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La cité


hugo31

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[font="Arial"][size="2"]Bonjour amis lecteurs et confrères écrivains amateurs! Suite à des événements personnels récent je me suis mis en tête de rédiger des textes et, éventuellement de les publier un jour (Ouh le vilain ambitieux!). Sous forme de recueille de nouvelles si j'estime qu'ils sont assez bon. J'avoue ne pas vraiment savoir où situer dans le mon genre dans le panthéon des styles littéraires du coup pour ce qui est de où poster ce sujet... Peut-être que mes écrits se rapproche de l'horreur cosmique! (Re-Ouh pour le vilain prétentieux qui s'approprie une référence culturelle pour lui après avoir lu qu'un livre du maître!)
Quoi qu'il en soit, je souhaite partager avec vous le premier de mes textes qui servira d'"introduction" à l'univers. Peut-être que d'autres nouvelles, du même ton ou non prendrons la suite je n'en sais encore trop rien! Sur ce mes compagnons, bonne lecture à vous! J'attend vos retours (notamment sur la mise en page, la ponctuation et l'orthographe...) avec impatience et je vais essayer de faire un tour sur vos sujet à vous dès que j'en ai le temps!



[/size][/font][font="Arial"][size="2"] [b]L[/b]a cité. Bâtie par des Hommes ayant tout pouvoir sur les contemporains. Malgré ces hauts bâtiments aux formes uniques, ces sculptures étonnantes de réalisme, ces routes propres et ordonnées, elle n'en restait pas moins une cité bâtie par de petits êtres grouillants d'excitation devant l'immensité du temps. Aussi majestueuse qu'elle était, elle n'en restait pas moins éphémère. Une ignoble insulte aux puissances fondamentales de l'univers. [/size][/font]

[font="Arial"] [/font][font="Arial"] [/font][font="Arial"][size="2"][b]C[/b]omment des êtres aussi misérables ont-ils pu ériger plus que le nécessaire à leur survie ? L'art dont ils pensent faire preuve n'est qu'une pâle imitation des œuvres éternelles de la galaxie. Une insulte à ce que ces Hommes trouveront en dehors de leurs murs gris et grossiers. Mais la masse informe et ignoble de la société se condamnait seule à errer dans les dédales de leurs artificielles constructions. Des corridors officiaient de masquer le monde aux passants qui les arpentaient pour se rendre à leurs tâches quotidiennes. De hautes tours ne donnaient qu'un point de vue falsifié à l'être qui en atteignait le sommet, le regard fixé sur les marches qu'il venait de gravir. Il ne peut s'attarder à regarder par delà les limites de son monde pour y voir la nature titanesque qui discréditera la toile de mensonges que sont ces monuments humains.[/size][/font]

[font="Arial"] [/font][font="Arial"][size="2"][b]M[/b]algré tout, un lieu s'élève au cœur de la cité. Pointe cruelle, injustement haute, comme un doigt pointé vers les domaines divins. Défendant à quelques forces inconnues d'approcher des frontières artificielles de l'Homme. En ce lieu seulement, un être pouvait discerner et détailler les corps des pierres, les balafres de fer sur la peau de feuillage recouvrant la surface du monde infini. C'est en ce lieu maudit par les esprits saints de la société que l'Homme pouvait comprendre pourquoi il préférait mourir à genoux en ce lieu plutôt que de vivre debout au dehors.[/size][/font]

[font="Arial"] [/font][font="Arial"] [/font][font="Arial"][size="2"][b]L[/b]a sécurité des toits de la cité paraissait moins risquée que l'inconnu de la vie à ciel ouvert. Qui pouvait connaître quels dangers pouvait contenir ces prairies ? Les titanesques montagnes ne devaient qu'être constructions d'un être cyclopéen. Les océans entourant la ville étaient sûrement de profondes cachettes pour la monstruosité qui avait créé cet univers. Non, pour l'Homme qui voyait cela, il était préférable de perdre la mémoire, d'oublier la cruelle beauté extérieur pour retourner dans les abîmes de bétons où tout pouvait être contrôlé, analysé et évalué.[/size][/font]

[font="Arial"] [/font][font="Arial"] [/font][font="Arial"][size="2"][b]S[/b]i aucun Homme n'aspirait à monter cette tour sacrilège, tous souhaitaient retourner dans les bas quartiers de la ville. Seuls endroits où les citadins pouvaient aisément oublier leurs calvaires quotidiens de prolétaires exploités. Les repères blindés d'alcools âcres et à l'air saturé de quelques fumées délirantes étaient là le seul échappatoire offert aux masses de travailleurs rampants, croulants sous leurs charges de travail dont l'éveil intellectuel était régi par un clergé décadent.

[/size][/font][font="Arial"][size="2"][b]E[/b]lles erraient sans but, ces âmes brisées par un présent sans espoir, un passé qui les efface de grandeurs et un futur toujours plus lointain. Voguant chacune au gré des caprices de leurs dirigeants sur des canaux de bitume, chaque jour passant les enfermant un peu plus dans leurs égocentrisme fatal. Les heures s'enchaînant, ne leur laissant qu'un vague souvenir de la précédente, aussitôt remplacée par le rappel à l'ordre des contre-maîtres toujours plus froids et dirigistes. Les chaînes d'employés et d'ouvriers œuvraient dans un but commun : celui de ne plus voir ce qui les attend à l'oraison de leurs vies ravagées par le dictât de l'acier et du gravier. [/size][/font]

[font="Arial"][size="2"] [/size][/font][font="Arial"] [/font][font="Arial"][size="2"][b]A[/b]u fil du temps, monotone et linéaire, les Hommes s'étendirent. Leur cité impie gagnait du terrain sur la nature pillée au nom du progrès. L'être humain, cette vermine grandissante continua de se bander les yeux devant l'univers en expansion. S'enfonçant toujours plus dans le mal-être et l'ignorance de son prochain. L'Homme puissant ne prendra pas conscience que sa fin ne sera que plus brutale au fur et à mesure de son avancement dans les projets qu'il manigance pour son bétail abruti. Tel une étoile, plus son cœur de goudron grossi, plus la société tend à se refermer sur elle même la poussant, à terme, à l'implosion. [/size][/font]

[font="Arial"] [/font][font="Arial"] [/font][font="Arial"][size="2"][b]D[/b]urant les innombrables années qui suivirent ça construction, l'horrible tour dominant toute structure reçu un nombre variable de puissants. Leurs lentes ascensions dans la société se fit similaire à leur misérable escalade du morne bâtiment. Le savoir contenu en son sommet, son sein, était une fin en soi aux yeux étroits de ces minuscules et mortels géants.[/size][/font]

[font="Arial"][size="2"][b]M[/b]ais pour ces dirigeants, rien ne pouvait leur faire comprendre ce qu'ils y voyaient. La folie les gagnaient irrémédiablement et leur puissance fraîchement acquise s'effondrait sous le poids de cet acte lourd d'incommensurables malheurs. La gouvernance de la cité passée alors à une autre marionnette, devenant à son tour le marionnettistes de mille esprits malléables, de mille ombres furtives, de mille morts corvéables.[/size][/font]

[font="Arial"] [/font][font="Arial"] [/font][font="Arial"][size="2"][b]A[/b]insi fonctionnait l'alternance du pouvoir dans la cité et cela depuis des temps immémoriaux. Un trône remplaçant un autre dans l'enchevêtrement de files formant la toile qui régissait les lois du monde des Hommes. Cette toile si bien ficelée par des êtres disparus il y a de cela des âges, était le parfait miroir des lois naturelles qui régissent encore l'espace et le temps. Mais comme toute création terrestre, l'imitation n'est que pâle copie comparé à la création même et comme bien souvent elle ne fait qu'en retourner les codes afin de les imiter à son propre bénéfice. [/size][/font]

[font="Arial"] [/font][font="Arial"] [/font][font="Arial"][size="2"][b]C[/b]'est de cette façon que les Hommes créèrent l'ordre sociétal pour s'opposer au chaos naturel. Que des idoles de pierre, de marbre et de jade furent érigés en l'honneur de fausses divinités pour guider leurs peuples illuminés vers un futur fantasmé.[/size][/font]

[font="Arial"][size="2"][b] L[/b]e temps fit son office sur ces artefacts comme sur toutes choses matérielles. Les déités falsifiés laissèrent leur place au panthéon des Hommes pour être remplacés par des machines de pure logique. Les anciens livres saints perdirent la lutte contre les pamphlets scientifiques. L'église de la foi, détrônée par l'école de la raison avait laissé les anciens hérétiques dicter leurs enseignements aux masses toujours plus nombreuses de la cité. Mais cette science autrefois impie ne resta pas non plus éternellement à l'œuvre au cœur de la cité. Le cycle continua, l'Homme alterna les régences de la fois et de la science comme il alterna traîtrises et justices pour servir ces lois séculaires. Celle-là même qui lui ordonne de proliférer afin de dominer toutes surfaces qu'il peut dompter grâce à ses outils et son mental.[/size][/font]

[font="Arial"] [/font][font="Arial"] [/font][font="Arial"][size="2"][b]S[/b]i les dirigeants et les gouvernances on changé de multiples fois aux gré des puissants et des puissances de la cité, les masses, elles, sont toujours les mêmes. Ignorantes des jeux de pouvoirs qui prennent place dans les hautes sphères tout en se sachant dirigées d'une main de fer. Incapables de penser par elles mêmes tout en se pensant libre de leurs actes. Toutes similaires à leurs concitoyens en étant persuadés de leurs individuelles unicités. Ce peuple, ce bétail mené à l'abattoir par leurs bergers, n'ayant aucune chance de s'élever au dessus du grouillant troupeau de ces congénères. Les maîtres à pensée les ont modelés pour être à genoux, pour être en dessous et ne leurs laissant pour seule distraction que l'étendu de leurs ordinaires.[/size][/font]

[font="Arial"][size="2"][b] A[/b]u fil du temps, la cancéreuse cité finit par recouvrir l'entièreté du monde malade. La masse, la tumeur de cette terre avait finalement finit par parvenir à son but. Depuis la nuit des temps jusqu'au crépuscule de l'univers la cité fut debout. Elle rampa hors de ses fondations pour couver les nouveaux terrains de ces infectieuses vapeurs. Les ressources nécessaires à son expansion vinrent d'abord à manquer. Puis la survie prenant le pas sur la morale, elle en vint à exploiter de nouvelles ressources, autrefois vivantes. Ces nouveaux matériaux inertes continués d'être utiles avant comme après leurs trépas. Mais au bout du compte, la cité maîtrisée par les Homme muta en cité servie par ces mêmes Hommes. Seul l'arrêt de la course du temps mis fin à sa course effrénée qu'était la réalisation du but ultime de l'être humain. C'est dans ce contexte, dans cette univers que des êtres plus vivants que conscients vont maintenant errer au gré de votre lecture. Mais leurs vies saugrenues suspendues au fil de la page ne sauraient vous inquiéter : peut importe les moyens, l'humanité doit progresser.[/size][/font]



Allez! Moi je retourne à mon ménage entre deux crises de mégalomanie! Modifié par hugo31
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[font="Arial"][size="2"]Hello,

[quote][color="#330000"]Peut-être que mes écrits se rapproche de l'horreur cosmique! (Re-Ouh pour le vilain prétentieux qui s'approprie une référence culturelle pour lui après avoir lu qu'un livre du maître!)[/color][/quote]
Je parierai sur "Night Ocean et autres nouvelles" !
Et si ce n'est pas celui-ci bah... essaie-le. [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/tongue.gif[/img]



Bon, certes, il y a quelques fautes d'orthographe mais ce ne sont, vraisemblablement, que des fautes d'inattention (que celui qui n'en a pas dans ses textes te jette la première pierre).

En revanche, fais attention, parfois tu passes du passé au présent - voir au futur - sans forcement de raison.
Exemple :
[quote]A[color="#330000"]u fil du temps, monotone et linéaire, les Hommes [u]s'étendirent [/u][i](nb : mieux vaut utiliser l'imparfait)[/i]. Leur cité impie gagnait du terrain sur la nature pillée au nom du progrès. L'être humain, cette vermine grandissante continua ([i]idem[/i]) de se bander les yeux devant l'univers en expansion. S'enfonçant toujours plus dans le mal-être et l'ignorance de son prochain. L'Homme puissant ne [u]prendra[/u] ([i]pourquoi le futur simple ? alors que, dans le paragraphe suivant, tu repasses au passé[/i]) [/color][color="#330000"]pas conscience que sa fin[...][/color][/quote]
Peut-être vaudrait-il mieux utiliser l'imparfait pour la plus grande partie de la description - puisque ce sont des choses qui ont duré ou se sont passées en un laps de temps assez long - et réserver le passé simple pour le moment de la chute ; avant de conclure par du présent.
Mais pas de futur simple.[/size][/font]
[font="Arial"]

[size="2"]Cela étant dit, passons aux bons côtés :[/size]

[size="2"]- La conclusion de ton texte laisse sur sa faim, ce qui est tout de même le but d'une introduction. [/size][/font]
[font="Arial"][size="2"]Une bonne chose, donc.[/size][/font][img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/thumbsup.gif[/img][font="Arial"][size="2"]

- Chacun peut se faire une idée de ce à quoi ressemblait la cité.
En lisant, j'imaginais assez du Bauhaus (l'architecture, pas le groupe) en ruine à l'échelle planétaire. Et en noir et blanc.

- Il y a des amorces d'histoires (dans un theme "horreur cosmique", donc) un peu partout dans le texte.
Ex :
* D'anciennes déités oubliées ? OK... mais maintenant que l'ère de la logique est achevée, je me demande comment elle vont revenir.
* Quid de la tour ? Ça semblait presque un personnage à part entière.
Et bien d'autres... bref, autant de pistes qui appellent des réponses


En conclusion :[/size][/font]
[font="Arial"][size="2"]Une petit révision rapide s'impose peut-être (en plus le texte n'est pas très long[/size][/font][img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/happy.gif[/img][font="Arial"][size="2"])[/size][/font]
[font="Arial"][size="2"]MAIS :[/size][/font]
[font="Arial"][size="2"]Une intro qui fait bien son boulot ; [/size][/font][font="Arial"][size="2"]truffées de bonnes idées qui donnent envie de voir comment tu vas les exploiter.[/size][/font]

[font="Arial"][size="2"]Si je comprend bien le thème de tes futures histoires ; on pourrait s'attendre à une sorte de post-apocalyptique Lovecraftien ?[/size][/font]
[font="Arial"][size="2"]Ok ! Je suis curieux et j'ai envie de lire la suite.[/size][/font]



Au plaisir de te recroiser sur d'autres thread de la section [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/icon_mrgreen.gif[/img] Modifié par Ocrane
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Bien l'bonjour sieur Ocrane! Une réponse aussi rapide de la part d'un des membres éminent du forum! Que d'émotions! [img]http://www.warhammer-forum.com/public/style_emoticons/default/smile.gif[/img] Alors il faut que je fasse une réponse construite maintenant non? *sigh*

[quote]
Je parierai sur "Night Ocean et autres nouvelles" !
Et si ce n'est pas celui-ci bah... essaie-le
[/quote]

Eh bien non! Ah! C'était [u]Dagon[/u] que j'ai lu! (Bon... J'ai aussi lu un ou deux textes de lui sans savoir d'où ils provenaient...) Mais oui, l'intégrale de Lovecraft est dans mon viseur un fois que j'en aurais finit de Dune et de son épice impie... Donc j'ai le temps...


[quote]
Bon, certes, il y a quelques fautes d'orthographe mais ce ne sont, vraisemblablement, que des fautes d'inattention (que celui qui n'en a pas dans ses textes te jette la première pierre).
En revanche, fais attention, parfois tu passes du passé au présent - voir au futur - sans forcement de raison.
[/quote]

Ce texte a eu la chance d'être relut par 2 autres personnes en plus de moi ce qui limite grandement les "vraies" fautes! Pour ce qui est des erreurs de temps je suis surpris, sachant que c'est une de mes plus grosses difficulté je met le paquet dessus pour les éviter... Si ça se trouve j'ai copié-collé la version partiellement corrigée... Damn...


[quote]
- La conclusion de ton texte laisse sur sa faim, ce qui est tout de même le but d'une introduction.
[/quote]

Je doit avouer que la conclusion a était écrite à la hâte au début d'un cour d'ampi... Je l'ai un peu bâclée pour pouvoir prendre le cour et je n'ai pas encore trouvé la force de la retravailler...


[quote]
Chacun peut se faire une idée de ce à quoi ressemblait la cité.
En lisant, j'imaginais assez du Bauhaus (l'architecture, pas le groupe) en ruine à l'échelle planétaire. Et en noir et blanc.
[/quote]

Je ne connaissait pas ce type d'architecture du coup j'ai fait une recherche et effectivement c'est un peut l'idée que je me faisait de la cité au moment de l'écrire. Mais plus je pense aux histoires qui pourrait si passer, plus je me rend compte que la musique que j'écoute influe sur ma représentation des bâtiments: si jamais j'écris en écoutant "color me blood red" de psyckup je pense que je placerai l'action dans un quartier plus... "New Orleans". En d'autres termes je vois bien la cité comme un patchwork géant et changeant en fonction des époques et des fameux cycles de la cité (un peut comme "Ravnica la cité des guildes" si on se fit uniquement à ces descriptions littéraires).


[quote]
Il y a des amorces d'histoires (dans un theme "horreur cosmique", donc) un peu partout dans le texte.
Ex :
* D'anciennes déités oubliées ? OK... mais maintenant que l'ère de la logique est achevée, je me demande comment elle vont revenir.
* Quid de la tour ? Ça semblait presque un personnage à part entière.
Et bien d'autres... bref, autant de pistes qui appellent des réponses
[/quote]

Justement! Ces anciennes déités et la tour consciente... Je trouve qu'elles font ici un peut trop lieux communs pompés directement du maître (Et pour cause, je me réfère à son panthéon et à la nouvelle [u]La rue[/u], qui est une de mes préféré au passage).
Du coup pour ce qui est des déités je pense ne pas les développer voir même les effacer au fil du temps. En revanche la tour en personnage à part entière... Je me réserve le droit de cacher mes vilaines intentions!
De façons général je doit dire que je n'aime pas trop mon texte, je le trouve bien trop simpliste et peu inspiré.


[quote]
Si je comprend bien le thème de tes futures histoires ; on pourrait s'attendre à une sorte de post-apocalyptique Lovecraftien ?
Ok ! Je suis curieux et j'ai envie de lire la suite.
[/quote]

Et bien nous y voilà! Le temps! J'imagine bien mes personnages évoluer de façons indépendantes avec leur perception propres de la ville, et ce, à des époques différentes.

Ce qui m'avais le plus marqué dans Lovecraft (et encore plus dans les écrits de Beckett comme [u]fin de partie[/u]) c'est bien l'absence de temps. Pas de jour, pas de nuit (je le retrouve aussi dans la musique du groupe Infected mushroom que j'ai longuement écouté). Et quand il y a des indications sur la temporalité ce n'est que pour mieux servir la mise en avant de la nostalgie et de la fragilité du protagoniste. D'ailleurs, de ce qu'il me semble, Lovecraft place ces personnages le plus rapidement possible dans des lieux où les repères temporels classiques sont impossibles à discerner si jamais il donne des repères temporelles fiables d'un point de vue humain.

De la même façons, j'insiste (peut être maladroitement) sur le fait qu'il n'y a pas de temporalité fixe dans la cité puisque l'Homme pense tout y contrôler! De ce fait il n'y auras pas de post-apo en mon sens dans mes écrits puisque ils ne se passeront pas après la fin des temps mais bien pendant en quelques sortes! Mais c'est un thème sur lequel je pourrait passer des heures à disserter sans voir le temps filer (Ahah! Puisqu'on parle du loup... En plus ça fait jeu de mot... Le temps qui file, la métaphore filée... Ok je sort!) du coup je te propose de continuer par MP pour pas polluer ce sujet et énerver la MEZANTE modération et son bouton signaler (patapé! jerigoul'!).


En tout cas ça me fait plaisir d'avoir un retour positif et indépendant sur ce texte (seul quelqu'un de mes amis avait lu le texte et avait était élogieux mais bon... Ce sont des amis je les vois mal me cracher à la gueule pour ça...) ce qui me motive à continuer de plus belle! Modifié par hugo31
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  • 1 mois après...
Confrère, pas tout à fait, mais je souhaite un jour pouvoir le dire !

De mon côté, j'ai quelques cailloux et mon bouchon de liège:

- un caillou: certaines choses reviennent trop souvent (peut être pour bien marquer), si je résume y'a beaucoup l'idée de HUMAIN MISÉRABLE FUTILE ORGUEILLEUX ! Une petite variation ? Après j'ai parcouru rapidement donc je me trompe peut être.

- un caillou: j'ai cru voir quelques répétitions (ignoble je crois)

- un bouchon: excellente idée cette tour ! Je la verrai bien contrôler les hommes ! Un esprit d'ailleurs gniark gniark !

Une suite bientôt ?
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  • 1 mois après...
Marrant, je vois ce texte pratiquement comme un one-shot... nullement comme une introduction.

La fin avec la prise à partie du lecteur dénote un peu du contexte général. Bon je suis plutôt adepte d'un style court donc je manque de recul sur ce texte qui globalement reste plaisant à lire.

Une suggestion, si les humains finissent pantins, je verrais bien une description de plus en plus sombre du monde et pas seulement par sa réification en tant qu'entité, ce n'est qu'une idée.

Une dernière question (et de loin la pire :devil: ) : a quand la suite ? :innocent:
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  • 1 mois après...
Bonsoir,

J'ai lu il y a quelques temps déjà, mais n'ai malheureusement pas eu le temps de commenter à ce moment là.

Je me rattrape à minima (et à posteriori) maintenant.

Je rejoins mes collègues dans leurs remarques donc j'attends la suite pour voir comment tout ça va évoluer.

Pour ma part, j'y ai surtout vu une critique de notre monde moderne, dominé par le besoin maladif de consommation et comme l'a dit un personnage du film "Les Evadés" (avec Morgan Freeman): "Tout va très vite aujourd'hui. Le monde s'est emballé et plus rien ne semble pouvoir l'arrêter à présent."

Si suite il y a, je tacherai d'être plus réactif.

Bonne continuation,

Crio
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