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Warhammer Forum

Tan Ath


korelion

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Kérôme, ex ingénieur et assassin

Tien sa à changer sa, depuis quand c'est un ex-ingénieur ^_^ ?

Sinon pour le texte pas grand chose a dire sinon que c'est un peu court surtout depuis le temp qu'on attend cette suite :wink:

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Tien sa à changer sa, depuis quand c'est un ex-ingénieur

Oups, j'avais laisser planer le doute au début, dans l'auberge, mais si en fait, c'est be et bien un ex ingénieur...désolé, maonque de coordination ^_^

Sinon pour le texte pas grand chose a dire sinon que c'est un peu court surtout depuis le temp qu'on attend cette suite 
Oui, je sais désolé, mais j'ai eu quelques désagrémant PCtesque (merci Bill Gates :) ) mais bon, je vais essayer de me rattraper... :wink:

Ben tiens, la suite, ça ira pour me faire pardonner

Se dépêcher. Il était impératif de faire vite. Jamais, au grand jamais, Richter n’avait couru aussi vite. Au sommet de la colline, le relais. Les prévenir. Urgent. Son cœur battait à toute allure, l’empêchant de raisonner correctement. Il se retourna. Comme convenu, les lumières s’étaient à la limite du brouillard. Au sommet de la colline, le toit du relais commençait à pointer sa cheminée, comme un phare dans la tourmente. Richter courut de plus belle, forçant ses jambes comme jamais. Il avait fait son travail, il avait sonné le tocsin et prévenu ses supérieurs. Maintenant, la milice prenait déjà position sur les murailles de Helburg. Mais cette mission, il s’était porté volontaire. Prévenir Middenheim de l’attaque. Si c’était le Seigneur des Bêtes, le comte verserait une grosse prime, et Richter pourrait enfin cesser de faire le troufion.

La bâtisse se dessinait maintenant très nettement. Richter ralentit sa course. En dépit de la distance, le relais aurait dû voir les lumières dans la plaine, les veilleurs auraient préparé un coursier et ils attendraient juste le message à envoyer. Mais nul ne se tenait devant le relais. Richter s’arrêta devant la porte. Nul bruit, nul cri, nul trace de lutte, de sang ou d’attaque. Ce silence oppressant lui était insoutenable. Il s’avança, posa la main sur la poignée. Le temps était comme suspendu, un doute profond commençait à poindre dans son esprit. Fallait il ouvrir et risquer de voir le relais vide, ses veilleurs égorgé par les bêtes, ou pire, tomber sur les agresseurs ? Ou bien fuir, retourner au village, prévenir le Bourgmestre de l’absence des veilleurs ? Richter prit une profonde respiration, puis commença à retirer sa main de la poignée. Puis d’un seul coup, poussa violement la porte et pénétra dans le relais.

A l’intérieur, les veilleurs, assis à une table, un désespoir profond sur leurs visages. Puis le contact froid du métal sur sa nuque. Dans son dos, juste derrière lui, une lame caressait, mordait la peau de sa nuque. Elle ne s’enfonçait pas encore, mais il sentait que la lame ne demandait qu’à rentrer dans sa tête, enterrant à tout jamais les informations qui auraient dues en sortir pour s’échapper jusqu’à la cité du Loup.

Richter savait que se retourner signifierait avancer l’heure de sa mort. Pour l’instant, il était encore en sursis. Les veilleurs ne bronchaient pas à sa vue, ils semblaient même trouver cette situation normale.

Les secondes s’égrenaient lentement, ponctuées par la respiration saccadée de Richter. Que faire ? Essayer de gagner du temps ? Parlementer, mais est-ce que les bêtes savaient parler ? Ou alors agir, risquer le tout pour le tout ? Toutes ces questions furent rapidement éludées. Devant lui, une silhouette sortit de l’ombre, le visage et le corps caché par une lourde cape d’un bleu profond. Lentement, la cape dévoila un visage. Seul le mordant de la lame derrière son cou lui empêcha de sursauter sous la surprise.

___________________________

Morsliebb la sinistre était déjà haute dans le ciel. Les visages fermés, accablés par les terribles nouvelles, les représentants des notables venaient de partir. Seuls demeuraient dans la salle les militaires et les religieux. Chacun avait reçu son rôle, mais tous désiraient savoir le fin fond de la vérité. Aucun n’était assez dupe pour croire Boris Todbringer capable de tout révéler à de simples citoyens. Klaus le savait et les autres membres aussi, à voir l’expression de leurs visages. Il ne fallut pas longtemps pour que le comte congédie tous les serviteurs.

Boris se leva et regarda tous les membres.

« Messieurs, l’heure est bien plus que grave que ce j’ai pu laisser comprendre juste avant. »

Aucun ne broncha. Comme Boris s’y attendait, tous avaient saisi que les infos distillées auparavant n’étaient que lacunaires.

« De précieuses informations sont parvenues de la Cour impériale d’Altdorf. Un conflit terrible se prépare, et pour une raison obscure, nous en serons l’épicentre. Une horde telle que celle qui secoua le monde lors de la venue de Magnus avance vers nous. Je ne sais pourquoi ces fous veulent mettre Middenheim à sac, mais une chose est sure. Moi vivant, jamais la ville ne tombera. Je compte sur chacun d’entre vous. Aujourd’hui, je ne peux guère vous en dire plus, mais des informations devraient arriver d’ici peu. Je vous convoquerais donc prochainement. »

Puis, d’un geste, Boris les invita à se retirer. Klaus partit parmi les premiers. L’affaire Lestrof le préoccupait, le prisonnier ne lâchait pas un mot, si ce n’était des cris de douleurs.

Il lui fallait retourner en vitesse au couvent, voir si Luther avait réussi à tirer quelques informations. Hélas, si jamais il n’y avait pas de neuf, il serait contraint de brûler cet assassin en place publique. Non que la mort de cet immondice lui cause du remords, mais savoir que d’autres tel que lui couraient libres encore, et qu’il avait leurs noms quasiment à portée de main, cela l’enrageait. Hélas, seul Sigmar savait comment tout allait se terminer.

Le trajet en carrosse jusqu’au Couvent des Filles de la Comète fut morose. Ressasser encore et encore les évènements, trouver la faille. Voilà comment Klaus avait toujours procédé, mais là, il y avait tant de failles, tant d’incohérences. Rien ne s’emboîtait. D’habitude, lorsqu’il flairait un culte, il ne lui fallait pas longtemps pour percer les erreurs des ennemis de la Lumière, mais là, tout semblait en contradiction. Et puis, la colère de Rhenard contre cet assassin n’arrangeait rien. Il fallait maintenant que Klaus navigue entre ses intérêts propres, sa mission, et le désir de vengeance de son vieil ami. Et aussi avec les nouvelles du Nord. Boris Todbringer avait beau n’être qu’un vulgaire comte vénérant Ulric, il savait faire preuve de sagesse. Et même si réquisitionner le clergé de Sigmar et d’Ulric afin d’éviter les débordements de la foule était une bonne chose, cela contraindrait le capitaine Répurgateur à délaisser quelque peu sa tâche.

Lorsqu’il arriva devant le Couvent, Klaus sentit rapidement que quelque chose n’allait pas. Kurt, bien qu’encore convalescent, l’attendait devant le portail, protégé du froid par une lourde couverture. A ses cotés, la matriarche des Sœurs priait silencieusement, chapelet à la main. Et puis, toutes les lampes du Couvent étaient éteintes, bien qu’il soit plus de minuit. Klaus sortit du carrosse, un doute profond vint rapidement lui ronger l’esprit, doute conforté par l’absence de Luther. Diantre ciel, si jamais cela s’avérait être, jamais il ne pourrait calmer Rhenard.

« Alors, qu’est ce qui se passe ici ? Kurt, ne deviez vous pas être dans votre lit à cette heure ?

Et vous ma sœur, pourquoi faire donc le pied de grue dans cette ruelle ? »

La lumière. Klaus l’avait comprit, avant de poser la question, il savait ce qu’on allait lui annoncer. Mais il avait besoin de l’apprendre de vive voix, et surtout de savoir comment.

Ce fut Kurt qui commença.

« Capitaine, si je suis sorti, c’est pour vous annoncer une bien mauvaise nouvelle. La sœur supérieure Malika m’a prévenu il y a peu.

Le silence se faisait insoutenable. Mais le rompre signifiait avouer une grave faute pour Malika. Hélas, Saint Sigmar l’avait sans doute exigé !

« Voilà, capitaine. Il y a deux heures, nous avons retrouvé votre «Poseur de questions » mort étranglé. Le prisonnier a disparu. »

________________________________

Dans les sombres ruelles de Middenheim, Igor errait.

Le destin était vraiment sans pitié. Depuis longtemps, ; il avait percé les secrets de la Confrérie de l’Harmonie, avait acquis plus de savoir qu’il n’aurait dû, alors que son maître continuait naïvement, à n’y voir qu’une simple réunion de mécènes. Mais maintenant Kulgar avait accédé au savoir. L’enquête des Répurgateurs représentait un grand péril pour la confrérie, et ils n’auraient aucun scrupule à vendre leurs serviteurs aux fidèles de Sigmar afin de pouvoir continuer leurs petits amusements.

Igor l’avait appris à ses dépens, toutes choses à son prix, et le savoir est loin d’être la moins chère des marchandises. Tout ça à cause de cette discussion à l’auberge du Loup Hurlant.

Igor Ce soir là, il était encore tombé dans les bras de l’alcool, et s’était mis à parler de tout et de rien, puis de sa triste vie. Un homme l’avait écouté, et lui avait proposé le savoir universel, toute la connaissance.

Tout a un prix.

Une simple bagatelle, disait l’autre, le prix annoncé semblait pourtant relativement accessible. Le silence, sur tout ce qu’il découvrirait, et le fait que son âme serait régulièrement sondée à son insu.

Peu importe la chose, le coût, tout se doit.

L’alcool, la solitude, le désespoir, la souffrance. Igor avait accepté. Sans le savoir, il s’était lié dans une chose dont il ne pourrait jamais, même avec son don, comprendre l’ampleur ni le raisonnement. La seule chose qu’il ne pouvait savoir, était celle qui lui offrait son don, son danger et son salut. On lui avait offert une chose pour laquelle des sages, des savants seraient prêt à tuer, et lui tuerait pour qu’on lui reprenne le cadeau qu’il lui fut fait. Moquerie du destin. Il lui fallait lutter contre ceux qui savaient et celui qui vient d’apprendre, contre ceux quoi voudraient savoir et contre celui qui ne voulait savoir qu’une chose, sa mort.

Dans la ruelle, Igor se laissa abattre par le désespoir.

Il ne lui restait rien, seulement la colère et la haine. Vengeance. Il fallait obtenir vengeance, que son maître paye pour le mauvais sort qui s’abattait sur lui, que la Confrérie paye pour la situation dans laquelle il était.

__________________

Dans son secrétaire, Kulgar venait de finir la missive. Satisfait, il sourit à lui-même. Avec ceci, Igor se jetterait sur Merwinn, puis sur les Répurgateurs. Ainsi, il ne resterait plus qu’à s’occuper de l’assassin. Il fit appeler son page et lui remit le parchemin, avec pour mission de trouver Igor et de se faire accoster par lui. En lisant ceci, Igor n’aurait plus qu’une seule pensée, se venger de Merwinn. En l’évinçant, Kulgar aurait les coudées franches pour mener à bien son but, prendre en main et rendre bien plus glorieux la Confrérie.

Puis, ceci fait, il se reposa. Dorénavant, rien ne pourrait entraver son ascension.

___________________

Il ne fallut pas longtemps à Ludwig pour retrouver son ex compagnon. En effet, le brave page connaissait les habitudes du serviteur. Mais Ludwig ignorait bien des choses. Igor n’était plus le même, et lorsqu’il vit arriver Ludwig, il se jeta sur lui. Ce dernier n’eut que le temps de prendre ses jambes à son cou et s’enfuir dans les ruelles. A gauche, puis à droite, puis encore à droite, il ne pouvait s’arrêter. Cul de sac ! Il se retourna. Rien, Igor devait avoir été semé. Prudemment, il retourna sur ses pas, à l’affût du moindre son, du moindre mouvement pouvant trahir la présence de son ex compagnon. Qu’avait-il pu se passer pour qu’il se conduise de la sorte ? La question traînait encore dans son esprit quand une main l’agrippa vigoureusement et le plaqua au mur. Igor ! Ludwig le regarda, non ce n’était plus Igor, c’était quelqu’un d’autre, un monstre dans le corps du serviteur. Et dans ses yeux, le page pouvait lire une certitude. La Mort.

Les mains d’Igor se portèrent à son cou. Oui, la Mort, elle venait le prendre. Il sentit le souffle de vie le quitter, passer de plus en plus difficilement entre le collet formé par la volonté destructrice d’Igor. La dernière chose qu’il vit fut le regard sombre, empli de rage et de haine dans des yeux changeant perpétuellement de couleur.

Concernant les remarques d'Imperator, je reprendrais le passage ce soir avec un peu de chance...

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Et bien, et bien ! C'est vraiment pas mal ! :)

Là, je me suis replongé totalement dans l'abiance ! Tu m'a remis dedans :D C'est très bien ! :wink:

Des remarques sur la forme, j'en ai pas ! J'ai pas vu de fautes ni de tournures de phrases bizarres :zzz:

Bon, j'attends une suite ! Meme si j'avais oublié le Ludwig ^_^

@+

-= Inxi =-

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J'aime bien ta façon de nous plonger dans la tête de tes héros et de nous faire partager ses sensations. La difficultés vient peut-être du changement fréquent de protagoniste, peut-être d'ailleurs ne arques-tu pas assez cette différence par un type de pensée différent. Mais c'est pas facile à faire et p'têt même inutile car ça fonctionne très bien comme ça.

J'apprécie aussi ta façon de construire une intrigue dont on sent un fond fouillé. Tu distille sa progression tout en prenant ton temps de nous faire partager les pensées sans pour autant ralentir le rythme.

A tout hasard, tu pourras trouver un excellent récit qui prend le même décor sur les Chroniques des jours anciens, L'Ombre de Morslieb d'un certain Dude.

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Kurt attendait patiemment dans le couloir. Les judas des cachots lassaient entrevoir des regards féroces et haineux. Mais celui du numéro soixante dix neuf ne montrait plus rien. Aucun cri de colère ou de désespoir, rien qu’un profond et oppressant silence qui l’étouffait.

Cela faisait cinq bonnes minutes que Klaus était dans le cachot et déjà Kurt s’impatientait.

Son supérieur avait exigé dans un accès de rage froide à voir la cellule et les sœurs du couvent s’étaient pliées à sa sombre fureur. Mais Kurt savait que ça en mènerait à rien. Lui-même avait déjà fouillé et retourné de fond en comble, mais il n’y avait rien. Hormis des traces de sang au sol et sur les instruments. Le chevalet était tacheté par de petites gouttes éparses, indice de l’horrible office de Luther. Mais aucune trace de lutte. La seule explication qu’avait trouvé Kurt, la seule permettant d’expliquer la présence du corps au milieu, c’était que le prisonnier ait réussi à tuer Luther, et ce malgré le fait qu’il devait être blessé, torturé et agonisant. Ensuite, il lui aurait fallu s’enfuir sans se faire remarquer par les gardes. Mais cela ne tenait pas. Comment aurait-il pu passer devant tous les gardiens, sans se faire voir, ni en tuer ? A moins d’avoir un complice…

Plongé dans ses pensées, Kurt mit un certain temps à réagir à la sortie du Capitaine.

« Kurt, venez vite ! »

Le ton se voulait calme et réfléchi, mais l’on sentait aisément une pointe de colère et de rage. Kurt, s’exécuta et se mit au niveau du Capitaine. Il lui fallait d’ailleurs fournir un gros effort pour le suivre, ses pas avalant les mètres de couloir froid et humide.

« Il s’est enfui, comment, je ne le sais. Mais une chose est sure, il ne faut en aucun cas le laisser en liberté dans la nature. Kurt, je vais avoir besoin de vous. Je sais que vous êtes encore convalescent, mais je refuse de laisser courir dehors un tel danger et un tel affront à Sigmar.

-Mon capitaine, je me sens très bien, et vous suivrais là où il faut ! Kurt savait qu’il ne pourrait pas, mais il refusait de laisser de rester derrière.

-Fort bien, je vais avoir besoin de toute l’aide disponible. J’irais quérir Rhenard, malgré sa… réticence, je suis sur qu’il n’hésitera pas à nous apporter son soutien. »

Les deux militaires continuaient de passer devant les froides cellules, égrenant les numéros inlassablement.

Le regard empli de haine et de soulagement du cachot trente deux leur glissa dessus.

__________________________

La Porte Nord. Elle était enfin en vue. Bientôt, il arriva en vue des faubourgs, les traversant sans traîner. La protection offerte par la Cité et la terreur que provoquaient les sombres bois avaient fait s’amasser une multitude de gens, paysans, artisans, mercenaires et autres voleurs. Mais depuis quelques temps, une foule de villageois, fuyant les nouvelles du Nord s’étaient rassemblées sous les murailles de Middenheim. Cela avait d’ailleurs crée quelques problèmes, Richter le savait bien, un de ses oncles avait préféré fuir Helburg pour tenter de trouver refuge ici. Mais il revint bien vite, les habitants des faubourgs voyaient d’un très mauvais œil l’arrivée d’étrangers, ils craignaient pour leur terre et leur maison. Il y avait même eu quelques échauffourées, lui avait rapporter son oncle, et l’armée fut obligé d’intervenir. Dans ce climat de violence, certains étaient retournés chez eux, écoeuré par la Cité. Depuis, une atmosphère lourde pesait sur les bas fonds, certains s’étant mis en tête de contrôler les ressources sous le nez du Comte. Ils furent vite refroidis par quelques passages au pilori et pour certains, par une pendaison expéditive aux murailles, afin que leur sort soit exposé à tous pour calmer les ardeurs.

Richter, passa sous leur regard inexpressif longeant les fossés d’enceinte jusqu’à la Porte. Il fallait faire vite, la nuit ne tarderait pas à tomber, offrant encore une fois le spectacle de Morsliebb et Mansliebb, chacune à la poursuite de l’autre. Richter savait que les gardiens de la Porte Nord étaient particulièrement récalcitrants à laisser des inconnus rentrer une fois le jour tombé. Enfin, le long pont, la seule rampe d’accès de ce coté ci de la ville, au bout duquel se tenait une lourde et imposante porte bardée de fer. Ulric soit loué, elle était encore ouverte.

Il ne lui fallut pas longtemps pour obtenir un entretien avec le Comte. Lorsque celui-ci fut au courant, il depêcha un détachement afin d’acceuillir comme il se devait les futurs arrivants.

Une aide de la part des fils d’Ulthuan serait la bienvenue, même s’ils n’étaient encore qu’à Helburg.

Le lendemain, Richter repartait avec le détachement. Une dizaine d’hommes à cheval l’entourait, attendant ses indications pour la route d’Helburg.

Voilà, ma muse m'a quittée :blushing: , impossible de faire plus, déjà que ce passage ne me plait pas trop, alors s'il pose problème, n'hésitez pas à me le dire!

Donc, c'est court, ça fait une bonne semaine que j'avais rien posté, mais une bonne semaine que je buguais déjà!

Korelion, tout penaud de ne pouvoir plus écrire :innocent:

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Bon c'est court, mais ca reste au moins dans la continuité de ton récit.

Bref, la seule chose qui fait que tu perdes de la qualité est que le morceau de ton texte est assez court ! Comme tu le sais, ca ralenti l'impression dans ton texte :innocent: Mais sinon, ca va !

Bon on voit qu'il s'est caché le petit voleur :blushing: C'est bien trouvé ! Je me demandais comment il avait fait ! Mais bon, il est toujours pas sorti :D On va voir si ce sera naré mais moi j'aimerai bien que se le soit !

Bon je crois que j'ai fait le tour ! C'est pas mal !

@+

-= Inxi =-

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Bon, selon moi, tu n'as rien perdu...

La disparition du voleur reste tout de même étrange, mais si tu sais nous donner une explication (judicieusement introduite) convainquante, il n'y aura rien à dire.

Pour le reste, tu as laissé quelques fautes dans ton texte, mais comme, d'un part, elles sont mineures, et d'autre part j'ai dévoré cette partie, je ne l'ai ai pas notée.

En ce qui me concerne, c'est surtout l'histoire du relais qui attire toute mon attention... Mais bon, moi, c'est moi.

Sur ce, Imperator, empereur du néant.

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Bon, ben voilà la suite, n'hésitez pas à donner votre avis, même pour dire que c'est très mauvais....

Les mailles brillantes étincelaient dans le noir. La pâle lueur des torches se reflétait sur des centaines de petites plaques de métal, ondulant et serpentant à travers l’épais brouillard qui entourait le relais. Anaëlion regardait défiler ses troupes, sous la surveillance étroite de la bâtisse. Il pouvait sentir les regards qui tombaient des fenêtres, comme des lames de méfiances extrudées du pisé et du torchis. Les Mong’key ne faisaient donc jamais confiance ? Comment ce peuple rustre et primitif avait-il donc pu devenir la première nation du Vieux Monde ? Quel gâchis d’avoir abandonnée cette terre à ses primitifs, la seule chose qu’ils avaient pu en faire, c’était détruire les forêts séculaires afin d’implanter leurs maisons et leurs toits. Fort heureusement, son ancienne demeure résidait en Loren. L’adieu à sa forêt préférée fut le moment le plus douloureux de son existence, quitter ce havre de paix par la cause de ces maudits nains. Une profonde colère le submergeait, des souvenirs lointains remontaient, l’odeur du sang et du massacre, le bruit des haches sur le fin Mithril. Et ses frères, ses amis tombés sous les coups des Nains. Trop de blessures se rouvraient à ces pensées.

Et il lui faudrait pourtant composer avec ces meurtriers, afin de lutter pour l’avenir, de repousser et retarder la fin des Asurs, fut-elle bientôt sur eux que son peuple lutterait encore pour tenter en vain d’enrayer l’inexorable chute dans les abîmes de l’oubli. Ainsi étaient les Asurs, les fils de Gaya, les seuls à encore la comprendre avec ses frères de la Loren. Heureux étaient-ils, ceux qui pouvaient se targuer de vivre éternellement dans les bois saints d’Athel Loren. Anaëlion leur adressa une courte prière de remerciement. Sans eux, jamais il n’aurait trouvé ce taudis que les Mong’keys appelaient ville. Leur aide fut précieuse dans la Darkwald. Et pourtant, il n’était point encore arrivé. Middenheim était encore à deux jours de marche, deux jours durant lesquels il lui faudra faire preuve de toujours plus de vigilance.

Devant lui passait l’arrière garde, constitué de miliciens d’une bourgade sur la côte d’Yvresse. Anaëlion ne pût détacher son regard de leur Commandeur. Des yeux sombres et haineux se tournèrent vers lui, cherchant une faiblesse dans la fierté d’Anaëlion. Mais rien n’y fit, même si le commandeur se sentait mal en sa présence, son honneur millénaire ne pouvait être dompté par un simple regard, aussi violent soit-il.

Cependant, il lui faudrait désormais côtoyer le pire rejeton de l’aristocratie elfique, l’un des rares à avoir su s’attirer le courroux de la Tour, et réussir à s’en tirer sain et sauf. Les pires rumeurs avaient courues sur Kaëra le Déchu, certains à Lothern suggéraient qu’il agissait comme agent double auprès de Malékith, d’autres affirmaient que la disparition de son épouse l’avait rendu fou. Les pires bruits laissaient entendre que l’ancien chef de garde des Maîtres des Epées se serait tourné vers les Sombres Dieux. Toujours est-il qu’il fut l’un des premiers à suivre Eltharion de son plein gré. Il ne fallut donc pas longtemps pour que les Maîtres du Savoir se penche sur son cas. L’affaire avait fait grand bruit en Ulthuan, l’enquête sur les Capitaines d’Eltharion durant sa courte campagne en Naggaroth garda le statut de secret moins d’une douzaine d’heures. Toujours est-il que Kaëra fut, à défaut d’être innocenté, gracié par le Roi Phénix, avec intégration immédiate dans le corps d’armée en partance pour Middenheim. L’Ost d’Anaëlion.

Et le voici maintenant dans le Vieux Monde, en pleine Darkwald, avec sous ses ordres, l’un des fils d’Ulthuan les plus redoutés par ses pairs. Les Dieux s’étaient-ils donc ligués pour le faire tomber dans le déshonneur ? Où alors, peut être souhaitaient-ils le mettre au défi ? Si tel était le cas, il leur montrerait. Anaëlion se retourna, toisa du regard le bourgmestre puis les regards fuyants des fenêtres, qui s’empressèrent de se mettre hors de portée de l’arrogance suffisante du Commandeur. Puis, il fit s’élancer son coursier. Il ne mit pas longtemps pour remonter à la tête de l’armée. La traversée de la Darkwald commençait.

Bon, ben c'est court, mais j'introduis un nouveau pan assez important de l'intrigue donc je voudrais voir si ça s'insère assez bien avant d'aller plus loin.

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Bon bon bon !

Alors, je pense que cette nouvelle partie de l'intrigue peut etre passionnante ! Par contre, je vois pas encore le rapport avec l'autre histoire mis à part que de l'autre côté il y a moins en moins de persos et que tu combles les trous :rolleyes: ( je rigole :hat: )

La forme est bonne, pas de faute en vue et il y a meme de bonne expression très imagée ! A poursuivre comme ca :wink:

Allez une suite parce que je sais plus quoi dire !

@+

-= Inxi =-

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  • 2 semaines après...

L’air était lourd, vicié des râles des infidèles agonisants et suppliants les bourreaux de les achever. Mais lui était en vie, caché dans la demeure même de ceux qui souhaitaient sa peau. Les Répurgateurs l’avaient cru au dehors, enfoui dans les méandres de la basse ville. Les pauvres fous, égarés qu’ils étaient !

Un garde approchait de sa cellule, une longue épée pendait le long de sa cellule. Kérôme attendit qu’il soit juste devant, retenant son souffle. Le silence était primordial. Plus que quelques pas et l’ignorant serait juste à portée. Dans son dos, Mannsliebb projetait sa lueur blafarde contre les grilles, illuminant la sordide pièce. Et l’éclairant lui aussi. Kérôme se retourna en vitesse, jetant un regard fiévreux sur la grille donnant sur l’extérieur. La lumière tombait par les barreaux, projetant sur le sol un mince filet lumineux, vague espoir de liberté aux yeux de Kérôme, qui petit à petit se muait en ténèbres de malédiction au fur et à mesure qu’il approchait le regard de la porte. L’Ombre ! Sa propre ombre allait peut être le trahir en ce moment si critique, cette fine obscurité projeté par ses pieds semblait illuminer le pourtour de la porte, comme un phare indiquant un danger. De l’autre coté de la porte, il sentait que le garde faisait le même rapprochement, son souffle lourd et aviné cherchait à se faire léger et souple, comme pour mieux se glisser et contourner l’ouïe de Kérôme.

L’ex-ingénieur sentait le danger, la peur qui transpirait du garde, s’écoulant de lui et franchissant l’épais bois de chêne pour parvenir jusqu’à lui. Un fin glissement métallique le fit sursauter. Kérôme se représentait parfaitement la scène. Petit à petit, le soldat devait tirer son épée, en priant pour que cela fasse le moins de bruit possible. Puis, une légère vibration sur le loquet de la porte. Kérôme n’avait plus le choix, maintenant ou jamais.

D’un violent coup d’épaule, il envoya valser la porte sur le visage de son vis-à-vis, l’étourdissant pour la peine. Le garde, saoul comme un cochon, laissa choir son arme.

L’erreur de trop. D’un geste vif, il se jeta sur la garde de l’arme, puis la fit tourner pour pointer l’estoc sur son adversaire encore sous le choc. Trop facile. Il se laissa tomber en avant, la pointe s’enfonçant aisément dans le gras du cou, transperçant artère et trachée.

Un dernier borogryme montait des poumons venant s’échoir dans le sang qui coulait à gros bouillons.

Le soulagement. Cette étape franchie, il lui restait le plus dur, sortir sans se faire remarquer. Malheureusement, la horde braillarde et vociférante des couloirs semblait s’être excitée à la vue du sang, et le boucan allait rapidement faire venir les geoliers.

Jetant un rapide coup d’œil à se victime, il aperçut un petit éclat métallique reflétant la lune. Une mince lueur d’espoir. Un sourire satisfait traversait son visage tandis qu’il regardait tour à tour les clefs puis les cadenas et verrous des portes.

______________________

Cinq hommes l’entouraient, scrutant les ténèbres et les ombres, main sur le pommeau comme s’ils attendaient que le diable en personne n’en sorte. Au centre, Merwinn Lhodar s’inquiétait. L’attitude de Kulgar ne présageait rien de bon. Il sentait qu’il préparait un mauvais coup, qu’il cherchait à lui prendre la place. Et dire qu’il avait insisté auprès des autres pour le faire entrer dans la confrérie. Son vassal voulait le pouvoir et il avait pour lui la fougue et l’insouciance, mais lui possédait l’expérience. Merwinn avait mis dix ans à monter son affaire, dix ans passés à esquiver les enquêtes inquisitoriales, à enager des personnes dignes de confiance et enquêter sur les membres de la confrérie. Dix années passées à amasser en cachette, peu à peu, les dons et savoirs que prodiguait le Prince Noir. Et en à peine une semaine, à cause de ce satané Lestrof, Kulgar allait tout lui ravir, sa place, sa secte et son prestige. Et peut être même sa vie.

Même son Altesse Ténébreuse lui retirait son soutien, son charisme s’éteignait de jour en jour, ses amis et ses appuis le lâchaient en fort mauvaise posture.

Fort heureusement, son pouvoir sur les faibles de volonté était encore assez grand. Engager ces spadassins pour assurer sa sécurité ne fut guère difficile. L’argent était toujours l’un des meilleurs moyens de séduction et de corruption.

La petite soldatesque arrivait au carrefour de Sigmar Plazen. Le meilleur endroit pour tenter une embuscade, même avec la milice qui patrouillait régulièrement. D’un geste de la tête, Merwinn fit signe à ses hommes de passer devant afin d’assurer le terrain.

Derrière le recoin de mur, il observait sa petite troupe sonder les obscurs espaces de la place, à la recherche d’un éventuel agresseur. Un sourire narquois naquit sur ses lèvres. Mannsliebb était à son plus haut point ce soir, des assassins auraient bien du mal à se cacher. Soulagé, il se retourna et se mit dos au mur. Face à lui, une étroite ruelle d’où montait de sinistres hululements. Les oiseaux de proies et autres charognards sortaient œuvrer pour leur appétit.

Merwinn ferma les yeux, et respira profondément. La peur et la terreur l’avaient saisi aujourd’hui. Il lui fallait souffler. Au fond de lui, il sentait monter une pique de tristesse et de peur, un sentiment éternellement enfoui dans son cœur et qui semblait ressurgir tel un fantôme du passé. Un visage se dessinait, esquissait un sourire. Les lèvres s’entrouvraient et semblaient laisser s’échapper des paroles sacrées, plus importantes que la vie même.

Merwinn ferma les yeux de plus en plus fort, jusqu’à s’en faire souffrir les paupières. Qui était-ce ? Ce souvenir était en lui, partie intégrante de sa vie, mais son nom lui échappait. Le visage se faisait de plus en plus distinct, le vent silencieux des mots inconnus de plus en plus audible. Une mélopée lui revenait, une mélopée incessante et fugace, avec un rythme berçant et entraînant. Oui, ça revenait peu à peu. Son esprit se détachait de son corps, il n’entendait plus les hommes lui crier qu’il pouvait traverser.

Le visage était féminin, doux et affectueux. Il semblait s’en émaner un doux parfum de rose, une fragrance sucrée qui lui arracha un sourire ému. Puis les mots parvinrent à ses oreilles, pénétrant son esprit afin d’en faire remonter des souvenirs qu’il avait volontairement voulu détruire.

« Sois calme mon fils, tout ira bien. »

Sa mère, ce visage, c’était sa mère.

Le monde extérieur n’existait plus, les cris des fous furieux se jetant sur ses spadassins ne l’atteignaient pas.

Sa mère qu’il avait toujours refoulée. Il voulut s’avancer vers elle, mais une barrière chaude et lumineuse s’élevait rapidement entre lui et le souvenir. Derrière sa mère, un visage encapuchonné, ceint d’un lourd collier de fer représentait une comète fourchue. Des flammes apparurent, entourant le visage réconfortant d’une douleur éternellement ressentie. Le sourire si chaleureux fit place à une profonde tristesse, empreinte de douleur. Les lèvres s’ouvrirent une dernière fois. Des mots fugaces résonnèrent dans sa tête, lointain écho d’un souvenir déchu.

« N’aie crainte Merwinn, le Prince nous réunira. »

Le feu se fit destructeur, rageur et violent, les flammes portées à blanc brûlaient sa mère, le transperçant en même temps de milles échardes incandescentes. Son visage ressentait la lumière et la chaleur du bûcher.

Puis le froid et l’obscurité le saisirent. Sur son visage, il n’y avait plus que froid et ombre. Il lui fallut quelques temps pour réaliser que le silence s’était fait et que l’ombre n’était pas celle de son souvenir, la panique vint le prendre et lui fit ouvrir les paupières.

Devant lui, une paire d’yeux multicolores l’assassinait milles fois des pires manières possibles. Autour des yeux, un visage qu’il lui fallut quelques secondes pour trouver familier, malgré les traits déchirants de la haine qui le scarifiaient.

« Igor ? »

Les yeux s’enflammèrent, donnant lieu à une explosion de couleurs violentes et contrastées. Au dessus des yeux, une fine ligne lumineuse brillait. Les pupilles de Merwinn mirent un certain temps pour s’accommoder et réaliser que l’éclat lumineux traversait un fer de hache. Sidéré, il vit se rapprocher la lumière. Pour la première fois depuis longtemps, la lumière traversait sa vie de ténèbres, littéralement.

Igor ne regarda même pas le corps glisser le long du mur, entachant ce dernier d’une longue ligne rouge vermeil, serpentant entre les briques.

Dans son esprit, une parcelle de connaissance lui apparut. Ainsi était le contrat passé neuf ans plus tôt. A chaque mort la connaissance, à chaque connaissance un mort. Et depuis sa fuite d’Hilldarf Strasse, Igor avait pris goût au savoir.

______________________

Anaëlion fit signe à l’Ost de faire halte. Devant lui, une flaque de sang épaisse et coagulée baignait des corps sans vie. Hommes et bêtes mélangées, égaux devant la mort.

Sur certains d’entres eux, Anaëlion lisait la livrée de la Cité du Loup Blanc, la seule chose qu’il avait exigé de savoir avant de quitter Ulthuan. Même son arrogance ne vint pas à bout de la pitié qu’il éprouva. La mort était une chose horrible, même pour les Mong Keys. Surtout si elle était violente. Il s’accorda une courte prière et ordonna la poursuite de la marche.

S’il avait accordé une seconde d’attention aux cadavres, il aurait reconnu le page à qui il avait donné mission d’avertir de sa présence lors de son arrivée à Helburg. Il aurait aussi vu que la main de Richter, allongé le long de son corps, une hache dans le dos, tenait en son sein un parchemin jaunâtre, scellé par le Loup.

Voilà, p'tite suite et p'tite confession :

Jusqu'a présent, il y avait beaucoup de personnages, mais c'est pour en faire mourrir plus par la suite :D (d'ailleurs, vous noterze que ça vient de commencer en fanfare!)

Ensuite, par pitié même si vous lisez et que vous n'aimez pas, dites le, non pas que ça me gêne d'écrire que pour une ou deux personnes ( Surtout Inxi en fait :blushing: ), mais j'aimerais m'améliorer don cmême si c'estpour me dire "c'est nul", dites le please :blushing:

Korelion, need help to améliore!

Modifié par korelion
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Voilà, p'tite suite et p'tite confession :

Jusqu'a présent, il y avait beaucoup de personnages, mais c'est pour en faire mourrir plus par la suite :D

Buh t'est pas gentil! Tu nous gâche tout le plaisir! :skull:

(d'ailleurs, vous noterze que ça vient de commencer en fanfare!)

Ensuite, par pitié même si vous lisez et que vous n'aimez pas, dites le, non pas que ça me gêne d'écrire que pour une ou deux personnes ( Surtout Inxi en fait :skull: ), mais j'aimerais m'améliorer don cmême si c'estpour me dire "c'est nul", dites le please :blushing: 

Korelion, need help to améliore!

Hey moi aussi je lis depuis le début! (même si j'oublie de poster parfois :blushing: )

Pour les conseils faut voir avec quelqu'un d'autre parceque je ne suis pas très doué en Français.

Par contre j'ai relever ça:

Un garde approchait de sa cellule, une longue épée pendait lo long de sa cellule.

Faute de frappe.

dix ans passés à esquiver les enbquêtes inquisitoriales

Re-Faute de frappe.

Il doit y avoir plein d'autre faute (et des vrai pas des fautes de frappe) mais je suis trop nul en "Aurtograf' é conjugézon" pour t'aider de ce côter là :lol:

Pour le reste: continue j'adore ton histoire :skull:

Modifié par Otaji
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enbquêtes

Une petite faute de frappe ! T'a de la chance, c'est la seule que j'ai réussi à voir :blushing: Bon, à priori, je dis bien à priori, il n'y a plus de fautes, donc c'est plus que bien :blushing:

C'est vrai que sur le fond il y a beaucoup de perso mais si tu les fais mourir :D Ils peuvent rester ! Sinon, c'est pas mal, meme si tu devrais quand meme plus t'atarder sur ton personnage principal !

Bon c'est la fin de mes fausses remarques :skull:

@+

-= Inxi =-

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Désolé, je suis atteint d'une grave maladie, la "j'poste trop en trop peu de temps et j'arrive pas à prendre le temps pour taper correctement au clavier", maladie courante chez les floodeurs de base qui doivent lutter corps et âme pour arracher 30 min de pc à ses frangins

Bref, je corrige immédiatement

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Je poste juste pour te dire en passant que je l'ai lu hier soir, et que ton texte est super!

Original, bien écrit... Bon, certains passages font un peu cliché mais sinon je ne vois rien à redire!

Ah si, un peu de bourrinisme pour Kerome.... Mais loin de ce que l'on peut voir chez certain...

On veut la suiiittteeeee!!!! :wub:

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  • 3 semaines après...
Invité Snikch, le maître de la nuit

:evilgrin::wink::P Pourquoi j'écris pas comme ca???

Bon sans déconner c'est vraiment du bon texte, avec ,il est vrai, deux trois fautes de frappes par ci par la mais ca n'est pas vraiment important.

Une seule chose:

La Suite!!!

@+

-=Snikch, amoureux :D =-

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ouf, je rattrappe enfin mon retard accumulé depuis cet été.

ton intrigue se poursuit toujours avec la même vivacité et le fait d'introduire différents points de vue est un exercice particulièrement difficile. il apporte beaucoup de chose à l'intrigue mais nuit à la clarté.

le tout est que tu réussis à le pallier souvent, mais pas toujours (faut dire que je fatigue un peu à rattrapper tous les textes que je me suis promis de rattrapper).

à part ça, on ne peut dire grand chose de plus car même si l'intrigue se ressert, on n'en sait pas beaucoup plus sur les différents personnages (un peu plus sur leurs motivations tout de même).

en tout cas un grand bravo pour ta façon de mener cette intrigue, je pourrais la comparer avec la façon de faire des écrivains de romans-policiers

à bientôt pour la suite

Erdraug

ps: moi aussi je lis depuis le début, même si j'ai eu un moment d'absence!!! :blink:

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bon ben j'avais déjà lu le début sur la tour mais t'as pas posté la fin, grrrrrrrrrrr :'(

attention quand j'mords ca fait mal, grrrrrrrrrr

...

bon ok j'arrete :'(

ben sinon,, ton texte est tout simplement excellent, bien qu'a la fin c trop du multipersos, c difficile de se souvenir de tout les personnage, surtout l'elfe qui débarque tout d'un coup, d'ailleurs j'ai pas trèss bien compris le passage ou il parle d'ulthuan avec la tour, etc...

mais sinon :wink: , tout simplement

Voilà, p'tite suite et p'tite confession :

Jusqu'a présent, il y avait beaucoup de personnages, mais c'est pour en faire mourrir plus par la suite (d'ailleurs, vous noterze que ça vient de commencer en fanfare!)

chhht, tu casses tout le suspens :'( , c pas bien, ca se fait pas et pis ca abime tout ton texte et pison a plus envie de lire et pisca se fait pasca gache tout ton talent et pis...

non mais vraiment, ca faut pas faire c cruel pour tes lecteurs( :'( )

Ensuite, par pitié même si vous lisez et que vous n'aimez pas, dites le, non pas que ça me gêne d'écrire que pour une ou deux personnes ( Surtout Inxi en fait  ), mais j'aimerais m'améliorer don cmême si c'estpour me dire "c'est nul", dites le please 

ben si on aime pas, on lit pas...

voila voila, j'peux pas t'aider sur les trucs littéraires, chuis pas un grand littérophile ou autre truc du genre :innocent:

PS:tu m'fais plus envie de mettre mon texte tellement t'écris bien, grrr

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  • 3 semaines après...

Bon, tout d'abors, désolé si je psote en rythme cassé, mais j'ai eu quelques problème pendant les vacances et pas mal de choses sont passé à la trappe.

Ensuite, ej voudrais tous vous remercier pour m'avoir lu (parceque lire ce qui sort de mon cerveau fiévreux, ça doit pas forcément être aisé.

Bref, un grand merci à tous, je vais essayer de tenir un rythme plus apte à ne pas se perdre entre deux postages.

Mais sans plus tarder, la suite....

La nuit porte conseil disait-on. Le seul conseil que Kurt lisait dans la nuit qui se finissait était de fuir. Fuir l’obscurité, loin des nuages sombres et menaçants qui descendaient du Nord. Plissant les yeux fatigués par une nuit éprouvante, sur le chemin de ronde de Middenheim, il cherchait à lire dans les Cieux, un signe, un indice que Sigmar veillait encore sur eux. Mais il renonça rapidement. La seule chose qu’il pouvait voir dans ces nuages, c’était la fumée noire qui s’élevait lentement, traçant un sillon sombre dans le petit jour qui naissait et drainant avec elle une odeur rance de chair grillée. Les fous et les pestiférés enfermés dans le Couvent des Filles de la Comète terminaient de se consumer.

Kurt pria un moment pour les pauvres hères. Nul ne savait encore par quel prodige ils réussirent à s’échapper, mais la liberté leur coûta cher. La milice eut vite fait de les encercler et de les abattre. Pour éviter la contagion de maladies, on les avait entassé au dehors des murs et fait brûler. La peste et la folie n’avaient, en ces temps maudits, pour seul remède que le bûcher. Kurt jeta un dernier regard aux flammes purificatrices puis rejoignit son supérieur en bas des murs. A voir le visage rageur de Klaus, la discussion entre Rhenard et lui avait du mal se passer.

« Alors mon capitaine ? Il nous apportera son aide ?

-Oui Kurt, mais de bien mauvaise grâce. Il nous tient pour responsable de l’incident de cette nuit. »

Le regard sombre de Klaus se promena dans les rues. Les gens sortaient, venaient protester contre l’odeur écoeurante. Forcément, il y aurait des répercussions. Le Comte réclamera des explications, et il faudra se montrer convaincant pour ne pas se faire évincer, pour pouvoir poursuivre ce meurtrier. Mais s’il n’arrivait pas, s’il échouait ? Le doute s’insinuait en lui, plongeant son esprit dans de terrifiantes perspectives d’échec.

« Kurt, retournez au Couvent.

-Bien Capitaine, mais vous, où allez vous ?

« Prier, Kurt, Prier pour le salut de nos âmes. »

__________________________

Les arbres projetaient leurs ombres menaçantes sur la clairière. De toute part, des cris de douleur et de menace faisaient écho aux hurlements des bêtes, plongeant le cœur d’Anaëlion dans le tourment. Ses soldats étaient éreintés, et ces cris sauvages et cruels entamaient leur moral. Les sentinelles postées sur les frênes lançaient constamment des regards inquiétés vers la lisière. Anaëlion soupira. Pourquoi fallait il mener une guerre qui ne concernait pas les Asurs ? Les leurs avaient déjà fort à faire avec les détournés, ceux qui reflétaient sans cesse le coté obscur tapi au cœur de chaque elfe. Alors pourquoi le Maître de la Tour Blanche avait il recommandé cet Ost ? Et pourquoi le Roi Phénix avait il écouté le frêle Téclis ?

Et surtout, pourquoi avoir exigé la présence du Déchu ? La présence de Kaëra ne faisait qu’aggraver le malaise dans l’esprit d’Anaëlion. Téclis et Finubar se sont portés garants de l’intégrité du Commandeur de Tir Amroth, il ne pouvait s’empêcher de se méfier.

Anaëlion jeta un dernier coup d’oeil à la lisière, puis, suivant le tronc tourmenté de l’un des chênes de la Drakwald, son regard monta dans les cieux. Mannsliebb et Morsliebb commençaient à décroître, laissant la Soleil poindre légèrement. Il était plus que temps.

« Capitaine, faites convoquer tous les commandeurs dans ma tente sur le champ.

-Tous messire ?

-Oui, Capitaine, tous sans exception »

Son subordonné partait déjà. Lui rejoignit sa tente, faite de soie de Cothique. Teintée de bleu et de blanc, elle arborait les couleurs de la colère froide des Asurs. A son sommet pointait la bannière de Lorthar, qu’Anaëlion avait porté du temps d’Anaërion, lorsque celui-ci suivait encore les sages conseils de Caledor. Maintenant, elle flottait au vent chargé de haine descendant du Nord, sans ployer sous la menace du vent. Comme les Asurs.

Les commandeurs se levèrent en saluant Anaëlion. Les ordres de départ allaient être sonnés, et chacun connaissait sa place et son rôle. En temps normal, cette discussion aurait eu lieu dans les corridors de marbre rouge de son palais, avec tout un lot de manigance afin d’obtenir la meilleure place. Ces petites intrigues avaient toujours amusé le Commandeur, même si certains de ses amis y avaient perdu la vie. Mais dans les circonstances actuelles, nul ne pouvait se résoudre à ce jeu futile. Déjà, les derniers officiers sortaient de la tente.

« Commandeur Kaëra, puis je m’entretenir avec vous quelques secondes ?

-A quel propos ?

-Asseyez vous je vous pries. »

Le Commandeur s’exécuta, un mélange de soupçon et de colère dans les yeux.

Anaëlion, sourit intérieurement. Cela pouvait paraître curieux, mais bien que farouche guerrier, il ne pouvait pas s’empêcher d’apprécier les joutes verbales et psychologiques. Il se leva et se saisit d’un verre et calmement, il se servit un verre de nectar de Lothern.

« Je serais bref Commandeur, je n’ai qu’une question.

-je connais vos doutes Prince Anaëlion, mais vous étiez comme moi, présent lors de la réunion à Hoët, et donc, vous vous rappelez sans doute les mots du Roi. Ma présence ne regarde que moi et la Tour, et nul ne doit s’occuper de la mission dont je suis seul dépositaire. »

Un vague sourire de satisfacion éclaira le visage de Kaëra tandis que le Prince étouffait sa colère.

« Soit, alors partez préparer vos soldats, nous partons dans moins d’une heure »

La rage le submergea tandis que Kaëra franchissait la tente. Lui, vieux de plusieurs millénaires, devoir obéir comme un vulgaire laquais à un sombre traître. D’un puissant revers, il envoya la bouteille de nectar voler sur le sol alors qu’il sortait en trombe, en direction de l’écurie improvisée.

Dans la tente, le fin nectar rouge vif s’écoulait, se répandait au sol, noyant la terre et l’abreuvant.

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Rien à dire mis à part que la longueur passe. Elle est pas hyper longue mais elle n'est pas hyper courte non plus ! Donc ca passe, au début j'ai cru qu'il y avait qu'une paragraphe et j'allais crier à l'assassin.

Bon, le texte lui meme ne presente pas de defaults sur la forme, j'ai reperer aucunes fautes mis à part des traits d'unions qu'il manque. Mais dans l'ensemble, rien de grave quand tu peux le constater

Ensuite, je dois admettre que ce qui me passionne le plus dans ton histoire en ce moment, c'est les deux elfes ! J'envie de voir su sport et a mon avis je vais etre servit ! Deja la je suis pendu aux derniers passages alors après ...

Bon allez suite !

@+

-= Inxi =-

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je prends toujours autant de plaisir à lire ce récit.

le seul reproche que je pourrais faire est que l'action tarde maintenant à se manifester mais tu réussis à nous tenir en haleine grâce à ton intrigue chez les elfes, bravo!

Erdraug, enchanté

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Il se leva et se saisit d’un verre et calmement, il se servit un verre de nectar de Lothern.

Répétition du mot verre.

la réunion à Hoët

Il manque un "H" à Hoëth.

Sinon, je trouve le texte toujours aussi bien, parcontre, du fait que tu ne vienne pas à un rythme très soutenus j'aurais bien aimer un passage un peu plus long tout de même ( :) ).

Tien au fait, quelque chose me turlupine:

qu’Anaëlion avait porté du temps d’Anaërion

Qui est Anaërion? :skull:

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Réponse à Otaji :

pour Hoëth, effectivement, j'avais toujours cru qu'il n'y avait pas de h, mea culpa.

Qui est Anaërion?

Le héros elfe qui arracha l'épée de Khaine de son trône pour le plus grand malheur des Asurs, puisque cela entraina la Déchirure, et même si à court terme, cela les sauva des démons et du chaos, le prix à payer fut lourd. Pour plusd e renseignement, envoie moi un MP, je ferais quelquechose de plus conséquent

Maintenant, la suite:

Bon, même moi je commence à m’y perdre, alors on résume :

Kérôme : Assassin, ex ingénieur, il s’est fait capturer par les Répurgateurs, mais leur a échappé en libérant les fous qui se trouvant dans le couvent où il était enfermé. Actuellement, il est quelque part dans Middenheim…

Klaus Svarniggson : Capitaine Répurgateur réputé, il mène la chasse à Kérôme. Il a eu un accrochage avec l’un de ses amis, le Capitaine des Chevaliers Panthères, Rhenard. Cependant, le soldat aidera le Répurgateur dans sa recherche.

Kurt Dietrich : Lieutenant Répurgateur, second de Klaus… Il a été blessé par Kérôme, mais s’est rétabli.

Kulgar van Henig : notable de Middenheim, résidant au 6 Hilldarf Strasse, il faisait partie des mécènes de la Confrérie de l’Harmonie. Il découvrit la véritable nature de cette Confrérie, mais est marqué par le Prince Noir, et cherche à prendre le contrôle de la Confrérie.

Igor : Ancien serviteur de Kulgar, il s’est échappé pour échapper à la dénonciation de son maître. Mais il porte un lourd fardeau qu’il n’a révélé à personne, lui offrant le savoir à un certain prix. Il a tué Merwinn, l’ancien maître de la Confrérie

Anaëlion : Commandeur de l’Ost qui part soutenir Middenheim. Il prend très mal la présence du Commandeur Kaëra.

Kaëra : Commandeur elfe. Il est envoyé par la Tour Blanche dans le cadre d’une mission qui ne concerne que lui.

Chapitre 2 : Les pièces avancent….

L’ombre furtive longeait les murs, lançant des coups d’oeils discrets dans son dos. Au coin, il tourna sur sa gauche. Devant lui, une profonde artère pavée menait droit à une lourde porte ferrée, protégée par une épaisse grille. Une dernière hésitation, un moment de doute. Puis il s’avança vers la lumière. Le premier pas amena son pied dans le halo lumineux de la Morsliebb. Puis, un deuxième pas mena son corps en vue, sa tête restant encore cachée. Un bruit attira son attention, provoquant une crise de panique. Il se jeta contre le mur. Un ivrogne beuglait des injures aux cieux, tout en traînant sa carcasse en direction de Kérôme.

Sa main se porta prestement à la ceinture, y cherchant un réconfort au contact de la garde de l’épée, mais plus rien ne s’y trouvait. Le dépit et la rage s’emparèrent de lui. Par tous les Dieux, son épée n’était plus là! Kérôme jeta un dernier regard vers la porte, synonyme d’un espoir de liberté avorté, tout ça par la présence d’un ivrogne fort peu discret. Mais il ne pouvait en aucune manière laisser son arme ici.

Dépité, il se retourna et remonta la ruelle sombre qui l’avait amené aux portes de la liberté.

Hilldarf Strasse résonnait du bruit des bottes des miliciens qui patrouillaient comme à l’accoutumée. Nonchalamment, ils passèrent devant le numéro six, n’éclairant la porte de chêne que d’un rapide coup de torche. Puis, bifurquant sur la gauche, ils poursuivirent leur route, illuminant leur passage d’une lueur blafarde et lointaine.

Sortant de la pénombre qui le recouvrait, Kérôme s’extirpa de la frondaison qui l’avait caché aux yeux des miliciens. Projetant un regard inquiété aux alentours, il s’approcha lentement de l’épaisse porte, la serrure ferrée lui renvoyant son regard froid et clôt. Observant le mur, il n’y decela aucune faille. Ce long et haut mur semblait infranchissable, et par là même, il lui ploquait tout espoir de récupérer son arme, sa seule et unique épée, forgée de ses mains. Elle n’était pas des plus belles ou des plus puissantes, mais son charme résidait dans le talent et l’amour qui avait motivé sa naissance. Elle semblait bien vulgaire à première vue, mais en réalité, elle était parfaitement équilibrée. Et surtout, elle portait tropd e souvenirs en elle pour qu'il se permette de la laisser dans les mains d'autrui.

Après en avoir fait le tour du mur d'enceinte, Kérôme cessa sa recherche. Vouloir pénétrer parle mur semblait impossible, alors il fallait passer par un autre chemin. Observant les toits, il dénicha ce qu'il souhaitait. Un balcon de la maison d'en face, trop avancé, donnait sur le terrain du six Hilldarf Strasse. Rapidement, il s'avança vers la porte de la maison.

_________________

Ce soir, les soldats de garde à Bochenfels, Zundap, Wolfenburg, Ferlagen et Kurst se tournèrent tous simultanément vers le Nord. Chacun d'entre eux, dans le froid de leur chemin de ronde observait la maléfique lueur sombre qui illuminait la route du Sud, avalant l'espoir sur son passage. Les vents amenaient les cris de désespoir des démons, reprenant les litanies sombres dédiées aux Dieux de l'Entropie. Chaque homme sur les remparts des forteresses du Nord adressa une prière à Sigmar. Les jours seraient longs, longs et bientôt trop courts...

Et oui, on tourne la page, l'action est lancée, et le rythme va peut être bien s'accentuer... Comme le disait un vieillard sur les remparts : Dorénavant "l'échiquier est en place. Les pièces avancent..."

Korelion, sadique parcequ'il a encore mis moins d'une page de texte :)

Modifié par korelion
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decela
tropd e
parle
par là

Bon, ca fait beaucoup en une page non ? :skull: Bon une relecture s'imposera la prochaine fois ^_^ Ou un coup de word..

Bon pas grand chose à dire sur le fond, ca avance à la vitesse d'un escargot asmatique mis à part pour le dernier paragraphe :) Bon je veux une suite, tu ne vas pas oser me laissez dans l'attente ?

Bref une suite ! Et son épée pour la une !

@+

-= Inxi =-

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il lui ploquait tout espoir

Bloquait plutôt non? Même si au vu de la distance entre le "P" et le "B" du clavier on peu se permettre d'avoir des doutes quand à cette faute...

Le héros elfe qui arracha l'épée de Khaine de son trône pour le plus grand malheur des Asurs, puisque cela entraina la Déchirure, et même si à court terme, cela les sauva des démons et du chaos, le prix à payer fut lourd. Pour plusd e renseignement, envoie moi un MP, je ferais quelquechose de plus conséquent

^_^ Non ça c'est Aenarion et pas Aneärion! Relis ton LA HE :P

De plus, un elfe à une durée de vie moyenne de 2500 ans, rares sont les individus à dépasser cette longévité. Aenarion à vécu il y à plus de 7000 ans donc ton elfes est très vieux, trop vieux.

Quand au récit, c'est vrai qu'on s'y perd un peu, vivement que tout ce beau monde meurt dans les affres de la guerre comme tu nous l'avait annoncer plus tôt :)

Vivement la suite donc :skull:

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