais pas les relever, mais sincèrement, il y en a trop et de toutes sortes: accord, orthographe, concordance des temps, ponctuation, majuscules en début de phrase...

C'est dommage car ça plombe la lecture...

Pas de chiffre dans un récit, sauf pour les dates.

Certaines phrases mériteraient d'être scindées en deux. Par exemple:

[quote]Le Duc se rassit, abasourdis par ce qu'il venait d'entendre, il murmura quelque chose d'impossible à comprendre dans sa longue barbe puis dis avec une voix remplie d'incompréhension à peine audible :[/quote]

Le rythme de la phrase telle quelle me paraît peu naturel. L'idéal aurait plutôt été:

"Le Duc se rassit, abasourdis par ce qu'il venait d'entendre[b]. Il[/b] murmura quelque chose d'impossible à comprendre dans sa longue barbe puis dis avec une voix remplie d'incompréhension à peine audible."

Sinon, sur le fond: c'est sympathique mais un peu trop classique. On tombe un peu dans le côté: les gentils sont les plus forts et les méchants se font tartiner la face à coup de savates...

Et maintenant, le grand jeu des choses qui m'ont paru bizarre ou que je modifierai:

[quote]Votre ordre, Herr Feuerbach, a bien été appliqué[/quote]

Il me semble que "Herr" signifie seulement Monsieur en allemand. Lorsqu'on s'addresse à un comte électeur, je donnerai plutôt dans le "Monseigneur" ou "Seigneur". Enfin, un terme plus représentatif de la position dudit comte.

[quote]des doppelsoldner ( joueurs d'épées)[/quote]

Quitte à vouloir utiliser les termes allemands, essaie de les introduire plus subtilement pour que le lecteur comprenne.

Ca aurait pu donner:

"... il y avait plus de 200 convoyeurs et 60 soldats de métiers, des doppelsoldner..."
"Les joueurs d'épées ont tous été massacrés Messire. C'est là une très lourde perte pour notre Seigneurerie."

Ca permet d'éviter l'utilisation des parenthèses.

[quote]Les soldats furent dépouillés de leurs armes, les coffres et [b]les charrues[/b] ont été totalement vidés[/quote]

Franchement, chapeau les mecs :P Parce que pour vider une charrue faut y aller. Je pense que tu voulais dire "charriot" parce qu'une charrue ce n'est jamais qu'un soc (la partie en fer) et un assemblage de bois qui sert à creuser des sillons dans la terre.

Les réactions du compte lors de l'échange avec Hans Waldberg au début me paraissent très surprenantes. Le duc est tout chamboulé lorsqu'il apprend que son expédition s'est poutrer, mais bizarrement, ça ne lui fait ni chaud ni froid lorsqu'il apprend que ce sont des hommes bêtes qui ont attaqués. C'est curieux je trouve.

[quote]Konrad Waldberg avait étrangement perdu son anxiété et fixait son suzerain droit dans les yeux mais avec tout le respect qu'un roturier devait avoir pour un sang noble, et dis au Comte Électeur :

"Herr Feuerbach ... Il faut réagir, maintenant !"[/quote]

Deux erreurs dans ce passage:

Waldberg a subitement changé de prénom en l'espace de quelques lignes. Tu dis que c'est un roturier puis plus loin dans ton texte, tu nous dis qu'il est le conseiller du comte et que c'est un baron. Du coup, c'est pas vraiment un roturier :huh:

Et puis sa phrase tue tout...Perso, je serai le comte, voilà ce que j'aurai répondu:

-Herr Feuerbach ... Il faut réagir, maintenant !
-Sans déconner garçon? Et dois je vous rappeler, baron, de vous addresser à moi en utilisant mon titre? Vous mériteriez d'être pendu par les tétons et fouetté à coup de plumes de poussin pour cet outrage.

Que Waldberg demande ce qu'ils doivent faire: ok; mais qu'il donne des ordres à un comte électeur: WTF?

Le passage dans la taverne est pas mal foutu. Y'a juste le moment où Markus décide de suivre les soldats qui mériterait d'être repris, en particulier sa phrase:

[quote]C'est décidé ... je veux être soldat pour défendre l'Empire[/quote]

Le gars est bourré quoi...Moi, je suis bourré, je me lance pas dans ce genre de tirade. A la rigueur, un bon:
"Où qu'c'est que j'signe?"

me semblerait plus approprié.

Le passage où les soldats sont rassemblés sous les remparts est un peu brouillon. Tu nous décris succintement les sentiments de Markus ce qui est dommage. Une introspection un peu plus poussée aurait pu être sympa.

Ne serait ce que commencer ton paragraphe par: "Markus avait l'impression d'avoir un pivert dans le crâne. Il ne s'était toujours pas remis de sa beuverie de la veille et avait du mal à se tenir droit dans ses bottes."
Nous placerait d'office dans la peau du personnage et tu pourrais ensuite enchaîner sur ses interrogations quant à ce qu'il a vécu la veille.

Après, la description des unités aurait, je pense, mérité un traitement un peu plus long, ne serait ce que sur les couleurs des soldats. Parce que perso, je n'y connais rien dans les uniformes des provinces de l'empire à Battle, et là, je les imagine tous en cuir marron avec des plumes sur les casque...

Sinon, je vois mal un bleu être intégré à un régiment de hallebardiers. Je m'explique: le maniement d'une hallebarde est, et de loin, largement plus complexe que celui d'une bête épée ou d'une lance. Le poids de l'arme est important, le déséquilibre qu'entraîne un coup également. De plus, les hallebardes sont faites pour percer des armures de plates ou embrocher des cavaliers/chevaux.
Dans l'histoire, ce furent des unités d'élite, ou de mercenaires, qui furent équipées de hallebardes. L'exemple le plus célèbre est la Garde Suisse pontificale.

Le passage sur la Drakwald:

Ben, on en apprend pas beaucoup sur la Drakwald, si ce n'est que lorsqu'il n'y a pas de neige c'est très sombre. C'est un peu léger alors que ça va être le point d'orgue de ton récit.
La présenter de manière plus poétique aurait pu être sympa. Du genre:

"La Drakwald. Terre de mythes et de légendes, lieu de sépulture de bien des fous. Ses sous bois étaient gorgés du sang des malheureux qui avaient eu le malheur de croiser la route des hordes de monstres qui se terraient dans les sous-bois obscurs."

Tout de suite, j'imagine un univers glauque et maléfique. Alors que là:

[quote]La Drakwald d'ordinaire si sombre s'était recouverte d'un linceul blanc avec l'arrivée de l'hiver,[/quote]

Là, je vois plus un bois classique avec de grandes clairières. On s'attend presque à voir débarquer un elfe en collants ^_^

Le bastion dans lequel se terre les hommes bêtes aurait mérité une description plus etoffée. Là, on sait juste qu'il s'agit d'un ancien fort nain. Donc, il doit y avoir de la bonne maçonnerie, des défenses bien foutues (même si elles sont en ruines/mauvais état).
Le point de vue des soldats devant attaquer ce genre de construction aurait été pas mal.

[quote]Comme il était prévu, des hordes d'hommes bêtes de toutes sortes, des gors, ungors, wargors et bestigors sortirent du fort[/quote]

Au delà du fait que je pensais que les hommes bêtes auraient senti l'arrivée des humains, je vois pas trop quelles sont les différences entre les différents bestiaux que tu cites, mis à part que je sais que certains sont tout frêles par rapport aux autres.

Idem concernant le gros monstre (gorghon) et le truc qui vole. Je ne vois absolument pa à quoi ça ressemble, mais je vois que ce sont des machins balèzes.

Bon, après le combat, c'est juste une grosse boucherie où les hommes bêtes foncent bêtement dans le tas...
On a aucune idée du rapport de force entre les armées, ce qui n'aide pas à comprendre pourquoi les bêtes se font décimer aussi vite. Les pistoliers sont justes cons (pardonne moi l'expression): foncer dans le tas au lieu de tenter un contournement des flancs...

'fin, ça manque un peu de subtilité pour des jeunes nobles sensés avoir reçus un minimum de formation militaire.

Le coup du héros qui terrasse le monstre: c'est un peu cliché. Surtout que là, il ne fait que l'achever d'un coup chanceux. Lorsque j'ai lu:

[quote] Bloch tente de s'illustrer, et s'approche de la bete qui est à genoux et qui est toujours à l'agonie[/quote]

J'ai vraiment espérer qu'il se foire, histoire de ne pas tomber dans le cliché sus mentionner.

S'il s'était arrêté là j'aurai dis: ouais pourquoi pas, il a eu un sacré coup de bol.
Mais non! Derrière, il se bat comme un fou, et continue à planter des ennemis...
Là c'est trop et j'ai pas accroché. Markus a 17 ans, manie une arme habituellement réservée à l'élite, et vlà qu'il te tranche une gorge par ci et qu'il te met un coup de hache par là...

J'aurai préféré qu'il se fasse assomer par un adversaire et qu'il s'en sorte tout recouvert de sang, humain et bestial mêlés, c'est plus classe, plutôt que tout guilleret et couvert des lauriers de la victoire.

Enfin, les chamans n'utilisent pas de magie pendant le combat? Ils ont servis à quoi du coup?

Bon, je suis un peu dur sur ce passage, mais comme c'est le moment qu'on attend depuis le quasi début, il y a trop de choses qui ne me paraissent pas crédibles.
En résumé, j'ai l'impression que tu as voulu caser un peu tout le bestiaire homme bête pour que les impériaux montrent que finalement, non, c'est eux qui ont la plus grosse...

Dernier point concernant le combat, après j'arrête, promis: essaie de sortir des statistiques GW et de la puissance des figurines sur une table de jeu.
Ton monstre volant aurait du pourir la moitié de l'armée impériale vu qu'elle n'avait ni arquebusier ni magicien.
Etant donné que je ne sais pas à quoi ressemble un gorghon, je ne m'étendrai pas sur ses éventuelles capacités martiales, mais ce genre de monstre devrait être capable de déglinguer des dizaines de gus avant de mourir.

Déjà, rien qu'en imaginant un minotaure lancé dans un pack d'humains, je dirai: STRIKE!!

Tout ça pour dire: lâche toi dans les combats au niveau de la puissance des monstres, et essaie de limiter celle es humains lambda. (pour un comte électeur avec Croc Runique je dis pas, mais pas pour de bêtes troupes de base)

Et enfin:

[quote]Epilogue :

Après la victoire contre les hommes bêtes dans la Drakwald, la vieille route accueillie de nouveau le trafic impérial, Middenheim fut ravitaillée et sauvée, Markus Bloch quant à lui fut gradé au rang de capitaine et est devenu un fervent soldat et défenseur de l'Empire .[/quote]

Euh...comment dire? Mais c'est pas un épilogue ça!! :'( :'(

Plus sérieusement, un épilogue c'est au moins un petit paragraphe, du même genre que ton prologue.

On aurait pu avoir droit à un dialogue entre le Comte et le baron Wladberg qui reconnaissent la bravoure de Markus et lui propose un poste plus élevé dans l'armée.
Markus aurait pu avoir des états d'âme quant à cette nomination parce qu'à la base il ne voulait pas passer sa vie à se battre mais que la proposition lui permet d'avoir une vie meilleure.

Ce genre de trucs quoi.

Là, ça fait: Markus est trop fort; pouf on doit le garder; pouf vlà qu'on le promeut capitaine; pouf on lui lave le cerveau pour qu'il soit content de se battre pour l'Empire; pouf tout est bien qui finit bien.

Et c'est dommage parce qu'il y a un éventail de possibilités que tu aurais pu exploiter pour nous donner envie d'avoir une suite. Ce n'est pas que je n'en veuille pas une, qu'on se comprenne bien, mais ton épilogue ferme totalement ta nouvelle en nous disant: This is the End.


J'espère sincèrement que mon gros pavé de critiques ne te démotivera pas et te poussera à me prouver que tu es en mesure de nous écrire une autre nouvelle sur Markus, 17 ans, une hallebarde et toutes ses dents :)

A très bientôt j'espère,

Crio Modifié par criomega
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Hola !

Bienvenue dans le coin ! Je t'invite à lire les épinglés, ça t'aurait permis d'éviter beaucoup des remarques négatives ici présentes. Bon je commence par ce qui pique : la forme. Je cite pas tout mais les premiers exemples des généralités.

[quote]it plus de 200 convoyeurs et 60 soldats de métiers, des doppelsoldner[/quote]

Attention à ne pas mettre de chiffres, ça reste très rare (comme par exemple la XIIIème mais je crois que c'est tout).

[quote]et où est passé la marchandise [/quote]

Il manque beaucoup d'accord.

[quote]quoi ressembler leur visage initial ![/quote]

Il y a des mots qui ne s'utilisent pas vraiment dans un langage oral : initial ça se dirait pas vraiment mais peut être 'avant'.

[quote] il n'y a que des vieillards ( à l'époque médiéval l'espérance de vie ne dépassait pas 40-50 ans , d'où le terme "vieillard" , je ne veut vexer personne ! ) aujourd'hui dans ton bar, d'habitude il y a toujours des gars qui chantent des chansons paillardes au comptoir o[/quote]

Là je trouve que ça casse carrément le rythme, tu nous sors de l'histoire totalement.



Pour le fond, on a du classique mais une belle marge pour avoir de petits trucs qui changent. Parce qu'on a : un gars recruté à l'arrache, la peur, une baston, une promotion. J'avoue je caricature mais on a pas vraiment de largesse qui fait qu'on se souviendra de lui. Bon en tout cas je détecte un bon potentiel et il n'y a qu'en écrivant encore que ça sera de mieux en mieux ;) !!! Alors au boulot !

@+
-= Inxi =-
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