Munkir Posté(e) le 15 février 2005 Partager Posté(e) le 15 février 2005 Firsthope, l’ork repenti J'ai pas la vue qui chavire? un...Un ork repenti? J'aurais jamais penser sa! et il tient dans son armure Crisis ou c'ets un armure speciale Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Krack Posté(e) le 16 février 2005 Partager Posté(e) le 16 février 2005 J'ose espérer une armure spécial a moin d'un croisement ork , getchin enfin les évènements s'enchaine, les Tau qui réussisse a se sortir du pétrin J'ai bien hate de voir la suite alors pour voir quel sera la prochaine surprise Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité junbob Posté(e) le 17 février 2005 Partager Posté(e) le 17 février 2005 Jai trouver ce texte il y a une semaine, mais j'ai commencer a le lire hier d'un seul coup et franchement: bravo. c' est vraiment bon!!!!! pour le bien supreme!! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité CaLiM3R0 Posté(e) le 22 février 2005 Partager Posté(e) le 22 février 2005 Il faut noter que de toutes les races rencontrées par les taus, les orks, mis à part les tyrannides, sont les seuls à n'avoir point accepter de se ranger. Notre brave shas'o benoit remet donc en question tous les dits du codex!!! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shas'o Benoît Posté(e) le 5 mars 2005 Auteur Partager Posté(e) le 5 mars 2005 Et oui, je crois qu'il y a un espoir pour les orks ! la suite : Un rayon de lune rasa les murs des maisons de Malerne, passa par un soupirail et éclaira la carapace luisante et chitineuse d’un cafard somnambule. L’insecte rampa lentement vers le pied du mur, à l’abri de la lumière. Au fond de la cave, vingt space marines debout terminaient de prier l’Empereur. Ils étaient droits, à peine effleurés par les rais entrant dans la pièce. Vingt space marines. Trois Ultramarines, dix-sept dark angels. Irich Pyell acheva ses cantiques et se tourna vers le sergent de son chapitre. Frère Georgius opina du chef et et se posta au pied du trou dans le mur, observant la rue déserte. Enfin il chuchota : « -Tout est calme dehors. On peut tenter une sortie. » Horacius Fazad et ses deux camarades ultras emboîtèrent le pas aux fils de Lionel Jon’son et tous montèrent l’escalier en silence, se mouvant parfaitement dans leurs armures. Arrivés devant la porte du bâtiment, ils firent une nouvelle pause et Irich se concentra pour capter les flux de l’Immaterium. Il n’y avait aucune trace de psyker xénos dans les environs, et il ne percevait aucun bruit. Ils se remirent en route, rasant les murs sombres de la cité envahie. Ils se savaient complètement encerclés par les troupes eldar, aussi devaient-ils rejoindre l’armée dans les quartiers sud dans la nuit. Au matin, un nouvel assaut aurait été donné, et ils n’auraient pu survivre sans soutien de leurs frères. Derrière eux, la massive silhouette du capitole s’étalait sur le ciel nocturne, comme un hideux symbole de la retraite des Fils de l’Empereur. Soudain ils se retrouvèrent nez à nez avec une escouade de gardiens assoupis. Dégainant son épée énergétique, Georgius hurla : « -L’empereur nous protège ! » Avant que les extra-terrestres n’aient pu se saisir de leurs catapultes shurikens, les lames des guerriers les lacérèrent, tranchant leurs chairs impies ; mais les eldars se ressaisirent vite, et d’autres accoururent des allées voisines pour leur venir en aide. Irich sentit l’aura d’un archonte se rapprocher, et rassemblant ses pouvoirs, il tissa un voile de ténèbres pour couvrir leur fuite. Milidonyr arriva sur les lieux une fraction de secondes plus tard, entouré par les guerriers aspects et sa suite d’archonte ; se penchant au sol, il frôla les corps sans vie de ses frères morts, et soupira. Au moins ces mon-keighs n’avaient pas profané les pierre-esprits. Tandis que les gardiens recueillaient les précieux joyaux, il se tourna vers Kaelon Wyrdis, une nouvelle lueur dans le regard : « -Nous devons leur faire payer au centuple la mort de notre peuple ! » L’ost eldar se mit en marche, pourchassant les hommes rues après rues. Les sentinelles dark angels et les scouts ne tardèrent pas à repérer l’avancée de l’ennemi, et les deux fronts se rencontrèrent brusquement, les scorpions et les banshees prenant d’assaut les barricades. Horacius soupira de soulagement en voyant, à quelques pas d’eux les lignes des fils de l’Empereur. Il fit presser le pas à ces camarades, mais au moment même où les rescapés de al garnison du capitole entraient dans les rangs, une pluie de projectiles foudroyants faucha les retardataires dans une gerbe de lumière. La bataille reprenait. Sous les rayons blafard de l’unique lune de Priam VI, les xénos et les humains s’affrontaient dans une guerre sans merci. Les plate-forme de tir répondaient aux canons des land raider dans une symphonie mortelle, des balles de bolter croisaient les lames acérées des shurikens et l’épée tronçonneuse rencontraient la lame sorcière dans une sarabande effrénée. Frère Georgius, suivi des survivants de son groupe, traversa les quartiers ravagés, cherchant des yeux le Général. Interrogeant des escouades d’assaut se rendant au front, il apprit que le QG avait été établi quelque cent mètres plus loin, dans un vieux complexe industriel. Il s’agissait à l’évidence d’une raffinerie désaffectée. Ils traversèrent plusieurs couloirs glauques gardés par des gardes impériaux aux yeux cernés, jusqu’à arriver dans un vaste hangar où avait dû être entreposé jadis des réserves de carburant. Une grande plaque avait été postée sur des tréteaux, et toutes les affaires du général et son matériel de campagne avaient été installés là. Face à la table, Sirius Lumenis observait une vieille carte racornie, tout en saluant machinalement les nouveaux venus : « -Ah, c’est vous frère Georgius ? Et nos frères ultramarines…Vous avez subi des pertes ? -Plutôt sérieuses, reconnut Horacius. -Nous étions encerclés, expliqua Irich, et j’ai bien cru que nous n’en sortirions pas… -Allons, nul ne saurait retenir des fis de l’Empereur pour peu qu’ils aient la foi. Mais bref, il semblerait que les combats reprennent. -Oui, les eldars reprennent les armes, répondit Georgius. -Ce n’est pas cela qui nous arrêtera, répliqua Lumenis. Six jours ! Tenons six jours et la victoire est à nous ! Vous vous souvenez de notre avance vers les monts Ellirian ? -Certes. Les gardes impériaux n’ont pas réussi à en chasser les xénos. -Et les pertes en véhicules sont considérables ! rétorqua Lumenis. Près de cinquante chars détruits, le double sabotés sur place, par manque de ravitaillement et pour empêcher l’ennemi de s’en emparer ! C’est pourquoi nous sommes cloués dans cette ville…Le Général Ganga est déjà parti : à la tête de nos forces les plus mobiles, il va repousser, sinon détruire les forces taus et hérétiques parquées à l’ouest de Malerne, ce qui lui ouvrira la voie aux complexes du sud-ouest. Nous avons étudié les archives, dont cet antique planisphère, et d’après la population interrogée, cette région est le cœur sidérurgique de la planète, mais aussi raffinerie générale. Là, il trouvera blindés et carburant en abondance. Il faudra au général quatre jours aller et retour pour remplir cette mission cruciale. D’ici là, il m’a donné le commandement de nos forces sur place, et la responsabilité des opérations. » Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Krack Posté(e) le 8 mars 2005 Partager Posté(e) le 8 mars 2005 Encore bravo c'est toujours aussi bien écrit !!! Les SM qui ont décidé de maintenir la pression sur les EL et de résister meme avec leur effectif ultra réduit !!! vivement de voir ce que ca donnera alors Bien hate de voir le suivi pour la Tau et les EN qui vont surement revenir se venger des EL, sans oublié les nécron qui sont rester discret et le tyranide qui sont en chemin Wow !!! reste le Chaos qui na pas encore donner signe de vie et oui la suite, la suite, suite Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shas'o Benoît Posté(e) le 9 mars 2005 Auteur Partager Posté(e) le 9 mars 2005 T'inquiètes pas, le chaos arrivera à point nommé... Bon ben je tacherai de poster al suite ce week-end alors. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité CaLiM3R0 Posté(e) le 9 mars 2005 Partager Posté(e) le 9 mars 2005 Et les soeurs de bataille ? noonnnnnnn par pitié!! plus d'autres races ou chapitres!!! je suis en plein brouillard! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shas'o Benoît Posté(e) le 13 mars 2005 Auteur Partager Posté(e) le 13 mars 2005 la suite : L’ost des caskads ressortait enfin des forêts arborescentes de Tah’nara, se remettant en route vers le camp des Iron Hands. Entre les rangs des guerriers marchaient maintenant des meutes de Bêtes de Tah’nara, les fauves les plus féroces de la planète. Entourées par des gardes endurcis, les loups géants suivaient la troupe en renâclant. Rah Lin, toujours à la tête de l’armée, expliquait à Gan Invectivus comment ils faisaient pour les dompter : « -Tu as déjà assisté à notre traque dans les bois, commença t-il. Une fois ces créatures sanglées et clouées au sol, il suffit de tuer leur chef de clan. Elles perdent alors toute cohésion, et libérées de leurs chaînes il est aisé de les commander ; mais une révolte est toujours possible, c’est pourquoi nous restons très méfiants. Néanmoins, il arrive que leur dressage soit facilité : celui qui tue le meneur des Bêtes est parfois considéré comme le nouveau chef de meute, et il a alors un ascendant sur les carnivores qui les rend tout à fait dociles. Dans la cité de Tirop, des caskads ont même réussi à faire naître en captivité des portées entières de Bêtes, et à les dresser dès le plus jeune âge… » A ce moment le sol trembla et un tonnerre assourdissant cloua les guerriers au sol. Les loups gémissant de peur couraient en tout sens, comme le vacarme augmentait jusqu’aux limites de l’audible. A moins d’un kilomètre de l’avant-garde, une colline se découpait sur le ciel orangé ; cette hauteur explosa littéralement dans un nuage immense d’éjectas et de poussières. Les gravats volèrent en tous sens au milieu d’une monstrueuse fumée. Mais le vent sec eut tôt fait de balayer le voile noir, et tous purent voir. Un énorme pylône d’un noir luisant se dressait vers le ciel, impressionnant mégalithe reflétant les rayons du soleil sur ses parois constellées de signes cabalistiques. Il se dégageait de l’obélisque une légère lueur bleue, se diffusant dans l’air. Le Peb se releva, le pas mal assuré, et gémit : « -Un Tilk ! C’est un Tilk ! Malheur, les dieux de la mort sont sur nous ! » Avant que le psyker n’ait pu dire un mot, trois masses lugubres montèrent dans le ciel aux côtés de l’obélisque, et elles semblaient flotter dans l’air. Lentement, elles s’approchèrent des nains encore secoués par l’explosion. Gan se rappela avoir vu une description de ces infrastructures xénos, dans les archives de Malerne, il y a bien des années de cela. Dégainant son sabre, il souffla : « -Des monolithes, c’est des monolithes ! » Rah Lin ne l’écoutait plus : se tournant vers ses généraux, il ordonna que l’armée batte en retraite vers les frondaisons du nord-ouest. Les caskads refluèrent vers les fougères géantes, alors que des milliers de guerriers noirs montaient des entrailles de la terre, tirant déjà sur les retardataires. Alors que tous se repliaient, Invectivus interrogea le despote : « -Vous saviez qu’il y avait des nécrons ici ? -Oui, répondit Rah. Ils sont là depuis la nuit des temps. Il court beaucoup de légendes sur les dieux de la mort. Au cœur de chaque cité caskad, il se trouve un pylône noir identique à celui qui se dresse là derrière nous ; mais personne ne sait comment ils se sont retrouvés là. Ce qui est certains, ce que leurs créateurs sont les dieux de Beauté. -Quoi, les eldars ? s’étonna Gan, tout en jetant un coup d’œil par-dessus son épaule pour surveiller l’avancée des nécrontyrs. Vous voulez dire que ces mégalithes sont eldars ? -Certes, ils sont recouverts de runes eldars aisément identifiables, bien qu’incompréhensibles pour nous. » Ils poursuivirent leur retraite jusqu’à ce que le dernier caskad soit entré sous le couvert des arbustes. Au loin, l’immense armée de nécrons avançait résolument vers le nord, vers le camp space marine. Le despote nain regarda les monolithes se porter vers le septentrion, un sourire narquois aux lèvres : « -Les dieux de la Mort se chargent de nos ennemis ! Voilà qui facilitera notre tâche pour un temps… » Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité CaLiM3R0 Posté(e) le 13 mars 2005 Partager Posté(e) le 13 mars 2005 Les tilks!!! Les tilks!!! ils sont de retour!!! non arg ca fera la N ieme armée entrant en jeu! Mon dieu c'est (escusez moi l'expression) le bordel organisé!! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Krack Posté(e) le 15 mars 2005 Partager Posté(e) le 15 mars 2005 Oh que oui le bordel c'est vraiment le mot juste il ne manque plus que les Tyranides dont on n a que très brèvement entendu parler !! ou presque et sérieusement ouf ca en devient presque dur a suivre tout ca :'( Pour l'histoire des runes Eldar sur les monolithes c'est vrai ???? pcq si oui hé bien je le savais vraiment pas et c est terriblement louche et intéressant Bravo encore une fois pour ce chapitre surtout continue Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité CaLiM3R0 Posté(e) le 19 mars 2005 Partager Posté(e) le 19 mars 2005 (modifié) vous imaginez si toutes les races se retrouvent sur le meme champs de bataille le bordel que sa doit etre t'es un SM tu tape un chaotique qui en meme temps se fait pulveriser par un railsrifles tauqui lui meme se fait mettre en charpie par un ork qui se fait tuer par des caskads qui se font exterminer par des tyrannides qui se font fondus par des necrons qui se font emttre en piece detachée par les talos EN qui se font degomés par les prismes de feu eldars qui euh... je me m'y crois un peu trop la lol lol tu as oublié la garde impéraile, les soeurs de batalle, les squats... lol Et pis... Qui sait ce que l'esprit tourmenté de notre jeune ami a encore inventé!! Modifié le 19 mars 2005 par CaLiM3R0 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shas'o Benoît Posté(e) le 23 mars 2005 Auteur Partager Posté(e) le 23 mars 2005 Eh oui, qui sait... La suite : Sephir, accompagné de son escouade, ne manqua pas d’observer le raz-de marée des nécrons. Telle une vague occulte, les guerriers s’avançaient entre les pitons rocheux de Tah’nara, s’engouffrant dans la vallée sablonneuse. Au loin au sud, on voyait les tourelles et les barricades Iron Hands, et à l’horizon, au nord, les murailles de de kal’aond Wyrdis. Faisant signe aux hommes de son escouade de le suivre sans bruit, il entreprit de descendre de la falaise sur laquelle ils étaient postés. En contrebas, les milliers de combattants marchaient, les yeux rivés sur la base des Fils de l’Empereur ; ils ne remarquèrent pas la petite escouade de reconnaissance qui descendait les contreforts des montagnes. Tichis, la jeune recrue des éclaireurs, entendait le vacarme des innombrables pas martelant le sol en cadence, accroché à la paroi, il faisait de son mieux pour progresser sans tomber. Le sergent avait donné l’ordre de ne pas utiliser les réacteurs tant que les xénos seraient en vue. Un grand nuage de poussière, soulevé par l’armée silencieuse, monta dans les défilés et aveugla le ciel. Soudain, une grande ombre noire tomba sur les pentes des montagnes, et les space marines suspendirent leur avancée. A quelques dizaines de mètres au-dessus d’eux se tenaient trois imposants monolithes, flottant doucement au-dessus des nécrontyrs. Sephir n’aurait jamais cru que les nécrons aient pu créer, en des âges reculés, des chars aussi grands. Ces trois-là dépassaient de loin la taille des monolithes habituels, et cela ne faisait qu’ajouter à leur sinistre fonction. Les Iron Hands se hâtèrent alors de se mettre hors de vue des extra-terrestres. Une fois cachés des yeux ennemis par un promontoire de basalte, Sephir fit signe à ses frères qu’ils pouvaient rallumer leurs réacteurs ; dans un sifflement à peine audible avec al marche saccadée de l’ennemi, les cinq guerriers s’envolèrent vers leur base. Quand ils arrivèrent, chacun savait déjà qu’il se passait quelque chose d’inquiétant : tous voyaient une armée noire marcher droit vers leurs positions, surmontée de trois colossales silhouettes obscures. Le détachement alla droit jusqu’à la butte sur laquelle s’étalait le bunker cimenté à la hâte, pour abriter le QG de l’expédition. Sephir entra dans al salle, salua ses supérieurs et déclara : « -Une grande armée de nécrons s’approche par le nord. Ils ont trois monolithes de taille démesurée, et ils seront là avant une heure. » Aroyd Operatum hocha de la tête, étouffant le sentiment d’inquiétude qui montait en lui ; il connaissait ce type d’adversaires, et se demanda comment cela se faisait-il que les archives des habitants n’aient jamais mentionné de présence nécron ? Se levant de son siège, il répondit : « -Très bien, frère Sephir ; dites à tous les autres sergents de vous suivre et rejoignez-moi dès que possible ici pour le briefing. » le sergent partit convoquer ses confrères, et en quelques minutes, Limignus, Burtox et les autres entraient à sa suite dans le bâtiment. Pour avoir déjà rencontré ceux que l’on appelait « les non-morts » dans une précédente campagne, Aroyd Operatum donna ses instructions à tous les chefs de section : « -Ces xénos sont perfides et inébranlables. Ils ne ressentent pas la douleur, ils ne craignent pas la mort et tiennent leur vie pour rien. Comme nous ils sont prêts à la sacrifier pour leur Maître ; comme nous, ils ne fuient jamais. Mais ils servent des démons ténébreux, plus anciens et plus terribles encore que les puissances du chaos : le chaos pervertit les cœurs de chacun, mais les Ct’ann ont pourri jusqu’à la moelle une race toute entière ! Ne blessez pas vos adversaires, car ils s’escamoteraient ; tuez-les, achevez-les sans pitié ! Il nous faut les exterminer sur place ! » Dehors, les premiers ennemis montaient déjà à l’assaut des talus, et les Fils de l’Empereur ouvraient déjà le feu ; les sergents montèrent précipitamment vers le front rejoindre leurs divisions. Limignus commandait les premières lignes de tranchées du camp ; avec les space marines, il délivrait un véritable rideau de bolts sur les guerriers morts, espérant ralentir la marée des nécrons. Mais rien ne pouvait endiguer ces ennemis funestes. Dès qu’un nécrontyr tombait à terre, il se relevait aussitôt ou disparaissait, remplacé par deux autres au regard aussi froid et détaché. Déjà les avant-postes étaient submergés quand un vrombissement tonitruant résonna dans l’air moite : Burtox arrivait, à la tête des motos ravenwing. Lui et ses hommes chargèrent les guerriers nécrons sans se soucier des éclairs vert pâle zébrant le ciel, et l’épée au poing, il rentrèrent profondément dans la masse des non-morts, en écrasant et en transperçant un bon nombre. Mais la masse se reforma aussitôt, encore plus grouillante qu’auparavant. Faisant volte-face, les Iron Hands se retrouvèrent cernés par des destroyers aguerris, et ils luttèrent avec l’énergie du désespoir, tentant de rejoindre les retranchements. Aroyd Operatum fauchait les corps métalliques de son épée vénérable, cherchant à blesser mortellement ses adversaires, mais rien n’y faisait. Dès qu’il cinglait ses opposants, ils se téléportaient et d’autres prenaient leur place ; et quand il parvenait à navrer ses ennemis, ils se faisaient aussitôt sauter dans une gerbe de métal fumant, manquant de lui lacérer la peau. L’armure du Commandant space marine était incrustée d’éjectas noirs, constellant les plaques de taches sombres. Le glaive vengeur allait et venait en sifflant dans les airs, tel un marteau sur l’enclume, et chaque coup faisait reculer un combattant ; mais Aroyd commençait de désespérer : comment pourraient-ils repousser cette vague gigantesque ? Marcus Vinceas s’était joint aux combats, mitraillant les opposants depuis une barricade en surplomb, en compagnie de plusieurs scouts. Soudain la haute silhouette d’un seigneur nécron se profila, au-dessus des rangs compacts des nécrontyrs. Elevant sa faux ténébreuse, le maître de la nécropole s’avança droit vers la position du psyker, blessant cruellement les space marines qui s’interposaient. Un à un, les scouts à ses côtés tombèrent, tués nets par les tirs ennemis. Bientôt Marcus se retrouva seul, à défendre un mur à moitié effondré, pilonné par les armes des nécrons. Un vent de peur l’envahit, mais il se ressaisit et se concentra pour canaliser les vents du warp. Se tournant vers le seigneur nécron qui s’approchait, plus qu’à quelques pas de lui, il éleva les mains et invoqua une tempête de l’immaterium… Seules quelques particules électriques fusèrent, ruisselant sur le sol comme une pluie fine, et en quelques instants les vents s’épuisèrent. L’archiviste ne comprenait plus, ce n’était pas possible ! Pourquoi les vents du warp avaient-ils disparu ? Depuis plusieurs jours il n’y avait plus de répercussion, et maintenant toute puissance de l’autremonde semblait évanouie ? Comment ? les nécrons ne pouvaient pas avoir réussi un tel coup de maître, ils ne pouvaient pas… En deux enjambées, le seigneur nécron était sur l’humain. Ce-dernier déchargea son bolter, mais les balles ricochèrent sur l’armure noire du meneur des non-morts ; alors Marcus dégaina son épée énergétique et engagea le corps à corps, repoussant les coups rudes de son ennemi. Le combat à mort débuta dans un duel dément entre l’homme et la machine, le psyker de l’Imperium et le nécron serviteur des C’tan. Vinceas frappa plusieurs fois le corps du seigneur nécrontyr, mais ce dernier, insensible à toute forme de souffrance, repoussait l’homme et lui entaillait les chairs, tranchant son armure comme du plastique. Marcus tenta à nouveau d’user de ses pouvoirs, mais les vents du warp s’étaient tus, et ce moment d’inattention lui fut fatal. D’une gifle vigoureuse, le seigneur nécron le projeta à terre, à moitié inconscient. Il n’était pas écrit que Marcus connaîtrait l’issue de cette bataille. Il eut encore le temps de voir le xénos debout devant lui, élevant sa faux, puis il y eut une grande lumière, et le psyker sombra dans l’oubli. 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Invité junbob Posté(e) le 23 mars 2005 Partager Posté(e) le 23 mars 2005 (modifié) super, des necrons! Allez, manque plus que les tyty et les chaotiques... mais c'est toujours aussi bon! Allez, j'ai trouver qu'une répétition dans le texte Au loin au sud, on voyait les tourelles et les barricades Iron Hands, et à l’horizon, au nord, les murailles de de kal’aond Wyrdis ah et une autre petite faute de frappedans un sifflement à peine audible avec al marche saccadée de l’ennemi Allez la suite, la suite! Modifié le 23 mars 2005 par junbob Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Krack Posté(e) le 31 mars 2005 Partager Posté(e) le 31 mars 2005 Mouai super !! On dirait que les spaces marines n'auront pas leur renfort J'ai bien hate de voir qui seront les prochains puisqu'Il semble que tu fasse tourné le centre de l'action d'une armée a une autre Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shas'o Benoît Posté(e) le 3 avril 2005 Auteur Partager Posté(e) le 3 avril 2005 Et voilà la suite : Kor’la Cin’y Maq observait l’obscurité de la nuit, attendant patiemment le lever du jour. Depuis le début de la soirée, il avait été à son poste d’observation, et la torpeur commençait à l’envahir. Se ressaisissant, il s’ébroua et s’appuya sur le parapet, sondant les ténèbres de son regard perçant, amélioré par le système de vision nocturne. Pour un tau de l’air, garder une tourelle était assez inhabituel, mais depuis l’Exil c’était devenu chose courante : quand les guerriers manquaient, les explorateurs servaient de veilleurs pour le Bien Suprême. Après tout, aux commencements de l’Empire tau, n’étaient-ils pas les messagers et les éclaireurs ? Mais depuis leur rôle avait bien changé… Le poste de surveillance où il se tenait était à l’extrême limite du cantonnement, appuyé sur le rempart de sacs de sables et de barbelés qui formait une enceinte autour de l’armée.Aux pieds du guetteur, le camp s’étendait, silencieux et apaisé. Les baraquements des anciens gardes impériaux jouxtaient ceux des shas, et les Devilfish se parquaient avec les Leman Russ au milieu du campement. Les silhouettes des bâtiments construits en hâte pour passer la nuit avaient poussé comme des champignons. Le calme recouvrait la plaine rocailleuse, et seul le vent sifflant dans les défilés troublait la quiétude des guerriers. Cin’y Maq se concentra soudain : il lui semblait avoir perçu un mouvement à l’est. Comme une masse sombre qui se déplacerait…Se penchant par-dessus la barricade, il écarquilla les yeux, comme pour mieux discerner la chose qui avançait sans bruit…Se décidant soudain, il se retourna et pianota sur le pupitre à ses côtés pour prévenir le QG. Mais une douleur le frappa au côté, alors qu’il sentait un projectile le percuter de plein fouet dans un sifflement à peine audible, et il se plia en deux sous la douleur. Titubant, il se raccrocha à la console, mais ses mains s’amollirent et il bascula dans le vide sans un mot. Palpitus Ganga, debout sur la carlingue d’un énorme Land Raider, progressait tous feux éteints vers la base ennemie. Derrière lui, son armée le suivait avec précautions, évita de se faire repérer par les projecteurs des xénos. Un space marine d’assaut se posa à son côté et déclara : « -Il y a huit tours de guet le long des barricades. Les scouts ont pris position et commencent à neutraliser les vigiles. -Parfait, frère Zenobus. Laissons-leur encore une minute pour agir, puis nous attaquerons selon le plan prévu. Chacun est-il à sa place ? -Quelques chars remontent encore de l’arrière-garde, mais… -Qu’ils se hâtent en silence. Il faut conserver l’avantage. » Aun’el Xotes Giuv se réveilla en sursaut, ressentant une étrange impression de trouble. S’habillant précipitamment, il saisit sa lance de duel et sortit de sa tente. Dans les allées du camp, il n’y avait pas le moindre signe de désordre. Quelque peu rassuré, il allait se recoucher, quand il avisa une toile étendu à deux pas de lui. C’était une de ces tentures grossières, tissées à la va-vite pour confectionner les abris des gardes impériaux. Sur le tissu gris se détachait le symbole de l’Imperium : l’aigle à deux têtes, noire, majestueuse, étendant ses ailes de jais. Quelque chose dans cette figure troublait l’éthéré ; fouillant dans ses souvenirs, il tenta de se rappeler… Soudain il comprit : les Ciags ! Les Ciags, ces curieux oiseaux rapaces de Priam, qui sortaient chasser à la tombée du jour. D’habitude, leurs cris gutturaux résonnaient jusqu’à l’aube ; au lieu de cela, un silence de mort envahissait la vallée. L’aun décida d’en parler au commandeur Xotes Hur, chef de l’expédition ; cette quiétude trop parfaite était de mauvais augure. Il se dirigea vers la bâtisse de béton et de tôles où les taus et les gue’vesa avaient installé leur quartier général. Shas’o Xotes Hur étudiait encore les plans de bataille qu’il avait conçus et revus le jour même. Il cherchait la stratégie idéale, le meilleur moyen d’enfoncer les défenses de la ville pour s’en assurer le contrôle. Il venait de terminer la mise au point des stratégies à venir quand le vénérable Xotes Giuv entra dans la salle de contrôle, la mine sombre : « -Salut à vous, ô très-haut, lança le tau du feu, mais pourquoi se lever si tardivement ? -Commandeur, j’ai un mauvais pressentiment et je redoute quelque action de l’ennemi. -A vrai dire… -Les Ciags se sont tus cette nuit, ce n’est pas dans leurs habitude. Quelque chose doit les avoir dérangé dans la plaine pour qu’ils se taisent ainsi. -C’est tout à fait possible, cependant notre camp est bien gardé. Si vous voulez, nous pouvons rendre visite aux sentinelles, proposa le Shas’o, nous pourrons de la sorte être fixés. Si quelque chose d’anormal se produit, elles seront les premières au courant. -Je vous en prie. » Les deux supérieurs sortirent de l’édifice d’un pas rapide, en direction de la tour de guet la plus proche : celle du nord-est, à deux pas de l’entrée du camp. Arrivés au bas de la construction, le commandeur remarqua tout de suite que quelque chose clochait : le poste était vide ! Comment un tau pouvait-il avoir abandonné ses fonctions ? Des gémissements à peine audibles attirèrent leur attention. A quelques mètres d’eux, Kor’la Cin’y Maq gisait, le corps brisé. L’aun se pencha et lui souleva la tête : le tau de l’air respirait encore faiblement, mais ses ailes membranaires lui avaient sauvé la vie. Xotes Hur murmura : « -Il est tombé… Regardez ce sang, il a été abattu ! » Au côté de la vigile, une profonde blessure saillait, et il s’était brisé les jambes dans sa chute. Tout son corps était secoué de spasmes horribles. Avant que les deux taus n’aient pu donner l’alerte, un vacarme assourdissant se fit entendre. Le portail vola en éclat, pulvérisé par plusieurs tirs bien ajustés, tandis que des éjectas et des roquettes éventraient les bâtiments voisins, semant la mort et le feu. Palpitus était content de lui : les batteries de missiles avaient fracassé la porte d’une seule salve et les mortiers incendiaient déjà le camp des traîtres. Elevant la main, il entonna : « -POUR L’EMPEREUR…A L’ASSAUT ! » Dans un bruit de tonnerre, toute la division blindée s’enfonça à travers le rideau de flammes. Campé sur son Land Raider, le Général Dark Angel franchit la palissade, menant sa légion à l’assaut. Les lourds blindés écrasèrent les murs de sable, ébranlèrent les abris, mitraillèrent les hommes et taus surpris dans leur sommeil. Selon le plan arrêté, les space marines attrèrent le feu de l’ennemi aux portes du camp, tandis que Palpitus et les chars fonçaient vers l’aire de parquage. Dans la confusion qui s’ensuivit, la plupart des gardes impériaux et des shas se précipitèrent vers les murailles, tentant de repousser les membres de l’ordo Astartes. Les rares ennemis que le Général Ganga rencontra sur sa route, au cœur de la base, furent tués net par les tirs précis des canons laser. Rapidement la colonne blindée arriva sur la place où chars taus et humains s’alignaient en bon ordre. Les équipages encore endormis émergeaient des baraquements, courant vers les cockpits et les écoutilles. Dans un déluge aveuglant, les tanks en tête firent feu à bout portant, creusant de profondes marques dans les cibles éventrées. La plupart des antigraves s’enflammèrent ou explosèrent, réduits en cendres. Zenobus, accompagné d’escouades dévastators, tentait de repousser les guerriers de feu qui enluminaient la nuit d’un rideau d’explosions bleues. Soudain il vit une forme rapide, circulaire, foncer sur lui ; d’un tir de bolter, il fit exploser ce qu’il prenait pour un drone. Le globe sauta dans une gerbe verdâtre, projetant à son visage un acide virulent. Le Dark Angel porta la main à son visage, pestant contre cette diablerie xénos ; ouvrant avec précaution un œil vitreux, il entrevit ses frères d’armes tout aussi désemparés, obligés de faire feu sur des boules immondes et gluantes flottant dans l’air ambiant. En face d’eux, les taus se repliaient, complètement démoralisés, harcelés aussi par ces choses… « -Horreur et dévastation ! » s’eclama Zenobus, qui courut vers son char. Il rentra dans son basilisk et se saisissant du micro-transmetteur, il cria : « -Général Ganga, nous sommes attaqués par la Mort Dévorante ! -Qu’est-ce que vous racontez ? répondit la voix incrédule du général, à l’autre bout de la bataille. -Les tyranides, général ! Nous sommes assaillis par des spores mines, et en nombre incalculable ! Les xénos s’enfuient, mais… -Repliez-vous aussi, répliqua le Général. Nous avons réussi à nous forcer un passage vers les zones industrielles au sud, alors allons-y sans retard. » Quand le matin parut, la lumière du soleil était presque totalement occultée par la flotte-ruche tyranide, et seul un crépuscule parvenait jusqu’à Malerne. A l’ouest, l’ancien camp tau était désert, les deux combattants avaient pris des directions divergentes sans laisser de traces. Dans le ciel, les premiers tyranides descendaient en piqué, tandis qu’au sol, les spores mines et autres immondices recouvraient le roc. La flotte ruche était arrivée. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Munkir Posté(e) le 3 avril 2005 Partager Posté(e) le 3 avril 2005 quelque chose me dit que les SM vont devoir 'alliés au tau qu'ils le veuillent ou non Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Krack Posté(e) le 5 avril 2005 Partager Posté(e) le 5 avril 2005 (modifié) Moui ça semble logique puisqu'il y a maintenant bien trop d'ennemis et de toute part !!! mais je verrais peut etre plus les Caskads avec les Tau. Les gens de l'impérium étant de super borné !! Enfin faudra voir ce que notre grand écrivain aura décidé de faire de la suite Modifié le 5 avril 2005 par Krack Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shas'o Benoît Posté(e) le 11 avril 2005 Auteur Partager Posté(e) le 11 avril 2005 Merci pour tant d'éloges ! Voilà la suite : Le commandeur First Hope s’avança de son pas lourd vers le spatioport de Kal’aond’wyn, à la tête de son escadron. Dans le ciel, les premiers rayons de l’étoile Priam illuminaient les nuages effilés, comme autant d’éclairs flamboyants dans les cieux. Les pilotes de feu ressemblaient à des esprits de pures flammes, dans leurs combinaisons ocres rutilantes ; à leurs côtés, les co-pilotes Kors vêtus des traditionnelles tenues moulantes semblaient flotter sur le sol dallé de la place. AU loin, sur le parapet de la ville, les tourelles à impulsion retournées surveillaient les rues de leurs longs canons. L’ork respira avec bonheur le parfait frais et léger de l’aube naissante ; il avait son équipe avec lui, sa hache à double tranchant dans son dos et une escadre complète prête à décoller : que demander de plus ? Quand ils arrivèrent devant les appareils – dix Ignis 5 en parfait état- il se retourna vers ses camarades pour une courte harrangue : « -Ok lé gars, on mont’à mil maitres sans poussé lé moteurs, hé pi vou me suivé pour les manœuvres. » Habitués au langage rustre du peau-verte, les taus acquiescèrent et montèrent dans leur cockpit. First Hope entra à son tour dans l’avant de son propre appareil, le « Speedbee ». A l’origine, le Speedbee était un serpent eldar, retrouvé à moitié détruit dans les tunnels de Xotes. Quand First Hope l’avait découvert, il avait tout de suite compris qu’il pouvait en tirer quelque chose. Malgré toute l’ingéniosité des Fios, il s’avéra impossible de remettre en état le transport eldar : la technologie psychique était complètement opaque aux équipes de maintenance et aux scientifiques. Alors First fit appel à son inventivité, et au fil des missions, il rapporta dans l’atelier des pièces de véhicules ennemis abattus : tôles de chars impériaux, plaques d’antigravs et générateurs orks, turbos de motojets… Alliant ces matériaux rustres à son esprit fertile, il transforma ce qui était une épave en une formidable machine de guerre qu’il baptisa « Speedbee » : un char volant aux moteurs proéminent, patchwork de parois disparates et truffé de lance-missiles et autres mitrailleuses. L’escadre décolla en quelques minutes sous les yeux des sentinelles tau sécurisant le périmètre ; Alors que l’ork montait en ligne droite, les dernières instructions du commandeur tau lors du briefing lui revinrent en mémoire : « -Tachez de repérer les mouvements des space marines, avait dit Azer. Les orks n’ont presque plus de flotte et vous devriez réussir à survoler leurs lignes sans trop de dommages ; mais il faut que nous sachions ce que ces adversaires préparent : ils ne vont pas rester indéfiniment à dix kilomètres à peine de notre cité ! Tachez aussi de faire une boucle vers le nord : vous repérerez peut-être les capucins à la tête des garnisons du nord ; ils ne devraient plus tarder à présent. » Les chasseurs tau atteignirent la hauteur intimée par l’ork, et bientôt les dix appareils, menés par le serpent trafiqué, passèrent au-dessus des quartiers sud et est de la ville ravagée. EN contrebas, les rues grouillaient d’orks et de gretchins, déjà réveillés malgré l’heure naissante. Quelques tourelles Waaagh ! tentèrent de les atteindre, mais les peaux-vertes n’étaient pas réputés pour leurs talents d’artilleur. Néanmoins les plus dégourdis des orks, menés par un Exploz Massakr en grande forme, repérèrent à temps les petits appareils survolant leur base à basse altitude. Levant sa hache d’arme, le bi Big Boss éructa : « -Y’a dé ga bleu ki vol sur nou ! Lé léssé pa passé kom ça ! -J’vé leur fair leur fait ! répondit Kassgueul, rechargeant son pistol’. -Fé gaf, kassgueul, t’é enkor blessé. -Ouéeuh, sé pa ça ki va m’empéché de buter du ga bleu ! » Le Nobz bondit vers les chassa bomba encore intacts, suivi par quelques orks endurcis. Malgré ses blessures de la veille, le grand ork ne semblait pas le moins du monde fatigué. Il cribla de balles les sentinelles orks « pour simplifié lé formalité » et il monta dans un chasseur ork avec deux autres boyz teigneux. Les chassa bomba décollèrent aussitôt en rugissant, crachotant et noircissant le ciel de leurs fumées noires. L’escadre tau les repéra bien vite et First Hope hurla : « -Metté lé gaz et retourné vair la baz, lé ga ! -Mais, protesta un des pilotes tau, et la mission ? -Arrrh, laiss tombé, j’m’en sortiré tou seul san problaim ! Je saim ces orks, je pass chez lé Zoms et je reviain par une boukle par le nor, Ok ? Mintenan, dégagé avan d’vou fair avoar ! » Les Ignis 5 décrochèrent à l’instant, et par de larges virages se replièrent vers le spatioport entouré de tourelles. Plusieurs Chassa Bomba les suivirent et furent rapidement abattus par la DCA, mais Exploz Massakr ne lâcha pas le Speedbee, et il écrasant le champignon, il suivit le vaisseau au service du Bien Suprême. First Hope était confiant en sa mécanique. Le Speedbee n’était t-il pas le vaisseau le plus rapide de toute la flotte tau ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité warman2 Posté(e) le 13 avril 2005 Partager Posté(e) le 13 avril 2005 Arrgh ! Ça cache quelque chose, c'est louche. JE VEUX PAS QUE FIRST HOPE TRAHISSE ! Ah, ça fait du bien de se relacher. Exelent comme d'habitude. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Krack Posté(e) le 19 avril 2005 Partager Posté(e) le 19 avril 2005 Hé bin !! Ça alors, ca fait plusieurs jour que la suite est la, j'ai bien failli la raté Je ne sais pas trop ce que cet Ork Tau a derriere la tete, mais j'ai bien hate de le savoir Surtout continue ton récit est toujours aussi excellent !!! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shas'o Benoît Posté(e) le 20 avril 2005 Auteur Partager Posté(e) le 20 avril 2005 Merci les gars, j'y penserais ! La suite : Milidonyr, debout sur les gravats d’une maison effondrée, regardait les escouades de gardiens progresser dans les décombres. Les eldars se mouvaient avec grâce autour des bâtiments fracassés, braquant leurs catapultes shurikens sur leurs frères ennemis. La matinée commencait dans des explosions de prismes de feu et des rafales de surikens ! La charge des guerriers aspects, menés par les redoutables scorpions, frappa comme l’éclair la ligne de front des eldars noirs ; les cérastes répliquèrent par une charge furieuse où les cris des banshees se mélaient aux ronronnements des épées tronçonneuses. Chacun des belligérants maitrisant parfaitement les techniques de guerre en combat rapproché, et les deux camps virevoltaient tout en donnant la mort. Au loin les silhouettes des seigneurs fantômes pilonnaient les barricades adverses ; les faucheurs noirs, les marcheurs et les falcons orchestraient la symphonie de la guerre, délivrant la flamme et la lumière de leurs armes meurtrières. Les raiders et les Talos avançaient lentement, fouettant les troupes eldars de tirs ravageurs. Erogaad lui-même pilotait un antigrave et chargeait les troupes et frappant de la chaîne et de la pique. Le combat faisait rage et les archontes étaient pris dans le corps à corps, quand soudain les vents du warp furent secoués par une invasion psychique : Milidonyr tressaillit en sentant une présence… une présence infinie d’esprits malveillants dans la toile ! Levant les yeux au ciel, il comprit soudain que le soleil ne se lèverait plus : la masse sombre et lugubre d’une flotte ruche recouvrait les cieux. De toutes parts, des spores mines fusaient du ciel tandis que les premiers gaunts descendaient, portés dans les panses immondes des tyranides géants… Rassemblant ses pouvoirs, le vieux grand prophète envoya un message à tous les archontes de sa suite, tant que la toile n’était pas encore opaque : « -Les Semeurs de Mort arrivent, mes frères ! Repliez-vous vers le capitole, on évacue la ville ! Hatez-vous ! … » Les vents de Warp se faisaient de plus en plus lourd, et bientôt plus personne ne serait en mesure de communiquer… Le Grand Prophète ne parvenait pas à croire que des zooanthropes, aussi nombreux soient-ils, puissent effacer ainsi toute trace de psychisme sur un si grand pan de la toile… En face des eldars, leurs frères ennemis cédaient du terrain aussi, et déjà de nombreux raiders fuyaient Malerne pour un secteur plus facile à piller ; Erogaad restait en arrière, ralliant ses guerriers noirs. Milidonyr courut vers le capitole, bientôt entouré par les survivants eldars. Tout en détruisant les premiers carnivores rencontrant sa route, il sondait une dernière fois le warp. Il sentait quelque chose d’autre… Quelque chose qui ne relevait pas des Semeurs de Mort. Il y avait là la marque insidieuse du chaos… La débâcle de l’ost eldar était totale. Les derniers rangs de gardiens cédaient désormais face à la vague de tyranides affamés, et les guerriers aspects se sacrifiaient pour ralentir la marée irrésistible. Kaelon Wyrdis, entouré de ses fidèles dragons de feu, tenait encore un secteur réduit autour du capitole. Chaque seconde qui passait faisait mourir des dizaines de vengeurs et les exarques eux-mêmes succombaient, entourés par des carnassiers sortis de nul part ; dans le ciel, la pluie de tyranide semblait inaltérable. Les derniers transports quittaient la surface de Malerne, harcelés par les créatures ailées crachant des jets d’acides. Les falcons et les serpents quittaient en désordre la ville ravagée, cherchant à atteindre le vaisseau-monde tant qu’il en était encore temps. Milidonyr était entré dans un antigrave, accompagné de ses archontes épuisés par les combats. Le char volant quitta rapidement le monde de Priam IV pour arriver aux portes du vaisseau-monde eldar… La flotte-ruche le recouvrait aussi de son ombre dantesque, et de hideuses bêtes s’attaquaient déjà aux structures de psycho-plastique pour pénétrer dans le bâtiment. Les rescapés eldar ouvrirent une brèche dans le barrage ennemi, les scorpions et les vampires canardant les structures biologiques. Les survivants entrèrent rapidement dans les aires de débarquement, et Milidonyr laissa à Kaelon Wyrdis la charge de l’organisation des défenses. De son pas rapide et nerveux, le grand prophète se dirigea vers el cœur du vaisseau-monde. Le réseau d’infinité demeurait intact, encore dépourvu de toute atteinte impure. Le grand prophète laissa ses longs doigts couler sur les parois de moelle spectrale, et il s’assit sur un trône sculpté dans la même matière irréelle. Fermant les yeux, il s’abandonna au flot de sensations s’offrant à lui. Autour de lui, un monde flou, évanescent apparut, comme un univers de nuages légers flottant dans l’éther. Il y avait comme une musique résonnant à ses oreilles, et un calme incroyable l’enveloppa. Autour de lui, des millions d’entités tournoyaient en silence, dans un ballet féerique. Milidonyr aurait voulu que cela dure une éternité. IL ne s’était jamais senti plus heureux… Une haute silhouette se présenta à lui ; un esprit aiguisé aux sens éveillés ; un eldar noble et de haute stature, dont la voix résonna calmement, avec peut-être une teinte de lassitude : « -Alors voilà que l’heure est venue. -Oui, répondit Milidonyr en courbant la tête. -Il fallait bien que cet instant advienne ; c’était écrit et inéluctable. -Je vais devoir le faire, ajouta Milidonyr. -je suis prêt, assura le grand eldar, sur un ton assuré. Accomplissons notre devoir… » Un tourbillon envahit Milidonyr qui se sentit pris dans une tourmente douloureuse. Quand il rouvrit les yeux, il était toujours assis sur le trône. Il se leva et se dirigea d’un pas lourd vers une autre salle taillée dans l’armature même du vaisseau-monde ; là où les pierre-esprits des ancêtres sommeillaient. Il alla droit vers le fond de la haute pièce ; sur un support lumineux, comme une plaque de métal enchanté, une gemme d’un rouge vif reposait ; une pierre parfaite, lisse comme un galet, qui dégageait un halo doré. Le grand prophète soupira. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Krack Posté(e) le 20 avril 2005 Partager Posté(e) le 20 avril 2005 (modifié) Hum toujours excellent !!! mais tu nous coupe ca en plein instant cruciale, c'est de la torture et après réflexion je crois avoir compris ce qu'a derrière la tête notre Ork du bien suprème mais bon enfin je vais attendre la suite et ne rien dire au cas ou j'aurai compris pour ne pas gacher la surprise Modifié le 20 avril 2005 par Krack Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité warman2 Posté(e) le 21 avril 2005 Partager Posté(e) le 21 avril 2005 (modifié) Ouille, je suis pas un expert, mais je n'ai pas super bien compris se qui c'est passé, mais si j'ai une petite idée. Vraiment exellent. Au fait, rappelle toi que si First hope se détourne du bien suprême, tu perdra un lecteur ( pendant au moins 2 semaines ) Modifié le 23 avril 2005 par warman2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Iliaron Posté(e) le 23 avril 2005 Partager Posté(e) le 23 avril 2005 (modifié) Allez, je vais commencer ma critique (excellent récit en tout cas, bravo!! ça mérite bien quatre bravos ça ) Je vais faire un récapitulatif de ton récit et tes fautes (rares, heureusement). Tout d'abord, pour les fautes d'orthographes, très peu, ta principale faute est "al" à la place de "la". Maintenant le gros de la critique: j'ai remarqué qu'il y a quatre types de passage: -les utiles: souvent assez long, mais pas toujours. Ils comportent de l'action, ou une introduction de la future action. Les personnages sont souvent les principaux (Operatum, Ganga, Oio Vim...) Et maintenant trois catégories de moins bon: - les passages que l'on a l'impression qu'ils ne servent à rien et qu'il n'y a que de la description, juste un semblant d'action. Comme: Fio’vre Xotes Azer fixait de ses yeux fatigués les fluctuations de l’oscilloscope, les mains moites accrochées à des manettes d’un gris métalliques. Assis devant son pupitre, il restait concentré, tout emprunt d’un calme apparent. Derrière lui, le sas s’ouvrit dans un crissement désagréable et une forme apparut, elle aussi équipée d’une combinaison isotherme. Le nouveau venu fit quelques pas et posa sa main sur l’épaule droite de son collègue, alors qu’une voix calfeutrée sortit de son masque :« -Salut, Azer ! Je viens pour la relève. -Ah, c’est toi, Humer ? Quoi de neuf ? -Pas grand chose. Le chef de service a convoqué tous les membres du bloc ce soir à 15 decs. Et ton « patient » ? -Hum ! Cela pourrait aller mieux, mais après toutes ses péripéties, il ne fallait pas s’attendre à ce que toutes ses neurones se réactivent en si peu de temps ! -Ah ça… Après une décharge et l’incident dans le convoi… -Paraît que son caisson cryogénique a été désactivé quelques secondes. Normalement, personne ne résiste à cela. Heureusement pour lui, les circuits de secours se sont relancés peu après. Mais je bavarde, je bavarde et je te fais attendre. Tiens, je te laisse la place. » L’opérateur se leva et laissa son camarade s’asseoir devant la console. Un petit bouton rouge clignota, le temps que le nouveau manipulateur se saisisse des commandes, puis l’ordinateur afficha à nouveau sa froide apparence. Fio’vre Xotes Humer regarda l’écran vitré, à travers lequel apparaissait l’image du compartiment de congélation ralentie. Diverses voyants lumineux parcouraient sa surface dans une ronde organisée, planifiée par les électrodes. A l’intérieur de la cellule, on ne pouvait pas distinguer grand chose : les vapeurs glacées entouraient une forme sombre, indiscernable. « -Surveille bien sa tension nerveuse : elle est relativement basse, mais elle ne devrait pas dépasser la barre des 20. Ah, il y aussi le rythme cardiaque. IL vacille par moment, rien de bien inquiétant. L’ordinateur s’en chargera le cas échéant. -Pas de problème ; allez, salut et bonne journée ! » Le sas se referma et Fio’vre Xotes Azer retira son casque hermétique, dans un soupir de soulagement : « -Ouf ! Ma journée est finie. Encore un passage en salle de débriefing et j’ai quartier libre. » Il passa en toute hâte dans le couloir, laissant derrière lui son compagnon. A sa droite, derrière un long hublot transparent, l’immensité de l’espace se révélait, ponctué d’étoiles et de nébuleuses. Il n'y a que la description de l'espace. Si les fluctuations de la machine sont si importantes par la suite (dans le lointain), n'oublie pas que si tes passages sont courts, ils auront été depuis longtemps oubliés remplacés par le gros de l'histoire. En fait, ce passage est le seul que j'ai relevé si génant (à mon avis) - Les pasages descriptifs avec une action faible, juste pour éviter de sombrer dans que de la description: Les rochers et les falaises granitiques d’Ellirian défilaient sous les yeux des pilotes de motojets comme un manège incessant. Le bruit sourd des moteurs sophistiqués ronflait en continu, résonnant dans les défilés silencieux. Bientôt, une haute barrière montagneuse se dressa devant eux, une falaise apparemment infranchissable de pans de rocs empilés là depuis des siècles par la nature. Les six motojets ralentirent quelque peu leur allure, et commencèrent à sillonner le canyon avec circonspection. Enfin le meneur de la bande repéra un défilé à l’est, une sorte d’escalier taillé sur le flanc de la montagne et s’enroulant derrière l’escarpement. Il fit alors signe à ses compagnons de le suivre, et les voyageurs s’engagèrent à tombeau ouvert sur le sentier abrupte. Appuyés sur une corniche surplombant les marches, un ratling et deux guerriers de feu ne manquaient pas une miette de la scène. Ils observèrent en silence ces visiteurs importuns, bien trop près de leur retraite, à leur goût ! Ils ne ressemblaient mpas à des space marines. Leurs coiffes dentelées aux crinières noires, leurs armures moulantes d’un acier luisant, leurs fusils aux crochets proéminents… Tout cela indiquait clairement aux sentinelles que les nouveaux venus ne devaient pas être d’ardents partisans du bien suprême… Jusqu’à leurs véhicules ornés de chaînes déchirantes et de symboles pour le moins inquiétants. Le ratling se retourna vers un garde impérial nonchalamment assis sur un rocher, sa radio posée à côté de lui : « -Heuuu… Faudrait pt’être prévenir les autres ! -Ouais, approuva le garde, je m’en charge. » Le début est important, joli description quand même. Mais pour la suite, là où il y a réellement action, cette action doit avoir des conséquences: si les GI ont pu prévenir le commandant, alors à Malerne les SM stationnés pourront prévoir l'attaque (à mon avis). J'ai donc eu l'impression que cet action n'était là que pour mettre un peu d'action, mais qu'aucune répercussion n'était prévue. Encore une fois, c'est le seul dans ce cas. - enfin, passages où l'on ne situe pas. Là je pense à l'attaque des tyranides: on ne sait pas d'où ils viennent et comment, pourquoi ils viennent, ce qu'ils ont fait... On comprend que les SM les ont auparavant combattus, mais on ne les situe pas par rapport au commandement de Malerne et aux nombreuses troupes disponibles: il y a des SM et des GI un peu partout, et bien que cela viennent de l'espace, on ne sait pas réellement qui ils sont, et donc c'est parfois un peu gânant. En effet on n'a pas le temps de réellement comprendre le passage: il y a une attaque qui détruit une flotte, mais à part que ça nous prévient que les tytys arrivent, on se demande qu'auraient du faire les SM Sinon, après les attaques sur Priam VI, on a parfois du mal à comprendre où cela se déroule pour les attaques de ville Tau, mais c'est un problème mineur qui se résoud dès qu'on y réfléchit bien (c'est surtout pour les personnages mineurs récurrents (l'apprenti): on ne sait pas avec qui ils sont et donc sur quelle planète il y a risques. Sinon les récits courts sont parfait pour le répit ou le rpélude d'action, et les longs pour les actions, ce que tu fais d'ailleurs . Lors des passages courts essaie de plus situer l'action à ce qui s'est produit avant. Si avant les passages étaient courts, fais des rappels dans ton récit (le jeune X, le commandant Y, le psyker Z...). Le problème de ces courts récits est que l'on a du mal à s'en rappeler par la suite, alors s'il y a des répercussions il vaut mieux les allonger et plus se focaliser sur les personnages clés du passage. Enfin, un des problèmes est que tu comence une bataille d'un côté, et tu le finis chez l'ennemi. ce qui fait qu'un personnage est en mauvaise posture, et l'on ne sait pas ce qu'il lui advient, s'il survit ou pas: il se met dans une situation critique là où l'ennemi peut le tuer. ni une ni deux tu passes chez l'ennemi heureux de voir l'occasion, mais parfois l'ennemi est perturbé (je pense à l'exarque eldar noir blessé en disant ça). par contre, cela a créé un problème majeur dans l'histoire complèrement illogique: un ork mort ou tout du moins emprisonné poursuit First Hope: « -Eh lé gas, vou zallépa vou zamuzé san moa ! J’arriv’ ! »Le Big Boss massakr jubilait, il était dans son élément. Riant à gorge déployée, il culbutait ses adversaires négligemment, faisant de larges moulinets de sa hache démesurée. Il aperçut trop tard le laser rouge pointé sur son front : abrités derrière un pan de maison effondrée, des cibleurs l’avaient éclairé. Shas’vre Xotes Aior, posté sur un toit au nord, l’alignait avec son lance-missile. Le coup partit, et le projectile fonça droit vers sa cible, aussi inéluctable que la mort elle-même. Dans une explosion formidable, Exploz tomba à terre, inerte. Là on pense qu'Exploz est soit mort pa la balle, soit complètement assomé, et donc incapable de se défendre ou de fuir. Or juste après: A cet instant, une rafale de tirs à impulsion tombèrent du ciel, décimant les premiers rangs orks et semant la confusion dans leurs rangs. De nombreux Dévilfish descendaient du ciel, déchargeant leurs armes sur l’océan d’orks recouvrant la cité de Kal’aond’wyn. Ce soudain basculement du rapport de force acheva la déroute des orks qui reculèrent vers les restes de leur flotte et dans les quartiers désertés du nord-est la ville. Les orks fuient, sans prendre le corps de leur chef. Ainsi s'il n'avait été tué, il aurait été capturé, et cela me semble logique. Surtout que la longue description du missile présuppose que ça tue, ou tout du moins que ça assome bien . Mais on ne sait comment il se retrouve à la base ork lors de l'attaque de First Hope. Soit décris comment il a fui, ou alors dit lors de la déroute que les orks ont emportés la dépouille du chef (mais pourquoi le sauveraient-ils???). Sinon précise mieux le sort du chef, ne nous laisse pas dans le doute (c'est un des problèmes, on ne sait jamais si quelqu'un a survécu ou pas, tu coupes juste avant; suspense quand tu nous tient ) Je pense qu'il faudrait donc reformuler tout ça (bon courage ). Sinon dernière critique (je pense): précise bien pourquoi chaque peuple entre en guerre: je comprend les SM, les GI (dans les deux côtés) les Eldars, les Taus, même peut-être les Eldars noirs et les caskads, voire les orks (baston ), mais pas les nécrons (en fait, ce sont les seuls que je ne comprend pas). Et dernière critique (si, cette fois, je te le jure que c'est la dernière, crois-moi ): Je ne vois pas le lien entre la guerre sur Toregardobis et Priam VI, à part tuer les hérétiques. Il faudrait un lien plus fort, ou alors insister sur ce lien. Je pense que cette fois c'est tout, n'hésite pas à me poser des questions, car j'ai du mal développé et tout et tout (manque de temps, il ne faut pas se coucher trop tard non plus avant une course ). Mais je crois avoir tout dit, peut-être mal (c'est dur d'organiser sa pensée ) Iliaron PS: arrg, j'avais pas vu la toute dernière suite. Méchant, je vais devoir me coucher tard PPS: je crains que des lettres soient en moins: je n'avais pas appuyé sur Inser, et si j'ai corrigé j'ai supprim aussi, mais je n'ai pas envie de tout relire. EDIT: je n'ai pas compris ce que First Hope a dans la tête moi . Sinon le dernier passage est excellent, même si les Tyranides semblent très dangereux. je trouve que cela va te poser un problème; et cela fait comme dans de nombreux récits: une menace gigantesque imparable, puis finalemnt quand on se met à l'attaquer ce n'est rien. C'est illogique car si tu veux vaincre le styranides, ces derniers devront eprdre de la puissance, car pour l'nstant ils massacrent tout trop facilement, ça ne respecte pas un certain rapport de force (du moins de nombre des troupes, car les tyranides se multiplient trop vite. Ce n'est qu'une remarque, mais je trouve que c'est une erreur qui est dans trop de livres: un ennemi qui apparaît invincible, pour semer la peur chez le lecteur, mais au final il sera vaincu par miracle (alors qu'il était invincible), et cela on le sait d'avance (la surprise serai que les tyranides invincibles restent invincibles ) Sinon pour le début, tu nous dépeint une guerre symphonique, et ça rend drôlement bien: l'harmonie de la guerre oserais-je dire. En fait les eldars noirs ont des épées trononneuses?? (je ne connais rien au BG W 40k) Sinon je crois que je fais maintenant aussi partie de tes fans (si tu en as trop et que tu veux partager ) Iliaron, qui a quand même passé du temps sur ses critiques. Modifié le 23 avril 2005 par Iliaron Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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