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La Confluence


MarmIsACaribou

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Bien le bonjour !

Voici un petit texte, inspiré par un décor que j’ai mis des aaaaannées à peaufiner (bon ok, avec une pause de quinze ans au milieu, ça compte pas vraiment ^^).

ici, le décor en question :

https://www.warhammer-forum.com/index.php?/topic/285258-medfannécron-le-trou-paumé/&tab=comments#comment-3710552

 

 

Petite musique d’ambiance, je sais elle est un peu bizarre mais c’est elle que j’écoutais en écrivant, désolé :D Pis ça correspond bien à l’ambiance !

(Merci à Granville pour l'idée de proposer une musique !)

https://www.youtube.com/watch?v=7aDpCIDYDc8

 

 

L’écriture est un acte plutôt solitaire en soi, mais son intérêt est de partager et faire vivre un monde, de stimuler des imaginaires, alors n’hésitez pas à commenter et à fait part de vos ressentis et de vos conseils !

(Note pour ceux qui, comme moi, préfèrent la mise en page en pdf :

https://drive.google.com/file/d/1UGBbTQeeAlQ168hFtxTgmMVTz-jeYWrS/view?usp=sharing)

 

Bonne lecture :)

 

 

La Confluence

 

 

   Un bruit mou, presque flasque. Suivi d’un autre, plus lourd. Et puis un autre.

Et encore d’autres. Beaucoup, beaucoup d’autres.

Et le silence... Enfin.

 

   On pouvait pourtant compter des dizaines de disciples dans la cour du Temple. Mais aucun ne bougeait. Aucun ne parlait, aucun ne levait même les yeux, figés qu’ils étaient dans leur posture respectueuse, un genou au sol, tête basse.

Le silence régnait, car quelques minutes auparavant, ils étaient presque une centaine.

De nombreuses têtes avaient roulé, depuis.

 

   Un seul, parmi eux, se tenait droit. Un seul était debout, le regard lointain, le visage dur… une lame, vive quelques instants plus tôt, docile à présent… mais ensanglantée.

Les secondes passèrent, le vent jouant dans ses cheveux longs et argentés.

 

   Il revint au présent. Sa prise se raffermit sur sa garde, et il regagna la basse estrade de pierre. Il ne rangea pas sa lame, jaugea ses disciples.

Seuls les meilleurs devaient vivre.

Il avait mis des années à les choisir. Des années de voyage, des années d’observation. Des années à convaincre, à menacer, à envoûter les plus réticents afin qu’ils le rejoignent.

Des années de recherches martiales et d’enseignements divers, des années de pratiques guerrières… Ils avaient mis le pays à feu et à sang pour s’endurcir, ils avaient placé chaque contrée sous leur joug pour sélectionner les plus valeureux. Ils avaient fait main basse sur les reliques les plus anciennes, les charmes les plus puissants… L’homme regarda son épée : autrefois le trésor enchanté d’une famille de gentilshommes, désormais l’outil maudit de sa tyrannie...

Ils étaient devenus les maîtres des lieux, ceux dont on craignait apercevoir l’oriflamme annonciateur de malheur à l’horizon. Lui et ses disciples n’avaient été qu’une traînée de larmes et de suppliques pour le reste du monde.

Mais ils étaient braves, ils étaient loyaux, ils étaient forts, adroits et sages à la fois. Certains maîtrisaient les armes, d’autres la magie – sous diverses formes –, d’autres encore l’érudition, l’art de la guérison ou celui de la logistique. Et ils le suivraient n’importe où.

Ils venaient de réussir le dernier test, le Rituel du Choix.

Ils étaient les plus affûtés qu’il ait pu réunir.

 

   Seraient-ils assez bons ?

 

*****

 

   – Et… et maintenant, Maître ?

La voix, juvénile, luttait pour ne pas bégayer. Elle se perdit, emportée par les vents qui agitaient la cour.

– Maintenant ?

Le vieil homme, désormais raidement assis sur son noble siège curule, ne daigna pas tourner son regard.

– Maintenant, nous allons vers la Mer de Sable.

Un nouveau silence, puissant, presque palpable, enfla et s’installa dans la cour… Puis la première voix reprit, claire.

– La Mer de Sable ? Mais... Il n'y a rien à conquérir là-bas, Maître !

Une autre pause. Le tyran esquissa lentement un sourire en direction du jeune intervenant, un sourire qui n'avait rien d'amical, mais rien d’hostile non plus… Il était plutôt amusé, oui, amusé face à la candeur de son suivant. Il allait lui faire grâce d'une réponse.

– Lorsque j'étais jeune, reprit-il, le regard vague à nouveau, j'ai dû traverser ce désert maudit. Des dizaines de jours. Ou peut-être des dizaines de dizaines de jours – qui sait ? –, seul, à supporter ce maudit soleil, à bouffer ce maudit sable, à user mes semelles et mes genoux sur ces maudits cailloux... Ah ! Ces cailloux, ces rudes cailloux, partout, où que porte votre regard, où que résonnent vos pas… Ils vous usent le pied aussi facilement que si vous n’étiez pas chaussés, et ils ne sont pourtant ni les plus nombreux, ni les plus acérés de cet endroit infâme…

Il fermait les yeux à présent, et semblait grimacer sporadiquement sous l’effet d’un souvenir par trop réel...

– Et ce vent, ce vent terrible, bruyant, qui ne s'arrête jamais, qui porte le sable jusqu'à vos yeux, jusqu’à votre nez, irritant, invincible, insupportable… Les jours se mélangent au milieu des rafales de sable, les minutes disparaissent, les heures s’évanouissent ; seuls comptent vos pas, l’un après l’autre, écorchés par ces graviers vifs, ralentis par ces brusques bourrasques… Allez-vous trouver la force de faire le prochain ? Et celui d’après ? Sera-t-il identique, désespérément identique, aux milliers d’autres que vous avez franchis depuis votre réveil, ou sera-t-il le dernier, l’ultime avancée de toute votre existence, celle qui verra votre chute, rapide et molle à la fois, et dont le nuage de poussière sera la seule conséquence notable, bien vite retombée, sur le monde indifférent qui vous entoure, qui vous absorbe de toute son absurde et terrible immensité ?

 

   Alors, sa voix mourut paisiblement, ne laissant que le vent agiter les étendards qui bordaient la cour et ronronner avec volupté au milieu des froides pierres ancestrales.

Le jeune disciple, bien qu’il ne vît pas comment cela répondait à sa question, n’osa interrompre les pensées de son Maître.

Après de longues minutes, ce dernier enchaîna comme s’il ne s’était jamais arrêté.

– Et puis un jour, au détour d’une rafale ensablée, un fortin apparaît. Un abri. La preuve que la vie a existé sur cette terre. La preuve que la vie peut résister sur cette terre. Le soulagement. Le repos. La surprise ensuite. C’est un lieu très spécial, que ce fortin.

Il reprit la question de son jeune disciple :

– Ce qu'il y a conquérir là-bas ?

Il pouffa, mais aucun humour n’habitait ses yeux quand ils se posèrent à nouveau sur son suivant, durs, profonds, peinés.

– C'est notre vie, qu'on doit conquérir là-bas…

 

*****

 

   Le voyage, harassant, fut tel qu’annoncé, et pire encore. Tout n’était que sable et mugissements, tempête et abrasion. Chaque pas était un miracle, chaque foulée une victoire de l’esprit sur la matière ; mais hélas, lorsque les corps sont rompus, l’âme s’effrite elle aussi…

Les heures s’évanouirent aussi vite que les hommes, avalés par les sables voraces du désert…

Ils n’étaient plus qu’une poignée à leur arrivée au fortin providentiel. Ils s’écroulèrent, ivres de fatigue, et plusieurs auraient versé des larmes de soulagement, s’il était resté une seule goutte d’eau à perdre après ce périple.

 

   Le fortin. Enfin. Le lieu de toutes les promesses, de tous leurs désirs, de tous leurs sacrifices… Il était là, sous leurs yeux incrédules, offrant son mur protecteur comme un véritable rempart contre la tempête, contre le sable, contre tous les malheurs du monde… Il était le refuge au milieu de l’orage, il était le havre de paix, le sanctuaire des âmes épuisées : il avait le goût du foyer retrouvé…

 

   Puis un disciple s’approcha. Et il vit le bastion, minuscule, d’un seul bloc, sans porte ni abri. Il vit la muraille, basse, à moitié écroulée. Il vit même une palissade en bois, bancale, presque incongrue… Il vit la cour intérieure, exposée, dérisoire… Il vit la caillasse rugueuse qui la tapissait, il vit ses espoirs fondre comme s’ils n’avaient jamais existé, comme si l’idée même de l’espoir n’était que le fruit illusoire de l’imagination tortueuse d’un esprit malade…

Il s’écroula, raide mort.

 

   La déception grandissait dans les rangs clairsemés. Ils s’approchèrent des murs branlants, exhortés par le Maître dont les ultimes espérances paraissaient aussi creuses que la ruine du fortin…

Sous le choc, plusieurs s’effondrèrent contre le roc, gagnés par l’épuisement, traumatisés par les vents incessants… Et ce fut probablement cela qui sauva le tyran de la rancœur qui grandissait en chacun d’eux.

 

*****

 

   Le temps passa. Le vent hurlait au-dehors, mais la redoute protégeait au moins du sable, en partie. Le repos, bien qu’amer, avait étouffé les aigreurs naissantes. Plusieurs disciples reposaient encore sur le sol dur, hébétés. Quelques autres avaient installé le bivouac, exploré le maigre fortin – cela ne les avait guère occupé. Étrangement, les braises d’un feu ancestral semblaient encore chaudes, certainement attisées par la fournaise écrasante du lieu ; pas de quoi, loin s’en faut, rendre la place formidable.

Le soleil, doucement, chutait à l’horizon ; et de même que rien ne voulait interrompre son ardent regard un peu plus tôt dans la journée, rien ne semblait vouloir freiner sa chute inéluctable vers les sombres immensités glacées de la nuit…

 

   Alors, à la lueur des derniers rayons orangés, des formes fantomatiques apparurent dans le fortin.

Là où il n’y avait rien quelques secondes auparavant, se manifestaient désormais des brumes humanoïdes, vaporeuses, scintillantes d’un éclat pur et argenté qui semblait vouloir concurrencer la lueur déclinante de l’astre solaire…

Les disciples se frottaient les yeux, ébahis ; se portaient la main au front, se croyant victime d’une illusion, d’une hallucination, d’un coup de chaleur… Ou que la folie, définitivement, s’était saisi de leur âme, et s’amusait à présent à la retourner en tous sens.

Mais le Maître esquissa un de ses rares sourires sincères.

– Mes amis, vous revoilà…

 

   Les brumes s’épaississaient à présent. Des têtes émergeaient de ces silhouettes ; ainsi que des jambes, des bras portant des armes…

Puis les têtes confuses se baissèrent vers les disciples, et des visages se révélèrent, nets. Solides, durs. Des visages qui avaient vécu, qui avaient vu.

 

   Le Maître s’avança vers l’un des nouveaux arrivants, une femme sans âge, épaisse et solide, à la mâchoire carrée et au front soucieux. Il lança un étrange salut, puis parla d’une voix qui semblait vibrer d’une émotion sourde, à peine contenue, chaude et fière :

– Capitaine, voici les guerriers que je vous avais promis… jadis.

– Enfin, cher ami… En effet, vous avez mis le temps… de votre point de vue. Mais comme vous le savez, cette notion n’a pas vraiment cours, ici… Et comme vous le voyez, nous avons tenu. Chaque nuit, l’une après l’autre, nous avons tenu. Le délai importe donc peu.

Sa voix, lasse mais déterminée, résonnait dans le fortin, et une profonde tristesse la colorait ; tout, dans sa posture, indiquait qu’elle était chez elle, ici. Qu’elle l’avait toujours été.

Pendant que les autres formes brumeuses usaient de magie pour réparer et renforcer les murailles, ou préparaient toutes sortes d’armes mystérieuses et de sortilèges étranges, elle prit place sur le bastion puis s’adressa aux disciples, de la même voix autoritaire mais bienveillante, triste mais ferme :

– Bienvenue, très chers ! Bienvenue au point de confluence du Temps et de l’Espace.

Un silence, lourd, pesant, accueillit sa réplique.

Les disciples fronçaient des sourcils, se cherchaient du regard, semblaient même se demander à qui elle parlait.

– Bienvenue sur l’éternel champ de bataille, celui que l’on ne quitte jamais, celui que vous devrez défendre aux côtés des champions de toute ère et de tout continent, contre la Grande Menace ! Bienvenue…

Elle marqua une pause, puis embrassa le fortin et ses vaporeuses troupes d’un mouvement ample du bras.

– ... au Dernier Bastion de l’Humanité.

 

   Puis, abaissant la voix, elle se tourna vers le Maître.

– Sont-ce là les meilleurs de ton Temps ?

– Corps, cœur, esprit… magie. Ce sont les meilleurs.

Elle pinça les lèvres, hocha la tête, et continua :

– J’espère qu’ils suffiront.

Le Maître repensa à toutes les atrocités qu’il avait commises en ce but. Puis il porta son attention vers le désert, vers les ombres noires et diffuses qui prenaient paresseusement forme, à travers les nuages de sable, à l’orée du regard. Il frissonna.

La nuit tomba.

 

– Je l’espère aussi…

 

Modifié par MarmIsACaribou
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Mais... c'est que t'es particulièrement doué pour l'écriture mon bon ! 
Grosse inspiration de la Horde du Contrevent, non ? En tout cas, j'avais ton décors en tête quand ils ont trouvé le fortin. 
Très immersif, et la musique aide pas mal. 
J'aimerais te voir écrire plus, c'est un vrai régal. 

C'est en rapport avec Warhammer ou pas du tout ? Dans ma tête j'avais tes elfes qui occupaient les lieux mais il semblerait que ce soit un tout autre univers, auquel cas j'aimerais en savoir plus !

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Merci beaucoup, et ravi que ça t'ait fait passer un bon moment :)

 

En effet, je me suis fait la même remarque que toi concernant la Horde du Contrevent, en me relisant ! L'inspiration est nette, mais pourtant involontaire : je voulais simplement rendre le voyage plus mystique, et sanctuariser le fortin ; mais l'œuvre de Damasio est tellement emblématique qu'il est difficile d'évoquer ce thème, de prendre ce chemin sans qu'on y voit les traces bien nettes de son passage précédent ;)

 

 

Aucun rapport avec Warhammer, aucun rapport avec aucun univers connu, même pas celui que je développe ^^ L'univers de cette histoire s'est créé de lui-même alors qu'elle s'étoffait.

Cela dit, il est volontairement plutôt générique : il pourrait très bien rentrer dans mon univers, et je n'exclus pas d'en faire des petits Easter eggs de temps en temps ;)

 

 

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Pas mal du tout tout ça. Un peu curieux de qu'est ce qui peu bien pousser les disciples à avoir rejoins le maître mais j'imagine que tout les mystères n'ont pas à être expliqué. Le "bouffe" dans sa bouche et en trop et si la notion de temps de la capitaine n'existe pas vraiment, la faire y faire réfèrence est un peu maladroit le reste c'est du tout bon!

Je sais même pas pourquoi je critique en fait!

 

Quand on pense que tout ça à cause d'une histoire de fromage...

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Hey, merci beaucoup pour ton com' !

 

Il y a 7 heures, Miles a dit :

j'imagine que tout les mystères n'ont pas à être expliqué

C'est exactement ma philosophie dans pas mal de mes écrits, j'essaye de faire en sorte que le lecteur puisse construire autour du cadre que je propose en étoffant avec son propre imaginaire, pour qu'il soit actif, parce que c'est ce que j'aime faire quand je lis moi-même ! Cela dit, je sais que je vais parfois trop loin dans la non-divulgation, que je me plante dans le dosage, ou que ça ne convient pas à tout les lecteurs (dont certains de mes proches ^^).

 

Il y a 7 heures, Miles a dit :

Un peu curieux de qu'est ce qui peu bien pousser les disciples à avoir rejoins le maître

La réponse est, au moins en partie (:P), ici :

Le 01/05/2022 à 10:53, MarmIsACaribou a dit :

Des années à convaincre, à menacer, à envoûter les plus réticents afin qu’ils le rejoignent.

Débrouille-toi avec le double sens d'envoûter ^^

Si tu veux en savoir poil plus sur mon interprétation de la chose, je peux t'envoyer un petit MP.

 

Il y a 7 heures, Miles a dit :

Le "bouffe" dans sa bouche et en trop

Okay intéressant, j'avais hésité à le mettre ; j'ai tranché pour le garder, car il peut être un moyen de montrer que des années plus tard, le perso est toujours déstabilisé par ce qu'il a enduré là-bas.

Si ça revient trop comme avis, je changerai !

 

Il y a 7 heures, Miles a dit :

si la notion de temps de la capitaine n'existe pas vraiment, la faire y faire réfèrence est un peu maladroit

C'était en réponse au "jadis" du Maître, qui lui avait une notion normale du temps dans le monde extérieur -- et elle le sait (et un peu aussi pour donner une ou deux billes en plus au lecteur concernant la magie du lieu, quand même ^^). Cela dit j'apporte une modification pour que ça soit plus cohérent et explicite, du coup ; donc merci à toi !

 

 

Citation

 

– Capitaine, voici les guerriers que je vous avais promis… jadis.

– Enfin, cher ami… En effet, vous avez mis le temps… de votre point de vue. Mais comme vous le savez, cette notion n’a pas vraiment cours, ici…

 

(pas très visible, j'ai rajouté une virgule aussi en fin de phrase)

 

Longue vie au fromage ! :D

Modifié par MarmIsACaribou
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  • 1 mois après...

Je ne passe pas assez sur la section récits, je viens de voir par hasard que tu avais posté ce court texte, trop longtemps après ! Je ne suis pas surpris de la qualité, elle reflète celle que tu mets à faire mes corrections et à commenter. Je retrouve aussi ton attachement aux scénars de fond expliqués d'une voix cryptique par des vieux barbus séniles, et qu'on peine à comprendre en tant que lecteur :D Et c'est tout aussi bien. Deviner, si c'est correctement fait, vaut toutes les explications longues. On comprends ici que la mort des disciples n'a aucune forme d'importance, et bien que tu n'expliques pas la "menace" qui plane sur ce monde, elle sert juste une action qui fait le cœur de la nouvelle.

 

Mais c'est vrai qu'en l'état, ton récit donne des sensations de prologue, le début d'une plus vaste histoire autour d'un vieux mythe. Et comme disait mon VDD, les inspirations d'Alain Damasio sont fortes. Hésite pas à nous régaler d'un peu plus de détails sur tout ça !

 

Et merci pour la dédicace, ravi de voir que ça t'as inspiré. Cryo-chamber, très bon choix.

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  • 5 mois après...

Salut !

 

Je passais par le forum pour tout autre chose et je me suis laissé porté par la lecture.

 

Je rejoins les avis des autres, c'est vraiment agréable à lire. Le style est fluide et sur la forme j'ai rien vu qui m'a gâché la lecture.

 

Pour la fond, j'ai bien aimé cette introduction. Alors tu fais une conclusion dans le texte donc on passe finalement vite sur tout mais je trouve que ça gagnerait à être développé et à lancer quelque chose de plus grand. En tout cas je suivrais avec attention

 

@+

-= Inxi =-

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  • 1 mois après...

Hé ben, quel honneur ! Merci à vous deux pour vos compliments :)

 

Granville, pour avoir lu un de tes textes (deux en fait, maintenant que j'y pense ^^) et apprécié son immense qualité, ça me fait plaisir que tu penses cela ! Je me rends d'ailleurs compte que je n'ai pas commenté ton deuxième, je m'en vais corriger cela de ce pas ! Et oui, c'est vraiment une excellente idée que tu as eue, que de se laisser porter par une musique ; je suis convaincu que ce petit texte, même si j'avais déjà une structure en tête, n'aurait pas eu la même couleur si j'avais écouté autre chose lors de son écriture.

 

Et Inxi-Huinzi, je me souviens avoir régulièrement vu ton pseudo et tes remarques pertinentes dans la section, par le passé, donc ton commentaire m'honore, et son contenu me comble ! Merci à toi !

 

 

Je prends bonne note de vos remarques à tous sur le petit goût d'introduction qu'a cette nouvelle. Je ne garantis rien dans l'immédiat, car j'ai pas mal d'autres projets (d'écriture, et autre ^^), mais lorsque je me laisserai tenter par une relecture de ma nouvelle (à l'été je pense), j'aurais peut-être envie d'en ajouter un peu !

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