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Tan Ath


korelion

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Genial, vraiment... j'attends le week end avec impatience moi

Désolé, Week-end surbooké, donc je risque de pas pouvoir poursuivre.

Donc je poste ce petit pas grand-chose en 4-4-2, j'éditerais plus tard pour poursuivre!

Petit Résumé:

Suivant les ordres de son maître mystérieux, Kérôme penètre chez Kulgar. Cependant, ce dernier est parti voir les Répurgateurs, probablement pour dénoncer son serviteur, Igor. Ce dernier doit d'ailleurs lutter âprement contre Kérôme, qu'il parvient à blesser. Igor s'enfuit, Kérôme, bléssé, fait de même pour échapper à la milice de Middenheim.

Pendantce temps, Rhenard fait le serment de venger ses hommes tombés face à Kérôme.

"Pardonnez-moi, messire van Henig, mais quels soupçons avez-vous contre votre serviteur ?"

Sans paraître insistant, Klaus tentait de sonder l'esprit du notable. Curieusement, il ne comprenait pas. Lorsqu'ils étaient allés le voir, l'autre jour, le notable manquait d'assurance. Il avait paru pris de panique de voir arriver des Répurgateurs chez lui. Mais aujourd'hui, c'était un tout autre homme qui se tenait dans le carosse face à lui.

Kulgar prit son temps pour répondre. Il se surprit à prendre un malin plaisir à voir le Templier de Sigmar se heurter à son intelligence, à le voir essayer de percer ses multiples secrets. Il esquissa brièvement un sourire sadique. Les nids de poules ne cessaient de secouer les trois passagers.

"Hé bien, il se trouve que je viens de trouver quelques objets des plus étranges en ma demeure. Des livres bizarres, écrits dans une langue incompréhensible. De plus, depuis votre visite, Igor a eu un comportement des plus étranges."

La dernière remarque attira l'attention de Klaus. Pour sa part, Rhenard ne suivait pas la conversation. Une seule chose comptait pour lui. Il y mettrait le temps et les moyens, mais il finirait par accomplir ce que son honneur de militaire lui imposait comme un devoir. Venger ses hommes. Ce damné fils de gobelin payerait, oh oui. Il payerait enfin le prix du sang versé. Le capitaine des Panthères regardait sans le voir son reflet dans la vitre. Un visage mort, apathique, presque inhumain. Oh bien sur, il était toujours accablé des cicatrices, derniers souvenirs de batailles oubliées. Mais depuis hier, une autre marque voilait son être d'une horrible cicatrice. Celle-ci était invisible, mais pourtant si profonde, si violente et douloureuse. La haine et le remords ! Il n'avait pu sauvé ses soldats. Tout ça à cause de cet assassin !

Soudainement, Rhenard fut tiré de ses pensées obscures par l'attroupement de badauds. "Hé, regardez Klaus !"

______________________________

Il ne fallut que quelques minutes pour que Klaus et Rhenard, accompagnés de Kulgar ne parviennent à franchir la populace. Une fois dans la maison, les miliciens se mirent sous les ordres du Capitaine Répurgateur. Très vite, les traces de sang et le chandellier furent retrouvés. Et surtout l'épée de Kérôme. Klaus se tourna vers Kulgar.

"Messire, à en juger par ceci, votre serviteur a reçu de la visite. Celle de notre assassin. Et j'ai l'impression qu'ils n'ont pas vraiment eu une discussion amicale ! Rhenard, notre homme est blessé ! "

A ces mots, les yeux de Rhenard s'illuminèrent d'une rage à peine contenue. Pour le chevalier panthère, la proie avait été débusquée. Il partit en chasse immédiatement, suivis par quelques miliciens.

Incrédule, Kulgar regarda le capitaine, puis le sang coagulé sur son plancher. Le sourire sadique du manipulateur venait de s'effaçer. Kulgar était terrorisé. Un homme avait pénétré chez lui, arme à la main ! Et cet homme était l'assassin de Lestrof ! Et il n'était surement pas venu pour Igor. Igor ! Igor dans la nature, son plan tombait à l'eau ! Et le Prince Noir serait désappointé. Désemparé, Kulgar regarda sans bouger les derniers miliciens suivre le Répurgateur aux trousses de son serviteur.

Son intégration au cercle fermé de la Confrérie de l'Harmonie lui semblait beaucoup moins joyeuse à présent. Tout ça à cause de Lestrof ! De Lestrof et de Merwinn. Oui, Merwinn payerait.

Voilà, c'est court, mais j'ai pas trop le temps ce week-end. Je m'excuse d'avance pour les éventuelles fautes d'orthographes, je poste ça en 4-4-2, S'il vous plaît, notez les si vous les voyez, merci beaucoup!

Modifié par korelion
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Bon, ben moi j'en ai pas vu et j'ai à peu près qu'une chose à dire:

 

Vive Korellion! Le roi de l'Intrigue!

Merci beaucoup :lol: , mais il y a quand même de meilleures intrigues dans la section.

Et au passage, un seul L à korelion :clap:

Modifié par korelion
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  • 3 semaines après...

Kérôme s'appuya de tout son poids contre le mur. Il ne savait pas où il était, mais à voir l'agitation de la foule, il devait être encore très près de la villa de sa cible. Il jeta un rapide coup d'oeil à son bras. Par tous les Saints Vivants, cet imbécile lui avait littéralement explosé le bras ! De la plaie sortait une protubérance blanche, rougie par le liquide vital qui s'écoulait en un fin filet le long de son bras. Découragé à la vue de tels dégâts, Kérôme ne trouva le réconfort que dans le fait que son maître n'allait pas tarder à arriver. Il venait d'obtenir l'aval des Maîtres, Il viendra aider ses hommes, ses suivants. Ceux qui l'ont aidés dans sa lutte. Rassuré par ces pensées, Kérôme releva la tête, et aperçut la traînée de sang qui remontait jusqu'à lui. Par le Thana Khaine, il pouvait aisément être suivi. Et sans arme, il ne pourrait leur échapper. Il lui fallait impérativement empêcher le sang de couler. Déchirant un morceau de sa tunique, il plaqua l'étui vide de son épée. Il l'avait laissé sur place ! Il venait d'abandonner son épée sur place ! Kérôme tenta de faire aussi vite que possible, il fallait qu'il récupère son épée !

Dans sa précipitation, il n'arrivait pas à serrer le tissucontre sa plaie, ni à faire tenir l'étui sur son bras afin de soulager sa fracture. Déjà dans la rue, on entendait un homme.

"Place, au nom de Sigmar, faîtes place !"

_______________________________

Igor courrait. Sans se retourner, il courrait. A en perdre haleine, il courrait.

Dans sa tête, ses pensées martelaient son esprit étroit de simple serviteur. Cet homme, ce spadassin avait forcément été envoyé par son maître ! Non, maintenant, ce n'était plus son maître ! Il ne pouvait retourner Hilldarf Strasse, et ne pouvait mieux arrêter de courrir. Non, maintenant, il lui fallait fuir le courroux déchaîné par son maître, ce vil notable, Kulgar van Henig, via les Répurgateurs. Il ne fallait surtout pas qu'ils l'arrêtent. Si ces répurgateurs l'attrapaient, ils le tortureraient pour savoir ce qu'il avait àse reprocher. Et lui ne pourrait pas parler. Tout ça à cause de quelques bières !

__________________________________

Seul dans son secrétaire, Kulgar fulminait. Pourquoi, mais pourquoi ce crétin de Lestroff était allé se faire tuer ? Il n'aurait pas pu vivre, et garder sa place au sein du Cercle Intérieur de la Confrérie de l'Harmonie ? Maintenant, un homme voulait le tuer ! Et Igor s'était enfui ! Et ces fichus Répurgateurs n'étaient ppas près de le lâcher. Il fallait agir vite, garder les devants. Oui, c'est ainsi que le Prince Noir souhaiterait que l'on réagisse.

Kulgar appela son page.

"Va chez tous les mécènes de l'Harmonie. Dis leur de venir en urgence ici ! Ou plutôt non, dis leur que l'on se retrouve dans deux heures chez Merwinn ! Ici, il y a trop de monde."

Satisfait de ceci, Kulgar se posa confortablement dans son fauteuil. Sa servante vint lui amener de quoi se restaurer, ses yeux brillaient en regardant son maître. Kulgar n'y avait jamais fait attention. Il y avait quand même quelques avantages à servir le Prince du Chaos. Et pour en avoir plus, il lui fallait une place de choix dans le Cercle de l'Harmonie. Il li fallait la première place, celle de son vieil ami, Merwinn.

Un sourire sadique et cynique s'afficha sur le visage de Kulgar, ce qui n'en illmina que plus les yeux de la servante. Oui, de très bon avantages.

____________________________

Kérôme finissait juste de serrer son bandage. Il s'avança vers l'entrée de la ruelle lorsqu'en surgit le Capitaine Klaus Svarniggson. Interdit, Kérôme fixa le Répurgateur. Cela ne se pouvait. Il ne devait pas se faire prendre !

Kérôme s'élança vers l'autre côté, mais ni le capitaine, ni les miliciens qui l'accompagnaient ne bougèrent. Ceci lle surprit, il se demanda pourquoi.

La réponse survint au détour du virage qu'il passa à pleine vitesse.

Un cul de sac ! Fait comme un rat ! Sans armes et un bras cassé. Derrière lui, les soldats venaient d'arriver. Une voix grave, emplie d'un plaisir sadique et furieux s'éleva.

"Au nom de l'Empereur tout puissant, et de Sigmar le vénéré, je vous ordonne de vous rendre !"

Voili voilou, ce sera tout pour aujourd'hui ! Ben oui, point trop n'en faut pour ne pas gâter la sauce !

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Bobn, ben ravi d'avoir pu prendre part au début d'Untold Story, puisque je suis au regret de t'annoncer que je dois lacher mon pc jusqu'à demain soir! :):)

Donc, je préfererais une mort violente :) , mais auparavant j'abats quelques personnes :D (ben ouais, je veux pas tomber tout seul :D )

Korelion, monoligne, pour prevenir!

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Bon moi je poste juste pour dire que je continue a lire que j'attend la suite et que c'est très bien écrit :)

:) La suite :D La suit :) La suite

Modifié par Otaji
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Bon, allez, je suis grand seigneur (aïîïee :hat: , mes chevilles ^_^ ) je poste la suite.

Inxi, pas taper mon perso, pas taper :wink:

Ses yeux s'ouvraient difficilement. Une image floue se forma. Des silhouettes, deux, peut être trois. Il leva les mains pour se frotter les yeux. Mon Dieu, qu'elles étaient lourdes. En touchant son visage, il ressentit une vive et profonde douleur. Une sale coupure, une profonde entaille sur son visage. Sans la voir, il la suivit du doigt, tout en essayant de maîtriser sa douleur. Fichtre, du sourcil à la joue, en passant par l'oeil gauche ! Mais comment ? Kérôme essaya de faire ressurghir ses souvenirs, ces brêves et fugaces images du passé. Oui, ça y est, elles revenaient. Ainsi que sa vision. Il distinguaitmaintenant nettement ses mains. Des fers y étaient attachés, au bout de ces fers, des chaînes. Attaché, emprisonné comme un animal. Mais comment ?

Il était dans la rue, ou plutôt dans l'impasse. Son bras le faisait souffrir. Oui, il était fait ! Un soldat s'était jeté sur lui, il avait lutté, puis un autre vint et encore un autre. Il avait plié sous le nombre. Un coup de dague lui avait lascéré le visage, laissant cette vilaine cicatrice. Puis un choc sur la tête. Et plus rien !

Sa vue redevenait normal. Les silhouettes étaient féminines. Des femmes ! Ou plutôt des nonnes! Un couvent, un couvent sigmarite. Par Khaine tout puissant ! Le Répurgateur l'avait capturé !

_______________________

Le ton des notables étaient élevés. Surtout Merwinn. Oser organiser une réunion à l'improviste, chez lui, sans sa permission !

"Mes biens chers frères, j'ai sollicité cette réunion afin de vous faire part de certains évènements récents, Kulgar marqua une pause bien calculée, qui risquent de mouvementer notre quotidien sous peu. "

Maintenant, un profond silence, empreint de respect et de colère avait saisie la table. Tous avaient les yeux rivés sur Kulgar, attendant de luile moindre faux pas pour le descendre en flammes. Le notable en était bien conscient, et à dire vrai, cela l'amusait beaucoup. Il marqua un nouveau silence, qu'il mit à profit pour regarder chaque membre dans les yeux. Notamment Merwinn.

"Aujourd'hui, mon serviteur, Igor, s'est enfui. Ceci après que je sois allé le dénoncer auprès des Répurgateurs. Dans le souci de détourner leur attention de nos "activités". "

Les regards inquiets que se jetèrent mutuellement les membres du Cercle amusèrent Kulgar. De dirigeants arrogants et méprisants, ils étaient devenus de simples spectateurs d'un homme qui à peine arrivé, se mettait à décider pour eux. Quel admirable changement de situation !

"De plus, les Répurgateurs ont retrouvés la trace de l'assassin de Lestrof.... Chez moi ! "

Merwinn se décida enfin à réagir.

"Chez vous ? Comment se fait-ce ?

-Il semblerait que Lestrof ait été tué afin de remonter au Cercle, et non uniquement par pur désir de meurtre. Ce qui veut dire, Kulgar prit tout son temps avant de finir sa phrase, un sourire moqueur sur les lèvres, que nous sommes tous, ici présent, en danger de mort !"

Des regards éffarés et incrédules se posèrent sur Kulgar.

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  • 2 semaines après...

Salut à tous

Voila je viens de tomber sur ce post et je n'est qu'une chose à dire :

BRAVO!!!

C'est vraiment chouette comme intrigue, le style est bien, explicite, avec de nombreux de détails et sans tomber dans le "trop". Vivement la suite.

Merci pour cette histoire que tu nous offre et bon continuation !

CVL, un korrigans de passage...

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  • 2 semaines après...

désolé pour le (immense) retard dans l'écriture, mais j'avais perdu un peu la volonté et l'envie d'écrire. Donc je m'y remets dès maintenant !

Résumé (pour faire plaisir à Inxi ^_^

Kérôme vient d'être arreter par le capitaine Répurgateur Klaus Svarniggson. Il se trouve dans un cachot. Igor est en fuite après avoir mis hors de combat Kérôme, qu'il pensait envoyé par son maître pour le tuer. Le capitaine des chevaliers panthères Rhenard est toujours à ses trousses. Kulgar vient re réaliser une partie des tenants et aboutissant du meurtre de lestrof, et a décidé de se venger de Merwinn pour l'indélicate situation dans laquelle il est actuellement. Se retrouver en danger de mort pousse aux actes les plus fourbes ou les plus glorieux. Le lieutenant de Klaus, Kurt, est toujours au temple de Shallya, où les pretresses de la divinité, en accord avec leurs veux, continuent de le soigner

(Oui, le résumé est long, mais vu que ça fait un bail que j'avais pas posté, faut bien tout remettre en place)

Un bruit métallique le fit sursauter. Kérôme se retourna. L'une des nonnes ouvrait la porte. Le regard qu'elle lui lança le terrifia. Un regard plein de haine et de mépris. Comment était il possible de haïr à ce point un parfait inconnu ? Juste parcequ'un imbécile de fanatique pensait qu'il servait les maudites puissances de l'entropie ?

Un garde en arme pénétra dans le cachot, bientôt suivi par deux autres. Ils détachèrent les chaînes du mur, puis le tirèrent violemment, le faisant chuter au sol. Le contact avec le sol fut brutal, la pierre insensible et glaciale faisait écho à la haine l'entourant. Il lui fallut un bon moment pour se remettre sur pieds, mais à peine debout, il fut tiré dans un labyrinthe de couloirs et de porte. Au bout d'un moment, ses gardiens cessèrent de tirer sur les chaînes. Kérôme se laissa tomber sur ses genoux, cherchant à reprendre sn souffle. Un grincement lugubre le fit relever la tête. Une des portes venait de s'ouvrir, la porte soixante-diz neuf, laissant apparaître une pièce obscure. Une pièce carrée et noire, avec plusieur piliers bien ordonnés et quelques chandelliers. Au centre se tenait un chevalet et un braséro qui illuminant une fresque au plafond, représentant Sigmar face aux forces deu Chaos. Il fut contraint d'entrer, puis attaché sur le chevalet. Les soldats se retirèrent, en prenant bien soin de fermer la porte derrière eux. Il se tenait là, attaché aux poteaux croisés de bois noirs, attendant comme un vulgaire animal à l'agonie.

Klaus sortit de derrière l'un des piliers, comme par enchantement et s'avança vers le mécréant. Il sortit de la pénombre qui regnait dans la pièce pour venir se placer face au braséro. La lumière projetée par les braises incadescentes illuminait ses traits sombres et fermés.

"Vil adorateur du Chaos, tu es ici pour être jugé de tes pêchés. Le crime que tu as commis ne mérite nul autre châtiment que la Mort, et même celle-ci est douce face à l'atrocité de ton idôlatrie. Cependant, tu as la possibilité de choisir ta mort, mais il te faudra te montrer ... coopératif.

-Imbécile! , siffla Kérôme, tu es complètement dans l'erreur, mais ma mort ne fera que retarder l'inéluctable. Mes frères se chargeront de reprendre le flambeau.

-Tes frères recevront eux aussi le juste chatiment qu'ils méritent, mais pour cela, tu vas me donner leurs noms.

-Plutôt mourir!

-Ho, sais-tu, il existe des souffrances pires que la mort, et Luther est expert en la matière."

Un rire sadique résonna dans la pièce. Kérôme se retourna vers l'endroit d'où était parti ce rire inhumain. L'être qui apparut sous les flammes vascillantes des chandelliers le terrifia.

Dans la nef du couvent, le choeur des soeurs couvrait de ses voix mélodieuses et angéliques les hurlements de douleur résonnant à la mort dans le cachot soixante-diz neuf.

___________________________

Le message que lui avait remis le page l'avait rendu hystérique. Il fallut que quatre soldats de la milice de Middenheim le retiennent de se jeter dans le Couvent des Filles de la Comète. Rhenard avait mit une bonne heure pour se calmer. Maintenant, il rongeait son frein devant le couvent, attendait le retour de Klaus. Depuis le message lui annonçant la capture de l'assassin, il ne cessait de songer à ses chevaliers morts dans les souterrains. Dès qu'il le pourrait, il les vengerait.

Mais pour l'instant, il lui fallait patienter comme un badaud devant les grilles du couvent. Le temps que le bras de Saint Sigmar fasse son oeuvre lui avait dit une religieuse ! Heureusement que certains de ses amis patrouillaient dans le secteur, il avait manqué de l'agresser tant sa rage était grande.

Par Sigmar et Ulric, que faisait donc Klaus?

_______________________

Dans les bas-fonds de la Cité de l'Hiver, une ombre déambulait. Le visage hagard, Igor marchait, perdu dans des pensées sombres et amères. Il avait été trahi par son maître, alors que lui, bien que connaissant les moindres secrets de l'Harmonie, ne pouvait même pas dénoncer ceux qu'il servait. Triste sort ! Il regrettait profondément le veux qu'il avait fait ce soir là. Un an auparavant, dans ce taudis qui servait d'auberge pour les miséreux comme lui. Si seulement il pouvait revenir en arrière, avant la rencontre avec cet être.

Obnubilé, il percuta un passant colérique. Ce dernier hurla, sortant Igor de ces pensées. Aveuglé par sa colère, il se retourna et toisa du regard le badaud. Puis, d'un violent coup de poing, il l'envoya rouler au sol, assommé. Il se jeta sur lui, le saisit au col et le frappa, encore, encore et encore. Même après que le coprs du pauvre inconnu n'ait cessé de respirer. Après quoi Igor le dépouilla de sa bourse et de ses objets de valeur, puis repartit, sans l'ombre d'un remord. Il lui fallait se venger, oui, se venger de van Henig, et lever cette malédiction.

___________________

Le crépuscule tombait sur la cité de Middenheim, couvrant de son obscurité les peurs des habitants faces aux nouvelles venues de l'Ostland. Un homme fatigué traversait la cour du couvent des Filles de la Comète, le visage empli de déception.

Il ne fallut pas longtemps à Rhenard pour reconnaître là son vieil ami Klaus, malgré l'obscurité. Dès que celui-ci sortit du couvent, il se jeta aux nouvelles.

"Alors, qu'en est il ?

-hé bien, il n'a rien dit, et ce n'est pas faute de l'avoir soumis à la question. Et je ne peux pourtant pas l'éxécuter tant qu'il n'aura pas craché ses complices.

-Quoi ? Tu vas laisser un immondice pareil vivre jusqu'à ce qu'il parle ? C'est pour ça que mes soldats sont morts, pour une pourriture pareiller ? Mais c'est ignoble, c'est de la trahison, c'est...

Le coup avait été porté à uhne vitesse surprenante pour un homme de l'âge de Klaus. Il se tenait droit face à son "ami" allongé au sol.

"Il suffit Rhenard, Klaus dut faire moults efforts pour cacher sa colère. Celle-ci n'était pas spécialement à l'encontre du capitaine Panthère, non, en fait, Klaus s'en voulait de patauger ainsi, de devoir rester impuissant face à l'hérétique assassin. Il était obligé de le garder en vie. Non que sa vie soit importante, loin de là, mais le tuer tout de suite, ç'aurait été laisser courrir en liberté tous ses complices, et le temps qu'il lui avait fallu pour retrouver Kérôme lui avait fait prendre conscience du danger réel de cette cabale de criminels. Mais cela, Rhenard ne pouvait l'appréhender, son seul but maintenant consistait en la mort de Kérôme, quel qu'en soit le prix. Plongeant son regard dans celui du capitaine tandis qu'il se relevait, Klaus comprit que le prix serait élevé. Rhenard partit sans un regard. Oui, le prix serait énorme.

Dans le cachot soixante-diz neuf, Kérôme leva les yeux vers le ciel. Il lui fallait tenir encore quelques jours, tenir et prier. Il allait bientôt venir, oui, il arrivait et allait le sauver. Puis il se souvint. Une forme floue lui apparut, et peu à peu, elle devenait plus distincte. Une silouhette, fine mais triste, et surtout emplie d'un immense chagrin. Il la voyait bien maintenant, il lui semblait même qu'elle était dans la pièce. Il la regarda, gracieuse et magnifique, il la regarda et pleura. Pourquoi avait il fallu ?

Quelque part au Nord, entre Middenheim et Salzenmund, une silouhette avançait à travers les ombres et les bois. Malgré la nuit et les arbres, elle observait au loin. Puis un bruit strident la fit se retourner. Des paires d'yeux l'observaient, mais ces yeux étaient comme les siens, profonds et tristes. Les yeux l'observèrent, puis disparurent. La silouhette resta figé là, ne sachant si ils avaient compris. Au bout d'un moment, une flèche fusa à quelques centimètres de sa tête, pour venir se ficher dans l'arbre à coté de lui. A cette flèche était attaché un parchemin, que la silouhette détacha et lut. Puis elle se remit en marche vers le Sud. Soudainement, une armée apparut à la suite de la silouhette, là où auparavant ne se tenaient que les tenèbres et l'obscurité.

Quelques minutes après, le silence et le vide retombèrent dans la forêt, laissant la place au vent. Celui arracha le parchemin du sol, laissant entrevoir des runes que peu d'humains connaissaient tant le danger inhérent à leur connaissance était grand, et bien moins étaient à même de traduire

Voilà, j'espère être pardonné de mon retard

Korelion

Modifié par korelion
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Bon, au moins, c'est assez vite lu...

Je tiens tout d'abord à te féliciter pour l'intrigue et les personnages assez nombreux et étoffés.

Par contre, le nombre de répétitions est assez aberrant et tu devrais y faire très attention. J'avoue y avoir été sensible tout au long de ma lecture et ça en est devenu désagréable.

Au niveau description, c'est plutôt bien, en dehors des répétitions. (c'est même très bien).

Mais, au fond, j'ai crut sentir que Kêrome est un petit peu trop puissant... Certes, c'est ton grand héros et tout, certes nous sommes dans le monde de Warhammer, un monde de grands héros, mais tout de même... Enfin bref, gaffe au bourrinisme. Le passage où il tue deux chevaliers donne vraiment l'impression qu'il faut une armée entière pour le tuer... (surtout qu'il n'a put éviter le coup d'Igor, malgré son entraînement...).

Bon, on va bien voir ce qui va suivre, mais en constat général, c'est bien. Fait vraiment, mais alors vraiment attention aux répétitions et un peu aux accents aussi, ainsi qu'à l'orthographe en général, bien que ce soit maîtrisé. Je dirais que tu ne te relis peut-être pas assez bien.

Imperator, qui déteste devoir critiquer de trop longs texte d'un coup (c'est tellement plus facile sur un petit morceau... En tout cas, J'ai pris du plaisir à te lire, vraiment.)

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Mais, au fond, j'ai crut sentir que Kêrome est un petit peu trop puissant... Certes, c'est ton grand héros et tout, certes nous sommes dans le monde de Warhammer, un monde de grands héros, mais tout de même... Enfin bref, gaffe au bourrinisme. Le passage où il tue deux chevaliers donne vraiment l'impression qu'il faut une armée entière pour le tuer... (surtout qu'il n'a put éviter le coup d'Igor, malgré son entraînement...).

bah, on a tous notre petit héros adoré qu'on aime voir triompher comme un grand :wink: .

En ce qui concerne la facilité contre les chevaliers panthères alors qu'il se mange contre un simple gars, je l'avais déjà dit, je prefère mettre l'accent sur la force du desespoir, même si ça rend le récit assez sombre (mais c'est mon but.). Malgré ça,mon explication est bancale, c'estvrai que c'est franchement incohérent. Je crois qu'il faudrait que je reprennes entièrement le passage. J'ai taché sur la suite de le rendre moins "Gros Bourrin Khorneux", notamment par sa capture et le reste, mais ça reste, je le concède, vraiment à approfondir.

Pour les répétitions, les accents et l'orthographe, j'écris au feeling directement dans le forum (ben oui, Woks, ça vaut rien par rapport à Word, et je n'ai que le premier :blink: ), ce qui fait que ça puisse paraître un peu mal travaillé (puisque ça ne l'est pas du tout.) et et que j'en laisse passer de belles de fautes (m'en vais leur déclarer la guerre à ces phote !(volontaires dans le texte :D ) ). je tâcherais de remédier au problème d'ici la fin de la semaine.

En tout cas, merci d'avoir lu! :clap:

Korelion

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bravo à toi Korelion

l'intrigue est rondement menée et on sens toujours que quelque chose d'encore plus important va nous tomber dessus.

vivement que les elfes arrivent (et oui on ne se refait pas)

sinon on sent bien la progression au niveau de l'écriture ce qui annonce le meilleur (encore quelques fautes mais ce n'est pas moi qui pourrait te faire des remarques)

à bientôt pour la suite

Erdraug, un elfe de passage

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Merci Erdraug, venant de toi, le remerciement sur l'intrigue me touche beaucoup ^_^ .

Pour l'amélioration de l'écriture, je peux que m'améliorer, c'est le premier texte que j'écris (parceque 10 ligne de background, c'est loin d'être un texte :) )

Concernant les fautes, je me ferais un devoir de les pourfendre, mais je tiens à m'excuser, je ne peux pas corriger sur mon traitement de texte( à cause d'un bug dans le sautage de ligne qui rend letruc illisible....enfin bref).

Korelion

vivement que les elfes arrivent (et oui on ne se refait pas)

*Voix de Gandalf* Ils arrivent.

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Voilà voilà, c'est lu ! Tu es a moitié pardonné pour le retard grace à la taille du texte. N'empeche faut admettre que pour le résumé, ca aide vachement! C'est mieux pour savoir ou on en est !

Premier truc, c'est que ca aurait pu etre marrant de decrire la torture, on aurati prit encore plus de pitié !

Sinon c'est vraiment parfait et j'attends une suite ! :wink:

@+

-= Inxi =-

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  • 2 mois après...

Petit résumé :

Kérôme, ex ingénieur et assassin, suit une quête obscure et mystérieuse. Celle-ci l’a mené à Middenheim. Après un meurtre (celui de Lestrof Hildar) et une tentative (sur Igor), il se fait capture par le Capitaine Répurgateur de Sigmar Klaus Svarniggson, assisté du lieutenant Kurt Dietrich, blessé par Kérôme, et du Commandant Rhenard des Chevaliers Panthères, qui a déjà perdu plusieurs hommes, soit sous les balles, soit par le poison.

Kulgar van Henig, riche bourgeois de Middenheim résidant Hilldar Strasse, et mécène à ses heures auprès de la Confrérie de l’Harmonie, vient de découvrir la réalité de l’association à laquelle il participe. Dirigé par Merwinn Lhodhar, elle cache en fait un culte chaotique dédié à Slaneesh. Pressé par les évènements et l’enquête des Répurgateurs, Kulgar décide d’essayer de prendre le culte en main, le substituant à Merwinn. Pour cela, il souhaitait utiliser son serviteur Igor, d’apparence simplette, mais qui cache un lourd secret.

Voyant qu’il va être trahi par son maître, il prend la fuite après avoir mis Kérôme hors d’état de nuire. Maintenant au dehors, sans soutien ni allié, il ne cherche qu’à se venger. Un simple passant vient d’en faire les frais.

Dans la Drakwald, une armée silencieuse avance, aidé par des ombres muettes…

La vie semblait avoir disparu du fortin. Au guet, Richter était seul. Tous l’avaient laissé à sa corvée et il commençait à avoir vraiment froid. Impensable en cette saison, le gel s’était abattu sur le village de Helburg. Les anciens avaient déjà donné des centaines d’avis différents, pour certains, c’étaient les villes qui détraquaient tout, pour d’autres, une punition divine. Mais rien de ce qu’il avait entendu ne le satisfaisait. Pour Richter, ce froid glacial, c’était bien pire que ça. Et en plus, le sergent s’était encore débrouillé pour se planquer au chaud, dans la salle d’armes. Saloperies de gradés. Et saloperie de brouillard dans la plaine. Un vrai brouillard, de ceux qui sont capables de vous envoyer vous faire perdre une jambe dans un satané piège à loups. Une restriction ordonnée par le comte parait-il. Pour la battue de la Bête. Tout ce que ça avait rapporté pour l’instant, c’était les plaintes des villageois pour les chiens happés par les pièges. Richter continuait de toiser l’épais brouillard lorsque quelque chose attira son attention. Une lueur pâle mais menaçante venait d’apparaître à l’orée de la forêt. Il s’avança rapidement, plissa les yeux, mais rien n’y faisait. Il ne distinguait pas ce que cela pouvait être. Il se retourna et se saisit rapidement du cordon du tocsin, puis hésita. Il retourna jeter un coup d’œil. La lumière n’était plus là. Soulagé, il se laissa tomber. N’aurait manqué plus que ça. En se relevant, il regretta amèrement ses derniers mots.

Dans la plaine, un ciel étoilé venait d’illuminer la brume.

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Le bruit de pas résonnait dans le couloir. Gris, froid, venteux couloir. Seules les lourdes teintures blanches et grises répondaient de leurs couleur aux flambeaux suspendus à intervalles réguliers. Au bout du couloir, une lourde porte de vieux chêne, bardé de fer. Une fois devant, les deux gardes de faction l’ouvrirent sans tarder, laissant un flot de lumière et de chaleur envahir le visage de Klaus. Le vieux répurgateur pénétra dans la salle. Les hommes alentour se retournèrent, puis, craintifs, saluèrent poliment. Nul n’est assez fou pour oser braver un soldat de Sigmar en public. Mais combien n’hésiterait pas, une fois le rideau baissé, à entacher son noir manteau de sang. Klaus savait très bien à quel point les courtisans pouvaient être dangereux. Mais peu importait. Boris Todbringer avait fait mandé tout officier et religieux de la ville pour une réunion importante. Klaus était le dernier. Il s’assit rapidement aux cotés de l’archevêque de Sigmar. A la table se trouvait, outre le comte lui-même, Rhenard, qui ne lui adressa qu’un regard empli de colère, Ar-Ulric Emil Valgeir, le rustre et sauvage représentant suprême des Ulricans, le Grand Maître des chevaliers du Loup Blanc, les trois maréchaux, le Chevalier Eternel et quelques représentants de la haute bourgeoisie. En fait, ces derniers étaient une bonne dizaine. Mais Klaus savait que leur présence ici n’était que du folklore. Pour que le comte convoque les grands dirigeant de la ville et de la province, il fallait une situation catastrophique. Sans doute des nouvelles du Nord qui venaient d’arriver, et elles devaient être très mauvaises. Assez mauvaises pour que Boris Todbringer ait réussi à convaincre les deux cultes d’assister à cette réunion conjointement. Ainsi, la présence des notables tient plus de la flatterie politique que d’un réel intérêt.

Le comte Boris se leva et fit signe aux gardes. Ils sortirent et les lourdes portes se refermèrent sur le conseil.

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Kulgar regardait de sa fenêtre ses compagnons s’en aller, un sourire sournois aux lèvres. Il était assez satisfait de son petit coup d’éclat. Après son annonce, tous s’étaient inquiétés, pris dans une fièvre de panique et de peur. Tous sauf lui et Merwinn. Kulgar se retint de rire, mieux valait être discret. Merwinn avait très bien saisi ce qu’il cherchait à faire, et il savait que le vieux maître de la Confrérie ferait tout, absolument tout ce qui était en son pouvoir pour garder la mainmise sur sa petite secte. Mais Kulgar voyait plus loin, plus grand. Pourquoi se contenter de maigres dons et amusements, alors que le pouvoir tout puissant était à portée de main ? Il suffisait juste d’en faire un peu plus, de continuer à vénérer son Dieu. Machinalement, Kulgar recommença à triturer sa chevalière. La couleur mauve vif de celle-ci lui plaisait de plus en plus, et lorsque la pierre précieuse se parait d’une autre teinte, il ne pouvait s’empêcher de s’émerveiller.

Mais l’heure n’était pas aux réjouissances. Kulgar voulait la place de Merwinn, et celui-ci ne se laisserait pas faire. Et puis, les Répurgateurs allaient sûrement continuer à s’intéresser à lui. Sans compter l’assassin de Lestrof qui courait toujours en liberté, de même qu’Igor.

Il lui fallait se débarrasser de ses problèmes avant de pouvoir attaquer le pouvoir de Merwinn. Si les Sigmarites pouvaient capturer le spadassin et le brûler en place publique, il aurait ensuite tout le temps de se consacrer à Igor. D’ailleurs, peut être était-il possible de se servir d’Igor contre Merwinn. Bien sur, tout ce qu’il lui fallait, c’était transmettre un message à son ex serviteur à son insu.

Kulgar se rendit dans son secrétaire. Une fois à son bureau, il se saisit d’un morceau de parchemin. Avec un peu de chance, il allait faire d’une pierre deux coups.

Loin, dans une dimension impropre aux mortels, un amalgame ricana aux nez des autres.

Voilà, c'est tout pour aujourd'hui, j'en poste plus ce week end!

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Il y a interet ! Tu n'es pas payé pour ça ! ( Ah bon ! T'es pas payé ! Tu t'es fait avoir :lol: )

Bon plus sérieusement, c'est court ! Je m'explique, ca parait grand comme ca, mais sur le principe ce n'est que trois textes. Donc on passe d'un texte à l'autre en perdant de l'engoument sur ce qu'on vient de lire car on doit le lacher alors que l'on venait tout juste de s'en empreigner.

Ensuite, de manière plus précise, ces trois parties développe ton résumé, tu nous remet dans l'histoire et en condition pour la suite !

Bon rentrons dans le vif du sujet, sur le fond proprement dit ! La, ca va, il n'y a pas de problème ! Continue, c'est impec, on lit l'histoire comme si c'était naturel !

Allez, la suite !

@+

-= Inxi =-

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Très bonne suite!

Je n'ai aucune remarque d'ordre orthographique à faire, et seulemetn deux de style:

Les anciens avaient déjà donné des centaines d’avis différents, pour certains, c’étaient les villes qui détraquaient tout, pour d’autres, une punition divine.

Là, je conseille de faire deux phrases, ou de mettre un double points comme ceci:

"Les anciens avaient déjà donné des centaines d’avis différents. Pour certains, c’étaient les villes qui détraquaient tout, pour d’autres, une punition divine."

En fait, ces derniers étaient une bonne dizaine. Mais Klaus savait que leur présence ici n’était que du folklore. Pour que le comte convoque les grands dirigeant de la ville et de la province, il fallait une situation catastrophique.

Ce qui m'ennuie ici, c'est que tu nous parle des notables qui ne sont pas importants, puis immédiatement des grands dirigeants de la ville et de la province. Cela peut amener de la confusion, et surtout détruit tout l'effet que tu cherche à provoquer avec cette phrase, et ce malgré que tu te rattrape un peu avec:

Ainsi, la présence des notables tient plus de la flatterie politique que d’un réel intérêt.

Mais ce n'est pas, selon moi, suffisant.

Au vu de la situation, il faudrait reprendre tout le passage et exprimer clairement les idées qui s'y trouvent.

En dehors de ces deux peccadilles, tout me semble bon, et je ne peux qu'attendre de voir comment vont se terminer ces trois intrigues...

Ainsi, Imperator, empereur du néant, parla-t-il...

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