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[40K/AoS/WFB][VO] Inferno!


Schattra

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Hello there! Bienvenue sur ce sujet dédié à la revue critique des publications infernales de la Black Library, éditées entre 1997 et 2005 pour la première itération d'Inferno!, et à partir de 2018 pour les anthologies siglées Inferno!. Comme je l'ai fait pour le sujet dédié à Hammer & Bolter (ici, si ça t'intéresse), je me fends d'un petit sommaire pour faciliter la navigation entre les différentes sections de ce sujet.

 

Inferno! (the early years) :

 

 

Inferno! (the modern era) :

 

 

Comme plusieurs chroniques apparaissent plusieurs fois au cours des pages suivantes, j'ai identifié les premières publications en mettant leur titre en bleu.

 

***

 

Bonjour à tous et bienvenue sur ce sujet dédié à la chronique des nouvelles publiées par la Black Library dans la revue Inferno! Pour les lecteurs familiers du sujet consacré par votre serviteur au successeur de l'infernal bi-mensuel qui nous intéresse ici, rien de bien nouveau sous le soleil. Il s'agira à nouveau de passer au crible les écrits des contributeurs de la BL, afin d'en tirer la substantifique moelle de la manière la plus étayée, mais néanmoins distrayante (car j'ose espérer que les deux termes ne sont pas irréconciliables), possible. J'incite les néophytes à jeter un regard pudique sur l'objet du délire (ici), afin qu'ils puissent juger par eux mêmes de la nature du présent propos. On ne pourra pas dire que vous n'avez pas été prévenus. 

 

Une fois n'est pas coutume, avant de nous lancer bravement dans l'autopsie du "premier" numéro d'Inferno!, j'aimerais débuter par quelques éléments de contexte, et fournir au lecteur une brève introduction sur ce qu'a été, et qu'est cette publication, à la fois pour la Black Library, mais plus largement pour Games Workshop et pour le Hobby en général. 

 

En 1997, Games Workshop fête ses 22 ans et la popularité de ses deux franchises phares, Warhammer Fantasy Battle et Warhammer 40.000 (lancée dix ans plus tôt) permet à l'entreprise de poursuivre sa croissance sur les marchés européens et américains. Sans cesse à la recherche de nouveaux moyens d'apporter le hobby (et ses produits, il faut bien vendre après tout) aux hordes grandissantes de fanboys/girls, les têtes pensantes de GW décident d'allier l'utile à l'agréable1 en testant une publication d'un nouveau genre, dont le but sera d'enrichir le background des univers de la maison à travers des œuvres de fiction. Jusque là traité comme un "enrobage" des jeux et règles publiés par Games Workshop, le fluff bénéficierait donc pour la première fois d'un traitement exclusif, ce que revendique/avertit clairement Andy Jones, éditeur historique d'Inferno! dans le premier numéro de la revue, diffusé en Juillet 1997, après un pilote encarté dans le White Dwarf #210 de Juin 19972. Cet épisode marque également l'acte de naissance de la Black Library, dont la première incarnation se trouve tout simplement être l'équipe en charge de la mise en forme et de la publication d'Inferno! (initialement baptisé Carnage), soit initialement Andy Jones, Marc Gascoigne et une certaine Judy. On peut donc mettre au crédit d'Inferno! l'intégralité des publications de la BL, depuis la plus ancienne anthologie de nouvelles Battle jusqu'au Siège de Terra, en passant par la palanquée d'ouvrages et de séries "mythiques" ayant enflammé l'imagination des milliers de petits  et grands nerds au fil des ans. 

 

Au long de ses 46 numéros initiaux, publiés à raison de six par an de Juillet 1997 à Janvier 2005, Inferno! s'est donc employé à enrichir, et ce dans tous les sens du terme, les univers de Warhammer Fantasy Battle et Warhammer 40.000 (avec une attention particulière pour le "sous-univers" constitué par Necromunda dans le cas du second). Par le biais de nouvelles, bien sûr, présentes par quatre dans chaque opus (généralement deux pour chaque franchise), mais également grâce à des comics (qui bénéficieront dans un second temps d'une publication dédiée, Warhammer Monthly), des cartes, des chroniques, des illustrations, des poèmes, et même du cosplay (si si). Cette diversité des supports et médiums utilisés est l'un des traits distinctifs de l'ancienne mouture d'Inferno!, et un pari franchement réussi de la part de ses éditeurs (Andy Jones, Marc Gascoigne puis Christian Dunn3). On ne peut que regretter que les succédanés du magasine se soient jusqu'alors limités à la nouvelle, sans doute pour des questions d'économies. Pour ma part, j'ai toujours considéré la qualité des illustrations produites pour Games Workshop comme un élément central de mon attachement au Zhobby, et je ne pense pas être le seul dans ce cas. Quelques esquisses de John Blanche, Kev Walker, Wayne England, Paul Dainton, Adrian Smith ou des frères Kopinski en introduction des textes de Hammer & Bolter, comme cela était fréquent pour Inferno!, ne m'auraient donc pas du tout déplu. Puissent ces jours fastes revenir!

 

Une autre caractéristique majeure d'Inferno!, reprise en partie dans Hammer & Bolter à travers les Hot New Talents évoqués par Christian Dunn dès le premier numéro du webzine, et ré-instaurée par Charlotte Llewelyn-Wells dans l'infernal reboot de la revue, est l'ouverture à des contributeurs externes à la Black Library et à Games Workshop. Auteurs et illustrateurs furent ainsi invités à soumettre leurs travaux à la rédaction du magasine, dont une grande partie du contenu fut ainsi constitué des meilleurs envois de ces postulants. C'est ainsi que certains des contributeurs les plus connus de la Black Library firent leur entrée dans la carrière, comme ce bon vieux Ben Counter (DaemonbloodInferno! #12) ou le flegmatique C. L. Werner (A Choice of Hatred, Inferno! #22). Inferno! permit également à de jeunes auteurs de science-fiction et/ou d'heroic fantasy de prendre de la bouteille, dont un certain Daniel Abnett, qui s'investit particulièrement dans les premiers numéros de la revue et fut l'un des plus prolixes contributeurs à cette dernière (28 piges tout de même!). Enfin, Inferno! fut aussi, et peut-être surtout, la première scène de quelques uns des héros les plus iconiques de la Black Library, au premier rang desquels on retrouve Ibram Gaunt et ses fantômes, ébauchés par le même Abnett dans le Ghostmaker du numéro 4.

 

Après un ultime numéro en Janvier 2005, Inferno! cessa d'être publié par la Black Library. Cette dernière lui donna cependant un successeur cinq ans plus tard à travers le webzine Hammer & Bolter, qui ne parvint pas à égaler son auguste prédécesseur en termes de longévité et disparut lui aussi de la circulation en 2012. Il fallut attendre six ans de plus pour que la BL se décide à remettre au goût du jour le concept de la publication régulière de nouveaux textes par le biais d'un magasine (ou plutôt d'une anthologie, pour reprendre le terme actuellement usité) dédié. Inferno! rejaillit donc de ses cendres à la fin de l'année 2018, sous un format différent de sa précédente incarnation. Plus conséquente (une douzaine de nouvelles par numéro), disponible comme ebook et paperback à partir du #2, et publiée sur base trimestrielle (pour autant que l'on puisse en juger à l'heure actuelle), cette nouvelle mouture fut lancée concomitamment (ouais, j'aime mettre des adverbes de cinq syllabes et plus de temps à autre dans mes élucubrations, ça maintient le lecteur éveillé) avec la réédition en version hardback de numéros initiaux d'Inferno!, disponibles par série de cinq pendant une période de trois semaines. À titre personnel, cette rareté de l'offre sciemment provoquée ne me semble pas une stratégie marketing des plus intelligentes, le public étant prêt à acheter ou racheter à 7€ pièce, une revue d'une soixantaine de pages dont le contenu est largement disponible gratuitement sur internet, ou sur les circuits de l'occasion, n'ayant pas à mon sens besoin qu'on lui complique la tâche en ne lui laissant que 20 jours pour acquérir une partie de sa collection (sans qu'une quelconque ristourne ne soit appliquée pour l'achat groupé des cinq numéros proposés à la réédition au même moment qui plus est). Ajoutez l'absence d'extraits gratuits, comme cela est généralement proposé par la Black Library sur son site, et ce qui aurait permis de mettre en valeur le contenu artistique d'Inferno!, et vous obtenez l'ultime offre de niche, destinée à des connaisseurs nostalgiques/curieux friqués et hyper connectés, soit la partie la plus congrue du lectorat BL. 

 

En conclusion de cette introduction, et à toutes fins utiles pour le lecteur intéressé par la découverte des nombreux trésors que recèle Inferno!, vous trouverez ci-dessous la liste détaillée des sommaires des quarante-six numéros que compte la série initiale. La plupart des nouvelles et comics initialement publiés dans cette revue ayant été réédités dans une anthologie quelques mois plus tard, il est possible de reconstituer le corpus infernal assez facilement et à moindre coût en achetant les recueils concernés d'occasion. Cela étant, quelques incunables, jamais republiés, forceront le lecteur en quête d'absolu à quelques contorsions ou dépenses somptuaires pour assouvir ses coupables passions. Il faudra également être pugnace et inquisiteur pour mettre la main sur les autres contenus d'Inferno! (regroupés sous le nom de features ci-dessous), qui n'ont à ma connaissance jamais bénéficié d'une réédition. Et pourtant, cela aurait fait un ouvrage des plus sympathiques! 

 

1: Dans l'interview donnée en 2007 à l'occasion des dix ans de la Black Library, Marc Gascoigne évoque le rôle joué par l'émission Blue Peter, programme pour enfants culte en Grande Bretagne, lancé en 1958 (!!) et encore produit de nos jours, et des Blue Peter Annuals, magasines dérivés de l'émission regroupant histoires, tutoriels et jeux, dans la conception de ce qui allait devenir Inferno!

 

2: J'ai découvert avec émotion en effectuant les recherches nécessaires à ce propos préliminaire que ce fameux "Numéro 0" était constitué en tout et pour tout de The Hounds of Winter de Jonathan Green, texte superlatif sur lequel l'auteur de ces lignes a eu le bonheur de longuement s'épancher du fait de sa republication dans le recueil Realm of Chaos. Mon avis sur l'ouvrage reste strictement le même (à savoir: "mbouarf"), mais mon estime pour la bande de Badenov et le créateur d'icelle se trouve augmentée du fait du rôle fondateur joué par l'une et l'autre dans la genèse d'Inferno!

 

3: Notons que Dan Abnett, William King et Graham McNeill ont également tenu la colonne pour les numéros dédiés à leurs héros respectifs.

 

Sommaire Inferno!

 

#0 (Juin 1997)

  Révéler le contenu masqué

 

#1 (Juillet 1997)

  Révéler le contenu masqué

 

#2 (Septembre 1997)

  Révéler le contenu masqué

 

#3 (Novembre 1997)

  Révéler le contenu masqué

 

#4 (Janvier 1998)

  Révéler le contenu masqué

 

#5 (Mars 1998)

  Révéler le contenu masqué

 

#6 (Mai 1998)

  Révéler le contenu masqué

 

#7 (Juillet 1998)

  Révéler le contenu masqué


#8 (Septembre 1998)

  Révéler le contenu masqué

 

#9 (Novembre 1998)

  Révéler le contenu masqué

 

#10 (Janvier 1999)

  Révéler le contenu masqué

 

#11 (Mars 1999)

  Révéler le contenu masqué

 

#12 (Mai 1999)

  Révéler le contenu masqué

 

#13 (Juillet 1999)

  Révéler le contenu masqué

 

#14 (Septembre 1999)

  Révéler le contenu masqué

 

#15 (Novembre 1999)

  Révéler le contenu masqué

 

#16 (Janvier 2000)

  Révéler le contenu masqué

 

#17 (Mars 2000)

  Révéler le contenu masqué

 

#18 (Mai 2000)

  Révéler le contenu masqué

 

#19 (Juillet 2000)

  Révéler le contenu masqué

 

#20 (Septembre 2000)

  Révéler le contenu masqué

 

#21 (Novembre 2000)

  Révéler le contenu masqué

 

#22 (Janvier 2001)

  Révéler le contenu masqué

 

#23 (Mars 2001)

  Révéler le contenu masqué

 

#24 (Mai 2001)

  Révéler le contenu masqué

 

#25 (Juillet 2001)

  Révéler le contenu masqué

 

#26 (Septembre 2001)

  Révéler le contenu masqué

 

#27 (Novembre 2001)

  Révéler le contenu masqué

 

#28 (Janvier 2002)

  Révéler le contenu masqué

 

#29 (Mars 2002)

  Révéler le contenu masqué

 

#30 (Mai 2002)

  Révéler le contenu masqué

 

#31 (Juillet 2002)

  Révéler le contenu masqué

 

#32 (Septembre 2002)

  Révéler le contenu masqué

 

#33 (Novembre 2002)

  Révéler le contenu masqué

 

#34 (Janvier 2003)

  Révéler le contenu masqué

 

#35 (Mars 2003)

  Révéler le contenu masqué

 

#36 (Mai 2003)

  Révéler le contenu masqué

 

#37 (Juillet 2003)

  Révéler le contenu masqué

 

#38 (Septembre 2003)

  Révéler le contenu masqué

 

#39 (Novembre 2003)

  Révéler le contenu masqué

 

#40 (Janvier 2004)

  Révéler le contenu masqué

 

#41 (Mars 2004)

  Révéler le contenu masqué

 

#42 (Mai 2004)

  Révéler le contenu masqué

 

#43 (Juillet 2004)

  Révéler le contenu masqué

 

#44 (Septembre 2004)

  Révéler le contenu masqué

 

#45 (Novembre 2004)

  Révéler le contenu masqué

 

#46 (Janvier 2005)

  Révéler le contenu masqué

 

Schattra, "à nos chers disparus"

Modifié par Schattra
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  • 3 semaines après...

Bonjour et bienvenue à tous dans la critique de ce premier numéro d’Inferno!, nouvelle mouture! On peut parler de retour aux sources pour la Black Library, qui reboote le magasine avec lequel tout a commencé pour elle, il y a un peu plus de vingt ans maintenant (pour plus de détails, se reporter au post ci-dessus - c'est pas loin -). Plus costaud que son petit frère en termes de contenu, un peu comme le Primaris à gode-ceinture de la couverture l’est pour le Space Marine lambda, cette version d’Inferno! joue également uniquement la carte de la prose: pas de comics, cosplay, carte, croquis ou chronique (c’est la maison qui régale sur ce dernier point, ne vous inquiétez pas) au menu cette fois, rien que de la nouvelle, mais par paquet de douze (onze en fait), excusez du peu. Dans la série des interdits littéraires, notons également l’absence de soumissions rattachées à l’Hérésie d’Horus, qui confirme par ce fait son statut de franchise d’exception dans le portefeuille de la BL. Alors, ami lecteur, que peux-tu attendre pour tes dix balles1 d’écot? Bien des choses, bien des choses en effet…

1: 9,99€ pour les numéros 1 et 2, et 11,99€ pour le numéro 3, qui sera disponible début mai 2019. 20% d'augmentation avec le passage à l'année du cochon de terre (en même temps, c'est un bon descriptif d'une tirelire en porcelaine), ça picote un peu. Peut-être à mettre sur le compte de la plus grande participation d'auteurs établis pour ce tirage (Haley, J. Reynolds, French, Guymer, Lyon, Keefe).

1-cover.jpg

 

The Unsung War (D. Annandale) [40K] :

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No Hero (P. McLean) [40K] :

  Révéler le contenu masqué

 

The Path to Glory (E. Dicken) [AoS] :

  Révéler le contenu masqué

 

A Common Ground  (M. Brooks) [NDA] :

  Révéler le contenu masqué

 

The Emperor’s Wrath (S. B. Fischer) [40K] :

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Waking the Dragon (J. Reynolds) [WFB] :

  Révéler le contenu masqué

 

The Enemy of my Enemy  (N. Crowley) [40K] :

  Révéler le contenu masqué

 

How Vido Learned the Trick (J. Reynolds) [WFB] :

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The First Daughter (F. Wiltgren) [40K] :

  Révéler le contenu masqué

 

Mercy (D. Ware) [40K] :

  Révéler le contenu masqué

 

At the Sign of the Brazen Claw (G. Haley) [AoS] :

  Révéler le contenu masqué

 

En conclusion de cette première revue critique, je dois dire que cette nouvelle offre récurrente de courts formats de la Black Library s’avère tout d’abord d’un très bon rapport quantité-prix, si les tarifs proposés n’évoluent pas (trop, voir la note introductive). Alors que la nouvelle individuelle se facture désormais aux alentours des 4€, un recueil de la longueur de cet Inferno! est franchement donné pour ses 10€. Ce premier numéro fut de plus assez honnête d’un point de vue qualitatif, seuls les textes de Fischer et Ware se révélant peu convaincants. À l’opposé, Dicken, et dans une moindre mesure, McLean, Brooks et Wiltgren, méritent d’être surveillés à l’avenir. Bref, un retour concluant et gagnant de mon côté. Il n’y a plus qu’à prier l’Empereur pour qu’Inferno! bis ait la longévité de son aïeul, et se plonger dans le numéro 2, d’ores et déjà paru. I’m on it.

 

Schattra, bis repetita placent

Modifié par Schattra
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Merci pour les retours.

A noter que Mercy a une suite nommé "La rose ensanglantée" que j'ai vraiment apprécié.

Seul point négatif comme dans sa première nouvelle les sœurs sont vraiment trop forte des fois. Il y a des bêtises comme un combat au corps à corps à main nue mais cette fois pas avec des Orks. Je te laisse la surprise.

Mais au global sa représentation de celles-ci sont à mes yeux beaucoup plus réaliste(et beaucoup moins cruche) que dans les deux romans de Smallow.

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@Rhydysann Et merci pour le tien (de retour), camarade!

 

  Le 25/02/2019 à 08:43, Rhydysann a dit :

A noter que Mercy a une suite nommé "La rose ensanglantée" que j'ai vraiment apprécié.

Développer  

En effet, en cliquant sur le lien que tu avais mis dans le sujet Actualités Black Library, et lisant le synopsis de la novella en question, je me suis rendu compte que les protagonistes et lieux décrits m'étaient familiers… Ce qui m'amène à m'interroger sur le lien entre Mercy et La Rose Ensanglantée d'un point de vue narratif et chronologique. Je suppose que Lautis ne compte qu'une seule cathédrale abandonnée, donc les évènements décrits dans Mercy me semblent être une sorte d'introduction/premier chapitre pour La Rose Ensanglantée, à moins que les sœurs ne trouvent un prétexte pour filer à l'anglaise et revenir x temps plus tard?

 

En tout cas, ça pourrait expliquer (mais pas justifier, car c'est simplement la marque d'un manque de soin de la part de l'auteur) pourquoi diable Augusta et consoeurs sont si intéressées par la visite de cette ruine. Dans la nouvelle, ça reste très vague, mais j'espère que Ware lève le voile sur les motifs de l'Adeptus Sororitas dans son moyen format.

 

Schattra, "si Lautis m'était contée…" 

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Bonjour à tous et bienvenue dans la chronique illustrée (eh oui) de ce deuxième numéro d’Inferno! nouvelle mouture ! Au programme, pas moins de 10 nouvelles et un extrait de roman, auxquels ont contribué tant des vétérans assaisonnés (comme le dit si bien Google Traduction), tels que C. L. Werner et Guy Haley, que des seconds rôles discrets (Fehervari, Lyons), suppléés par l’habituel contingent d’auteurs novices, en tout cas en ce qui concerne leurs publications avec la Black Library.

 

Des relations toujours compliquées entre Nains Duardin et Elfes Aelf, même une fin du monde plus tard, au conflit générationnel agitant les Eldars conséquemment au réveil brutal d’Ynnead, en passant par les bienfaits de l’inculture et de l’option latin au 41ème millénaire, l’importance de la spiritualité et de la famille au 41ème millénaire aussi1, ou encore les beautés sous-marines de Ghyran et les splendeurs mécaniques de Thirsis 41-Alpha, entre autres sujets passionnants, il y en aura pour tous les goûts. À table(tte) donc, et ce sans traîner s’il vous plaît.

 

1 : C’est de l’AoS, donc qui peut dire où nous en sommes depuis que Sigmar a jeté sa Quechua 2 secondes au milieu du néant pour rebooter sa story Insta?

 

 

2-cover-1.jpg

 

.

 

At the Sign of the Brazen Claw : The Merchant Tale –  Haley [AoS] :

  Révéler le contenu masqué

 

The Thirteenth Psalm (P. Fehervari) [40K] :

  Révéler le contenu masqué

 

Spiritus in Machina (T. Parrott) [40K] :

  Révéler le contenu masqué

 

From the Deep (J. Fenn) [AoS] :

  Révéler le contenu masqué

 

Faith in Thunder (R. Charles) [AoS] :

  Révéler le contenu masqué

 

What Wakes in the Dark (M. A. Drake) [40K] :

  Révéler le contenu masqué

 

Solace (S. Lyons) [40K] :

  Révéler le contenu masqué

 

Ties of Blood (J. Crisalli) [AoS] :

  Révéler le contenu masqué

 

The Turn of the Adder (J. C. Stearns) [40K] :

  Révéler le contenu masqué


No Honour Among Vermin (C. L. Werner) [AoS] :

  Révéler le contenu masqué

 

Wulfrik (extract - C. L. Werner) [WFB] :

  Révéler le contenu masqué

 

En conclusion, ce fut donc un numéro plutôt qualitatif que celui-ci. La vraie bonne surprise/révélation/confirmation de mon côté reste Peter Fehervari, que je suivrai de près dans le futur, mais la plupart des autres contributeurs ont également su tirer leur épingle du jeu, et notamment, pour les newbies, Jamie Crisalli, Miles A. Drake et J. C. Stearns, pour les raisons assez diverses détaillées ci-dessus. La seule petite déception demeure la soumission de Jaine Fenn, assez indigne au vu de son pedigree et expérience en tant qu’auteur SF, mais tout le monde n’arrive pas à prendre facilement le pli et les codes de la BL, créneau littéraire de niche s’il en est.

 

Quant à moi, je vous donne rendez-vous au mois de Mai prochain, si tout va bien, pour la poursuite de nos infernales explorations, à l’occasion de la sortie du troisième numéro du magasine. Comme toujours, vous pourrez retrouver ces chroniques, complétées des informations fluff recueillies dans chacune, dans les sujets centraux dédiés (40K // Age of Sigmar). À bientôt !

 

Schattra, à jour dans ses chroniques pour la première fois depuis 8 ans (émotion)

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  • 3 mois après...

Bonjour à tous, et bienvenue dans cette revue critique du 3ème numéro d’Inferno!, le recueil de nouvelles trimestriel de la Black Library ! Comme pour les deux précédents opus, nous nous trouvons en présence d’un ouvrage regroupant une dizaine de courts formats, majoritairement écrits par des nouveaux contributeurs de la BL, et couvrant un grand nombre de franchises de cette dernière (dont, et c’est une nouveauté, Blood Bowl, preuve que le jeu de football fantastique de GW n’est pas retombé dans les limbes de la non-vie).

 

Au programme de ce #3, le récit émouvant de l’adoption par le Prince Maesa de son NAC (The Prince Tale), et celui, tout aussi touchant, de l’amitié liant un Goliath à son sumpkrok (Bonegrinder), une soirée « Magos, fais moi peur » entre acolytes de l’Inquisiteur Covenant (The Spirit of Cogs), la couverture de l’élection pap(ul)ale du Clan Morbidus (The Unlamented Archpestilent of Clan Morbidus), une version gothique d’Un Indien dans la Ville (Empra), ou encore le journal de bord d’un apothicaire en quête du clofazimine (The Book of Transformations). Bref, une fois encore, il y en aura pour tous les goûts.

 

#3 - Cover

 

The Spirit of Cogs (J. French) [40K] :

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At the Sign of the Brazen Claw - The Prince Tale (G. Haley) [AoS] :

  Révéler le contenu masqué

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City of Blood (M. Smith) [40K] :

  Révéler le contenu masqué

.

Dismember the Titans (G. Lyon) [BB] :

  Révéler le contenu masqué


The Unlamented Archpustulent of Clan Morbidus (D. Guymer) [AoS] :

  Révéler le contenu masqué

 

In the Mists of Chaos (R. Hoskin) [AoS] :

  Révéler le contenu masqué

 

The Book of Transformations (M. Keefe) [AoS] :

  Révéler le contenu masqué

 

The Weight of Silver (S. B. Fischer) [40K] :

  Révéler le contenu masqué

 

Bonegrinder (J. Reynolds) [NDA] :

  Révéler le contenu masqué

 

Empra (N. Crowley) [40K] :

  Révéler le contenu masqué

 

The Emperor’s Light (R. Leahy) [40K] :

  Révéler le contenu masqué

 

Shadowbreaker (extrait - S. Parker) [40K] :

  Révéler le contenu masqué

 

 

Au final, ce 3ème numéro est un excellent cru, tant en termes de diversité que de qualité. À titre personnel, je me réjouis de constater que la ligne éditoriale de la BL pour Inferno! semble désormais faire la part belle à la publications de nouvelles plus ambitieuses, de par leur taille, leur sujet et/ou le parti pris adopté par l’auteur. Si ce choix rend Inferno! un peu moins accessible au hobbyiste débutant (et encore, il n’y a rien de rédhibitoire pour le newbie volontaire), il piquera l’intérêt des vétérans de la Black Library, chez qui les sempiternelles nouvelles de Space Marines et de Stormcast Eternals ne suscitent plus que des grognements de dépit. Cette liberté de ton et d’exploration des différents univers de Games Workshop est précieuse, et permettre à la nouvelle mouture d’Inferno ! de renouer avec ce qui a fait la légende de son auguste prédécesseur est à mon sens un choix cohérent et salutaire de la part de la BL. Bref, je ne saurai trop recommander aux lecteurs curieux de prendre la température de ce brasier littéraire que de commencer avec ce numéro 3, le meilleur du lot par une marge confortable. Quant à moi, je vous donne rendez-vous en Novembre prochain pour l’analyse détaillée du 4ème numéro, qui bouclera la première année néo-infernale, en beauté si possible. Comme toujours, vous pourrez retrouver ces chroniques, complétées des informations fluff recueillies dans chacune, dans les sujets centraux dédiés (40K // Warhammer Fantasy Battle // Age of Sigmar). À bientôt !

 

Schattrois, jamis deux sans tra 

Modifié par Schattra
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  • 1 mois après...

Bonjour à tous et bienvenue dans le premier épisode d’Infernabulum!, le hors-série de ce sujet consacré à la revue critique du magazine Inferno! de la Black Library. Vous vous demandez certainement à ce stade ce « qu’Infernabulum » veut dire, et peut-être si on peut le cuisiner avec de l’huile d’olive, pour les plus perchés d’entre vous. Il est vrai que le terme est peu banal, car il s’agit d’un mot-valise associant Inferno!, que je ne vous ferai pas l’affront de définir, à « Incunabulum » (« Incunable », en français), nom désignant tout livre imprimé avant 1501, et par conséquent d’une rareté extrême1. Détourné de son sens premier par quelques esprits fâcheux mais néanmoins inspirés, le terme peut également, par extension, s’appliquer à des ouvrages difficiles à obtenir du fait de leur ancienneté et/ou de leur faible diffusion originelle… ce qui correspond parfaitement à certaines des nouvelles publiées dans la première série des Inferno!. En effet, bien que la majorité d’entre elles ait eu droit à une sortie postérieure dans un recueil ou une anthologie quelconque, voire plusieurs, comme indiqué dans le récapitulatif proposé en début de sujet, il n’aura pas échappé au lecteur sagace et attentif que certains textes ne sont apparus que dans le magazine (pour une raison ou pour une autre), et sont donc d’une lecture assez rétive.

 

C’est là où votre dévoué chroniqueur entre en scène. Ayant mis la main sur tous les numéros d’Inferno! publiés au cours de l’Âge du Mythe2, et établi qu’il ne servait pas à grand-chose d’en commencer la critique du fait de la redondance de contenu avec les anthologies et recueils que je prévois d’ores et déjà de disséquer, il ne me restait donc à considérer que la portion congrue de ces textes fondateurs. Il aurait été très dommage de passer ces derniers sous silence, malgré le fait que leur difficulté d’accès et leur absence de traduction en français s’érigent comme autant de barrières entre le quidam intéressé et l’objet de son désir. Qu’importe, l’entreprise me paraît suffisamment noble (et réalisable, ce qui ne gâche rien) pour l’entreprendre céans. Je vous propose donc, selon le modus operandi habituel, de partir à la découverte de ces petits amuse-bouche des temps jadis, si le cœur vous en dit. Bonus appréciable #1, cela nous permettra de replonger dans du vrai, du bon, du classique Warhammer Fantasy Battle, et je sais que vous en avez autant envie que moi, sauf si vous êtes très jeune dans le Hobby ou que vous êtes d’une absolue mauvaise foi (l’un se soigne, l’autre non). Bonus appréciable #2, j’inclurai, le cas échéant, les illustrations noir et blanc qui accompagnaient les textes en question dans les pages d’Inferno!, tradition des plus chics qui sera je l’espère un jour reprise par son successeur.

 

Cette introduction, faisant presque figure de manifeste en faveur de l’antiquité de la BL, débutons sans attendre notre plongée dans le passé avec l’Infernabulum! #1.

 

1 : De cette façon, même si vous n’allez pas plus loin dans ce post, vous aurez peut-être appris quelque chose qui vous donnera l’air très instruit à la prochaine pause-café au bureau. Tout ça grâce au Hobby et à la BL en particulier. Qui a dit qu’il s’agissait de littérature de gare ?

 

: On peut d’ailleurs filer la métaphore en comparant la période allant de la fin de la publication de la première série des ‘Inferno!’ au lancement de la seconde (ou à celui de de feu ‘Hammer & Bolter’, si on veut) à un Âge du Chaos (pour qui aime les courts formats de la BL, s’entend).

 

infernabulum_1.png

 

 

Last Chance – G. Thorpe [40K] – #5 :

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The Gifts of Tal Dur – N. McIntosh [WFB] – #20 :

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Debts of Blood – N. McIntosh [WFB] – #23 :

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The Ambassador G. McNeill [WFB] –  #25 :

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A Fool’s Bargain – B. Maycock [WFB] –  #25 :

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The Deep – R. Davidson [WFB] –  #25 :

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Voilà qui conclut cette première livraison de raretés historiques de la Black Library. J’espère que sa lecture vous en a été agréable, voire, qui sait, vous a motivé à investiguer vous-même l’imposant corpus de la maison (d’édition), à la recherche de vos propres pépites. Et il y en a, je peux vous l’assurer. Quant à moi, je vous dis à bientôt et vous donne rendez-vous dans pas trop longtemps (probablement après la sortie du prochain – nouveau – numéro d’Inferno!, à la fin du mois d’Octobre) pour une nouvelle revue critique de quelques incunables. Comme toujours, ces chroniques, agrémentées et augmentées d'informations fluff pertinentes (le cas échéant) peuvent être trouvées sur les sujets centraux dédiés (WFB et 40K).

 

Schattra, oldies goldies

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  • 2 mois après...

Bonjour et bienvenue dans la critique du quatrième numéro d’Inferno! nouvelle mouture ! Nous voilà, à peu de choses près, un an après le retour du mythique bi-mensuel de GW-fiction, transformé en anthologie de nouvelles à sortie trimestrielle. Un an, soit quatre numéros, c’est certes court pour tirer des conclusions définitives sur la pérennité de cette réincarnation, mais suffisant pour faire quelques retours sur cette nouvelle expérimentation de la BL, qui n’avait, semble-t-il, pas été convaincue par le format Hammer & Bolter (2011 – 2013), puisque ce webzine avait été stoppé après un peu plus de deux ans de publication. Ce que sera le destin de ce nouvel Inferno!, il est encore trop tôt pour le dire, même si l’on sait déjà qu’un numéro 5 est sur les rails. Sachez également que, de l’aveu même des éditeurs de la BL, ce quatrième tome est le plus conséquent de tous, ce qui est un signe plutôt positif à mon avis.

 

Le cap des un an permet également de jauger de la progression de quelques-uns des contributeurs de la Black Library ayant commencé leur service pour la maison d’édition de Nottingham dans ces mêmes pages. Nous assistons en effet au retour de certains de ces rookies, et pourrons déterminer de façon éminemment juste, fiable et objective (vous me connaissez), s’ils se sont maintenus/mis sur la bonne voie, ou bien s’il leur reste des efforts à consentir pour aboutir à des résultats intéressants. Ici, ce seront donc Filip Wiltgren, Thomas Parrott et Jamie Crisalli qui passeront sur le grill, nos trois auteurs signant tous leurs deuxièmes publications pour la BL dans les pages de ce numéro 4. Un peu plus familiers du lecteur, mais encore relativement neufs dans l’écurie, on pourra également s’intéresser à la suite du parcours d’Edoardo Albert, Eric Gregory et J. C. Stearns, et assister aux débuts de Denny Flowers, contributeurs n’ayant pas encore atteint le grade de « romancier » pour le compte de la Black Library. Mike Brooks, qui a lui passé ce stade assez récemment, aura l’honneur d’une double participation, avec la nouvelle au titre le plus inventif de toute l’histoire d’Inferno ! pour commencer, et un extrait du roman en question (Rites of Passage) dans un second temps. La position de Nick Horth est assez similaire, même si notre homme ne pourra se flatter que d’une seule nouvelle dans ce numéro. Enfin, que serait un Inferno ! sans la contribution de quelques vétérans blanchis sous le harnais ? Ici, ce seront le discret George Mann, l’incontournable Guy Haley, et le positivement ancien (il était au sommaire de l’Inferno! #0) Jonathan Green qui joueront le rôle des vieux de la vieille. In varietate concordia, ou en tout cas, infernia, comme dit le proverbe.

 

inferno-4.png

 


The Karsharat Abomination (G. Mann) [40K] :

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The Hand of Harrow (D. Flowers) [NDA] :

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A Firstborn Exile (F. Wiltgren) [40K] :

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At the Sign of the Brazen Claw – The Sorcerer’s Tale (G. Haley) [AoS] :

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Journey of the Magi (J. Green) [40K] :

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The Serpent’s Bargain (J. Crisalli) [AoS] :

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Salvage Rites (T. Parrott) [40K] :

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Green & Grey (E. Albert) [40K] :

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The Fourfold Wound (E. Gregory) [AoS] :

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Where Dere’s Da Warp Dere’s A Way (M. Brooks) [40K] :

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The Manse of Mirrors (N. Horth) [AoS] :

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Blackout (J. C. Stearns) [40K] :

 

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Rites of Passage [Extrait] (M. Brooks) [40K] :

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Comme souvent avec des recueils de nouvelles, ce 4ème numéro d’Inferno! est assez hétérogène dans sa composition. Si les débuts d’Eric Gregory constituent à mes yeux la plus grande réussite de cet opus, d’autres soumissions (Flowers, Haley, Albert) s’avèrent également être intéressantes, ou convenables (Wiltgren, Green, Crisalli, Parrott, Brooks, Horth, Stearns). Finalement, il n’y a guère que la pièce-titre (en termes d’illustration de couverture tout du moins) qui m’est apparue comme insatisfaisante, ce qui est un ratio tout à fait respectable.

 

Hasard du calendrier, la tenue du Black Library Weekender 2019 nous a permis de prendre connaissance de la couverture et du line-up du prochain numéro, qui sortira au cours du premier trimestre 2020. Je suis particulièrement ravi de voir que sur les douze contributeurs mis à l’honneur de ce 5ème opus, 10 sont des nouveaux-venus, ce qui confirme une nouvelle fois le rôle d’Inferno! comme tremplin des nouveaux talents de la Black Library. Un an après sa résurrection, on peut donc considérer que la nouvelle incarnation d’Inferno! porte haut les couleurs de son glorieux aîné de ce point de vue (on attend toujours les comics et les articles fluff, ceci dit), et je ne m’en plaindrai sûrement pas. En attendant la publication d’un petit best-of personnel de l’année écoulée, et probablement un nouvel Infernabulum! avant la fin de l’année, je vous salue bien bas et vous souhaite d’infernales, aventureuses et satisfaisantes lectures d’ici à 2020!

 

Schattra, les quatre saisons infernales

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J green que des souvenirs. Le pire auteur que j'ai pu lire de la BL. Encore bien pire qu'Annandale ou Hinks qui ont quelques points positifs et fait quelques romans sympathiques.

Je n'avais vraiment pas hâte de le revoir lui et ces histoires farfelues et très franchement bas de gamme.

Après je n'ai lu que mort et damné de sa pars mais je pense que ce semi-roman suffit à lui seul pour ce faire un avis.

 

Merci pour les retours.

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  Le 16/11/2019 à 11:27, Rhydysann a dit :

J green que des souvenirs. Le pire auteur que j'ai pu lire de la BL. Encore bien pire qu'Annandale ou Hinks qui ont quelques points positifs et fait quelques romans sympathiques.

Je n'avais vraiment pas hâte de le revoir lui et ces histoires farfelues et très franchement bas de gamme.

Développer  

 

Il est de retour dans le WD de novembre aussi avec une nouvelle totalement quelconque ....

 

Sinon comme d'habitude merci pour les resumés toujours de tres haut niveaux ?

 

Petite question dans Journey of the Magi ils reviennent a 4 du coups?

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Merci pour vos retours @Rhydysann et @gilian! De mon côté, j'ai fini par voir Green comme moteur de tondeuse: ça fonctionne assez bien la première fois que l'on tire sur l'embrayage, mais le rendements sont très rapidement décroissants, et il vaut mieux le laisser se reposer quelques temps après chaque utilisation pour qu'il puisse se refaire une santé. J'avais plutôt apprécié son Sir Dagobert's Last Battle (Hammer & Bolter) et ce Journey of the Magi est correct. En revanche, ses nouvelles du début des années 2000 avaient une fâcheuse tendance à être très peu qualitative, voire assez grotesque. Et de ce que gilian dit, il est déjà retombé dans ses défauts habituels... RDV en 2024, Jon! 

 

  Le 17/11/2019 à 13:06, gilian a dit :

Petite question dans Journey of the Magi ils reviennent a 4 du coups?

Développer  

 

Non, ils recommencent le niveau à 3, comme au début de la nouvelle. Pour moi c'est la même boucle qui recommence encore et encore, mais comme toutes les histoires qui utilisent le voyage dans le temps, il vaut mieux éviter de trop réfléchir sur la manière dont ça fonctionne...

 

J'en profite pour établir un petit best-of purement subjectif des nouvelles incluses dans les quatre numéros publiés au cours des 12 derniers mois (comme je l'avais fait pour Hammer & Bolter), classement qui sera peut-être utile aux hobbyistes intéressés par une découverte d’Inferno !, mais n’ayant ni le temps, ni l’envie de se coltiner l’intégralité des courts formats que la BL a inclus dans ces anthologies.

 

Quelques chiffres pour commencer : avec 44 nouvelles (et 3 extraits de romans), le corpus infernal 2018-2019 est assez conséquent, et plutôt varié puisque l’on y retrouve des œuvres rattachées à pas moins de 5 franchises de Games Workshop. Bien entendu, 40K (23 nouvelles) et Age of Sigmar (15 nouvelles) se taillent la part du lion – avec un net avantage pour le 41ème millénaire par rapport au petit gros nouveau de GW, qui devrait sans doute s’équilibrer dans les années à venir –, mais soulignons également la présence de courts formats siglés Necromunda (3), Blood Bowl (1) et même Warhammer Fantasy Battle (2) dans ces pages. En termes de contributeurs, comme ce fut le cas pour Hammer & Bolter, c’est l’omniprésent Josh Reynolds qui se révèle être l’auteur infernal le plus régulier (sans prendre en compte At the Sign of the Brazen Claw) avec trois offrandes à son actif. Suivent Filip Wiltgren, Jamie Crisalli, Mike Brooks, Nate Crowley, Steven Fischer et Thomas Parrott, avec 2 nouvelles au compteur par tête de pipe. Au total, ce ne sont pas moins de 33 auteurs qui ont été mis en avant dans Inferno ! au cours de cette première année, dont 18 qui ont fait leurs débuts avec la BL dans ces pages. On peut donc considérer que la mission de tremplin pour nouvelles plumes revendiquée par le magazine a largement été remplie.

 

Je tiens à préciser que la liste présentée ci-dessous ne tient que modérément compte des ratios entre franchises que l’on peut retrouver dans les quatre premiers numéros d’Inferno!, même s’il est logique que 40K et Age of Sigmar soient les mieux représentées. J’ai également opté pour un retrait des nouvelles sérialisées de Guy Haley (At the Sign of the Brazen Claw) du périmètre considéré, comme je n’avais pas inclus les chapitres de Phalanx et Gilead’s Curse dans les best of Hammer & Bolter. Que les fans transis du Prince Maesa se rassurent, l’absence de leur coqueluche dans le classement ne vient pas d’un désamour particulier de ma part envers le love interest de Shattercap, mais d’un choix méthodologique des plus basiques. Je terminerai enfin par l’indication que le palmarès made in Schattra que vous vous apprêtez à consulter n’est pas un Top 12, et que l’ordre d’apparition des nouvelles dans la liste ne dénote d’aucune préférence particulière.

 

BLPROCESSED-Path-to-Glory-cover.jpg1. The Path to Glory [AoS] – Evan Dicken :

Parce que cette chronique épique des derniers jours de l’empire Lantique vient rappeler au lecteur que les Royaumes Mortels ont une profondeur géographique, temporelle et culturelle bien plus importante que ce que la mise en avant systématique des Stormcast Eternal laisse penser.

 

BLPROCESSED-A-Common-Ground.jpg2. A Common Ground [NDA] – Mike Brooks :

Parce que cette nouvelle combine l’impitoyable dureté Necromundienne avec une exploration intéressante de la condition des Goliaths, qui ne sont pas uniquement des montagnes de muscles animées de pulsions sanguinaires. Pas tout le temps en tout cas.

 

BLPROCESSED-The-Thirteenth-Psalm-Cover.jpg3. The Thirteenth Psalm [40K] – Peter Fehervari :

Parce que Fehervari est l’une des meilleures et plus secrètes trouvailles de la Black Library contemporaine, et que son Dark Coil est l’une des discrètes pépites de la GW-Fiction. À lire pour se réconcilier avec le noble genre de la Space Marinade.

 

BLPROCESSED-ENG-Inferno-Vol-2-B-format-Flat-Web.jpg4. What Wakes in the Dark [40K] – Miles Drake :

Parce que l’exploration du tombeau nécron méritait mieux que les récits patauds et convenus que les lecteurs de la BL se sont tapés depuis les 65 derniers millions d’années (au moins). Drake fixe avec cette nouvelle le mètre/maître étalon du trope, dont la lecture est conseillée pour pouvoir connaître ses droits au divertissement.

 

BLPROCESSED-No-Honour-Among-Vermin-Cover.jpg5. No Honour Among Vermin [AoS] – C. L. Werner :

Parce que cette nouvelle est sans doute le meilleur court format WFB n’étant pas du WFB de cette première année d’Inferno! (désolé Josh !). Les inconsolables du Monde Qui Fut n’ont qu’à se dire que cette exquise ratonnade se passe en Tilée, l’illusion sera parfaite. Les autres se contenteront d’apprécier les Skavens au meilleur du pire de leur forme.

 

BLPROCESSED-ENG-Inferno-Vol-2-B-format-Flat-Web.jpg6. Solace [40K] – Steve Lyons :

Parce que le Western/Horreur/40K est un crossover intéressant, en tout cas sous la plume de Lyons, et que la Garde de Fer méritait bien une mention honorable après ses décennies de bons et loyaux services dans l’ombre des Cadiens et des Catachans.

 

BLPROCESSED-Inferno-Vol3-Cover.jpg7. The Unlamented Archpustulent of Clan Morbidus [AoS] – David Guymer :

Parce que le titre est excellent, et que la nouvelle lui fait honneur. Transposer l’élection papale chez les Skavens Pestilens était une idée osée, mais Guymer a réussi son pari avec brio. Et je suis quasi certain que l’histoire mouvementée du Vatican a connu des péripéties similaires à un moment ou à un autre…

 

BLPROCESSED-Inferno-Vol3-Cover.jpg8. Dismember the Titans [BB] – Graeme Lyon :

Parce que Blood Bowl existe toujours, merci pour lui et pour les fans. En attendant que GW nous révèle la manière dont ils vont remettre le Monde Qui Fut au goût du jour, l’astrogranite restera le terrain de prédilection de tous les nostalgiques de WFB.

 

BLPROCESSED-Inferno-Vol3-Cover.jpg9. The Book of Transformations [AoS] – Matt Keefe :

Parce que l’approche « érudite » du Chaos est tout aussi valide et intéressante que l’approche « physique » de ce fascinant concept. Bien entendu, le résultat restera toujours le même pour le malheureux amateur, mais comme le dit le proverbe, ce n’est pas la destination qui importe, c’est le voyage. Celui-ci est plutôt réussi.

 

BLPROCESSED-Inferno-Vol3-Cover.jpg10. Empra [40K] – Nate Crowley :

Parce que le rappel que tout le monde au 41ème millénaire n’a pas une parfaite connaissance de la dystopie fachisante et obscurantiste dans laquelle l’espèce humaine s’est retrouvée plongée, sans possibilité d’amélioration ni de rédemption, est salutaire de temps à autre. Ce serait même plutôt le contraire, d’ailleurs. Check your privileges !

 

BLPROCESSED-Inferno-Vol4-Cover.jpg11. The Fourfold Wound [AoS] – Eric Gregory :

Parce que les Stormcast Eternals peuvent être des personnages romanesques intéressants, et que les ressortissants des cités libres peuvent avoir de très bonnes raisons de détester Sigmar et ses bénis-oui-oui, sans pour autant être d’infâmes cultistes du Chaos. Pas convaincus, ou juste curieux ? Meet Eric Gregory.

 

BLPROCESSED-Inferno-Vol4-Cover.jpg12. Green and Grey [40K] – Edoardo Albert :

Parce que, reconnaissons-le, on est toujours content de lire des nouvelles avec des twist finaux bien amenés et bien réalisés. C’est ici le cas, et c’est (malheureusement) suffisamment rare pour amplement mériter une inclusion dans ce palmarès.

 

Schattra, lazing on a Sunday afternoon

 

 

 

 

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Bonjour à tous et bienvenue dans ce 2ème numéro d’Infernabulum!la revue critique de nouvelles publiées dans Inferno! en des temps très anciens, et n’ayant pas bénéficié d’une diffusion plus large dans d’autres ouvrages de la Black Library depuis. Le prochain numéro d'Inferno! n'étant prévu que dans quelques semaines, je me suis dit qu'il serait possible de meubler un peu en piochant dans le stock des vieilleries infernales, toujours assez conséquent. Cette fois-ci, je vous propose de partir à la (re)découverte de la prose particulière de Brian Craig, d’un presque (vous allez comprendre) inédit de Dan Abnett, et d’une pépite horrifique de C. L. Werner…

 

infernabulum_2.png?w=604

 

 

The Winter Wind – B. Craig [WFB] – #26 :

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Vermilion Level – D. Abnett [40K] – #30 :

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A Matter of Evidence – B. Craig [WFB] – #31 :
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Wind of Change – C. L. Werner [WFB] – #39 :

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Voilà qui clôt cette deuxième plongée dans le monde très ancien, mais très passionnant, des fonds de tiroirs grimoires de la Black Library. À la prochaine pour l’exploration d’un nouveau cercle infernal! 

 

Schattra, la nostalgie du dimanche aprèm...

Modifié par Schattra
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  • 2 mois après...

Bonjour à tous et bienvenue dans cette critique du 5ème numéro des nouveaux Inferno ! Oh boy, que l’attente fut longue depuis le numéro précédent ! Et dire que cette sortie en Avril n’a pas été impactée par le Covid19… À croire que le rythme de publication a été sciemment ralenti par la Black Library, pour des raisons que nous ne saurons sans doute jamais. Au menu de ce premier numéro de l’année II, nous dirons au revoir et (peut-être) merci au Prince Maesa et ses compagnons de boisson, toujours coincés dans l’auberge de la griffe outrecuidante – ou quelque chose comme ça –, et saluerons les débuts de Gavin1 G. Smith dans ce qui s’annonce être le roman sérialisé de 2020, The Last Knight.

 

Mais ce ne sera pas tout, loin de là. Comme l’aimable (I guess) Richard Garton l’indique dans son édito, rédigé au Paléothique profond d’Août 2019, ce ne sont pas moins de neuf auteurs qui ont fait leurs débuts infernaux avec ce numéro #5. Certains bien connus (Ben Counter, Michael R. Fletcher), d’autres un peu moins (Anna Stephens, Marc Collins) et quelques uns, pas le moins du monde. Il va falloir apprendre à écrire Hanrahan, Grigsby, Kloster, Galley2 et Hayes sans se tromper, mais tout semble facile quand on maîtrise son Aaron Dembski-Bowden, pas vrai ? Mais trêve de banalités et d’orthographe, et place à l’action. Quelque chose me dit qu’on risque d’être servi de ce point de vue…

 

1Eh oui, à partir de maintenant, il y aura 2 Gavin dans la Black Library. Shocking.

 

2 : Eh oui, à partir de maintenant, il y aura 3 Ben (remember Ben Chessell) dans la Black Library. So shocking.

 

5-cover.png

 

Watchers of Battle (B. Counter) [AoS] :

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No Quarter (R. J. Hayes) [40K] :

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Mournclaw (B. Galley) [AoS] :

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The Last Knight : Part One (G. G. Smith) [40K] :

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River of Death (A. Stephens) [AoS] :

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Respite’s End (M. Collins) [40K] :

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No Matter the Cost (M. R. Fletcher) [AoS] :

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Curse of the Lucky (G. Kloster) [NDA] :

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Best Death Wins (S. Grigsby) [40K] :

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Trail of Ash (G. Lyon) [AoS] :

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Castle of the Exile (G. Hanrahan) [40K] :

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At the Sign of the Brazen Claw : The Hounds of Nagash (G. Haley) [AoS] :

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Et voilà qui conclut la revue de ce 5ème numéro d’Inferno !, qui aura mis particulièrement l’accent sur la nouveauté, en permettant à une belle cohorte de nouveaux venus de donner leur vision de la GW-Fiction. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le résultat est plutôt convaincant, en plus de s’avérer rafraîchissant pour le lecteur régulier de la BL. Il n’est pas dit que ces collaborations se poursuivront de façon suivie (sauf pour Gavin Smith, qui nous doit au moins un autre épisode de ‘The Last Knight’), beaucoup des nouveaux-venus ayant une carrière déjà établie et leurs propres univers à développer, mais je lirais avec plaisir les hypothétiques prochaines soumissions de la plupart de ces faux rookies. Si le numéro 3 de la série en cours demeure mon préféré, ce #5, tel le flacon de parfum qu’il n’est absolument pas, se positionne juste derrière son glorieux aîné, notamment grâce à l’excellent travail de Counter et Stephens. Quel meilleur symbole pour une publication comme Inferno ! que ce partage de lauriers entre un grand ancien (qui a d’ailleurs commencé sa carrière dans les pages de ce même magazine) et une petite nouvelle de la Black Library ? Pour ma part, j’attendrai donc avec impatience l’annonce de la sortie de la prochaine anthologie infernale, en espérant faire aussi bonne pioche que celle-ci…

 

- Comme d'habitude, les critiques de ces nouvelles, agrémentées d'éléments fluff pertinents, peuvent être retrouvées dans les sujets centraux dédiés (Age of Sigmar et Warhammer 40.000).

 

Schattra, and now back to the future...

Modifié par Schattra
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  • 2 mois après...

Ça faisait longtemps que nous n’avions pas eu un petit Infernabulum!, et comme toutes les occasions sont bonnes pour célébrer et commémorer le riche héritage du premier magazine de la GW-Fiction, nous voilà donc repartis à la découverte de courts formats publiés dans la première incarnation d’Inferno!… et nulle part ailleurs (à ce jour). Cette fois-ci, nous explorerons les pépites de la première moitié de 2004 (numéros 40 à 42), dont bon nombre de nouvelles sont tombées dans l’oubli.

 

Si cela peut s’expliquer dans certains cas par la brièveté de la collaboration de leur auteur avec la Black Library (Jim Alexander, David Griffiths, James Peaty), ce qui n’a sans doute pas motivé cette dernière à remettre au goût du jour leurs écrits, cette explication ne tient pas pour les figures bien connues de l’habitué(e) des lieux que sont Rob Sanders (première publication pour la BL) et Nick Kyme1. Comme toujours, il sera laissé au soin du lecteur de décider si cette relégation dans les limbes du corpus de la GW-Fiction est regrettable, ou compréhensible…

 

1Qui est devenu depuis éditeur senior au sein de la Black Library. S’il y a bien quelqu’un qui peut faire quelque chose pour lui, c’est donc lui.  

 

infernabulum_3.png?w=604

 

Cold Light of Day – R. Sanders [WFB] – #40 :

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Plague Ship – J. Alexander [40K] – #40 :

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Vespertine – D. Griffiths [WHB] – #41 :

  Révéler le contenu masqué


A Storm Rising – N. Kyme [WFB] – #42 :

  Révéler le contenu masqué

 

Blood Cries for Blood – J. Peaty [40K] – #42 :

  Révéler le contenu masqué

 

Et voilà qui termine ce troisième Infernabulum! Ne vous inquiétez pas, il en reste encore plein de là où ces nouvelles viennent. Soucions nous plutôt de l’avenir d’Inferno! dont on n’a à ce jour aucune nouvelle, et ce depuis la publication de la cinquième anthologie il y a déjà quelques semaines. Comme cette dernière contenait une histoire en (au moins) deux parties, j’ose espérer que la BL donnera suite, mais on n’est jamais à l’abri d’une mauvaise surprise, comme ne le dit pas le proverbe. Allumons donc un cierge à St Barrington et prions pour que l’histoire se poursuive encore un peu…

 

Schattra, au passage

Modifié par Schattra
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  Le 26/06/2020 à 20:06, Rhydysann a dit :

Mouais rien de bien intéressant quoi. S'il y a un truc qui ne me manque pas pour l'ancienne époque BL/BI c'est bien ce genre de nouvelle(ou roman) à la "Plage Ship"

Développer  

 

Non, pas de chance avec cet arrivage. Je les fais dans l'ordre de parution (et de non reparution), donc c'est vraiment au petit bonheur la chance. Et je pense que les descendants de Plague Ship ne sont pas aussi éloignés de nous qu'il n'y parait...

 

Schattra, "ce sera mieux la fois prochaine. Peut-être."

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  • 1 mois après...

Bonjour à tous et bienvenue dans ce quatrième numéro d’Infernabulum!, l’entreprise intermittente de remise à l’honneur de textes rares publiés dans la première mouture d’Inferno! par la Black Library que votre serviteur vous propose. Bien des mois se sont écoulés depuis le dernier billet de ce type, mais en ce début d’année 2021, nous pouvons commencer cet Infernabulum! avec la bonne nouvelle qui faisait défaut à son prédécesseur : il y aura bien un prochain numéro d’Inferno!, qui devrait sortir vers la fin Avril, si Amazon peut être cru. En l’honneur de ce futur #6, je déclare donc un jour férié et ouvre grand mon grenier à vieilleries pour régaler le chaland de critiques pas piquées des vers1.

 

Ce numéro a ceci de spécial qu’il clôture la revue des textes véritablement introuvables d’Inferno!, c’est à dire ceux n’ayant jamais (à mon sens) fait l’objet d’une republication dans une autre anthologie. Les prochains Infernabulum!  seront donc consacrés à des nouvelles un peu plus accessibles, même si le grand âge de ces dernières et l’absence de traduction en français dans la plupart des cas rend leur lecture méritoire pour le fan français. Au programme, cinq histoires tirées des Inferno!  #43 et #45, en fin de vie de la première mouture de cette publication, à l’époque bimensuelle, puisqu’elle s’est interrompue après le numéro 46. Nous y retrouvons des noms connus tels que James Swallow, des plumes déjà croisées dans de précédents Infernabulum! comme James Peaty et Brian Maycock, et des nouveaux venus à l’instar de Lucian Soulban et Lee Lightner. Une bien belle manière de terminer ce premier cycle, n’est-il pas? NE RÉPONDEZ PAS TOUT DE SUITE.

 

1 : La maison décline par contre toute responsabilité quant à la qualité des nouvelles ayant servi de base à cette entreprise. Je suis un transformateur, pas un réparateur.

 

infernabulum_4.png

 

 

Relics J. Swallow [40K] – #43 :

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The Cuckoo of Hammerbildt - J. Peaty [WFB] – #43 :

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To Guard the Dead B. Maycock [WFB] – #43 :

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Altar of Cyrene L. Soulban [40K] – #45 :

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Engage the Enemy L. Lightner [40K] – #45 :

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Et voilà qui termine ce quatrième Infernabulum! Ca vous a plu? Vous en voulez encore? La maison will be happy to provide dans les prochains mois. Le prochain arrêt sur la route de l'enfer sera toutefois très probablement la revue de l'Inferno! #6, que j'attends de pied et de clavier ferme, car il fera comme ses prédécesseurs la part belle aux nouveaux arrivants, qu'il convient d'accueillir comme il se doit dans l'univers sombre et impitoyable de la critique de la GW Fiction. Initiating the countdown now... 40.000... 39.999... 39.998...

 

Schattra, "tout de suite plus tard la suite"

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Aujourd'hui (24/04/21) sort le 6ème numéro d'Inferno!, nouvelle version. En attendant d'avoir décortiqué comme il se doit cette anthologie, je profite de l'occasion pour rassembler quelques chroniques infernales des temps jadis. Il y a même des inédits dans le tas, si on cherche bien.

 

Bonjour et bienvenue dans cette chronique dédiée à la première année du magazine Inferno!, bimensuel lancé par la Black Library au temps de ses débuts, en l'an de grâce 1997. Il s'agit donc, et il faut le préciser d'emblée, de publications distinctes des recueils Inferno! que la même BL a commencé à éditer, à intervalles irréguliers et de plus en plus distants, à l'automne 2018. On peut d'ailleurs plus facilement comparer ces premières publications infernales au défunt et regretté Hammer & Bolter (2010-2012), qui a repris une grande partie du cahier des charges d'Inferno! en se concentrant sur les nouvelles et avec un rythme de sortie plus soutenu (mensuel). Voilà pour la contextualisation1.

 

Couverture Année 1

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Les six numéros, pour 24 nouvelles, présentés par le menu ci-dessous forment un pan historique important de la Black Library, et plus largement, de la GW-Fiction. C'est en effet dans ces pages que certains auteurs aujourd'hui incontournables de la maison d'édition de Nottingham ont commencé leur collaboration avec cette dernière. Gavin Thorpe et l'aptemment nommé 'Birth of a Legend' ('Inferno! #2'), Dan Abnett avec 'Gilead's Wake' ('Inferno! #3') et 'Ghostmaker' ('Inferno! #4), ou encore Jonathan Green - même s'il est moins connu du chaland moyen qu'au début des années 2000 -, qui signe le triplé des franchises avec 'Salvation' ('Inferno!' #1'), 'Bad Spirits' ('Inferno! #2') et 'Dark Heart' ('Inferno! #5'). Mais ce premier millésime est également marqué du sceau des disparus glorieux (à voir) de la BL, qui contribuèrent lors de son premier âge et partirent vers d'autres cieux peu de temps après. Citons ici Alex Hammond et Chris Pramas (3 soumissions chacun), mais également le cas d'Andy Jones et de ses Maraudeurs de Grunsson, qui occupa le rôle de rédacteur en chef d'Inferno! et d'éditeur des premiers recueils de nouvelles de la Black Library ('Realm of Chaos' pour Warhammer Fantasy Battle, 'Into the Maelstrom' pour 40K et 'Status : Deadzone' pour Necromunda), dont le sommaire empruntait en bonne partie à celui du bimensuel. Enfin, soulignons aussi le retour de celui qui était déjà un grand ancien de la GW-Fiction à l'époque, l'inoxydable William King, dont 'The Mutant Master' occupe la place symbolique et méritée de première nouvelle publiée dans un numéro d'Inferno!

 

Bienvenue donc dans cette plongée historico-littéraire et littéralement historique (on peut sans exagérer dire que l'on parle d'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître) du court format made in GW, à l'époque où le Vieux Monde avait la vie devant lui, où Necromunda était le tout nouveau jeu du moment, et où les gens s'abonnaient à des magazines de fluff romancé en format papier. Incroyable je sais.

 

1: Si la genèse d'Inferno! vous intéresse, rendez-vous ici.

 

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Il est difficile de conclure cette revue de façon profonde et subtile (comme à mon habitude), tant cette dernière porte sur un corpus indiscriminé. Si on peut leur reprocher beaucoup de choses, les recueils de nouvelles de la Black Library ont au moins l'avantage de ne porter généralement que sur une franchise, et ont (parfois) une ligne éditoriale dont on peut commenter la netteté du suivi. Rien de tout ça ici, seulement un beau pêle-mêle de nouvelles surannées et collector, et donc collectées ici pour your reading pleasure. J'espère donc seulement que cela vous a plu, car il nous reste six ans de publications infernales à couvrir. Ce ne se fera sans doute pas tout de suite, mais j'ai bon espoir d'en venir à bout. Je vous laisse juger si ce futur haut fait fera de moi l'équivalent de Lucifer, et vous dit à bientôt pour de nouvelles critiques sanglantes.

 

Schattra, d'un enfer à l'autre

 

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  • 2 semaines après...

Bonjour à tous et bienvenue dans cette chronique du sixième numéro d'Inferno!, nouvelle version. Publié un an après la sortie de son prédécesseur, Numerosix se sera fait désirer. Le rythme éditorial choisi par la BL pour ce type de recueil n'est pas encore clairement défini, même s'il semble désormais acquis que les parutions trimestrielles des débuts n'étaient qu'un trompe l’œil. Et c'est bien dommage, car je ne connais pas d'anthologies plus enthousiasmantes à découvrir que les Inferno! au sein de la GW-Fiction.

 

Cela tient beaucoup au casting varié, et composé en grande partie de nouvelles têtes/plumes, que l'on retrouve dans ces recueils. La proportion de newbies de ce numéro n'est pas la plus forte que nous ayons connue à ce jour, puisque Drake, Van Nguyen, Lyons, Guymer et les deux Smith (Matt et Gavin G.) sont déjà plus ou moins connus des habitués de la BL. En revanche, Fomley, Gross et Merciel sont d'authentiques nouveaux-venus, tout comme la vedette américaine (mais tout de même anglaise) de cet opus, Adrian Tchaikovski. Ce dernier semble répondre, de ce que j'ai pu lire sur Twitter, à la définition de "l'auteur préféré de ton auteur préféré". En tout cas, il a à son palmarès un nombre conséquent de prix littéraire, et j'espère que ses débuts au sein de la Black Library seront à la hauteur de cette flatteuse réputation. Il n'y a qu'un moyen de le savoir ceci dit, et je vous invite donc sans plus tarder à passer aux choses sérieuses.

 

#6 - Cover

 

 

 

Raised in Darkness (A. Tchaikovsky) [40K] :

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Red Knight (M. A. Drake) [AoS] :

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The Exorcism of Karsa V (M. Smith) [40K] :

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Mourning in Rainhollow (D. Gross) [AoS] :

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Vova's Climb (N. Van Nguyen) [40K] :

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Blood Drought (E. Fomley) [AoS] :

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The Stuff of Nightmares (S. Lyons) [40K] :

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The Nefarious Antipustulent of Clan Morbidus (D. Guymer) [AoS] :

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The Last Knight: Part 2 (G. G. Smith) [40K] :

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Roadwarden (L. Merciel) [AoS] :

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Et voilà qui conclut cette revue du sixième numéro d’Inferno!, qui s’est avéré égal à ses prédécesseurs en matière de diversité et de qualité (avec un léger avantage pour Age of Sigmar sur ce point). Comme d’habitude pour une anthologie de ce type, toutes les soumissions ne sont pas du même niveau, mais à part la déception de la conclusion de ‘The Last Knight’, le reste des nouvelles proposées ici est au minimum assez correct. Le principal point positif à mes yeux reste une nouvelle fois la variété des styles et des approches des contributeurs convoqués au sommaire de ce numéro, offrant à Inferno! une ligne éditoriale très distincte des autres recueils de courts formats publiés par la Black Library, bien plus uniformes et consensuels dans leur approche de la GW-Fiction. Je recommande à ce titre la lecture des offrandes de Tchaikovsky, Gross et Merciel, trois auteurs apportant leur propre vision du lointain futur ou des Royaumes Mortels, avec suffisamment de respect pour le background de ces univers pour ne pas sombrer dans le pastiche de ces derniers.

 

La Black Library n’ayant jamais communiqué sur le rythme de sortie des anthologies infernales, il m’est impossible de vous donner avec une quelconque certitude rendez-vous pour une nouvelle revue d’un hypothétique septième numéro. Le suspens est d’autant plus grand que #6 a été le premier de la série à n’intégrer aucun feuilleton en cours (‘The Last Knight’ s’étant conclus avec son second épisode), et donc aucune « obligation » pour la BL de publier un nouveau numéro. Il ne reste donc plus qu’à prier votre divinité de choix avec moi dans l’espoir que l’histoire et les histoires ne s’arrêtent pas là pour Inferno! : en ce qui me concerne, je considèrerais qu’un abandon avant d’avoir atteint le neuvième numéro serait un acte manqué tout bonnement dantesque, mais je ne suis pas sûr que Nottingham soit sensible à ce genre de détail… Qui vivra lira.

 

Schattra, the long wait starts anew

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  • 1 an après...

Bonjour à tous et bienvenue dans cette revue d’une anthologie infernale un peu spéciale, à commencer par son titre: Inferno! presents the Inquisition. Pour ceux qui ne sont pas familiers de l’institution BLesque qu’est Inferno!, un petit crash course s’impose: initialement lancé à la fin des années 90 comme un bimensuel consacré à la publication de nouvelles, comics et autres joyeusetés 100% fluff et 0% jeu, Inferno! a connu une longue traversée du désert Warp avant d’être ressuscité de ses cendres par Nottingham à la fin des années 2010, près de 15 ans après la fin de la publication de sa première incarnation. Désormais plus proche du recueil de nouvelles que du magazine, cette nouvelle mouture a (au moment de l’écriture) six numéros au compteur, et une ligne éditoriale finalement assez proche de son illustre et illustré ancêtre, à savoir permettre à de nouveaux contributeurs de faire leurs premières armes avant que les meilleurs ou plus chanceux d’entre eux soient affectés à d’autres travaux.

 

Inferno! mise donc sur la diversité plus que sur la spécialisation, ce qui fait de ce numéro spécial, uniquement consacré à une franchise et une faction, une curiosité. Ou annonce un changement radical de stratégie de publication de la part de la Black Library (ce qui ne serait pas plus surprenant que ça). On peut également noter, pour terminer ce briefing pré-chronique, que la moitié des 11 nouvelles regroupées ici ont connu une première sortie: cinq pendant l’Inquisition Week de 2021, et celle de Dan Abnett (la star du sommaire, qui a lui-même commencé sa glorieuse carrière pour la BL avec des piges infernales au millénaire précédent) dans l’édition limitée de ‘Penitent’. Restent donc cinq purs inédits, signés par des plumes (re)connues comme Robert Rath et Denny Flowers, mais également par d’honnêtes bizuths (Rich McCormick, Rob Young, Tom Toner). Voilà de l’Inferno! comme on – ou en tout cas, je – l’aime! Ce motley crew d’auteurs chevronnés et débutants sera-t-il à la hauteur de la délicate mission d’écrire au sujet de l’Inquisition, l’un des piliers du lore de Warhammer 40.000 ? Eh bien, c’est le moment de s’en assurer.

 

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Mindshackle (R. Rath) :

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The Book of Change (D. Ware) :

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The Tear of Selevia (M. Brooks) :

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Tainted Faith (D. Flowers) :

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Knife Flight (R. McCormick) :

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Recongregator (D. Annandale) :

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The Last Crucible (N. Van Nguyen) :

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The Carbis Incident (V. Hayward) :

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The Roar of the Void (R. Young) :

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Lepidopterophobia (D. Abnett) :

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Outpost (T. Toner) :

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Voilà qui conclut cette infernale inquisition. Au final, la qualité est bien présente dans cette collection de nouvelles, mais l’esprit d’Inferno! me semble avoir été un peu sacrifié dans l’opération. Je considère en effet que les courts formats publiés sous ce format doivent pouvoir être appréciés pour eux mêmes, et ne pas dépendre de la connaissance par le lecteur d’éléments de background particuliers (‘Mindshackle‘) ou d’écrits périphériques (‘Recongregator’,Lepidopterophobia‘) pour révéler leur plein potentiel. Une critique d’esthète, si vous voulez, mais une critique tout de même.

 

Ce petit dévoiement mis à part, il faut reconnaître que Inferno! presents the Inquisition regroupe de solides soumissions pour la plupart, seuls Annandale, Ware et McCormick méritant à mes yeux de faire pénitence pour avoir failli leur mission de sainte propagande au profit des saints Ordos. Au vu de l’important contingent de nouveaux contributeurs au sommaire du recueil, il s’agit d’un signe positif pour le futur de la Black Library et une promesse de grimdark qualitatif pour les prochaines années. 

 

Schattra, one eternity later

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Il est revenu et ça fait plaisir :)

 

Pour Greyfax, Gav Thorpe aussi a essayé de donner de la profondeur au personnage mais j'ai du mal a accrocher... Par contre Trazyn, je trouve que Rath a bien réussit a le mettre en valeur depuis qu'il écrit dessus.

 

J'avais un peu peur que D. Ware ne garde le même mode opératoire et nous montre une inquisitrice qui OS tout mais tu me rassure un peu du coup^^.

 

Mike Brooks continue avec son petit groupe de héro mais du coup j'ai une question : A ton avis la pierre esprit c'est celle de rite de passage ou de Ruze Brutal?

 

Lepidopterophobia était dispo dans la version collector de Pariah qui a été vendu a 400 exemplaires ... J'ai horreur quand la blacklibrary fait ça...

 

Pour le reste ça a l'air d’être de nouveaux auteurs et ça change .

 

 

Merci pour le résumé et l'analyse

 

 @Schattra tel notre bon vieux Kyril Sindermann, a fait une pause en temps que commémorateur il y'a un moment pour nous revenir en temps qu'inquisiteur 😛

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Merci pour l'accueil et le retour, @gilian! J'ai pu voir que tu (et les autres) n'avaient pas chômé au cours des derniers mois. Je ne pourrais pas tout commenter mais je lirai tout, sois en certain! :)

 

  Le 21/08/2022 à 10:21, gilian a dit :

Pour Greyfax, Gav Thorpe aussi a essayé de donner de la profondeur au personnage mais j'ai du mal a accrocher... Par contre Trazyn, je trouve que Rath a bien réussit a le mettre en valeur depuis qu'il écrit dessus.

Développer  

 

C'était ma première rencontre avec Greyfax, et je ne lui ai rien trouvé de très intéressant. Trazyn est clairement au-dessus, mais il est cantonné ici au rôle de grand méchant qui ricane dans l'ombre, donc pas à son meilleur. Rien à voir avec 'War in the Museum'!

 

  Le 21/08/2022 à 10:21, gilian a dit :

Mike Brooks continue avec son petit groupe de héro mais du coup j'ai une question : A ton avis la pierre esprit c'est celle de rite de passage ou de Ruze Brutal?

Développer  

 

Bonne question, à laquelle je ne suis pas en capacité de répondre. :D Tu maîtrises beaucoup mieux les arcanes du fluff BL que moi, donc je te laisse la main sur ce sujet.

 

  Le 21/08/2022 à 10:21, gilian a dit :

Pour le reste ça a l'air d’être de nouveaux auteurs et ça change .

Développer  

 

Oui, gardons un œil sur Tom Toner en particulier. C'est lui qui m'a le plus impressionné, et j'aimerais bien voir si c'était un coup de chance ou si on tient un nouveau contributeur de valeur.

 

Schattra, "tant à lire, si peu de temps..."

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  Le 21/08/2022 à 10:21, gilian a dit :

Il est revenu et ça fait plaisir :)

Développer  

 

Ouais! Ca m'as manqué!

 

Et effectivement Lepido lédiptéro, ptédi phobia machin là, j'ai l'impression d'en avoir déjà lu la critique... Ca me dit un truc.

 

Question cependant pour Outpost à @Schattra

Dans quel camps de base notre sympathique Astartes revient il à la fin? Je n'ai pas très bien compris s'il s'agit de celui des pinpins partit se promener dans la Jungle ou de la Capitale. La géographie et les déplacements des personnages me laissent un peu dubitatif... Je croyait la tour du Mago "en ville" tout comme le point de retour du space marine, mais une forteresse entière vidée comme ça, ça semble curieux...

Modifié par Miles
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  Le 21/08/2022 à 21:29, Miles a dit :

Ouais! Ca m'as manqué!

Développer  

 

Merci, ça fait plaisir!

 

  Le 21/08/2022 à 21:29, Miles a dit :

Question cependant pour Outpost à @Schattra

Dans quel camps de base notre sympathique Astartes revient il à la fin? Je n'ai pas très bien compris s'il s'agit de celui des pinpins partit se promener dans la Jungle ou de la Capitale. La géographie et les déplacements des personnages me laissent un peu dubitatif... Je croyait la tour du Mago "en ville" tout comme le point de retour du space marine, mais une forteresse entière vidée comme ça, ça semble curieux...

Développer  

 

Il revient dans la forteresse du Gouverneur, qu'il trouve totalement désertée (j'ai pas été très clair dans l'explication, mea culpa). Je suis passé très vite sur ce qui arrive à l'expédition de l'Inquisiteur, dans la nouvelle l'embuscade est plus détaillée, et on comprend que personne n'en a réchappé. Par contre, l'assaut sur la forteresse/camp de base est totalement hors caméra: il n'y a que quand le Death Spectre revient au bercail qu'il se rend compte du problème.

 

Schattra, instructions unclear

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