anthonybzh Posté(e) le 4 mai 2004 Partager Posté(e) le 4 mai 2004 Les Ducs se réunirent, il fallait faire face à une incursion de ces vils elfes noirs qui venaient d'accoster sur les terres de la baronnie de Vannes. Le baron Anthony de Ménimur eu pour tache de repousser cette première vague elfique, qui avait installée sur les contre forts de la cote une première force expéditionnaire. Les espions du baron avaient pu jauger les forces de l'adversaire : - leur chef montait un char tiré par deux énormes lézards des plus répugnants . - son lieutenant était lui juché sur un fort beau destrier noir (pas aussi magnifique que ceux de nos contrées) et semblait porté un masque étrange, dissimulant son visage, sans doute une "coquetterie elfique" ne servant à rien dans les combats (l'Histoire nous prouvera qu'il s'agissait d'un artefact maléfique qui fera chaviré les batailles dans le sens des drucchis). - une femme étrange, au teint blafard les accompagnait, vraisemblablement versée dans les arts magiques. - leurs troupes étaient essentiellement constituées de tireurs (deux unités d'une dizaine d'arbalétriers, et deux balistes). - une unité de lanciers semblait former l'essentiel des troupes, avec de sombres cavaliers et une dizaine de femelles hystériques.. - des créatures étranges, au nombre de six, volaient au dessus du camp. Le baron prépara son host, gueux et chevaliers, pour châtier hors de ses terres ces elfes maléfiques qui étaient connus pour vivre de rapines et de viols. L'honneur des Ménimur était en jeu. Il leva quelques gueux , 17 paysans en armes, 10 archers en formation disparate pour essayer d’harceler l’adversaire et un trébuchet disposé a l’arrière garde, ainsi que cinq sergents montés. Ses plus fidèles chevaliers l’accompagnait : sa grande bannière aurait en charge une des deux unités de 7 chevaliers du royaume, 5 jeunes chevaliers errants auraient ici l’occasion de faire l’heure preuve, et 6 chevaliers de la quête, vétérans de nombreuses campagnes renforceraient le gros des troupes. Tous portaient bien évidement bien haut les couleurs du baron. Il reçu également le soutien de trois chevaliers pégases, ainsi que d’une damoiselle, pour se protéger de la magie noir de ces envahisseur. L’armée pria et la bataille pu commencer. Les dispositions tactiques furent les suivantes (d’après ce que nos scribes ont pu retirer comme information des rares survivants à la bataille) : ELFES NOIRS : (de gauche à droite) Baliste, 10 arbalétriers, lanciers, 10 arbalétrier, char et harpies, héros monté, furies, baliste sur colline, cavaliers noirs. BRETONNIENS : (de gauche à droite) 3 pégases derrière une foret, 5 chevaliers errants, trébuchet sur colline, 7 chevaliers du royaume avec le baron, 17 hommes d’armes, 6 chevaliers de la quête, 10 archers derrière une foret et la damoiselle, 7 chevaliers du royaume avec la grande bannière et 5 sergents montés. Dés le début de la bataille, le char semblait ne pas vouloir avancer, les lézards seraient de stupides créatures ???? Le lieutenant s’avança derrière la foret, accompagné par des harpies à sa droite et des furies à sa gauche, puis les cavaliers prirent le flanc gauche. Sa sorcière alla se cacher à l’orée de l’autre foret. Sa magie fut facilement dissipée par notre damoiselle. Une pluie de carreaux d’arbalète s’abattit sur les cavaliers ainsi que des traits de baliste. Mais la Dame du Lac était avec nous, il n’y avait qu’une perte chez les sergents. Le baron se lança à l’attaque. Pégases et errants s’avancèrent sur le flanc gauche, le baron et ses chevaliers, accompagné par les chevaliers de la quête au centre, la damoiselle se plaça dans la foret et sur le flanc droit, les sergents allèrent appâter les furies tandis que la grande bannière et son unité s’apprêtaient à les charger au tour suivant. La damoiselle réussie à faire pousser des racines sous les sabots des cavaliers noirs, qui perdirent deux des leurs et fuirent hors du champ de bataille. Les archers s’occupèrent de quelques furies qui trépassèrent sous leurs flèchent. Le trébuchet entra en action, et un énorme bloc de pierre se figea devant les pieds des lanciers. C’est à se moment que le plan machiavélique de notre adversaire entra en action. Il plaça son l’étrange lieutenant masqué à quelques pas de ma grande bannière, après que ses furies eues chargées mes sergents, qui fuirent évidement, les harpies faisant écran entre ces dernières et les chevaliers. Le char était toujours aussi stupide. Sa sorcière semblait toujours aussi peu inspirée, tout comme ses tireurs qui ne firent qu’un mort, chez les chevaliers de la quête. LA Dame était avec le Baron, pensait-il, mais une énorme désillusion l’attendait, alors qu’il maîtrisait le champ de bataille. En effet, l’elfe masqué disposait d’un artéfact qui rendit la grande bannière fou de terreur et l’obligea à quitter la bataille, la damoiselle résistant à cette terreur avec un sang froid exceptionnel. Les pégases chargèrent une baliste, les chevaliers errants des arbalétriers, fauchant tous sur leur passage, mais ne faisant pas perdre ses moyens à la sorcière qui était toute proche. Le baron, ne pouvait charger personne et s’avança pour préparer une charge dévastatrice au prochain tour. Les chevaliers de la quête de perdirent pas l’occasion inespéré de charge le char. Le combat se solda par une victoire, mais le char ne s’enfuit pas. Le trébuchet envoya une pierre s’écraser sur les furies, les archers semblèrent blesser le cavalier masqué. C’est à ce moment précis que la Dame sembla quitter le camp du Baron de Ménimur. Les arbalétriers vinrent faire barrage devant le baron, les lanciers se placèrent de façon à pouvoir prendre le baron de flanc au tour suivant si ce dernier chargeait et rattrapait les arbalétriers. Le général ennemi sur le char élimina deux chevaliers de la quête et les fit fuir, sans les rattraper. Les harpies se rapprochèrent du trébuchet sans l’atteindre, le cavalier masqué s’approcha des archers du baron, les furies se retournèrent vers le centre de la bataille et els lanciers se tournèrent vers les impétueux chevaliers errants qui étaient passés derrière leur dos après avoir rattrapé les arbalétriers. Un vent de magie très puissant frappa le champ de bataille et vint se figer à quelques pas de l’unité du baron. Mais le pire arriva, les dix derniers arbalétriers et la baliste tirèrent çà l’unisson sur le baron, les armures semblèrent inexistantes, tout comme la protection de la dame, et quatre chevaliers s’effondrèrent. La Bonne Fortune avait changée de camp. Les archers furent pris de terreur, les chevaliers errants furent obligés de charger les lanciers, ne subirent aucunes pertes mais fuirent devant le nombre, les pégases s’avancèrent vers la seconde baliste. Désorienté, le baron chargea les arbalétriers, les faucha, mais ne pu galoper trop loin, et resta a porter des cinq furies qui arrivaient sur son flanc. Le trébuchet s’écrasa sur le char, tuant le général elfe. La bataille tourna au cauchemar pour le Baron, les paysans, après avoir eue peur du cavalier se rallièrent, les hommes du trébuchet se firent mettre en morceaux par les harpies, le baron et ses trois chevaliers, se prirent une charge de flanc par cinq furies, qui infligèrent deux pertes aux chevaliers (le terrible double 1 sur deux sauvegardes à 2+). Il ne restait que les quelques paysans, deux chevaliers pégases et la Damoiselle pour nous colporter le déroulement de cette bataille. Après cette déconvenue, il ne fait aucun doute que les Ducs de Vannes vont envoyer une nouvelle host pour détruire les Drucchis, mais cette fois, il seront prévenus qu’il faut se méfie du maléfique artefact du cavalier noir, qui réussi à faire détaller une grande partie de l’armée du Baron. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Khaela Posté(e) le 4 mai 2004 Partager Posté(e) le 4 mai 2004 Joli rapport, bien écrit dans le style des bretonniens. Très agréable et beau travail. Pour la bataille, il est vrai que les dés ont parfois des fantaisies qui peuvent être fatales. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés
Rejoindre la conversation
Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.
Remarque : votre message nécessitera l’approbation d’un modérateur avant de pouvoir être visible.