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Tan Ath


korelion

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Invité Aenario

Est-ce que tu t'es relu ?? Parce que la, on décelent assez régulièrement de nombreuses fautes. Sinon, pas grand chose de nouveaux, tu nous tiens dans le suspens. Pas grand chose d'autre à dire qu'une franche relecture serait profitable.

-- Aenario, mystère - mystère --

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Bon désolé pour les fautes. Effectivement, il y en avait 2/3 qui sautaient aux yeux. Les voici corrigées maintenant.

Pour pour le suspens, j'essaye de faire un récit assez long donc je maintiens un peu le suspens, mais l'action ne va pas tarder à s'accélérer promis!

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Les répurgateurs ont manqué Kérôme de peu mais ils avent qu'i se terrrent dans les souterrains

"Messieurs, permettez de moi de vous présenter notre hôte pour ceux qui ne le connaissent pas, commença Merwinn. Kulgar observa le président de la Confrérie de l'Harmonie. Celui-ci dégageait un charisme exceptionnel. Il faut dire que d'une taille assez imposante, l'homme possédaient pourtant une prestance gracieuse et rassurante avec sa barbe savamment taillée, un peu comme un bon père de famille. D'où le surnom que lui donnaient les étudiants en Beaux-Arts à Altdorf, le Pater Veritat. Le père véritable ! Ce surnom avait le don de mettre en rogne le plus puissant notable de Middenheim. Celui-ci jeta un regard à l'assemblée, son visage costaud mais fermé, ses yeux, profond et sévère, forçait le respect. Et le silence.

Kulgar jeta d'ailleurs un regard à l'assemblée. Il y avait, pêle-mêle, outre Merwinn Lhodhar, Hugo Belinfant, le conseiller financier du comte Boris Todbringer qui s'était réfugié en Middenheim suite à une sombre affaire en Bretonnie concernant une cargaison avariée, une villa saccagée et l'une des filles du Duc de Bordeleaux, Yseult. Depuis, le marchand bretonnien était entré au service du comte. A sa gauche, se trouvait Vincente Simalone. Ce riche Tilléen était apparu il y a peu à la cité du Loup Blanc, mais s'était vite acquis une réputation sulfureuse. Nombreuses sont les bourgeoises de la Cité à avoir perdu leur réputation à son contact, et nombreux sont les petits bourgeois de la Cité à avoir voulu venger l'affront leur ayant été porté. Toutefois, le Tilléen s'en était toujours bien tiré, tant par ses connaissances hautes placées que par son art du duel. Assis à côté de lui, Kulgar se promit de ne jamais lui présenter sa maîtresse.

Sur la gauche de Kulgar se trouvait deux individus que Kulgar n'avait encore jamais vu. Cependant, l’opulence de leur vêtements et de leur bagues, ainsi que leur corpulence laissaient penser qu'en ces temps troublés, ils ne souffraient pas trop, loin de là.

"Messieurs, notre hôte, maître Kulgar van Henig" Cinq têtes s'inclinèrent poliment

"Maître Kulgar, il me semble que vous ne connaissez pas Friedrich Ebert".

L'homme assis à la gauche de Kulgar le salua poliment, tandis que Kulgar faisait de même.

"Et Maître Heinrich Oltmutz". Le notable à la droite de Merwinn le salua en réponse son salut.

"Bien, reprit Merwinn, maintenant que les présentations sont faîtes, hâtons-nous de commencer cette réunion.

-Pardonnez mon ignorance, interrompit Kulgar, mais pourquoi une telle réunion ?"

La question de Kulgar semblait avoir l'effet d'un coup de poing sur les autres participants. Seul Merwinn garda son calme. Intimidé par les regards que lui lançait les autres, Kulgar eut soudain une forte envie de partir, mais, machinalement, il porta la main à sa chevalière. Il se sentit apaisé de triturer ainsi cette bague. Il ne savait pourquoi, mais celle-ci lui donnait confiance en lui.

"Merwinn", l'homme nommé Friedrich se leva lentement, d'un air détaché. Kulgar pouvait néanmoins sentir la colère qui sourdait en lui. "Cet impotent petit bourgeois ignore tout, ou bien ais-je mal saisi ? De plus, où se trouve Lestrof ? Ne devrait-il pas être là ?

- Non Friedrich, répondit Merwinn, d'un air calme et assuré, Kulgar ignore tout."

Cette phrase fit l'effet d'un coup de semonce. Tous les autres notables se levèrent en hurlant leur désaccord en des termes peu élogieux, tant pour Merwinn que pour Kulgar.

"Calmez vous mes frères, calmez vous ! " Merwinn parvint à instaurer un silence absolu, mais les regards haineux de la tablée donnaient la nausée à Kulgar. Terrifié, il tritura de plus en plus sa bague.

" Vous l'ignorez tous mais Kulgar a reçu aujourd'hui la visite de Répurgateurs." Si le tollé qui avait eu lieu lorsque la tablée appris son ignorance l'avait effrayé, il fut instantanément terrifié, paralysé.

Tapant de toutes ses forces sur la table en marbre d'Estalie, Merwinn parvint à obtenir le silence.

"Ceux-ci sont venus enquêter sur la mort de Lestrof"

Un silence de mort s'empara du bureau de Kulgar. Tous les visages exprimaient la même gravité.

Rassuré, Kulgar comprenait leur désarroi. La perte de Lestrof était un grand préjudice à l'Art. Le visage fermé, Heinrich Oltmutz prit la parole :

"A-t-il au moins réussi sa mission ? .

De quoi parlait-on ici ? Kulgar n'y comprenait rien, mais une petite voix dans son esprit lui conseilla de se taire. Intrigué, il l'écouta et lui obéit.

-Non, Heinrich", Merwinn menait le débat avec un calme posé surprenant. "Il est mort

avant la fin du rituel. Et c'est pour toutes ces raisons que Kulgar est présent. je souhaite en effet qu'il succède à Lestrof !

-Ma , tu es fou ! Il ignore tout de notre secret! hurla Vincente

-Il pourrait nous dénoncer ! pesta Hugo

Merwinn les regarda tous les uns après les autres et sourit.

-Il ne fera rien. Notre bien aimé Prince lui a déjà tant donné, il ne veut pas tout perdre. Et puis regardez sa bague !"

Tous les regards plongèrent sur la chevallière que Kulgar n'avait cessé de triturer. Les visages qui la fixaient montraient une expression qui était loin de rassurer le Notable.

Lentement, il baissa les yeux sur son bijou.

Ce qu'il vit dépassait l'entendement : La gemme, la gemme avait changé de couleur !

Celle-ci étincelait d'une lueur mauve, malsaine et terrifiante !

Mais tellement attirante !

____________________

Au bout d'une heure de marche dans le tunnel, Kérôme s'arrêta. Il scruta les environs mais sa vision était loin d'être efficace dans les tunnels. Finalement, il se rassura. Après tout, même s'il ne pouvait voir un éventuel assaillant arriver, il l'entendrait.

Confiant dans cela, il chercha dans son sac. Il lui fallait accomplir le rituel rapidement. Il sortit de sa besace cinq bougies, toutes noires, ornées chacune d'une rune différentes. Il les disposa soigneusement en prenant garde à ne pas se tromper. Les risques qu'il prenait en vallait certes la chandelle, mais ils étaient énormes ! Comme tout ce qui touche à la magie.

Une fois les bougies installées, il sortit un vieux grimoire de son sac. Celui-ci était rédigé en une langue que bien peu d'humains peuvent se targuer de connaître, et encore, quand bien même ils le peuvent, ils ne le font pas car s'en vanter représente un danger conséquent.

Lentement, il récita les vers secrets qui lui permettrait d'entrer en contact avec son maître.

Lentement, il posa sa dague, tranchant sur la paume, et tout aussi lentement, il ferma le poing sur son poignard.

Puis d'un coup sec, il s'entailla la main. Le sang ne tarda pas à couler, glissant de sa paume jusqu'au poignet, puis gouttant petit à petit. Le dernier ingrédient était là, l'incantation était terminée.

Petit à petit, une brume blanchâtre envahit les tunnels alentour, puis elle vint s'amonceler en une volute lumineuse dans le pentagramme dessiné par les bougies.

Brutalement, la fumée se dissipa, laissant apparaître une silhouette, élancée, éthérée. Celle-ci faisait une tête de plus que Kérôme,et son armure luisait d'une manière fantomatique, et ses yeux perçants, sombres et ténébreux comme un océan en colère, scrutaient chaque infime partie de la psyché de kérôme.

"Maître ...

-fais vite , souffla l'apparition en armure. Je n'ai que peu de temps !

-Désolé de vous avoir dérangé, mais les renseignements sont vitaux. Il semble que je sois sur quelquechose de plus gros, un culte organisé qui projette quelque chose d'important.

-Hum, voilà ce que tu vas faire ...."

_________________

Voilà voilà

la suite prochainement

Modifié par korelion
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C'est une honte! Mettre un texte de cette qualité en passages aussi courts!! :(

N'en veux encore moué! :ermm: C'est si bon...

Bon, je ne peux que te féliciter, l'intrigue est très très très attirante et envoutante. J'étais plongé à fond dedans et...paf! Plus de texte...Ah, quand lire deviens une drogue....je veux ma dose!

Continues...la réunion et tout sont bien décrits!

<_<

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Invité Aenario
J'étais plongé à fond dedans et...paf! Plus de texte...Ah, quand lire deviens une drogue....je veux ma dose!

Je ne pense pas que tu sois un cas isolé (sinon, on est 2 cas isolés)

Pour en revenir au texte. Très bon, intrigue excellente. On (Je) attend la suite avec impatience ...

-- Aenario --

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ben désolé pour la longueur mais je tapes tout dans le forum direct et j'aurais pu en mettre plus si je n'avais pas fait de fautes de frappes du genre retour chariot et effaxcer qui m'ont littéralement tout effacer 3 fois en une matinée. Donc promis pour la longueur, j'essaye d'ebn faire plus demain. Merci de me lire en tout cas , ça fait 'achement plaisir!

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Voilà déjà plus d'une heure et demie que Klaus attendait devant l'entrée Sud des souterrains de Middenheim. Bon sang, mais que faisaient Kurt et Rhenard ? Il ne fallait pas traîner, leur assassin pouvait leur échapper une fois de plus à tout moment ! Et qui connaissait le péril que représentaient ces souterrains savait que le temps était toujours l'allié de ceux qui fuyaient au travers. Les souterrains ! Middenheim, l'oeil de la forêt Noire, le joyau serti au centre de l'Empire ! Cette ville fortifiée, perchée au dessus de l'Ulricsberg, n'était accessible que par les quatres portes fortifiées, ces dames de fer fermaient les seuls accès de la Cité du loup, les quatres ponts de pierres de Middenheim ! Les seuls moyen de monter dans la citadelle d'Ulric ! Avec les souterrains. Peu nombreux sont les érudits connaissant le secret de la fondation de ces tunnels secrets. Et encore moins nombreux sont ceux qui savent le péril latent de ces chemins ! C'était à cause de ce péril que les Chevaliers Panthères furent chargées de surveiller à tout prix le talon d'achille de l'Oeil de la forêt.

Le capitaine Rhenard faisait partie de cette garde de l'ombre. Et en ces heures de doute, le Répurgateur Klaus faisait appel à lui.

Enfin, le capitaine Rhenard apparut, ainsi que Kurt Dietrich. Klaus, perdu dans ses pensées, ne les entendit pas arriver. Quand il se rendit compte de leur arrivée, il fut surpris du nombre de chevaliers escortant Rhenard. Plus d'une douzaine de soldats, pour la plupart du Cercle Intérieur.

Rien, à la connaissance du templier de Sigmar, ne justifiait une telle débauche de moyens, surtout contre un simple culte d'assassins.

"Mes respects, Capitaine Rhenard ! Cela faisait longtemps !

-Et cela aurait pu attendre une décennie de plus, ça ne m'aurait pas fait de mal !" Le ton de Rhenard était toujours le même, mais Klaus pouvait sentir l'appréhension sur le visage du Chevalier. "Dîtes-moi, Kurt vous aurait-il mal dépeint notre proie, ou y aurait il des nouvelles que j'ignore ? Depuis quand dépêche-t-on une si grosse escorte pour traquer un vulgaire culte d'assassins?

- Vulgaire peut-être, mais l'un d'entre eux t'a maîtriser sans difficulté ? De plus, les Skavens sont de plus en plus actifs.

-Hum, de plus en plus de Skavens dans les tunnels, c'est plutôt mauvais signe ! Mais baste que cela, aujourd'hui, notre proie est cette cabale d'assassins, ni plus ni moins !"

La présence de Skavens dans les souterrains était loin d'être inhabituelle, mais pour que Rhenard soit inquiété, il fallait que ceci soit en nombre conséquent. Ce qui ne rassura pas Klaus. Tandis que le Capitaine Panthère séparait ses hommes en deux groupes de combat, il réfléchit à la situation. La recrudescence des cultes, l'activité des hommes-rats, les villages du Middenland attaqué par les troupes du Borgne, et pire que tout, les nouvelles d'Altdorf, tout donnait la sensation au vieux Répurgateur qu'une conscience supérieure dirigeait toutes les forces présentes en ce bas monde afin d'éradiquer les pieux serviteurs de Sigmar tel que lui. Klaus se reprit et chassa ces pensées négatives. S'il continue comme cela, il va devenir flagellant !

Après s'être repris, il regarda la compagnie l'entourant.

Rhenard avait divisé leur force en deux groupes : le premier était composé de tout ce que la compagnie de Panthère comptait de chevalier du Cercle, ainsi que Leopold Gret, le plus fin bretteur des hommes de Rhenard, et Kurt. L'autre était dirigé par Rhenard et par lui même, et était essentiellement constitué de jeunes recrues encore inexpérimenté au combat sous terre.

Contemplant sa soldatesque, Klaus se dit qu'il faudrait que leur proie soit extrêmement doué si elle comptait leur échapper.

_______________

"Par tous les dieux, quel est ce maléfice ? "Kulgar n'en revenait pas de ce miracle.

"Mon cher ami, Merwinn reprit la parole en regardant Kulgar d'un air amusé. Ceci est un don de notre Prince à votre égard.

-Notre Prince ? Quel prince ? Les questions fusaient dans la tête de Kulgar, et toutes étaient axées sur la bague. Elle ne lui inspirait pas la terreur que tout homme normal aurait ressentie en voyant sa chevalière changer de couleur, non, il était tout simplement intrigué.

-Hé bien, voyez-vous cher ami, l'homme nommé Friedrich s'adressa à lui avec un ton calme et reposant. Nous vénérons le seul et unique dieu digne de l'adoration totale. Le seul capable d'apprécier les messes orgiaques que nous donnons en son honneur."

Tout se bousculait dans le petit cerveau du notable de Hilldarf Strasse. Qui était ce dieu ? Qui pouvait avoir pour sujets de tels individus, qui se laissaient aller à la répugnante luxure ? Celle-là même que Kulgar pratiquait dans le secret des soirées mondaines.

Tout se brouillait. Il participait lui aussi à de telles messes noires, et il ne s'en était pas rendu compte. Pire, il y avait pris plaisir. Pourquoi pire, fit une voix susurante dans sa tête ? Ne t'es tu pas amusé ? Non...si mais ce n'est pas bien, répondit une autre voix dans son esprit rocailleuse, apeurée. Il ne faut pas. Puis la psyché de Kulgar prit la parole. C'est vrai, il ne faudrait pas.

Dans sa tête, la voix rocailleuse lui apparut comme son double et lui dit : c'est bien continue, repousse le. Mais la voix susurante prit forme alors, et Kulgar se vit, beau, charmant, adulé. Et il écouta, tu peux être tout celà, il suffit que tu me suives. Aussitôt, le double charmant de Kulgar se changea en autre chose, qu'il ne pouvait distinguer exactement, mais le peu qu'il discernait lui laissait entrevoir quelque chose de fabuleux, de sublime, une beauté sans égale, parfaite. Et Kulgar fit un pas dans sa direction. L'écho de la voix rocailleuse le fit se retourner. Il pouvait encore résister, rebrousser chemin. Mais il jeta un dernier regard à la Créature. Et il tomba dans ses bras.

Dans le bureau d'Hilldarf Strasse, ce fut un autre homme qui reprit conscience dans le corps de Kulgar,il était différent. Il est de ces choix qui nous change à jamais.

"Je vous suis. Que dois-je faire pour le Prince ?"

Dans le bureau d'Hilldarf Strasse, cinq hommes regardèrent avec fierté leur nouveau membre.

Dans une dimension défiant les lois humaines, où les Démons et les Dieux règnent en maître, Un tourbillon d'âmes saturées de plaisir et d'extase ricana en guise de bienvenu à leur nouveau frère.

________________________

Dans les tunnels de Middenheim, Kérôme finissait d'écouter les ordres que lui donnait son maître. Il n'entendait pas la vingtaine de soldats qui l'encerclaient. Son esprit était accaparé par les ordres cruciaux que l'apparition dans le pentagramme lui donnait.

Klaus jeta un coup d'oeil au carrefour. Aussitôt, ses pires craintes lui apparurent confirmées. L'assassin pactisait avec le Malin et il invoquait l'un des ses démons. Son sang ne fit qu'un tour. Dégainant son épée, il lança la charge. une vingtaine de cris déments répondirent à sa fureur.

Kérôme s'en mordit les doigts. Ces damnés Répurgateurs voulaient désepérement sa tête. Il interrompit le rituel et dégaina sa lame. Cherchant une issue, il se trouva bien malin de voir que malgrès ses précautions, ses ennemis avaient barricadé les quatres issues. Reprenant son calme, il fit rapidement le point. En face, le vieux répurgateur, à gauche, avec une grande cape de panthère, un soldat, visiblement vétéran et expérimenté au vu du nombre de ses cicatrices, menaient un groupe de six soldats. A droite, une dizaine de chevaliers en armure couraient droit sur lui. Et derrière lui, le lieutenant du Répurgateur et deux autres chevaliers. Choisissant le chemin le moins risqué, il s'élança sur eux en tirant de son pistolet.

Kurt menait la charge avec à ses côtés, le second des Panthères. Surpris, il vit le criminel se tourner vers eux, épée à la main. Par Sigmar, son épée était ahurissante. Ils commencèrent à ralentir leur charge mais l'énorme détonation qui parvint à ses oreilles le fit redescendre sur terre. La fraction de seconde suivante, il entendit des projectiles siffler à ses oreilles. Diantre ciel, cet assassin possédait un pistolet à répétition de von Meinkopt ! En se retournant,il constata que le soldat qui les accompagnait, lui et Léopold, en avait fait les frais. Il gisait au sol, l'armure traversée de part en part en plusieurs endroits. Regardant Léopold, il vit que celui-ci venait de céder à une rage incommensurable.

Plus que quelques pas et Kérôme serait sur eux. Habilement,il rangea son pistolet et saisit son épée à deux mains. Laissant monter en lui toute la rage et la maîtrise de son art.

" Thana Cynathi Khaine!"

Le cri de guerre de la confrérie. Peu sont ceux à l'avoir entendu et être vivant pour en témoigner. Mais aujourd'hui, une vingtaine de soldats l'avaient entendus et chez trois d'entre eux, le cri était lourd de sens.

Kérôme engagea en premier lieu le lieutenant Sigmarite. L'échange de coups dura moins de cinq secondes. Kurt fut touché au bras droit, lâcha son arme, terrassé par la douleur, puis en voulant esquiver un coup d'estoc, il trébucha sur un rocher. Sa tête heurta le mur et il fut happé par l'obscurité.

Léopold, voyant Kurt au sol, lança un coup de taille. Kérôme l'esquiva et contra d'un violent coup ascendant qui vint atterrir sur le bouclier du chevalier. Ce dernier attaqua de nouveau, mais le coup fut paré de justesse.

La passe d'arme durait depuis plus de trentes secondes et Kérôme voyait se rapprocher dangereusement les autres chevaliers. L'un d'eux notamment, n'était plus qu'à quelque mètres du duel. La situation était grave mais pas désepérée. Léopold frappait fort,mais il était aveuglé par la rage. Kérôme avait pour lui la souplesse dû à l'absence d'armure, il savait canaliser sa colère. Il ne tarda pas à le montrer. Tout en esquivant le coup de taille, il frappa d'un grand coup d'estoc en plein entre les plates de l'armure. L'attaque porta, mais celle du chevalier aussi. Léopold porta le regard à son bras. Un mince filet de sang s'en écoulait. Une si petit entaille ! Il se releva et se ressaisit de son arme puis avança sur Kérôme. Curieusement, celui-ci ne cillait même pas. Pourtant, il était sans armure et une profonde entaille lui entamait le bras gauche. Cet imbécile devait surement se croire protéger par ses dieux blasphématoire ! Léopold n'était plus qu'à quelques mètres de ce spadassin lorsqu'une vive douleur se fit ressentir. Diantre, son bras avait doublé de volume! Terrifié, il porta la main sur la blessure, puis sur l'arme du criminel. Un liquide noir mais luisant s'en écoulait, et sur le visage de son adversaire. gagné par la fatigue et la douleur, il put quand même y lire une joie malsaine mais rageuse. Terrassé, le chevalier s'accroupit, tête baissée. Battu par une simple goutte de poison! Qu'était donc la vie ? Une simple goutte de liquide pouvait en venir à bout. Il ferma les yeux, sombrant dans l'inconscience.

Son ennemi agonisait. En temps normal, il l'aurait laissé ainsi. le Lotus Noir offre des heures et des heures d'agonie. Mais cet homme ne le méritait pas, il l'avait défié, l'avait blessé (la douleur à son bras gauche devint plus vive à cette pensée) mais il n'était pas fondamentalement mauvais. Fermant son âme à la cruauté, il leva son épée, avant de la laisser retmober sur la nuque à nu du mourant.

Interdit, Tichert regarda la tête de Léopold au sol. Il n'en croyait pas ses yeux. Son meilleur ami, son beau frère venait de perdre la vie devant lui. La tristesse se mua en rage. Ainsi vont les sentiments chez les guerriers.

Il était le plus proche, il devait le venger. Il chargea, frappa, rata sa cible. Enfin, cédant à la rage, il libéra une pluie de coups. Au fond de lui, ilsavait que c'était peine perdue, que même en abattant ce criminel, il ne le ferais pas revenir. Mais au moins, celà faisait passer la souffrance.

Kérôme luttait chaque seconde pour stopper l'incessante fureur de son vis-à-vis. Sa rage était sans égale, et ses coups d'une violence inouïe. Mais obscurci par la colère, le soldat finirait par commettre une faute, une erreur. Celle-ci arriva rapidement, lorsqu'un puissant coup de taille manqua de le trancher en deux. Toutefois, l'épée avait buté contre la paroi, glissant des mains de son propriétaire. D'un geste, Kérôme se saisit de son pistolet et libéra une volée à bout portant, dans la tête.

La soldatesque stoppa sa charge, incrédule. Deux des leurs tués, l'ungisant au sol, décapité, l'autre tombant tout juste, la tête brulée sous la quantité de projectile.

Kérôme mit à profit la peur qu'il lisait sur le visage des chevaliers pour prendre la fuite. Il avait pris trop de risque et même s'il avait vaincu ses adversaires,il préféra ne pas risquer sa vie. D'autant plus que les nouveaux ordres ne souffraient aucun retard.

A travers la pénombre des souterrains, un homme courait.

A travers la pénombre des souterrains, une troupe de soldats bénissait les siens tombés en ce jour.

Modifié par korelion
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Invité Aenario

Bien, ça avance, l'intrigue continue. C'est très bien traité, surtout le combat. Je commence à croire que Kérome est invincinle. On attend la suite donc ...

-- Aenario --

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Assis à sa gauche, Kulgar se promit de ne jamais lui présenter sa maîtresse.

Sur la gauche de Kulgar se trouvait deux individus que Kulgar n'avait encore jamais vu

Repetition

Ma , tu es fou

Italien ?

Bon ensuite il y a des erreurs de: Retours de paragraphes, de majusculeset de ponctuations (des espaces entre une virgule)

@+

-= Inxi =-

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Je commence à croire que Kérome est invincinle.

je te rassure, si c'etait pour pondre un gars capable de venir à bout de toutes une armée, je l'aurais plutôt raconté en train de prendre la place d'archaon en tant que seigneur de la fin sdes temps.

Pour les fautes je vais y remedier

  QUOTE 

Assis à sa gauche, Kulgar se promit de ne jamais lui présenter sa maîtresse.

Sur la gauche de Kulgar se trouvait deux individus que Kulgar n'avait encore jamais vu

Repetition

Non, Kulgar est assis à gauche du gars, Vincente, dont on parle ds la première phrase, La seconde phrase decrit le gars à gauche de Kulgar. Mais le passage est maladroit, et je vais le reprendre.

Au passage le gars est Tilléen donc avec un accent à consonnances latine ( Que ceux qui me disent que la Tilée n'est pas l'Italie et l'Estalie , l'Espagne se lèvent ! Personne, c'est bon! <_< )

Je m'attelle à tout ça ce soir

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Tan Atn, Next episode :

Klaus s'élança à travers les tunnels et les chevaliers. Tous étaient agenouillés pour prier leurs amis et frères d'armes tombés en ce jour. Il arriva au niveau de Kurt. Celui-ci n'était qu'inconscient, Sigmar soit loué!

Trois baffes plus tard, Kurt reprit ses esprits.

"Que s'est-il passé ? Où est ce maudit assassin ?

-Il s'est enfui, non sans réussir à occire deux chevalier.

-Je , je suis désolé, bredouilla Kurt, je n'ai rein pu faire, il m'a Aargh. Ha, il m'a touché à l'épaule ! Cette espèce de fils de gobelin ! Je vais le tuer de mes propres mains !

-Allons Kurt, du calme, laissez moi voir cette blessure."

La plaie n'était pas jolie, mais le Capitaine n'en montra rien. Il ne savait que trop l'importance du moral dans ces cas-là.

"Vous n'avez pas grand-chose. Nous allons vous emmener chez les prêteresses de Shallya, elles vous remetteront sur pied en mois de deux ! "

Le visage fermé, Klaus se retourna vers Rhenard. A la lueur des torches, il ne pouvait discerner l'immense tristesse qui teintait de désespoir le visage de son ami. Rhenard avait perdu deux de ses soldats, deux frères, deux amis.

Trop de sang avait déjà été versé par cet homme. Jusqu'à présent, Klaus avait pêché par excès d'orgueil. Dorénavant, il mettrait toutes les chances de son côté.

Quelque puisse être la menace que pouvait représenter ce criminel, Klaus jura sur tous ces Dieux qu'il le renverrait en Enfer

___________________________

Ce matin, Kulgar se réveilla comme tous les matins. Mais la sensation qu'il ressentit au réveil était agréablement différente. Depuis hier, depuis qu'il avait accepté la véritable nature de la Confrérie de l'Harmonie, il voyait le monde d'un autre oeil. La voix rauque qui avait manqué de le retenir dans son esprit était morte, disparue. ne restait plus en lui que cette volonté, cet acharnement à ressentir.

Accoudé à son balcon, Kulgar se relaxa. Une nouvelle vie commençait. Mais pour commencer, il lui fallait se mettre des répurgateurs. Derrière lui, Igor amena le plateau du petit déjeuner. Oui, il devait faire ainsi. Un regard amusé et sadique passa sur Kulgar. Il se défit de ce sourire une demi-seconde trop tard. Igor l'avait vu, et sentait que le vent allait tourner.

__________________________

Igor se sentait mal. Le regard que lui avait lancé son maître n'était pas bon, mais alors pas bon du tout ! Il connaissait son maître depuis longtemps, et il connaissait aussi ce qui était arrivé à certains serviteurs des "amis" de son maître. Oui, il savait ce que cela voulait dire, de tous les serviteurs des notables de la confrérie de l'Harmonie, Igor était le seul à savoir ce qu'il cachait. Et là, il sentait bien, oui, il sentait bien que le vent tournait. Et surement pas à son intérêt, non, surement pas !

______________________________

Dans l'hôspice de Shallya, un homme se tenait debout au milieu de la cour. Klaus le regarda, jamais au grand jamais, il n'avait vu Rhenard dans cet état. Oui, il savait que les hommes abattus par l'ordure qu'il pourchassait étaient de ses amis. Mais, là, une résolution froide et inflexible s'était emparé du Capitaine des chevaliers Panthères. L'homme s'avanca vers Klaus.

"Alors, fit Rhenard, comment va Kurt ?

-Il s'en tirera sans problème. Sa blessure n'est pas très profonde. Et toi, Rhenard, ça va ?

-Non Klaus, j'ai perdu deux de mes hommes, deux amis, deux frères. Il va payer, je te jure que ce criminel va payer !

-Je sais, il le faut. Nous ne pouvons pas laisser courrir un tel individu dans les rues du Loup Blanc. Il payera, mais d'abord, nous devons nous préparer."

Rhenard regarda Klaus. Pourquoi attendre, le guerrier qui était en lui ne bouillait que de l'envie de vengeance, cette puissance extraordinaire qui pousse les plus déspérés aux actes les plus insensés. Cette force qui menait ce monde à la destruction, voilà ce qui poussait Rhenard.

Klaus regarda son vieil ami, et sut tout de suite ce qu'il pensait.

"Nous avons jusqu'à présent sous-estimé ce fou, nous avons pêché par excès de confiance et d'orgueil. Et bien, ne commettons pas deux fois la même erreur. Trop de vies seraient encore perdues si nous nous précipitons."

La sagesse de Klaus pénétra Rhenard. Soit, il se vengerait, mais pas tout de suite. Le damné ne perdait rien pour attendre.

Modifié par korelion
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Invité Aenario

Effectivement,; on lit mieux. Une ou deux faute de frappes au début/

"mois" / "rein".

Sino,, C du tout bon. continue donc ainsi ...

--- Aenario ---

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Igor était le seul à savoir ce qu'il cachait. Et là, il sentait bien, oui, Igor le sentait bien que le vent tournait. Et surement pas dans le sens d'Igor, non, surement pas !

Bonjour, j'écris juste pour dire que moi aussi je lis l'histoir et je la trouve bien^^

Mais le passage en haut (dans la quote) ma "choquer", franchement Igor devient une sorte de Gollum qui parle seul, il faut que tu évite de répété trop souvent son nom...

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Mais le passage en haut (dans la quote) ma "choquer", franchement Igor devient une sorte de Gollum qui parle seul, il faut que tu évite de répété trop souvent son nom...

Bon mea culpa, c'est vrai que j'adore le personnage de Gollum surtout celui du film, et j'ai pas résisté à la tentation de faire d'Igor une sorte de gollum. Bon je vais voir pour reprendre le passage pour éviter les répétitions.

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C'est très bien! Bien écrit, bonne histoire, trame agréable...Félicitations! ^_^:mrgreen:

Bon, au fait moi j'ai vu ça dans ton avan-dernier texte.

"bardées de fer, ces dames de fer fermaient "

répétition.

Après je crois qu'il y a un passage sur les souterrains de Middenheim: un sujet interessant pour le lecteur, mais sa descriotion est à retravailler. Relis-le. :good:

Allez, continues! J'adore! :D

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Allez après un début de semaine bien pèpère et une fin de semaine qui arrive en sentant bon les ( presque ) vacances, je vous poste ceci!

L'esprit d'Igor travaillait à toute vitesse ! Il savait, oui, il savait que son maître allait le dénoncer ! Et pourtant, il ne pouvait rien faire ! S'il fuyait et que Kulgar n'avait rien fait, il serait considéré comme un transfuge, peut-être même recherché. Mais s'il restait là, et que par malheur, son maître l'avait vendu aux Répurgateurs, il était cuit ! Au mieux, il mourrait pendu, vite fait bien fait. Au pire, les chevaliers de Sigmar le tortureraient, le forçant à parler. Et il ne pourra rien dire sur ce qu'il sait ! Maintenant, il regrettait, oui, il regrettait amèrement le savoir qu'il avait acquis. Il aurait dû s'en douter lorsqu'on lui avait proposé ce marché. Toute chose à son prix, et le savoir se vend cher. Si seulement il pouvait revenir en arrière.

Pris dans ses sombres pensées, il ne fit pas attention à la fine silhouette qui escaladait le mur d'enceinte de la maison d'Hilldarf Strasse. Il ne la vit pas avancer discrètement, puis se jeter dans la porte de la maison. Il était trop pris dans les méandres de son esprit, étroit et torturé.

Lentement, Kérôme poussa la porte. Dans un silence de mort, il avança, puis s'engouffra dans les escaliers. Tel un fauve traquant sa proie, il sortit son épée, doucement et sans le moindre bruit. Il était presque arrivé en haut lorsqu'un abominable matou jaillit de l'étage et le percuta.

Le miaulement qui s'ensuivit fit l'effet d'une bombe. Kérôme s'immobilisa, Igor releva brusaquement la tête. Le silence était troublé par les hurlements du chat qui s'enfuyait par le jardin, via les escaliers. Pas un bruit, pas un murmure, pas un souffle. Une véritable chappe de silence venait de tomber sur le numéro six d'Hilldarf Strasse. Puis, comme si un accord secret avait été passé, Igor et Kérôme se remirent en mouvement, simultanément, sans le moindre bruit. D'un geste, le serviteur chercha un objet, une arme quelconque. Il ne serait pas pris sans lutter. Tel un fauve traquant sa proie, Kérôme avançait, agile et prudent. La moindre respiration le moindre souffle était controlé.

__________________

Le silence de l'hôpital de Shallya fut troublé par les cris rauques d'un messager. Dans la cour, Klaus et Rhenard regardèrent l'impudent qui osait troubler de la sorte le repos des guerriers. Il s'agissait d'un des pages du comte Boris.

"Monseigneur Svarnigsson, un homme veut vous parler de toutes urgences. Il dit avoir des renseignements pouvant vous être utiles.

-Qui est-ce ?

Le ton pressé de Klaus fit vite comprendre au page l'importance de sa missive.

-Je crois qu'il s'agit d'un notable, Klugar von hanig, je crois.

-Kulgar van Henig ?

-oui c'est cela même."

Klaus congédia de suite le page. Il se tourna vers Rhenard. "Mon cher ami, enfin une bonne nouvelle je pense."

En guise de réponse, le Capitaine des Chevaliers Panthères se contenta de lancer un regard carnassier empreint de haine.

_____________________

Kérôme et Igor se tenaient dos-à-dos. Le seul obstacle au déchaînement de rage et de coups qui se préparait était le morceau de mur qui séparait le salon de la salle à manger. Entre les deux adversaires, se dressait des pierres, la Terre, même. Chacun d'eux savait, sentait la présence de l'autre derrière le mur. Tous deux savaient que le sang coulerait, que ce soit de ce côté du mur, ou bien de l'autre. Igor n'en pouvait plus. La tension semblait faire accelérer son coeur. Celui-ci semblait vibrer, tels les grands tambours de la parade militaire de Ulriczeit. Sa main moite peinait à porter le lourd chandelier de bronze, son seul ami en ce jour. Il n'en pouvait plus, il était trahi par son maître, il était fini, condamné.

Dans un grand hurlement de désespoir, il se lança de l'autre côté.

Le chandelier vint violemment percuter le mur, à l'endroit même où se trouvait la tête de Kérôme, une demi-seconde plus tôt. Celui-ci lança son épée en direction d'Igor, qui para le coup, pour enchaîner immédiatement par un puissant coup descendant qui manqua de fracturer le bras de Kérôme. Bien que moins habile, la rage et le desespoir armait le bras d'Igor.

"Sale pourriture ! Le maître t'envoie pour me tuer, mais tu ne m'auras pas !

A ces mots, Kérôme s'immobilisa. Se pouvait-il qu'il fasse lui aussi partie de la confrérie. Il ne pouvait se permettre de blesser l'un de ses frères d'armes, il devait faire cesser ce combat. Il baissa sa garde.

Igor n'hésita pas une seconde. Son adversaire avait visiblement cessé le combat, mais lui ne pouvait se rendre ou arreter. Il lança un terrible revers qui porta, explosant le bras de Kérôme. Il s'apprêta à achever le spadassin lorsque l'épée mordit sa chair. Son sang coula et vint heurter le sol. Il lacha le chandellier, devenu subitement trop lourd pour son bras blessé. tel un animal appeuré, Igor ne vit le salut que dans la fuite. S'il ne pouvait l'achever, tout au moins pouvait-il tenter de lui échapper.

Kérôme regarda le gaillard s'enfuir par les escaliers. Son bras le torturait. Une douleur atroce s'emparait de lui. Il ne pouvait rester ici, mais se déplacer lui semblait tout autant impossible. Au dehors, il entendait la milice lancer l'alerte. il lui fallait impérativement se cacher, s'enfuir. Posant son épée au sol, il s'avança à la fenêtre. Les soldats de patrouille étaient déjà dans le jardin. Desespéré, il regarda dans la salle. Son regard se posa sur la cuisine. Evidemment, la sortie des serviteurs ! Rassemblant tout son courage et sa volonté, il pénétra dans la cuisine puis ouvrit péniblement la lourde porte qui lui offrirait la liberté, sa liberté. Du moins, pour l'instant.

Modifié par korelion
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Lol pas mal ! Par contre je pense que tout le monde, pas seulement toi, gagnerai à faire un petit résumé avant le texte pour savoir ou exactement on en est.

Bon la forme est toujours très bonne et le fond est correct (quelques petites fautes)

Allez j'attends la suite !

@+

-= Inxi, pas la pendant trois jours =-

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Invité Wilhelm von Morr

Igor, un simple serviteur, arrive à tenir contre un assassin qui vient de mettre hors combat plusieurs des meilleurs chevaliers de l'Empire et un répurgateur habitué aux rigueurs des combats ?

Sinon, excellent, continue.

:D

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:D Magnifique! Du pur bonheur!! J'adore!

Tu maitrise vraiment bien les scènes d'action et nous dévoile en même temps pas mal de choses sur les personnages. C'est vraiment bien... :wub:

Bon, je vais peut-être arrêter de lécher tes bottes et te faire une critique construite:

la salla à manger

Ensuite:

Silencieusement, il avança

Remplace silencieusement par " en silence", il y a déjà un adverbe dans la phrase précédente et cela allourdit la narration.

Pris

Je crois que c'est prit.

Au pire, les chevaliers de Sigmar le torturerait

Mets moi ce verbe au pluriel, allez,zou!!

Ca, c'est pour le premier paragraphe, à toi d'inspecter la suite...

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Effectivement, j'en ai laissé passer de belles :D ! Bon, je suis desolé, j'écris directement dans le post, et j'ai tapé le soir, avant de me coucher, donc j'ai fait de belles bourdes !

Igor, un simple serviteur, arrive à tenir contre un assassin qui vient de mettre hors combat plusieurs des meilleurs chevaliers de l'Empire et un répurgateur habitué aux rigueurs des combats ?

Ben oui, vu que Kérôme avait eu un isntant de doute, et que Igor était pris par l'énergie du désespoir, donc adversaire pas en garde et gars en face qui n'a plus rien à perdre! (et surtout j'ai horreur des gros bill chevaliers genre cercle intérieur ou élus du chaos, donc je me venge des roustes que je me suis pris avec mes nains :wub: )

Sinon, merci pour vos compliments ca fait vraiment plaisir !

j'ajoutes la suite ce week end en théorie.

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