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La confrérie de l'ombre


Inxi-Huinzi

Messages recommandés

Il leva le pied, le reposa, et d’une flexion attaqua la marche suivante.

Tu sais, le lecteur sait comment on s'y prend pour monter des marches. ^_^ (lol)

Bon, ben c'est pas mal! :wink: J'aime bien le scénario!...Dis moi, tu connais les Chroniques de Krondor? Parce que sinon, c'est un cycle de tomes qui pourraient te donner pleins d'idées. Mais de toute façon tu ne sembles pas en manquer! :)

Pour la critique, eh bien je peux faire les mêmes commentaires que pour le chapitre 1...Relis toi! :D ...Et continues! ^_^

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Pas maaaaal ! :)

J'aime bien, un petit peu de suspens ici.

Des petites fautes par-çi par-là, comme tout le monde, n'est-ce pas? :wink:

Il y a des petits trucs à relire, à mieux réfléchir.

Au final pour le moment, continue ! ( en Tylza, ça veut dire " j'aime bien ! ")

Tylza :D

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Ca s'annonce plutot pas mal; tout ca.

Question longueur, c'est nickel! Ca se lit sans effort et c'est suffisemment long pour bien rentrer dans l'histoire.

Le rebondissement final m'a complètement surpris. Même si c'était logique, tu as suffisement bien manoeuvré pour nous le faire oublier.

Par rapport à mes précédentes remarques, c'est mieux. Il y a encore un côté appliqué à tout cela, un peu dans les descriptions aussi, mais tu sembles avoir compris l'idée.

Bon, il reste des trucs un peu trop contemporains (le éa plus", le côté "mission impossible" big brother". Mais je l'ai déjà dit, c'est un peu ce qui rend le côté si ludique de ton histoire.

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Invité mingui

Bravo :wink::):D

C'est genial ce que tu nous fait la!!

Je suis completement dans l'histoire et tu as su garder un bon suspence dans ton histoire(Surtout avec la phrase de la fin)

Il me semble juste que tu as oublier le mot heure ici :

Il se réveilla après douze de sommeil

Voila mais a part ca c'est du tout bon.

_/Mingui\_

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Allez, pour une fois, je vais faire court (j'ai beaucoup écris et suis un peu fatigué...).

En fait, j'ai put repérer quelque erreurs entre orthographe et grammaire, mais, et j'en suis désolé, je n'ai pas vraiment la force d'aller les repêcher (j'ai sauté les erreurs, vu qu'elles ne sont pas nombreuses et que le texte est prenant.).

Sinon, niveau histoire, et bien... ça avance bien. Le suspens est là, on a de tout, bref, du bon.

Reste que je ne peux que te conseiller de faire très attention à tes figures de style...:

Ils essayaient à tout prix de vendre leur camelote, comment pouvaient-ils croire que quelqu’un allait acheter une de leurs babioles. Il traversa la rue pour se mettre dans l’ombre des bâtisses.

l'intention est louable, mais, à la fin, ça donne un drôle de truc. Je ne vais malheureusement pas prendre le temps de tout ressortir, mais je pense que, vu qu'il n'y a pas vraiment beaucoup à corriger, tu devrais pouvoir le faire ne une relecture.

Bref, en fait, pour résumer, tu t'essaie à complexifier ta langue et, dans l'entrain, tu fais quelques fautes. Rien que de très normal. Continue à essayer, car, si tu as fait des fautes (rares), le reste est vraiment bien.

Imperator, qui a bien apprécié!

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Très bon ! Une bonne mentalité de voleur, bien retranscrite par les nombreuses allusions (notamment quand il se remet à réfléchir à comment braquer la baraque, alors qu'il attend un contact !).

Une très bonne intrigue, très bien posée qui monte en puissance avec les système de lettres anonymes, et la rencontre avec le commanditaire !

Bref, un bon texte. De bons passages surtout celui-ci, qui m'a agréablement surpris

A grande vitesse, il vint se briser contre les murailles. Mais il n’était pas totalement arrêté, une partie de ce qui le composait s’engouffra dans la ville et suivit les couloirs formés par les rues. Enriq se trouvait dans l’une de ces rues. Il vint s’écraser contre son visage dans un choc effroyable. Il dut s’enfoncer encore plus dans sa cape.

Pour l'esprit, on sent tout a fait le coté voleur, j'imagines que l'assassin vient après ?

Korelion

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Chapitre III

- Allez avance ! Reste pas là ! On à discuter tout les deux…

- Où va-t-on ?

- Je m’en fout, tant qu’il y a personne…

- Bien…

Ils traversèrent la rue principale de la ville. Ils durent s’arrêter plusieurs fois à cause des passages incessants de carrosses. Enriq faillit même se faire renverser.

- Hey, va pas mourir ! Réserve moi ce plaisir ! Ajouta le vrai Enriq.

Notre jeune ami stressait vraiment. Une goutte descendit le long de son dos et il sentit qu’elle fut ensuite arrêtée par la lame de son agresseur. Il respira un grand coup et traversa la rue. Après de nombreuses esquives et en évitant soigneusement de montrer que l’un était l’otage de l’autre, ils purent mettre le pied sur le trottoir. Le souffle de son agresseur ne léchant plus sa nuque, Enriq supposa qu’il avait tourné la tête. Il se retourna et sortit sa dague, d’un coup sec il lui planta dans l’épaule. Le vrai Enriq dut lâcher sa lame et cria de douleur. Notre héros lui balança un coup de pied dans l’estomac et prit la fuite.

Allez, plus vite ! Il part à notre poursuite ! Essaie la voie sur ta droite ! Ouf ce n’est pas une impasse… La porte sur ta droite !

- Elle est fermée !

Pas grave ! Défonce là !

- Je n’y arriverai jamais !

C’est ta vie qui est en jeu ! Allez grouille toi !

Il prit de l’élan et, épaule en avant, fractura la porte au moment où l’homme arrivait au coin de la rue. Il rentra dans la maison sous les cris étonnés des gens qui étaient à l’intérieur.

Essaye la porte sur ta gauche ! Vite il est entré aussi ! Une chambre ? La fenêtre !

- C’est trop haut ! Bon allez une, deux et trois ! Il sauta et s’écrasa au sol dans un petit crack.

Allez c’est pas le moment de se casser quelque chose ! Relève-toi ! Bon il faut qu’il redescende, profitons en pour s’en aller !

Il repartit tout en boitant. Ca lui faisait un mal de chien. Il peinait pour avancer mais il le devait. S’arrêter était synonyme de mort…

Ca y est le revoilà ! Oh lala il nous rattrape… Il est pas content ! Je crois que tu lui as fait vraiment mal avec ta dague. Bon on a un peu d’avance mais il faut pas traîner… Rentre dans la taverne. Allez cache toi derrière ce mur, s’il entre il ne te verra pas.

L’homme rentra quelques secondes après. Il s’arrêta, la blessure le faisait atrocement souffrir. Il jeta un regard dans la taverne mais ne vit pas le blessé. Il monta rapidement à l’étage.

Allez ! C’est le moment ! Fuions !

Il sortir le plus rapidement possible et prit au nord, c’est à dire en face de la rue par laquelle il venait d’arriver. Et se demanda ce qu’il devait faire maintenant. Il devait rentrer à la guilde, c’est sûr mais pour faire quoi après ? Il verrait une fois sur place, le but maintenant était d’aller le plus possible du tueur. Un grand cri retentit loin derrière lui et lui rappela qu’il était loin d’avoir gagné la partie. Il rattrapa un groupe de garde et resta dans son sillage. Il espérait que ça le découragerait. Un des gardes se retourna vers lui.

- Tout va comme vous voulez.

Non ca va pas ! On a un tueur au trousse !

- Oui, oui ca peut aller. J’ai du me fouler la cheville.

- Voulez-vous de l’aide ?

- Oui avec plaisir.

- Nous pouvons vous accompagner jusqu’au centre ville si vous le voulez

- D’accord cela suffira. Il se laissa attraper par les gardes qui le maintinrent par les aisselles. Il jeta un regard dans son dos pour voir que le vrai Enriq n’était plus là. Il allait pouvoir souffler un peu.

Hooo ! Ne te repose pas sur tes lauriers ! Il ne t’a pas eu aujourd’hui il t’aura demain !

Il savait qu’elle avait raison mais que pouvait-il faire ? Il savait que ses prouesses martiales n’etaient pas de taille face à celle de son adversaire. S’il l’affrontait directement il allait mourir.

Pourtant tu l’as blessé à l’épaule. Tu as peut être une chance…

Il se dit que tant qu’il le pouvait, il essayerai d’éviter toute confrontation. Les gardes le tirèrent de ses pensées et lui souhaitèrent bonne chance pour rentrer jusqu’à chez lui. Il en avait besoin de la chance car il devait traverser une nouvelle fois cette grande rue.

Déjà que c’est dur en bon état de santé alors toi qui boites…

Après quelques minutes, il finit quand même par trouver la brèche et put regagner le trottoir.

- Tu croyais que tu allais m’échapper ! Pauvre crétin ! Je suis un tueur ! Ma proie ne s’échappe jamais ! Tu vas me le payer pauvre brigand de pacotille ! Le tueur était au milieu de la rue et la peur fit rater la marche à Enriq qui s’effondra au sol. Il essaya de reculer à quatre pattes mais il s’arrêta, lutter pour quoi ? Cela résoudrait ses problèmes.

- Alors on fait moins le malin ? Je vais te tuer ! Et l’or sera à moi ! Il n’était plus qu’à un mètre désormais. Sa respiration était plus celui d’un taureau qui va charger que celle d’un humain. Il avait envie de pleurer et de le supplier. Il ferma les yeux et attendit le contact de sa lame et de son corps.

- Attention ! Fut la parole qui l’entendit. Ensuite un cri suivit d’une agitation. Il se risqua à ouvrir les yeux et regarda. Le tueur était à cinq mètre de lui, au sol et dans un sale état. Il avait été percuté de plein fouet et il n’avait eu aucune chance. Il avait du être touché à la tête car une mare de sang s’était vite formée sous celle-ci. Il le regarda sans la moindre once de compassion. Il eut presque envie de le dépouiller si les soldats n’étaient pas arrivés.

- Que c’est-il passé ? Demandèrent-ils.

- Il a traversé sans regarder et je l’ai percuté de plein fouet… Je n’ai rien pu faire…

- C’est pas grave ! Regardez les mecs ! Dit un soldat à l’aspect bourru. Sa bague, c’était un voleur.. Vous nous avez rendu un fier service citoyen ! Ajouta-il en lui serrant la main.

- Euh… Merci ! Dit celui-ci confus entre la joie d’avoir rendu service et le choc d’avoir tué un homme.

Finalement cet épisode bien qu’après une longue sieste avait complètement épuisé et meurtri Enriq. Il se traîna une fois de plus jusqu’à la guilde. Il prit la porte en face de sa chambre et se mit en quête de se nettoyer. Ceci fait, il s’attaqua à sa cheville… Celle-ci était bien foulée mais pas cassée. Il s’allongea dans son lit et s’assoupit une nouvelle fois. Quand il se réveilla, il passa sa journée à diverses affaires mais le temps passait vite. Quand il reprit contact avec la réalité on était à l’aube de l'assassinat...

@+

-= Inxi =-

Modifié par Inxi-Huinzi
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Pas mal, le rythme est assez bien tenu, surtout pendant la poursuite ! On sent bien l'angoisse du voleur, notamment quand il se parle à lui même !

Bon, ben la suite hein

Korelion, ha si, je me la gardais pour moi celle-là

on était à l’aube du troisième jour…..

A l'aube du sixième jour non? :)

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Invité Feurnard

Euh... j'ai l'impression d'avoir loupé une partie. D'abord, c'est un commanditaire dans l'église et le texte suivant, il se transforme en le vrai Enriq... que se passe-t-il, docteur ?

Bon, à vous de numéroter les fautes par ordre alphabétique. Il y en a mais c'est sans importance. Je souligne l'utilisation de la petite voix dans sa tête pour nous décrire les actions. Vraiment prenant. Le texte en lui-même ne comporte pas de défaut suffisant pour que je veuille les relever.

Pour le moment, je suis vraiment occupé par ce personnage à personnalité double... il y a vraiment quelque chose qui cloche.

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Invité Feurnard

Oui, cela passe mieux.

Mes excuses, je n'avais pas vu l'edit. Evidemment, ça reprend tout son sens.

Rien de plus à dire, malheureusement. La fatigue, sans doute.

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Pas grand chose à dire. Mais en tout cas :

sans la moindre once de compassion

ne dit-on pas "compation"?

Et puis, il me semble qu'il y a encore d'autres fautes assez visibles (des mots qui manquent... En relisant, tu ne peux que les voir...).

Sinon, niveau histoire, ça va bien. Le style est bon, notamment au niveau de la voix intérieure (gollum).

Bref, du bon. Continue donc.

Imperator, satisfait.

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Ouais! De l'action! :D

Héhé, le coup de la voix intérieure tu le tire d'où? :):)

Non, je plaisante...(comprendra qui pourra)

J'ai relu avec l'edit, c'est bien mieux.

Bon, allez, je te fais une petite critique:

On a discuter tout les deux

C'est pas: On a à discuter tout les deux...?

Tu crois que tu allais m’échapper

Tu croyais que tu allais m'échapper...

Bon, voilà. En fait, il n'y a pas tellement de fautes et le style est correct. :)

Continues!

Warzazatt, qui aimerait avoir autant de retours...

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Ben nickel, on saisity mieux le 3° chapitre !

0 Impérator :non, on dit bel et bien compassion,( de com qui veut dire avec et passion = souffrir, souffir avec, avoir de la compassion !) mais le verbe est compatir, d'ou une possible confusion!

Korelion, juste comme ça, au passage :)

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C'est vraiment sympas.

Je trouve quand meme que le premier chapitre etait un peu plus fluide que ton dernier...

Je pense que cela est du a l'histoire qui se complique un peu mais c'est vraiment super.

_*Mingui*_

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Chapitre IV

Déjà le jour J ! Se dit-il. Que dois-je faire ? Il ne sentait pas bien. Sa peau devint moite et il se mit à faire les cents pas. Dans ces allées et venues incessantes il se posait qu’une seule question : Devait-il y aller ? Non, c’était trop dangereux et il n’était pas un assassin. Mais oui, il serait libre et bien payé, il n’aurait pas à regarder dans son dos jusqu'à la fin de ses jours. Un combat entre la raison et la peur était en train de se dérouler dans son esprit. Mais aucun des deux ne prenait l’avantage. Mais la raison finit par l’emporter avec un terrible argument : Il a dit qu’il fallait le faire ! Alors il allait le faire…

La ville respirait déjà la fête alors qu’il en était à plusieurs lieux. Rien qu’à l’orée de celle-ci, il savait que ce jour était différent, il en souriait d’avance. Les murailles arboraient de nouvelles couleurs et des drapeaux flottaient au gré du vent. Les paysans semblaient mieux habillé et des carrosses faisaient des aller-retour entre cette cité et d’autres villes. L’air était empli d’odeurs de pâtisserie et des mets de viandes en train de cuire. Des messagers s’afféraient ça et là pour porter les derniers colis aux citoyens. Ils courraient aux milieux des cris des gardes qui essayaient de mettre un peu d’ordre dans la cité mais qui ne servaient qu’à l’augmenter.

Enriq avait prit un costume dans la réserve de la guilde. Il avait été surpris par la multitude de déguisement et d’accessoires que cette dernière contenait… Des habits de gardes, de nobles, d’émissaires, et même de religieux comme maintenant. En tout cas il se sentait à l’aise et il ne doutait pas qu’elle devait avoir subi des retouches comme en témoignait les encoches dans sa veste où il pouvait ranger une quantité non négligeable d’armes. Mais là il n’avait rien, pas une seule arme et cela ne faisait qu’amplifier son stress, il détestait se promener sans arme ! Mais il repensa à son altercation avec le vrai Enriq et se dit que même avec les armes, il n’avait pas fait grands chose…

Il arriva à un premier barrage de gardes. Ceux-ci barraient la route dans sa largeur et d’autres, armés d’arc et d’arbalètes, étaient postés sur les toits et dans les bâtiments. Enriq s’approcha d’eux tête baissée…

- Bonjour mon père… Dit l’un des gardes.

- Bonjour mon fils… Répondit distraitement ce dernier.

- Rien à déclarer ?

- Non, mon fils.. Sauf que j’ai une messe urgente à faire. Ajouta-t-il avec un pâle sourire.

- Bien mais je dois vous fouillez…

- Bien faites donc. Acquiesça Enriq.

Le garde entreprit rapidement de vérifier s’il n’avait pas d’armes cachées. Notre ami regarda la fouille comme s’il attendait lui aussi de voir sortir quelque chose de sous sa soutane. Une fois chose faite, il le laissa passer et fouilla les autres arrivant. Enriq entra rapidement dans l’église et profita d’une dispute entre le vrai curé et les enfants de cœur pour gagner l’étage. Il se dit qu’il devait peut être arrêter de prendre les identités des autres… Enfin il aura le temps d’y réfléchir plus tard. Il arriva dans le cellier et glissa sa main en toute confiance sous les premières marches. Il en retira un paquet entourée d’une couverture couleur sable. Il monta à côté de la cloche et déballa son paquet. D’une suite de gestes hésitants l’arbalète fut montée et prête à l’emploi. Il commençait à trembler, les gens se massaient près de l’église ce qui annonçait que la cérémonie allait commencer. Il bloqua à l’aide d’un bâton la cloche et espéra que cela allait passer inaperçu. Il se cala contre un rebord de la fenêtre et attendit…

Sa conscience n’eut pas le temps de le rassurer que des applaudissement et des cris lui apprirent que sa cible arrivait. Il déglutit un grand coup et la mit dans le viseur. Elle était encore éloigné mais il se rapprochait.

- Je ne suis pas un assassin ! Essaya-t-il de se convaincre.

Si tu ne le fais pas, tu risques d’en subir les conséquences, toi et même ton frère…

- Et si je le ratais ? Se demanda-t-il.

Tu sais très bien que tu n’as jamais raté une cible avec ce genre d’arme…

- Je….Je vais partir…

Non ! Reste ! Lui ordonna-t-elle Il t’a dit de pas hésiter et de tirer coûte que coûte.

- Oui, oui c’est vrai… Bon bah il ne me reste plus qu’une chose à faire alors…

Il le remit en joue, ferma les yeux, et appuya sur la gâchette. Les carreaux se libérèrent de l’emprise de l’arbalète. Ils passèrent la fenêtre, perforèrent les mètres les séparant de leur victime, et traversèrent la tunique de l’homme pour rebondir sous l’étonnement de tout les personnes présentes sur son armure. Ensuite tout alla très vite, les cris des spectateurs, les gardes qui se déplacent, sa fuite… Il ne pouvait plus se poser des questions inutiles à présent. Il passa par dessus la fenêtre du clocher et entreprit de fuir par les toits. Il dégringola et se râpa le dos contre les tuiles du bâtiment et rattrapa de justesse au bord de la façade. D’un suprême effort il sauta par dessus le vide et continua sa course sur les toits. Il vit derrière lui la garde en faire de même, il espérait que quelqu’un allait tomber…

Allez ce n’est pas le moment de s’arrêter ! Essaie de descendre par la corniche là ! Euh peut être pas finalement ! Ces gardes m’ont l’air inamicaux…

Il continua sa course désespérément. Il s’adossa à une cheminée pour reprendre ses esprits quand des flèches manquèrent de lui perforer la jambe. Il fit quelques tours sur lui même et se mit à couver derrière l’autre partie de la cheminée, la respiration haletante. Il regarda, exténué, par où il pourrait fuir. Il aperçu en face, à trois mètres, un balcon. Tant pis, il n’avait plus rien à perdre, mis à part sa vie, rien qu’à cette idée, une goutte de sueur se créa sur son front. Il se redressa, prit de l’élan et sauta. Au niveau du saut, il aurait pu pulvériser les records… Mais l’atterrissage fut moins parfait : il atterrit sur l’épaule.

Oh non…. Va pas me dire que tu t’es encore cassé quelque chose ….

On verra ca plus tard, lui répondit-il avec une grimace laissant largement sous entendre que la chute avait laissée des conséquences. Il traversa l’étage de la maison tandis qu’il entendait en bas les portes qui s’ouvraient. Il se retrouva sur une terrasse, sur celle-ci un jeune couple était en plein ébats.

- Je ne fais que de passer ! Dit-il en continuant sa course. Il sauta par dessus une première haie. Et essaya de voir où il était. Il se trouvait non loin d’une cache de sa guilde, il allait essayer de la rejoindre pour y attendre la nuit. Il jeta un regard derrière la palissade et la chevaucha. Arrivé dans la ruelle, il entendit une patrouille de garde arriver. Il se cacha de justesse derrière une poubelle et pu entendre une bribe de conversion.

- Il faut qu’on le trouve ! Pas question que ce dangereux criminel court les rues…..

Un dangereux criminel ? Il était vraiment mal alors… Une fois la patrouille partie, il traversa au pas de course la rue et souleva une plaque habilement dissimulé sur le sol. Il se glissa dans la minuscule pièce, terrifié, et se mit à faire le point…

@+

-= Inxi =-

Modifié par Inxi-Huinzi
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Tres sympas cette quatrieme partie de ton recit...

On sent que tu t'es amusé a la raconter car l'ction est fluide et les phrases sont bien construites.

Seul probleme : Il y avait des poubelles a l'epoque??? :hat:

_*Mingui*_

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Mais l’atterrissage fut moins parfait : il atterrit sur l’épaule.

Oh non…. Va pas me dire que tu t’es encore cassé quelque chose ….

On verra ca plus tard, lui répondit-il.

Et il n'a pas mal? :wub:

La forêt respirait déjà la fête

C'est pas plutôt la ville?* :P

Bon, bah sinon, j'aime toujours...C'est sympa mais j'aimerais bien que la description des sentiments soit moins brtuale et plus fouillée. :skull:

Continues! :D

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QUOTE 

Mais l’atterrissage fut moins parfait : il atterrit sur l’épaule.

Oh non…. Va pas me dire que tu t’es encore cassé quelque chose ….

On verra ca plus tard, lui répondit-il. 

Et il n'a pas mal? 

Ouais c'est clair que ca doit le calmer le petit bonhomme!!! :wub:

_*Mingui*_

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Invité Blackangel

dsl pour ma monoligne de la derniere fois. bon je me suis bouzillé les yeux mais ça en vallai le coup. sinon bah un momment t'as mi ça:

- Ils a traversé sans traverser et je l’ai percuté de plein fouet… Je n’ai rien pu faire… (si qqun peu m'expliquer comment ça marche les quote hihihi)

sans regarder je pense lol

sinon a un moment ton gars fait du rappel avec une goutière alors d'une aprt c difficile de faire du rappel avec une goutière et de plus ça doit surement etre un anachronisme.

bon y en a d'autre mais je l'es ai oubliés

sinon le coup du gars qui s'explose l'épaule mais qui continu c possible car un jour j'avais entendu qu'un gars c t peté les deux talon en sautant de son apparte pour courser un voleur et qu'il s'en étai aperçu qu'après avoir rattraper le gars

et sinon je trouve que ton récit est super

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