Imperator Posté(e) le 21 juin 2005 Partager Posté(e) le 21 juin 2005 Ah là là... Je passe une fois, comme ça, et qu'est-ce que je vois? Un débat de fluff... Bon, on va faire comme ça pour ne pas se compliquer: - je n'efface, transfert, touche rien... - on s'occupe du récit, et on pose les questions à débat (et on fait les débats) côté background. Sinon, ben je reviens, je sépare de ce post tous les messages HS (parce qu'un débat sur les Tau communistes ou pas, ça n'a rien à voir avec la grande guerre de Toregordabis, enfin, pas grand chose) et j'envoie le tout côté background. Impe. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tano Heefa27 Posté(e) le 21 juin 2005 Partager Posté(e) le 21 juin 2005 OK, OK, on le f'ra plus, m'ssieur ... mais la critique d'un texte implique parfois un léger débat... , je suis cependant d'accord, cette fois, il s'est éternisé . Tano Heefa, qui (esseyera ) de ne plus le faire . Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Imperator Posté(e) le 21 juin 2005 Partager Posté(e) le 21 juin 2005 mais la critique d'un texte implique parfois un léger débat... Entièrement d'accord! Mais plutôt que de le faire en entier sur le post d'un texte (au détriment dudit texte), il serait préférable d'aller poser la question côté background (après une légère ou lourde rechercher) afin d'obtenir une réponse argumentée et de permettre à un débat parfois long de ne pas voiler le texte . D'ailleurs, le coup des Tau communistes, je connais un certain Grey_Jackal qui se serait fait un plaisir de répondre... Imperator, je ne suis pas contre les débats, mais comme on dit: "à chacun sa place et les moutons seront bien gardé". ps: oui oui, je me fais sénil avec mes vieux dictons B) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shas'o Benoît Posté(e) le 22 juin 2005 Auteur Partager Posté(e) le 22 juin 2005 Ok grand Imperator, poursuivons les débats dans la section Background. D'ailleurs il suffira de mettre des liens à l'avenir, pour pouvoir faire le rapport sans problème entre le texte et le débat. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tano Heefa27 Posté(e) le 22 juin 2005 Partager Posté(e) le 22 juin 2005 (modifié) Eh bien, de toute façon, le débat est clos: même si les Tau ne sont pas communistes, leur société ne récel pas de civiles . Voilà, je te propose donc, Benoit, de corriger ce point et d'ajouter la suite (sans oublier, si possible, de tuer Ganga ). Tano Heefa, fan et critique tout à la fois (çà rime en plus ). Modifié le 22 juin 2005 par Tano Heefa27 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shas'o Benoît Posté(e) le 23 juin 2005 Auteur Partager Posté(e) le 23 juin 2005 Pour moi, les civiles taus sont les kors, les fios et les pors. Puisque seuls les guerriers de feu combattent, les trois autres castes forment donc les "civils" taus. Quand à tuer Ganga, j'y réfléchit. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tano Heefa27 Posté(e) le 23 juin 2005 Partager Posté(e) le 23 juin 2005 (modifié) OK, bon, soit, mais justement, ces castes sont, en temps de guerre (surtout les Fio et les Kor) des auxiliaires des Shas... ce qui, de fait, rend impossible la réquisition de leurs engins . Remarque: seul la moitié des Kor environ peut être considérée comme civils, n'oublie pas qu'ils sont également la flotte de l'Empire Tau, le Kor'Vattra . Donc, OK pour la réquisition des navires humains (faut absolument que tu remplace "vaisseaux" par navires, çà prête à confusion dans un texte 40k ), mais pas pour les engins des castes que tu considère comme civiles, OK ? De toute façon, les Tau ne construisent plus de navires depuis qu'ils maîtrisent la technologie des cristaux à champ antigrav . PS: tu iras voir mes commentaires sur M'yen Mont'ka ? Modifié le 23 juin 2005 par Tano Heefa27 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shas'o Benoît Posté(e) le 24 juin 2005 Auteur Partager Posté(e) le 24 juin 2005 Ok ok ok, mais bon, moi tout ce que je voulais dire, c'est qu'il s'empara de tous les bateaux de toutes les villes de la côte à l'ouest : paquebots, navires de pêche, barques, voiliers, caravelles, jonques, que sais-je encore ? Bon alors voilà toujours la suite ! First Hope sentit toute la carlingue du SpeedBee tressaillir quand une rokette la frappa de plein fouet. L’ork commençait à en avoir assez de ce ballet aérien. Depuis un bon moment, les deux chasseurs se poursuivaient dans le ciel de Tah’nara, tirant de temps en temps des rafales. Mais la plupart du temps, ils s’évertuaient à éviter les rochers et falaises de la région. A présent ils arrivaient assez loin au sud… Les deux guerriers ne firent même pas attention au sol recouvert de nécrons qu’ils survolaient. Ils s’aperçurent trop tard que les monolithes pointaient leurs canons sur eux… Les avions orks furent frappés au même moment. Désormais Exploz Massakr avait d’autres soucis en tête que d’abattre le Speedbee. Son Chassa Bomba fut percuté de plein fouet par un tir de barrage, et tout espoir de retraite était coupé. Il sentait la peur monter en lui. Son appareil tomba en piqué, tournant en vrille ; dans un sursaut, le big Boss redressa le manche à balai, et le chasseur s’écrasa dans une colonne de nécrons, au pied d’une colline… Le Chassa Bomba fut pulvérisé par une gerbe de flammes, le souffle de l’explosion fit vaciller le seigneur nécron qui s’apprêtait à achever le psyker Iron Hands à terre. Burtox profita de l’occasion pour charger la butte à la tête des motos survivantes. Faisant volte-face, il faucha les combattants noirs de son épée énergétique, puis arriva enfin sur la motte. Sephir guida son escouade de scouts sur la pente gauche de la colline, repoussant ainsi les nécrons. Le frère apothicaire Cotizer appliqua les premiers soins à Marcus Vinceas qui était toujours inconscient. Le seigneur nécron se releva et, curieusement, se détourna de la butte. Il se remit en marche, suivit de son armée, vers une autre élévation à moins de 100 mètres de là. Aroyd Operatum, qui se repliait avec ses escouades en attendant un approvisionnement en munition, leva sa main bionique en signe de cessez-le-feu. Les Iron Hands retournèrent prendre leurs positions dans leurs tranchées, les Land speeder se posèrent au spatioport pour remettre en place les typhoons. Un silence de mort s’était établi sur le champ de bataille. First hope se sortit avec difficulté de la carlingue tordue du SpeedBee, encore enflammée et crépitante. Il s’était écrasé sur le contrefort des montagnes, et les réacteurs avaient volé en éclats. Heureusement, les missiles et les réservoirs n’avaient pas pris feu. Tout son travail, toute son œuvre avaient été brisés par ces squelettes ambulants…L’ork releva la tête en grondant. Formant un cercle autour de la carcasse du vaisseau, les guerriers nécrontyrs de l’arrière-garde de l’armée le regardaient de leurs yeux inexpressifs. Il n’y avait pas le moindre sentiment dans leur regard, ni compassion, ni haine. « -Band’de bidules zinutil, j’vé vou fère payé ! » Il chargea en appuyant en continu sur la gâchette de ses lance-plasma, faisant fondre à bout portant le corps de ses ennemis. Les nécrons ne se défendaient pour ainsi dire pas, et tentaient plutôt d’éviter les tirs. Quand il vida ses chargeurs, First Hope brandit ses deux armes comme des massues et brisa les armures squelettiques des soldats non-morts. Limignus, posté dans un bunker, observait l’autre bout de la plaine, d’où lui parvenait un tumulte confus. Malgré les jumelles optroniques, il ne réussissait pas à bien distinguait qui pouvait bien se battre là-bas avec autant d’acharnement contre des centaines de nécrons ? Azeboklimer, seigneur nécron noble s’il en était, sentait qu’il approchait enfin du but fixé par le Maître. Agenouillé devant la colline, couvert par des mécarachnides occupant le sol sur dix mètres à la ronde, il déchiffrait une stèle à moitié recouverte par les mauvaises plantes. De ses longs doigts métalliques, il écarta les brins d’herbe recouvrant les glyphes. C’était une petite pierre noire, aussi vieille que la planète elle-même peut-être. Les caractères gravés étaient ceux du peuple autochtone. Si Azeboklimer n’avait pas un visage d’acier figé, il aurait souri. Voilà donc à quoi ressemblait la dalle de Tuj ! pour avoir longtemps combattu les caskads en des temps immémoriaux, si lointains que même eux en devaient pas se le rappeler, le seigneur nécron avait acquis la maîtrise de leur écriture. A présent il connaissait l’entrée du Caveau Maudit. Le Maître serait content de lui. Il se releva. Si seulement son masque métallique n’était pas rigide, alors les space marines auraient pu l’entendre rire. Rire longtemps, rire encore. De ce rire qu’il avait lorsqu’il était encore de chair et de sang : un rire profond, sourd. Un ricanement de mauvaise augure. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tano Heefa27 Posté(e) le 24 juin 2005 Partager Posté(e) le 24 juin 2005 (modifié) Pas mal du tout . Et pour la première fois (c'est historique ), je n'ai rien à redire... sinon: "Continue! J'en veux encore !!!" (Parce que c'est un peu court, là... .) PS: mince, alors, j'ai quant même quelque chose à dire : un Ork ne ressent pas de la peur , seulement de l'"envi d'kontinuwer à vivr' pour pouvwar se battr' ". Modifié le 24 juin 2005 par Tano Heefa27 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Iliaron Posté(e) le 24 juin 2005 Partager Posté(e) le 24 juin 2005 C'est bien écrit, mais dur à suivre. Tout d'abord, il faudra que tu m'explique pourquoi Massakr est encore en vie, alors que dans un chapitre tu as toi-même écrit qu'il mourrait et que les orks fuyaient en abandonnant sa dépouille au tau (voir ma première critique). c'est un grand défaut, il faudrait que tu enlève le passage où la roquette lui fonce dessus (toujours avant) sinon ce combat n'a pas lieu d'être, comme Massakr est mort bien avant . Enfin: Le Chassa Bomba fut pulvérisé par une gerbe de flammes, le souffle de l’explosion fit vaciller le seigneur nécron qui s’apprêtait à achever le psyker Iron Hands à terre. Burtox profita de l’occasion pour charger la butte à la tête des motos survivantes. Faisant volte-face, il faucha les combattants noirs de son épée énergétique, puis arriva enfin sur la motte. Na manquerait-il pas une transition (car là elle est vraiment très maladroite, et résultat on n'y comprend plus rien, surtout que l'on ne connaît pas ce Burtox (il ne me semble pas du moins). On arrive dans une situation donnée, mais en fait, sans savoir cette situation (à part quie le nécron va achever le psyker. En un mot c'est trop brouillon ici. Il faudrait une phrase de plus de transition: "Au même moment, à terre, le psyker à terre regarda un Chassa Bomba se précipiter vers..." Enfin, j'ai hâte d'avoir la suite, car ton récit ouvre de nombreuses portes, mais n'en a fermé aucunes pour l'instant, ce qui fait que l'on s'y perd un peu (car on oublie entre temps), donc il faudrait une suite . Iliaron Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shas'o Benoît Posté(e) le 24 juin 2005 Auteur Partager Posté(e) le 24 juin 2005 Si si Burtox apparait avant comme expert motard, mais j'avoue que cette transition est assez rapide. C'est que je me dépêche de tapper pour rattraper le retard accumulé ! Content que pour une fois Tano Heefa27 n'ait ( presque ) rien à redire Exploz Massakr est bel et bien mort, tué par les taus, et pourtant il revient à l'assaut plus fort que jamais ??? Voilà qui est louche en effet... Cela n'aurait-il pas rapport avec la disparition de la trame du warp ? Je me suis inspira de Dawn of War pour le comportement de ce chef ork... Je n'en dirait pas plus... la ( courte ) suite, pour une fois une longue transition : Dans les gorges d’Ellirian, dans la cité troglodyte de Harnon, se tint un des conseils les plus hétéroclites que connut sans doute l’univers. Aun’el Chinas Zodd, guidant l’ensemble des forces taus sur Toregordabis, se tenait à droite d’Oio Vim. Se dernier se tenait nerveusement sur une stalagmite sculptée en trône. Il jouait machinalement avec son pistolaser, écoutant avec attention le rapport de Thomas Duipon, un ratling sniper aguerri qui avait jadis combattu des tyranides, plusieurs années auparavant : « -Vrai de vrai, gouverneur, les tyranides sont pires que les xénos. Je sais pas c’qu’ils z-en disent dans vos z-archives, mais moi j’les ai d’jà vus à l’œuvre. C’est terrifiant, ils sont z-aussi forts que nous à se planquer dans les couverts, et pour c’qu’il est de se battre, je sais même pas –l’Empereur me pardonne- si les Dark Angels qui z-ont débarqué ici feront le poids longtemps. » l’éthéré soupira et se tourna vers un de ses confrères, Aun’el Xotes Giuv, ainsi que le Shas’o Xotes hur qui portait encore son armure CRISIS, sur laquelle un liquide verdâtre, reste des tyranides rencontrés, dégoulinait encore sur le sol. -Où en est notre retraite à présent ? -La plupart des régiments gue’ve’sa se sont repliés vers Hargon, commenta Xotes Giuv, mais leurs pertes sont affolantes ; ils doivent franchir les marais pour nous rallier et ces créatures ne sont quant à elles nullement incommodées par les terrains défavorables. -Mes guerriers de feu, déclara le Shas’artorl, se sont pour la plupart réfugiés ici en embarquant dans les Dévilfish. Mais nous pouvons tout de suite repartir pour embarquer aussi les gueve. -Faites donc, Shas’Artorl, décréta Aun’el Chinas Zodd. Nous devons en sauver le plus possible. » le commandeur interrogea alors le ratling, les mains crispées sur les accoudoirs du siège rocheux : « -Que pouvons-nous faire pour détruire cet ennemi ? -Ils sont invincibles, j’vous dit, déclara le semi-homme d’un air abattu. D’la dernière campagne contre eux, j’suis l’seul survivant d’mon régiment. Et y’avais six chapitres de space marines avec nous ; c’était qu’une petite ruche d’ailleurs, un peu comme celle-là. Si les tyranides qui nous attaquent venaient d’une flotte ruche majeure, ons’rait d’jà plus là pour en parler, j’vous l’dit. » Après une courte pause, un capitaine impérial s’avança devant les dirigeants et, après un signe de tête respectueux, demanda : « -Que sont devenus les eldars noirs ? -Ils semblent avoir déserté ce monde, répondit Xotes Hur. Néanmoins, certains de leurs guerriers ont pu être capturés vivants ; nous essayons de les faire parler quand à leurs intentions futures. -Assez tergiversé, ordonna Chinas Zodd en regardant l’éclaireur droit dans les yeux. Comment faire pour enrayer leur invasion ? -L’meilleur moyen s’rait de détruire leur flotte-ruche rapid’ment, j’dirais. -Vous rêvez ! Qui ici aurait assez de puissance pour anéantir une flotte ruche ? -Pas les Dark Angels en tout cas, déclara Xotes Hur. Du moins pas avec le matériel qu’ils ont débarqué. Les STEALTH sont formels, ils n’ont pas amené d’artillerie lourde en telle quantité. -Et les eldars ? s’enquit Oio Vim, assez inquiet. On dit qu’ils ont un vaisseau-monde entier. N’est-ce pas suffisant ? -J’en doute, soupira Thomas. Une fois j’ai entendu parler mon général, il disait qu’un vaisseau-monde eldar, Ayindan ou Inandin ou un truc du genre, avait déjà eu à affronter les tyranides. Et qu’à la fin ils n’y avait plus que les morts pour se battre. Ouais, les morts ! Saleté de xénos… » Cette remarque jeta un froid dans l’assemblée. Tous les dirigeants, tous les conseillers, tous les généraux, toutes les personnes présentes avaient entendu. Du plus haut gradé jusqu’au plus jeune soldat. Tous partageaient la même crainte, et pourtant pas un ne semblait s’être rendu compte que la plupart des psykers qui jadis avaient assisté au conseil avaient disparu. Et les derniers psykers assermentés, qui avaient échappé aux griffes des eldars noirs, ne s’apercevaient pas de la disparition de leurs semblables, car le warp avait plus que jamais disparu. Comme si l’Immaterium n’avait jamais existé. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Iliaron Posté(e) le 24 juin 2005 Partager Posté(e) le 24 juin 2005 (modifié) le commandeur interrogea alors le ratling Le Tiens, toute la transition augure du meilleur. ca va me faire regretter de rien n'y connaître à W40k car là ça semble bien drôle avec cette fin de l'Immaterium. Bravo en tout cas, tu te rachètes ( ) ne s’apercevaient pas de la disparition de leurs semblables, car le warp avait plus que jamais disparu. En fait, un psyker ne peut pas se servir de ses yeux quand il n'y a plus de Warp?? Exploz Massakr est bel et bien mort, tué par les taus, et pourtant il revient à l'assaut plus fort que jamais ??? Voilà qui est louche en effet... Merveilleux, c'est fait exprès. ô joie, ô bonheur, une intrigue bien ficelée. Je me suis inspira de Dawn of War pour le comportement de ce chef ork... Bizarre, j'ai fini le jeu et ne m'en souviens plus (faut dire que les orks ont un rôle assez mineur, juste une sorte d'entraînement, et leur but est de tuer sans réfléchir ) Je n'en dirait pas plus... Ouff, le suspense est sauvé Et maintenant, chasse aux (et désolé de l'usage de smileys intensif, ça doit être l'heure, les révisions... je ne me sens plus . Iliaron EDIT: Si si Burtox apparait avant comme expert motard, mais j'avoue que cette transition est assez rapide. C'est que je me dépêche de tapper pour rattraper le retard accumulé ! Un poil trop rapide oui. Je te conseille de la retravailler un tout petit peu . Car si tu avance et que je suis pas content, et bon c'est pas bien, je serais pas content. Et si je suis pas content, et bin je serais méchant. Et naa!! (oui, ça doit être l'heure, excusez ). Mais sérieusement la transition est trop rapide: pas de changements de paragraphes, ça se fait presque dans la même phrase (bien lourde au passage)... Bref, au milieu de ton récit, elle jure. Iliaron Modifié le 24 juin 2005 par Iliaron Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tano Heefa27 Posté(e) le 25 juin 2005 Partager Posté(e) le 25 juin 2005 Attendez, là . J'ai manqué un épisode . Comment l'Ombre Warp d'une flotte ruche tyranide pourrait provoquer de tels bouleversements? Même à Maccrage, lors du passage de Behemoth, il n'y a eu aucune perturbation temporelle ... alors là, je demande des explications... . Parce qu'il me semblait, aussi, que Massakr' s'en tirait à peine sonné de sa rencontre avec un missile tau, comme nous le prouve le passage où First Hope survole les Orks... . Y'a un problême, là . A part çà, je suis, pratiquement comme d'habitude, d'accord avec Iliarion: le Bac semble t'avoir "chaotisé" . Par pitié, essaye de relire, ne fusse qu'une fois au moins, tes nouveaux ajouts . Tano Heefa, pas motivé aujourd'hui ... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Munkir Posté(e) le 26 juin 2005 Partager Posté(e) le 26 juin 2005 SA sent l'alliance de TAu gardes imperiaux SM , eldar et kacakds contre tyrannides et necrons... ou alors les croncrons vont tout detruire jusqu'a ne plus etre que des morceaux de boulons fondu et les survivants des differentes races vont nettoyer le rester et continuer a s'entre tuer tranquillement...Euh au fait ou est passer le chaos la d'dans? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shas'o Benoît Posté(e) le 28 juin 2005 Auteur Partager Posté(e) le 28 juin 2005 le chaos arrive, ne t'inquiète pas, Munkir. Pour ce qui est de la disparition du warp, elle n'est pas due qu'aux tyranides. la suite : Fio’vre Xotes Humer croisa le regard de son collègue. La même appréhension se lisait dans ses yeux. Le technicien soupira et dit : « -Alors ça y est, l’ordre a été donné. -Oui. On va enfin savoir si tous ces efforts n’auront pas été vains. -A toi l’honneur, vieux. » Azer enclencha deux manettes et l’oscilloscope ondula avec régularité, à mesure que les voyants de la cuve réfrigérante s’éteignaient. Humer compta mentalement jusqu’à dix puis ouvrit le sas du bac et appuya sur la commande d’ouverture des vannes. Karlo Quarc frissonnait. Il tenta de se relever, mais il était trop faible ; il voulut ouvrir les yeux, mais il avait beau soulever ses paupières, il ne voyait plus rien qu’une grande lumière blanche. Il entendit alors des voix parler dans un gothique impeccable : « -Regarde, Humer, il se réveille déjà. -ne vous inquiétez pas, humain, vous êtes entre de bonnes mains. » Il sentit des bras l’aider à se lever. Un bourdonnement continu frappait ses tempes, un martèlement insoutenable. Karlo sentit qu’il portait une sorte de combinaison plastique couvrant tout son corps. Il passa une main glacée sur son visage. Sa peau écailleuse était devenue flasque, molle. Les voix reprirent : « -Ne vous inquiétez pas, vous retrouverez bientôt l’usage de tous vos sens. C’est le contre-coup… -Je vais prévenir Aun’o Xotes Fial du bon déroulement des opérations. » Karlo s’assit sur ce qui lui semblait être une table. Peu à peu, il parvint à distinguer les contours des choses. Il était dans une sorte de pièce éclairée par des milliers de lampes et de projecteurs, sans doute dans une base xénos. Ces êtres avaient un accent inconnu. Celui qui était resté à côté de lui –Humer d’après les voix- lui tendit une sorte de manteau en fourrure. Karlo s’en vêtit promptement, avec des gestes saccadés. Un bruit de pas s’approcha et deux autres créatures entrèrent. D’après ce que le psyker en voyait, elles étaient un peu plus petites que lui, et leur peau était bleue. « -Voilà donc cet humain, déclara un des deux nouveaux venus. Il semble en pleine forme. Comment vous sentez-vous ? -As-sez bien, hoqueta karlo en esquissant un sourire. Mais q-qui êtes-vous ? -Aun’O Xotes Fial, guide du Premier Gal’eath de Xotes. Vous, vous êtes Karlo Quarc, s’est bien cela ? -Oui m-mais com-ment… -Nous avons entendu parler de vous sur Xotes. Nos escouades Stealth sont bien renseignées. A présent suivez-nous. Il veut vous voir aussi. » Les trois xénos l’escortèrent hors de la pièce, sans qu’il n’essaie de résister. Il essayait de se rappeler. Son dernier souvenir était une douleur atroce, quand un xénos lui avait envoyé une décharge électrique à Malerne. Après, c’était comme si il n’avait pas vécu, un grand vide. Ils passèrent dans plusieurs couloirs de métal, le long desquels des hublots laissaient voir l’espace constellé d’étoiles. Le psyker chancelait, encore secoué de convulsions. Il avait l’impression qu’un marteau frappait sa tête à un rythme démentiel, et tous les sons qu’il entendait se répercutaient à l’infini dans son esprit. Mais à présent il distinguait bien son environnement. Il vit que l’éthéré portait une arme à la ceinture. Aussitôt Quarc rassembla ses forces, puis bondit et s’empara de pistolet en criant : « -Reculez tous ou je tue votre chef ! » Humer et Azer, désemparés, firent mine de s’avancer, mais Karlo pointa le canon de l’automatique sur le front de l’aun : « -un pas… de plus et je le tue ! -Faites de moi ce que bon vous semblera, humain, décréta Xotes Fial. Je suis prêt à mourir pour le Bien Suprême. Mais vous, êtes vous prêt à me tuer ? Nous venons de vous sauver la vie, de vous arracher aux griffes de la mort et vous ne pensez qu’à faire le mal ? -Je ne vous croit pas… protesta Karlo Quarc. Pourquoi vous faire con-fiance ? -Si vous me tuez, ces deux fios appelleront à l’aide. Il y a de nombreuses parties de chasses à bord du gal’eath. Vous n’irez pas loin. D’ailleurs, vous êtes encore faible et entamé par votre séjour dans la cuve de réanimation. Vous n’avez aucune chance. -… -Si vous me rendez mon pistolet Cygne et ne tentez plus rien contre nous, j’oublierai cet incident. Si vous n’essayez pas de nous nuire, vous n’avez rien à craindre de nous. Les taus sont pacifiques. » Karlo hésita. Pouvait-il vraiment faire confiance à ces… ces créatures ? Cela était contraire à tous les préceptes impériaux. Pourtant ils paraissaient sincères. Et il se rendait compte qu’il n’avait vraiment pas le moindre espoir de s’échapper. Le psyker rendit le pistolet à l’aun, qui le rengaina dans son étui de cuir, puis ils reprirent leur marche. Ils approchèrent d’une grande porte qui s’ouvrit aussitôt par des vérins automatiques, et ils entrèrent dans une grande salle. On aurait dit une sorte de poste de commande gigantesque. Au centre se dressait un pupitre géant entouré de colonnes électroniques ronronnant sans arrêt. Il en partait des arcs argentés qui frappaient les antennes de ce que Karlo prit d’abord pour un ordinateur géant. Mais l’ordinateur tourna sa tête dans sa direction, et des diodes clignotèrent. Une voix lasse, robotique monta dans l’air : « -Bienvenue Aun’o Xotes Fial, et vous Karlo Quarc. Approchez que je vous voie mieux. » Le télépathe, intrigué et accompagné des trois taus, s’approcha de la chose. Quarc pensait qu’il s’agissait d’un androïde. Ce géant était relié aux colonnes par des câbles en gaines d’acier. Il était enchâssé dans un trône gigantesque, branché directement sur toutes sortes d’appareils sophistiqués. Le Cyborg reprit : « -Vous semblez étonnez par mon apparence, humain. Pourtant à y bien regarder, je suis encore un tau. -Comment serait-ce possible ? se hasarda Quarc. -Mon nom est Shas’ar’torl N’dras Arna. Appelé par vos semblables « Slaughterhorn ». -C’est impossible ! protesta le psyker. Slaughterhorn était un commandeur tau du passé, il arriva dans le système Priam il y a plus de 20 ans et il avait déjà une longue carrière derrière lui. Il devrait être mort à l’heure qu’il est ! On ne l’a plus jamais revu depuis plus de dix ans… -Et pourtant je suis là, reprit la voix. Les fios sont capables de prouesses techniques ; et c’est d’ailleurs à ces dernières que vous devez d’avoir la vie sauve aujourd’hui. » Il avait raison. C’était bien un shas en exo-armure comme Karlo en avait déjà vu sur Toregordabis. A l’exception que cette exo-armure était soudée aux mécanismes qui l’entouraient. Le psyker effrayé esquissa un pas en arrière. Humer et Azer le prirent par les épaules, alors que le guerrier reprenait : « -Suis-je si effrayant que cela ? -Non pas, assura Xotes Fial, mais il est compréhensible qu’il soit incrédule. -Et pourtant je crois que les humains savent depuis longtemps sauver l’esprit des mourants, dans ce qu’ils appellent des Dreadnought. » Après un silence, Slaughterhorn reprit d’une voix plus faible : « -Mais je ne suis pas un Dreadnought. Malgré tout leur génie, les techniciens de notre peuple ne savent pas encore égaler les prouesses des ancêtres des hommes. Je ne suis pas un esprit dans un corps de fer. Jadis j’étais un grand guerrier, toujours fidèle aux éthérés. J’ai longtemps servi le Bien Suprême et je ne crois pas que l’on ait eu à se plaindre de moi. Au fil du temps, je poursuivais mon combat en tentant d’ignorer les kai’rotaas qui s’écoulaient. Mais le temps passait trop vite et mon corps s’épuisait. Mon esprit entraîné par ma confiance en les auns et mon exo-armure entretenue par les fios n’ont jamais failli, mais mon corps s’est peu à peu affaibli, jusqu’à ce que je sois obligé de quitter le champ de bataille. Il y avait tant à faire. Je ne pouvais pas partir alors que Xotes avait toujours besoin d’un chef de guerre avisé pour faire appliquer les décisions des Très-Hauts. Alors Fio’O Thar m’a parlé de son projet d’allongement de vie. J’ai accepté, et depuis je suis coincé ici, dans ce cuirassé devenu mon bastion et mon foyer. Mon corps est toujours là, qui s’étiole peu à peu, mais à tout le moins mon esprit survit un temps à cette décomposition. Ces installations me ravitaillent et me permettent de tenir encore. Mais mon cœur fatigue et bientôt je serais tout à fait épuisé. Je suis un mourrant, Karlo, un spectre sans avenir. Parfois je me dit que tout cela n’a aucun sens. Je pense alors aux eldars et à leurs pierres esprits. Les seigneurs fantômes et même vos Dreadnought sacrifient leur éternité et le repos de la mort pour défendre les vivants, alors pourquoi les taus ne pourraient-ils en faire autant ? Moi du moins j’ai une force d’âme suffisante, et tant que les auns jugeront nécessaire que je demeure, tant que les fios parviendront à me maintenir en vie, je resterai à mon poste, fidèle au Bien Suprême. » A nouveau le silence tomba sur la scène, lourd, pesant. Puis Karlo Quarc, qui reprenait peu à peu ses forces, demanda : « -Pourquoi m’avoir enlevé ainsi ? -parce que vous étiez en danger sur Malerne, dit l’éthéré. Les Dark Angels se méfiaient de vous, tout comme cet inquisiteur fou qu’ils avaient amené. Vous aviez pris contact avec Aun’el Xotes Giuv, et ce dernier avait tout de suite compris que vous n’étiez pas vous-même un fanatique. C’est à la fois une vertu et un défaut. Quoi qu’il en soit, nous avons envoyé une équipe Stealth vous enlever avant qu’il ne soit trop tard. -Mais pourquoi moi et pas un autre télépathe, ou un autre psyker ? Je ne suis sans doute pas le seul à avoir des idées ouvertes. -Très bien, soupira Slaughterhorn, jouons franc jeu. C’était un concours de circonstances. Dans notre peuple, la trame du warp est totalement inconnue, et depuis quelques temps nous cherchions dans les mondes impériaux des psykers qui accepteraient de rejoindre nos rangs. Il y a douze kai’rotaas, j’ai rencontré un grand prophète sur le monde-forge de Terro’zak. En échange de sa libération, il m’a révélé une partie de ses visions. Il disait que mon peuple aurait besoin de Tah’nara, et qu’il devait la conserver à tout prix. Il a ajouté que l’année où les planètes du système Priam seraient conjonction marquerait un tournant dans l’essor de mon peuple. Il affirmait que tous les problèmes viendraient du warp, et qu’un psyker humain de Malerne réussirait peut-être à déjouer les pièges tendus par l’ennemi. Quand Xotes Giuv vous a rencontré, il a tout de suite pensé à cette prophétie. Seuls les éthérés et moi-même étaient au courant ; il a alors suggéré que l’on procède à votre sauvetage. Maintenant le gal’eath croise vers Tah’nara. Dites-nous ce que vous savez du warp, en particulier de tout ce qui a pu y changer cette année. Peut-être n’acceptez-vous pas cet enlèvement forcé, mais c’était votre destin, il faut nous croire. De toute façon, vous ne risquez rien. Nos guerriers de feu vous accompagneront partout le temps que nous comprenions ce qui se passe exactement sur Tah’nara, et sitôt les troubles arrêtés, nous vous relâcherons si vous le désirez. » Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tano Heefa27 Posté(e) le 28 juin 2005 Partager Posté(e) le 28 juin 2005 (modifié) Bravo !!! Là, tu marque un point ! Vraiment très bon, cet ajout est profond de sens et surtout d'importance ! On y voit tout de suite plus clair grâce à lui . Je vais te l'avouer, pour la première fois depuis que je lis cette histoire, et même si j'y ai encore relevé quelques incohérence ( ), j'ai vraiment apprécié . Evidemment, comme je te l'ai déjà dit, un psyker est un Humain normal avec des pouvoirs psychiques (donc sans écaille ), evidemment, le fait de dire que les Tau sont pacifique coince un peu ( ), evidemment, ce n'est pas la technologie des Dreadnoughts mais bien la technologie du sarcophage de stase qui permet la conservation de l'esprit et du corps, malgré tout, pour une fois, ces incohérences ne m'ont pas empêché de savourer le texte . Bravo, donc . Modifié le 29 juin 2005 par Tano Heefa27 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Munkir Posté(e) le 1 juillet 2005 Partager Posté(e) le 1 juillet 2005 Evidemment, comme je te l'ai déjà dit, un psyker est un Humain normal avec des pouvoirs psychiques (donc sans écaille ) evidemment, le fait de dire que les Tau sont pacifique coince un peu ( ), evidemment, ce n'est pas la technologie des Dreadnoughts mais bien la technologie du sarcophage de stase qui permet la conservation de l'esprit et du corps, Les psykers sont des mutants, hors qi dit mutants dit peut etre petit problemes corporels Les taus sont pcifique! ils n'utilisent els armes que quand on s'opposent a eux... et le sarcophage du dreadnougt n'est pas un sarcophage de stase mais un sarcophage rempli d'une susbstance pareil au liquide amniotique que les meres portent quand elles portent un enfant ( dit dans un white dwarf masi je sais plus lequel...) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tano Heefa27 Posté(e) le 2 juillet 2005 Partager Posté(e) le 2 juillet 2005 Les psykers sont des mutants, hors qi dit mutants dit peut etre petit problemes corporels Les Psykers sont le prochain stade d'évolution de l'Humanité, ce ne sont nullement de "vulgaires" mutants . Les taus sont pcifique! ils n'utilisent els armes que quand on s'opposent a eux... Des gens pacifiques continueraient les négociations, même sous des bombardements orbitaux (négociations sans arme, s'entend ). et le sarcophage du dreadnougt n'est pas un sarcophage de stase mais un sarcophage rempli d'une susbstance pareil au liquide amniotique que les meres portent quand elles portent un enfant ( dit dans un white dwarf masi je sais plus lequel...) Je pense en fait qu'il y à un peu de tout, et même si tu as raison pour la stase (elle n'est pas utilisée, sauf, vraisemblablement, pour la conservation du dreadnought en dehors des combats, pour encore polonger la vie de son "porteur" ), le nom de cette technologie est donc "Sarcophage de Conservation, et d'Utilisation du Corps et de l'Esprit d'un Défunt Clinique", SCUCEDC . Sans vouloir m'enliser dans un débat, j'attend la suite, quoi qu'il en soit. Tano Heefa (qui fait des vers sans en avoir l'air ). Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tano Heefa27 Posté(e) le 3 juillet 2005 Partager Posté(e) le 3 juillet 2005 Je vois ... Et pourtant, mon intention première reste, je le répète, d'aider les auteurs à améliorer leurs textes, pas à les faire désespérer devant les peletées d'explications fluffiques que je leur déverse sur la tête . Pour changer de sujet, elle vient, la mort de Ganga ??? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shas'o Benoît Posté(e) le 4 juillet 2005 Auteur Partager Posté(e) le 4 juillet 2005 (modifié) Je suis d'accord avec frère Porta. Sur Taran, ils expliquent bien que le gars dans le Dread' est relié par connections électriques à la machine, comme s'il en était une pièce intégrée, et c'est le dread' qu'on met en stase entre les batailles ( pour éviter que l'esprit du mourant ne s'étiole avec le temps ). En tout cas la mort de Ganga ne surviendra pas avant le chapitre IV... Je vais tacher de poster la suite aujourd'hui. PS : non ce n'est pas un monoligne, c'est un biligne. B) Modifié le 4 juillet 2005 par Shas'o Benoît Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tano Heefa27 Posté(e) le 4 juillet 2005 Partager Posté(e) le 4 juillet 2005 (modifié) Je suis d'accord avec frère Porta. Sur Taran, ils expliquent bien que le gars dans le Dread' est relié par connections électriques à la machine, comme s'il en était une pièce intégrée, et c'est le dread' qu'on met en stase entre les batailles ( pour éviter que l'esprit du mourant ne s'étiole avec le temps ). Donc en gros t'es d'accord avec nous deux . En tout cas la mort de Ganga ne surviendra pas avant le chapitre IV... Snif, le monde est injuste ... Je vais tacher de poster la suite aujourd'hui. OK, je me réjouis de voir çà . PS : non ce n'est pas un monoligne, c'est un biligne. Sans compter le PS, c'est même un septiligne B) ... (je sors ). Allez, envois nous vite cette suite . PS: Frère Porta, pour le déroulement de la guerre, je le vois plutôt comme çà: les Tyranides vont métaboliser Toregordabis, tuant et bouffant tout sur leur passage vu leur supériorité écrasante. Une fois la métabolisation en cours, tout les guerriers Tyranides se trouvant au sol, et leurs biovaisseaux se nourrissant de l'atmosphère de la planète, les Iron Hands vont lancer une attaque suicide avec leur vaisseaux équipés d'armes exterminators (j'espère pour eux qu'ils ont amené une barge de bataille ), vont empoisonner la planète (au prix de lourdes pertes ). Ainsi tueront-il au moins toute forme de vie à la surface et priveront-il les biovaisseaux de la nourriture nécessaire pour d'autres sauts warp vers le reste de l'Imperium. Les SM partirons ensuite prévenir l'Administratum de la menace, tandis que les Tau (les survivants de Tah'nara) décamperont pour échapper à un sort funeste. Finallement, une croisade menée par la Flotte Obscura sera lancée, qui aurra pour but d'exterminer les biovaisseaux. Si tout ce passe bien, les système sera rapidement nettoyé par la Flotte de Guerre Impériale, et les Caskads seront admis dans l'Imperium. Tah'nara deviendra un monde minier... Mais laissons Benoit nous donner sa version des faits ... Modifié le 4 juillet 2005 par Tano Heefa27 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité warman2 Posté(e) le 6 juillet 2005 Partager Posté(e) le 6 juillet 2005 Toujours aussi exellent ! Un peu confus, mais on s'en sort quand même. Au fait, j'espère que firsthope va survivre ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shas'o Benoît Posté(e) le 7 juillet 2005 Auteur Partager Posté(e) le 7 juillet 2005 (modifié) Firsthope survivra ( un temps au moins ). Désolé pour le retard. Voilà la suite : Milidonyr regarda par les grandes baies vitrées du vaisseau-monde Nychar la bataille stellaire qui faisait rage. Les chasseurs spatiaux eldars étaient complètement submergés par les raids des monstruosités tyranides, et la flotte ruche toute proche lançait vague sur vague de tirs acides et bio-missiles qui s’écrasaient sur les structures en moelle spectrale du blindage. Les vampires et autres appareils élancés devaient rivaliser de prouesse pour échapper aux carnassiers innombrables qui les entouraient. Mais cela n’était pas suffisant, car les tyranides étaient si nombreux que vitesse et habileté ne suffisaient plus, et les dévoreurs se jetaient en masse sur les cockpits, s’accrochant de leurs pinces et de leurs crocs, jusqu’à ce qu’ils broient les carlingues. Les premières escadrilles venues pour se ravitailler affichaient des pertes terribles. A ce rythme là, le vaisseau-monde verrait sa population décimée avant que les tyranides ne soient seulement affaiblis. Déjà les hordes de bêtes se posaient sur la surface de Nychar en espérant percer son armature et s’infiltrer à l’intérieur, et les vitres et hublots furent bientôt recouverts d’une masse grouillante de créatures immondes et hurlantes. Milidonyr arma son pistolet shuriken. Il savait que c’était une arme dérisoire mais c’était là tout ce qu’il avait pour tirer sur l’ennemi. La lame sorcière à la main, il descendit promptement les étages pour arriver au niveau des baies de débarquement. Là, les vaisseaux spatiaux eldars qui revenaient du combat entraient dans les soutes, pourchassés par des kyrielles de bestioles affamées. Les tyranides commençaient d’envahir les aires de décollage, et les gardiens avaient fort à faire. Arrivé à un tournant du couloir, le grand prophète aperçut à l’autre bout un conciliabule surprenant. Un seigneur fantôme aux membres élancés, au corps sculpté dans la moelle spectrale, communiquait par la voie télépathique avec un solitaire. L’arlequin, entouré de trois bouffons tragiques menaçant, arborait une armoire noire comme la nuit et portait une arme meurtrière au côté. De son regard inquiétant, il contemplait la machine de guerre et conversait avec elle. Quelques secondes s’écoulèrent, au cours desquels pas un des eldars ne bougea. Milidonyr se rappela une journée qui se déroula il y a très longtemps, sur sa planète bien-aimée, Aewilsir. Il était alors un jeune archonte, qui apprenait encore à découvrir les merveilles du warp ; avec les autres inités, il suivait le Grand Prophète Etalia et apprenait peu à peu de lui ce que tout visionnaire eldar devait savoir. Un jour au petit matin, tandis qu’il sortait de chez lui, le vénérable voyant l’appela et l’emmena en expédition. Prenant chacun une motojet, ils passèrent les murailles de la ville et disparurent bientôt dans les montagnes forestières alentour. Etalia le guidait et lui indiquait la route à suivre, passant en tête entre les collines herbues où s’épanouissaient des parterres de fleurs sauvages multicolores. Les deux voyageurs s’arrêtèrent vers midi au pied des Falaises du Milan, et Etalia dit qu’ils devaient continuer à pied. Montant vers les sommets, Milidonyr s’était demandé si le long escalier qu’ils suivaient avait été gravé dans la paroi où s’il s’agissait d’une concrétion naturelle. Finalement, au fait de l’à-pic, ils se reposèrent, assis sur des pierres de granit. Puis Etalia, appuyé à son long bâton sur lequel scintillait une pierre-esprit, se releva et indiqua la pointe escarpée des hauteurs, déclarant de sa voix modulée : « -C’est là-bas que se trouve le terme de notre voyage, Milidonyr. Suis-moi, il est temps pour toi que je te parle de Lui. » Les deux eldars approchèrent du promontoire vertigineux. L’archonte aperçut alors une petite stèle en psycho-plastique qui dépassait des mottes de terre et des touffes d’herbe drue qui poussaient dans les parages. Etalia s’agenouilla devant la dalle et fit signe à son disciple de s’asseoir à ses côtés. Parcourant la pierre de ses doigts élancés, le vieillard interrogea son élève : « -Sais-tu ce que c’est ? -oui maître, opina Milidonyr. C’est une balise en psycho-plastique formée par un chanteur de moelle. Elle sert à la communication à longue distance. -Peux-tu m’en dire plus ? -les communications télépathiques sont parfois troublées par les créatures envoyées par la Grand Ennemie. Les démons sont un danger réel même pour les plus grands prophète, c’est pourquoi les coiffes psychiques sont souvent recommandées, surtout pour envoyer des messages à longue distance. -Bien, mon jeune élève. Mais sur cette stèle en particulier, que peux-tu m’apprendre ? -Heu, elle semble très vieille, en tout cas. » Milidonyr hésita, puis posa une main sur la pierre et se laissa pénétrer par les flux de l’autre univers. Des images confuses, troublées affluèrent à son esprit à une vitesse impressionnante. Ses doigts se crispèrent peu à peu à la surface de l’objet, et il retira vivement sa main avant que la douleur ne soit plus supportable. Levant son regard vers son instructeur, il balbutia : « -C’est… c’est incroyable. Cela a des centaines, des milliers d’années ! -Oui, sourit Etalia, c’est un des plus vieux artefacts de notre peuple qui soit resté intact. Observe-le avec un peu plus d’attention à présent. Que vois-tu ? -Attendez… On dirait… Oui, il y a une rune gravée dessus ! ......................................:I\,,,..............I................. ....................................I=IODXI+ XOD............... ......................................:I/’’’’..............I.................. Elle semble assez archaïque. Par exemple ! Je ne l’avais jamais vue auparavant ! Que signifie t-elle ? -Ce glyphe, répondit le grand prophète, c’est toute une histoire. Presque celle de notre peuple d’ailleurs. C’est pourquoi je t’ai amené ici, afin que tu n’oublies pas. Pour la prononcer, tu dois t’inspirer de celles dont elle est dérivée ; en fermant les yeux et en laissant parler ton esprit à travers ton corps, tu dois pouvoir deviner comment elle s’énonce dans notre langue. » Milidonyr se concentra et réfléchit. Les yeux fermés, il se rappela tout à la fois la rune du vent, celle de la plume, celle du dragon cosmique, celle de la plainte, celle da la douleur, celle du combat et de la rage, celle de l’espoir et du matin. Toutes ressemblaient étrangement à celle gravée dans la balise. Alors l’archonte articula lentement : « -Abyss, ou Abyssal je suppose. -Oui, Abysse approuva le vieil eldar. Tel était son nom. Abysse fut un des plus grands seigneurs eldars d’avant la chute. Il descendait d’une noble lignée de princes au sang noble, et ses ancêtres remontaient en ligne direct jusqu’à la Mère des Eldars elle-même. Abysse était roi d’une antique planète sur la bordure de l’Empire, un paradis dans l’univers, véritable monde de joie et de bonheur : Aewil. Les cités blanches comme l’ivoire rayonnaient de splendeur, le ciel zébré d’arc-en-ciel vrombissait et les antigravs suivaient les routes célestes jalonnées de pilônes fleuris ; partout de riantes rivières bordées d’arbres croulant sous les fruits juteux s’écoulaient, se déversaient en cascade vers la Mer de La Harpe. Sur la grève recouverte de coquillages de toutes les couleurs s’élevait la capitale, Kaazias. Mille et mille milliers de maisons élancées aux courbes fine brillaient dans le ciel, reflétant les rayons du soleil, et tous les eldars qui y vivaient prospéraient. Abysse était un roi juste et bon, régentant le royaume avec droiture au nom des dieux. Mais Abysse était un de ces grands eldars qui cumulait les trois fonctions : commerçant-voyageur, initié-prophète et roi-guerrier. A la tête de ses flottes de commerce, il avait un véritable empire dans l’Empire, une organisation formidable où le commerce était roi. Des quatre coins de la galaxie, les transports ramenaient les denrées les plus variées, les articles de luxe les plus en vogue, les ressources les plus convoitées, tandis que des barges de convoiement transbordaient des matières premières et des artefacts aussi divers que splendides. On disait que tout ce qu’Abysse touchait valait de l’or. Mais Abysse avait, comme bien d’autres eldars des frontières, sentit que la Chute approchait. Jadis il quittait parfois Aewil dans son vaisseau rutilant et quittait le système pour un direction mystérieuse. D’aucun murmuraient qu’il partait rejoindre les Dieux et les Seigneurs Phénix qui avaient autrefois combattu pour nous, et qui aujourd’hui encore se battent à nos côtés. C’est pourquoi on affirmait que tout ce que touchait Abysse était béni, et de nombreux eldars désiraient ne serait-ce qu’effleurer son manteau de soie. Mais le roi Abysse le leur refusait la plupart du temps, préférant caresser la tête des enfants qui seuls gardaient le cœur pur. Quand quelques courtisans désiraient lui serrer la main, ils venaient alors dans la salle du trône. Il regardait alors ses visiteurs, et il savait qu’ils ne le méritaient pas. Eux-mêmes, en croisant ses yeux d’un bleu profond irisé de vert, sentaient au fond d’eux le mal qu’ils portaient. Car même en Aewil la marque de l’ignoble décadence approchait et couvrait les tours de son ombre hideuse. Alors le roi-prophète se leva et ordonna à ses plus fidèles conseillers de préparer la construction d’un vaisseau plus grand encore que les plus volumineux vaisseaux de commerce. Le vaisseau-monde d’Ellirian naquit sur l’orbite d’Aewil, forgé et créé par les chants des eldars. Abysse envoya les plus grands génies et les plus talentueux chanteurs de moelle aider à sa conception, et tout son empire commercial s’attela à la tâche. Mais croyant encore que tout espoir n’était pas perdu, Abysse partit une dernière fois pour la Capitale de l’Empire. Quand il arriva dans la Cité, la Fin approchait à grand pas. Il avait peine à croire que les créatures qu’il rencontrait étaient encore les fiers eldars qu’il avait connu, tant leurs vies avaient été dissolues dans les mœurs les plus infâmes. Certes, le chaos n’appliquait pas sa marque dans leurs chairs, la Grande Ennemie n’était pas encore née, mais Abysse pouvait lire leurs âmes comme il aurait pu boire du vin, et il but la coupe jusqu’à la lie. Les eldars de la Cité avaient l’esprit et le cœur rongés par le Mal et la Corruption, la morale avait chancelé et toute éthique bannie. Il avait envie de laisser sa colère éclater, de les secouer et de les tirer de l’Abîme dans lequel ils se jetaient eux-mêmes. Le soir, il avait été invité à un riche notable. Arrivé sur le seuil de la salle des banquets, il fut écœuré par le tableau qu’offraient ses frères et il hurla : « -Qu’avez-vous fait de votre âme, qu’avez-vous fait de votre vie ? Est-ce là tout votre honneur ? » Mais les convives se rirent de lui et le moquèrent cruellement. Retournant à son vaisseau, Abysse quitta la Cité, dégoûté. Sans un regard en arrière pour ce gouffre de malice, il repartit vers sa planète, et commença de s’effrayer de la chute qui s’amorçait. Il fit hâter la construction d’Ellirian, au mépris des railleries de plus en plus de ses propres concitoyens. Désormais le peuple croyait devoir sa félicité à son propre mérite, il oublia son roi et se méfia même de lui. Rares furent les visiteurs au Palais, et les amis se dispersèrent comme feuilles au vent, dévorés à leur tour par les péchés qui détruisaient leur esprit. Abysse convoqua alors les derniers chanteurs de moelle et grands prophètes qui croyaient encore en lui. Tous étaient effrayés, mais gardaient confiance en leur entreprise. Ils savaient que d’autres eldars avaient entrepris eux aussi de quitter l’Empire dévorer par cette gangrène purulente. Le Roi rassembla les derniers membres de son peuple qui avaient gardé la foi en lui et en la gloire des eldars. Ils partirent en exil pour Ellirian, bien qu’il ne fut pas encore achevé, et le vaisseau-monde s’éloigna d’Aewil. Trop tard. La Grande Ennemie advint et brisa ceux-là même qui lui avaient donné vie par leur conduite innommable. Khaine, notre maître et notre dernier rempart, sacrifia son corps divin et son énergie dans une lutte à mort, afin de donner une chance aux derniers fils de la Déesse-lune. L’Empire Eldar implosa, dévoré et déchiré par un énorme précipice de souffrance. Quand tout fut achevé, Ellirian croisait aux confins de la galaxie, solitaire. Mais sa fuite ne prit pas encore fin. Depuis les profondeurs des mondes pervertis par la Grande Ennemie vint un eldar si corrmonpu et si torturé par le Mal qu’on l’appelait le Suppôt, et à la tête de flottes inféodées, il se mit en chasse, poursuivant les vaisseaux-mondes de sa vindicte. Plusieurs autres expéditions eldars tombèrent entre ses griffes, des mondes exodites furent ravagés par ses légions ténébreuses, et lui même se mêlait aux massacres et aux pillages. Son armada avançait dans le sillage d’Ellirian, détruisant tout sur son passage, et Abysse comprit qu’il ne pourrait plus lui échapper. L’affrontement eut lieu près d’un petit système isolé que les mon-keighs appellent Ultima Macharia. Abysse partit à la tête de ses escadrilles de chasseurs et les frères ennemis s’affrontèrent dans une lutte sans merci. A la parfint, Abysse brisa la cohésion des flottes adverses et dispersa leurs bras. Le Suppôt se réfugia sur une petite lune isolée et lugubre. Abysse, décidé à anéantir une bonne fois pour toute cet esclave de l’Ennemie, le suivit sur la petite sphère avec les survivants de son expédition. Le Suppôt l’attendait au plus profond d’un ancien sanctuaire dédié aux dieux noirs par quelque race disparue. Les eldars ne connaissaient plus ceux qui avaient jadis élevé ces pierres de basalte, cette civilisation entière avait sombré dans l’oubli ; lorsqu’il posa le sol sur les marches du temple maudit, Abysse frissonna. En effet, il se rendait compte que le même abîme attendait peut-être son peuple. Néanmoins, il dégaina sa lame Assuiniel, et il entra sous les arches sinistre du sanctuaire du chaos. Le Suppôt, portant à la main une épée noire, attendait son adversaire en souriant. Le corps à corps s’engagea, cruel et sans pitié. Pas un des deux adversaires ne cédait de terrain et les deux fers se croisaient et se recroisaient en projetant des étincelles tout autour d’eux. On disait d’Abysse que tous ceux qu’il touchait étaient voués à la mort, tant il était un grand bretteur. En cet instant il prouva sa valeur. Inspiré par Khaine, mais aussi par l’art des scorpions, il appliqua tout son talent à esquiver les coups et à esquisser des contre-attaques, attendant que son adversaire s’épuise pour lui porter un coup fatal qui le tuerait net. Le Suppôt, quant à lui, chargeait en hurlant, frappant et tailladant, et donnait bien du fil à retordre au roi-prophète. Il cherchait à le tuer à petit feu, multipliant les coups portés ; déjà Abysse était lacéré au côté et au bras, mais il ne montrait rien de sa souffrance, son ennemi en eut été que trop heureux. Qu’est-ce qu’un jour pour un eldar ? Ils se battirent pendant un an entier, sans jamais cesser la bataille, et les fidèles des deux chefs attendaient debout, de chaque côté du vieux temple en ruine, prostrés tels des statues de pierre. Puis au dernier jour de l’année, Abysse sentit la poigne du Suppôt s’amollir. D’un revers, il écarta l’épée noire, puis frappa en plein cœur. Le Suppôt, poussant un soupir, s’effondra sur le sol, pantelant. Abysse contempla avec dégoût les traits de bonheur marquant le visage du traître. S’écartant du lieu du combat, il marcha lentement vers les escaliers. Mais son ennemi était animé par les puissances du Chaos ; se relevant de la mare de sang où il gisait, le Suppôt dégaina deux longs poignards qu’il portait à la ceinture, et se jetant sur Abysse, il les lui planta dans le dos, jusqu’à la garde. Le Roi, frappé à mort, porta la main à sa pierre-esprit qu’il portait au cou, et tomba sur les dalles noires sans un cri. Alors le Suppôt s’avança en titubant dans la lumière, les deux mains tendues, en hoquetant : « -Je-l’ai… tué ! J’ai vain-cu Ab-byss… » Les fidèles du Roi, le voyant sortir du sanctuaire, laissèrent parler leur rage et déchargèrent sur lui une pluie de shuriken, et les lames acérées tuèrent définitivement celui que l’on appelait le Suppôt, et son âme fut détruite et dévorée par les dieux sombres. Alors les eldars entrèrent dans la salle ténébreuses et recueillirent le corps d’Abysse, et le ramenèrent sur Ellirian. Là sa pierre-esprit fut enchâssée dans la moelle spectrale, tandis que l’on concevait un seigneur fantôme qui fut sculpté sur mesure, à son intention, portant avec fierté sa rune bénie. Son épée Assuiniel fut placée dans la main droite du guerrier sarcophage, et il reposa dans les caveaux du vaisseau-monde, comme un souvenir de ce que fut le Roi prophète voyageur. Le symbole d’Ellirian, le nom d’Ellirian signifie le Milan. Dans le conte, le Milan partit combattre l’Ennemi et la Mort aux côtés de Khaine et de l’aigle. Lorsque Khaine perdit son épée, ce fut le Milan qui sacrifia sa vie pour protéger le dieu, et il mourut des mains de la Mort elle-même. Mais son souvenir demeura parmi les dieux. Abysse suivit l’exemple du Milan, l’exemple des dieux. N’oublie jamais que l’Empire Eldar a cessé de vivre le jour où les eldars ont cessé de croire. Cessé de croire en lui, de croire en leurs dieux, de croire en leur Grandeur d’âme et en la noblesse qui est en eux. Fils des dieux et de la Déesse, héritier de la création, ils n’auraient jamais dû mépriser leur âme. Ne te laisse jamais aller à la dépravation, Milidonyr, et n’oublie jamais que tu es un eldar. Ton devoir et de faire renaître la gloire de nos ancêtres et de nos dieux pour l’éternité. Lorsque les pères de nos pères revinrent de l’exil et retrouvèrent notre galaxie, après avoir échappé aux cohortes du chaos, ils découvrirent un monde-vierge encore intouché par la marque des vices. Ils s’y installèrent et l’appelèrent Aewilsir, la nouvelle Aewil. Et sur son plus haut sommet, ils placèrent cette stèle en souvenir d’Abysse, le héros qui permit à notre peuple de survivre dans l’errance. » Modifié le 8 juillet 2005 par Shas'o Benoît Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tano Heefa27 Posté(e) le 7 juillet 2005 Partager Posté(e) le 7 juillet 2005 (modifié) Benoit> Je pense franchement que ce post est l'un des plus beau de toute l'histoire . Félicitation pour ta façon d'écrire . Par contre, qui dit long message de Benoit, dit... réactions du grand méchant Heefa ( ): la bataille stellaire La bataille se déroule en pleine espace, pas au coeur d'une étoile, que je sache . Le mot cosmique ou spatial est plus approprié . Les chasseurs astraux Spatiaux est plus correcte ... pour échapper aux carnassiers innombrables qui les entouraient. Alors là, c'est le comble ! Les chasseurs et bombardiers eldars sont les meilleurs et les plus rapide . Les biochasseurs tyranides ne vont pas à la moitié de leur vitesse . De plus, tu parle pas des abordages et pénétrations effectuées par les vaisseaux ruches qui ont pourtant du avoir lieu (les dix millions d'Eldar d'un VM classique ne sont rien face au milliards [oui, tu lis bien ] de guerriers tyranides que transporte une flotte ruche . Du reste, où sont les vaisseaux eldars (les vrais, ceux qui font plusieurs kilomètres de long )? Parce que là, c'est l'une des pires fautes fluffiques de toute l'histoire: un VM sans une escorte conséquente, qui en plus se lance dans un assaut ouvert dans un système (la faute est de taille, je te conseille vivement de corriger au plus tôt [pas la deuxième, la première ). Mais cela n’était pas suffisant. Les premières escouades Escadrilles . créatures immondes et hurlantes. Le son ne se propage pas dans le vide . psycho-plastique Moelle spectrale est plus apropriée . pilonnes Pilônes . Abysse partit à la tête de ses flottes de chasseurs et les frères ennemis Escadrilles de chasseurs . Mais crois-moi, c'est beaucoup trop peu pour arrêter les immenses et agiles vaisseaux EN . Qu’est-ce qu’un jour pour un eldar ? Ils se battirent pendant un an entier, sans jamais cesser la bataille, Heu... ce n'est n'est peut-être rien en terme de temps, mais physiologiquement et cliniquement, ils seraient mort bien avant un mois (un Eldar a environ les mêmes besoins en nourriture qu'un Humains ). « -C’est… c’est incroyable. Cela a des milliers, des millions d’années ! Il manque un mot, tu ne crois pas ? Et de plus, la Chute à lieu vers M29, donc 10 000 ans avant la Guerre de Toregordabis . Pas des millions d'années... ... Munkir (ou Frère Porta )> Mais je vois pas pourquoi tu explique d'ouviens le vaisseau monde? sa va expliquer le futur de l'histoire? C'est, à mon avis, simplement pour montrer que Milidonyr est vraiment déterminé par ce souvenir à vendre chèrement sa peau . De plus, j'ai beaucoup aimé la parenthèse historique . warman> Au début on dirait l'arche de Noé, puis ça devient un conte épique ! Continue ! Très belle comparaison ... Marat> Ca sent l'arrivé du Chaos ce flashback ... Très bon on veut la suite !!!! çà sent surtout le tyranide bientôt déchiqueté: je sens qu'Abysse et ses frères Gardiens Fantômes vont se battre comme sur Iyanden en 745.M41 . ____________ TH, qui à bien aimé, et attend la suite (mais pas avant une correction ne fusse que sommaire du dernier ajout )... Modifié le 15 juillet 2005 par Tano Heefa27 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shas'o Benoît Posté(e) le 14 juillet 2005 Auteur Partager Posté(e) le 14 juillet 2005 Correction sommaire effectuée, maintenant on repasse sur Tah'nara... La suite : Aussi soudainement que les nécrons étaient venus du nord, ils y retournèrent. Le seigneur nécron, Azeboklimer, mena l’ensemble de ses légions silencieuse dans ce défilé même par lequel elles étaient venues, et leur pas martial fit trembler la terre en s’approchant de Kal’aond’wyn… Debout sur le flanc d’uen colline, Aroyd Operatum regardait les nécrons rompre le combat et se replier en bon ordre. Burtox, guidant son escouade de motards, leva bien haut son épée tronçonneuse en triomphant : « -L’Empereur soit loué, ces xénos abandonnent ! Nous les avons repoussés ! » Le Général Operatum laissa ses space marines se réjouir, mais il ne dit mot et retourna vers les baraquements. Poussant une porte blindée, il entra dans une pièce blanche, éclairée par des néons vacillants. Sur une grande table d’operation, Marcus Vinceas était étendu, toujours inanimé. Un apothicaire et quelques serviteurs faisaient de leur mieux pour remettre sur pied le psyker, qui avait été sérieusement touché par les nécrontyrs. Epuisé et meurtri, le corps du space marine avait été délaissé momentanément par l’esprit du psyker, qui désormais errait dans ses souvenirs et ses rêves. Les techno-prêtres avaient trouvé dans la psycho-hypnose le meilleur des anesthésiants. Aroyd s’adossa au mur et contempla sa propre main bionique. La chair était faible, hélas. Mais grâce au Dieu-machine, elle pouvait être supplantée par l’acier et le fer, en lesquels la force réside… Pourquoi les nécrons avaient-ils rompu le combat ? Leur assaut, bien que renfloué par les Iron Hands, n’auraient pu être contenu longtemps, et leurs réserves en guerriers permettaient d’en sacrifier quelques milliers… Ils devaient sûrement réserver le gros de leurs forces pour un autre objectif. Mais dans ce cas, pourquoi envoyer tant de soldatesque ? Parce que cet objectif serait vital à leur survie, il n’y a pas d’autre solution. Mais alors pourquoi faire volte-face si vite ? Quelque chose, ou quelqu’un hâterait leurs décisions ; oui, ils sont sans doute pressés par le temps. Le général prit sa décision et se leva en ordonnant : « -Tachez de faire vite, frère apothicaire. Sitôt que le télépathe sera remis, vous nous rejoindrez. » Puis sortant du bâtiment, il convoqua son état major et donna ses instructions : « - Burtox, vous resterez ici avec vingt space marines pour garder le campement, le matériel et les communications avec les bases impériales. vous vous occuperez aussi du ravitaillement et des liaisons avec notre armée en marche. Que les motos scouts assurent une communication constante. Sephir ! Rassemblez trois escouades de scouts et partez à leur tête vers le nord. Vous allez suivre de près l’armée nécron et me rapporter leurs moindres faits et gestes. Prenez garde aussi à toute autre manifestation xénos, et le cas échéant, faites-moi un rapport détaillé. Limignus, rassemblez le reste de la compagnie en bon ordre, nous allons partir sur l’heure. -A vos ordres général, approuva le moine-guerrier. Si je puis me permettre, quelle sera notre manœuvre ? -Nous allons contourner l’armée nécron en coupant à travers les forêts que nous avons repérées, au nord-ouest de notre base. Je vais ordonner immédiatement un bombardement orbital sur les colonnes ennemies, puis nous les dépasserons et nous les affronterons quand ils arriveront dans cette métropole xénos. Celle située au nord et bâtie par les taus. A propos, où en est le rassemblement des miliciens impériaux ? -La garde est peu nombreuse ici, avoua Limignus, mais un régiment sera bientôt constitué dans les colonies à l’est. -Alors donnez-leur l’ordre de rallier notre base le plus vite possible. Burtox, vous les encadrerez, vous vous assurerez de leur loyauté et vous viendrez ensuite à la tête du Premier de Priam VI pour nous appuyer et prendre nos adversaires à revers. » PS: je pars en vacances demain, je ne pourrais plus aller sur internet avant la mi-juin alors bonnes vacances à tous ! Auf wiedersehen ! Good bye ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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