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[40k] Emperor God (malgré lui)


Lokeur

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bonjour a tous!

 

je viens présenté un récit basé sur l'un de mes univers préférés, mais cette fois sous l'angle peux exploité de la comédie. j'espère que l'histoire vous sera agréable. 

 

+++ Attention!! le texte suivant peut contenir des violation du fluff importante, +++

dernier parole du soldat Lokeur avant d’être brûlé sur la place publique par un inquisiteur puritain.

 

 

Chapitre 1

 

Pensé du jour : «Compassion et promesses sont les chaînes du samaritain.»

 

L'établissement Saint Miséricorde était une maison de retraite correcte, ou l'on servait régulièrement une nourriture correcte, (bien souvent en bouillie) à de nombreux pensionnaires corrects, du qu'elle le personnel attendait une fin correct( arrêt cardiaque dans le lit, de préférence pendant la nuit du dimanche, afin que l'établissement puisse facturer une nouvelle semaine de séjour à la famille).

 

L'odeur de médicaments était une constante dans ces longs couloirs pastels, ou la journée durant, les aides-soignantes vaquaient de chambre en chambre les bras chargés de linge plus ou moins propre. Toujours suivi de petit chariot de pharmacie, dont le contenu aurait fait rougir un junkie.

L'un d'eux avait pour pilote Garry Passnom. Un jeune intérimaire a l'allure fine dont le CDI avait été tellement de fois renouvelé qu'il faisait presque partie du décors. Toujours souriant, il prenait le temps d'aider du mieux qu'il pouvait les résidences des lieux, dont les hobbys était parfois des plus curieux.

Madame Bigoudy par exemple, avait développé un amour passionné pour le rose, si bien que tout dans sa chambre en arboraient la couleur, du sol au plafond, tout était rose. De même que ses vêtements ou ses rideaux, et malheur à celui ou celle qui renversait ces médicaments au sol(essayé de deviner leur couleur! indice: ce ne sont pas des pilules bleues.)

 

Il y avait aussi monsieur Ferguson. Ancien artistes de renom, obsédé de la propreté. Dont les plainte incessante adressé au ministère de la santé, avaient résultées a l'arrivée de lourde force de police.(L'État avait mal interprété sa définition de Garry comme une «bombe biologique.»)

 

Néanmoins le plus étrange du lot restait celui où Garry se rendait, le résident de la chambre 10. 

il s'agissait d'un vieil homme alité en permanence, le corps attaché à un encombrant support de vie dont nul ne semblait vraiment connaître le nom. Garry et les autres employés avaient bien fait des recherches durant un temps sur son identité, mais le concerné ne l'avait jamais donné ni noté sur aucun document, et lorsque l'aide-soignant poussa ses recherches il fut réprimandé par l'établissement.

 

Poussant la porte de sa chambre, il tomba nez à nez avec le bout du canon d'un char super-lourd à l'air imposant.

 

-Monsieur! Combien de fois vous ai-je déjà dit de ne pas poser vos maquettes sur les étagères de l'entrée. Réprimanda le jeune homme en posant le joue près de la porte. Il pourrait blesser quelqu'un.

-C'est là sa fonction première jeune homme. Un Leman Russ qui ne peut pas blessé serait un piètre char, non? Répondit le gâteux maître des lieux d'une voix calme, toujours allongé sur son lit, le dos recroquevillé au-dessus d'un plateau-repas taché de différentes couleurs de peinture.

 

Le vieil homme avait certainement le hobby plus bizarre et le plus complexe de toute la maison de retraite. Occupant ces journées entières à peindre des petits soldats de plomb qu'ils répartissaient un peu partout dans sa chambre. Compliquant au passage grandement la vie des aides-soignants qui devaient zigzaguer parmi tout ce bazar.

 

-Vous savez, vous allez finir par manquer de place. S'amusa à dire Garry en passant devant une petite armé d'inquiétant soldats, recouvert de masque à gaz et armé de pelle.

-Il y aura toujours de la place pour l'humanité! Réprima l'homme en stoppant son travail pour lui adresser un regard qui ne tolérerait aucun doute. et nul démon ou xeno ne pourra contester cette dernière tant que mes armées se dresseront devant eux.

 

Malgré la dureté de son visage, on pouvait voir sous ces traits parcheminés, une authentique peur pour les figurines qu'il avait peint avec tant d'amour. Imaginant sans peine les aides-soignantes emballer ses armées dans d'obscures cartons qu'ils emmèneraient loin de lui, loin de son regard.

Désireux d'apaiser les craintes du pensionnaire, Garry montra du doigt son plateau de peinture. essayant d'attirer son attention sûre de meilleures pensées.

 

-Alors, comment s'appelle le nouveau? Demanda-t'il, en regardant la figurine de ce qui semblait être une femme au crâne chauve habillé d'un manteau rapiécé.

-Voici Clio, citoyenne fidèle de L'imperium. Faisant don de son bien le plus précieux, afin de maintenir un jour de plus la lumière en ces temps déchirés par la guerre et la folie, ou la raison et la science sont remplacées par le dogme et le fanatisme.

-Hum, je vois... encore du bonheur à la pelle. Dit le jeune homme en contemplant les armées autour du lit. Directement sorti des pires cauchemars d'un pacifique.

 

Toute arme au clair, les petits soldats de plomb était pour la plupart figée dans des poses héroïques, occupé à charger, baïonnette au canon un ennemi imaginaire. Tout dans leur aspect, jusqu'à leur véhicule était enlisé dans une violente détermination exagérée jusqu'au grotesque. Hé même certain de leur blindé avais des baïonnettes montées sur leur canon.( si qui que ce soit dans l'univers trouve une logique à cette «amélioration», merci de laisser un message à la logique de Garry)

 

Une violente quinte de toux vint soudainement ramener l'aide-soignant à ces obligations, alors que d'étrange bruit sortait du support de vie.

 

-Voulez-vous que je vous emmène chez le médecin de garde monsieur? S'inquiéta Garry, en laissant de côté son chariot pour s'informer de la santé du vieil homme, qui malgré son excentricité avait toujours été fort sympathique à ses yeux.

-Non...je ne peux pas partir! Pas encore, ces trop tôt. Comment... comment vont t'il faire sans moi. S'exprime misérablement le maître des lieux en regardant avec douleurs les petits soldats qui montaient la garde autour de lui.

 

-Ne soyez pas bête. C'est l'affaire de quelques minutes. S'inquiéta le jeune homme, en commençant à faire bouger le pensionnaire.

-Non! cria ce dernier en se cramponnant de toutes ses forces au lit. Je n'abandonnerai pas! Je ne les laisserai pas seul!

 

Garry envisagea un instant d'utiliser les roulettes du lit pour le faire sortir, mais la horde de jouet au sol rendait malheureusement cette manœuvre impossible. Il allait devoir ruser.

 

-Écouté, si cela peut vous apaiser je veux bien en prendre soin durant votre absence. Déclara joyeusement l'aide-soignant en affichant une mine agréable.

 

A ces mots, l'ancien se figea net dans son lit. Curieusement imité par son support de vie auquel on semblait avoir ordonné le silence.

 

-Vous seriez prêt à faire cela? L'interrogea-t-il en le mesurant d'un aire inquisiteur. A en prendre la responsabilité et a assumé ce poids même dans les heures les plus sombres.

-«Écoute mon vieux, j'ai 3 ans d'expérience dans la gestion des personnes âgées et autant dans la petite enfance! Je pense que je peux gérer une armada de joué qui ne bouge pas. Même s'ils sont ridiculement armés». Voulu sincèrement répondre garry mais préféra une affirmation plus claire. Ne vous faites pas de mauvais sang monsieur, je vous promets d'en prendre soin.

 

De façon presque imperceptible, le jeune homme senti les poils de sa nuque ce hérissés comme parcourue d'électricité statique tendît qu'il se demandait qui était l'idiot du personnel qui avait activé les clim de chambre en réprimant un frison.

 

-Juré le. Ordonna le maitre des lieux en lui attrapant le bras avec une force qui prit au dépourvu le jeune homme. Juré le devant moi, devant eux!

 

Une peine éprouvante enserra son cœur a la vue de l'espoir presque hystérique qui se reflétait dans les yeux de l'ancêtre. Lui faisant comprendre qu'à part les aides-soignantes et lui, personne ne lui rendait jamais visite et que ces petites choses étaient et restera sûrement c'est seul compagnon en ces jours ici.

 

-Oui, je vous promets de prendre soin d'eux. Assura Garry avec douceur, en empoignant à son tour la main du pensionnaire qui se rallongea sur le lit.

-Merci...je...je vous laisse la suite. Murmura-t-il, souriant faiblement.

-Super alors on va... Garry ne fini jamais sa phrase, noyer dans le vacarme du support de vie dont les voyants briller de mille feux. Ce qui sonnait rarement bon pour le patient auquel il était relié.

 

Paniqué, le jeune homme se précipita vers la sortie pour aller chercher de l'aide. Mais glissa de façon disgracieuse sur le sournois Leman Russ qu'il avait négligemment laissé au bas de la porte. 

 

Un Leman Russ qui ne pourrait pas blessé serait un piètre char, non? Fur ces dernieres pensées avant que son crâneur heurte violemment le sol.

 

 

 

Il y a bien longtemps dans une galaxie brutal, très très brutal....

 

Terra, berceau sacré de l'humanité. Cœur de l'imperium, elle est le centre névralgique d'un empire galactique, d'une immensité inconcevable et est particulièrement épars, ses mondes étant parfois séparés par des milliers d'années-lumière. Il faut des mois, voire même des années pour le traverser entièrement. Il est ainsi apparu petit à petit autant de modes de vie différents qu'il y a de planètes dans l'Imperium, et autant de coutumes, de traditions, de références et d'héritages particuliers. Ne partageant souvent en commun que leur dévotion envers L'empereur dieu. 

Maitre du destin des hommes, il est le gant de fer qui enserre leur vie, incarnation de l'ordre et de la loi auxquels le genre humain doit se soumettre. Car l'Imperium est le régime le plus cruel et le plus sanglant que l'on puisse imaginer. Une discipline implacable, impitoyable et indispensable pour survivre à cette époque troublée.

 

Vivre dans l’Imperium, c’est vivre un cauchemar éveillé au sein de la société la plus dystopique qu’on puisse imaginer. Les masses de l’Humanité ne sont que le grain à moudre sous la meule de la survie de l’espèce, une matière première abondante, dont le sang huile les rouages d’une machine de guerre impitoyable, des milliards d’âmes trimant dans les manufactures éclairées par des torches de mondes-usines, des générations entières naissant et mourant sans jamais voir le ciel. Les cités-ruches gémissent sous le poids d’une population délirante, dont l’existence est rythmée par le travail et la douleur. Des ventres de navires stellaires titanesques aux allées bourdonnantes de scriptorums aussi vastes que des cités, des profondeurs obscures des sous mondes à la surface stérile et glaciale d’astéroïdes miniers, chaque jour est synonyme d’épreuves et de désespoir dans les domaines de l’Empereur. Et ce n’est pas un mal, car ceux qui courbent l’échine sous l’effort et la mélancolie ne peuvent lever les yeux vers le ciel et les horreurs qui s’agglutinent dans ses étendues insondables.

 

On ne peut en dire autant des chefs de l’Humanité, car ils portent sur leur épaule le terrible fardeau de la Responsabilité, et savent quels dangers guettent leur peuple. L’Imperium a été en péril de nombreuses fois au cours de l’histoire, à l’occasion d’événements toujours plus graves. Les orks se multiplient dans toute la galaxie et détruisent tout sur leur passage. Les légions sans vie des Necrons se lèvent de leurs mondes-nécropoles et se mettent en devoir d’exterminer la vermine humaine qui a envahi leur empire de jadis. Sur la Bordure Orientale, l’Imperium doit faire face à la menace grandissante de l’Empire Tau à la technologie avancée, alors que les vrilles des flottes-ruches Tyranids arrivent d’une autre galaxie afin de dévorer toutes les planètes qu’elles croisent. Pires encore, toutes ces menaces ne sont rien comparées à celle du Chaos, car par-delà le voile de la réalité, les Puissances de la Ruine exhortent leurs serviteurs mortels à commettre des actes diaboliques, tandis que des légions de démons se manifestent dans l’univers réel en nombre sans cesse croissant.

 

Touts avides de mettre un terme à cette humanité encerclé et blessé dont le cœur meurtri repose sur un trône d'or.

 

Si convaincu que ce cœur ne pourrait plus jamais battre...

 

Si vaniteux.

 

 

 

 

«La belligérance alliée à la foi peut déplacer une montagne» 

 

Terra. Lieux {censuré}. Forteresse inquisitoriale.

 

Assis devant ce qui était autrefois ces paires, se tenait le haut inquisiteur Bûcheur. Enchaîné par les fers.

Haut de plus de deux mètres. il se tenait droit, soutenu par la seule force de son orgueil. Au milieu de ce tribunal symbolique de la justice impérial, dont les murs parés de sceau sacré, presque effacé témoignaient de son âge millénaire.

 

-Inquisiteur Bûcheur! Annonça un vieillard dont le visage partiellement brûlé ne diminuait en rien la joie qui drapait ces lèvres. Jugé un radical était un cadeau de l'empereur à ces yeux.  Cet extrémiste avait tourné le dos au crédos impériale pour se tournée vers les chemins désavoué de leur pair. S'abaissant à utilisé des méthodes hérétiques et Xeno pour compenser leur faiblesse de corps et d'esprit. 

 

Et la faiblesse appelle à la punition.

 

-Vous vous trouvez devant le conclave aujourd'hui, sur le sol même de terra pour répondre de vos actes dans le secteur Honimus où votre équipe est accusée de s'être adonné à des pratiques techno-hérésie sur un réacteur sanctifié dont la mise en fusion à entraîner l'anéantissement de la totalité de la chaîne de commandement de la garde impériale du secteur! Communiqua le juge en déroulant davantage l'épais parchemin qu'il tenait dans ces maigre main. Ainsi que la mort d'un nombre important de garde impériaux? (Décompte laissé à la charge de L'administratum. Temps éstimé pour réponse: 107 ans.) il est ajouté au charges retenues contre vous. utilisation d'arme Xeno, absences répétées au messe obligatoire de la sainte Ecclésiarchie, manquement au...

 

Une fortes quinte de toux s'éleva d'un des membres du jury. Une femme à l'air froid comme la mort, enfermé dans une lourde armure énergétique finement sculpté.

 

-Avez-vous besoin de quelque chose grande inquisitrice Lahabiel? Signala le juge inquisiteur en levant les yeux de son parchemin. Une équipe médicale peut être?

-Non merci. Déclina cette dernière en secouant sa main blindée. Mais je me dois d'insister sur le gâchis de temps précieux que l'inquisition monopolise sur ce traitre.

-JE NE SUIS PAS UN TRAÎTRE! Cria l'accusé avant d'être frappé par un garde.

-Accusé, veuillez garder le silence jusqu'à ce qu'on vous ordonne le contraire. S'emporta le vieil homme avant de revenir avec joie sur Lahabiel. Vos paroles ont été prises en compte inquisitrice, que proposez-vous?

-Une balle dans la tête. Déclara-t-elle sans la moindre gêne. Voir plusieurs si le jury est d'accord, je peux même fourni l'arme.

 

Sur ces mots, elle dégainait de sa ceinture un imposant pistolet-mitrailleur de série chaste vertu (Pour être sûr que le chaos n'ait pas d'emprise sur vous, suffisamment de balles pour maintenir une horde à distance... ou ne pas se rater!).

 

Des murmures d'approbation résonnèrent à travers la salle, tendit que les serviteurs changer les pots d'encens sanctifié.

 

-Objection! S'exclama une voix métallique.

 

Bûcheur n'eut pu cacher sa surprise, à l'arrivée de son ancien mentor. celui qui l'avait formé, Le seigneur inquisiteur Oberst von Ryn.

Il était sûrement l'un des hommes les plus puissants et influents de Terra. Maître espion, duelliste accomplie et ceinture noire cinquième dan de prière tout terrain ( inclus la récitation des cantiques de l'Empereur -Dieu avec le/ou les poumons perforés.)

Même enfermé dans son SVMA(Support de Vie Mobile Armé.) suite à sa malchanceuse rencontre avec un hachoir ork. Il était toujours l'incarnation même de la juste justice puritaine.

 

Une fine lueur d'espoir traversa le regard de Bûcheur, à la vue de celui qu'il considérait comme un père.

 

-Son exécution ne doit en aucune façon être administrée à l'aide d'une arme à percussion, fut-elle généreusement fournie. Exprima ce dernier en roulant sereinement jusqu'à l'accuser. Cela doit être exécuté avec l'aide d'un brûleur chargé de prométhium bénis. Suivant ces mots, une tête de lance-flammes sortie d'un des compartiments de son fauteuil.

 

...Qu'il considérait comme un immonde petit enculé qui appelait de ces vœux un escalier.

 

-Bien, dans ce cas seigneur inquisiteur, nous vous laissons le soin d'administrés la sentence vous-même. Déclara le juge en s'enfonçant au maximum dans son fauteuil, tout en gardant les flammes du coin de l'œil.

 

Relevant ces larges aux épaules, l'accusé fit face au canon de son bourreau. Sentant déjà sur sa peau mate, la chaleur de la veilleuse.

 

-Mais avant cela. Énoncé subitement son mentor en se tournant vers le jury. il est de mon devoir d'entendre le rapport exact et détaillé de la totalité des preuves tenu à la charge de l'accusé.

 

Un tollé de plainte et de gémissements exploser des gradins.

 

-Vous ni pensée pas!

-Que L'empereur protège!

-Il y en a pour des mois! Tout ça pour un radical!

-Les Xeno de mon secteur ne vont pas s'exterminer tout seul! 

 

Le mécontentement était elle, que le juge du s'y reprendre plusieurs fois pour ramener l'ordre. Le visage transpirant de colère. Et seul le titre de son interlocuteur le tenait encore à la politesse.

 

-Nous prenons note de votre demande seigneur inquisiteur Oberst von Ryn. Mais vous savez tout aussi bien que moi que cela prendrai des mois, et qu'il serait inadmissible, et criminel même, de maintenir inactif aussi longtemps tant de membre des ordos.

 

-Nous voudrions des résultats plus immédiats. Ce plaignait Lahabiel, après avoir discrètement ordonné à un de ces acolytes de lui trouver un lance-flamme.

 

-Faire les choses avec diligence et ce qui a conduit mon apprenti à ça place ici! Déclara mortellement Oberst, La voix amplifiée par ces modifications mécaniques. Tous gardaient le silence, comprenant sans mal la menace sous-jacente. Mais vous avez raison, il serait criminel de laisser autant de sursis aux ennemis de l'humanité. C'est pourquoi, je me permets de soumettre à ce conclave une autre solution.

 

Retenant délibérément ces mots, le seigneur inquisiteur regardait le jury maintenant braqué sur lui. Savourant le plaisir d'être maintenant, comme tout bon orateur, le centre de l'attention.

Cette dernière fut néanmoins troublée par la voix courroucée de l'inquisitrice Lahabiel qui venait d'apprendre que le stock de lance-flammes béni de Terra avait été dévalisé pour nourrir une nouvelle croisade des black templar à l'encontre d'équidés Xeno multicolore prêchant l'amitié et l'harmonie.

 

-Je propose de soumettre l'inquisiteur Bûcheur au pure jugement de l'empereur Dieu.

 

 

 

 

Le son du moteur était le seul bruit que distingué vraiment Bûcheur. On avait bandé ses yeux peu après l'accord du conclave, puis forcé à s’asseoir dans ce qu'il devinait être une chimère lourdement blindée.

Le voyage fut passablement long mais confortable, comparé aux autres solutions de transport que lui avaient imposées ces activités précédentes dans le secteur Honimus, de plus ces geôliers ne souffraient pas d'effluves ou de reflux liés à des quelconque drogue de combat. Ces gazes auraient pu tuer un tyranide, et Empereur que ces trucs étaient tenaces.

 

Ainsi entravé de toute distraction, l'esprit entraîné de l'inquisiteur qui ne pouvait concevoir le repos, se mit à réfléchir à ce qui l'attendait. D'une certaine façon, il était impressionné par l'allongement excessif de son espérance de vie. Il s'était déjà maintes fois préparée à l'inéluctabilité de sa mort dans les sombres cachots inquisitoriaux. Pensant être en paix avec ces actes. Mais son ancien maître en avait décidé autrement, et le voilà maintenant en route pour le trône d'or.

 

-«Si quelqu'un m'avait dit à mes débuts, que brûler volontairement une planète loyale du domaine de l'empereur m'amènerait devant lui...ha, j'en aurais ri aux éclats, avant de le brûler pour cette parole hérétique.»

 

Mais il l'avait fait, ça et beaucoup d'autre choses. Parce que c'était le plus efficace, le plus rapide. La meilleure façon d'agir.

Cette façon de penser avait toujours été dominante en lui, mais sous le regard vigilant de son maître Oberst, Bûcheur avait toujours su la contrôle, la museler.

 

Et pour survivre au secteur Honimus, il avait dû retirer cette muselière.

 

L'homme sentait subitement le véhicule ralentir, puis s'arrêter complètement. Aussitôt poussé par ces geôliers, l'inquisiteur ressentait un instant la chaleur du soleil sur sa peau, avant d'être emmené par une main plus ferme dans un autre véhicule.

 

-«Une altération d'équipe? Serait-ce un changement d'autorité? Ou... on me détourne? Se questionna le prisonnier qui malgré son expérience n'arrivait pas à deviner dans quel transport il pouvait bien se trouvé.«ils se sont finalement lassés d'attendre.»

 

Fatigué de son ignorance, L'inquisiteur se redressa de toute sa hauteur.(légèrement surpris de ne pas s'être cognée au toit de la coque d'acier.) et demanda de son ton le plus autoritaire.

 

- Qui êtes-vous?

 

Un silence pesant fut sa seule réponse.

Néanmoins, Bûcheur se permit de barrer le détournement de sa liste de souci, encouragé par le manque de coup de crosse contre son visage.

Une tension palpable saturait toutefois l'air, ces soldats étaient sans conteste ultra entraînés. Malgré la promiscuité imposant de leur véhicule. Il lui était impossible de deviner quoi que ce soit à leurs sujets, il n'était pas assez naïf pour croire ces sens qui lui assuraient pourtant que le transport était vide.

 

Un rire fort résonna juste au-dessus de lui.

 

-Vous êtes bien le premier à me le demander sur ce ton. S'exclama son interlocuteur. Et pour cela je vais vous répondre. Je suis Gabriel Barion, premier capitaine de la garde des compagnons. Moi et mes hommes avons été chargés par le capitaine général de vous escorter Jusqu'au Trône.

-Vous... vous êtes un custodian? Laissa échapper malgré lui l'inquisiteur, choquée d'être en présence des gardiens légendaires du trône d'or, champion parmi les champions et héro parmi les héros de l'humanité.

-Je suis beaucoup de choses mortels. Mais en cet instant je suis juste un guerrier, un guerrier curieux de savoir quel action vous ont amené devant Lui

-C'est une longue histoire.

-Cela tombe bien, nous avons une longue route. Coupa le champion, avec une intonation qui ne laissez pas place au refus.

 

Sur un ton de confection Bûcheur raconta ses débuts dans Honimus.

Les mots ne surent décrire le cauchemar dans lequel lui et ces hommes furent plongée. Ils eurent été chargés de ramener l'ordre dans le secteur, mais sous les multiples assauts des serviteurs du chaos, ainsi que leurs hôtes démoniaques, l'inquisiteur Bûcheur avait rapidement perdu la plupart de ces ressources dans une guerre d'usure qui marqua la surface de monde entier. Désemparé face à son inefficacité, l'homme eut commencé à chercher une solution en empruntant le chemin interdit de ses pairs, pour le plus grand bien,

Il en eut déterré une puissance inimaginable. Très vite, les chefs se bâtirent en eux, mu par une discorde surnaturel, tendit que ses propres hommes frappèrent avec une précision inouïe leurs repaires.

Cette victoire facile gonfla son orgueil, et bientôt il tenta avec l'aide d'autre radicaux, d'ouvrir une porte interdit en plein cœur d'un monde ruche. Persuadé de trouver à l'intérieur, une arme capable de changer le destin du secteur. Mais à son ouverture, seul l'horreur les attendus.

 

Une abomination, sorti des tréfonds d'un âge oublié s'abattit sur eux, et seul le sacrifice de tous ces hommes, alliés à une chance honteuse lui permis de quitté la planète, avant que son propre teknoprêtre, barricadé dans le centre de contrôle interne ne se résout à faire explose les réacteurs de la ruche. Anéantissant définitivement cette menace, ainsi que toute vie sur plus de la moitié de la planète.

 

-Je me suis laissé récupérer quelques mois après par mes pairs, et ramener à Terra pour un conclave inquisitorial qui décida de laisser mon destin au jugement du Trône.

Fini le prisonnier, inconscient que le moteur du véhicule s'était tu.

-Nous sommes finalement arrivés. S'exclama Gabriel qui jusque-là elle avait écouté sans rien dire, tendit qu'on entendait le travail des pistons de la trappe de sortie.

 

L'aire le plus frais qu'il n'est jamais senti frappa son visage tendit qu'on le tirait à l'extérieur et qu'une douce chaleur le caressait à travers ses vêtements.

 

 

-En vertu de la procédure je vais maintenant vous libérer de vos chaînes, et sachez que vous serez abattu si vous tentez de vous enfuir.

-Mais... je...je suis un prisonnier! Bégaya l'inquisiteur pour la première fois de sa vie, abasourdi par ce non-sens élémentaire de sécurité.

- Le palais impérial à ses propres règles, indépendamment de l'impérium. S'expliqua son interlocuteur en déverrouillant ces chaînes. Juste, respecté ces règles.

 

Libéré de ces entraves, Bûcheur ignora totalement ses poignées douloureuses, excité à l'idée de découvrir de ces propres yeux les merveilles et autres féeries portées par les contes et légendes parlant du palais.

 

Devant lui se tenait le début du couloir le plus colossale qu'ils n'aient jamais imaginé, même les Titan les plus grands aurait pu manœuvrer au milieu de ses piliers ornés de milliers de gemmes et autres dorures sans risquer de se toucher. Redevenu enfant, l'homme se perdit dans la contemplation de ces murs recouverts de fresques finement ouvragées, représentant des scènes de bataille grandioses ou les exploits de saints. qui disparaissent en direction d'un plafond dont l'œil humain (ou augmenter) ne pouvait discerner le fond.

 

-IL faut avancé mortelle. dit Gabriel, resté tout ce temps derrière lui avec ses hommes. L'empereur n'attend pas.

-Oui, bien sur! Tout de suite! Débita Bûcheur en se retournant, les yeux encore éblouis par cette célébration suprême de l'orgueil des hommes.

 

Pour se retrouver devant un paquet extra grand format, de la représentation physique de l'orgueil des mâles.

Pendant qu'il avait le dos tourné les custodians avait été attaqué, et remplacé par de terrifiants géants nus et exagérément musculeux. Ne portant pour seul vêtement, un casque d'or custodian (sûrement volé à son escorte) et un slip rouge moulant qui ne laissait place à aucune imagination.

(Il avait aussi une cape noir et des petites bottes en cuir, mais l'esprit de l'inquisiteur s'en battait les cou...)

 

-Y a-t-il un problème? Demanda le plus grand d'entre eux, en s'avançant vers lui d'une démarche légère et gracieuse, normalement impossible pour un être de cette envergure.

 

Bûcheur s'était figé, le regard vide. Le corps paralysé par son cerveau qui refusaient avec une obstination digne de figurer sur les murs autour d'eux. De reconnaître ou d'assimiler cet amateur de topless au vénérable et Inébranlable gardien du trône sacrée de Terra.

(malgré l'insistance ridicule de ses oreilles hérétiques qui proclamaient que sa voix était la même que celle de l'honorable premier capitaine Gabriel Barion.)

 

-HAAAAAA, le palais est envahi par des pervers!!! Hurlait de toutes ses forces le prisonnier, dans l'espoir d'ameuter des secours.

 

Mais cet espoir fut réduit à néant par l'apparition de plus de body-building en bottines.

Il fut rapidement encerclé de toute part, leur lance pointer dans sa direction.(le mot lance faisant bien heureusement référence à leur arme.)

 

-Halte!!! Ordonna la voix du premier capitaine, par-delà ces murs de muscle. Cet homme est avec nous pour se présenter à son jugement! Reprenez vos patrouilles!

 

Instantanés, les guerriers cessaient de menacer l'inquisiteur qui les regardait partir dans le couloir d'une démarche martial.

 

-Ne vous ai-je pas dit de vous tenir tranquille mortel! Gronda la voix du géant qui se tenait face à lui. Son nombril au niveau de son visage. La prochaine fois je ne retiendrais peut-être le bras des custodians.

 

Ayant finalement réussi à reprendre ces esprits, à grand renfort de rite d'apaisement de L'empereur. Bûcheur ne pus retenir la question qui brûlait ces lèvres.(sa force mentale était concentrée à ne surtout pas baisser les yeux.)

 

-Au nom du trône, de l'empereur et de tout c'est saint! Dites-moi pourquoi vous vous baladez nue!!

 

Si les custodians n'avaient pas eux leur imposant casque, le mortel aurait pu voir le passage de la surprise sur leur visage. Peux habituer à ce genre de question.

 

-Nous ne sommes pas nues! Rétorqua Gabriel Barion en se désignant d'un geste de la main. Tendit que ces hommes prenaient d'étranges poses. Nous somme en tenue de combat! Ne le ne voyez-vous pas!

-Empereur, vous êtes en slip et bottines!

-Vous oubliez la cape et le casque. Émettait le capitaine, outré par cet négligence.

-Mais où est votre cuirasse, votre blindage, votre armure énergétique!!! S'emporta le prisonnier, affligé de les voir ainsi sans équipements. Même les plus malheureux conscrits de la garde impériale ont un minimum de protection.(dans leur cas, un T-shirt généreusement fourni par l'administratum local où est imprimée en gros caractères ARMURE.)

-Vous voulez parler de l'armure énergétique?

-Oui!!

-Ne soyez pas ridicule, bien sûre que nous en avons. Expliqua le custodian sur le même ton qu'un adulte expliquant à un enfant. C'est juste que notre ordre à choisi volontairement de ne plus en porté.

-MAIS CES COMPLÈTEMENT débi....Bûcheur retient tout juste son insulte, se rappelant soudainement qu'il s'adressait à des géants lourdement armés, réputé pour être les meilleurs combattants de tout l'imperium.

 

-..Déstabilisant! vous comprenez?

-Je conçois que notre apparence peut prétendre à confusion.

 

Alors que les sourcils de l'inquisiteur étaient en compétition pour savoir qui arriverait le plus haut. Le premier capitaine nourri finalement sa curiosité tendit que leur groupe reprenait la marche vers le trône.

 

-Tout a commencé le dernier jour de L'hérésie d'Horus. Le maître de guerre renégat marcha alors sur Terra, fort de ces innombrables légions chaotiques, afin de reverser l'empereur et prendre ainsi sa place en tant que maitre de l'humanité. En ce jour maudit, notre ordre faillit deux fois, une première fois en ne réussissant pas à tuer Horus puis une seconde fois en échouant à protéger l'empereur de la lame du primarque traître qui condamna notre maître sur le trône. Par ces deux fautes, nous portons deuil sur nos épaules et avons renoncé à nos armures, offert par celui que nous n'avons pu protéger.

 

Enrichie de cette conversation, et surtout assez sage pour savoir la boucler. Bûcheur continua son chemin toujours plus émerveillé à chacun de ses pas.

 

 

Leur petit groupe arriva finalement en vue de L'Astronomican.

Cette titanesque machine au proportion presque impossible se trouvait au cœur du palais impérial, au cœur de l'Imperium. Elle avait la forme d'une pyramide des temps jadis, bardé d'or et de fil énergétique donc les extrémités disparaissaient dans le gouffres de refroidissement insondable qui l'entourait.

Pour atteindre le trône d'or, ils ne leurs restaient plus qu'à gravir les milliers de marches qui menait au sommet de la bâtisse.

 

L'inquisiteur Bûcheur pouvait presque sentir sa foi brûler à travers sa peau. Debout devant ce manifeste de puissance et d'espoir. Rempli d'une vigueur renouvelée, il s'élança à l'assaut de ces escaliers de pierre bardé d'innombrables bannières, avec l'enthousiasme exalté d'un champion de l'imperium.

 

Une heure plus tard...

La sueur perlée à grosses gouttes du front du Bûcheur qui enjambait semblas t'il sa millionième marche. Il avait depuis longtemps perdu le compte, au fur et à mesure de cette ascension qui n'en finissait pas. Il envia durant un instant la constitution de son escorte qui ne ralentissait nullement le pas. Puis se ressaisis aussitôt.« La jalousie est le premier pas sur la voix de la damnation». Réaffirmait son esprit d'une solution d'acier, il continua sa route.

 

Deux heures plus tard...

Chaque fibre musculaire de ces jambes hurlait de douleur, poussé dans leur dernière limite par un maître à demi conscient de son environnement. Son esprit asservit à la seul pensée d'avancer davantage vers le sommet de cette montagne d'or glorieux, dont la pointe brillait elle une étoile.

 

Une heure plus tard...

Le mortel arriva finalement sur le parvis des portes de l'éternité. Épuisé et assoiffé, il s'effondra presque aussitôt. Emporté par la démarche mécanique de ces jambes qui croyaient encore devoir monter des marches.

 

Une main bienveillante lui tendit une gourde d'eau qu'il avala avec un enthousiasme remarquable, manquant de peu de s'étouffer.

 

-Vous pouvez vous reposez mortelle. Déclara le custodian en tapotant son dos. Des serviteurs viendront sous peux vous apporter subsistance avant votre rencontre avec LUI.

 

Ces quelques mots rassurèrent grandement l'inquisiteur, heureux de pouvoir reposé un peut son corps. Songeant au petit enfer d'escaliers qui attendaient les serviteurs.

 

Requinqué par la fraîcheur de l'eau, Bûcheur en profita pour admirer les deux portes béantes qui le séparait de la chambre de L'empereur, le sanctum imperialis.

D'un bleu azur, elle était constituée d'un métal qui lui était inconnu sur lequel était gravé en lettres d'or de saintes litanies pavé de parchemin de pureté.

Ils étaient chacune gardé par une unité de custodian si lourdement armé, que Bûcheur n'aurait eu aucun mal à croire chacun d'eux capable de gérer une petite armée (ou une grosse pour le type effrayant au fond, avec une arme normalement montée sur un titan de guerre.)

 

Ces yeux rassasiés, l'homme se permit de demander au premier capitaine Gabriel Barion de le renseigner sur le protocole à suivre concernant son jugement. Inquiet de commettre une maladresse.

 

-Ce dernier est très simple mortel, une fois les portes ouvertes vous marcheraient à l'intérieur sur cent pas. Puis vous vous agenouillerez devant LUI et plaiderez votre cause. Toute autre action entraînera votre suppression immédiate. Détailla le géant en le fixent à travers les lentilles d'acier de son masque. Si IL répond favorablement à votre encontre, relevez-vous, saluée et reculé sans lui tourner le dos jusqu'à la porte.

-Et si IL ne répond pas?

-Si L'empereur ne vous juge pas digne de son temps, évacué comme précédemment cités et attendez votre mort par SNU SNU.

-Si t'elle est la volonté de... PAR QUOI?!

-Par SNU SNU. Système: Nucléaire: Utilitaire: de Simplification: de Nettoyage: Unilatéral. Décortiqua le premier capitaine, en montrant du doigt le custodian avec l'énorme canon à plasma. Et il ne restera plus rien de vous.

 

À son grand étonnement, le mortel poussa un soupir de soulagement à la vue de l'arme cataclysmique. Le gardien voulut en savoir plus, mais retiens ces paroles en voyant apparaître sur l'affichage de son casque de diverses runes d'approche.

 

-votre repas arrive.

 

Bûcheur lui sourit à cette annonce, toute en se répriment intérieurement pour avoir osé comparer une institution de la glorieuse Terra avec les coutumes barbares d'un monde primitif. 

Il s'approcha tout naturellement du bord des escaliers curieux de voir d'autres pèlerins traversée ce petit enfer.

Mais malgré sa vue perçante, il ne distinguait aucune silhouette gravir la pyramide.

 

-Heu..toutes mes excuse, mais je ne vois aucun serviteur. Constata l'inquisiteur en se retournant vers son gardien.

-Car vous regardez dans la mauvaise direction.

 

Un fort déclic mécanique retentit alors tout près d'eux. Et une petite porte(comparé à sa voisine.) habilement dissimulée se déverrouilla à côté des gardes de la porte de l'éternité. Et un serviteur mi-homme mi-machine en sortie, portant avec lui un plateau-repas bien garni.

 

Suivant le programme implanté dans son cerveau, le serviteur avança d'une démarche automate en direction de l'inquisiteur Bûcheur qui le regardait avec stupéfaction, la bouche grand ouverte.

 

-Il vient de sortir d'un ascenseur? Questionna l'homme, le visage parcourut de tic nerveux.

-Oui.

-Ascenseur qui était accessible depuis le bas.

-Naturellement puisque les cuisines sont en bas.

-Et pourquoi ne les avons-nous pas utilisé?

-Parce qu'il son réservé au serviteur d'entretien évidemment.

-Évidemment...évidemment. Marmonna l'homme en s'approchant du serviteur innocent, le yeux chargé de meurtre. Il picora à peine l'assiette sous le regard de la créature décérébrée, avant de maladroitement faire chuter son repas en direction des escaliers.

 

Le plateau chargé de nourriture dévala alors inexorablement les  innombrables marché du chemin de pierres.

Prenant conscience de ça, les sous-routines de nettoyage du serviteur s'enclencher, et armé d'un chiffon lancer une croisade contre les taches de gras qui souillait la pyramide.

Sa justice accompli, l'homme se présenta devant le premier capitaine, prêt à se présenter devant le maître de l'humanité.

«Le dernier acte de l'inquisiteur Bûcheur, maltraité un serviteur décérébré. Si on n'avait pas encore touché le fond, maintenant c'est fait!» murmura le peut de moral qui lui restait. Tendît que la salle du Trône d'or s'ouvrait devant lui.

 

Une aura de domination le frappa de plaint fouet, si fort qu'il faillit chanceler.

Devant lui se tenait le maître de l'humanité, siégeant sur son trône d'or. La chair parcourut d'innombrables miracles de machinerie destinée à maintenir en vie son corps détruit par les odieuses puissances ruineuses. Malgré toute la volonté du monde, l'humain ne pût imprimé dans son esprit une image claire de son glorieux maître qui semblait illuminé par sa simple existence.

 

 

S'avançant d'une démarche tremblante parmi les imposantes colonnes qui soutenait son domaine.

Bûcheur se sentait insignifiant, misérable même. L'Ego, le courage, ou l'orgueil qui habitait son âme était balayée par la simple présence de SON regard. Et seul le conditionnement extrême imposé par la pratique de sa profession lui permit de se rappeler du protocole confié par Gabriel Barion. Ce n'est qu'une fois à genoux qu'il remarqua les larmes le long de ces joues.

 

 

-Saint Empereur Dieu. Commença l'inquisiteur dans un haut Gothique parfaitement formulé. Ton humble serviteur se présenter aujourd'hui devant toi afin que tu daignes juger de ses actions. Comme tu le sais, toi dont nul fait ne t'est inconnu. J'ai porté la charge de la rosette inquisitorial au secteur Honimus pour servir en ton nom. En ces terre sombre j'ai affronté l'hérésie, le xeno, et l’impure. Mais face au mal, j'ai constaté ma propre faiblesse, ainsi pour mieux te servir je me suis tourné vers des arts interdits de mes pères et j'ai emprunter la voie du radical pour mieux répandre ta volonté.

 

À la fin de son discours seul le silence régnait dans la salle, seulement perturbé par les tintements de sa sueur contre les dalles de pierre. Et cela resta ainsi bien longtemps, si immobile et silencieux que cela en devenait douloureux.

 

-« Suis-je indigne?» Songé avec terreur l'inquisiteur qui luttait contre la peur engendrée par une telle idée.« ai-je suivi le mauvais chemin? Me suis-je souillé!?»

 

L'angoisse qui l'assiégée rendait maintenant sa respiration difficile et dans un ultime élan, mu par le désespoir sur sa propre existence il demanda.

 

-Que dois-je faire pour prouver ma valeur a vos yeux?

 

 

La première sensation qui frappa Garry fut l'absence de sensation dans son corps. Comme si chacun de ses membres avait gagné un rendez-vous privé avec le dentiste.

Il se sentait pâteux, somnolent.

Par réflexe il voulut ouvrir les yeux, mais remarqua avec horreur que cela lui était également impossible.

Tentant tant bien que mal de ce ressaisir. L'aide-soignant essayait de se rappeler comment il en était arrivé la.

La peur de sa condition stimula à merveille sa mémoire embrumée.

Le jeune homme se souvenait avoir commencé sa journée à aider les pensionnaires de sainte-miséricorde à prendre leurs médicaments. La plupart ne lui avaient pas posé de souci. (mise à part monsieur Ferguson qui avait exigé à ce que les pilules soient nettoyées devant lui.)

-«Puis le type aux figurines s'est senti mal et....ho...c'est pour cela que j'ai mal au crâne?»

 

Garry n'eut pas besoin de tiré sur ces années d'études de médecine pour savoir qu'un choque à la tête avait d'importante chance d'occasionner de graves lésions. D'ailleurs cela expliquait certainement son état. 

Il refoula avec difficulté la panique née d'une telle hypothèse. Se rappelant qu'en cas de coma cérébral, les premières heures étaient les plus importantes.

 

Soudain, des paroles se firent entendre en bordure de ses propres pensées. Comme murmuré depuis une lointaine pièce. «Au moins mes oreilles fonctionnent.»

 

Concentrant toute son attention sur le seul sens qui lui restait. Garry très surpris d'entendre une voix d'homme marmonné d'étrange mot latin charcuter par un fort accent.

«je dois communiquer!» songeait le jeune homme en s'imaginant dans un lit d'hôpital. Examinez par un docteur, seul être humain à sa connaissance pouvant parler latin volontairement. (avec les prêtres pour les baptêmes et les enterrements... Et son état se prêtait moyennement au baptême.)

 

Il se concentra durant de longues minutes à rassembler chaque fragment de volonté qui lui restait. Une douleur intense grandie alors dans ce qu'il supposait être l'arrière de son crâne, mais il l'ignora et chargea toute sa volonté dans un unique mot.

 

 

 

Accablé par le silence, et ronger par la honte d'avoir osé LE questionner. Bûcheur raffermi sa prise sur ses jambes engourdie prêt à affronter le destin qui l'attendait. Quand soudain une étrange vibrations résonnait dans toute la pièce. Aussitôt, les custodian quittait leur poste arme en main, et se précipitait sur lui avec une vitesse prodigieuse. Bien décidé a écourter la vie du mortel, qui a leurs yeux est forcément responsable de tout cela, et alors que leur lame allait s'abattre sur lui. Tout le palais Impérial entendit alors ÇA réponse.

 

-VIE!!!!!!

 

Une onde de choc d'une puissance inouïe balaya la salle. Soufflant au passage les custodians en dehors du sanctum imperialis, passablement surpris par cette rafale

 

Toujours agenouiller dans sa position, L'inquisiteur Bûcheur ne bougeât pas d'un pouce. Si ce n'est pour joindre ses deux mains dans une forme de prière. Miraculeusement épargné par le souffle, il baignait maintenant dans un silence absolu, les tympans irrémédiablement détruit, dont s'échappait continuellement un mince filet de sang qui maculait le sol. Mais il s'en fichait.

Son Dieu l'avait absous, non mieux! Il l'avait approuvé. Il était le premier! Aucun mortel ou immortel n'avait mérité son attention durant ces derniers 10000 années, et lui avait été jugé digne!

 

Un sourire carnassier, à faire frissonner le plus saint des homme se peignait alors sur son visage. Tendit que son âme brûlait d'un zèle fanatique.

 

 

Modifié par Lokeur
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  • 2 semaines après...

merci pour ton commentaire Miles et encore désolé pour la longueur des texte, mais je préféré posté mes récit en une seul fois plutôt que de multiplié les poste. 

 

(ps: si quelqu'un a des idée pour la suite je suis preneur, avec le confinement j'ai un temps libre de fou.)

 

 

Chapitre 2 :

 

Pensé du jour : La prière nettoie l'âme, mais la douleur nettoie le corps.

 

La perception du temps et de l'espace était devenue des concepts vagues pour Garry, qui oscillé en permanence entre rêve et demi-conscience.

Ces songes était peuplée de vision de cauchemar, ou des multitudes d'horreurs, plus terrible les une que les autres, se livrant à des massacres sans merci dans des paysages tourmentés. Tendit que cette brève période de conscience consistes à attendre, prisonniers de sa propre enveloppe. Coincé avec cette seule pensée pour unique compagnie.

 

-«J'espère que je vais pas rester comme ça trop longtemps.» songeait-il en imaginant se réveiller avec une longue barbe blanche. «Je me demande si beaucoup de choses auront changé à mon réveil.» s'imaginant se réveiller dans un décor de science-fiction, avec voiture volante et robot comme dans star trek. Avec tout un marathon de nouveau film à regarder sur son canapé, le tout sur un cœur de chant latin.

 

-«Une minute...du chant latin?»

 

Ces oreilles lui faisait entendre très distinctement une foule de personnes chanté en cœur tout près de lui.

 

-«C'est quoi cette blague? l'hôpital a fait venir une classe de latin avec option musique pour les comateux?»

 

Étrangement, les chants l'apaisaient. Comme si la sincérité de leur parole coulait à travers lui, comme une eau claire sur un sol aride.

Revitalisé par leur parole, Garry tenta à nouveau d'interagir avec le monde extérieur. Habitée par l'espoir qu'une infirmière remarque son état.

-« Allez champion, tu peux le faire! Si le vieux paraplégique du deuxième arrivait à communiquer en clignant des paupières, pourquoi pas toi?»

 

Mobilisant toute sa volonté, le jeune homme réussit à imposer sa volonté à son corps meurtri et ouvrir les yeux, mais le résultat fut légèrement différent de ce a quoi il aspirer.

Seul un de ces yeux s'étaient ouverts avec néanmoins la désagréable impression d'allumer quelque chose d'éteint depuis très longtemps, et en observant ce qu'il avait sous les yeux, il aurait préféré qu'il le reste.

 

Sa vision teintée d'un filtre rouge lui montrait le rassemblement d'une myriade de gens, agenouillé dans d'étranges robes rapiécer. Occupé à produire le chœur qu'il entendait auparavant.

 

-«Ces quoi ce bordel!» se lamenta l'aide-soignant en observant la pièce qui n'avait clairement rien d'une chambre d'hôpital. «On m'a kidnappé!»

 

Cette réponse s'imposait à Garry comme une évidence. Après tout, il avait déjà lu sur Interne que des sectes avaient déjà détourné des patients hospitalisés en se prétendant de leur famille pour s'adonner à des actes inavouables.

 

-«Oh mon Dieu, oh mon Dieu....!» Paniqua ce dernier, dons le fil de pensée était renforcée par la vue de crâne humain qui servait d'ornement dans à peu près toute la pièce.«Non! je veux pas finir en décoration de bureaux!»

 

Malheureusement, son souhait n'avait aucune importance. Il était entre leurs mains, prisonniers de son propre corps. Condamné à attendre sa mort.

 

Mais bizarrement rien ne vain.

 

Ce fut même le contraire qui se produisit qu'en l'un des cultistes hurla soudainement de douleur, le corps parcouru de violente convulsion. Regardent Garry avec le sourire aux lèvres avant de s'effondrer subitement au sol, telle une poupée inanimée. Tendit qu'une sorte de lumière apaisante venait flotter jusqu'à lui.

 

-«Heu... c'est normal?» se questionna le jeune homme, confus de voir d'avantage de ces voisins tombé au sol. C'est alors qu'il remarqua l'étrange liquide sortir de leur orbite.

 

-«Du sang!!» comprit-il, subitement horrifié par L'ampleur de sa réalisation.«il est mort...IL EST PUTAIN DE MORT!» 

 

Rapidement le phénomène s'amplifie sous les chants du chœur qui continuait à chanter, indifférent a la mort de leur camarade.

 

-«MAIS RESTEZ PAS LA COMME DES LEMMING! BARRÉ VOUS!!» voulues hurlées Garry mais ces lèvres restaient immobile, comme ces pauvres fous. Dont il ne restait plus qu'une poignée.

 

Une rage consumante habitait maintenant l'âme de Garry, qui se renforçait à l'extinction de chaque vie humaine sous son regard. Ils continuaient à tombés, avec ce stupide sourire coller au visage.

 

Il devait faire quelque chose! Il devait stopper cette folie, par n'importe quel moyen!

Soudainement, les lumière chanceler. Comme brutalisé par cette simple volonté.

Le chœur, presque complètement consumer, était maintenant réduit à un trio.

 

-«VOUS...»

 

Un duo.

 

-«...NE MOURREZ...»

 

Un solo.

 

-«..PAS!!»

 

 

 

 

 

Les articulations du premier capitaine étaient encore douloureuses ce matin, mais il ne se plaignait pas. sachant avoir eu bien plus chances que certain camarade suite à l'incident de la semaine dernière.

La voix de L'empereur avait été entendu jusqu'à l'autre bout de Terra. Provoquant une vague de frénésie dans toutes les couches sociales de l'imperium.

Des manifestations spontanées de piété avaient émergé un peu partout dans les citées-ruches, encourager par les prêtres de l'ecclésiarchie, tendît que les ouvriers de toute la planète s'attelaient à réparez les dégâts causés par l'onde de choc.( ce jour fut déclaré plus tard férié par la guilde des vitriers impériaux qui vit son agenda de travail rempli pour six générations.)

 

Le palais Impérial lui-même s'agitait sous la pression des divers et nombreuses organisations qui régissait L'imperium. Bien qu'une grande partie concernait surtout l'étrange inquisiteur qui en était sorti gracié. Ce dernier qui aussitôt sorti, avait recruté une partie de la garde pour menée une folle croisade dans le secteur Honimus.

 

-Je n'aimerais pas être à la place du capitaine général. S'exclama Gabriel Barion qui montait la garde avec ces hommes devant la porte de l'éternité.

 

Il ne reçut aucune réponse, du moins vocalement. Car chaque custodian du cercle des compagnon avait fait vœu de silence pour compenser l'immense privilège d'accéder à la salle du trône. Vœu don seul le premier capitaine et le capitaine général était exclu, par souci d'interaction avec le reste des organisation.

Pour compenser cela, les compagnon avaient mis au point et perfectionne au fil des siècles un système de langage corporel, utilisant pour alphabet les muscles parfaitement travaillés de leur corps afin d'exprimer leur avis.(le langage des signes c'est pour les chétif. Était écrit en lettre d'or sur la devanture de leur salle de musculation/débat intensif.)

 

-(Je ne comprends toujours pas comment il fait pour endurer les braillements de ces serpents à longueur de journée.) Déclara un custodian d'un roulement abdominal parfait. (Tout ce qu'ils veulent, ces qu'il les aide à se bouffer le nez les uns les autres.)

 

-(C'est pour cela qu'il est le capitaine général et pas nous.) Rétorqua un autre en gonflant en intermittence ces pectoraux. (Calme et maîtrise de soi sont indispensables qu'en on parle avec les personnes les plus puissantes de tout l'imperium. Surtout quand ces derniers sont affolés.)

 

-(D'après les rapports on en est à la 13e tentative d'intrusion, et c'est juste pour notre secteur. Ils ont même du fermer les porte pour contenir les foules.)

 

Gabriel Barion secoua la tête de dépit en regardant les messages de ces hommes. Atterré d'entendre que le palais impérial était assiégé par sa propre population.

 

-La garde impériale ne peut-t-elle pas régler le problème? Demanda le premier capitaine.

 

-(Leurs hommes font partie de la foules.)

 

-...

 

À ce moment-la, les ruines des portes de l'éternité s'activer. Sauvent les custodian d'un millième débat sur l'inefficacité de l'astra militarum et de l'utilité du garde moyen.

 

-Allons camarade, oublions cela et reprenons notre devoir! Ordonna Gabriel en ouvrant les portes.

 

Une vague d'énergie psychique le frappa en plein casque. Tendit que la saturation statique de l'environnement faisait dressé tous les poils de son corps.

Son maître s'était comme chaque jour restaurer de l'énergie des 1000 psykers sacrifiés à sa gloire afin de l'aider à maintenir en marche l'astronomican.

 

Les pas de ses compagnons et lui résonnaient dans cette salle, maintenant alléger de tant de vie. Retournant leur lance comme un seul homme, les guerriers millénaire commencèrent a rassemblé les dépouilles en un seul tas, afin de faciliter la tâche de nettoyage du vénérable compagnon dreadnought chargé de purger les corps.

De tous ses devoirs, celui-ci était sans doute le plus pesant pour Gabriel qui ne pouvait s'empêcher de songer au monde lointain ou ces gens avaient été capturé, sûrement peu de temps après la manifestation de leur premier pouvoir psychique. Pour être emmené dans d'étranges vaisseaux noirs après des mois, voir des années de captivités.

D'un geste net et précis, il rajouta à la pile le corps d'un jeune homme à peine sorti de l'adolescence, aux membres usées et au dos courbé sous les années de formation de la scholastica psykana, où il avait très certainement passé le reste de sa courte vie à maîtriser et affûter son lien unique avec le warp. Un pouvoir terrible capable de briser les lois de l'esprit et de la matière. Ainsi, il fut si bon dans cette tâche, qu'il fut jugé digne, lui comme tout ceux de sa pile, à alimenter la glorieuse flamme de l'Empereur. Pour une journée encore.

 

Le premier capitaine et ces hommes étaient les derniers témoins de ces héros, dont nul prêcheur ne chanterait jamais le nom. Mais ils se souviendront.

 

Les récepteurs de son casque enregistrés alors un bruit qui n'avait rien à faire ici, des pleurs, ou plus précisément des sanglots refoulés à grande peine. Empoignant son arme, le premier capitaine partie à sa rencontre pour découvrir une curiosité des plus étranges.

Une jeune psykeuse, roulée en boule derrière un pilier, se trouvait là. offrant à l'esprit surentraîné du custodian un paradoxe apparemment insoluble. Elle était vivante et rien ni personne ne ressortait jamais vivant du sanctum imperialis après que l'empereur se soit alimenté. ( ils avaient lourdement expérimenté ce phénomène, entraînant d'importante pertes pour la sécurité du palais.)

 

Durant un instant son entraînement de garde lui suggéra de rectifié cette erreur à l'aide de sa lance et de ramener cette impertinente survivante avec ses camarades. Mais alors il ne saurais sûrement jamais comment elle avait survécu. (Et enterrerai sûrement l'occasion de pouvoir enfin assuré une surveillance H24 du Trône d'or.) sa décision prise, il fit signe a son escouade dispersé dans la salle.

 

-compagnons, ici votre premier capitaine....nous avons un problème.

 

 

 

 

 

-C'est une catastrophe! Un véritable désastre! Mon département va en avoir pour des mois rien que pour répertorier les dégâts. Clama le Maître de l'Administratum, qui luttait avec vaillance contre l'agressivité de ces propres subordonnés, bien déterminée à l'enterrer vivant sous les parchemins et autre rapports. (avec le soutien tacite du reste de la table.)

 

-Je soutiens les dire de l'Administratum, les débordements de la population on gravement ralenti les chaîne de production standard. Déclara Le Fabricator General de l'Adeptus Mechanicus qui utilisait une partie de ces augmentis mécanique pour faire barrage aux piles de documents de son voisin qui commençait à déborder sur lui. De plus notre organisation doit maintenant gérer avec un culte dissident qui prêche que l'Omnimessie serait assoiffé de vis de construction standard.

 

-Haa... c'est pour ça que la chapelle du secteur quatre c'est écroulée après la rénovation d'urgence de vos gars. Compris le Prévôt General de l'Adeptus Arbite. en pointant du doigt le prêtre de Mars.

 

-Rectification: se ne sont pas nos gars, mais des dissidents du dieu machine en fuite. Se défendit le Fabricator en émettant des plaintes binaires. C'est vous et votre Adeptus qui êtes en faute pour ne pas les avoir encore arrêté!

 

-Et comment vous voulez que mes hommes face la différence entre une tête d'engrenage normal et une autre qui à péter un boulon!? S'énerva l'Adeptus Arbites en frappant de son énorme poing sur la table.

 

Le Capitaine Général de l'adeptus Custodes écoutait en silence les membres du conseil de terra se lancer dans leur énième altercation politique de la journée avec le même stoïcisme qui incombe à sa fonction de représentant. Il remercia sa chance que seulement cinq dirigeants des administrations de L'imperium soit venu à cette réunion.

 

-Allons allons, mettons fin à ces querelles insignifiantes et réjouissons-nous plutôt de se miracle que nous fait don l'Empereur. Sermonna l'Ecclésiarque de l'Adeptus ministorum emmitouflée dans une robe se cérémonie tape à œil.

 

-Alors vous ne la ramenez pas! Grogna le Prévôt Général en pointant du doigt le prêtre. Mes hommes ne serait pas embourbé dans des émeutes jusqu'au cou si vos adeptes et novices n'avaient pas exciter les foules comme des putain de prêcheurs de fin du monde.

 

-Ils ne font qu'attiser la flamme de leur ferveur!

 

-Et bien vous pourriez les féliciter car ces débiles ont foutu le feu a plusieurs réserve d'encens de libre marchant! Résultats, j'ai toute une sous ville qui baigne dans une saloperie de brouillards bénis.

 

-Cela est clairement une infraction au code de crémation autorités de terra! Interpella le Maître de l'Administratum en tendant une lettre de la pile de documents qui le recouvrait. Prévôt! Veuillez transmettre cette amende avec accusé de réception à l'ecclésiarchie.

 

-Il suffit! Tonna une voix d'outre-monde dans l'esprit de chaque hôte de la table ronde. Tous tourner leur regard (et vérifier leurs talismans.) en direction du Maître de l'adeptus Astra Telepathica. Responsable des messages et seul psyker dans la salle.

 

-Notre maître à tous à parlé pour la première fois en plus de 10 000 ans , et vous vous prenez le bec pour des conséquences sans gravité, en oubliant le plus important.

 

-Et bien, veuillez éclairer notre lanterne mon chère. Crachât l'Ecclésiarque d'un sourire plein de suffisance. Quel est ce détail si critique qui aurait échappé à la vigilance de ce conseil.

 

-La cause. Lâcha le psyker dans un murmure glacial. le détail qui vous a échappé est la cause de tout cela.

 

L'homme de foi éclata de rire, très vite suivi de ses autres compagnons de tablé bien amusé. Seul le Capitaine Général de l'adeptus Custodes garde sa retenue, immobile.

 

-Excusez moi. Dit le prêtre en essuyant une larme. Mais la source de tout ça et une évidence pour tout le monde sur cette planète, même le plus dégénérer des mutants sait que l'empereur est la cause de tout cela.

 

-Je vais reformuler ma question pour les simples d'esprit de L'empereur dans la salle. Pourquoi le maître de l'humanité a hurlé vie si fort que on la entendu jusqu'à l'autre bout de la planète? Demanda l'homme de pouvoir avant d'être corrigé par le Fabricator Général qui ne put s'empêcher de préciser qu'une petite partie d'une ruche souterraine placé à l'autre extrémité du pôle ne l'avait pas entendu. (et en était extrêmement malheureux malgré leur carreau intact.) Et celui qui a les réponses à cette question est le seul parmi nous à garder le silence.

 

Toute l'attention de la salle se recentra alors sur le chef des custodians qui regrettait amèrement de ne pas avoir prononcé le même veux que ses camarades.

Ce dernier se lança alors dans une longue et fastidieuse explication sur le déroulement du jugement de l'Empereur et des actions qui avaient suivi juste après.

 

-...Une fois son audition examiner, mes hommes remirent le détenu Bûcheur à des agents du grand inquisiteur Oberst von Ryn qui on pris soin de lui.

 

-Bûcheur... ces pas le nom du type qui a réquisitionné plusieurs régiments de la garde impériale pour lancer une croisade dans le secteur Honimus?

 

-Oui! Et il est parti sans remplir les formulaire d'accréditation! Se plaignit l'Administratum.

 

À ce moment là un guerrier custodian poussa brutalement la porte de la salle et commença à faire d'étrange signe à son Capitaine Général, dont la posture se figeait brusquement. Cela n'échappa pas aux membres du conseil, au sens aiguiser au fil d'années de complot.

 

-Un problème? Demanda le Maître de l'Astra Telepathica.

 

-Non, tout va bien ces justes qu'on vient de me rappeler que c'est à moi d'organiser la prochaine partie de chasse. Toussota fortement le géant avant de quitter la table. Ce fut un honneur de discuter avec vous tous, malheureusement le devoir m'appelle.

 

-Nous n'en avons pas terminé! Cria le psyker en ce levant pour pointer du doigt le chef de guerre qui se dirigeait d'un pas pressé vers la porte. Les énergies autour du palais impérial non jamais été aussi instance et votre ordre nous cachent visiblement quelque chose et j'exige que...

 

L'homme s'effondra soudainement au sol en serrant son crâne entre ses mains. Le corps parcourut d'énergie psychique instable. La panique gagna rapidement la salle, tendit que le chef des custodian sortie en pressant le pas.

 

 

 

 

 

Dans les profondeurs insondables de L'immaterium. Parmi les myriades de démon qui nageait dans l'énergie du warp, résonna une présence que touts croyaient éteinte depuis 10.000 ans. Sa simple existence provoqua une panique sans précédent dans cet océan de vice et de malice consciente, qui fuyaient l'arrivée d'un grand prédateur. Les plus lent furent instantanément effacés de l'existence sous le l'incommensurable pouvoir psychique de ce nouveau dieu.

Et pour la première fois de l'existence, les seigneurs de la ruine cessaient leur jeu, leurs intrigue et leur complot pour se tournée en regardant avec effrois le retour de leur plus terrible ennemi.

 

-...... l'anathème.

 

 

Après un temps qui lui parut durée une éternité, Garry Passnom s'éveilla enfin à la pleine conscience. Et découvrit par la même occasion un tout nouvel univers de douleur et de crampe musculaire. Comme si tout son corps sortait d'un siècle de grève générale. (organiser, diriger et syndiquez par une saloperie de petits tanks.)

Une forte odeur d'encens et de viande brûlée attaqua subitement ces narines, Provoquant une difficile quinte de toux dans sa poitrine, et la sensation de chute de petits objets sur ces genoux.

Ouvrant ces yeux avec grande peine, Garry écarquilla les paupières en présence du cauchemar de métal qui se trouvait devant son regard. Un véritable et massif robot, haute comme trois hommes et aussi large qu'un camion se tenait à un jet de pierre de lui, le dos tourné face à une pile de corps qu'il enflammait à l'aide d'un lance-flammes intégrer dans l'une de ces énormes pinces. Sa surface semblai faite de plaque d'or auquel on avait inséré de sinistres moulages de crâne humain serti de curieux éléments électroniques.

Comprenant d'où venait l'odeur, l'aide soignant pris d'un haut le cœur, voulu porté les mains à ces lèvres. Mais découvrit avec horreur qu'elle était tous deux, comme une bonne partie de son corps, entravé par des ribambelles de seringues à intraveineuse et autre étranger appareil qui pompait et expulsait sans relâche de sa chair de sinistre produit parfaitement inconnu, au travers d'une toge au motif curieux, qui semblait tout droit sorti d'un musée de la Grèce ancienne.

Se retenant de hurler, de peur d'attirer la chose. Garry serrait les dents et commença péniblement à retirer les seringues, toute en frémissant à la vue de de la longueur de leur aiguille, dont le bout continuer a suppurer d'un épais liquide.

Au moment où il s'extirpa de ce fauteuil macabre, un mal de tête écrasent l'envahit. L'explosion dans son crâne était-elle, qu'il ne remarqua que trop tard que son fauteuil était placé au sommet d'un petit piédestal de diverses machineries duquel il chute sans ménagement. Emmêlé dans sa propre toge.

Mais même face contre sol, il pouvait entendit clairement les pistons du robot s'actionner de nouveau, t'elle les muscle d'acier d'un titan qu'on venait de déranger. restaurer par la peur de finir entre ces pinces, le jeune homme se cacha à toute vitesse derrière l'imposant fauteuil avec l'espoir de ne pas être découvert.

 

Son cœur battant la chamade, garry retenait son souffle en écoutant le sol tremblé sous les pas massifs qui se reprochais de lui. La chose était si proche qu'on pouvait entendre le vrombissement de son moteur.

 

Soudain, un hurlement indescriptible remplit la pièce. Tels le cri d'un dément en cage auquel on aurait arraché la langue. Les secousses s'éloigner alors rapidement. Et garry se risqua après quelques secondes à jeter un coup d'œil, pour découvrir avec joie que l'endroit était vide de toute forme de robot.

 

-« fichons le camp avant qu'il décide de revenir.» se dit il en avançant parmi les immenses colonnes qui soutenaient le bâtiment. Tout en prenant bien garde à ne pas trébucher sur les plis de sa toge, nettement trop grande pour lui.

 

Progressent à pas feutrés, l'aide-soignent arrivait finalement devant deux immense porte malheureusement fermé, recouvert de plein de vieux parchemins, maintenu collé au métal par des sceaux de cire.

Garry s'arrêta un moment pour les observer de plus près, et remarqua après quelques instants les similitudes avec les symboles sur ses propres vêtements. Le crâne, l'engrenage, l'épée et une sorte d'oiseau à deux têtes étaient les dessins le plus utilisé pour décorer les textes latin imposer sur les parchemins.

 

-«Il n'y a pas d'interrupteur». Conclut Garry après une observation minutieuse de la surface avec la paume de sa main « comment ça s'ouvre?»

 

À peine eut'il toucher les portes qu'un bruit de mécanismes activa autour de lui, faisant bouger les massifs obstacles de son chemin.

Le jeune homme resta bouche bée devant le paysage qui s'offre à lui. Lui faisant réaliser qu'il se trouvait au sommet d'une titanesque pyramide métallique, elle-même enfermé à l'intérieur d'un bâtiment au proportion insensées.

 

-Mais où est-ce que j'ai atterri!? S'emporta-t-il en tombant à la renverse, écrasé par les proportions impossibles de ce lieu. Ou chaque édifice semblait vouloir ridiculiser un peu plus les plus grandes bâtisses qui l'ai jamais vu.

 

De nombreux bruits de pas se firent alors entendre, convergeant tous dans sa direction. Apeuré, garry chercha désespérément autour de lui un endroit pour le cacher. Son regard s'arrêta sur une caisse posée sur chariot arborant un crâne entouré d'un rouage. Il l'ouvrit sans réfléchir, y il trouva une flopée d'étranges et inquiétants outils.

 

-Hé merde!... mieux vaut le tétanos que de finir tué par ce qui arrive.

 

Avec une rapidité qui le surpris lui-même. L'aide-soignant jeta les objets les plus encombrants par-dessus la pyramide pour se faire une place parmi ce bric-à-brac et referma le couvercle. Plongée dans la pénombre, l'évadé ne fit plus le moindre bruit, tendît que le son de plusieurs pas de course raisonnaient autour de lui, suivis rapidement par les hurlements d'un homme en latin. intrigué, Garry se déplaça légèrement pour observer l'extérieur par l'intermédiaire d'une petite fissure dans le bois.

 

-«Sainte mère de Dieu!»

 

Une armée complète de géant en masque d'or et en pagne patrouillé tout autour de lui avec frénésie, commandé par un chef particulièrement énervé à en juger par le volume sonore de sa voix et le teint rougeâtre qui pigmentait petit à petit son cou.

Mais le pire était à venir.

 

Garry se révulsa à la vue d'une horde de monstre mi-hommes mi-machine qui apparut de toutes les directions. Leur corps déformés sous le métal, semblait être souder de force avec divers épée, canon, tronçonneuse et autres armes mortels. Tousse étaient animé d'un regard vide, dépourvu de la moindre intelligence ou volonté autre que celui de suivre leur homologue en robe rouge qui donner l'impression de diriger ce troupeau de bêtes immonde.

Il aperçu aussi la funeste machine, qui s'approchait d'un pas lourd vers le chef. Nullement intimidé par cet instrument de destruction sur piston, le chef commença à discuter avec intérêt, tendit que plusieurs des horreurs en robe rouge tournaient autour du titan en poussant d’agaçant couinement électronique.

Mal positionné, l'évadé voulut en voir plus mais fils chuté par inadvertance un morceau de métal qui résonna d'un bruit fort et distinct.

Le cœur de garry loupa un battement tendit que son cerveau cherchez encore à calculer à quel niveau ils étaient foutus.

Seul, enfermé dans une caisse entourée de types armés dont le plus petit faisait presque deux fois sa taille. avec en cerise, une machine de guerre tailles pour couler des navires d'un seul coup de pince.(sans oublier le lance-flammes.) Résulta:[j'ai connu des condamnés à mort qui avais de meilleure chance.]

 

Recroquevillée sur lui-même, les yeux fermés, garry écoutait l'un des gardes s'approcher de sa caisse. et ces au moment où il entendit le couvercle se retirer, qu'il sut son destin scellé.

 

 

 

 

 

Pour la première fois depuis qu'il était devenu custodian, Gabriel Barion ressentait l'étreinte froide de l'effroi écraser son cœur, L'empereur avec disparu. L'alerte avait été donné par le très sage et vénérable compagnon dreadnought, qui était en charge du nettoyage des corps laissé dans la salle du trône. Ce dernier se trouvait à présent à côté de lui, cerner de membres du mechanicus désemparé par la nouvelle.

 

-[L'omnimessie à été enlevé! Fermé les portes, bloqué les routes! CONDAMNÉ LA PLANÈTE!!!] s'emporta le plus hystérique d'entre eux dans une envolée binaire.

 

-DU CALME! Cria le premier capitaine d'une voix tonnante. vous êtes les meilleurs éléments du mechanicus, alors maîtriser vos émotions et rendez-vous utile!

 

Du coin de l'œil, il remarqua alors l'un de ses camarades occupés à examiner l'intérieur d'une caisse.

 

-Toi là, que fait tu?

 

-(Rien, j'ai cru entendre quelque chose bouger à l'intérieur mais il n'y a rien, ce ne sont que des outils.) expliqua d'un geste le custodian en refermant la caisse.

 

-Prêtre rouge! Ordonna le géant a la petite foule en robe. J'ai besoin que vous et vos serviteurs nettoyés la zone de tous ce qui pourrait nous gêner. Pouvez vous faire ça pour l'amour de l'omnimessie?

 

En entendant ces derniers mots, les prêtres de mars et leurs suites partir dans toutes les directions, tentant d'oublier leurs angoisses dans l'accomplissement obsessionnel de leurs tâches.

 

 

 

 

 

Le serviteur décérébré dirigeait son chariot assigné d'une démarche mécanique, ignorant de son inhabituelle cargaison, qui n'avait pas bougé un muscle depuis l'inspection du garde.

 

-«Ils sont peut-être aveugles?» songeait-il sous les grondements de l'ascenseur qui descendait maintenant depuis plusieurs minutes.« ou le casque à fais obstruction? Nan... sa serait complètement idiot de porter des casques qui t'empêche de voir a deux pieds devant toi.»

 

Il oublia rapidement cette étrangeté, qu'il mir sur le compte d'une chance insolente, ainsi il profita de ce moment de calme pour réfléchir. Il était évident qu'il c'était passé quelque chose durant son inconscience, qui avait résulté à son réveil ici. Ou alors Garry était toujours inconscient et cela était le fruit de son imagination tordu.(il ne savait pas lequel était le pire.) mais comme disait un grand sage de son enfance "si je vie dans un rêve aussi intense que la réalité, alors elle est ma réalité.... donc dans le doute, évitons les trucs pointus." Garry devait donc trouver un moyen de fuir cet endroit au plus vite et trouvé un lieu calme. loin, très loin de tous c'est taré et autres monstres de foire.

L'ascenseur s'arrêta brusquement, interrompant les pensées de l'aide-soignant qui se pencha pour regarder à nouveau travers la fissure. Les portes de métal s'ouvrir sur un immense couloir, en pierre éclairer par de nombreux chandeliers dont les bougies étaient changées par un homme-machine accroché au plafond, équipés de bras dérangement long.

 

Une de ces choses en robe rouge passa soudainement devant sa vue, garry l'entendait bipée avec empressement à son pousseur qui arrêta son chariot sur le côté avant de le suivre jusqu'à l'ascenseur. Voyant une occasion, garry guettait que le changeur de bougie se retourne pour s'extirper discrètement de la caisse.

 

Longeant les murs avec précaution, le fugitif s'aventura dans le couloir aussi discrètement que possible. L'oreille attentive au moindre bruit annonçant une menace. Il continuait ainsi durant de longues minutes où il croisa de nombreuses portes qu'il évita d'ouvrir, intimité par les illustrations de crâne humain qui les ornaient (qui était le symbole international du danger avec un grand D).

Il arriva finalement devant une imposante porte en or sur laquelle était gravées des inscriptions en latin.

 

-Hum... Pas de crânes ou autres trucs inquiétants, une poignée pour l'ouvrir... Je prends!

 

Refermant la porte derrière lui, l'aide-soignant se retourna et découvrit ce qui s'avère être le bureau d'une personne sacrément importante à la vue de la décoration intérieure qui à elle seule valait plus cher que que la maison de retraite sainte-miséricorde ou il travaillait. Les mur avaient été sculptés dans leur intégralité pour illustrer les batailles fantastiques d'immense armée humaine face à une multitude de créatures terrifiant et grotesques, dont l'apparence était plus digne d'un film d'horreur. Le centre de la pièce était le siège d'un immense bureau recouvert de pile de parchemins (toujours en latin) assortis à un crâne reconverti en encrier.

Le reste du mobilier était plutôt sommaire, quoi que toujours orné de métaux précieux. Avec ces chaises, ces armoires, ces tableaux bizarres, cette pauvre fille chauve agenouillés, ces étrange ordinateur mécanique, ces....

 

-«Une minute!»

 

Il ne l'avait pas remarqué tout de suite, mais une autre personne se trouvait à moitié cachée derrière une chaise, le front pressé contre le sol en tremblant

 

 

 

 

 

En cet instant, toute l'existence psychique de Clio était écrasé par l'imposante présence du maître de l'humanité qui venait d’entrée sur ces deux jambes, dans la salle d'audience du premier capitaine. Avec une toge en sang pour seul vêtement.

 

Ce dernier s'approcha d'elle et s'annonça dans une langue magnifique, mais malheureusement incompréhensible pour la misérable et indigne servante qui l'écoutait.

 

-Excusez-moi mademoiselle, je ne vous veux aucun mal. Je cherche juste une sortie. S'exprima Garry, heureux de pouvoir enfin converser avec un être humain normal.(si ont oublié son crâne digne d'une pub de monsieur propre et des câbles qui sortaient de son coup pour disparaître sous sa robe.) mais son manque de réponse lui fit revoir son approche. You speak...English?

 

Soudain son esprit raccrocha les wagons de ce qui était une évidence. Une posture docile, les bras et les jambes entravées de chaîne et des hayon en guise de vêtements ne laissait pas beaucoup de doute sur sa condition.

-«C'est une esclave.» compris t'il en réalisant que ces vêtements étaient les mêmes que ceux des corps, brûler par le robot de tout à l'heure. Écouter, je veux pas finir entre les mains de ces types, alors dit moi juste dans quelle direction est la sortie et je m'en irai, ok?

 

Mais Garry eut beau faire faire tous les gestes d'apaisement du monde, rien ne pouvait, ni ne semblai pouvoir convaincre la jeune fille de ces bonnes attentions.

 

-Tant pis, je trouverais un autre moyen de sortir d'ici. Soupira l'évadé en songeant qu'elle ne parlait peut être même pas sa langue.

 

Il rouvrit la porte pour tenter sa chance ailleurs, qu'en un de ces géant en pagne sorti inopinément du couloir qui donnait face à lui. Tout deux restèrent la, à se fixer du regard, t'elle deux collègues de bureau qui se serait croisé dans le rayon adulte d'un magasin. Paniqué, l'évadé claqua la porte aussitôt et bloqua l'entrée avec une des étagères. Son cœur martelait sa poitrine tendit que son cerveau le maudissait pour son manque de prudence qui les avait sûrement condamné.

 

-MAIS C'EST PAS VRAI! Cria Garry, parcouru par la peur. D'un rapide coup d'œil il réalisa qu'il s'était piégé tout seul dans le bureau qui ne comprenait qu'une seul entrée. ET MEEERDE!!

 

Submergé par l'affolement de sa fin imminente sous les lames de type torse nues. Le cerveau désespéré de l'aide-soignant passa alors en mode surrégime et commença à chercher une réponse à cette situation dans les souvenir de Garry, et trouva finalement une similitude foireuse avec une vieille partie de jeu de rôle disputé lors de ces premières années de collège.

 

Le pnj qui ne dit rien est toujours la solution à votre problème!

 

Le regard de Garry se poser alors sur l'esclave toujours agenouillée, et ces pupilles se rétrécirent tels des têtes d'épingles.

S’avancent à toute vitesse vers elle, le jeune homme la saisie par les épaules.

 

À ce moment là, mu par un pur désire de fuite, une vague gigantesque d'énergie psychique vint traversée l'âme de la psykese. Creusant couche après couche dans les toute profondeur de son esprit afin d'assouvir le besoin primal d'évasion qui l'animait, et elle le trouva finalement enfoui dans les recoins de ces années d'apprentissage à la Scholastica Psykana.

 

Le déplacement warp.

 

 

 

 

 

Planète impériale: Javhel. Ville: Chiffion. Lieux: quartier des affaires et siège de l'adeptus arbites local.

 

 

Le commissaire Fractus se battait avec un acharnement désespéré sur les marches de la place centrale, ou lui et le reste de sa compagnie résistait aux incessants vagues ork qui venaient se jeter sur eux depuis plusieurs heures. L'engeance xeno avait frappé leur monde par surprise à l'aide d'un gigantesque vaisseau qu'ils avait fait s'écraser sur leur capital Prospra, la réduisant en un instant en des ruines fumantes.

Peu préparer et désorientés, les FDP(Force de Défense Planétaire) avait été écrasée sur une bonne partie du continent avant de pouvoir se réorganiser à Chiffion ou s'était regroupés la plupart des survivants et des adepta rescapés.

 

-POUR MORK!!! Grogna une énorme créature à la peau verte, en brandissant sa hache édentée vers les impériaux.

 

Un tire de pistolet-bolter vain l'accueillir en pleine poitrine, transforment l'immonde Xeno en un geyser rougeâtre. Le déclic commun d'un chargeur vide retenti à nouveau au oreilles de Fractus qui étouffa un juron et activa le moteur de son épée tronçonneuse.

 

-Tenez la ligne soldat!!! Tenez la ligne pour l'empereur et pour Javhel!! Hurla le commissaire au reste de ces hommes qui n'était plus qu'une poignée. Retranchés derrière des barricades improvisés à l'aide des roulottes à fruit du marché.

 

-Bordel! Mais qu'est-ce qu'il fout votre cadet?! Quémandât le servant du bolter lourd tombé à court de munitions tendit que son auxiliaire s'acharnait avec véhémence à enterré les ork sous une pluie de légumes.(une victime à son actif.)

 

-Gardé courage! Il ne va plus tarder à revenir avec les munitions et ils verront de quoi l'Imperi....

 

Une effroyable explosion vînt alors balayer leur ligne, réduisant à l'état de cratère fumant l'emplacement où se tenait il y a quelques instants encore leur poste de bolter lourd. Face contre sol, l'officier relevait péniblement la tête pour apercevoir avec terreur l'immense silhouette du Meka ork avancer parmi les immeubles de la ville, tous canon pointer sur leur direction.

Cette machine de morts hérissés d'outils de destruction avait massacré les forces de ville entière et défigurait bien des villages par la seule force de ces armes. Haut de plus d'une vingtaine de mètres, elle arboraient fièrement les bannières grotesques de leur race qui grouilla en masse sous ses pieds en chantant à tue-tête.

 

-BOITE MORT, BOITE MORT, BOITE MORT!!!

 

Fractus se fit violence pour réprimer la peur qui courait en lui tendit qu'un de ces hommes s'enfuit en hurlant. Il le visait de son arme, puis se rappela qu'elle était vide et jeta son pistolet bolter à la tête du fuyard avant de ce retourné en direction de ces troupes, le visage masqué d'une sinistre détermination.

 

-Homme de Javhel, notre brillante planète a toujours eu grâce au regard de l'empereur! Ne souillons pas sa dignité et présentons-nous devant lui avec notre honneur immaculé! Solda de L'imperium! FIXÉ VOS BAÏONNETTES!!!

 

Suivant son dernier ordre, ces soldats commençaient à fixer leur lames toute en échangeant prière et bénédiction de protection. La terre tremblait sous la charge effrénée de ces bêtes avide de sang, tendit que le Meka ouvrait le feu de toutes ses armes sur leur position. Heureusement l'imprécision étant une qualité traditionnelle Ork, il loupa son premier volet de tir qui balayait le pâté de maison à coté d'eux.

 

-Que Sainte Sopaline nous garde! Priant un de ces hommes recroquevillé derrière la barricade.

 

Malheureusement pour lui, la Sainte devait être occupé ailleurs car la deuxième salve, plus précis cette fois, balaya leur position avec une puissance apocalyptique auquel Fractus fut le seul survivant.

 

À moitié roussi par la déflagration, l'officier impérial releva la garde de son arme. Résignés à son sort, il était néanmoins résolu à emporté encore un de ces sauvage avec lui.

 

-Empereur, protège nous de la ruine et aide nous à écraser nos ennemis. Récitât le guerrier qui frisonnes sous la baisse subite de température.

 

Les troupes ennemies furent subitement recouverte par une ombre si immense que Fractus cru pendant un instant que la nuit était tombée sur la planète, jusqu'à ce qu'il lève les yeux.

 

-L'empereur protège...

 

Un immense et somptueux bâtiment venait d'apparaître juste au-dessus des ork qui regardaient avec surprise les milliers de tonnes de pierres leur arrivée sur le coin de la truffe, avec la délicatesse d'un marteau tonnerre.

 

L'impact fut si puissant qu'il libéra un nuage de débris qui enferma toute la zone dans une brume de poussière. Crachant la crasse de ses poumons, le commissaire admira alors les emblèmes resplendissant de l'Imperium qui recouvrait la façade de l'imposante bâtisse qui semblait briller de mille feux sous les éclats du soleil.

Il reconnut alors les blasons gravés dans la pierre que ces maître de la Schola Progenium lui avais montré qu'en Fractus n'était encore qu'un rejeton accroché au jupe des nourrisses, et soudain les larmes montait à ses yeux.

 

-L'empereur protège!!!

 

Sortant misérablement sa carcasse depuis l'ouverture d'une fissure, Garry se demandait un instant comment il s'était retrouvé dans une ville en ruine et surtout..

 

-« ...Pourquoi y a un type cosplayer en officier de la Gestapo qui me fait des grands signes en bas?»

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  • 3 mois après...

 

Warhammer chapitre 3

 

++ Pensée pour la journée: "L'espoir est le premier pas sur la voie de la déception." ++

 

Le premier capitaine se tenait là, immobile, devant le gouffre gigantesque qui était apparu en plein cœur du domaine impérial. Supprimant par sa simple présence une partie des archives du palais, dont son bureau.

Tout autour de lui grouiller les membres du mechanicus qui entreprenait déjà les préparatifs des premières réparations afin que la structure ne s'effrite pas davantage. Ils s'élançaient dans le vide, t'elle d'intrépides trapézistes dont les lignes de vies ne tenaient que grâce aux épaisses bobines de câbles d'acier qui se déroulaient dans leur dos. Arrivés au fond, les prêtres continuaient leurs courses en direction de l'autre côté de la crevasse, tandis que leurs multiples senseurs transmettaient à leurs supérieurs une estimation des matériaux nécessaires à la remise en fonction de cette partie du palais. Aidés de leurs prothèses mécaniques les adeptes n'avaient aucun mal à escalader les débris pour se retrouver de l'autre côté et tendres les câbles, tendit que des servitors s'engagent sur cette toile d'acier afin d'en ériger les premières passerelles.

 

Il ne faudrait que quelques heures aux prêtres de mars pour remettre en état cette partie du palais, Gabriel n'avait aucun doute sur cela, son contenu par contre...

 

-Compagnon, dites-moi ce que vous avez vu! Ordonna d'une voix lourde le premier capitaine au custodian qui se trouvait à genoux devant lui.

 

-(Je patrouillais dans les couloirs, comme le voulait la procédure.) Commença le guerrier en essayant de faire fils des tremblements de honte qui accablait son âme. (Mais une fois arrivé au secteur des archives j'ai été surpris de contempler Son Excellence debout devant l'entrée de votre bureau. Naturellement, je me suis précipité à sa rencontre mais la porte s'est refermée, et quand je l'ai rouvert il n'y avait que cet immense vide à la place.)

 

Une multitude d'hypothèses traversaient l'esprit aiguisé du premier capitaine Gabriel Barion qui ne cessait d'imaginer le pire. Était-ce L'œuvre des traîtres, corrompue par la sombre souillure qui avait finalement traversé le mur? Ou encore celui d'incompréhensible xenos revanchard? Non. Peux probable, le réseau d'information aurait sûrement capté des indices, même infime, pour une opération d'une telle ampleur.

Il restait bien sûr la possibilité que ce soit l'œuvre d'une de ces cabales extrêmement puissante

d'ultra-radical, convaincu que seule la mort en martyr de L'empereur apporterait le salut à l'imperium. Mais même cela ne collait pas, ces fanatiques l'auraient tué et non enlever.

 

-Est-tu sûre qu'il s'agissait bien de LUI? Questionna le custodian, toujours face au gouffre, dont la surface lui faisait maintenant penser à une croûte en voyant tous les prêtres rouge qui s'agglutinaient dessus, Tel les anticorps d'un tout plus grand.

 

-(Absolument certain capitaine!) S'exprimait avec force son compère en se relevant, irrité à l'idée de laisser entendre qu'une quelconque sorcellerie ait pu avoir prise sur lui.

 

-Très bien, ce sera tout pour l'instant. Va me cherché tout les magos du palais. Congédia Gabriel qui ne laissait rien paraître des doutes qui remplissaient son esprit, masqué par la détermination absolu de son regard.

 

-(Tous?) demanda le garde du Trône qui anticiper ces prochains mots.

 

-Oui tous. À partir de maintenant nous lançons l'opération TRÔNE DE PAILLE!

 

 

 

 

 

 

-«Récapitulons, je me réveil dans une sorte de temple flippant avec un robot gothique, temple qui se trouve au sommet d'une pyramide elle-même enfermé dans un gigantesque bâtiment où se balade librement des Cyber-Frankensteins à capuche rouge qui joue en équipe avec des géants torse nu casqué d'or... jusque-là tout est normal.» 

 

Perché au sommet du bâtiment, Garry laissait sont regard se perdre dans l'horizon, tendit qu'une odeur de poudre noir venait lui fouetter le visage.

 

-«et maintenant je suis assis au sommet d'une ruine, perdu au milieu d'une ville inconnu au ciel noirci par la fumée. Avec pour seul compagnie une jeune femme inconscient en plein Bad trip et un gars inquiétant a genoux, dont les habit semblait être le résultat d'un tailleur qui hésitais entre un costume de la Gestapo et d'un corsaire anglais.»

 

Bien qu'inquiéter quant à la façon dont il etait arrivé ici, Garry était au moins rassuré d'être en présence d'être humain, ce qui était une nette amélioration par rapport au dangereuse créatures du temple-pyramide qu'il avait laissé derrière lui.

 

De sa hauteur, l'infirmier remarqua alors les restes déchiquetés d'autre homme un peu plus loin dans la grande avenue. Il senti ces tripes se noué qu'en l'odeur du sang se porta jusqu'à lui, Il y avais eu du grabuge ici.

Par chance, il remarqua que l'un d'eux, le plus éloigné vivait encore. D’un geste ample de la main il attira l’attention du Gestapo/corsaire et lui montra le blessé du doigt, pendant que lui même essayait de descendre du bâtiment afin d’apporté son aide.

 

Le commissaire Fractus vivait la le moment le plus intense de sa croyance , non-contant d’avoir écrasé ces ennemis et sauvé sa vie, le maître de l’humanité était apparue en personne du haut de sa gloire, au sommet de l’imposant édifice qui dominait les bâtiment alentour.

L’empereur-dieu posa alors son regard sur lui, scrutant son âme jusque dans ces moindres recoins. L’intensité de sa foi était-elle que l’homme ce serait immédiatement précipité à la rencontre de son maître si ce dernier n’avait pas désigné de sa main le fuyard qui avait déshonoré sa compagnie à quelque rue de la. Allongé face contre sol, ce misérable traître toujours vivant rampait-elle un ver ensanglanté, son pistolet bolter avait bien frappé son casque qui gisait à présent non loin de lui, soufflé lors des tirs du titan xeno qui les avaient pilonnés. Hélas pour lui, les lâches récolte toujours le prix de leurs couardise.

 

Après de nombreux effort, Garry était presque arrivé au sol, grandement aidé par les massifs décorations dorées qui recouvraient les murs de ce parcours d’escalade improvisé. Le son familier d’un moteur résonnait alors a ces oreilles, très vite suivi des cries puis du hurlement d’un homme. Paniqué, l’infirmé accéléra sa décente pour touché enfin la terre ferme, il se précipita alors en direction du bruit, ou il vu l’homme en tenu sombre entrain d’éviscéré avec brutalité le blessé qu’il lui avais montré à l’aide d’une sinistre tronçonneuse.

L’acte en lui même fus rapide mais bien trop long pour Garry, la sauvagerie de la scène s’imprimait dans sa rétine d’une marque indélébile.

 

-Ce monde est fou! se dit pour lui même l’homme venu de la terre, tendit que le meurtrier dont l’office était achevé se tournait vers lui, maculé des restes de sa victime.

 

Coupant son arme, le tueur sorti alors de sa poche un petit mouchoir de soie blanc qu’il utilisa pour essayez de nettoyer rapidement son costume, tel un enfant attrapé à joué dans la boue.

Voyant que tout les mouchoirs du monde ne changeraient rien à l’état de son costume, il rangea l’objet dans sa poche avant de tiré à l’infirmier un sourire dont hannibal lecter lui-même serait fier.

Garry explosa son record du cent mètre.

 

 

 

 

Gabriel Barion se tenait à genoux, face au capitaine-général maintenant assit derrière son bureau qui semblait essayer de le tué par la simple pression de son regard.

 

-Je t’écoute. Déclara le géant d’une voix froide comme l’acier. Mais choisis bien tes mots, car il pourrait bien être tes derniers.

 

Le custodian ne craignait point la menace derrière ces paroles, jugeant sa fin nettement préférable à la honte et au déshonneur qui le torturait depuis qu’il avait failli à son devoir. Par ces actions il avait taché le nom de leur ordre pour la troisième fois. Même mille morts ne sauraient pardonner ou effacer sa faute. Mais il se devait de rendre son rapport, une dernière fois.

 

-Comme le voulait le protocole, j’étais en charge de la réinstauration de son excellence. l’Astra Telepathica a livré aux portes du palais la commande journalière de psykers bien portant et certifié. Cette dernière fut escortée sans incident par deux équipes de compagnon jusqu’au sanctum imperialis débuta la réinstauration. Suite à quoi mon équipe et moi avons procédé au nettoyage de la salle, c'est à ce moment là que j’ai découvert qu’une psyker avait survécu dans la salle du trône.

 

-Impossible. Coupa son supérieur. Absolument rien ne survie dans cette salle après qu’IL se soit nourri, vous le savez aussi bien que moi.

-Les faits étaient devant moi pourtant. Continua Gabriel en serrant le poing de colère, regrettant de ne pas avoir supprimé lui même cette anomalie. J’ai alors cru bon de l’escorté avec mon équipe jusqu’à mon bureau pour interrogatoire.

 

-Vous avouez donc avoir quitté votre poste et laissé sans surveillance SA personne, alors que vous aviez repéré une anomalie.

 

A ces mots, la révélation de toute l’ampleur de son échec frappa presque physiquement le premier-capitaine qui aurai sûrement vacillé si il ne s’était pas trouvé à genoux.

 

-Je ne cherche aucune excuse à mon acte mais souligne que je suis seul responsable de cette catastrophe, mes compagnons n’ont faits que suivre mes ordres. Déclara martialement le guerrier plein de remord. Lorsque que le vénérable dreadnought donna l’alerte, nous étions en chemin pour reprendre notre poste. J’ai immédiatement pris la tête des recherches…

 

-Ce que vous avez aussi échoué! Souligna avec dureté son supérieur en saisissant une plaque de donné amené par un serviteur. Au moins l’initiative d’avoir lancé l’opération trône de paille nous accorde un sursis salvateur. Finit-il en prenant connaissance du dernier rapport.

 

les magos du palais avaient réunis leur forces pour dé-sceller et paramétré une antique machine de tecno-formatage biner datant d’un temps perdu, dont le but premier était d’effacées et de remplacées les données de n’importes qu’elle machines dans un large rayon. Elle fut utilisé durant le siège du palais face à l’archi-ennemi pour retournées quelque une de ces pires machines de guerre contre lui.

Il fallut des décennies au membres du palais pour adaptée cette technologie capricieuse afin qu’elle efface et remplace sans causé de dommage les derniers vingt-quatre heure de mémoire, enregistrement et relevé de mesure de tout élément mécanique présent à l’intérieur du palais impérial, pour les remplacées par celle d’une journée standard. (des custodians était en route pour rangées la machine et les prêtres de mars après utilisation.)

Associé à la quasi autarcie du palais impérial qui agissait comme un organe indépendant de l’imperium, l’opération trône de paille offrait à leur ordre un délai pour retrouvé l’empereur, avant que Terra suivie du reste de l’humanité n’entame la plus grande crise de panique de toute son histoire.

 

-Avez vous au moins une idée sur ce qui à ouverts en grand toute les vannes du warp dans votre bureau? Interrogea le capitaine-géneral qui espérait au moins une bonne nouvel dans cette journée catastrophique.

 

-Hum… malheureusement une grande majorité des psykers assermenté de Terra on subit une attaque psychique d’origine inconnu peu avant l’incident et son toujours inopérant, la poignée restant à pu néanmoins une fois sur les lieu déterminé qu’il s’agissait d’un téléportation warp d’une ampleur sans précédant en direction du secteur Ultima Segmentum dans le système Vénisban, un endroits reculé sans rien de notable mis a par un monde impérial de type Gamma sans grande importance. Doté d'une population de plus de un milliard de citoyen impériaux , leur production principal est le désinfectant réglementaire et accompagnant chimique pour la garde impérial, ces actif dominant son contrôle par la famille marchant Ipocondria...

 

Le capitaine-générale continua d’écouté d'une oreille distraite les détail de cette planète tendit que son esprits réfléchissait à trouvé la meilleur approche à son problème. La description en faisait un endroit idéale pour ce cacher… ou pour tendre un piège à n’importe quelle poursuivant encombrant,

 

Néanmoins cela était leur seul piste, il ne pouvait se permettre de la laissé filé entre leur doigt. Son poing se durcie tellement qu’il du faire un effort conscient pour se relâché. le géant aurait tout donné pour parti lui même à la tête de cinq-milles custodiens motivé à retourné tout le secteur. mais cela ferait plus que tiqué les hauts seigneurs de Terra dont les espions ne manquerait pas de remarqué son dépars avec la moitié officiel des gardes du palais.

De plus l’éventualité d’un piège le dissuadé d’une tel opération aveugle, il ne savait que trop bien à quelle point leurs ennemis était passé maître dans l’art de la tromperie. L’idéal serai d’envoyer une petite équipe d’unité fiable mais néanmoins sacrifiable.

Son regard se posait alors de nouveau sur le géant de remord qui ce tenait devant lui.

 

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  • 3 mois après...

Bonne annés a tous!

 

Chapitre 4

 

++Pensée du jour :" même un homme qui n’a rien à donné peut encore offrir sa vie."++

 

La peur donnait des ailes à Garry, dont les jambes battaient le pavé à toute vitesse afin de mettre le plus de distances entre lui et le fan de massacre à la tronçonneuse qui le poursuivait.

 

-ALLEZ-VOUS EN!!! S’époumonait-il, en zigzaguant, sautant à travers les bâtiments et monuments effondrés qui parsemaient la ville dans l’espoir de semer son poursuivant.

 

Tout du long, il croisait la route de plusieurs habitants, la plupart cachés dans les restes d’immeubles en ruine, hurlaient en le voyant, leurs doigts pointaient dans sa direction. Bien vite l’infirmier senti que d’autres personnes attirées par les cris se massaient au bord des fenêtres depuis longtemps brisées.

Enjambant d’un bon le bras arraché d’une statue imposante, Garry se retournait, trébuchait en découvrant avec terreur l'immense foule en colère qui s’était rallié à son poursuivant, maintenant obligé de jouer des coudes (et du pommeau de son arme.) pour rester en tête.

 

-Vous vous moquez de moi ! S’énervait le fuyard qui n’en croyait pas sa malchance tout en courant pour sa vie. POURSUIVEZ QUELQU'UN D'AUTRE !

 

 

 

Cela fessait maintenant trois jours que les murs du palais tenaient en échec l'envahisseur qui payait lourdement chaque échange avec les hommes de l’adeptus Arbites.

Gardant ces portes, les forces de l’ordre s’étaient positionné autour de massifs colonnes tenant toujours debout malgré les impactes qui érodait sa façade.

 

-Groupe deux, ouvré le feu ! Ordonna le Proctor kaldes à l’entrée du palais en joignant son fusil de chasse à la myriade de coups de feu, elle vînt faucher la première ligne d’un petit groupe xenos qui leur courait dessus. Groupe un, préparé vous!

 

Les orks trébuchaient sur les corps avant d’être écrasé par la soif de sang des suivants. Très vite, la horde réduisit la distance et les arbitres équipés de massif bouclier de suppression se portaient à leur rencontre. Leur formation en phalange encaissait avec peine le choc, mais tenu assez longtemps pour que le dispositif coordonné de leur bouclier s’active, envoyant une énorme décharge électrique sonner la masse de peau verte.

Profitant de sa paralysie, les impériaux tiraient plusieurs grenades au cœur de la bande qui explosaient dans une gerbe de sang.

Les membres de l’administratum aidé de civils sortir alors de l’enceinte du bâtiment pour portés secourent aux blessés et achevaient les orks survivant. L’un d’eux s’approcha du Proctor avec une mine défaitiste. Portant sur son dos des habits qui quelques jours encore l’aurait indiqué comme un couturier.

Il était maintenant réfugié comme touts ce qui avait trouvé protection entre ces murs, dépendant de l’adeptus Arbites, garant de la loi impérial.

 

-Qui a-t-il civil ? Demanda kaldes d’un ton qui sonnait plus comme un ordre, occupé à recharger son arme.

 

-Le...l’aumônier m'a chargé de vous dire que le sorcier est toujours inconscient, on ne peux plus compté sur lui!

 

La colère qui marquait le visage du Proctor fit reculer l’ancien couturier, Kaldes avait désespérément besoin des pouvoirs de l’astropathes pour connaître la situation en ville, comment pouvait-il savoir quels quartiers étaient tombés? Quels quartiers étaient intacts? La ville tenait elle encore où est que son groupe était le dernier?

Il aurait souhaité que le magistrat ne soit pas mort à la capital pour ne pas avoir à portée seule le poids de la défaite, qui devenait de plus en plus lourd.

Leurs brutalités égalaient celle des orks et leur expérience du contrôle de foule leurs donnait jusque-là l’avantage. Malheureusement à l’instar de leurs ennemis, leur nombre diminuait inexorablement sous les engagements incessants.

La détonation assourdissante qui avait eu lieu il y a quelques minutes n’avait rien arrangé à leurs affaires, rappelant à leur triste sors que si les peaux vertes ne les tuaient pas avant, leur abomination mécanique s’en chargerait.

Soudain, la tête du civil explosait elle un fruit trop mûr, emporté par la rafale d’un canon monstrueux.

 

S’étant abrité à couvert, le Proctor jeta un œil sur ce qui venait de les canarder pour découvrir un ork tout bonnement immense entouré d’une marrée de xénos, il brandissait une mitrailleuse de char au canon rougie par ces tires.

 

-Allez les boy, tué moi ces zom!!! cria l’énorme ork en lâchant sa horde enragée sur le palais de justice.

 

Kaldes n’eut même pas à donner d’ordre que déjà ces hommes commençaient à pilonner l’ennemi sous un tir nourri. Le gros ork les vu alors et hurla de plus belle avant de faucher les arbitres à découvert sous une volée ininterrompue de balles, les tireurs survivants se jeter à couvert derrière les colonnes du palais de justice qui tremblait sous la violence des impactes.

Le Proctor croyait attendre des heures, le dos collé à l’édifice aux côtés de ses camarades qui priaient l’empereur pour que leurs abris tienne bon.

Le barrage de tir cessait finalement sous les lamentations de l’immonde monstre qui frappait le laquais le plus proche pour qu’on lui apporte un nouveau chargeur.

 

Kaldes voulu aussitôt commander ses hommes de reprendre les tires, Cependant le mal était fait, la horde barbares était trop rapproché.

 

-Groupe un bloqué les!! ordonnait il avec désespoir, sachant bien que ces troupes affaiblis ne pourrait encaisser un telle nombre d’assaillants. Bloqué les au nom de la loi!!

 

les arbitres formaient à nouveau la ligne, épaule contre épaule. Érigeant un mur de boucliers solide, capable d’arrêté la plupart des charges.

 

Mais pas une charge ork.

 

Leurs boucliers ce pliaient et leur bras ce brisaient sous l’impact de ces assoiffés de guerre, une sanglante mêlée s’engagea alors dans l’entré du palais de justice. Les masses de choc répondirent au kikoups ork et très vite le sol ce para de rouge.

Débordant facilement la ligne, plusieurs xenos ce faufiler en direction de l’intérieur du palais avant d’être abattu dans le dos par le fusil de chasse du Proctor qui tentait de se faire entendre parmi le chaos absolu qui l’entourait.

Un ork plus gros que les autres (et légèrement plus malin) le remarqua et pigea que le zom qui criait le plus fors était sûrement le plus chef.

Il poussa un hurlement bestial et chargea kaldes de toute ces force, sa ruée percuta de plein fouée L’imperial qui ne le vit que trop tard.

Projeté au loin, le Proctor ne dû sa survie qu’a la présence de son armure carapace et à sa constitution hors norme. Le monde semblait alors danser sous les yeux du représentant de l’ordre avant que ce dernier ne se retrouve face contre terre, au côté du corps sans vie d’un de ces arbitres.

Alors qu’il reprenait ces esprits, une douleur fulgurante parcouru son bras droit. Kaldes baissa les yeux pour voir avec effrois la disparition de son membre, remplacé par un moignon suintant. Il resta la un instant, comme un enfant tente de comprendre comme l’adulte avait volé son nez, les yeux vitreux.

Un ricanement animal résonna alors nom loin devant lui, attirent son attention.

 

-C’est moi qui ait ton shoota!! clamait le monstre en exhibant tel un trophée le fusil de chasse de l’arbitre, au quel était toujours accroché son bras. Il est à moi!!

 

L’ork s’avançait en vainqueur vers le zom au sol, il aurait bien voulu utiliser son nouveau shoota mais la gâchette était trop petite pour que ses gros doigt puisse le manier… par contre sa crosse fessait un bon gourdin.

 

Un tel spectacle avait fait plier bien des hommes à travers la galaxie, des gens qui face à la violence et au chaos avaient préférés se soumettre aux sirènes de l’abandon, leur promettant un mort rapide.

Cette idée, si séduisante caressa son âme avec la douceur du velours, lui susurrant d’arrêter, de laissé tomber.

Mais il ne pouvait céder, il ne pouvait se soumettre... car abandonné… EST INTERDIS PAR LA LOI!!!

Gorgé d’adrénaline, Kaldes roula sur le côté, évitant de peut la crosse qui fendit la pierre dernier lui et récupéra la masse de choc laissé par l’arbitre tué. Énervé d’avoir loupé le zom, l’ork redoubla de colère et commença à brasser l’air avec son nouveau gourdin.

 

-Arrête de bougé que ze te tue !!! ordonnait le zexo en hurlant sur le proctor qui en profita pour enfoncé sa masse dans sa gueule béante.

 

-Toi d’abord ! Cracha l’humain en poussant la batterie de sa masse de choc au maximum.

 

L’énergie crépita un instant entre les dents du peau verte, avant d’embrasser sa tête d’une si puissante décharge électrique qu’elle aveugla momentanément le Proctor qui lâchât le manche de l’arme, devenu brûlant.

 

Quand il put rouvrir les yeux, Kaldes vit que le monstre était tombé à terre dans un bruit sourd, l’arme englué jusqu’au trognon dans son crane fondu.

Le frison de sa victoire passé, l’homme tomba à genoux. A bout de forces.

Il perdait trop de sang et il le savait. Tout autour de lui le chaos continuait son œuvre, indifférant à l’estime de sa réussite qui n’avait pour mérite que de repousser sa fin.

Modifié par Lokeur
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  • 4 mois après...

Chapitre 5

 

++Pensée du jour : L’esclave fidèle apprend a aimer le fouet++

 

 

Engagé dans son marathon mortel depuis plusieurs minutes, Garry avait arrêté de regarder derrière lui, apeuré par cette foule sans cesse grandissante dont la masse bouffie engorgeait la rue. Ils hurlaient à la mort en brandissant toutes sortes d’outils dont l’infirmier ne voulaient pas goûtés le tranchant.

l’homme était certes un bon coureur mais il savait qu’il ne pouvait pas distancer les habitants, surtout dans leur propre ville. Il devait les distraire.

Le vacarme d’une fusillade retenti alors à ces oreilles.

 

-<<Si vous entendez des coups de feu, courrez dans la direction opposé et prévenez les autorités!>> leurs avaient sans cesse répétés les conseillés de sécurités venue les formés, mais Garry avait depuis longtemps jetés aux orties ces paroles. (au moment ou ce qui s’apparentait à l’autorité local le poursuivait avec le fantasme intime d’un bûcheron entre les mains.)

 

Poursuivant sa course vers les détonations, il aperçu au détour d’une rue les contours d’un imposant bâtiment dont la construction lui rappelait le panthéon de paris, En beaucoup, beaucoup plus intimidant, avec cette énorme façade en forme de i moulée en béton, dont le centre était frappé d’un poing de fer tenant une balance.

 

-<<Des marchants ?>> s’interrogea le terrien avant d’esquiver d’un bond la charge d’un monstre vert, caché sous une pile de débris.

 

Ce dernier voulut le poursuivre, énervé que son embuscade contre le peau tendre eu ratée. Malheureusement sa rencontre avec la horde de fanatique mis un terme brutal à son existence batailleuse.(plus tard les services d’archivages du ministorum retrouvèrent des traces de ce spécimen xeno sur plus de trois kilomètre.)

 

-Punaise voila autre chose! Pesta Garry en voyant que d’autre bande de ces copains occupaient la place qu’il venait d’emprunter.

 

Heureusement pour lui ces créatures tournaient le dos aux nouveaux venus, trop accaparés par l’assaut du palais de justice qui ce trouvait devant eux. Il passa entre leur ligne, emporté par sa course folle.

 

La sauvagerie et la violence dansaient toute autour de lui, les orks (il avait compris que cella devait être leur nom à force de les entendres hurlés <<les orks c'est les plus forts!! C'est les plus verts!!>>) beuglaient à plein poumon leur hymne de guerre. Impatiens qu’ils étaient à assouvir leur soif de sang.

 

-POUR L’EMPEREUR!!! Retentis alors une voix chargée de rage, bientôt soutenu par les cris de bataille d’un millier de partisans.

 

La foule de fanatiques s’écrasait sur les peaux vertes dans un désordre total et absolu. Plus bagarreurs que combattant, ils prélevaient néanmoins un tribut sanglant qui se prolongea jusqu’à volte-face du chef des xenos qui commençaient à frapper ces guerriers pour les faire courir en direction de ces renforts ennemis.

 

-Bande de tricheur, vous avez pas le droit de chargé mes boz, c’est mes boz qui charge les zom !!! Rugi le chef de guerre en amorçant une charge que ces gardes emboîtaient, excité a l’idée d’une bonne mêlée.

 

La place du palais de justice fut rapidement le théâtre de deux mouvement de destruction. Au nord, ce masser la vague impérial, dirigé par l’infatigable commissaire Fractus dont les hurlements d’encouragements résonnaient à travers la place. Son arme percée dans les rangs ennemis avec une fureur qui inspiraient l’exemple aux habitants.

Au sud, arrivait le ras-de-marré ork, dont la tête était mené par le chef de guerre des peaux vertes qui brandissait la mitrailleuse comme une immense masse d’arme. La bave au lèvre, il rugissait d’insulte à la face de ces peaux frêles qui avaient le culot de copier les orks. Imité par sa horde assoiffé de carnage.

 

Et puis, au centre de ceci ce trouvais notre pauvre Garry, coincé au centre qui ressembler a un aperçu de l’enfer, ou humain et monstre ce déchirait sans retenu au milieu des tire qui sifflait de tout coté.

 

Sous la pression des multiples menaces de mort qui l’entouraient, l’esprit de l’infirmier était passé en automatique sous l’influence de l’adrénaline, qui engageaient des heures supplémentaires pour le maintenir en vie. Il esquivait, sautait et zigzaguait parmi le chaos telle une danseuse étoile (moins la grâce et avec beaucoup plus de cris.).

Sans qu’il s’en rende compte, sa course l’amena finalement à croiser le chemin du chef ork, qui en l’apercevant redoubla de vitesse, pressé d’ajouter une teinte de rouge au revêtement de son arme.

 

Ces en sautant par-dessus le plaquasse d’un ork taillé comme une armoire à glace, que Garry prit conscience du modèle armoire normande, (supplément mâchoire piège à loup.) qui s’apprêtait à le cueillir en vol avec son arme.

 

Il était trop tard pour l’esquiver, et le terrien nourrissait peut d’espoir que c’est maigre bras amortisse, d’une quelconque façon que ce soi le gourdin de la taille d’un lampadaire qui lui arrivait droit dessus.

 

-«Foutu pour foutu !! je préfère deux bras cassés plutôt qu’une tête détaché!!» choisi t’il en tendant ses mains devant lui.

 

Mais il eut quand même mal à la tête.

 

 

 

pendant ce temps sur terra ...

 

Ancré dans le sol grâce à ses huit pattes mécaniques qui avaient depuis longtemps remplacé ses frêles jambes de chaires, le magos Technicus Iké-as contemplait son œuvre par l’intermédiaire des optique de ces multiples serviteurs dont les centaine de mains infatigable achevait de rebâtir à l’identique la partie malmenée des archives impériales de l’Omnimessie.

Cela n’avait pourtant pas été facile et l’ombre du retard faillit ternir ça réputation pour la première fois de son existence. La cause incombait au garde d’or qui avait exigé sa présence pour [DONNE SUPPRIME], cela avait grandement ralenti le travail de ces ouvriers qui avait par le manque de sa surveillance, sous optimiser leur performance de 30% par rapport au prédiction initiale.

 

Pour résoudre ce problème Iké-as avait dû remplacer le rituel de e exécuté par ces 2718 ouvriers par le rituel plus puissent de π exécuté par 3141 nouveaux ouvriers (les anciens avaient été remerciés par un hochement de la capuche du mago et dirigé vers le recycleur le plus proche pour manquement grave au rendement.)

L’efficacité du rituel fut tout de suite constatable au prêtre de mars qui fut ravi de tenir ces délais.

 

-«[ex:doc- bonheur activé]»

 

Un signal sonore ordonna à ses serviteurs et au dernier ouvrier sur place d’évacué le chantier, afin qu’il puise sanctifie leur construction selon les précepte du dieux-machine.

 

-O grand bastion de gloire! Commença le prêtre rouge en balançant un fumoir d’encens pendant qu’un énorme serviteur mécanisé traînait une imposante porte en or, marqué du nom du premier capitaine.

Que tes murs soit préservés de l’humidité.

Comme ton esprit est préservé de l’impureté.

Nous implorons le palais d’or de veiller sur toi.

Que l’affliction des vice caché te sois préservé.

 

Durant tout le rituel, le serviteur fut accompagné par les acolytes (non recyclé.) du Mago qui s’attelaient à enraciner les gonds de la porte tout en entamant leurs chants biner.

 

-Et puisse tes poutres de soutient restés éternellement bénies. Fini Iké-us en frappant la porte maintenant fixé de son fumoir d’encens, tel une bouteille sur la coque d’un nouveau navire.

 

Soudain, un violant tremblement anima le sol sous leurs pieds tendit que de mince fil de condensation s’échappait subitement des contour de la porte.

 

-«[exe:alarme! -Anomalie thermique détecté! -saturation sens011100...ERREURS]»

 

le magos Technicus Iké-as tenait encore debout, au contraire de ces acolytes tombés au sol qui n’avaient pas la grâce de ces huit pattes mécaniques. Une multitude de résulta émis dans la seconde par ces modules stratégique, assaillir son cerveau optimisé pour répondre à ce qui venait de ce passé.

 

Il supprima sans hésité les probabilité inférieur à 10 % et arriva à la conclusion que l’équipe de plomberie avait mal réalisé son travail dans des mesures critiques est nota dans sa liste des taches de ne pas manqué de les faire rejoindre l’équipe e après les réparation effectué.

 

Le mago ouvrit la porte pour constater les dégâts est poussa alors le plus fort hurlement binaire de son existence en relevant le gouffre qui venait de réapparaître à la place de son travail.

 Une multitude de bip sonore, et de cliquetis saccadés s’échappaient de son capuchon rouge.

 

-«[Iké-as.exe à rencontré un problème et a du fermé. Veuillez démarrer Mago.java avant de tenter de redémarrer Iké-as.exe.]

 

 

 

 

 

 

Marchant au milieu d’une mare de sang, le commissaire Fractus ce tenait fièrement, épée-tronçonneuse en main.

L’homme n’aurait espéré une vue plus joyeuse que celle d’une mer de cadavre xeno écrasé par une foule de courageux habitant de son monde, qui s’assurait avec zèle de la mort définitif des orks tombés sur la place du palais de justice. Beaucoup songeaient déjà à la renommé après le dernier miracle de l’Empereur maintenant relevé qui fit pleuvoir des cieux une autre maison d’or pour affirmé la domination humaine sur cette planète. Elle avait déchirée le ciel dans un fracas assourdissant avant de tombé avec la force d’une comète sur le gros de leur ennemi, tuant par la même occasion le meneur de ces rebus verts. Sans boss pour les dirigés, les orks allaient ce scindés en une multitude de bande de guerre désorganisés.

Fractus savait que le commandement de Javhel ne laisserait pas passé cette chance de reprendre l’avantage. Et si ils était trop incompétent pour utilisé ce cadeau de l’Empereur….il ce ferait un devoir d'éclaircir leur rang.

 

Pensé que ça sainteté-relevé avait daigné venir en personne délivré leur monde remplissait leur cœur d’une fierté et d’une piété si intense que le commissaire avait du, il y a quelque heure encore recourir au menace et au rugissement de son arme pour ce frayé un chemin dans le bloc compacte de croyant qui s’était recueilli devant le corps du maître de cette planète. ce dernier s’était assoupi au pied de l’édifice d’or. Sûrement satisfait du bon travail accomplit.

 

Ils étaient rester dans leur contemplation jusqu’à qu’un petit groupe agite la foule, exigeant que l’Empereur-dieu sois amené dans un lieux plus digne de lui. certain voulue l’emmené au palais du gouverneur avant qu'un habitant ne leur rappel que cette dernière avait été détruite par le vaisseau ork. (il voulut aussi ajouté le problème de la distance de plusieurs jours à pied en zone de guerre, mais s’abstient.)

Fractus pris alors la parole, usant de son charisme et du statu de son uniforme pour réussir à convaincre la foule d’abrité leur maître à l’intérieur d’une chambre du palais de justice, jusqu’à ce qu’ils puise trouvé mieux.

 

La horde de civils avala ces paroles comme la vérité même et ce dirigea au pas de course vers le bâtiment de justice, avec leurs précieux chargement. Lui laissant la charge d'assuré la sécurité des alentours à l'aide des habitants restés en arrières.

 

 

Du coin de l’œil, l’agent disciplinaire vu le chef des volontaires qu’il avait désigné comme éclaireur temporaire, revenir faire son rapport.

 

-..éclaireur de deuxième groupe au rapport Commissaire!! salua un jeune homme à bout de souffle dans une imitation de salut qui aurait donné des bouton à un instructeur. Les quartiers NORD et EST sont sous nôtre contrôle, il y a encore des tirs dans les blocs d’administration SUD mais rien qui devrait nous arrêter.

 

Au même moment une gerbe de flamme s’éleva un instant en direction des combats avant d’être remplacés par une traînée de fumé noir.

 

-Dite leurs de faire preuve de retenu et que le zèle n’est pas une excuse pour tout détruire, cela serait une cruel ironie si nous réduisions la ville en cendre après l’avoir libérée. Autre chose ?

 

-Le groupe que vous avez chargé de protéger la premier maison d’or ma demandé de vous dire qu’il on trouvée une fille en haillon marquée du seau de la sorcier à l’intérieur. Il ont peur et...

 

-Que fait t’elle là-bas? Coupa fractus tout en signalant du doigt un xeno qui simulait la mort.

 

-Elle dit être une servante de l’Empereur-dieu est exige d’être amenée à lui dans les plus bref délai.

 

-Vous l’avez donc mis au arrêt, bien! j’irai en parlé plus tard à son excellence quand la situation dans la zone ce sera calmé. Déclara le meneur d’homme, félicitant le F.D.P. qui avait abattu l’ork comédien d’un déluge de laser dans le torse.

 

-Heus…. C’est a dire... répondit simplement le messager.

 

Le commisaire Fractus fronça les sourcils en entendant l’une des douze phrase maudites que la garde impérial apprend très vite à oublié sous peine de recevoir un encouragement entre les deux yeux. (extrait de la liste :vous allez rire / c’est pas ce que vous croyez/ je crois que j’ai fait une erreur/ TES PAS CAPE DE TIRE SAL...)

 

-Elle été très insistante, comme quoi sa présence était indispensable et que l’Empereur sera en colère si on l’arrêtait. Moi j’ai dit qui fallait la retenir cette sale sorcier, mais…

 

-OU EST ELLE? s’emporta Fractus en soulevant par le col le jeune homme qui tremblait de peur.

 

-Je sais pas, ils l’on laissé partir après lui avoir indiqué que sa sainteté résidait au palais de j...ju..justice. lâcha le messager qui ce découvrait un bégaiement naissant, sous les yeux embrasés de rage de l’agent disciplinaire.

 

Un psyker inconnu de leurs registres, errait en liberté dans la ville, la schola progenium lui avait bien appris sur le potentiel destructeur de c’est mutant, il était une épée à double tranchant dont le maniement nécessitait finesse et doigté, sous peine de libéré des horreurs sans commune mesure.

 

Et toute indiquait que cette dernière courait rejoindre le maître de l’humanité avec pour seul défense une foule de civil indiscipliné épaulées d’une poignée d’arbitres estropiées.

 

-SOLDAT AVEC MOI !!! cria t’il en courant vers la palais de justice.

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