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Tan Ath


korelion

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Allons Camarade, la souffrance n'est qu'une vertu, et comme disait Papy Nurgle, La souffrance...

Bon, j'ai 3 jours devant moi, alors promis, la suite demain, ou dimanche si j'ai décuvé ( spéciale dédicace thomas....) ou aklors Lundi (vive les entreprises qui ferment quand m^me!!)

Korelion, je sais j'ai pas tenu ma promesse

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Bon, je poste ici car au moins vous y jetterez un oeil:

Pour Korelion et the rabbit:

Je ne sais pas si c'est du lard ou du cochon, mais j'aimerais que vous fassiez attention à préserver les caractères apolitiques et anonymes du forum...on se comprend?

Et essayez d'éviter aussi les messages inutiles, ou alors par MP. Ca évite de surcharger le forum.

Le Warza (chaque petite action est un pas vers le progrès)

Modifié par Warzazatt
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C'est pas d'une grande utilité comme message, mais je poste ici quand même

Pour moi au moins, c'est du bon gros cochon bien comique...

Le délire semblait parti d'un message modifiait, j'ai continué sur le célébrissiminal film La Cité de la Peur avec cette bonne vieille rengaine...

Bref, j'ai continué dans le délire.

Ensuite, très honnetement, c'est plus simple de partir en délire, et surtout beaucoup moins ambigue, sur un extreme de gauche que sur un extreme de droite :whistling:

Quand à mon dernier psote, analogie entre l'image de la propagande du "Père des Peuples" et de papy Vert et tout Puant...

Korelion, pour rebondir, mais si ça va pas, j'édite mes posts :wub:

PS : Ca n'a rien a voir avec la politique, comme disait l'autre, je ne suis du coté de personne car personne n'est du mien....

PPS, si faut, MP moi, j'édite tout...

PPS et EDIT : Korelion avec un seul L merci :-x

Modifié par korelion
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Bon suite à ce petit intermède blagounettetiste sur la Cité de la peur, revenons à à notre Cité du Loup :whistling:

Rappel des Faits :

Kérôme :Ex ingénieur et nouvel assassin, il a assassiné Lestroff, artiste à Middenheim. Il poursuit un but encore secret. Il a été capturé par les répurrgateurs, s'en est enfui, est retourné dans le couvent Sigmarite ou il fut enfermé pour récuperer son épée, après avoir affronté et découvert la nouvelle nature de Kulgar von Henig. Il est aidé par son "Maître", qu'il ne saurait tarder de rencontrer, puisqu'il est sorti de la Cité et se dirige vers la plaine

Kulgar von Henig : Noble Impérial, membre de la Confrérie de l'Harmonie (Mécènes de Lestroff), il découvrit la véritable identité de cette "association" qui n'est autre qu'un culte chaotique. Après que Igor, son ex-serviteur ait reglé son comtpe à Merwinn (ancien chef de la confrérie), il cherche à prendre le pouvoir de cette confrérie. Mais il doit aussi lutter contre kérôme et prendre garde aux répurgateurs.

Igor : Serviteur du précédent, il s'écchappa par peur de dénonciation. Il a passé un pacte obscur et semble au courant de bien des choses. la nature de ce pacte est encore inconnue, mais cela suffit pour le pousser à tuer Merwinn, et à souhaiter tuer Kérôme et Kulgar.

Klaus Svarniggson : Capitaine Répurgateur de Sigmar : Il est sur la psite de kérôme mais n'arrive pas encore à l'attraper définitivement. Il tombe dans une sombre colère après avoir découvert le vol de l'Epée de Kérôme dans son propre bureau.

Kurt Helborg : Lieutenant du précédent. Il a été blessé lég-èrement par Kérôme et s'en remet. Il ne comprend pas la dévotion religieuse de son chef alors qu'il vaudrait mieux agir par la force selon lui.

Capitaine Rhenard : Capitaine des Chevaliers panthères, ancien ami de Klaus, il a vu ses hommes tués par Kérôme etlui en veut à mort. Cela a entaché les relations entre les deux capitaines.

Kaëra : Seigneur Elfe, commandant une ost venant d'un bourg d'Yvresse, il fut autrefois le Seigneur de Tir Amoth (Tir Amroth) Il fait partie de l'Ost d'Anaëlion, envoyé en Empire pour aider à lutter contre la Tempête du Nord. il est en mission dont seul lui et la Tour de Hoët sont au courant des détails.

Anaëlion : Commandeur de l'Ost Elfe en empire, il dirige les troupes de Lorthar dont il portait la bannière déjà du temps d'Anëarion le Défenseur (Voir fluf elfe V5 pour Anëarion le défenseur). Il ne porte pas Kaëra dans son coeur, loin s'en faut, du fait des ténèbres de mystères qui entourent le commandeur.

et maintenantla suite....

Dans la plaine ceignant Middenheim, moult tentes et campement vinrent s’ajouter à ceux des villageois en exil. Nombreux étaient les corps d’armée qui avaient répondus présent à l’appel des fidèles d’Ulric et parmi se trouvaient plusieurs compagnies elfiques. Les campements elfes n’étaient que peu gênés par les histoires de vol et de crime de maraude qui sévissaient autour, car les gueux et les vilainss craignaient le peuple fée, ressassant d’obscures légendes sur les êtres immortels de par delà les Mers. Cependant, l’ombre qui parcourait maintenant le crépuscule tombant n’était point de la race des Asurs. Ainsi allait Kérôme, au milieu de l’obscurité environnante, cette sombre amie qui accompagnait le moindre de ses pas depuis la tragédie de Nuln. Son esprit se troubla à ses pensées, trop amères était encore la douleur. Il préféra chasser ces chagrins pour l’instant, il approchait des veilleurs et se devait d’agir prudemment.

Loin derrière lui, une mince cohorte d’acier trempé se glissait de par les portes de Middenheim. Si ses yeux pouvaient porter jusque là, il aurait reconnu à sa tête le capitaine Svarniggson, et sur ses pas, une escorte de gens d’armes et de chiens de chasse. La poursuite s’était lancée sur ses traces.

Mais pour l’instant, toutes son attention était portée sur les sentinelles qui, le voyant approcher, s’avancèrent, lance au poing. Les fines silhouettes elfiques semblaient glisser comme sous le vent, portées par une brise légère salée. Les cottes de mailles luisaient sous la Lune, mais ne faisaient nul bruissement lors des mouvements félins des vigiles.

Les gardiens ne tardèrent pas d’arriver à son niveau, et Kérôme put voir à la lueur pâle de la Lune, les visages serrés des vigilants Asurs.

« Qui pénètre dans le campement Asur ? »

La voix qui prononça ces mots semblait sortie d’un âge révolu, souvenir de temps anciens qui laissait s’évader l’âme par la seule musique de ses paroles. Mais l’esprit de Kérôme était accaparé par toute autre chose bien plus importante, et pour certaines, bien plus vitales que l’émerveillement des tons sybillins des Elfes.

« Mon nom est Kérôme, et je suis attendu par le Seigneur Kaëra. Je demande audience et accueil pour la nuit »

Les regards des soldats elfes se firent obscurs l’espace d’un instant, alors même que leurs visages se fermèrent.

« Le seigneur Kaëra nous a prévenu de votre venue. Il vous fait mander dans sa tente. Je vous y mène de ce pas. »

Visiblement, sa présence semblait fort inopportune. Kérôme pouvait voir à la manière arrogante et au timbre de voix froid et glacial que, quoiqu’il ait pu se passer, le Seigneur Kaëra n’était pas des mieux vu parmi ses pairs.

Kérôme avait du mal à suivre son guide. Ce dernier semblait faire exprès de forcer le pas, bien que ses mouvements glissants paraissaient ne nécessiter aucun effort. Mais les jambes de l’humain ne pouvaient atteindre le même rythme que celles de l’elfe, et surtout, la même prestance. Même à ses yeux, l’assassin sentait la lourdeur de son pas qu’il jugeait incommensurablement bruyant et balourd devant les mouvements gracieux du soldat. Mais bientôt, il n’eut plus à forcer le pas. Devant lui s’étendait une sorte de petite esplanade, de forme circulaire, nue de tente, ceinte par un rideau de torches portées par de lourds piliers de métal noir. Ceux-ci étaient d’environ un bon mètre trente, faites d’une matière inconnue. La lueur qui émanait de leur sommet éloignait les ténèbres sur bien vingt mètres, alors même qu’il ne s’agissait, à l’œil tout au moins, que de simples flambeaux de bois sombres comme on en trouve dans les forêts bordants l’Empire. Sans nul doute s’agissait il de quelques ouvrages du peuple fée, qui égalait le talent des meilleurs ouvriers nains pour ce qui était de la confection de menus objets d’agréments.

Derrière cette barrière lumineuse, une double rangée de tentes profitaient des bienfaits de ce soleil nocturne. Devant certaines, boucliers, lances et arcs étaient posés à même le tissu d’albâtre qui les constituaient. Sur d’autres, trônant comme des Rois, des étendards chamarrés ornaient les pointes des tentes, flottant doucement dans la mince brise nocturne. L’un deux attira l’attention de Kérôme. En effet, celui-ci reconnut les armes de son Maître. Une rose noire, portée sur un fond de pourpre et de blanc, vestige paraît-il, des anciennes terres du Seigneur Kaëra.

Le gardien elfe le laissa là, sans un mot, après lui avoir pointé du doigt la tente de Kaëra. Comme porté par un espoir soudain, Kérôme se dirigea vers l’enchevêtrement complexe et néanmoins harmonieux de tissus rouges et blancs. Arrivé devant ce qui semblait faire office de porte, Kérôme hésita un instant, mais soudainement, une voix enchanteresse, bien que profonde et emplie de menaces, mais pourtant familière s’éleva de l’intérieur.

« Entre vite, le dernier des frères. »

Poussé par une volonté plus forte que la sienne, il s’exécuta, soulevant le voile de tissu devant lui. Puis, une fois passé dedans, il le referma sur les ténèbres.

La sinueuse cohorte d’acier suivait la piste que révélaient les chiens de chasse. Le capitaine Svarniggson jubilait intérieurement. Sigmar montrait enfin la voie, les chiens suivaient la piste de l’assassin. La divine fureur du Saint Patron de l’Empire s’abattrait sur ce mécréant.

L’esprit enfiévré de Klaus vagabondait à la limite de la folie. Cet échec incompréhensible face à ce qui ne semblait qu’un meurtre de peu de cas avait crée comme une cassure en lui, une faille qui s’emplit d’ardeur et de noires pensées, obscurcissant peu à peu ses sens et sa raison. Maintenant, une furie passionnée, teintée de foi lugubre lui assenait ses pensées amères. Car dans la basilique de Sigmar, il parla trop ouvertement, libérant dans les ténèbres de la Foi les remords et amertumes de son cœur. Mais, croyant parler avec son Dieu, il ne vit pas la faiblesse humaine prendre le dessus, et dans les prières qu’il croyait adressées à Sigmar, il ne fit pas attention à ses appels à un Dieu, quelque qu’il puisse être. Ainsi vint que, tapit dans les ombres de la cathédrale de Middenheim, Klaus en appela aux Dieux, et qu’on lui répondit. Et lorsqu’il s’en fut de la Bâtisse religieuse, il ne vit pas les larmes de sang sur les statues des Saints de l’Empire. Maintenant possédé, Klaus suivait la voie de la damnation avec d’autant plus de ferveur qu’il pensait agir pour son Dieu Sigmar et qu’il voyait enfin l’arrêt de ses incessants tourments concernant le meurtrier de Lestroff.

Mais à la lueur des torches, les regards sévères des hommes de main des Répurgateurs suivaient la piste des chiens de guerre. Serpentant entre les masures dela plaine, dans le taudis empli de gueux et de paysans chassés de leur terre par la terreur sans nom qui s’épandait insidieusement du Nord, broyant les sujets de l’Empereur par la seule force de la rumeur stupéfiante qui annonçait sa venue, la cohorte en arme finit par arriver au bout des immondices rejetés par le campement improvisé, alors même que les chiens les menaient plus encore en avant.

Certains de la soldatesque de Klaus commençaient à montrer des signes d’inquiétude. La piste semblait mener vers le campement des Elfes, et bien que le peuple fée ait promis aide au combat, les anciennes histoires contées auprès du feu de bois dans l’enfance ressurgissaient, porteuses de mystères sur les mœurs et les pouvoirs de ces créatures déroutantes. Même les plus valeureux guerriers de Sigmar, amenés à lutter quotidiennement contre les cultes et les sorciers craignaient l’armée blanche comme elle fut appelée à son arrivée. Mais la colère sans nom qui enténébrait le visage de leur Capitaine suffit pour les forcer à pousser plus avant.

Bientôt, ils arrivèrent par le même chemin que Kérôme peu de temps auparavant. Mais là où, face à un humain seul et ne montrant pas ostensiblement de velléité agressive, les gardiens du campement n’avait fait que s’avancer, les deux elfes se retirèrent non sans un cri suraigu et plein d’effroi. Mais cela ne suffit pour ralentir la cohorte.

Arrivé devant les premières tentes, Klaus dut venir à bout de quelques récalcitrants qui, pleins de sagesse, jugeaient meilleure idée le fait de ne revenir que le lendemain, en plein jour. Mais sa folie le dépassait et il força l’entrée, pénétrant dans le campement.

Les hommes de Klaus se regroupèrent autour de lui, craignant quelque sorcellerie. Mais rien ne semblait vouloir sortir des ténèbres. Peu rassuré, Klaus mena ses hommes en suivant le chemin de torches. Les chiens se mirent à glapir comme des damnés, le cœur pris par quelque peur des temps anciens. Il fallut toute la force des ses hommes d’armes pour les tirer devant.

Ils arrivèrent devant l’esplanade des flambeaux. Mais une atmosphère pesante régnait maintenant, qui mettait en leur cœur une peur effroyable.

Ils avancèrent pourtant pénétrant dans le centre de la place. Celle-ci n’avait pas changé, hormis le fait que les boucliers et les armes avaient disparus des tentures. A peine furent ils tous dedans que le piège se referma sur eux. De tous cotés sortirent des lanciers en armes, et derrière ceux ci, des arcs furent bandés. Derrière la colonne d’hommes, une rangée de guerriers s’avançait. Leurs lourdes armures d’or scintillaient sous la lumière tandis que leurs casques masquaient tout de leurs visages. Ils tenaient en main des épées d’un bon mètre, mais plus fine que celles que forgent les Hommes ou même les Nains. La silhouette effilée des lames laissait miroiter des lueurs bleu vif. Au milieu de ces guerriers se tenait un elfe d’une grande beauté. Les soldats qui le virent purent voir le poids des âges dans ses yeux, alors que son visage semblait encore frais de la jeunesse. Il portait une armure finement ciselée, mélange harmonieux d’Or et de Mitrhil. Comme les soldats l’entourant, son épée était longue et effilée, mais d’autres sens que la vue permettaient aux humains de seulement deviner que cette lame là détenait un danger plus mortel que les autres. Si leurs yeux ne pouvaient le voir avec certitude, les soldats de Sigmar sentaient dans cette arme la puissance de la magie à un état quasiment pur.

Le tumulte au dehors attira l’attention de Kérôme et de Kaëra. Ils sortirent aussitôt.

Lorsque Klaus le vit, il dégaina en vitesse et se jeta en avant.

Korelion

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Génial ! Le récit s'embale et tout se recoupe à présent, Bravo ! Et vivement la suite :whistling:

@+

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Invité Kroakgar

Vraiment un très bon texte, hormis une ou deux fautes d'orthographe... j'aime beaucoup le côté solitaire, perdu, agressif de kerôme.. tout à fait mon genre.. En tout cas, beaucoup de talent... Continue comme ça!!!

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Commentons cette suite (enfin, ô joie, ô bonheur, ô journ de fête, ô jour de liesse, ô.. en plus c'est long, ô merceille, ô paradis, ô... ok j'arrête ma joie et commente (ô je n'y croyais plus à force d'attendre, ô :-x )

moult tentes et campement vinrent s’ajouter à ceux des villageois en exil

Je mettrais campement au pluriel pour bien montrer le nombre. En fait, les tentes forment des campements, donc cela signifie qu'il y a des tentes isolées (j'adore chercher la petite bête :whistling: )

parmi se trouvaient plusieurs compagnies

parmi eux

histoires de vol et de crime de maraude qui sévissaient

pluriel pour accentuer une fois encore (un vol un crime... pas très impressionnant :P )

Sinon, waouh, ça décoiffe: entre le chef de Kérôme qui est un elfe (ô malheur, ô honte, ô...), et cela avait été prévu avec la Tour de Hoeth (ô encore pire).

Sinon je pense que tu aurais pu nous le dire légèrement plus tard, nous l'apprendre après.

Lorsqu'il demande Kaëra, je ne sais pas comment tu pourrais changer, mais dire que les elfes eurent des doutes quand à la réalité de la demande, vu que Kaëra est quand même le maître. Et ensuite, quand il s'approche de la tente, ne pas dire: "voilà son maître", mais décrire les sentiments qu'il éprouve (peur et aussi bonheur...)

Je ne sais pas si cela puisse bien rendre, mais un poil plus de suspense ne rendra pas mal du tout.

Ensuite, pour Klaus, l'indice des larmes est très bien, et les autres petits indices aussi, comme ils restent ambigues.

Mais:

Maintenant possédé, Klaus suivait la voie de la damnation avec d’autant plus de ferveur qu’il pensait agir pour son Dieu Sigmar

Supprime, cela crée du suspense (en plus là c'est plus sûr que pour Kaëra).

L'indice des larmes de sang, on ne sait vraiment pas (ça peut être un bon présage, qui sait), et sa haine et sa ferveur aussi (comme il a toujours eu des manières légérement "brutes" :wub: ).

Vraiment si on l'apprend plus tard, ça n'en sera que mieux (car là on devine que Kêrome agit en fait contre le Chaos, et que Klaus a été possédé par le Chaos (vraisemblablement Khorne) pour tuer Kêrome et Kaëra qui représentent une menace pour le Chaos.

C'est dommage, car si je n'avais pas eu l'indice qu'il était persuadé, je n'aurais deviné rien de tout ça.

Bien entendu, le révéler tout de suite permet d'autre chose: le lecteur sait qu'il est possédé mais se demande quand cela se manifestera et comment, et voit petit à petit la lente corruption de l'âme dans les gestes. Mais je pense que tu pourrais presque faire les deux: il y a cette lente corruption, et l'on se demande comment, et puis paf, d'un coup, on apprend par surprise, et hop, on est tout émotionné de cette chute à laquelle on ne s'attendait pas (et encore hop, vite fait Karl comprend que c'est à l'église qu'il a été possédé, et hop...)

Iliaron, oufff, j'étais dans un état euphorique pour le commentaire, excusez le début et la fin :D

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Invité Kroakgar

Et bien en fait, j'ai posté alors que je n'avais pas fini de lire ton texte.. Hont sur moi :whistling:

Vraiment, j'adore :P:D J'aime beaucoup le tournant que prends ton intrigue. L'on croit que kerôme va mourrir, mais il finit par s'échapper, et qui plus est, à récuperer son épée. De plus, la folie dans laquelle bascule Klaus est vraiment bien amenée.. encore une fois, un grand bravo !!

:-x

Une seule chose que j'ai à te reprocher.. Pourquoi est ce que tu coupes ton texte à un moment si prenant???? :wub: Grrr, c'est vraiment horrible de rester dans l'ignorance....

Allez, j'attends la suite, qui promets d'etre tout aussi bonne que se predecesseurs.

Kroakgar

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Super, une suite! Et avec un petit récapitulatif au début, en plus!

Passage long et tellement intéressant, dans le sens où il révèle beaucoup de choses sans qu'on en sache vraiment plus.

Tout comme Iliaron, je pense que tu aurais dû préserver un peu plus de suspens, au moins en ce qui concerne Klaus (un Répurgateur corrompu... et dans un temple de Sigmar, en plus... tu ne réspectes donc rien?? :wub: )

Ah! une toute petite remarque de forme, tout de même.

Ceux-ci étaient d’environ un bon mètre trente, faites d’une matière inconnue. La lueur qui émanait de leur sommet éloignait les ténèbres sur bien vingt mètres, alors même qu’il ne s’agissait, à l’œil tout au moins, que de simples flambeaux de bois sombres comme on en trouve dans les forêts bordants l’Empire

Le registre de langue chute. Je trouve ça un peu dommage : il s'agit d'un campement elfique tout de même : image de noblesse, de finesse, d'art... cela doit se traduire aussi dans ton écriture (tu imagine une fine liqueur elfique dans une grossière choppe à bière naine? :whistling: ) évite donc ces bon : "un bon mètre trente [...] sur bien vingt mètres" qui font grossier, pas net...

Je laisse une éventuelle modification à ta discrétion ("Je ne peux que te montrer la porte. C'est à toi qu'il appartient de la franchir")

Sinon, j'espère que ce pauvre Klaus a une solide armure ou qu'il est extrêmement rapide... parce que sinon, il ne va pas rester grand chose de lui quand il atteindra Kérôme (si même il l'atteint) avec tous ces archers elfes...

A+

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vu que Kaëra est quand même le maître.

Attention, comme je l'ai reprécisé en résumé, Kaëra n'est maître que de ses Hommes (enfin, ses elfes) et de ses petits assassins :-x

Le chef de l'Ost, c'est Anaëlion, qui de surcroit, semble ne pas trop supporter Kaëra....

Le registre de langue chute. Je trouve ça un peu dommage : il s'agit d'un campement elfique tout de même

En fait, je l'aurais bien fait, mais ici, il FAUT que la p'tite place soit très bien décrite afin que tous sachent exactement comment elle est... Qui a dit qu'il allait s'y passer quelquechose :whistling:

Supprime, cela crée du suspense (en plus là c'est plus sûr que pour Kaëra).

trop tard, tout le monde l'a lu :P

Mais ça peut être intéressant que le lecteur voit la réalité des gestes de Klaus alors que les autres ne s'en doutent pas (en tout cas, pas encore :P )

Une seule chose que j'ai à te reprocher.. Pourquoi est ce que tu coupes ton texte à un moment si prenant???? mad.gif Grrr, c'est vraiment horrible de rester dans l'ignorance....

Je suis sadique :D .... Et puis comme ça, le suspense monte.

En plus, quand vous regardez une série ou un film à la téloche, vous trouvez pas qu'ils ont le don pour placer la pub au "Bon" Moment....Ben pareil :D

un Répurgateur corrompu... et dans un temple de Sigmar, en plus... tu ne réspectes donc rien?? laugh.gif

Marrant, venant d'un gars qui donne la mémoire des Von Carstein à des descendants de Dragon de Sang :D (Comment ça facile? :wub: )

Vraiment si on l'apprend plus tard, ça n'en sera que mieux (car là on devine que Kêrome agit en fait contre le Chaos, et que Klaus a été possédé par le Chaos (vraisemblablement Khorne) pour tuer Kêrome et Kaëra qui représentent une menace pour le Chaos.

Tu sais quoi? Rien que pour ça (et pour toi) je vais faire encore plus tordu qu'auparavant.... :P

Quand à la suite, elle viendra mais attendez un peu, j'ai d'autres choses en tête (La suite de Tir Amroth, le rapport de Stage (De Profundis Malbarrus comme disait l'autre :lol: ), poutrer des vampires et des Skavens (spéciale dédicace :wink: ), ou encore décuver de ma vodka et de mon rhum (Re spéciale Dédi-Kacé :D )

Korelion, merci pour vos réponses rapides et fort complètes au fait :)

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Bon, je m'entête, mais en ce qui concerne cette histoire de description, utiliser un registre plus soutenu ne t'empêche pas de faire une description complète et précise (au contraire...)

Et en ce qui concerne cette histoire d'héritage mémoriel, il me semble m'être expliqué on ne peut plus clairement.

Une suite :whistling:

A+

P.S.: Attends voir, je suis en train de te concocter des règles "Sylvanie"... j'en connais un qui va couiner...

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aaah, miracle :)

enfin, le petit resumé, ca fait beaucoup de bien, ca aide beaucoup a suivre, sinon, le sel que j'aurais reconnu ce serait kerome...

beeen, excellent texte :wink:

chuis tellement doué pour le constructif moi :D

allez, @+

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  • 4 semaines après...

Très bien !!

Bon, les petits trucs a eviter :

qu’il croyait adressées à Sigmar

Tu vas pas me dire quelle était dure celle la :D Hein ? Bon une petite relecture plus rigoureuse peut etre alors :lol:

Sinon, tu replaces un nouveau cadre et on ne pouvait s'attendre qu'à cette altercation ! C'est vraiment bien mené et on palpite rien qu'en attendant l'affrontement. Franchement bravo, j'aime beaucoup !!

@+

-= Inxi =-

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  • 5 semaines après...

Il y a très longtemps

Dans une lointaine Galaxie....

Bon, me voici de retour, pour vous jouer un mauvais tour (ouh j'ai honte là :lol: )

Pour le résumé, je vous renvoie quelques posts plus haut et je vais vite plonger dans le vif du sujet

Seul dans sa maison, Kulgar ressassait les derniers évènements, cherchant le moyen de se tirer victorieux de cette épineuse situation. Le plaisir éprouvé à la terreur inondant le visage de son mystérieux agresseur faisait place à la colère de l’inconnu. Peu importait l’identité de cet intrus, il était nuisible. Nuisible et dangereux. Dans la fange de son cerveau enfiévré, une idée se faisait de plus en plus importante, s’imposant sur les autres. Igor pouvait encore lui servir, et mieux, pouvait sûrement en venir à bout. Le seul obstacle s’opposant à cette idée géniale restait de contrôler son ancien serviteur. Le mouvement incessant dans son bureau finit par se figer devant la fenêtre. Kulgar, stoppé dans ses pensées, lança par la vitre un regard scrutateur et inquisiteur. Au loin, hors de portée des peurs et inquiétudes des habitants de la Cité du Loup, le soleil pointait timidement par-dessus les montagnes, apportant lumière et sécurité au dessus de l’épais tapis de forêt qui entourait l’imprenable forteresse. La brume s’estompait lentement dans l’aurore naissante, remplaçant les ténèbres nocturnes et les cris sauvages par la quiétude matinale et le chant des oiseaux. Mais ce spectacle laissait insensible le notable de Middenheim. Non, la seule chose qui attirait son attention était le petit attroupement de carrosse à son entrée. Engoncé dans de lourds manteaux de cuir sombre, une petite dizaine d’homme patientait, l’air morose et sombre. Parmi eux, Kulgar pût reconnaître Hugo Belinfant et Vincente Simalone. Derrière eux restait quelques hommes d’une opulence rare en la cité et masquée par leurs caches poussières. Mais les autres, au vu des mines renfrognées et balafrées, ne devaient être qu’une bande de vulgaires spadassins. Un sourire forcé s’imprima sur les lèvres de Kulgar tandis qu’il s’éloignait de sa fenêtre. Soit, si les membres de la Confrérie s’opposaient à lui, il leur en coûtera. Saisissant la longue rapière suspendue au dessus de sa cheminée, il descendit prestement les marches d’escalier non sans adresser une noire prière au Sombre Prince, tout en embrassant sa chevalière. La pierre enchâssée réagit à son contact par un étrange scintillement violet, qui éclaira de sa blafarde lueur les rochers nus qui serpentait jusqu’au rez-de-chaussée. L’épaisse porte de chêne lui faisait face. Il n’était pas sans ignorer que derrière, dans un silence macabre, la petite troupe en arme devait s’entasser, prenant son souffle avant l’assaut. Il pouvait presque sentir, malgré la taille de la porte, le musc de la peur et du doute qui traversait l’esprit des hommes derrière la cloison.

Un cliquetis métallique le fit réagir en même temps qu’un grand respect. La clé. On lui avait subtilisé sa clé. Soit, les rusés mercenaires qui s’entassaient n’en mériteront la mort que davantage. Il serra un peu plus le manche glacé de son arme. Devant lui, un son s’épandit et tomba, comme une chape sur Kulgar. La porte venait d’être déverrouillée.

Sans même réfléchir, il se lança, catapultant son pied sur l’épais mur de chêne mobile. Un bruit d’os broyé lui indiqua que la lourde porte était partie voler sur la tête d’un homme. Devant lui, à la pâle lueur du jour naissant, des ombres se mouvaient devant les ténèbres de colère qui l’envahissaient. Instinctivement, il envoya son arme sur la première qui passa à sa portée, lui arrachant un rugissement de jouissance en même temps qu’un cri de douleur de sa victime. Puis, débloquant sa lame de l’œil, il frappa de taille et d’estoc, pourfendant les chairs et faisant voler le sang. Devant ses yeux, une brume rouge sang délicieusement parfumée faisait monter son adrénaline, le laissant s’envoler sur un courant d’extase interdite. D’un geste, il tranchait un bras qui s’en alla pendre mollement le long du corps qui le soutenait sous des cris étouffés, juste avant que le métal élancé ne transperce le cœur du spadassin blessé. Le choc sourd avec le sol parvint aux oreilles de Kulgar malgré le vacarme ambiant, bruit de basse violent et pourtant calme qui imprima sur son visage un sourire sadique. La furie qui le portait emmenait son arme, la guidait vers les tendres chairs et vers les visages colériques devant lui. Tandis même qu’il abattait encore un adversaire, une dague acérée pénétra son corps, déchirant les tendons et les fibres pour butter lourdement sur une côte. La souffrance extatique monta jusqu’au cerveau, drainant dans sa folle ascension un plaisir sournois et illégal qu’il n’avait encore jamais connu. De son tourbillon de ravissement, il dégagea la ridicule pointe d’acier pour la renvoyer se ficher dans la jugulaire de son bourreau, dont les gerbes de sang ininterrompu éclaboussèrent sur sa blanche chemise de soie. Le dernier homme en arme à lui faire face chercha une issue pour échapper à la folie meurtrière de Kulgar, mais guidé par une rage divine, celui-ci se jeta sur le fuyard et le mit en charpie avant même qu’il n’ait pu réagir.

La respiration haletante et stressée, Kulgar chercha à faire le calme dans sa tête, luttant contre le plaisir enivrant qui l’avait envahi. Encore haletant, il tourna son regard vers la fronde qui venait d’échouer dans la mise à mort de leur chef. Titubant sous l’extase qui ceignait encore chacun de ses muscles, chacun de ses nerfs, il s’approcha, rapière bien en main des comploteurs.

« Mes chers et …, marquant un silence plus pesant que les ténèbres qui se dissipaient, bien-aimés frères. »

Devant lui, Hugo et Vincente suaient à grosses gouttes, ainsi que leurs trois compagnons.

Souriant, Kulgar van Henig s’avança vers le Tiléen et le Bretonnien.

« Ne vous ais-je pas montrer tout mon amour ? »

Le son de sa voix était doux et délicat, enivrant et hypnotisant. A leurs oreilles, le rythme acidulé des mots et des phrases endormait leur méfiance et berçait leurs esprits.

« Allons mes amis »

La voix susurrante de Kulgar s’insinuait dans les moindres méandres des esprits tortueux d’Hugo et de Vincente. Abaissant les remparts de méfiance, et chassant les doutes, ils leur semblaient qu’elle faisait germer en eux des idées neuves et belles.

« Revenez à moi et laissez vos…amis retourner à l’ombre »

La dernière phrase de Kulgar arracha un gémissement de peur des lèvres des quelques notables tapis derrière les deux Confrères, tandis que ceux-ci se retournaient, un air férocement enjoué cloué sur le visage.

Korelion, sadique qui poste moins de deux pages

^_^

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Bon, me voici de retour, pour vous jouer un mauvais tour

Pour un mauvais tour, c'est un mauvais tour :whistling: Ne pas savoir ce qui s'est passé lorsque Klaus vit Kérome me laisse sur ma faim !

Le passage est très court mais très bien écrit. Kulgar se transforme un peu en grosbill mais la facon dont est écrit le texte compense largement ceci, bravo.

@+

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  • 2 semaines après...

Han ! On veut les deux pages !!!

Bon tant pis, de toute on doit faire avec, je vois pas comment on pourrait faire differement de toute facon !

Bon pas de fautes ! Tant mieux quelque part vu la longueur du texte ! C'est la moindre des choses :clap:

Sinon le fond est pas mal et bien que le combat soitun peu fouilli, il en reste pas mal ! Sinon, c'est vraiment un petite scene mais ca fait pas beaucoup avancer l'histoire :lol:

Allez, suite

@+

-= Inxi, stop lecture pour aujourd'hui =-

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  • 2 semaines après...
leurs caches poussières

Gné :wink:

les rochers nus qui serpentait

serpentaient

Sinon, c'est vraiment joliment décrit et intéressant.

Le gros problème en fait, c'est que ça fait tellement longtemps que, pour ainsi dire, j'ai déjà oublié le reste. Je veux une suite, mais pas dans quatre mois 8-s . Sinon :( et 8-s (ouh la, si je ne sais plus parler sans smileys, je vais mal ^_^ )

J'attends donc la suite avec impatience, pour pouvoir enfin me replonger dans cet univers.

Iliaron, qui rattrape un peu plus son retard (c'est dur et long :wink: )

EDIT: je viens de remarquer que je suis pile à 1000 messages :) ...

Argh, flooderais-je??? Faut que je me calme :P ...

Modifié par Iliaron
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Le gros problème en fait, c'est que ça fait tellement longtemps que, pour ainsi dire, j'ai déjà oublié le reste. Je veux une suite, mais pas dans quatre mois happy.gif . Sinon mad.gif et sad.gif (ouh la, si je ne sais plus parler sans smileys, je vais mal innocent.gif )

désolé, mais boulot + démenagement pour études = suite qui va attendre... Mais promis, d'ici la fin de l'année, je vous donne la suite :P

QUOTE

leurs caches poussières

Gné huh.gif

Faut revoir ses classiques, là, un petit "Il était une fois dans l'Ouest" et tout s'éclaircira...

Bon, sinon, un cache poussière est un grand manteau de cuir avec un col qui se remonte jusqu'au niveau de la bouche, afin de ......protéger de la poussière bien vu! ^_^

Korelion Merci à tous!

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leurs caches poussières

Gné huh.gif

Faut revoir ses classiques, là, un petit "Il était une fois dans l'Ouest" et tout s'éclaircira...

Ce sont alors des cache-poussière, le nom est composé et invariable. ^_^

Sinon, c'est toujours aussi sympathique à lire, bien que le temps qui passe n'arrange pas franchement la compréhension de tes intrigues tortueuses (comme si je pouvais parler, moi!)

Attention cependant aux petites erreurs de forme qui font désordre comme :

Engoncé dans de lourds manteaux de cuir sombre, une petite dizaine d’homme patientait

Engoncée ou Engoncés (qui me semble plus correct) et dizaine d'hommes

Je te laisse trouver les autres (flemme, quand tu nous tiens)

A+

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  • 3 mois après...

C’est sous la torture d’un modérateur dictateur et d’un Lapin écrivain que je couche ces lignes (les lignes bien sur, pas les deux susnommés)…

Bon, blague à part, voici la tant (trop ?) attendue suite de Tan Ath…

Résumé

Les personnages :

Kérôme :Ex ingénieur et nouvel assassin, il a assassiné Lestroff, artiste à Middenheim. Il poursuit un but encore secret. Il a été capturé par les répurgateurs, s'en est enfui, est retourné dans le couvent Sigmarite ou il fut enfermé pour récupérer son épée, après avoir affronté et découvert la nouvelle nature de Kulgar von Henig. Il est aidé par son "Maître", Kaëra, qu'il vient de rencontrer dans le camp elfique situé dans les plaines ceignant Middenheim.

Kulgar von Henig : Noble Impérial, membre de la Confrérie de l'Harmonie (Mécènes de Lestroff), il découvrit la véritable identité de cette "association" qui n'est autre qu'un culte chaotique. Après que Igor, son ex-serviteur ait réglé son compte à Merwinn (ancien chef de la confrérie), il cherche à prendre le pouvoir de cette confrérie. Mais il doit aussi lutter contre Kérôme et prendre garde aux répurgateurs et même contre certains membres de sa confrérie. Fort heureusement pour lui, ceux qui cherchaient à le trahir sont revenus sous ses ordres (voir passage ci-dessus).

Igor : Serviteur du précédent, il s'échappa par peur de dénonciation. Il a passé un pacte obscur et semble au courant de bien des choses. La nature de ce pacte est encore inconnue, mais cela suffit pour le pousser à tuer Merwinn, et à souhaiter tuer Kérôme et Kulgar.

Klaus Svarniggson : Capitaine Répurgateur de Sigmar : Il est sur la piste de Kérôme mais n'arrive pas encore à l'attraper définitivement. Blessé profondément dans on orgueil par son incapacité à résoudre le crime de Lestroff (le tout premier meurtre pour ceux qui débarquent) et par les blessés dus l’attaque ratée contre Kérôme dans les égouts. Il semble avoir ait appel à de tout autre protecteur que Sigmar ces derniers temps…

Kurt Helborg : Lieutenant du précédent. Il a été blessé légèrement par Kérôme et s'en remet. Il ne comprend pas la dévotion religieuse de son chef alors qu'il vaudrait mieux agir par la force selon lui, et ne pas perdre son temps en prières dans les cathédrales.

Capitaine Rhenard : Capitaine des Chevaliers panthères, ancien ami de Klaus, il a vu ses hommes tués par Kérôme et lui en veut à mort. Cela a entaché les relations entre les deux capitaines. Il considère maintenant son ami comme personnellement responsable de la mort de ses hommes…

Kaëra : Seigneur Elfe, commandant une ost venant d'un bourg d'Yvresse, il fut autrefois le Seigneur de Tir Amroth (Tir Amroth) Il fait partie de l'Ost d'Anaëlion, envoyé en Empire pour aider à lutter contre la Tempête du Nord. Il est en mission dont seul lui et la Tour de Hoët sont au courant des détails. Il vient de recevoir Kérôme dans sa tente personnelle au milieu du campement…

Anaëlion : Commandeur de l'Ost Elfe en empire, il dirige les troupes de Lorthar dont il portait la bannière déjà du temps d'Anëarion le Défenseur (Voir fluff elfe V5 pour Anëarion le défenseur). Il ne porte pas Kaëra dans son coeur, loin s'en faut, du fait des ténèbres de mystères qui entourent le commandeur.

L’action

Klaus, son adjoint Kurt et quelques hommes de main et des chiens sont descendus à travers Middenheim et sa plaine pour pénétrer, de force, dans le campement des Ost elfiques. Campement dans lequel Kérôme et Kaëra se sont rejoint pour une réunion tenue secrète même aux yeux du commandeur Anaëlion.

Kulgar réussit à se débarrasser de la tentative de meurtre orchestrée par deux des membres de la Confrérie de l’Harmonie et quelques notables. Utilisant pour cela des capacités martiales jusque là absente de sa petite personne de notable…

Igor quant à lui s’est fait extrêmement discret depuis le meurtre de Merwinn, l’ancien chef de la Confrérie de l’Harmonie, remplacé par Kulgar…

Mû par une rage irrépressible, Klaus se jeta en avant, l’épée au clair. Les mètres le séparant de Kérôme diminuaient au fur et à mesure que la fureur s’écoulait et épanchait son corps et son âme. Toute sa haine et son ressentiment s’apprêtaient à sortir de son cœur lorsque sa lame trancherait le cou de l’infâme criminel qui lui faisait face. Noyé dans sa rage, il ne fit pas attention à la curieuse expression de stupeur mêlée de sérénité qui s’affichait sur le visage de Kérôme. Peu lui importait que cet immonde bâtard adule Sigmar savait quelle divinité tortueuse et diabolique, toute son âme réclamait que coule le sang de ce meurtrier, et de toute évidence, son rôle, sa fonction, sa divine mission n’était elle pas de passer par le fil de l’épée les impurs et les hérétiques ?

L’assassin qui lui faisait échec dans cette sordide affaire n’était plus qu’à deux mètres de lui, et alors seulement, comme s’il venait de percuter un mur invisible, son esprit réalisa ce que sa vue observait depuis un certain temps. Il n’y avait plus de stupeur sur le visage de Kérôme, mais seulement une sérénité amusée. Malgré l’incompréhension qui le saisissait, il ne put s’empêcher de porter son coup.

Son bras amorça un mouvement large et circulaire en direction du cou. Mais une douleur aussi soudaine que brusque le mordit au niveau de la main. Instinctivement, malgré les ordres hurlés par sa conscience, les muscles de ses doigts se relâchèrent, libérant de leur emprise la froide poignée de métal. L’épée vint se ficher droite dans le sol meuble tandis que sa main se reportait vers sa poitrine. Baissant le regard, il vit un empennage blanc enfiché profondément au niveau du poignet, qui lui lançait de violentes piques de douleur. Serrant les dents, le vieux capitaine répurgateur parvint à surmonter sa souffrance et son regard croisa celui de l’elfe au côté de l’assassin.

Celui-ci s’avança vers lui, empli de majesté et d’un courroux contenu. Sa lame fut dégainé en peu de temps et l’acier bleuté vint rapidement mordre la chair de Klaus, sans pour autant la trancher.

« Qui es-tu, Humain ? » La voix pure et profonde s’était élevée dans l’air d’un ton calme et froid, contenant une menace cachée et invisible.

La douleur paralysait le Répurgateur et seul un horrible raclement s’échappa de sa gorge.

L’elfe se tourna alors vers la soldatesque de Klaus.

« Qui êtes-vous ? »

Kurt n’eut pas même le temps de réaliser. Son capitaine s’était élancé, seul, épée au clair dans un champ cerné par des archers dont les contes et légendes leur prêtaient une habilité au tir incroyable. Et inévitablement, une flèche lui transperça la main, le coupant dans son geste. Un elfe qui se trouvait proche de l’assassin de Lestroff et des hommes du Capitaine Rhenard s’adressait à eux et Kurt fut surpris de la beauté apparente de la voix, en même temps que la menace feutrée qui se cachait derrière les accents mélodieux. Malgré lui, comme poussé par une volonté supérieure, il s’avança dans l’espace dégagé et éclairé.

« Je suis Kurt Helborg, lieutenant des Templiers de Sigmar, et cet homme que vous menacez de votre lame est le Capitaine des Templiers, Klaus Svarniggson. Quand à l’homme qui se trouve derrière vous, il s’agit d’un redoutable assassin et d’un dangereux criminel coupable d’hérésie et de commerce avec les forces du Chaos. Et nous exigeons que vous le remettiez à la Justice impériale » ajouta-t-il d’un ton des plus hésitants tandis que Klaus continuait de serrer contre lui sa main blessée en gémissant.

-La Justice impériale ? répondit l’autre, qu’est ce donc que vous appelez justice ? Cette parodie burlesque au cours de laquelle des pantins dispensent mort et torture sous prétexte de la divinité de votre Saint Empereur ? »

Le sang de Kurt ne fit qu’un tour et il se retrouva bientôt à hausser le ton face à cet individu majestueux qui l’impressionnait l’instant d’avant.

« Je ne vous permets pas, hurla-t-il, Qui êtes vous pour blasphémer et nous traiter comme de vulgaires animaux ? Au cas où vous n’auriez pas saisi, mon rang et mon grade me donnent droit de vie ou de mort sur quiconque se met en travers de la route des Soldats de Sigmar.

-Et mon rang à moi, humain, me met à un niveau presque égal à votre pathétique empereur, et ma mission et mon ordre me donne le droit unanime, tant celui des elfes que des hommes d’éliminer quiconque ce met en travers de mon chemin.

-Il suffit Kaëra », tonna une voix derrière Kurt, qui se retourna immédiatement.

L’elfe majestueux qui était apparu derrière eux s’avança alors, protégé par cinq de ses guerriers, des elfes dont les visages durs et tendus ne promettaient que la mort aux soldats entourant Kurt. La petite escorte s’arrêta au niveau de lui et celui qui avait parlé et semblait mener les elfes posa son regard sur lui, un regard profond et dérangeant. Comme la pluie d’un crachin de printemps qui pénètre au plus profond du corps, Kurt sentit les yeux de l’elfe plonger en lui et pénétrer son âme aussi sûrement qu’une épée aurait pu le transpercer de part en part. Une peur sauvage le saisit, mais il ne pouvait détourner le regard, son honneur ou son âme, tout s’y opposait. L’elfe resta ainsi une bonne dizaine de secondes, puis il détourna le regard vers le reste des hommes l’entourant, mais Kurt remarqua l’espace d’un instant, une imperceptible variation dans le visage de l’elfe au moment où il détacha son regard de lui. Presque un sourire.

« Je suis le Prince Anaëlion de Lorthar, commandeur en chef de l’Ost d’Ulthuan. Conformément aux accords passés entre nos peuples, notre campement se trouve placé sous nos lois et notre justice. Hors, vous avez pénétré ici en dépit de la loi et forcé le passage en armes. Selon nos lois, et mon désir, nous pouvons, vous tous ici présent, vous passer par le fil de l’épée. Qu’avez-vous à répondre pour votre défense, humain ? »

La peur qui l’avait saisi commençait à s’évacuer, curieusement, Kurt se sentait en confiance face à cet elfe. Non pas qu’il doutait de la véracité de ses propos quant au fait de les tuer si besoin était, mais il se sentait étrangement confiant.

« Nous sommes venus ici, dans un seul et unique but, celui d’apporter la justice de Sigmar par la mort de cet homme, coupable de la mort de trois personnes à ce jour et de pacte avec les démons. »

Anaëlion se retourna en direction de l’assassin et le jaugea du regard.

« Hum, Kaëra, venez avec votre invité, vous aussi lieutenant Kurt, suivez moi. Emmenez le vieil homme blessé auprès de nos mages, quant à vous, gardez un œil sur ces hommes », fit-il à l’attention de son escorte.

Kurt suivit docilement le prince elfe, Analion, non, Anélion… Le nom lui parut particulièrement dur à prononcer, alors que l’entendre dire par l’elfe l’avait littéralement transporté par la poésie des accents mélodieux. L’assassin démoniaque se laissa lui aussi guider par le Prince, marchant aux côtés de celui qui répondait au nom de Kaëra et qui avait porté l’épée sur son capitaine.

Ils ne tardèrent pas à arriver devant une tente, qui aux yeux de Kurt, paraissait plus riche que le plus opulent des palais qui lui fut donné de voir et de pénétrer. Même le palais de l’Empereur à Altdorf lui semblait particulièrement fade devant la richesse des motifs ornant le pavillon du prince. Un chapiteau de plus de trois mètres s’élevait élégamment, ceint de tentures bleues profondes et enluminés de détails avec lesquels les plus raffinées statues de Marienburg ne pouvaient rivaliser.

Il fut arraché à sa contemplation par l’appel pressant de l’humain, qui ne s’était visiblement pas arrêté pour observer, apparemment habitué à une telle débauche de beauté et de raffinement. Kurt pénétra au cœur du pavillon princier et ne put retenir un cri de stupéfaction. La beauté qui régnait en ce lieu paraissait irréelle. Les tables de bois exotique étaient fleuries de plat d’un argent si pur qu’il ressemblait à des morceaux de Lune solide et des carafes de vin d’un cristal si transparent qu’il lui sembla un moment que le vin tenait tout seul par magie jonchaient ça et là des présentoirs ornés de pierres précieuses. Il dut pourtant de nouveau cesser de contempler toutes ces merveilles devant l’invitation gestuelle du Prince à s’asseoir à l’une des chaises qui trônaient autour de la plus grande des tables.

Les autres convives s’assirent eux aussi, l’humain à côté de Kaëra. Le prince quant à lui, prit le temps de se servir du vin d’une des flasques dans un verre de cristal rouge, tel que Kurt n’en avait encore jamais vu, avant de s’asseoir face à eux.

« Bien. Ainsi Lieutenant Kurt, vous prétendez que l’humain ici présent est un meurtrier ?

-Oui votre majesté. Je l’ai vu de mes yeux tuer deux soldats aguerris des Chevaliers Panthères, et il m’a moi-même blessé grièvement d’une fort belle estafilade. Qui plus est, nous avons de solides preuves pour penser qu’il est le principal responsable d’un crime odieux à caractère démoniaque que notre justice ne peut permettre.

-Hum, fit le Prince, Kaëra, auriez-vous l’obligeance de me présenter votre invité. »

L’elfe prénommé Kaëra manifestait clairement une certaine appréhension et un refus de se laisser mener évident. Il semblait incroyable qu’un être si noble et beau qu’un elfe puisse ainsi se compromettre avec un adorateur chaotique. Mas après tout, comme le disais Klaus, le Chaos et le Mal ne sont ils pas responsables de la tentation ? Et n’hésitent-ils pas à revêtir de beaux atours pour séduire les faibles qui les vénéraient ?

« Monseigneur, murmura Kaëra, et d’emblée, Kurt fut atterré par la colère à peine voilée qui transpirait derrière son ton, ne vous ai-je pas rappelé récemment que ma mission n’importait que moi et moi seul ?

-Certes répondit Anaëlion, et là aussi, le ton était devenu plus feutré, comme une menace sourde qui ne saurait tarder à se révéler.

-Et n’avez-vous pas pour ordre de me laisser agir à ma guise pour le bien de ma mission ? »

Le visage du Prince se contracta violemment à ces mots et le regard qu’il lança à l’égard de Kaëra aurait suffi à faire trembler de peur même le plus endurci vétéran de la Reiksguard songea Kurt. Et très nettement, il se rendit compte que Kaëra échappait à la justice de son chef, et par conséquent, et un sentiment de peut teinté de colère s’empara de lui à cette pensée, l’assassin chaotique aussi risquait d’échapper à son juste châtiment.

« Oui, Kaëra, je ne le sais que trop bien…

-Alors permettez que je ne souhaite pas révéler le nom de mon ami.

-Votre ami, rugit le prince, votre Ami ? Mais qui êtes vous pour faire tomber si bas le déshonneur qui vous entoure, pour vous associer avec un vulgaire humain adorateur des Puissances de l’Entropie ? Les nôtres n’ont-ils pas payés suffisamment cher le prix du risque d’une alliance avec le Nord ? N’avez-vous pas vous-même payés suffisamment cher… »

Une dague surgie de nulle part vint se plaquer contre la gorge d’Anaëlion sans même que Kurt n’ai comprit ce qui se passait. Il eut devant lui une vision qui ne pouvait mieux contraster avec la félicité qu’il avait ressentie en pénétrant dans la tente si belle, tellement décorée. Devant lui, Kaëra s’était jeté sur son prince, le visage déformé par un rictus sauvage et une folie dans les yeux. Sans savoir pourquoi ni ce qui l’y poussait, Kurt dégaina son épée et la pointa en direction de Kaëra dans le but de lui faire relâcher son étreinte sur Anaëlion.

Mais il fut interrompu avant même d’avoir pu commencer son geste, un pistolet à répétition pointé sur sa tempe.

L’assassin l’avait devancé et s’était interposé pour protéger son maître. Kurt regarda, dégoûté, ce gibier de potence qui ne cessait de leur échapper. L’homme, plus jeune que lui, maintint son regard et ne flanchait pas. Il était curieux de ne pas voir, dans ce visage ou dans ces yeux, la flamme de folie qui caractérisait les multiples hérétiques que Kurt avait déjà eu le loisir de rencontrer.

« Maître, dit-Kérôme d’une voix maîtrisée et froide, peut être feriez-vous mieux de relâcher votre Prince. »

Un silence profond et particulièrement nerveux s’installa, bientôt rompu par Kaëra

« -Oui Kérôme, tu as raison »

Aussi soudainement qu’elle était arrivée, la tension ambiante s’était dissipée, laissait un Anaëlion, furibond, mais maître de lui et ne laissant rien paraître de sa colère, face à Kaëra, toujours sur la défensive, côtoyant un Kérôme (puisque tel semblait être son nom, pensa Kurt) totalement impassible.

Et au milieu de ces personnages qui le mettaient profondément mal à l’aise, Kurt était resté débout, épée au clair, abasourdi par la vitesse à laquelle les choses s’étaient déroulées.

Le silence fut de nouveau rompu, par Anaëlion cette fois.

« Ainsi donc, notre invité mystère s’appelle Kérôme »

La crispation du visage de Kaëra n’échappa pas à personne, pas même à Kurt.

Modifié par korelion
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Il a été capturé par les répurrgateurs

Une petite faute.

Bon en ce qui concerne le début de ton récit (jusqu'au début de la discussion avec l'elfe) C'est excellent ! J'ai vraiment rien à dire ! Ce que je ressens en lisant cette partie me rappelle le texte d'Aktair ! En fait, c'est un moment où ton héros se trouve face à d'autres personnages recontrés auparvant et developpés ! La, je me suis dit qu'une seule chose : Pourvu qu'il lui défonce la tronche ! :clap: Mais justement le fait qu'il ne le fait pas et cette tension est géniale ! Ma seule remarque consisterait dans le fait que pour que sa soit mieux, les soldats essayeraient de rejoindre leur chef. Ils pouraient avoir donc cette tension avec deux camps qui se font face ! En tout cas, essayes de garder cet etat d'esprit le plus longtemps possible :rolleyes:

« Je suis le Prince Anaëlion de Lorthar, commandeur en chef de l’Ost d’Ulthuan. Conformément aux accords passés entre nos peuples, notre campement se trouve placé sous nos lois et notre justice. Hors, vous avez pénétré ici en dépit de la loi et forcé le passage en armes. Selon nos lois, et mon désir, nous pouvons vous tous ici présent par le fil de l’épée. Qu’avez-vous à répondre pour votre défense, humain ? »

Genre ici, il faudrait le faire orgeuilleux, c'est ce que j'adore ! Du genre : 'Vous nous passez par le fil de l'épée, vous en subirez les conséquences ! La guerre !' Un truc comme ca :clap:

princier et ne put retenir un ri de stupéfaction

Une faute

peine voilée qu transpirait derrière son ton

Encore :clap:

Sans savoir pourquoi ni ce qui l’y poussait, il dégaina son épée et la pointa en direction de l’elfe dans le but de lui faire relâcher son étreinte.

De qui tu parles là ? Apres le rictus, je pige plus qui fait quoi :clap:

Mais il fut interrompu avant même d’avoir pu commencer son geste, un pistolet à répétition pointé sur sa tempe.

Idem

côtoyant un Kérôme (puisque tel semblait être son nom, pensa Kurt) totalement impassible.

Les ( ) peuvent être remplacées par des virgules !

Korelion, dites je suis pardonné de ne pas avoir écrit depuis 6 mois hein dites?

Ca dépendra du temps à faire une suite et sa longueur !

@+

-= Inxi =-

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Salut,

C’est sous la torture d’un modérateur dictateur et d’un Lapin écrivain

Pourrais-tu préciser stp?

hé bien... on n'y croyait plus (moi en tout cas :clap: ). C'est à croire que tu avais des choses beaucoup plus importantes que continuer ton récit :rolleyes:

Bon, pour en revenir au récit en question, il est sympa d'avoir fait un petit résumé au début... ça aide. Au niveau de la longueur, pas de problèmes.

Quelques problèmes de forme :

Les mètres le séparant de Kérôme diminuait au fur et à mesure

"La distance le séparant..." ou "les mètres [...] diminuaient"

Tout sa haine et son ressentiment s’apprêtaient à sortir de son cœur

Toute

Peu lui importait que cet immonde bâtard adule Sigmar savait quelle divinité tortueuse et diabolique, toute son âme réclamaient que coule le sang de ce meurtrier

toute son âme réclamait

L’assassin qui lui faisait échec dans cette sordide affaire n’était plus qu’à deux mètre de lui

deux mètres

Mais une douleur aussi soudaine que brusque le mordit au niveau de sa main

au niveau de la main, plutôt

Sa lame dut dégainé en peu de temps et l’acier bleuté vint rapidement mordre la chair de Klaus

Sa lame fut dégainée, je suppose

La voix pure et profonde s’était élevé dans l’air d’un ton calme et froid, contenant une menace caché et invisible

s'était élevée... menace cachée

dans un champ cerné par des archers dont les contes et légendes leur prêtait une habilité au tir incroyable

leur prétaient

ajouta-t-il d’un ton des plus hésitants tandis que Klaus continuait de serre contre lui sa main blessée en gémissant.

continuait de serrer

Je en vous permets pas, hurla-t-il

Je ne vous permet pas

Au cas où vous n’auriez pas saisi, mon rang et mon grade me donne droit de vie ou de mort sur quiconque se met en travers de la route des Soldats de Sigmar

me donnent

et ma mission et mon ordre me donne le droit unanime

idem :clap:

Il suffit Kaëra », tonna une voix derrière Kurt qui se retourna immédiatement.

derrière Kurt, qui se retourna ... (ponctuation)

L’elfe majestueux qui était apparu derrière eux s’avança alors, protégé par cinq de ses guerriers, des elfes dont le visage dur et tendu ne promettaient que la mort aux soldats entourant Kurt

le visage ===> ne promettait

L’elfe resta ainsi une bonne dizaine de secondes, puis, il détourna le regard vers le reste des hommes l’entourant,

puis il détourna le regard (ponctuation)

Selon nos lois, et mon désir, nous pouvons vous tous ici présent par le fil de l’épée

Il manque un "passer"

Non pas qu’il doutait de la véracité de ses propos quant au fait de les tuer si besoin était, mais ils e sentait étrangement confiant

il se sentait

Emmenez le vieux homme blessé auprès de nos mages

le vieil

Même le palais de l’Empereur à Altdorf lui semblait particulièrement fade devant la richesse des motifs ornant le pavillon de prince

du Prince

Kurt pénétra au cœur du pavillon princier et ne put retenir un ri de stupéfaction

un cri

Je l’ai vu de mes yeux tué deux soldats aguerris des Chevaliers Panthères

tuer

Monseigneur, murmura Kaëra, et d’emblée, Kurt fut atterré par la colère à peine voilée qu transpirait derrière son ton, ne vous ait-je pas rappeler récemment que ma mission n’importait que moi et moi seul ?

vous ai-je pas rappelé

Sinon, au niveau fond, c'est toujours très agréable à lire. Les descriptions sont riches mais pas surchargées, le suspens est maintenu.

Une petite ombre au tableau cependant... Anaëlion semble bien vivre le comportement disons "emporté" de Kaëra à son encontre.

Sinon, c'est que du bon. Vivement la suite! Va falloir que je me remette à Dernier Regard moi :clap:

A+

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Pourrais-tu préciser stp?

On m'a harcelé par MP et sur msn, je balancerais pas, mais c'est the Rabbit et Inx Arggggghh :clap:

:clap:

Une petite ombre au tableau cependant... Anaëlion semble bien vivre le comportement disons "emporté" de Kaëra à son encontre.

Tu notera que Anaëlion était, je cite :"aissait un Anaëlion, furibond, mais maître de lui et ne laissant rien paraître de sa colère,"

J'ajouterais en outre, que comme dit auparavant, il se doit de laisser Kaëra mener sa mission (suivant ordre du Roi et de la Tour de Hoët).

En outre, la scène est abordée du point de vue de Kurt, pas d'Anaëlion...

Tiens, je posterais en apparté un petit sujet en sus, avec la même scène vu de par chacun des participants, ça pourrait être fun comme exercice de style...

Korelion, et oui, j'ai d'abord commenté dernier regard.... :clap:

PS : pour la forme, je ne dirais qu'une chose : Co**rd de correcteur Word :rolleyes:

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Ca fait plaisir de voir une suite (pile le jour où je la souhaite en plus :clap: )

Mû par une rage irrépressible, Klaus se jeta en avant, l’épée au clair. Les mètres le séparant de Kérôme diminuait au fur et à mesure que la fureur s’écoulait et épanchait son corps et son âme. Tout sa haine et son ressentiment s’apprêtaient à sortir de son cœur lorsque sa lame trancherait le cou de l’infâme criminel qui lui faisait face. Noyé dans sa rage, il ne fit pas attention à la curieuse expression de stupeur mêlée de sérénité qui s’affichait sur le visage de Kérôme. Peu lui importait que cet immonde bâtard adule Sigmar savait quelle divinité tortueuse et diabolique, toute son âme réclamaient que coule le sang de ce meurtrier

Joli description quand même, mais niveau faute :rolleyes:

Sa lame dut dégainé en peu de temps

Gné :clap:

contes et légendes leur prêtait une habilité

Arf, torturé par les deux, tu n'as même pas pensé à te relire :clap:

nous pouvons vous tous ici présent par le fil de l’épée. Qu’avez-vous à répondre pour votre défense, humain ? »

La peur qui l’avait saisi commençait à s’évacuer, curieusement, Kurt se sentait en confiance face à cet elfe. Non pas qu’il doutait de la véracité de ses propos quant au fait de les tuer si besoin était, mais ils e sentait étrangement confiant.

J'ai laissé passer entre temps une faute.

La première phrase ne veut rien dire en l'état :clap:

Et il y en a encore de ces erreurs de frappe. Arg, pour te faire pardonner, tu devras écrire une autre suite, et sans faute cette fois :clap:

Sinon ton texte est vraiment bien, et j'ai réussi sans mal à me replonger dedans. C'est bien, pour l'instant on ne sait pas du tout comment ça va se passer, l'on arrive pas à cerner un seul personnage, et le pouvoir et l'influence qu'il a sur les autres.

Je n'ai aucun conseil à donner, tu as un style riche, et je ne vois pas vraiment de défauts (et puis il y a déjà eu des commentaires bien plus complets)

J'attends donc la suite avec impatience!

Iliaron

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