korelion Posté(e) le 14 juin 2004 Partager Posté(e) le 14 juin 2004 Bon je me lance, je suis pas doué en poésie, alors cognez pas trop fort ! Avec toute sa tendresse, Dame Destinée me caresse De sa main froide et glacée, Elle surveille son protégé Sombre est l'avenir, Nul ne peut prédire, Ni homme ni devin, Ce qui m'attends demain Mais déjà voici venir, Celle qui dans son ire, D'un geste de la main, Fait pleuvoir le chagrin. Femme Ô combien détestée Et pourtant dernière aimée, Elle seule m'accompagneras Lorsqu'il me faudra franchir le pas. Ces deux dames insensibles, Dont le pouvoir terrible, Fait trembler à genoux Rois, sages et fous. Dame Destinée et sa soeur, Maîtresse de la peur, Tel un fléau implacable, Dame Mort, la fatale. Mais voici venir la fin, Je ne puis mieux en dire. Braves gens écoutez, Les Chroniques d'une mort annoncée Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Warzazatt Posté(e) le 14 juin 2004 Auteur Partager Posté(e) le 14 juin 2004 (modifié) Le sujet est classique, l'allégorie attendue. Mais c'est bien beau tout de même! Il y a des sujets qui marcheront toujours... M'enfin moi je changerais quelques trucs: Sombre est l'avenir,Nul ne peut prédire, Ni homme ni devin, Ce qui m'attends demain Croise les rimes: Un, par ce que cela donnera plus de sens à la phrase, et puis vu que tu exprimes des sentiments troublants de par leur nature, des rimes croisées sont plus adaptées que des rimes plates qui ne fournisse qu'un faible rythme et ne relatent pas vraiment le trouble de l'âme du perso qui parle. Dame Destinée et sa soeur,Maîtresse de la peur, Tel un fléau implacable, Dame Mort, la fatale. Aï, aï!! La rime n'est pas bonne...A modifier. Bon, ben retravailles le un peu et je suis sur que l'on obtiendra un excellent poème. Modifié le 24 avril 2006 par Warzazatt Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Warzazatt Posté(e) le 15 juin 2004 Auteur Partager Posté(e) le 15 juin 2004 (modifié) Voilà, je viens de composer ça. J'espère que vous pourrez m'aider à l'améliorer. Jamais je ne pris tant plaisir A ouïr sous la lune naissante Et les sombres cieux silencieux, Le vent mourrant qui soupire Et l'eau dans sa chute, qui chantent Chacun leur sonnet merveilleux. Modifié le 16 juin 2004 par Warzazatt Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Tylza Posté(e) le 21 juillet 2004 Partager Posté(e) le 21 juillet 2004 Quelqu'un d'autre a un poème à montrer ? Les poèmes, c'est difficile à écrire. Soit on le réussit en beauté, on choisit les mots qu'il faut, les rythmes qui vont avec, les sonorités dont on a besoin, soit on tombe dans la mièvrerie très rapidement, voire dans le ridicule. Les meilleurs poètes que je connais sont, soit malheureux, soit amoureux. Soit les deux en même temps. Tylza Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Celeborn Posté(e) le 21 juillet 2004 Partager Posté(e) le 21 juillet 2004 Rhââ, le cliché du poète malheureux ou amoureux.... si c'est pas malheureux Je pense que beaucoup d'autres sentiments peuvent faire naître de la poésie, y compris la joie. *Celeborn, elfe multisentimental Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Tylza Posté(e) le 21 juillet 2004 Partager Posté(e) le 21 juillet 2004 (modifié) Ah, j'ai dit ceux que je connais. J'attends donc de voir de bons poètes inspirés apr d'autres sentiments ! C'est un cliché, c'est vrai. Mais pour l'instant c'est ce que je constate. Le spleen, ça marche à fond, et c'est ce qui inspire le mieux, d'ailleurs le poète Jean-Marie Berthier est d'accord avec moi. Lui, c'est la guerre en Asie, l'amour qui se brise, le mal-être, les questions sur la vie, sans mièvrerie. Et puis il est vieux, c'est pas le petit ado qui se sent injustement rejeté par la vie ! ( oh, je suis malheureux ! La vie est méchante, alors je vais me plaindre dans de larmoyantes lamentations ) Et on peut être amoureux et heureux ! Encore heureux ! Tylza, bon alors j'attends les poètes, tous sentiments et toutes inspirations confondues ! Bien sûr, un poème n'existe pas forcément parce qu'il contient des rimes. D'ailleurs, j'ai une bonne préférence pour les poèmes sans rimes. Une lettre écrite sur l'instant peut être un vrai poème... Modifié le 21 juillet 2004 par Tylza Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité thanatos2003 Posté(e) le 21 juillet 2004 Partager Posté(e) le 21 juillet 2004 (modifié) salut en voici un petit pou enrechir la collection Orange L'orange , une agrume très convoité Tout d'abord l'eplucher est de rigeur Apres tu la doucement caressé Longuement et doucement tu la croquer Une seule boucher la priver de trois quartier Tes levres de son jus ete humidifier Ton estomac n'a pas eu pitier De cette orange presque toute devore voila c pas le meilleur mais comme dis plus tot c'est pas ecrit par un poete malheureux mais defoncer!!! sinon vous en penser quoi Modifié le 21 juillet 2004 par thanatos2003 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Tylza Posté(e) le 9 août 2004 Partager Posté(e) le 9 août 2004 Oh, j'avais pas vu ce poème en l'honneur des oranges !!!! Donc j'en poste un dans un tout autre registre, qui n'est pas de moi, mais de Zazie. J'aime pas cette chanteuse, mais j'avoue que ce texte-là est beau, pas cucul, bien écrit, simple, bref. C'est de la poèsie, à mon avis. Sur toi "J'écris ce que j'endure Les petites morts, sur les blessures J'écris ma peur Mon manque d'amour J'écris du coeur Mais c'est toujours Sur ce que je n'ai pas pu dire Pas pu vivre, pas su retenir J'écris en vers Et contre tous C'est toujours l'enfer Qui me pousse A jeter l'encre sur le papier La faute sur ceux qui m'ont laissée Ecrire c'est toujours reculer L'instant où tout s'est écroulé On n'écrit pas Sur ce qu'on n'aime pas Sur ce qui ne pose pas problème Voilà pourquoi.... Je n'écris pas Sur toi Rassure-toi J'écris sur ce qui me blesse La liste des forces qui me restent Mes kilomètres de vie manquée De mal en prose, de vers brisés J'écris comme on miaule sous la lune Dans la nuit je trempe ma plume J'écris l'abcès J'écris la pluie Pas le beau temps J'écris ce qui ne se dit pas Sur les murs, j'écris sur les toits Ecrire, c'est toujours revenir A ceux qui nous ont fait partir On n'écrit pas qu'on manque de rien Qu'on est heureux, que tout va bien Voilà pourquoi Je n'écris pas Sur toi Rassure-toi J'écris quand j'ai mal aux autres Quand ma peine ressemble à la vôtre Quand le monde me fait le gros dos Je lui fais porter le chapeau J'écris le blues indélibile ça me parait moins difficile De dire à tous plutôt qu'à un Et d'avoir le mot de la fin Il faut qu'elle soit partie déjà Pour écrire ne me quitte pas Qu'ils ne vivent plus sous le même toit Pour qu'il vienne lui dire qu'il s'en va On n'écrit pas la chance qu'on a Pas de chanson d'amour quand on en a Voilà pourquoi, mon amour Je n'écris rien sur toi Rassure-toi. " Tylza, , je trouve ça zouli ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Alberthaën Posté(e) le 9 août 2004 Partager Posté(e) le 9 août 2004 (modifié) En voici deux que j'avais écrit il y a quelques temps... Rien de bien joyeux... Fonte Il neigeait dans mon cœur comme il neigeait sur les champs Tout était recouvert d’un doux manteau blanc Dont la candeur semblait invulnérable Jamais je n’avais connu quelque chose de semblable Mais la neige fond, se mêle à la fange Et de ce qui était pur comme peut l’être un ange Ne restent que mes larmes qui doucement finissent Dans cette vase où mes sentiments s'enfouissent Icare Icare voit le soleil depuis son labyrinthe, Trop loin pour lui, toujours hors d'atteinte. Il est triste, s'envole un matin, Tournant dans les airs il perd son chagrin. Il s'approche de l'étoile qui le surplombe, Mais le soleil brûle et Icare tombe. La mer est parfois profonde… Modifié le 9 août 2004 par Alberthaën Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Han Posté(e) le 12 août 2004 Partager Posté(e) le 12 août 2004 Il se trouve que j'ai écris 2 3 rimailles récemment, étant amoureux ( ) mais malheureusement malheureux ( ). Voilà donc sans fioriture ni rature mes sombres pensées en ces moments voilés ( ) Oh méandres de l'oubli, Puissiez-vous faire qu'il soit Avant la nuit Avant le froid, Un instant délectable, Où ma peine serait moins palpable. Car le fantôme de ta main Hante toujours le creux de mon âme, Et je souhaite encore sans fin, N'avoir jamais connu ta flamme... Ah ca fait du bien quand ca sort ce genre de choses Si ça vous plait, j'en ai quelques autres en reserve Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shas'o Benoît Posté(e) le 12 août 2004 Partager Posté(e) le 12 août 2004 Tiens j'écris ça sur le coup pour montrer que la joie aussi ça vous inspire : Ode de la Cité Eternelle Aujourd'hui est un grand jour, compagnons ! Notre souffrance prend fin, contemplez : La Cité Eternelle est achevée, Et voilà que ses tours, ses clochetons Chantent à la volée, résonnent à tue-tête, Notre bonheur peut enfin exploser Car après toutes ces longues années De labeur, de peine et de dur travail, Exultez ! les dix races ont leur bercail ! Le rêve fugace des anciens temps, Cette mystique prophétie d'antan A pris forme dès à présent. Nous crions d'une seule voix : Laissez éclater votre joie ! C'est la fin des déchirement. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Warzazatt Posté(e) le 12 août 2004 Auteur Partager Posté(e) le 12 août 2004 De labeur, de peine et de dur travail,Exultez ! les dix races ont leur bercail ! De labeur, de peine et de dur travail: Exultez ! les dix races ont leur bercail ! Voilà, sinon c'est pas mal...Bon, ce n'est pas encore mon retour, je poste depuis un magasin Orange ...Mais j'en profite pour passer voir... P.S: Pour la suite de Karl, j'ai réécris le scénario de la suite, j'ai fait une carte du Wasteland pour vous (m') aider à vous (me) repérer. Mais pour la suite écrite , il faudra attendre plustard, je n'arrive à écrire quesur un clavier... Allez, à bientôt! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thanog Posté(e) le 12 août 2004 Partager Posté(e) le 12 août 2004 salut semble que la poésie soit accepter ici, ben puisque l'amour semble s'installer, je lui offre l'occasion d'envahir votre coeur avec l'une de mes rares oeuvres, mais garde a vous, je suis point poéte Je ne vais pas tenter de retranscrire ta beautéCe serai un affront de vouloir te décrire Tellement tu m’apparais unique. Ta voix est pour moi magique. Et il n’y a pas de plus douce musique que ton rire. C’est cela qui me fait résuciter Quand je me sens seul, que je m’endors Que je me laisse allé, que je veux être mort. Si je devais choisir une personne sur terre Ce serais toi, car tu m’es aussi indispensable que l’air. Tu sais m’offrir de petites séances de bonheur, Et pour moi tu es la meilleur. Nos rencontres sont éphémères Mais sont pour moi des moments d’extase. Si tu veux nous formeront les bases, D’un amour qui traversera les guerres, D’un couple indestructible, A deux, nous serons invincibles. C’est ce que je te promets et t’assurerais, Libre a toi de me croire ou pas, Mais sache que nous ne somme pas Des êtres dont la vie dure à jamais. Je me rappelle encore la première fois, Seule, je t’ai vu, tu ne souriais pas, Et je ne me voyais pas discuter avec toi, Tu es au plus profond de mon cœur et tu y resteras, Je te souhaite simplement de faire le bon choix, Même si ce n’est pas avec moi, J’espère que tu trouveras l’amour, Celui qui mérite que l’on cour, Je te le souhaite, ma douce et fine, Ma tendre Laureline. cela sort bien de l'esprit d'un chaoteux, mais pas d'un normal maintenant je vous invite a critiquer tant que vous voulez Thanog, drole de chaoteux poéte avec un penchant pour tzeentch et slaanesh Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 13 août 2004 Partager Posté(e) le 13 août 2004 Ce poème n'est pas de moi comme vous allez le voir et il est très dur ! Moi je osutiens la personne qui a ecris ca meme si je ne sais pas qui c'est ! Si j'avais su Ce que t'avais prévu Je ne serais pas venue Te rejoindre en pleine rue J'avais 12 ans et j'étais bête J'ai cru que tu étais différent des autres garçons Que tu m'aimais peut-être En fait, t'étais encore plus con Au début, c'était comme dans mes rêves les plus fous Tu m'as embrassé dans le cou Tu voulais qu'on marche un peu Tu m'as pris la main, tu semblais si heureux Tu m'as emmenée un peu à l'écart du monde, Dans une petite ruelle toute sombre Je m'en suis rendue compte trop tard Mon rêve allait devenir un cauchemard... Tout à coup, tu n'étais plus le même Tu m'as plaquée contre le mur, fini les "je t'aime" Tu m'as dit que t'avais envie de moi Que je ne pouvais rien contre toi Tu m'as tenue contre le mur et tu m'as serré, Une main sur ma bouche pour m'empêcher de crier Je sentais ton souffle rauque dans ma nuque Tandis que tu m'arrachais ma jupe... Je ne savais pas quoi faire Ta main toujours sur ma bouche m'obligeait à me taire J'éssayais de m'échapper Mais tu me tenais avec fermeté Je sentais mes jambes fléchir J'ai cru que j'allais mourir Je te suppliais du regard mais c'était sans espoir... Ma jupe tombée par terre Ton jean déjà ouvert J'étais épouvantée Mais toi, tu riais Tu t'es collé contre moi Il n'y avait plus que ma culotte pour me séparer de toi A ce moment j'ai prié Dieu de m'évanouir Pour ne plus entendre tes soupirs J'ai ressenti une douleur atroce Tu m'avais pénétrée avec force Tes mains exploraient chaque parcelle de mon être Je ne pouvais plus crier, aucun son ne sortait Tu prenais ton pied, j'étais ton jouet Quand ça ne t'a plus amusé Tu m'as retournée Et t'as recommencé Par derrière, pour changer J'ai eu encore plus mal Je me sentais si sale Tu m'avais souillée, Ruiné ma vie à jamais Quand t'as senti ton plaisir venir Tu m'as agenouillée devant toi T'as ouvert ma bouche, y enfonçant tes doigts Et tu m'y as enfoncé ton dard, sans prévenir J'avais envie de vomir J'avais envie de mourrir T'as évacué ton sperme dans ma bouche Tu m'as forcé à avaler toute la louche Et puis t'es parti En me laissant là Seule, nue et meurtrie Au plus profond de moi Tu m'as juste fais jurer De ne jamais en parler Disant que t'étais sûr que j'avais aimé ça Même si je ne l'avouais pas Je t'aimais, tu sais Et ma virginité, Je te l'aurai donnée Si t'avais pensé à me le demander Avant de me violer @+ -= Inxi =- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Imperator Posté(e) le 14 août 2004 Partager Posté(e) le 14 août 2004 Dur... Vraiment dur... Que dire, sinon que je compatis totalement. C'est fou ce que ça fait mal à entendre, c'est fou ce que ça peut être horrible à imaginer. En fait, il n'y a, je crois, rien à dire, seulement à pleurer. Imperator, attristé, qui aurait, lâchement il est vrai, préféré ignorer... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Tylza Posté(e) le 14 août 2004 Partager Posté(e) le 14 août 2004 Thanog, c'est plutôt zouli. J'ai une amie à côté de moi qui dit "waw... waw...!" Inxi, tu sors ça d'où, c'est trop dur. ça me révolte. Tylza Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thanog Posté(e) le 21 août 2004 Partager Posté(e) le 21 août 2004 inxi > c horrible, j'en pleurer quelque larmes, c'est.... y a pas de mot pour définir l'horreur que ca ma fait ressentir Tylza > la fille pour qui je l'écris a aussi dit ça, mais a pas eu la réaction esconter a la fin... dommage... Thnaog qui Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Otaji Posté(e) le 22 août 2004 Partager Posté(e) le 22 août 2004 "Quand le soleil se couche, quand dorment les enfants Quand l'obscurité est maitre, quand les lunes veillent Nous nous mouvons enfin, nous brisons notre someil Nous les hommes-rat porteur de mort vils et méchant. Etre de légende, ombre de la nuit, seigneur De la peste, des contagions, de la maladie... Cauchemard des vivants qui somnolent dans leurs lits Et qui vomissent, toussent et maudissent leurs malheurs. Qui sommes nous? Vous l'aurez compris, mi-homme Mi-rat, choses des égouts vils, perfides et sournois Nous sommes les Skavens, légende urbaine et fantôme En surface, mais en sous-sol nous posons les lois. Maladie qui vous ronge, le rat cornue nous guide." Voila, j'espère fair un poême de 13 strophes de 13 vers de 13 syllabes dédié au Skaven. J'aimerai un peu d'aide car je suis nul en poésie et je trouve ma première partie assez pitoyable, mais j'aimerai m'amélioré et mené ce projet a bout. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Warzazatt Posté(e) le 23 août 2004 Auteur Partager Posté(e) le 23 août 2004 Ben, il est pas mal je pense... Mais quant à ton projet...humm...13 strophes?? C'est un peu beaucoup... Tu pourrais peut-être faire 13 poèmes de 13 strophes alors, non? Bon, sans rire, ton idée est pas mal mais ce sera dur... Pour la critique de ton poème: "Quand le soleil se couche et dorment les enfants Quand l'obscurité est maitre et les lunes veillent: Nous nous mouvons enfin, sortant de notre sommeil Nous les hommes-rats, porteurs de mort vils et méchants. Etres de légende, ombres dans la nuit, seigneurs De la peste, des contagions et des maladies... Cauchemard des vivants qui sommeillent dans leurs lits Et qui vomissent, toussent et maudissent leurs malheurs. Qui sommes nous? Vous l'aurez compris: mi-hommes, Mi-rats, viles choses des égouts , perfides et sournois Nous sommes les Skavens, légende urbaine et fantôme A la surface, mais en sous-sol posant leurs lois; Maladie qui vous ronge. Le rat cornue nous guide." Voilà, en somme, des broutilles... Bon, de mon côté, vu que ce site redevient actif, je vais y laisser un de mes poèmes aussi... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Warzazatt Posté(e) le 23 août 2004 Auteur Partager Posté(e) le 23 août 2004 Et maintenant, à moi: La lyre et la mort Il gît toujours dans la forêt Une tour de pierre éboulées, Où demeuraient aux temps jadis Un vieux Seigneur et son fils. Quand le Seigneur vint à mourir Son jeune fils reprit sa lyre Et joua au dessus de son corps Un requiem digne du mort. Une vieille entra, vint le trouver Près de son père agenouillé. La Dame Noire au visage blanc S’émut et lui dit en pleurant : « Jamais plus de telles notes Ne me charmeront de la sorte, Restez ici pour la nuit, Et ne craignez aucun bruit. Après d’hui, vous partirez De ces lieux le cœur en paix. Laissant vôtre père trépassé, Dessous une pierre dressée. » Le jeune fils y consentit. Du son de sa lyre il emplit Les vieilles pierres de la tour Ne cessant que lors vint le jour. Lorsque les belles notes cessèrent Et que la nuit se fit lumière, La Dame Noire se leva Et suppliante lui demanda : « Laissez moi donc je vous en prie, pour me distraire votre lyre, Puisque de votre compagnie Je ne pourrai plus jamais jouir. » Le jeune fils refusa Et bien triste lui expliqua Que sûrement dans l’avenir Elle serait son seul souvenir. La Dame alors se fâcha, Et dans la tour l’emprisonna Le laissant seul avec son père, Le vent froid et les vieilles pierres. Jamais plus on ouïe dès lors Parler de la tour ni du fils De ce cœur triste des temps jadis Dont le beau chant charma la mort. Un petit (commenttaire/ critique/ monoligne)? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shas'o Benoît Posté(e) le 23 août 2004 Partager Posté(e) le 23 août 2004 Elle a du culot la vieille ! Pour qui elle se prend ? Ah bon, la mort ? Ah d'accord... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thanog Posté(e) le 23 août 2004 Partager Posté(e) le 23 août 2004 bien triste mais divertissant, j'adore Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité le fan de l'empire Posté(e) le 23 août 2004 Partager Posté(e) le 23 août 2004 Oyez,oyez soldats de l'empire Fils de Sigmar, Voici venu l'Annonciateur, Le Hérault de Slaanesh. Oyez,oyez soldats de l'Empire Fils de Sigmar, Il vient à vous, le Pélerin Noir Porteur du Cristal d'Anusis. Oyez,oyez soldats de l'Empire Fils de Sigmar, Pliez-vous à sa volonté, ou de sa Sombre Lame Il vous prendra la vie. Oyez,oyez soldats de l'Empire Fils de Sigmar Face à vous,il arrive Kar'Andrec Ïl Khaïsi'n. Oyez,oyez soldats de l'Empire Fils de Sigmar, Voici venu votre Némésis, La Mort par le Plaisir. Parchemin fait de peau humaine retrouvé dans les ruines de la forteresse de Brachkenbourg. Aucun survivant de la garnison connu. Archives de l'Inquisition. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité le fan de l'empire Posté(e) le 23 août 2004 Partager Posté(e) le 23 août 2004 Escusé moi g poste ça et je ne m'explique meme pas!!! Ceci est en liaison avec le backgroundde mon perso Kar'Andrec le Banni que l'on peut lire sur ce forum. C'est une petite fantaisie sans rimes qui j'espère vous plaira!!! Voila @+ Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Warzazatt Posté(e) le 23 août 2004 Auteur Partager Posté(e) le 23 août 2004 Mouais, la façon dont tu le met dans un contexte est sympa à la façon des textes des LA. Quoique, la reprise soit un peu lourde. Si ce morceau fait partie du background de ton perso, alors tu pourrais peut-être essayer un texte relatant son histoire, non? ....Mais peut-être est ce en cours? P.S: Fais attention à ne pas utiliser le chat speak! C'est interdit sur le forum sous peine de sanction! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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