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Futur Choix des Armes ?


Umbre Tombétoile

Messages recommandés

Bonjour à tous,

 

J'ai bien envie de proposer un Choix des Armes de format moyen (6 mois) quand l'ouverture des sujets préliminaires sera faite.

En attendant je souhaiterais vous proposer le fluff et embarquer avec moi des membres dans cette aventure.

Nous pourrons discuter et construire ce CdA avec vos avis et remarques.

L'objectif serait de collectionner et peindre une force de cavalerie avec au moins 6 figurines + une figurine de leader monté, gamme GW, jeu AOS, avec conversions possibles et autres idées qui germeront.

 

Voici donc le fluff et c'est parti pour les échanges si vous êtes motivés :

 

 

 

La Lame vomie de Ghur

 

Les éclaireurs, les espions, les sorciers, les hérauts, toutes les races murmurent désormais, tous ont eu vent, en leur temps, de ce qui s’est passé.

On raconte qu’à l’occasion d’un long voyage un humain aurait découvert, luisant sous l’eau d’un marais, un vieil objet recouvert de sa gangue de vase.

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Il entra dans l’eau, fit quelques pas dans ce cloaque puant et visqueux, envahi de mouches, et sortit un amalgame de métal, de végétaux en décomposition et de boue poisseuse.

Il remua l’objet dans l’eau pour le débarrasser de la plus grande partie des immondices, frotta un peu et découvrit de quel métal était fait cet objet, très certainement une épée, qui avait quand même perdu beaucoup de superbe mais somme toute de très belle facture. Il la cacha dans les fontes de son cheval et reprit sa route.

Chaque soir il l’observait à la lumière du feu, quelques belles pierres étaient encore serties, d’autres avaient disparu, le métal luisait de ses formes végétales de fleur de lys. Les flammes faisaient danser les reflets dorés et argentés. La pièce d’orfèvrerie de la garde était magnifique, abîmée, mais selon lui un homme du métier, ou peut-être un artisan duardin, pourrait lui redonner sa superbe. Malgré la forte envie de posséder une telle arme restaurée, il prit la décision de la faire fondre. Trop voyante, attirant trop la convoitise, il risquait bien plus à l’arborer qu’à la vendre pour le poids de l’or.

Il l’observait et prenait soin tous les soirs de la débarrasser de ses impuretés, patiemment, à l’intérieur de toutes les ciselures. Dommage de détruire un tel travail mais l’or et les pierres étaient bien plus faciles à conserver ou servir de monnaie une fois fondu et desserties que sous forme d’une antique épée.

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Un soir, à deux jours de cheval de sa destination, il se sentit observé dans le noir.

Il cacha prestement son bel objet sous son manteau de monte. Inquiet, il décida de partir tout de suite, prenant le risque de chevaucher de nuit mais il était hors de question de rester plus de temps que nécessaire sur ce bivouac.

 

Il entra dans sa cité, fatigué de la chevauchée, n’espérant que de s’offrir un bain chaud, un repas copieux et un lit bien rembourré.

Difficile de cacher éternellement un tel objet, d’autant qu’il rayonnait légèrement d’activité, de quoi se faire repérer à des lieues mais il ne le soupçonnait pas. Seuls les êtres sensibles à certaines formes de pouvoirs auraient pu le sentir. Lui non.

Ce qui devait arriver arriva. La milice trouva le cadavre égorgé d’un voyageur dans une venelle, dépouillé de tout ce qui pouvait représenter de la valeur. Coutumière du fait, la milice fit brûler le corps sans autre forme de procès.

 

Un mois plus tard, dans la cité, les nobles et autres personnages de haut rang reparlèrent d’une épée fortuitement découverte et il semblerait qu’elle soit une antiquité d’un autre temps, une autre époque. Les métaux utilisés étaient connus, la forge de l’acier assez commune mais les motifs sculptés n’étaient dans les esprits qu’à l’occasion de contes et de chants d’une époque lointaine, intouchable et légendaire. Les techniques de sertissage des gemmes restantes étaient sommaires mais le métal tout de même ciselé. Les uns croyaient en une arme d’apparat, les autres, plus versés dans l’art du combat, en une véritable arme tout à fait fonctionnelle. L’un des nobles n’avait pas pu s’empêcher de la brandir devant l’assemblée et chacun remarqua l’effet immédiat : la voix du noble portait bien plus, fouaillait les esprits aussi bien que les entrailles. Il donnait une forte impression de charisme, de chaleur et de courage. Certains froncèrent les sourcils, d’autres esquissèrent des regards dissimulés vers les voisins pour sonder les expressions de visage, enfin une majeure partie des gens étaient complètement happés par le charisme projeté comme une tempête par le porteur.

Enfin elle fût plus tard identifiée par un mage après des jours et des jours de recherches et de réflexion. Il s’agissait d’une épée d’un ancien royaume, bien avant l’âge des Mythes et du Chaos. La lame d’un antique humain, chevalier semble-t-il en considérant la longueur de l’épée, venait d’être rejetée du ventre de Ghur.

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Le Dieu-Roi Sigmar fit entendre qu’il souhaitait la rendre à son propriétaire et en réclamait la possession. Personne ne comprit car tout le monde imaginait bien que la personne à qui l’épée appartenait de son vivant ne pouvait plus la porter depuis bien longtemps.

Mais soit, elle serait apportée au Fort de l’Orage.

Une colonne de cavaliers quitta la cité pour emporter l’objet vers sa nouvelle destination. Une telle formation en plein jour était loin d’être discrète mais avait l’avantage de la rapidité. Quinze cavaliers chevauchèrent donc à deux de front et à bon rythme, suffisant pour progresser rapidement sans épuiser trop vite les montures et permettant de ne pas s’arrêter avant la nuit en ménageant des périodes au pas ou au petit trot. Ils franchirent des cols, traversèrent à gué des cours d’eau, lancèrent de grandes chevauchées sur les plaines. Ils étaient magnifiques, soulevaient la poussière dans un vacarme d’acier et de chocs sourds de sabots frappant la terre, fauchant quelques créatures qui tentaient de leur barrer la route sans s’arrêter. Une force puissante, inexorable, rayonnante, émanait de ces quinze hommes qui progressaient vers leur destination avec une volonté d’acier.

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Les différentes races étaient au fait, non pas de la nature de l’objet mais de son rayonnement, et s’étaient préparées. Certains chevauchaient depuis plusieurs semaines déjà et n’avaient pas encore aperçu les humains en convoi, d’autres suivaient le plus discrètement possible profitant du vacarme des chevaux et d’autres encore s’étaient positionnés plus loin dans les directions possibles qu’emprunteraient les humains.

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Il était difficile de ne pas comprendre ni même sentir qu’ils étaient épiés car certains chasseurs aperçurent d’autres chasseurs, des éclaireurs revenaient informer leurs maîtres. La colonne de cavalier était pistée. Les êtres sensibles à la magie de la lame transportée ressentaient aussi clairement la présence d’autres de leurs semblables. Une convergence s’opérait.

 

La force, autant que la rapidité, serait un atout non négligeable si les chasseurs souhaitaient atteindre leur but. Certains seront une aide, d’autres non.

Modifié par Umbre Tombétoile
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Salut Umbre,

 

Je serais bien partant pour un CDA moyen, et ça fait longtemps que je n'ai pas peint du cavalier en masse, ça me manque 🙂

Une petite force de chevaliers bretonniens serait-elle acceptée ? Ce n'est pas vraiment AoS après tout... Mais comme le monde est assez large on doit pouvoir s'arranger avec du fluff adapté ^^

 

J'espère que ce projet retiendra l'attention !

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Hello Umbre ! 

Alors, pour ma part, j'attendais un potentiel CDA court,

Car un moyen ou long (qui serait donc à sa fin vers juin), risque de ne pas matcher avec un déménagement grandement prévu pour cette période...

Ceci dit, cette idée de cavaliers m'intéresse également, et tout comme mon VDD @Van der Schmoll, les Bretonniens me bottent évidemment fortement pour plusieurs raisons

 - La 1e faction de AOS que je prévoit d'attaquer sera plutôt des Karadron... et je ne vois pas de cavalerie là dedans (envie de changer de style...)

 - La 2e : Baaah les Bretos, je suis en plein de dedans au vu de mon sujet de Montfort du moment, ca pourrait bien coller !

 - Et puis bah...les bretos quoi... what else ? une bonne unité de 6 du royaume / quête / sur pégase, ben c'est la classe et pui cay too ! 

 

J'attends de voir ce développement fort prometteurs et voir ce qui se présente pour moi en Irl prochainement pour suivre ou pas.

 

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Etant donné que l'épée est breto, je pense que des bretos sont acceptés et ça ajoutera un peu de fluff original à AOS. Pourquoi les bretos se sont fait sortir ???? Mystère... Qu'ils reviennent !

 

Une évocation de la Bretonnie est donc possible à mon sens.

Modifié par Umbre Tombétoile
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Bon avant que je finalise le CdA j’ai une question pour ceux que ça intéresse :

 

Pour peindre 4 à 10 figs de cavalerie et un leader monté j’avais envisagé 6 mois pour laisser le temps. Potentiellement je peux faire ça en moins de 3 mois.

Je présenterais 9 Goregruntas (3x3) et 1 Megaboss sur Mawkrusha.

 

Du coup on partirait sur un CdA moyen (6 mois) ou un CdA court (3 mois) ?

 

A vous

Modifié par Umbre Tombétoile
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Comme évoqué en section CDA par d'autres, le cadre me semble un peu trop restreint : AoS et 6 cavaliers plus un seigneur monté. Ouvrir à d'autres univers et à d'autres formes de composition serait un plus à mon sens. Dans mon armée chaotique je n'ai pas les 7 pièces de cavalerie minimum prévu dans ta proposition par exemple. Et la nécessité de s'inscrire dans l'univers va nettement réduire les candidats possibles.

 

Pour autant j'aime beaucoup ce que tu proposes comme cda, et les Joyeux Bubons sévissant en Ghur, ils seront ravis de venir répandre la joie et le bonheur du Grad Père.

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  • 3 semaines après...

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