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L'empereur et molech


Jejephiroth

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Je dirais que les deux doivent coexister à l'échelle de la galaxie. La question est pas de savoir si ces lieux existent car il me semble que l'aristocratie impériale aime "s'amuser".

 

La vraie question à mon humble avis est de savoir pour qui est-ce trop grim dark toussa toussa.

De ce que j'en sais la noblesse et les grands penseurs (rogue trader/amiraux/inquisiteurs etc.) ont plutôt une "belle vie" pour le reste c'est juste super glauque à souhait.

 

Cordialement Tir.

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De ce que j'en sais la noblesse et les grands penseurs (rogue trader/amiraux/inquisiteurs etc.) ont plutôt une "belle vie" pour le reste c'est juste super glauque à souhait.

 

C'est ça , cela dit la position des rogue trader peut varier extrêmement vite en fonction de leurs réussites ou de leurs échecs .

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Scintilla est un monde-ruche dépendant de l'agri-monde voisin. C'est pas une planète comme on recherche ^^

 

Dark heresy possède d'ailleurs l'habitude assez regrettable de "stéréotyper" ses planètes, faisant qu'il y a finalement peu de mondes "normaux", chacun étant ultra archétypal, et les situations sont tout autant stéréotypées comme dans le moins fameux des RPG ("alors sur cette planète on creuse des cailloux, et dans celle là on récolte du pollen").

Le secteur Calixis est, globalement, complètement pourri et étrangement bien pourvu en inquisiteurs (qui passent apparemment leur temps à blablater et à se tirer dans les pattes, ce qui est là aussi un peu spécial).

Chaque source a ses avantages et ses défauts, romans, livres de règles, codex...

 

ps: en fait on pourrait pratiquement "condenser" tous les mondes du secteur Calixis en un seul, et ça donnerait enfin la diversité normale. Les planètes sont gérées comme des zones dans un RPG, pas comme des véritables "mondes".

Modifié par Invité
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. Pourtant c'est probablement dans ceux-ci que se trouvent les mondes les plus paisibles.

Je tiens tout de même à préciser qu'il n'est pas tant question de mondes paisibles, mais de niveau de vie. J'admets parfaitement qu'un monde puisse avoir un niveau de vie confortable (accès aux soins, acquis sociaux...) et en même temps être un monde relativement violent et agité par des troubles ou des difficultés économiques dû à X raisons (warp, épidémie, révolte etc).

Et à l'inverse un monde peut être très paisible ET dans le même temps plutôt miséreux et dur à vivre, les mondes féodaux sont les plus paisibles de tous par exemple "car le peuple y connait sa place" (dixit Dark heresy), pourtant ils ne sont pas hyper cools à vivre, ne serait-ce que parcequ'ils n'ont pas la technologie suffisante (bien que là encore on peut parfaitement imaginer des différences notables, du genre on vit au moyen-âge mais la "magie du dieu machine" permet des soins poussés, tout comme on peut imaginer un monde féodal dont la capitale serait protégée par un antique bouclier d'énergie hérité des temps anciens. Perso j'imagine très bien des chevaliers en armure avec épées, bouclier, et bras bionique offert par le seigneur).

Oui mais j'ai l'impression que tu lie un peu trop le niveau de vie au fait que les gens puissent être heureux. Nous on ne va pas trouver un monde féodal facile a vivre, mais les habitants eux n'ont logiquement connu que ce monde et rien d'autre. Il ne savent pas qu'il y a qu'il y probablement mieux ailleurs et ne connaissent pas non plus toutes les possibilités technologiques.

De mon point de vue, si les habitants des différents mondes ne pouvaient être heureux qu'elles que soient les conditions, l'impérium serait en permanence soumis a des révoltes dans un grand nombre de planètes. Un monde dangereux peut s’avérer très sympathique pour ses habitants et horrible pour les visiteurs.
J'en veux pour exemple notre bon vieux sergent artilleur Harker de Catachan. Sa planète est un monde hostile, et pourtant il est tout content de pouvoir y retourner pendant ses perm pour tuer des diables de Catachan et prendre leurs bottes (oui c'est un abruti mais tout de même).
Bref que les conditions de vue puissent nous paraître abominables sur pas mal de planètes, c'est uniquement a cause de ce que l'on connait. Il faut bien garder en tête que l'habitant lambda n'a jamais rien vu d'autre et n'a pas d'élément de comparaison. Par conséquent il peut très bien être heureux sur sa planète, aussi rude soit le système, la faune etc...

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A mon sens, l'Imperium ressemble énormément à la Corée du Nord ...

et les Coréens du Nord ne me semblent pas spécialement malheureux quand on lit ça :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Pyongyang_(bande_dessin%C3%A9e)

ou quand on regarde ça :

- https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Match_de_leur_vie_(film,_2002)

La perception du bonheur est certainement très différentes. Certains sont simplement heureux de pouvoir prier un peu l'Empereur, d'autre rêvent de liberté, d'autre d'aventure ... c'est vaste, et à part les rénégats (qui ne sont pas si nombreux que ça), les humains semblent plutôt satisfaits dans l'ensemble

 

L'originalité du régime "fasciste" et "punk" de 40k, c'est la réalité de la menace. L'Humanité n'a pas choisi le meilleur système, mais le moins pire (du point de vue de l'Empereur, des eldars, et tout ceux qui ne peuvent pas encadrer le Chaos)

C'est un univers en plein guerre froide, tout peux sauter d'un moment à un autre. Mais le gros de l'Humanité l'ignore, et ne vit ni dans un stress absolu ou la paranoïa (personne n'a conscience que la Fin des Temps c'est pour bientôt, tout le monde ignore l'existence du Chaos, des Tyrranides, des Nécrons, prennent Abbadon et ses potes pour des grosses douilles, pensent que les Spaces Marines sont incorruptibles et les protègent envers tout, que l'Empereur gère la fougère, et puis qu'au fond c'est mieux comme ça). On est des êtres quasi omnicient à côté de ces personnages de fiction, donc on ne peut-être qu'en décallage

 

EDIT : Quelq'un a utiliser le terme "enrubanné". Je ne m'attendais pas à la voir dans ce genre de discussion ^^

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Heu....c'est un petit peu le lot de n'importe quel groupe humain à n'importe quelle époque, hein. Un truisme, pour ainsi dire...

 

La façon de vivre du français du M3 peut très bien être un idéal à atteindre pour certains gens, et une horreur absolue pour certains autres.

Le "confort" dont nous "bénéficions" (nous, français du M3) peut sembler objectivement souhaitable (notamment parce que nous avons fréquemment sous les yeux  l'exemple de gens qui disent aspirer à ce "confort"), mais il n'est que subjectivement souhaitable.

 

Le cul-nu d'Amazonie peut très bien se satisfaire (et non pas apprécier...) de sa condition, comme le paysan irakien, le salary-man japonais, l'ilote spartiate ou le ruchard de Necromunda.

 

Assumer son quotidien n'implique pas obligatoirement que c'est le maximum auquel on aspire, simplement qu'il existe un pacte inconscient entre les désirs et la réalité (modulé par les contraintes sociales/religieuses/politiques, qui ne servent pas uniquement que de carcan coercitif...), qui permet à chaque être humain (de n'importe quel lieu ou époque, je le répète) de se lever le matin sans se rouler par terre de frustration parce qu'il ne vit pas ce que vit le gouverneur planétaire, le chaman de la tribu, le pdg du CAC 40 ou l'habitant du pays/planète d'à côté. Ce n'est pas de la résignation aveugle de "damné de la terre", ignorant et borné par son morne quotidien, mais plutôt du bon sens intrinsèque à la nature de l'homo sapiens sapiens.

 

Ce qui n'empêche évidemment aucun individu de chercher à améliorer son quotidien propre ou celui de la collectivité, autre caractéristique intrinsèque de l'homo sapiens.

 

Faute de témoignages "directs" d'habitants du 30K/40K, on en est évidemment réduit à des extrapolations de témoignages indirects, toujours un peu biaisés par le narrateur ou incomplets, faute de place ou d'intérêt. Toutefois, c'est le mieux dont nous disposons et le mieux que nous aurons. Aussi, évitons de généraliser dans un sens ou un autre, et contentons-nous d'estimer prudemment que ce que l'on connaît de l'Imperium semble incompatible avec le mode vie d'une majorité de français du M3. :)

Les concepts de moralité/immoralité sont suffisamment fluctuants selon les lieux/époques pour se garder d'appliquer les nôtres (déjà pas unanimes) à un univers de fiction qui embrasse une galaxie entière sur des millénaires.

 

A Mon Humble Avis. :wink2:

 

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Exact en tous points.

La divergence d'opinions s'effectue sur le fait qu'on ne peut pas vivre dans l'horreur indéfiniment, et que cela fait partie de la survie que de trouver quelque objet de satisfaction que ce soit.

Mais cela ne veut pas dire que, globalement, le citoyen impérial est heureux ou satisfait de sa condition, et que dans l'ensemble l'Imperium n'est pas si affreux que ça. Si l'Imperium est affreux, dans son immense majorité, et ses citoyens sont aussi malheureux, au mieux très insatisfaits, et plus généralement résignés.

On peut vivre dans un enfer, à condition de pouvoir en faire son enfer à soi, lui trouver une certaine normalité. Modifié par Illuminor Szeras
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De mon point de vue, si les habitants des différents mondes ne pouvaient être heureux qu'elles que soient les conditions, l'impérium serait en permanence soumis a des révoltes dans un grand nombre de planètes.

C'est un peu le cas ceci dit... En tout cas, le fluff donne l'impression qu'il y a souvent des révoltes et des rebellions, et que c'est une des raisons pour lesquelles le Chaos est une menace si présente, puisque les rebelles se tournent à l'occasion vers les dieux noirs (souvent sans trop savoir ce qu'ils font). D'où aussi l'importance de l'Inquisition.

Après, on n'a pas de données chiffrées... Le fluff regorge d'exemples, mais sur des périodes très longues, et sans citer toutes les révoltes promptement matées par les forces locales et/ou l'Arbites.

N'empêche, au fil des romans, j'ai souvenir que divers personnages considèrent qu'une révolte est un événement plutôt banal, et que ce n'est que s'il y a un risque de corruption chaotique que les forces fédérales s'en mêlent.

D'ailleurs, le fluff dit même clairement que des guerres civiles (sur une même planète) ou même entre planètes ou systèmes sont tolérées tant que l'Imperioume perçoit sa dîme et que le commerce interplanétaire n'est pas affecté. Les rivalités entre maisons aristocrates sont ainsi monnaie courante, mais lesdites maisons savent faire en sorte que leurs luttes fratricides se déroulent dans la plus grande discrétion.

 

La perception du bonheur est certainement très différentes. Certains sont simplement heureux de pouvoir prier un peu l'Empereur, d'autre rêvent de liberté, d'autre d'aventure ... c'est vaste, et à part les rénégats (qui ne sont pas si nombreux que ça), les humains semblent plutôt satisfaits dans l'ensemble

Vi. On touche à un autre problème d'ailleurs. Le bonheur étant quelque chose de tout relatif, la grosse majorité des citoyens impériaux se considère sans doute heureux, alors même qu'ils vivent dans des conditions qui nous feraient horreur. Entre l'endoctrinement, la religion, et la pression de la vie quotidienne... sachant que pour la plupart ils n'ont guère de point de comparaison... il est clair que le citoyen impérial lambda se contente de peu.

Ce qui permet de revenir un peu à ce qu'on a pu dire sur les romans, ou même la vie dans l'Imperium en général: on imagine en fait mal l'état d'esprit du quidam moyen. Pour ceux qui sont nés sous un régime oppressif, le bonheur ça peut juste être de pouvoir manger à sa faim, fonder une famille, et participer aux festivités collectives (qui sont assez importantes dans l'Imperium, ils ont moult saints et moult festivals). Décrite de manière superficielle, la vie dans l'Imperium peut très bien sembler relativement normale (on bosse, on retrouve sa famille, on dort). Coté idéologie, même les citoyens ont une certaine haine pour l'hérétique, le mutant ou le psyker (le xénos, n'en parlons même pas)... Même les citoyens méprisent les fainéants, les criminels ou les marginaux, et tous ceux qui auraient une tendance trop prononcée à l'individualisme ou à l'originalité. Pour le coup, les citoyens font partie intégrante du système et acceptent fort bien leur piètre condition. Ce n'est que quand un gouverneur particulièrement malhabile prend le pouvoir qu'il y a un risque de soulèvement. Sinon, la minorité de mécontents se dirige vers des carrières de hors-la-loi: petits malfaiteurs divers, contrebandiers, aventuriers, gangers... Sur la plupart des planètes il existe des sociétés "parallèles" de marginaux qui rejettent les autorités locales et impériales, mais sont plutôt tolérées tant qu'elles ne poussent pas le bouchon.

C'est tout le principe de Necromunda après tout, mais dans les romans, on retrouve des endroits pas si différents du sous-monde sur d'autres planètes, et pas forcément que dans les ruches.

En résumé, on a des sociétés qui sont de base fort oppressives, mais que la majorité supporte assez bien, tandis que les mécontents "ordinaires" se dirigent vers une vie à la marge. Pour le coup, on peut passer à coté de l'ampleur de l'oppression, qui n'est parfois décrite qu'entre les lignes...

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 On touche à un autre problème d'ailleurs. Le bonheur étant quelque chose de tout relatif, la grosse majorité des citoyens impériaux se considère sans doute heureux, alors même qu'ils vivent dans des conditions qui nous feraient horreur. Entre l'endoctrinement, la religion, et la pression de la vie quotidienne... sachant que pour la plupart ils n'ont guère de point de comparaison...

 

Yup , c'est un trait de départ des PJ venant d'un monde impérial "lambda" à DH : ils sont persuadé que leur monde est le meilleurs de l’imperium ...

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Après si on parle des cultes du chaos dans slave to darkness on a par exemple :

La séduction du Chaos attire toutes sortes d'hommes sur toutes sortes de mondes. Des planètes variant énormément dans leurs civilisations et leurs niveaux technologiques sont toutes foyers de cultistes du Chaos. Même sur des mondes relativement confortables, il y a des gens dont la soif de savoirs interdits, de pouvoirs surnaturels et de connaissance arcanique dépasse leur loyauté envers l'Imperium.
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Le 02/08/2016 à 22:18, Rogal_Dorn a dit :

Je pense que comparer notre époque à celle de 40K n'est pas pertinent.

 

Aujourd'hui l'humanité a les clefs de son avenir en main. Le seul ennemi de l'humanité aujourd'hui c'est lui même (notre mode de vie indécent) ce qui amène le réchauffement climatique.

 

Alors que dans 40K l'humanité est sur la défensive et en déclin, petit a petit l'Imperium s'étiole.

 

- Abaddon a pris pied sur Cadia

- Jamais il n'y a eu autant d'incursion démoniaque

- Les Orks s'unissent sous la bannière de Mag Uruk Traka. Comme en M32 La "Bête" a faillit anéantir l'Imperium http://wh40k.lexicanum.com/wiki/The_Beast.

- Encore plus de Flotte-Ruche arrive dans la Galaxie. Sans compter Leviathan qui fait un carnage et qui s'attaque au plus puissant Empire Ork http://wh40k.lexicanum.com/wiki/Octarius_War.

Du reste Ghazghkull Mag Uruk Traka s'est joint à la guerre.

- Les Nécrons qui se réveillent tranquillement.

- Ahriman qui a fait une petite incursion dans la http://wh40k.lexicanum.com/wiki/Black_Library_of_Chaos.

- Le Trône d'Or qui a une avarie grave.

 

ET le point plus important Fluffiquement parlant que personne n'aborde.

 

Le Chaos qui est sur le point d'infiltrer le réseau des portails Warp que les Eldars utilisent http://wh40k.lexicanum.com/wiki/Webway.

Les Eldars Noirs protègent un portail dans leurs Capital qui se "fissure" petit a petit a cause de la pression des démons de l'autre côté.

 

Donc en Gros le Chaos va bientôt envahir le réseau de portail des Anciens.

 

En conclusion c'est la fin.

 

PS : Rassurez vous Leman Russ, Corax et Jaghatai Khan vont sortir de leurs ballade dans le Warp. Roboute Guilliman va sortir de sa stase guéri et le Lion El' Jonson se réveiller.

L'Empereur qui va pouvoir souffler un peu :smokin: Les Space Marines en Rut devant les Primarques :sblong: L'Humanité chaude comme la braise prête a bouter de l'hérétique et du Xenos comme il y a dix mille ans. B-)

 

Abaddon en sueur :'(

Écris un M42 fictif :D

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