gilian Posté(e) le 7 août 2022 Partager Posté(e) le 7 août 2022 Dead men walking de Steve Lyons 416 pages Révélation 0 : Avant-Propos On est en novembre 2010 et voilà le premier roman et première œuvre de la Black Library traitant de la Death Korps de Krieg, Steve Lyons a la bonne idée de la confronter à un adversaire qui a le même genre de comportement que lui sur le champ de bataille. Opposer les Necrons à Krieg parait être une bonne idée maintenant il faut voir comment s’en sort Lyons. 1 : L’histoire du livre Le monde de Hiéronyme Thêta est ce que l’on pourrait appeler un monde neuf. A peine 9 milliards d’habitants et encore un tiers de la surface planétaire vierge de toute construction. C’est un monde minier en plein essor qui n’a encore jamais connu la guerre… Enfin pour le moment. 2 : L’histoire avec un grand H Révélation Sur Hiéronyme Thêta, la vie suit son cours tranquillement. Il ne se passe jamais rien d’intéressant au grand dam d’Arex, la nièce du gouverneur, qui se retrouve à pimenter sa vie dans des escapades nocturnes dans les bas fonds de la ruche. Mais depuis un certain temps, les bas fonds sont devenus plus dangereux et des bruits courent qu’au fond de certains puits de mine les ouvriers auraient trouvé des artefacts xenos. Au même moment, le Momento Mori (vaisseau de transport de la Death Korps de Krieg) fait son entrée dans le système. A son bord quatre régiments qui reviennent de la guerre et qui vont avoir droit à une semaine de permission avant de repartir au front. Bien sûr ce sont des régiments de Krieg et aucun soldat ne sortira du vaisseau pour se rendre sur la planète et ça fait bien les affaires du commissaire Costellin qui est rattaché au régiment et qui espère avoir une semaine de relâche sur Hiéronyme Thêta. Mais rien ne se passe comme prévu, en arrivant en orbite de la planète il apprend que les permissions sont annulées et que les quatre régiments doivent se déployer autour de Hieronymous City pour se préparer à une attaque xenos. Après avoir lu les rapports, Costellin à l’intuition que les xenos sont des Necrons et ne comprend pas pourquoi les généraux de Krieg ont décidé de déployer leur régiment contre ce genre de menace qui n’a pour l’instant encore jamais réussi à être arrêtée, à moins bien sur que les généraux soient prêts à prendre tous les risques pour prouver la supériorité des soldats de Krieg… Juste après le déploiement les combats avaient commencé… La collaboration entre la Death Korps de Krieg et les forces de défense planétaire était des plus précaire, le gouverneur ayant pour objectif de sauver sa population alors que la Death Korps n’a qu’un seul objectif, gagner quelque soit le prix… Après trois semaines de combats, la Death Korps a réussi à encercler les Necrons à l’intérieur de la ville mais plus les combats durent et plus les Nécron sont nombreux. C’est le gouverneur Henrik qui apporte peut être la solution à l’énigme. Les Nécron ont tout détruit depuis le début des combats mais se sont emparés des générateurs d’énergies de la cité. Ils doivent sûrement s’en servir. Le colonel commandant les forces de Krieg décide donc de donner l’assaut aux trois générateurs en même temps. Les deux plus proches de la ligne de front seront attaqués par des régiments et le plus profondément situé dans la zone contrôlée par les Necron sera attaqué par un commando dirigé par le commissaire Costellin. Malgré des pertes effroyables, l’opération est un succès et les trois générateurs sont détruits. Les généraux de Krieg décident de prendre leur temps et de se réorganiser avant de donner l’ultime assaut à la pyramide nécron. Malgré les doutes de Costellin, la stratégie de la Death Corps de Krieg semble porter ses fruits mais malgré la victoire Costellin se demande s’ils ne sont pas en train de perdre le peu d’humanité qui leur reste. Malheureusement pour lui il ne le saura jamais car il va se faire tuer lors de l’assaut sur la pyramide. Finalement l’assaut sur la pyramide est un fiasco, il restait des milliers de Necrons cachés dans les sous-sols et la Death Korps de Krieg doit évacuer la planète qui sera soumise à l’exterminatus dans les mois qui viennent. 3 : Personnages : Révélation Commissaire Costellin : c’est un des fils conducteur du livre, il est commissaire depuis un moment déjà et avait bien roulé sa bosse avant d’être affecté à un régiment de Krieg. Il a d’ailleurs pu constater les différences entre un poste de commissaire dans un régiment de la garde impériale « normal » et dans un régiment de Krieg. Dans les régiments de Krieg, il n’y a pas de problème de discipline, pas de problème pour suivre les ordres. Le commissaire n’a que deux fonctions : en premier servir de lien avec les autorités planétaires, parce que d’expérience les gens sont mal à l’aise avec la Death Korps. Et ensuite empêcher la Death Korps d’aller trop loin… Au cours de la campagne contre les Nécron, il va se rendre compte qu’il devient vieux et que le manque d’humanité de la Death Korps est en train de le changer… Et il n’aime pas ce qu’il est en train de devenir, il décide donc de se faire réaffecter à un autre régiment. Il n’aura pas cette chance et se fera tuer dans une embuscade par des rebelles humains. Gouverneur Henrik : la situation lui a complètement échappé avec l’arrivée de la Death Korps. Et la peur d’avoir perdu sa nièce (le seul membre de la famille qui lui restait) le pousse au désespoir. Il se laisse manipuler par le colonel de Krieg qui en profite pour sacrifier la population et les forces de défense planétaires. Quand finalement Henrik va se rebeller contre le sacrifice de sa planète, il sera exécuté pour trahison. Gunthar Soreson : C’est le bon gars de l’histoire, il se rêve héros mais n’a pas le courage ni la force de l’être vraiment. Petit à petit, au cours de l’histoire il va « grandir » et finalement il va devenir le héros qu’il a toujours voulu être. Même si cela va sûrement le conduire à la mort. Arex : La nièce du gouverneur et la petite amie de Gunthar Soreson, elle va faire le voyage inverse de Soreson, au début du livre elle est aventureuse, courageuse et plein d’entrain mais à la fin elle fera le choix du pragmatisme pour sauver sa vie au dépend des autres et ça lui permettra de faire partie des 45000 survivants de la planète sur 9 milliards d’habitants. 4 : Krieg: Révélation Totalement déshumanisé dans le livre, (comme dans l’univers de 40K d’ailleurs), les membres de la Death Korps sont désignés par leur grade et un numéro. Tout au long du livre, ils auront des réactions et des décisions purement comptables, si une chose génère plus de pertes à l’ennemi alors c’est une chose à tenter. Ils vont sacrifier les infrastructures de la planète, la population civile, les forces de défense planétaires et au final vont partir en ayant perdu la guerre. D’ailleurs, au moment du départ, ils sont contrariés parce qu’on les force à évacuer les civils plutôt que du matériel qui pourrait être réutilisable. 5 : Conclusion : Je suis assez étonné par ce roman, c’est un roman conséquent de plus de 400 pages qui traite d’un des régiments les plus meurtriers (pour lui comme pour l’ennemi) de l’univers de 40K et pourtant, Steve Lyons a réussit à raconter une histoire en limitant les scènes de batailles. La guerre est là et bien là mais en toile de fond. J’ai aussi été assez surpris par le rythme du livre, l’histoire met très longtemps à se mettre en place et même une fois en place elle met du temps à se dérouler. Malgré ces quelques petits défauts, l’histoire de Lyons nous permet de voir un univers très sombre et nous fait réfléchir sur l’inhumanité de l’Imperium. D’ailleurs c’est assez parlant de voir que les seuls personnages qui réfléchissent un peu à des questions philosophiques finissent par se faire tuer. Les personnes ayant un bon fond finissent toutes mortes, alors que les plus pragmatiques et les plus intolérantes survivent. Steve Lyons nous montre que même dans un Imperium où toute trace d’individualité et d’humanité tend à être affectée, la Death Korps de Krieg va trop loin. Même le commissaire Costellin finit par se dire qu’ils sont trop déshumanisés. Bien qu’il a été écrit 12 ans avant le dernier roman en date sur Krieg, on retrouve le même questionnement de la part de l’auteur, et la même dualité entre l’Imperium pour qui la fin justifie les moyens et les individus qui la composent qui ont tous un seuil de tolérance diffèrent quant au moyens à utiliser. Down among the dead men de Steve Lyons 12 pages Révélation 0 : Avant-Propos Steve Lyons n’est pas l’auteur le plus mis en avant à la Black Library, sûrement à cause du fait qu’il se soit spécialisé dans la garde impériale et pas dans le Space Marine. Mais il faut reconnaître qu’il a un certain talent pour nous raconter des histoires d’humains dans un monde inhumain. Il a écrit sur beaucoup de régiments mais il a surtout écrit l’intégralité des œuvres parlant de la Death Korps de Krieg (2 livres et 3 nouvelles à ce jour). Down among the dead men est la première nouvelle qu’il a écrite en mars 2013. 1 : L’histoire du livre Sur le monde de Krieg, en plus de leur conditionnement et de leurs entraînements au maniement des armes, la Death Korps fait des entraînements à armes réelles et combat les humains qui n’ont pas les conditions requises pour devenir soldats. 2 : L’histoire avec un grand H Révélation Dans les ruines d’une ancienne cité sur Krieg, deux armées s’affrontent dans un combat à balles réelles. D’un côté les jeunes soldats recrutés pour partir avec la prochaine levée de troupe, de l’autre les rebuts des expériences interdites pratiquées depuis des années sur la planète. Krieg n’a pas de ressource c’est un monde mort, la seul chose qu’il a à apporter à l’Imperium c’est un flux ininterrompu de soldats entraînés et conditionnés pour mourir au nom de l’Imperium de l’humanité. Ces soldats sont créés en batteries et élevés en couveuses mais certaines de ces « recrues » ne sont pas jugées aptes à rejoindre la Death Korps de Krieg, ça peut être pour des raisons physiques ou psychologiques. Mais aujourd’hui il y a quelque chose de diffèrent, quelque chose a été réveillé par les combats, un xenos qui était en sommeil depuis longtemps attendant que quelque chose de vivant passe à portée pour pouvoir l’infecter et se reproduire. Le Genestealer finit par rencontrer des soldats mais il est trop faible pour les vaincre et va être traqué par un des rebuts de Krieg, un homme qui n’a pas été considéré digne d’intégrer la Death Korps en raison d’un conditionnement mental déficient… Après une longue traque, le soldat finit par retrouver le Genestealer mourant à cause des radiations et des blessures qu’il a subies pendant le premier combat. Mais avant de mourir, il a le temps de contaminer le soldat. Geste inutile car en tant que rebut il n’aura pas de descendant et sera mort d’ici quelques jours… L’exercice est fini et tout le monde doit rentrer au cantonnement. Mais alors qu’il essaie de rejoindre son camp, le soldat est abattu par un adversaire qui n’avait pas entendu que l’exercice était fini. 3 : Conclusion : Steve Lyons insiste au cours de cette nouvelle sur le mode de création de la Death Korps de Krieg, des humains élevés en couveuses, ce qui est une transgression des édits impériaux. Il joue aussi beaucoup sur la stupidité et l’inutilité du combat entre le Genestealer et l’humain. Le Genestealer est en train de mourir des radiations donc il ne représente pas de menace et l’humain ne se reproduira jamais donc il n’est pas intéressant pour le Genestealer… C’est un combat inutile… Lyons commence ici ce qu’il va faire dans chacune de ses nouvelles : démontrer l’inhumanité de l’Imperium et appuyer sur les mauvais cotés de la Death Korps de Krieg. Tout l’inverse des romans où l’inhumanité de la Death Korps est montré comme un atout. C’est un peu comme si l’auteur nous disait : OK la Death Korps de Krieg ce sont des eugénistes fanatiques religieux mais c’est juste un livre, en vrai ce n’est pas une solution. Left for dead de Steve Lyons 14 pages Révélation 0 : Avant-Propos Steve Lyons n’est pas l’auteur le plus mis en avant à la Black Library, sûrement à cause du fait qu’il se soit spécialisé dans la garde impériale et pas dans le Space Marine. Mais il faut reconnaître qu’il a un certain talent pour nous raconter des histoires d’humains dans un monde inhumain. Il a écrit sur beaucoup de régiments mais il a surtout écrit l’intégralité des œuvres parlant de la Death Korps de Krieg (2 livres et 3 nouvelles à ce jour). Left for Dead est la deuxième nouvelle qu’il a écrite en juin 2017. 1 : L’histoire du livre Le soulèvement de Parius Monumentus est fini et la guerre était partie laissant derrière elle des ruines à reconstruire et un homme libre. 2 : L’histoire avec un grand H Révélation La guerre sur Parius Monumentus était terminée, le soulèvement du culte chaotique avait été réprimé en moins d’un mois par un régiment de la Death Korps de Krieg, puis il était parti laissant les villes en ruines. Alors le vrai travail avait commencé, la reconstruction des villes et des usines. La population était encouragée à aller plus vite par des contremaîtres équipés de fouet. Et chaque survivant découvert dans les ruines rejoignait les équipes de travail. Arvo était un de ces survivants ou plutôt un déserteur de Krieg, il avait été enseveli sous les décombres d’un bâtiment pendant l’assaut et laissé pour mort. Mais il avait survécu et avait vu ça comme une chance de repartir à zéro. Il avait volé les habits d’un mort et avait pris sa place. Il s’est vite fait à la vie civile, même si faire parti de la masse laborieuse de l’empire ne semble pas être quelque chose d’enviable, ça lui convenait bien. Jusqu’au jour où il a rencontré Zanne, une jeune fille qui avait connu le vrai Arvo et qui risquait de tout foutre en l’air. Mais par chance Zanne était morte lors d’un éboulement et Arvo était finalement libre… Libre de se réengager dans l’armée et de retourner combattre pour l’empereur car s’il ne fait pas son devoir alors il n’est rien. 3 : Conclusion : Steve Lyons en spécialiste de la Death Korps de Krieg nous livre une petite nouvelle plus philosophique que prévu. Le personnage principal est à la recherche de réponses, pourquoi sa vie vaut-elle moins que celle d’un ouvrier impérial ? Mais finalement son conditionnement reprend le dessus et il retourne se battre. En fait, en comparant la vie des civils et des soldats, Steve Lyons nous montre que l’Imperium est inhumain et qu’il n’y a pas de bonne place ou de place plus enviable qu’une autre. De ce point de vue, il continue ce qu’il avait commencé avec Down among the dead men, approfondir le malaise entourant Krieg. The strong among us de Steve Lyons 10 pages Révélation 0 : Avant-Propos Steve Lyons n’est pas l’auteur le plus mis en avant à la Black Library, sûrement à cause du fait qu’il se soit spécialisé dans la garde impériale et pas dans le Space Marine. Mais il faut reconnaître qu’il a un certain talent pour nous raconter des histoires d’humain dans un monde inhumain. Il a écrit sur beaucoup de régiments mais il a surtout écrit l’intégralité des œuvres parlant de la Death Korps de Krieg (2 livres et 3 nouvelles à ce jour). The strong among us est la troisième nouvelle qu’il a écrite en octobre 2019 1 : L’histoire du livre Dans la forge de Blackfire assiégée, Jarrah, un simple ouvrier, attend avec espoir que les assaillants arrivent à percer les défenses. Ce n’est pas un traître mais sa forge est tombée aux mains des hérétiques et ce sont les forces de son Empereur Dieu qui arrivent. 2 : L’histoire avec un grand H Révélation Jarrah travaillait dans les chaînes de montages de canons de la forge de Blackfire quand elle a été envahie par les cultistes du chaos. Il a toujours prié l’Empereur Dieu mais, depuis l’invasion, il se fait discret parce que les cultistes ne sont pas réputés pour leur magnanimité. Depuis dix-sept jours, il a repris courage car l’armée impériale assiège la forge et commence à progresser en direction des murs. Apparemment c’est la Death Korps de Krieg, un régiment spécialisé dans les sièges qui mène les combats. Mais un siège c’est long et pour être tranquille Jarrah a ravalé sa fierté et s’est même fait tatouer des symboles occultes pour donner le change aux cultistes. Au final, l’armée impériale arrive à percer les murs de la forge et à pénétrer dans les faubourgs extérieurs. Au départ Jarrah était plutôt content de ce qui se passait mais la Death Korps ne fait aucune différence entre civil, travailleur et cultiste… Et avance en massacrant tout le monde. En plus Jarrah, avec ses symboles ténébreux gravés sur les joues, n’a pas vraiment le profile du loyal serviteur de l’empire. Après avoir dû se battre contre un garde impérial pour sauver sa vie il finit par rejoindre les rangs des cultistes et mener la résistance contre la Death Korps. 3: Conclusion : Avec cette troisième nouvelle, Steve Lyons a fait le tour des points de vue sur la Death Korps de Krieg, dans la première, une personne pas digne de la servir, dans la deuxième un déserteur rattrapé par son conditionnement et dans la troisième un simple civil impérial attendant d’être délivré. Au final, Steve Lyons brosse un portrait très sombre de la Death Korps et de l’Imperium, ce qui colle bien à l’ambiance du 41ème millénaire. L’Imperium est une machine à broyer aussi bien l’ennemi que ses propres concitoyens. Bien souvent, le fait de ne pas être d’accord avec la machine impériale classe une personne dans la catégorie du chaos même si, au départ, c’est rarement le cas. Mais l’intransigeance impériale pousse de plus en plus de monde dans les bras du chaos (c’est un thème qui revient assez souvent ces dernières années dans les écrits de la Black Library). Avec ce genre de nouvelle Steve Lyons montre qu’il est possible de parler plus de psychologie que de combat et ça complète assez bien les romans. Krieg de Steve Lyons Révélation 0 : Avant-Propos Deuxième roman de Steve Lyons sur la Death Korps de Krieg, il entre bien plus dans le détail de l’histoire de cette unité que dans le premier écrit il y a bientôt 12 ans. Steve Lyons a décidé de présenter une histoire se déroulant à l’époque du sombre Imperium et en même temps de relier tout ça avec l’histoire de la création de la death Korps. 1 : L’histoire du livre La guerre dans le système Octarius fait rage entre les Orcs et les Tyranides, mais ce qui avait semblé être une bonne idée de l’inquisition impériale est en train de tourner au fiasco. Les Orcs et les Tyranides ressortent de cet affrontement de plus en plus forts et la guerre s’étend aux systèmes voisins. C’est ce qui vient d’arriver à la ruche Arathron, un vaisseau Orc venant de la zone d’Octarius vient de s’écraser sur la planète. 2 : L’histoire avec un grand H Révélation Note : comme dit plus haut, Steve Lyons alterne les chapitres sur la guerre actuelle et sur l’histoire de la planète Krieg. Personnellement je vais découper le résumé en deux. Krieg 433.M40 Le colonel Jurten a été soumis à la question par l’inquisiteur Rectilus, Jurten avait envoyé plusieurs rapports à l’Imperium parlant des doutes qu’il avait sur les dirigeants de sa planète et parlant d’une possible révolte organisée par les dirigeants. L’inquisition toujours soupçonneuse avait voulu savoir si ce n’était pas Jurten le coupable et, après l’avoir torturé plusieurs jours, Rectilus finit par admettre que Jurten avait dit la vérité. L’ordo Hereticus, la faction de l’inquisition chargée de traquer les hérétiques et les traîtres ne pouvant pas intervenir pour le moment, a chargé Jurten de retourner sur Krieg, d’enquêter et si possible de reprendre le contrôle de la situation. Jurten était retourné sur sa planète et avait fait de la ruche de Ferrograd sa garnison, mais il était rentré trop tard. Le président et le conseil dirigeant de Krieg avaient déjà bien avancé dans leurs préparatifs de sécession et Jurten avait dû s’enfermer dans Ferrograd et appeler à l’aide les forces de l’Imperium. 434.M40 Jurten n’a pas attendu la réponse à son appel à l’aide et il a bien eu raison parce qu’il n’y a pas eu de réponse. Il a pris les choses en main, il a fait exécuter les Autocrates de la ruche Ferrograd et a commencé à la fortifier et à augmenter ses réserves, tout cela avec l’aide de l’Archimagos Greel de l’adeptus mechanicus. Le plan de Jurten est de forcer le président à l’attaquer et de tenir le plus longtemps possible pour que l’ennemi s’affaiblisse. Les plus grandes usines d’armement étant à Ferrograd il devrait avoir moins de mal que l’ennemi à reconstituer ses réserves, mais les forces du président sous le commandement du général Krausse disposent des ressources de toute la planète. Le président ne veut pas mettre à feu et à sang sa planète et il essaie de faire assassiner Jurten pour mettre fin à la résistance impériale, mais Krausse a envie d’en découdre le plus rapidement possible et cherche la moindre occasion de pousser le président à ordonner l’attaque. Il a même organisé un faux attentat contre ce dernier. Et finalement Krausse obtient gain de cause et peut lancer le siège. 435.M40 Une guerre d’usure se met en place sur Krieg, les forces de Krausse bombardent la ruche Ferrograd mais ne donnent pas l’assaut, le président continue de freiner les envies sanguinaires de son général. Mais deux décisions vont sceller le destin de la planète : Jurten envoie sa fille et un petit commando pour tuer le président, Jurten étant persuadé que c’est lui qui dirige tout. L’assassinat réussit ce qui laisse les mains libres à Krausse pour déclencher toute la fureur de l’armée de Krieg sur Ferrograd. L’Archimagos Greel n’a pas été tout a fait honnête avec Jurten, il l’aide à défendre Ferrograd mais il fait surtout des recherches pour retrouver une crypte scellée par le Mechanicus à l’époque de la grande croisade. Par édit impérial, toutes les armes interdites datant de l’Age des ténèbres devaient être détruites et celles ne pouvant être détruites devaient être murées, et justement il existe une de ces cryptes sous la ruche Ferrograd. 437.M40 Après presque 4 ans de guerre, la situation des loyalistes est devenue intenable, la ruche Ferrograd est une ruine et les dernières forces loyalistes se sont enterrées profondément sous la surface où elles continuent le combat. Jurten a bien conscience que la guerre est perdue et Greel le pousse à utiliser les armes qu’ils ont trouvées dans la crypte. Certains membres de l’armée de Jurten vont vouloir s’y opposer (parmi eux son plus proche collaborateur Ionas) mais Jurten les fera exécuter et déclenchera le feu atomique sur Krieg en n'en faisant qu'un monde mort… Le général Krausse devant le désastre décide de mettre fin à ses jours… 444.M40 Presque dix ans après le feu atomique, l’armée de Jurten remonte à la surface pour partir à la conquête de son monde, ça ne sera pas facile et ça prendra encore des dizaines d’années pour tuer les mutants et les dernières poches de résistance, et Jurten ne verra jamais cette victoire. Il lui restait une décision à prendre, une décision qui le révoltait mais qu’il savait devoir prendre. Dans la crypte scellée avec les armes atomiques il y avait autre chose… La matrice vitae, permettant de créer des humains en cuve, comme on créerait des servitor mais en bien pire, l’Empereur avait interdit cette technologie. Jurten, pour assurer la victoire impériale et pour ne pas laisser à quelqu’un d’autre le poids de cette décision, a donné l’autorisation à Greel d’utiliser cette technologie. 949.M40 Après plus de 500 ans de guerre, les impériaux ont enfin triomphé et ont envoyé un message pour rejoindre l’Imperium.Mais un monde mort n’intéresse pas vraiment l’imperium… Une délégation a quand même été envoyée pour voir ce que Krieg avait à offrir. Et les milliers d’hommes et de régiments ont fini par convaincre les impériaux. Bien sûr l’ordo hereticus se souvenait de Krieg et l’inquisitrice Larreth a mené une enquête sur la planète. Personne ne sait ce qu’elle a trouvé à part l’inquisition, et Krieg a rejoint l’imperium. Ruche Arathron Ère Indomitus après la grande déchirure L’inquisiteur de l’ordo hereticus Ven Bruin était en mission dans la ruche Arathron quand le vaisseau Orc s'est écrasé sur les étages supérieurs, amenant la guerre sur la planète. Les maigres forces de défense planétaire n’ont rien pu faire, les restes d’un régiment de Cadian présent sur la planète avait bien offert une petite résistance mais la ruche a du être abandonnée à son sort et aux Orcs. Un régiment de la Death Korps de Krieg avait été dépêché sur place pour reprendre la ruche mais la tâche allait être compliquée. La Death Korps a toujours été réputée pour être spécialisée dans les sièges de longue durée et ils se sont installés pour progresser vers la ruche lentement et méthodiquement. Mais Ven Bruin ne pouvait pas laisser le temps à l’Orc, la ruche abritait un terrible secret et il ne fallait pas que les Orcs mettent la main dessus. Après en avoir parlé avec le colonel du régiment de Krieg, une petite équipe dirigée par Ven Bruin s’est introduite dans la ville pour accomplir une mission secrète. Des années auparavant, le gouverneur de la planète avait découvert une cache du mechanicus sur la planète, avec des plans d’une arme très ancienne… Il avait fini par se laisser convaincre par un hérétek que l’Imperium ne pourrait pas toujours sauver sa planète et que construire cette arme était le seul moyen d’être en sécurité. L’ordo Hereticus l’avait appris et après une longue enquête Ven Bruin avait évincé l’ancien gouverneur pour le remplacer mais il n’a pas eu le temps d’évacuer les ogives nucléaire avant l’arrivée des Orcs. Le seul moyen d’empêcher les Orcs de prendre possession des armes était de les faire exploser et de sacrifier la ruche… Après avoir trouvé la localisation des armes et être sûr qu’elles étaient en état de marche, un des hommes de l’équipe de Ven Bruin était resté sur place pour les faire exploser si les Orcs s’en approchaient et le reste de l’équipe avait fui le plus loin possible. Encore une fois, un fanatique impérial venant de Krieg allait utiliser l’arme atomique pour gagner une guerre, mais cette fois la version officielle en ferait porter la responsabilité aux Orcs. Ère Indomitus 30 ans plus tard Ven Bruin était resté avec les régiments de Krieg, il avait voulu enquêter pour voir si rien n’avait changé depuis 500 ans et le rapport de Larreth, et il était arrivé à la même conclusion qu’à l’époque. Les ancêtres de Krieg ont pris des décisions fâcheuses mais l’apport en troupes conditionnées pour ne pas avoir peur, pour ne pas douter et pour mourir au nom de l’empereur est tellement important qu’il faut parfois savoir fermer les yeux et cacher certaines vérités. Et heureusement l’inquisition sait très bien le faire. 3 : Personnages : Révélation Colonel Jurten, commandant du 83ème régiment de Krieg : c’est un fidèle serviteur de l’Empereur, fidèle jusqu’au fanatisme. C’est lui qui va dénoncer sa planète comme hérétique et finira par la détruire sous le feu atomique. Bien aidé il est vrai par les manigances de l’Archimagos Greel. L’endoctrinement impérial est tel qu’il n’a pas su faire la différence entre une envie de liberté et une hérésie chaotique (pour l’Imperium, ne pas vouloir servir c’est être un suppôt du chaos). Il va faire son devoir jusqu’au bout, menant la guerre jusqu’à la limite du possible et finissant par décider de transformer son monde en monde mort pour empêcher la victoire adverse. Archimagos Greel : il s’est rapproché du 83ème régiment de Krieg lors d’une guerre quelconque et ne l’a plus jamais quitté. Jurten pense que Greel a toujours eu pour objectif de retrouver la cache d’arme du mechanicus sur Krieg et que c’est pour ça qu’il s’est rapproché d’un régiment de Krieg. Il va être une des pièces maîtresses de Jurten dans sa guerre contre les indépendantistes. Greel va relocaliser la production de la ruche Ferrograd dans les cryptes sous la ville et va même concevoir de nouvelles armes et de nouveaux modèles d’armements existants (il se rapproche de l’hérétique qui, 1000 ans plus tard, va construire des armes atomiques sur Arathron). C’est lui qui va faire mourir Krieg avec le feu atomique et c’est lui aussi qui va sauver l’avenir de la planète (enfin si on pense que vivre pour mourir pour l’Empereur soit une existence enviable bien sûr) en mettant en place la matrice vitae pour fournir des millions d’hommes à l’effort de guerre. Ionas : c’est l’aide de camp de Jurten. Il lui a toujours été fidèle. Mais il finit par le trahir devant l’horreur d’utiliser des armes interdites. Il décide alors de négocier avec le général Krausse mais ce dernier reste intraitable car il pense avoir gagné la guerre. Il ne prêtera pas foi aux avertissements d’Ionas qui le supplie de ne pas placer Jurten dans une position qui l’oblige à utiliser l’arme atomique. Steve Lyons a sûrement choisi le nom de Ionas en rapport avec le Jonas de la bible (en tout cas il joue à peu prés le même rôle), sauf que là, dieu n’est pas miséricordieux… Le président : Steve Lyons joue à fond la carte de l’inquisition avec ce personnage effacé des annales historiques par l’inquisition. Pas une seule fois dans le roman on ne va connaître son nom. Ça sera toujours le président. Pourtant, même si c’est la figure de proue de l’indépendance, il ne la voulait pas vraiment. Il a repoussé plusieurs fois la chose. Il finit par se laisser convaincre par le général Krausse. Il finira assassiné par la propre fille du colonel Jurten. Général Krausse : Il a commandé un régiment de Krieg avant d’être grièvement blessé et de devenir le conseiller à la défense du président de Krieg. C’est l'un des plus farouches partisans de l’indépendance et il va tout faire pour pousser le président à prendre cette décision. Mais tout comme le président, il n’a pas compris ce que ça impliquait d’entrer en rébellion contre l’Imperium. Jusqu’au bout il croit en la victoire et ne tient pas compte des avertissements et de la possible destruction de la planète qui pourrait avoir lieu si Jurten ne voit pas d’autre solution. Il finira par se suicider après avoir vue Krieg mourir. L’histoire déformera les circonstances de sa mort. Pour ses partisans, il est inconcevable qu’il ait abandonné la lutte et se soit donné la mort, il a été assassiné. Et pour l’Imperium, il vaut mieux aussi qu’un assassin ait fait le boulot plutôt que d’admettre que leur ennemi n’était pas un monstre et qu’il s’est trouvé choqué par la destruction de sa planète alors que les forces impériales ont trouvé ça normal. 4 : L’inquisition Révélation Depuis le début de l’histoire de la planète Krieg l’inquisition est impliquée dans les événements. Surtout la branche de l’Ordo Hereticus en fait. Cette branche spécialisée dans l’extermination des hérétiques et l’anéantissement de toute tentative de soulèvement. L’inquisiteur Rectilus est le premier à être impliqué. Il a interrogé le colonel Jurten et il a reconnu qu’il se passait quelque chose sur Krieg. Il a renvoyé Jurten sur sa planète en lui disant que l’inquisition ne pouvait pas intervenir sans déclencher une guerre et que s’il arrivait à éteindre les envies de révoltes sans déclencher de guerre il fallait tenter quelque chose. Seulement quand les choses ont mal tourné et que la guerre est devenue inévitable, l’inquisition n’est pas intervenue et a laissé Jurten et son régiment seul face à une planète révoltée. L’inquisitrice Larreth a été envoyée sur Krieg 500 ans plus tard quand les forces fidèles à l’empereur ont repris contact avec l’Imperium. Elle a été envoyée pour être sûrs que ce n’était pas une ruse du grand ennemi. L’inquisition ne s’est pas opposée au retour de Krieg dans l’Imperium par contre son rapport est resté secret. Elle s’est rendue sur la planète et les radiations ont fini par la tuer, mais, avant cela, elle a appris le secret de la Death Korps de Krieg. Mais elle a considéré que l’utilisation d’une technologie interdite était peu de choses par rapport au bénéfice pour l’Imperium de disposer d’une armée parfaitement entraînée, parfaitement conditionnée et aux effectifs virtuellement inépuisables. L’inquisiteur Ven Bruin va croiser la route d’un régiment de Krieg prés de 1000 ans plus tard. Lui aussi va arriver à la même conclusion que Larreth mais il s’inquiète du fait que certains membres de l’inquisition pourraient vouloir fouiller du coté de Krieg et ne pas arriver à la même conclusion que lui. 5 : Conclusion : Dans cette conclusion, je vais parler de ce livre mais aussi des nouvelles que Lyons a écrites et des autres œuvres sur la Death Korps. Steve Lyons nous livre un très bon livre sur Krieg. Je dois avouer que je ne m’étais jamais trop intéressé à la Death Korps de Krieg, ce que j’en avais lu sur le net et le stéréotype généré ne m’attiraient pas vraiment. Comme beaucoup, j’ai fait l’erreur de regarder juste la partie déformée de l’histoire qui transpirait sur le net… A la sortie de ce roman je me suis dit que je devais lire le reste pour me faire une idée et on est très loin des polémiques que l’on voit fleurir partout. Mais revenons au livre : Krieg nous raconte la véritable histoire de la planète et les petites rectifications faites par l’inquisition. Il n’y a jamais eu d’hérésie sur Krieg c’est juste une planète étouffée par la dîme impériale qui voulait retrouver son indépendance et qui a été broyée par le fanatisme impérial. L’inquisition a un peu changé l’histoire pour que l’Imperium ait le meilleur rôle. D’ailleurs, il est intéressant de noter que dans les écrits de Lyons, l’Imperium montre en exemple le fanatisme et la loyauté à toute épreuve de la Death Korps alors qu’en même temps, Lyons montre les mauvais cotés impériaux et montre bien que rien n’est bon dans ce qui s’est passé. Un peu comme s’il expliquait que c’est une histoire mais qu’il ne cautionne pas le totalitarisme, c’est juste un roman. Autre chose d’assez intéressante dans ce roman c’est la passation de pouvoir qu’il y’a entre Cadia et Krieg. Le régiment de Cadia laisse petit à petit la place à celui de Krieg et même certains Cadiens en viennent à se dire que les régiments de Krieg sont peut être aussi bons qu’eux. Si GW a un peu de cohérence, le futur codex garde impériale devrait tourner autour de Krieg et placer les Cadiens au second plan. Ce roman donne surtout une véritable histoire aux régiments de Krieg et au final je suis plutôt content de l’avoir lu. 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gilian Posté(e) le 7 août 2022 Auteur Partager Posté(e) le 7 août 2022 Grosse sortie pour une fois avec 2 romans et 3 nouvelles. Après avoir lu Krieg j'ai été surpris et je me suis dit qu'il fallait que je lise le reste. Quand on parle de KRieg en général c'est pour dire que GW joue avec le feu... Alors que comme souvent si on lit les livres, on voit ça différemment... Oui Steve Lyons montre le mauvais coté de l'imperium et oui dans le 40eme millénaire ce mauvais coté et le bon mais si on réfléchi en lisant et surtout si on lit bien tout on voit que pour les personnages qui pensent par eux même c'est vraiment pas une bonne idée^^. Pas sur d’être vraiment claire^^ mais au final l'impérium est un état totalitarisme et pour lui les hommes de Krieg sont un mal nécessaire mais ça reste de la fiction Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Red Qafe Posté(e) le 9 août 2022 Partager Posté(e) le 9 août 2022 Merci pour ces résumés, c'est super intéressant. Je n'ai pas encore lu Krieg, et oui mes connaissances les concernant se limitent au dernier Kill Team et aux memes sur Internet (qui les présentent toujours armés de pelles) Steve Lyons semble faire un travail peu manichéen, montrant les côtés officiels et la réalité moins jolie concernant Krieg, son histoire et ses régiments. Je constate que pour aucune des histoires il n'y a de soldat mentionné individuellement... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Krinvitz Posté(e) le 9 août 2022 Partager Posté(e) le 9 août 2022 (modifié) A supprimer Modifié le 2 novembre 2023 par Krinvitz Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Red Qafe Posté(e) le 9 août 2022 Partager Posté(e) le 9 août 2022 Il y a 13 heures, Krinvitz a dit : Merci pour ces reviews Gilian ! Je pense que le problème inhérent aux romans sur la Garde Impériale est de souffrir de la comparaison avec le travail d’Abnett sur ses fantômes. En particulier (car l’auteur a aussi ses défauts) le traitement des personnages et l’attachement que l’on peut ressentir pour eux. De ce que je comprend M. Lyons ne part pas sur un roman de personnages mais sur un autre style, dont je crains qu’il ne me convienne pas. Comme pour beaucoup d’autres sorties je pense attendre de tomber dessus en occasion pour le lire sans investir trop ! Eh bien pas forcément... On a bien des romans de Ciaphas Cain, tous ne sont pas directement sur la Garde (il n'est pas toujours assigné à un régiment) On a celui sur Severina Raine. On a ceux sur les Cadiens. On a même un roman qui est en partie Garde et en partie Marines contre Chaos. Alors oui, certains sont immanquablement comparés aux Gaunt mais c'est pas systématique, l'objectif et le style n'est pas le même. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gilian Posté(e) le 9 août 2022 Auteur Partager Posté(e) le 9 août 2022 Pour Steve Lyons c'est vraiment spécifique a ces romans sur Krieg, le fait qu'il ait totalement déshumanisé les régiments. A la limite certain personnage ont des numéro et le colonel a toujours le même nom mais c'est tout. Pour moi le soucis de la garde c'est qu'il y'a peut d'auteur qui se sont permis ce que c'est permis Abnett. S’affranchir du fait que les régiments doivent mourir a tour de bras et créer des histoires avec des personnages. Justin D. Hill le fait remarqué dans Traitor Rock, alors je sais pas si il le fait exprès ou pas mais le général fait la différence entre le tout venant qui va mourir par millions et les régiments nommées qui auront une plus grande durée de vie^^. Aprés ça change depuis quelques années et on arrive a avoir de bon truc. Severina Raine, le cycle Cadien (même si Hill commence a faire n'importe quoi)... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Krinvitz Posté(e) le 10 août 2022 Partager Posté(e) le 10 août 2022 (modifié) A supprimer Modifié le 2 novembre 2023 par Krinvitz Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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