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Bataille Empire vs Elfes noirs en 1500 points


Flytox

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La bataille de la passe aux coquelicots

Bataille à 1500 points entre une expédition elfe noir et une armée impériale

Empire (commandé par Flytox)

Un capitaine (50), général de l'armée, avec armure de plate complète (8), bouclier enchanté (10), épée de force (20), amulette sacrée (20)

Un sorcier (60) du domaine du ciel, 2 parchemins de dissipation (50)

Troupes de base :

6 chevaliers panthères du cercle intérieur, musicien

6 loups blancs

20 épéistes, champion, bannière, musicien, 6 archers et 8 hallebardiers en détachements

Unités spéciales

6 pistoliers, tireur d'élite avec pistolet à répétition

16 joueurs d'épée, champion, bannière de protection mystique, musicien, 7 archers et 8 hallebardiers en détachements

Unité rare

18 flagellants.

Elfes Noirs (commandés par une charmante jeune fille, peintre très douée et générale elfette pleine de promesse)

1 sorcière de niveau 2, générale de l'armée, un parchemin de dissipation et une protection invulnérable

1 sorcière de niveau 1, l'objet qui donne un sort en plus sur destrier

Troupes de base

20 lanciers, étendard, musicien

12 arbalétriers

15 corsaires, étendard, musicien, peut être champion

6 cavaliers, lances

Troupes spéciales

1 Char à sang froid

15 exécuteurs

6 harpies

Choix rare

2 Balistes à répétition

Déploiement

Le terrain ne comportait pas de colline, 2 forêts et une maison, placées sur une diagonale du terrain.

Wilhem était un jeune et fougueux épéiste, servant dans le 1er régiment d'infanterie du comte La perhouse. Dans son éclatant uniforme sang et or, couleur de sa province, le jeune soldat se tordait les mains d'angoisse. Il avait peur, et savait que cela se voyait.

Il avait honte, et n'osait croiser le regard des vétérans du régiment, et celui de ses camarades qui avaient déjà connu le feu.

Wilhem était un "bleu et essayait de prévoir les futurs combats : tout à gauche et au troisième rang, il avait peu de chance d'être engagé dans la mêlée. L'unité était un mélange de vétérans et de nouvelles recrues, chaque nouveau ayant un parrain.

"T'inquiètes pas petit, fit le vétéran sur sa droite, le capitaine Gaspard est avec nous, et il connaît son affaire. Regarde, notre flanc est protégé par la forêt, et la forêt est protégée par nos archers. A droite, y a de solides gars, avec leurs hallebardes y tailleront en pièces ces femmelettes d'elfes! Et derrière nous, non seulement y a des chevaliers des loups blancs, mais également des chevaliers panthères. On dit qu'ils sont du cercle intérieur de la chevalerie, y ont peur de rien ces gars là!" L'admiration dans la voix du vieux guerrier était patente, et Wilhem aurait donné cher pour se sentir autant en confiance. Mais son instinct lui criait toujours son avertissement, et il serra les dents.

Il pouvait voir au loin le groupe de sauvages fanatiques que l'on appelait les flagellants.

Derrière eux, de jeunes pistoliers piaffaient d'impatience en tirant sur les rênes de leurs chevaux. Plus loin encore, le solide carré des joueurs d'épée resplendissait au soleil. Wilhem fronça les sourcils devant la disposition inhabituelle de la formation des détachements : les archers ne protégeait pas un flanc, mais marchaient au devant des fantassins, tandis que les hallebardiers se tenait sur la droite du régiment. Le régiment avança encore et sortit de la fraîcheur des ombres de la forêt. Wilhem se tordit le coup pour voir la ligne de bataille des pillards elfes.

Ce fut pire que ce qu'il imaginait : l'aspect civilisé de ses adversaires contrastait étrangement avec la parfaite dissimulation de leurs visages. De toute l'armée, seule une femme avait le visage découvert. Malgré la distance, Wilhem pouvait voir parfaitement qu'elle ricanait, comme une sorcière, ce qu'elle était son doute d'ailleurs. Elle se tenait au sein d'une formation parfaite de lanciers tous vêtus de noir. Leurs lances étaient droites vers le ciel, aucune de penchait ni à droite ni à gauche. La formation était encadrée par des balistes. Wilhem pouvait distinguer tout à droite de la ligne de bataille elfe des arbalétriers, ainsi qu'un régiment d'hommes habillés d'écailles. Mais ce qui retenait le plus son attention, ce fut le régiment qui se tenait droit devant eux, des elfes avec d'immenses épées à deux mains qui renvoyaient vers le ciel l'éclat du soleil. Fascinés par les reflets, c'est à peine s'il remarqua les cavaliers noirs qui se tenaient derrière les lanciers. Il ne pouvait voir le char a sang froid, ni les cruelles harpies, habillement dissimulés…

Les arbalétriers elfes tirèrent vers les flagellants, mais le tir fut trop court, et les balistes se mirent aussi à les prendre pour cibles.

Les flagellants tombèrent par poignées, insensibles semble t il à la mort de leurs compagnons et la douleur qui vrillaient leurs corps. Peut être étaient convaincus d'être déjà morts, ou peut être étaient ils trop fous pour bien se rendre de ce qui se passait. Toujours est il qu'ils agitèrent leur fléaux en gémissant des imprécations et avancèrent en marche forcée.

Les pistoliers les suivirent, profitant des couverts pour de pas être pris pour cible de la sanglante averse que leur promettaient les fils de Khaine, les elfes au cœur d'ébène.

Toute la ligne impériale avança, consciente du destin qui l'attendait si les troupes attendaient que les elfes bougent. Les joueurs d'épée firent une place dans leur rang au mage Peter Aziurius, un mage du collège du ciel.

"Ne vous inquiétez pas, votre bannière nous protège de la magie impie!" clama t il au champion.

Comme pour infirmer cela, la sorcière elfe concentra les énergies magiques qui bouillonnaient autour d'elle, et soudain 3 langues d'un feu aux reflets de glace jaillirent de ses doigts pour frapper les malheureux archers qui avaient atteint l'orée du bois. Les malheureux touchés par les décharges magiques gelèrent sur place, et leurs corps statufiés témoignaient qu'ils ne s'étaient pas rendus compte de ce qui leur était arrivé. => 3 morts

Ce qui n'était pas le cas de leurs compagnons, qui hésitèrent quelques instants avant d'accélérer la marche. Mieux valait se hâter si la célérité pouvait leur éviter pareil destin.

Et les elfes ne bougeaient toujours pas, augmentant sensiblement la nervosité des troupes.

Tout au plus leur cavalerie se détacha t elle du bataillon de lanciers, et un char à sang froid fit il son apparition.

La pluie mortelle continuait de tomber sur les pauvres flagellants, clairsemant leurs rangs, (les arbalétriers et les balistes les ont visés jusqu’à extermination) mais renforçant leur détermination farouche. Wilhem se demandait si la stratégie impériale allait fonctionner. Certes, les deux flancs se refermaient sur les elfes comme une mâchoire, mais il se demandait si la poussée initiale suffirait à bousculer les elfes. Une autre femme à la blême beauté, passée jusque là inaperçue, concentra les vents de magie et extermina les archers en détachement. => 3 morts

Une frustration croissante se lisait sur le visage de Peter, il ne parvenait pas à lancer le moindre sort, troublé par les effluves de la magie noire, et ne parvenait pas à dissiper les énergies mobilisées par les sorcières elfes… (1 sort lancé sur toute la partie, et presque 0 dissipation réussie)

Le capitaine Gaspard Hauser se rendit compte le premier de la réaction elfique. Les guerriers aux longues épées, que le général impérial avait identifié comme des exécuteurs, s'avancèrent pour couper à l'infanterie impériale l'accès aux balistes et au flanc vulnérable des lanciers. Une volée de traits s'envola vers les loups blancs, imprudemment à découvert, et la moitié de ces farouches guerriers trépassa. (ne paniquèrent pas)

Les mouvements des elfes s'accélérèrent : les cavaliers noirs, lançant leurs montures à pleine vitesse, se jetèrent sur les hallebardiers et les taillèrent en pièces (6 morts, démoralisation des surivants, rattrapés par les elfes). Enhardis par ce fait d'armes, ils partirent à l'assaut des chevaliers panthères, la lueur du meurtre au fond des yeux. (mouvement de poursuite les amène au contact)

Le char à sangs froids passa sur les corps encore chaud des flagellants, qui furent tués jusqu'au dernier par les arbalétriers et se rua sur les pistoliers. Ceux ci ne purent supporter le carnage fait par les monstrueux reptiles qui tiraient l'infernal attelage, et quittèrent le champs de bataille( mais 3 blessures en tir de contre charge)

La seconde baliste visa l'unité d'épéistes, et la pluie mortelle s'abattit sur Wilhem et ses camarades…

Environ le quart de l'unité fut mise hors de combat sur le coup. L'armée impériale semblait mal en point, et la charge des bestiales harpies faillit définitivement faire basculer la bataille, quand elles se jetèrent sur l'arrière des épéistes.

Mais Gaspard exhorta ses troupes à tenir bon, et les impériaux étaient trop saisis pour reculer. Ils ne pensèrent qu'à se défendre face à cet ennemi inconnu.

Au début, les harpies eurent le dessus, grâce à leur vitesse. Mais les harpies avaient l'habitude de semer l'effroi, ainsi furent elles surprises par la réaction des humains. Se serrant autour de leur chef et de leur bannière, ils firent barrage de leurs boucliers. Frustrées de ne pas sentir leurs ongles s'enfoncer dans la chair, mais racler contre le métal, tailladées par les épées des impériaux, les harpies s'envolèrent vers les frimas de Naggaroth. Les prisonniers hauts elfes faisaient de bien meilleures proies que ces humains!

Ce premier succès fut bientôt suivi d'un autre : les cavaliers noirs qui avaient impétueusement chargés les chevaliers du cercle intérieur ne purent venir à bout de leurs adversaires, malgré l'élan de charge: l'habilité martiale des chevaliers leur permirent de dévier les coups les plus dangereux, et leurs splendides armures de plate les protégèrent du reste (aucune perte chez les impériaux). Ils désarçonnèrent plusieurs de leurs assaillants, qui furent impitoyablement piétinés. Les survivants prirent la fuite, persuadés que leurs rapides coursiers les emmèneraient loin du combat, mais ils sous estimèrent les blessures et les fatigues de leur monture, et par dessus tout l'ardeur guerrière des chevaliers panthères : ils ne purent se dégager assez vite et furent tous passés au fil de l'épée. Mais ces succès ne pourraient à eux seuls faire la différence, et ne lésaient pas vraiment les forces des druchii.

La perte de leur cavalerie n'émut pas vraiment les tireurs elfiques, et les archers et les arbalétriers en firent les frais : les archers qui menaçaient de déborder les arbalétriers elfes prirent la fuite, mais les hallebardiers tinrent bon. Les épéistes durent aussi tester leur discipline après une autre salve meurtrière, et durent encaisser la charge des guerriers aux longues épées.

Pour la première fois de sa vie, Wilhem participait à un vrai corps à corps. Malheureusement, c'était lui qui se faisait charger! Malgré les pertes, Wilhem ne participa au premier combat, toute la ligne de front était occupé par des vétérans.

Le jeune soldat vit avec quelle froide dextérité les sombres créatures décapitaient ses camarades, envoyant les têtes rouler dans l'herbe avec un bruit sinistre, et ses yeux se remplirent d'admiration pour son capitaine quand il le vit esquiver un vicieux coup de taille et planter son épée droit dans la poitrine d'un ennemi (3 morts chez les impériaux, 1 seul elfe tué, test à -3 réussi). L'équipement des elfes les gênait, et passé le choc de la charge, leurs grandes épées les rendaient plus lents. La mêlée dégénéra en une série de petits affrontements, ou les humains eurent facilement le dessus grâce à leur supériorité numérique. (Merci le capitaine et sa force de 5)

Calmement, comme s'il s'agissait d'un plan établi à l'avance, les exécuteurs rompirent le combat.

L'aile gauche impériale se rua sur les arbalétriers, cause de tant de morts depuis le début de la bataille. Les elfes lâchèrent une volée de traits sur les chevaliers à pieds, mais cela ne suffit pas à ralentir la charge des impériaux. Leurs épées à deux mains ne firent pas dans le détail, et les elfes qui résistaient se firent tailler promptement en pièces. Les hallebardiers survivants attaquèrent le flanc exposé des elfes, qui succombèrent bientôt à la juste fureur de l'infanterie impériale. Encouragés par cet exemple, les loups blancs se jetèrent sur les corsaires, tandis que les chevaliers panthères chargèrent les exécuteurs (de face).

Partout, ce n'était que corps à corps furieux, et la mêlée devient générale quand les lanciers elfes chargèrent les épéistes tout juste victorieux des harpies.

Wilhem eu à peine le temps de frémir quand il vit la formation elfique partir au petit trot, puis accélérant jusqu'à la course franche, et il frémit quand il vit les lances s'abaisser à l'horizontale avec un parfait ensemble, portant jusqu'aux rangs arrière des impériaux. L'homme immédiatement devant lui s'effondra, le ventre percé par une lance, et Wilhem s'avança pour prendre sa place au sein du ventre furieux de la guerre. (20 lanciers elfes contre 10 épéistes)

Il savait que ce combat là serait capital, et que son issu déterminerait probablement l'issu de la bataille. En effet, ces pillards étaient venus dans un but précis. Le capitaine Gaspard démontra toute son habileté martiale, abattant tout les elfes qui osaient se tenir devant lui. Protégé par sa lourde armure de plate, il délivrait la mort de son épée enchantée. Son bras de faiblissait pas, mais pour chaque lancier ennemi abattu, un autre prenait sa place.

Les épéistes, surclassés, se regroupèrent autour de leur chef et de la bannière du régiment (test à -3 réussi). Un instant de répit dans le combat permit à Wilhem de faire le point sur les différents affrontements : pour autant qu'il put se rendre compte, l'extrémité droite de la ligne des elfes noirs n'existait plus, les joueurs d'épée étant venus à bout des arbalétriers. Les loups blancs n'étaient pas venus à bout de leurs adversaires, et avaient fuis les corsaires ne se rallieront pas).

Les chevaliers panthères étaient quand à eux venus à bout des exécuteurs (aucun 6 de sorti, heureusement pour mes impériaux) , et avaient poursuivis les fuyards sur une grande distance. (sont sortis de la table) Il n'y avait donc pas d'aide à attendre , les corsaires se dressant entre les joueurs d'épée et le reste de l'armée impériale, et les chevaliers panthères partis au loin.

Les combats reprirent, et les impériaux tombaient un à un. Wilhem donna tant de coups que son bras devenait lourd comme le plomb, et il se réagissait plus ni aux insultes des ennemis, ni à la mort de ses camarades. Ses gestes vifs, contrôlés, n'avaient qu'un seul but : tenir le plus longtemps possible.

Epuisés, n'étant plus guère qu'une poignée, les épéistes se reformèrent autour de leur général. D'un coup rapide, un lancier abattit la bannière du régiment, et Wilhem laissa tomber son épée pour que l'étendard ne chute pas à terre. Au milieu des corps entremêlés des elfes et des humains, son regard croisa celui de Gaspard. Il n'y lu que courage et détermination. Ils étaient les derniers encore en état de combattre. ( le général et un épéiste, promu porte étendard, contre le reste des lanciers) La lutte était vaine, mais la fuite sans espoir. Sans un mot, ils choisirent de mourir les armes à la main, et se mirent en position de combat, dos à dos. (test à -4 réussi juste avant) La sorcière elfe noire se mit à rire, d'un rire venu dans des enfers en voyant se spectacle, mais son rire s'éteint quand le sol se mit à vibrer sous le poids de chevaux aux galops. Les chevaliers! Ils surgirent sur le flanc des elfes, dans un bruit de tonnerre. Conscients du danger qu'ils représentaient pour leurs frères, les servants de baliste les prirent pour cibles, mais Sigmar était avec ses guerriers, et aucun ne chuta. (3 ou sauvegardes à -2 réussies) Ils percutèrent les elfes à pleine vitesse, leurs lances venant à bouts de leurs armures. Ceux qui esquivèrent les coups de lances furent piétinés par les sabots des destriers de guerre. La sorcière elfe commença une incantation, mais un chevalier lui asséna un coup d'épée qui l'arrêta tout net. (Les chevaliers ont tué 4 elfes, le général ayant une meilleure initiative en tua 2, et les coups sur le dernier épéiste furent sauvegardés, je sais, j’ai eu beaucoup de chance)

Voyant cela, les elfes prirent la fuite, les chevaliers aux trousses. Une fois leur générale tuée, les elfes se retirèrent du champ de bataille, sous les ordres de la dernière sorcière.

Les impériaux étaient restés maîtres du terrain, mais à quel prix? Les loups blancs avaient été décimés, de même que les pistoliers. Les corps des flagellants étaient éparpillés dans toute la plaine, comme les archers et les hallebardiers et les épéistes (1 survivant) .

Chez les elfes, les pertes avaient été encore plus importante, et il ne restait guère que les balistes et les corsaires.

Les impériaux l'emportait donc de justesse, (victoire mineure, peut être 175 points de différence en PV)

Modifié par Flytox
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Pour Dje => j'ai été favorisé par les dés, et pas ma valeureuse adversaire...=> Pour Ghuy Nayss : Merci pour les félicitations, comme la partie était vraiment bien, elle méritait un petit traitement. Pour ta propostion, faut que j'amène mon armée à Boulogne, mais t'inquiéte, elle est presque prête :happy: Et je fais de beaux jets en ce moment :mrgreen:

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:happy: Très belle partie, bien racontée. Merci à toi pour cette séquence émotion. Dans de telles situations, j'imagine que même celui qui perd la partie est finalement très content de l'avoir joué.C'est comme dans Incassable: nous avons démasqué l'Anti-Ghuy-Nayss :mrgreen:

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  • 3 semaines après...

Carrément excellent ! T'as manière de raconter la bataille en mélangeant fort habilement point de vue interne à l'armée et vision plus générale devrait faire des émules.Concernant la bataille, j'ai l'impression qu'elle illustre bien les elfes : tres forts au début grace aux tirs, mais se font roxer des que les corps à corps se poursuivent.Quelle idée ont eu les cavaliers noirs de charger des chevaliers du cercle intérieur ? ils fument des substances qui font planer dans le nord ou quoi ? :mrgreen:

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  • 1 mois après...
  • 3 semaines après...
  • 4 semaines après...

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