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La confrérie de l'ombre


Inxi-Huinzi

Messages recommandés

Bon voilà c'est l'avant dernier chapitre que j'écris avant de partir en vacances ( je pars le 17 ) C'est un gros chapitre, enfin je vous laisse juger et apprecier... :(

Chapitre V

Pendant qu’il s’occupait de sa blessure, Enriq se demandait ce qu’il allait bien pouvoir faire… Il était à un bon mètre sous le sol, recherché par une sorte de groupe assassin et par les autorités locales, et il avait mal à pratiquement toutes les parties de son corps où il y avait des nerfs. Notre ami bailla de fatigue et s’étira.

Tu ne vas pas dormir maintenant ! Il faut que tu retournes à la base ! Il faut prévenir ton frère que vous courrez un grave danger !

Mais même si sa conscience le poussait fortement, il ne voulait pas bouger. Il avait peur, il avait mal à l’épaule et avait une furieuse envie de dormir. Il n’arrivait pas à surmonter sa peur, et quand il avait peur, Enriq n’arrivait à rien. C’est cette même peur qui faisait qu’il avait toujours été considéré comme un faible, la même qui faisait qu’il lisait du dégoût à chaque fois qu’il croisait les yeux de son frère, la même qui faisait qu’il avait des doutes dans les moments les plus critiques. Il n’arrivait jamais à surmonter ce pincement au cœur qui le paralysait. Notre héros devait bouger, pas pour son ego, mais pour son frère. Voilà la seule chose qui arrivait bien à le faire sortir de cette léthargie.

Il leva la plaque qui servait d’entrée. Le soleil était déjà levé, preuve qu’il avait prit pas mal de temps pour réfléchir, voir trop. Enriq se leva sans crainte, l’astre du jour lui offrant la meilleur couverture possible : Si quelqu’un regardait dans cette direction, il serait immédiatement ébloui. Il sortit donc sans crainte, et s’accroupit dos au mur pour regarder la scène. On voyait nettement que la cité avait changée depuis la veille. Les patrouilles de gardes étaient bien trop nerveuses et fréquentes pour que ce ne soit qu’une simple ronde habituelle. Il n’allait pas être facile de sortir de cette ville mais il devait y arriver. Enriq se mit à suivre une bande de piéton, le plus discrètement possible, espérant que ses vêtements en lambeaux n’attiraient pas l’attention. Mais le destin en avait décidé autrement.

- Citoyen ! Arrêtez-vous ! Cria ce qui semblait être un garde. Enriq feint de ne pas l’avoir entendu, et accéléra l’allure. Il baissa la tête quand une main s’abattit sur son épaule.

- Alors, où va-t-on comme ça ! ? Demanda ce dernier. Enriq rouvrit les yeux et vit un grand sourire amical sur le visage du soldat qui l’avait aidé la veille.

- Oh, bonjour ! Je ne vous avez pas reconnu ! Avoua Enriq. J’ai remarqué un peu d’agitation dans la ville ce matin, est-ce normal ?

- Lieutenant ! Que faites-vous ? Ce pourrait être l’assassin ! Dit ce qui semblait être le chef des gardes.

- Non capitaine, je ne pense pas, répliqua le lieutenant. Il est blessé à la cheville, et il n’aurait pas pu crapahuter comme l’a fait le dangereux criminel.

- Etes-vous prêt à vous en porter garant ? Demanda le capitaine.

- Oui, ajouta ce dernier sans la moindre hésitation.

- Que s’est-il passé hier ? Demanda innocemment Enriq.

- Comment tu n’es pas au courant ! Toute la ville le sait ! L’escorte se mit en marche, il pourrait au moins sortir de la ville en toute sécurité. Enriq lui répondit du tact au tact.

- Hier, j’ai passé toute la journée à me reposer… Ma cheville me faisait atrocement souffrir. Ajouta-t-il avec un clin d’œil.

- Hé ben, on a essayé d’assassiner notre seigneur…

- Rien que ça ? Dit Enriq en prenant une mine horrifié…

- Je suppose que si votre capitaine a autant d’appréhension à mon égard, c’est que vous n’avez pas mis la main dessus…

- Exact… Mais on raconte qu’il ne serait pas humain, il a volé de toit en toit… Il a même fait une chute de plusieurs mètres et s’est relevé sans le moindre mal.

- Lieutenant, arrêtez ces divagations ! Vous n’allez pas croire ce que raconte ces paysans !

- Et qu’en est-il pour votre seigneur ?

- Il en a réchappé ! Ce que je vais te dire, va restez entre nous ! Nous avons une taupe chez l’ennemi ! Il a pu en réchappez grâce à une armure spéciale forgez pour cet assassinat! Par contre, les carreaux ont laissé des traces et il a plusieurs bleus.

- Bien ! Dit le capitaine. Nos chemins se séparent ici ! Au revoir !

Enriq lâcha son escorte pour plonger dans la forêt. Celle-ci était bizarre, ce n’était pas la forêt qu’il avait l’habitude de traverser. Elle était calme, silencieuse, pas un piaillement d’oiseaux, pas un bruissement d’écureuil… La terre avait été retourné à de multiples endroits, de nombreux personnes en armures, vu la profondeur des pas, étaient passés par ici. L’air était empli d’une odeur forte, celle de la mort. Il sortit sa clé et la glissa dans la serrure. Contrairement à son habitude, elle ne s’ouvra pas. Enriq s’approcha du pan du mur et vit que celui-ci était mal refermé. En s’aidant du mur et de ses dernières forces, il se glissa dans la fente et verrouilla une bonne fois derrière lui. Les torches au mur étaient éteintes, et Enriq avançait prudemment les mains en avant. Il buta contre un objet au sol et s’écroula dans un liquide visqueux. Enriq cracha, c’était vraiment écœurant, on dirait du sang… Il tâtonna le sol pour voir à quoi était du sa chute, il toucha la forme au sol et, avec effroi, vit que c’était un corps humain et que le liquide était bien du sang ! Il se redressa, terrifié, et dégaina son arme.

Fait attention les tueurs peuvent être encore dans le coin.

Il espérait que cela n’était du qu’à une rixe mais il savait en réalité ce qu’il s’était passé… La lumière revenait progressivement grâce à des trous naturels dans le plafond de la grotte. Alors Enriq vit d’autres cadavres : Des voleurs, des esclaves, des servantes et même des enfants. L’odeur était insupportable, et autant que pour cette dernière que pour son estomac, il se mit un chiffon sur la tête.

- Tant de morts par ma faute… Soupira-t-il. Comment savaient-ils pour la planque ?

Ils ont tué tout le monde…

- Tout le monde ! S’exclama-t-il. Fadrik !

A ce moment, il courut. Il courut aussi vite qu’il ne l’avait jamais fait. Arrivé vers la chambre de son frère, il entendit une voix. La porte de la chambre de son frère était ouverte et elle provenait de celle-ci.

- Ah lalala ! Tu en auras mis du temps avant de craquer…

Enriq se mit dans l’ouverture, et le spectacle qu’il vit le cloua sur place. Un homme se tenait debout, devant le corps de ce qui semblait être un ex-lieutenant de son frère et comme le laissait deviner la dernière mimique de son visage, il était mort dans d’atroces souffrances. Sur une autre chaise, à quelques pas de là, se tenait son frère. Il était couvert de sang de la tête au pied et de multiples hématomes avaient marqué son corps. Ses vêtements étaient en lambeaux et il se tenait avachi, yeux clos… Quelque chose de bizarre était en train de se passer en Enriq, quelque chose qu’il n’avait jamais connu : La colère… Mais il sentait que s’était plus que ça, c’était de la haine, une noire et terrible haine. Il déglutit, releva la tête et envoya un magistral coup de poing dans la porte. L’homme sursauta et retourna. Il sourit avant de commencer à parler.

- Tiens, tiens donc ! Mais qui voilà ? C’est le traître ! Nous t’avions dit que personne ne nous trahissait ! Tu en payes désormais les conséquences ! Mais….

Il n’eut pas le temps de finir, attaquant avec la surprise, Enriq l’attrapa par le col et le souleva. Il le lança au milieu des tables qui explosèrent dans des milliers de fragments. La haine est un sentiment redoutable mais mon adversaire était mu par la peur et il était plus dangereux, se dit notre ami. L’homme se releva au milieu des débris de la table et essaya d’envoyer un coup de poing sur Enriq. Ce dernier se baissa, fit un pas sur le côté et tapa d’un coup sec dans les poumons de l’homme lui coupant sa respiration. Celui-ci, titubant, fit encore quelques mètres avant de faire de nouveau face à son adversaire. Il dégaina sa lame, et sourit de nouveau. Enriq avait pitié de lui, il était chancelant et il s’essuyait régulièrement le visage pour en enlever le sang. Il chargea de nouveau Enriq. Celui-ci sortit également sa dague, et d’une botte, désarma son adversaire. Enriq mit également son pied sur la route de l’homme qui s’effondra dans la poussière . L’homme avait percuté à l'épaule notre héros ce qui ne manqua pas de lui arracher une grimace de douleur. Pendant que l'un des assassins se remettait debout, Enriq se mit de dos pour ramasser l’arme. L’homme, voyant une possibilité de fuir, courut vers la sortie.

Le soleil tapait sur l’entrée de la cachette. De l’extérieur, seul un petit martèlement indiquait que quelqu’un essayait de sortir. Soudain ce petit bruit s’arrêta et une flaque rouge se créa sous la porte..

@+

-= Inxi =-

Modifié par Inxi-Huinzi
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sans les poumons

Dans les poumons,

Bon, à part ça, c'est bien! :( Ca donne envie de savoir la suite, bien que je ne saisit pas encore totalement le personnage.

Mais ça viendra je pense.

Bon, une petite critique: La scène du combat est à retravailler. Plusieurs répèt., lourdeur, manque de fluidité...Tu ^peux faire mieux. J'en suis plus que convaincu. :clap:

Continues! :clap:

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Bon: pas mal de répétitions (entre autre des "il", ce qui peut être évité dans ces circonstances).

L'histoire avance à grand pas et le moment de la grande explication aussi, car on est de plus en plus perdu (et donc de plus en plus accroché au texte). En gros, grouille-toi d'écrire la suite, car cette attente me tue (et fais nous un bon gros passage qui puisse un peu rassassier notre soif de savoir.).

Le combat est bien, la rencontre avec les soldats aussi, tout est parfait.

Corrige juste les répétitions (toutes) et ce sera vraiment génial.

Imperator, qui a adoré.

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Ces deux chapitres m'intéressent un peu moins. d'une part, il y a quelques grosses facilités scénaristique (le garde qui déballe son sac... la mort du vrai assassin, les blessures d'Enriq qui finalement ne le pénalises pas tant que ça) et puis tu esquives un peu vite toute l'intrigue que tu avais construitz. Il y aavit certainement des choses à exploiter que tu as écarté au profit de chose plus classique.

Cela dit, l'intrigue conserve toujours une part de mystère, et je dirais même l'essentiel de son mystère. Donc c'est l'essentiel.

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le garde qui déballe son sac

Bah j'avais pas le choix ! En fait ces deux lignes m'ont pouvoir me faire mettre deux idées fondamentales dans mon histoire donc je suis obligé de les laisser.

la mort du vrai assassin

Bah lui, il trainait ! Je voulais pas le faire tuer au départ et je me suis dit qu'il y avait moyen que je me mare en le racontant.

tu esquives un peu vite toute l'intrigue que tu avais construit

Cela dit, l'intrigue conserve toujours une part de mystère, et je dirais même l'essentiel de son mystère. Donc c'est l'essentiel.

aie je fais sauter les derniers mystères dans le prochain cahpitre! Je crois que je vais m'arretez là !

pas mal de répétitions

J'ai essayé de corriger, ca devrait mieux passer

je ne saisit pas encore totalement le personnage.

Pourtant j'ai essayé de rajouter de la psycho ! Mais à priori ce n'est pas assez

Bon, une petite critique: La scène du combat est à retravailler. Plusieurs répèt., lourdeur, manque de fluidité

J'ai fait quelques changements

Merci pour les réponses et @+

-= Inxi =-

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Invité Blackangel

Moi j'aime bien et pour la critique j'étais trop a fond dans l'histoire pour y penser désolé. Mais peut etre que je t'en fournirais une plus tard quans je serai plus dans mes rêves

et dit moi est-ce que le feux enriq va repasser dans le côté lumineux de la force ?? :(

à j'ai oublié......... la suite!!

Modifié par Blackangel
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Donc je vous laisse découvrir ce chapitre fondamental ! Il me faut le plus de critique positive ou negative! Car le style du récit va changer ! Donc voilà dite moi si je dois arreter :mrgreen:

Chapitre VI

Enriq restait debout, interdit. Il regardait le corps de l’homme qu’il venait de tuer. Il venait de tuer, lui ! Il n’en croyait pas ses yeux, il regarda ses mains : recouverte de sang, le sang de l’homme qui était au sol. Il dut admettre la réalité, les images qu’il avait en tête n’étaient pas un rêve. L’homme grattait la paroi où devait se trouver la sortie. Il avait rampé sur les derniers mètres, comme le montrait le sable éparpillé. Enriq n’avait pas hésité, il ne ressentait que de la haine. Il lui avait planté la dague dans le dos une première fois, puis deux, il n’avait pas arrêté, des centaines de coups pour étancher sa soif de sang. Maintenant le corps n’était plus qu’un amas de chair.

Tremblant et déboussolé, il retira sa dague du dos de la victime et l’essuya sur un vieux chiffon. Enriq laissa le corps derrière lui, pas de pitié pour les tueurs, Dieu seul sait ce qu’il avait fait à son frère. Maintenant, une larme s’était formée, elle glissa lentement le long de sa joue. Enriq se retourna et rentra une nouvelle fois dans la chambre. Son frère n’avait que peu bougé, il s’abaissa à ses côtés pour le regarder plus en détail. Notre héros pouvait sentir son léger râle sur sa face. Enriq le déshabilla et l’occulta. Il avait de légères plaies sur le corps mais aucune mortelles. Il n’avait pas dû subir l’interrogatoire, un peu de repos est tout devrait rentrer dans l’ordre. Enriq l’allongea dans le lit, le recouvra d’une couverture et verrouilla la porte. Il prit une chaise et se posa à côté de la porte.

Notre jeune ami n’arrivait pas à détacher ses pensées de son acte, de son meurtre. Il avait tué, lui, il avait ôté la vie. Ce fil si fragile, il l’avait coupé ! Cet homme était un être humain, il pensait, aimait et voulait vivre. Et lui, il n’était qu’un homme, et il avait mis fin à sa vie. Il se mit à penser, à penser sur la vie… N’importe qui pouvait mettre un terme à la vie d’une autre personne d’un simple geste. Un geste, un malheureux geste et tout en était fini… Et lui, il l’avait décidé, juste parce que cet homme avait mal agi pour lui. Enriq lui avait enfoncé plusieurs fois un bout de métal d’une longueur approchant les trente centimètres entre les omoplates. L’homme avait craché la fin de sa vie en même temps que son sang. Ce liquide vital se répandant à la manière d’un serpent sortant de sa cage. Il ferma les yeux et plongea dans ses cauchemars.

Des flammes… La chaleur… Des cris… Une créature… Gigantesque et énorme… Un nom… Le sien.

- Où es-tu ? Entendit Enriq qui venait d’émerger.

- Fadrik ! ? Comment vas-tu ? Demanda-t-il en prenant la main de son frère.

- Ca peut aller… Je n’ai rien pu faire… Ils étaient trop nombreux. Ils sont arrivés alors qu’on était en train de manger. Ils ont abattu la moitié de la guilde en quelques minutes. Nous avons fui jusqu’au passage dérobé dans le fond de la caverne. Mais des hommes devaient rester pour permettre la fuite… Nous sommes restés, tout les deux. Maintenant une grande partie de mes hommes sont encore en vie, et prêt à se venger. Si je savais pourquoi ils ont fait ça ! Il était à la limite de pleurer, Enriq détestait voir son frère dans cet état.

- C’est… c’est de ma faute ! Je devais travailler pour eux, mais j’ai raté ma mission et vous en avez payé les conséquences. Je suis désolé…Sincèrement…

- C’est donc de là que venait l’or… En tout cas, nous réglerons nos comptes plus tard ! Pour l’instant, je dois venger mes hommes. Une lueur, celle du meurtre, venait de s’allumer dans ses yeux.

- Je crois que tu veux t’attaquer à trop forte affaire… D’autres personnes bien plus puissantes sont sur la brèche et ils n’arrivent à rien faire.

- Comment ça ? Demanda Fadrik.

- Tu comprendras plus tard… Répondit simplement Enriq.

- Maintenant, il faut te reposer ! Je reviendrais te chercher et on rassemblera le reste de la guilde… En attendant j’ai quelqu’un à voir !

L’homme se déplaçait sans hésitation dans le château. Ses bottines recouvertes de boues frappant la dalle sur son passage. Il savait exactement où se rendre. Les gardes le laissèrent passer à chaque endroit où il se rendait. Il toqua brièvement à une porte un peu plus épaisse que les autres.

- Entrez ! Entendit-il. Ah c’est vous ! Ajouta l’homme après que le visiteur soit entré.

- Oui, Seigneur. Le plan a un peu prêt marché, l’assassinat a échoué. Il remarqua également l’homme dans l’ombre, assit sur le lit du seigneur. Lieutenant, ajouta l’homme avec un signe de tête. La pièce était somptueusement décorée de meubles comme de tapisseries.

- Bonjour… Répondit simplement le garde.

- Et sinon vos blessures, seigneur ?

- Ca va, j’ai l’épaule encore engourdi mais ça peut aller. Tu aurais pu me faire mal Enriq !

- Je sais, mais vous m’avez dit de ne pas hésiter et de faire feu, alors je l’ai fait !

- Oui, oui ! Tant mieux, c’est ce que tu avais de mieux à faire ! La vieille de ce faux assassinat, nous l’avions décidé ainsi. Tu as bien fait de venir me voir…

- Par contre, la guilde a été attaquée, en représailles, il y a de nombreux morts.

- Bien, nous aurons les voleurs de notre côté, Enriq, tu dois mettre par tous les moyens cette confrérie hors d’état de nuire !

- Vous plaisantez ? Des hommes sont morts ! C’étaient mes amis ! Ils ont été tués… Ils n’ont pas eu la moindre chance. Et pour votre mission, je ne sais même pas par où commencer ! Enriq était au comble de la révolte et pour ponctué le tout il envoya un magistral coup de poing dans la porte. Ce coup de poing lui arracha une larme de douleur…

- Tu dois le faire, tu n’as pas le choix de toute façon ! Je ne pense pas que tu veuilles passer ton temps à te retourner…

- Oui, bon je dois rejoindre mon frère maintenant… Enriq était au bout et il préférait partir avant que cela dégénère, de toute façon, il était allé voir le seigneur uniquement pour assurer son libre passage en ville, notre ami n’en attendait pas plus.

- Bien ! Lieutenant, vous raccompagnez notre jeune ami ?

Notre jeune héros sortit du château songeur, comment allait-il faire pour pouvoir mettre à nu cette confrérie ? Il n’en avait pas la moindre idée ! Il faisait un bien piètre enquêteur… Il n’avait pas fouillé le reste du corps de l’homme… En tout cas, il n’y arriverait pas seul et il avait besoin du talent à l’épée de son frère et de ses hommes. Il regagna l’ex cachette qui, à sa grande surprise contenait une véritable armée. Après s’être fait menacer plusieurs fois, il réussit à atteindre son frère.

- Fadrik ! C’est moi ! Je suis revenu ! Qui sont ces hommes ? Il y en a qui ne sont pas de la guilde… Dit-il étonné.

- Pas question qu’ils s’en sortent ainsi ! Ces hommes sont mes contacts, des tueurs et des assassins des comtés avoisinants. Nos adversaires ne vont pas comprendre ce qu’ils leur arrivent…

- Attends ! J’ai quelque chose à te dire ! Je travaille pour le seigneur, je suis avec lui…

- Comment ça ? Tu fais bourdes sur bourdes ! Enfin qu’est ce que cela change ?

- Laisse moi les débusquer et ensuite tu interviens ? J’aurais sûrement besoin de toi et certains de tes hommes.

- Bien, n’hésite pas ! Nous avons soif de sang et de vengeance ! En attendant nous changeons d’endroit, je te recontact le moment venu… En fait, on se rejoint ici et je te conduirai au bon endroit..

- Où est le corps ? Demanda Enriq.

- Celui qui a été mangé par les bêtes ?

- Non, c’est moi qui l’ai tué…

- Et bien… Tu l’as salement amoché…

- J’ai besoin de le fouiller…

- Il est dans la salle à côté.

Notre jeune héros laissa les hommes ruminer leur prochaine vengeance et se dirigea dans la salle à côté. L’homme était de face et Enriq le trouvait un peu plus présentable, il lui fouilla les poches et mis main basse sur quelques objets. Une lettre à demi effacé par le sang, des objets de la vie courante, et des instruments moins conventionnels, comme des instruments de tortures… La lettre ne lui apprit que quelques informations, par contre un instrument de torture lui en apprit bien plus. Une légère croix avait été gravée sur le manche, le forgeron habitait en plein centre ville, il n’eut pas de mal à trouver sa forge. Elle semblait fermée, il décida donc de passer par la fenêtre. Après quelques pirouettes, et une chute, il atteint la fenêtre. Il regarda le sol et décida que la prochaine fois, à la prochaine blessure, il cesserait les bêtises pour de bon.

- J’espère juste qu’il y aura une prochaine fois. Soupira-t-il.

Il sortit une sorte de pied de biche et rapidement il ouvrit la fenêtre. Il se glissa à l’intérieur. D’un geste rapide, il alluma une torche qui baigna la pièce dans une pâle lumière. Les affaires étaient toutes retournées et il ne doutait pas qu’il y avait eu récemment un affrontement. Soit l’homme avait été enlevé, soit il était mort. La première solution lui semblait plus judicieuse, il se demanda même si l’homme qui lui avait apporté l’arme n’était pas ce forgeron. En tout cas il n’y avait plus personne et la piste semblait s’arrêter là. Enriq allait faire demi-tour quand il vit la chose….

@+

-= Inxi =-

Modifié par Inxi-Huinzi
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Un mot : Confusion.

C'est ce qui envahie mon esprit quand je lis le texte. Je pense que le lecteur manque de précision sur le temps et le lieu de l'action en cours. Surtout pour le drnier paragraphe, je n'ai rien compris. :zzz:

Bon, sinon l'intrigue est intéressante. Rien( de mal) à dire la dessus.

Pour la forme. EH bien...C'est un peu mieux que les premiers chapitres je crois...Mais je pense que tu gagnerais à lire beaucoup de livres ( ce qui te plaisent) et à t'inspirer des tournures de phrases qui y sont utilisées. Ce n'est pas du copitage: Je parle des tournures, pas des phrases. :good:

Dans mon cas, mon écriture est immédiatement influencée par le livre que je lis dans le moment. Mais je m'écarte.

Le problème de confusion qui règne parfois dans ton récit est peut-être du au manque de précision des scènes. Approfondie les descriptions utiles.

Ce que je veux dire, c'est qu'une description ne doit pas se contenter de planter le décor. Elle plante aussi l'ambiance et pourrait permettre de révéler certains points, qui, vu par le personnage pourraient prendre une certaine importance.

Voilà, j'ai trouvé: Je ne ressens parfois pas assez d'émotions en lisant ton texte. Je suis quelque par désolé de te le dire parce que je sens, par exemple par la scène du meurtre que tu fais des efforts. Mais il y a une sorte de voile entre les personnages et moi. Je ne les connais finalement pas assez bien pour m'investir complètement en eux...C'est dur d'exprimer ce que je ressens :lol: ...J'espère que tu auras saisi ce que j'ai dit... :P

Mais le meilleur moyen de progresser, c'est encore d'écrire et d'écrire encore.

Continues! ^_^

P.S: Comme lecture: Je te conseille fortement "L'assassin Royal" de Robin Hobb. Un bouquin excellent qui je le sens , te plairait. Je m'endors à 3 h 00 du mat depuis deux semaines à cause de lui... :mrgreen:

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Bon désolé, maislà, je suis perdu! Je ne saisis pas tout ce qui se passe, comme l'as dit Warzazatt, c'est un peu confus !On passe d'un lieu à un autre, comment Enriq en vient à travailler pour le seigneur ect, bref, pas mal de question en suspens !

A éclaircir sur ce point, parceque on est vraiment un peu perdu

Korelion

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Invité Blackangel

et bah je voudrais pas dire mais on dirait que tu as baclé ce chapitre!!!! Fait moi retrouver le vrai Inxi-Huinzi!!!!!!!!

bon d'une part arrete de commencer toutes tes phrases par Enriq enriq enriq................. ça le fait pas du tout. alors eesaye de varier en mettant il ou tout simplement en utilisant des (mince trou de mémoire je sais plus comment ça s'appelle enfin je vais vous le mettre entre parenthèses dans un exemple pour que vous voyez ce que je veux dire) exemple: enriq,l'homme en blanc, marcahait......

le sable était réparti à la manière d’un serpent

j'ai pas trop capté ce que tu voulais dire.

L’homme se déplaçait aisément dans le château. Il savait exactement où se rendre. Les gardes le laissèrent passer à chaque endroit où il se rendait. Il toqua brièvement à une porte un peu plus épaisse que les autres.

je sais pas la je trouve ça un peu trop contradictoire avec le "enriq" qu'on connait. On dirait que ton mec a un air assuré enfin bon c trop brutal je trouve comme changement d'allure surtout que son frère a failli se faire buter juste avant.

un instrument de torture lui apprit chez quel forgeron il était allé.

tu pourrais essayer de faire mieu au lieu de nous balancer l'instrument dans la gueule lol. comme par exemple les artisans ils ont l'habitude de marquer leur oeuvres d'un poinçon enfin tu vois le truc et bah la tu pourrai essayer d'approfondir avec ça. exemple la dague etait marquée d'un poinçon.... (comme si comme ça) qu'il avais déjà apreçu en se balladant dans la ville sur l'enseigne d'un petit commerçant (enfin tu vois le truc)

sinon j'ai bien aimé c'que tu voulais nous faire passer meme si tu t'y est pris maladroitement parce que là ça me fait trop penser a mes vieux texte tout pourri alors retravail et fait nous retrouver le Inxi d'entemps

dsl si j'ai été un peu violent mais je sai très bien que tu peux mieu faire donc à tes stylos allez hop hop hop!! lol (bon d'accord vu mes ouvrage je ferai mieu de parler lol)

ps: tu dois continuer tu crois que tu vas t'en tirer comme ça

Un blackangel qui essaye de jouer son méchant lol

Modifié par Blackangel
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Mieux! Bien mieux!

Eh bien maintenant, ton histoire est absolument fascinante. Avec de la clarté, on se plonge mieux dans l'intrigue et c'est vraiment...excitant! SI, c'est ça, excitant! :lol: B)

Bravo! Savoir corriger ses défauts est une grande qualité. :mrgreen:

Warzazatt, satisfait.

Notre jeune ami n’arrivait pas à détacher ses pensées de son acte, de son meurtre. Il avait tué, lui, il avait ôté la vie. Ce fil si fragile, il l’avait coupé ! Cet homme était un être humain, il pensait, aimait et voulait vivre. Et lui, il n’était qu’un homme, et il avait mis fin à sa vie. Il se mit à penser, à penser sur la vie…

Ce passage...Je sais ce que tu veux dire...Je crois que tu avais un flot d'idée de formulations, de phrases que tu jugeais bien, et tu les a écrites, comme plaquées.

Cela m'arrive aussi. Mais après il faut se relire et brider ses idées, écrire léger et ne pas mettre à chaque fois plusieurs propositions pour expliciter une seule et même idée.

Ensuite, si tu veux utiliser un style haché, propre à cette situation, mets plus de points à la place des virgules. :good:

Voilà pour la critique.

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Invité Blackangel

pas mal c vrai la je te reconnais mais tu n'as pas suivi le conseil pour les multiple enriq dans le texte (en plus ça se voi encore mieu vu qu'il débute les phrases) mais tu a le droit d'utiliser les pronom personnel ça t'évitera autant de répétition.

sinon un autre truc. j'espere que tu n'a pas oublié que ton gars ne s'appelle pas réellement enriq donc j'ai vu un passage ou tu aurai pu nous révéler ça réelle identité sans trop de difficulté:

- Ca va, j’ai l’épaule encore engourdi mais ça peut aller. Tu aurais pu me faire mal Enriq !

au lieu de mettre enriq tu aurai pu facilement l'appeler autrement et avec quelques modifications du texte mais ça tu le fait comme tu le sens c ton histoire et pas la mienne (heureusement :mrgreen: )

ps: je vois que t'as pris mon conseil par rapport au forgeron. ça fait plaisir

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Une suite intéressante, encore que l'alliance avec le seigneur soit étrange... Je sais que c'est ton scéanrio, mais on dirait une voie de facilité qui déprécie l'image de petit filou à la semaine que l'on avait d'Enriq.

À part ça, je n'ai pas grand chose à dire. C'est bien, mais j'avoue avoir été plus qu'absorbé par cette alliance, ça me reste en travers de la gorge (moi qui pensait qu'on aurait droit à l'histoire d'un héros vraiment simple... ça tire presque sur le bourrinage (d'une certaine manière.).)

Enfin bref, j'attends la suite avant de vraiment me prononcer.

Imperator, qui aimait bien l'idée du petit filou peureux et lâche.

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Invité Feurnard

Je dirais que tu donnes à ton récit une nouvelle direction. C'est dommage. Il faut conserver pour une histoire toujours le même atmosphère afin que le lecteur qui la commence ne soit pas dérouté... mais c'est une autre histoire.

C'est fou comme ce chapitre-ci jure avec les autres ! De passif, notre pseudo-Enriq devient actif et même pilier de l'action. C'est trop brusque et, comparé à ce que tu nous as fait savoir de lui précédemment, purement invraisemblable. Leurrer le lecteur est une chose inévitable si l'on veut lui offrir une dose minimale de suspens, mais lui raconter le contraire de la vérité, d'un oeil subjectif qui n'est même pas le bon, c'est raconter des fadaises. Avec ton dernier chapitre, tu en rends six tout simplement insensés.

Il y a au moins un point sur lequel nous n'aurons aucun mal à nous entendre : il est vraiment piètre enquêteur. Incapable de garder un secret, impétueux et irréfléchi. Donc, j'attends de voir comment la tête brûlée va nous dégoter cette mystérieuse confrérie.

Mais souviens-toi (et le saut entre la fouille du cadavre et la forge en est un bon exemple) que tout détail, qu'il s'agisse d'un déplacement ou d'une description de pièce demande un minimum d'attention. Mais ça, c'est pour la fluidité du texte.

C'est fou comme j'adore critiquer ce texte. Là, au moins, il y a des tas de choses à dire...

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Donc voilà le nouveau chapitre.. J'ai quelques remarques que je ferais après :innocent:

Chapitre VII

Elle n’était pas flagrante, mais il la vit. C’était une empreinte, une empreinte de terre. En n’y regardant mieux, Enriq vit qu’il y en avait d’autres. Les hommes venaient donc de la forêt… Pourtant il avait rarement vu d’autres personnes que les voleurs de sa guilde s’y déplacer. Pourtant la preuve était nette, certains des tueurs se cachaient dans la forêt. Il hésita sur quel groupe il allait s’appuyer… Il avait le choix entre son frère et le seigneur… Notre ami opta pour son frère, la planque permettrait à sa guilde d’avoir une nouvelle cachette. Mais avant tout, il devait la trouver… Bon réfléchissons se dit-il, les traces étaient encore fraîches donc ils arrivaient obligatoirement par un de ces bords de la forêt constata-t-il en faisant un signe de tête vers l’entrée de la forêt la plus proche de la ville. Ensuite, les traces étaient assez humides donc ils étaient passés prêt d’une source d’eau… Enriq se remémora ses longues balades dans cet espace de verdure et se souvint d’une rivière qui traversait cette forêt. Il n’avait plus qu’à remonter la rivière jusqu’à trouver un ou des éventuels indices..

Il trouva rapidement la rivière qui se déversait en partie dans la ville. Il s’y rafraîchit quelques instants et prit la route. Au bout d’une dizaine de minutes, Enriq regrettait déjà de s’être aventurer dans cette galère : Ses chaussures étaient déjà humides et il ne doutait pas qu’il finirait trempé rapidement. Il essaya de se concentrer sur chaque éléments du décor mais à part de l’eau et des arbres, il n’y avait pas de traces de ses agresseurs. Il était approximativement midi quand il s’arrêta pour manger un peu… Il s’assit à l’ombre d’un boulot et se servit de fougères comme coussin. Il enleva ses chaussures et laissa tremper ses pieds dans la rivière, dans un soupir d’extase, il se laissa tomber en arrière. Il se reposa ainsi quelques minutes, il avait légèrement mal au dos et il retira le bout de bois consumé par les flammes d’en dessous de lui.

Ho ! Un bout de bois consumé par le feu ! Ils sont passés par ici ! Il faut tout te dire ! Allez mange un coup et bouge toi !

Après avoir mâché un bout de viande, il reprit la route. Pour l’instant, il n’avait eu que de la chance se dit-il, alors comment allait-il faire face à une vraie situation. Un petit poisson nageait paisiblement au fond du cours d’eau, Enriq enviait son insouciance… Il aurait aimé avoir une vie paisible comme tous les gens normaux… Mais le sort en avait décidé autrement alors il subissait. Pourtant il savait qu’à part une bonne histoire à raconter, s’il survivait, il n’y aurait rien d’autre ! Il ne voulait pas de relation avec le seigneur : c’était uniquement par nécessité qu’il avait fait ça… Il n’allait même pas se servir des hommes mis à sa disposition. En faite le seigneur ne lui servait qu’à pouvoir se déplacer librement dans la ville. Notre jeune ami finit par se demander ce qu’il allait faire après.

Y aura-t-il un après ?

C’est à moi de le décider ! Et à personne d’autre ! Un bruissement de feuille lui parvint sur sa gauche, il sauta dans un fourré à sa droite. Qui peut cela-t-il bien être ? Se demanda-t-il. La réponse ne tarda pas à arriver…

- Non ce n’est pas possible… Souffla-t-il.

Mais c’est l’une des servantes… Elle n’a pas été tuée dans le massacre ?

- Je crois que l’on tient notre taupe… Bien, suivons la !

Alors une longue filature commença. Enriq se mit derrière elle de façon à ce que si jamais elle se retourne, il puisse se mettre à couvert rapidement. Mais elle ne se souciait guère de faire attention, elle avançait à grands pas et chantonnant. Elle était habillée d’une grande robe pourpre et avançait droit devant elle vers un but précis. Tout en avançant, Enriq essayait de se trouver des repaires, bien que s’étant écarté du court d’eau, il en entendait encore le léger coulis. Mais le bruit de l’eau devait plus fort et plus distinct, un bruit de chute. Ils arrivaient donc vers une chute d’eau. Sa proie disparut derrière un arbre, Enriq se mit à couvert et avança prudemment : le terrain était à découvert. La femme se déplaçait d’un pas nonchalant vers la cascade.

Je crois qu’elle va se baigner…

- Encore une piste qui tombe à l’eau ! Allez, on s’en va ! Se découragea Enriq.

Attends ! Elle est passé où ?

- Oh… Je ne suis pas d’humeur à ça !

Non mais elle est plus là !

- Comment ça ? Elle n’a pas pu disparaître…

Il y a sûrement un passage derrière la cascade… Essaie d’aller voir !

Le héros en herbe se dirigea vers la cascade. Il prit appuie sur les premiers rochers et s’engagea sous la cascade. L’eau lui martelait les épaules et il penchait dangereusement en arrière. Ca ne doit pas être là, se dit-il, quel intérêt y a t il à se faire mouiller à chaque fois ! ? L’eau finit par avoir raison de lui et il se trouva projeter dans la rivière. Il retint sa respiration et se laissa porter par la cascade… Il prenait une allure folle et il fut aspirer dans le fond du lit de la rivière. Il se retrouva ballotter par les flots et lâcha plusieurs fois de l’air. Ses poumons commençaient à le brûler quand il se sentit poussé vers le haut. Il creva la surface de l’eau dans un grand bruit de respiration. Il était dans une sorte de grotte alimentée en lumière par quelques torches. Il y avait également des tonneaux qui contenaient des vivres et de l’eau potable. Une porte était encastrée dans la paroi d’un mur et la poignée était en train de tourner.

Un homme d’une trentaine d’année rentra dans la grotte. Il était visiblement ivre, il s’approcha d’un tonneau et le perfora d’un coup de hache. Après quelques regards attentifs autour de lui, il plongea une coupe et but une longue goulée de ce qui semblait être du vin. Il ne semblait visiblement pas décider à partir... Enriq décida de le mettre hors d’état de nuire… Il sortit de l’eau et se glissa entre les tonneaux, l’homme était de dos. Il aurait pu facilement le tuer silencieusement mais il décida de l’assommer avec une sorte de masse qui traînait. Au moins il passerait pour ivre et Enriq ne serait pas ainsi inquiété. Il s’avança alors vers la porte par laquelle était arrivé l’homme, il l’ouvrit silencieusement et regarda ce qui se passait. Sur sa gauche, il y avait une grande salle où une cinquantaine d’hommes festoyaient. Sur sa droite, un escalier en spiral montait dans la roche. Il prit l’escalier, et monta en haut le plus rapidement possible. A la fin de ce couloir, il y avait une unique porte. Elle était faite dans un bois qui lui semblait être le pur qui n’avait jamais vu, il ne doutait pas qu’elle venait des lointains bois… Là où, disait-on, des elfes vivaient en harmonie avec la nature.

Il s’accroupit et regarda l’unique trou de la porte : la serrure. Il sortit d’une de ses poches trempées, les instruments nécessaires au crochetage. Il inséra les instruments dans cette petite cavité et commença son affaire. Après cinq minutes, la porte n’avait toujours pas cédée. Il s’appuya sur la poignée pour se reposer quand celle-ci s’ouvrit…

Quel piètre voleur fais tu ! Tu n’as même pas penser à regarder si elle était ouverte !

Il se glissa dans la pièce et referma la porte derrière lui. La nouvelle pièce dans laquelle il se trouvait était richement décorée. Les meubles étaient polis et les tapisseries impeccables. Un bureau siégeait au milieu et était recouvert de plusieurs paquets de feuille. A sa gauche, une cheminée creusé à même la roche donnait à la pièce une chaleur agréable. Après avoir rapidement regardé toute la pièce, il essaya de se concentrer sur des pièges éventuels.

Ils doivent se croire trop en sécurité pour penser à leur sécurité ! Regarde comment tu es entré…

Enriq se détendit et commença la fouille de la pièce. Il regarda les feuilles et sourit… Il tenait assez de preuves pour faire tomber cette maudite confrérie. Par contre, la première feuille lui apprit qu’elle était bien plus grande que ce qu’il pouvait penser. Il essaya d’ouvrir un tiroir… Celui-ci semblait bloquer, alors il tira de toutes ses forces. L’air crépita et chatoya, il vit des petites boules se former et elle vinrent percuter en plein dans l’estomac. Il valsa à travers la pièce et roula dans la poussière. Ses derniers souvenirs furent la porte qui s’ouvre et une phrase :

- Tiens… Nous avons de la compagnie…

Une suite intéressante, encore que l'alliance avec le seigneur soit étrange... Je sais que c'est ton scéanrio, mais on dirait une voie de facilité qui déprécie l'image de petit filou à la semaine que l'on avait d'Enriq.

'est trop brusque et, comparé à ce que tu nous as fait savoir de lui précédemment, purement invraisemblable

Voilà c'est sur ces points là que je vais réagir. En fait mon texte ce base sur l'histoire d'un petit voleur qui a force de vol se retrouve embarqué dans une histoire invrésenblable. Mais les chapitres ou il subissait ( comme il l'a rappellé), j'ai essayé d'y mettre fin par un événement assez important pour tout homme ( le contrat avec l'empereur) et ainsi marqué une certaine évolution psychologique du perso, mais en meme temps j'essaie de garder l'aspect "je subit"... Dans le texte j'essaie aussi de garder un aspect confus ( genre une particularité du baroque: disproportionnalité temporelle et spatiale) c'est pour ca que je fais rarement des descriptions : pour avoir ce sentiment de plus savoir ou on en est! Le problème c'est que j'ai trop bien réussi et que ca a destabilise au dela de ce que j'esperais ( j'ai donc fait les corrections necessaires) C'est pour ca que mes chapitres ne sont et ne seront jamais bien à vos yeux. Bon le dernier point à eclaircir c'est que je change ici de style: Plus petit héros qui passe en enqueteur. Je n'ai pas l'habitude de ce style... Mon perso se devait de changer mais a priori ca a été brusque :evilgrin:

@+

-= Inxi =-

P.S : Vous voulez que cela se termine vite ou pas ? ( je change le dernier passage ), je peux le finir en 3 chapitres max je pense mais si cela vous plait je prends la forme rallongée :whistling:

Modifié par Inxi-Huinzi
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Moi ca me plait bien. Continues comme ça!

Pour la critique, ben..C'est toujours les mêmes choses.

J'aime bien le personnage mas je n'ai toujours pas compris qui était le petite voix dans sa tête. Mais peut-être que je comprendrai plus tard.

Voilà, J'en reste là parce que sinon je ne pourrai pas tenir ma promesse pour Karl.

Continues je veux la suite...Longue.

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Ton idée est super. ça change du reste, c'est original. et il faut avoir les tripes de se lancer là dedans. Tu as envie d'écrire dans un style très particulier, et pas facile du tout.

Fallait oser.

Par contre, c'est bien réussi :innocent: , il va falloir que je reprenne ton texte depuis le début dès que je pourrai, pour me repérer un peu.

Tylzah oui, pas trop longue la suite, enfin je veux dire en fragments pas trop longs à chaque fois. C'est bien comme ça.

Voui, y'a quand même quelques petites fautes :whistling:

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Voilà la suite !

Chapitre VIII

Enriq ouvrit les yeux, rien ne tenait en place : ni les murs, ni le sol. Il peina pour se redresser. Quand il réussit à rester dos au mur, il laissa ses yeux se réhabituer à leur environnement. Notre ami était dans une sorte de cage en bois, creusée de petits trous laissant ainsi quelques miettes d’air arrivé jusqu’à lui. Cette cage ne devait pas servir à ça car le bois était déjà pourri à certains endroits. Il colla un œil contre l’un des trous pour essayer de voir ce qu’il y avait à l’extérieur. Enriq ne put rester longtemps l’œil sur le trou, la lumière lui faisait trop mal aux yeux. Après de nombreux essais, il réussit à voir la pièce dans laquelle il se trouvait. C’était une pièce creusée dans la roche, comme toutes les pièces de cet endroit, enfin ça lui apprit au moins qu’il n’avait pas bougé de son lieu d’origine. Il devait y avoir deux gardes et un qui passait de temps en temps. Il y avait une table où des dés et des cartes étaient posées. Et pour terminer, il y avait un râtelier où des armes étaient entreposées. Enriq avait furieusement mal à l’estomac à cause du choc provoqué par le projectile magique, il ne put voir les dégâts extérieurs mais il sentait les dégâts intérieurs.

Devant lui, la porte de sa prison s’ouvrit rapidement. La lumière inonda la cage et malgré sa tentative de s’y habituer, Enriq dut fermer les yeux. Un garde le saisit par les pieds et le traîna hors de son abris. Il plissa les yeux, et vit qu’il y avait ce coup-ci quatre gardes pour l’escorter. Il avait peur de lui, c’est sûr. Heureusement qu’ils ne savent pas que je ne suis pas Enriq… Notre jeune ami se laissa soulever et traîner jusqu’à une pièce qui se trouvait à l’est de celle où il était retenu prisonnier. Ce complexe doit être énorme se dit-il, il n’avait toujours pas vu les salles d’hier.

- Où m’emmenez-vous ? Tenta de savoir Enriq.

- Tu le seras bien assez tôt… Répondit le garde en laissant apercevoir ses dents gâteuses.

Enriq se doutait qu’il n’allait pas apprécier ce qu’il allait voir, il se dit que l’expérience allait être… pénible. Il perdit vite la notion des lieux à force de grands détours et de virages. Ils finirent par se retrouver devant un escalier en colimaçon qui donnait sur une nouvelle salle. Dans celle-ci se tenait une dizaine d’hommes, ils étaient assis derrière une table et étaient visiblement furieux que Enriq les ai dérangé au milieu de l’après midi. Ils l’assirent sur une chaise et commencèrent un interrogatoire musclé. La première question fut assez facile.

- Comment tu nous as découvert ?

- J’ai reconnu la servante qui nous a balance…

- Bien, comment es-tu rentré ?

- Par la cascade, la clé était sous le paillasson.

Il regretta vite cette réponse… Un coup de poing lui atterrit en plein dans le menton faisant gicler du sang sur sa veste.

- Par…où….es….tu….rentré ?

- Par l’entrée… Je viens de vous le dire.

- Qu’es-tu venir faire ici ?

- Bah je cherchais un appartement pas cher dans le coin….

Une fois de plus une pluie de coup de poing comme de pied lui tomba dessus. Ce coup ci, Enriq souffrait vraiment, les hommes avaient réveillé son mal à l’épaule.

- Je ne vais pas répéter ma question…

- Pour…savoir…ce que….vous…voulez faire. Réussit-il à articuler, il décida d’arrêter de se moquer car son corps n’était pas indestructible.

- Pour qui travailles-tu ?

- Je suis à mon compte….

Ce coup ci, ils le frappèrent dans l’estomac et Enriq sombra dans état proche du coma.

Il se réveilla longtemps après, enfin il le supposait. Enriq ne savait pas combien de temps il était resté ainsi. Il n’arrivait pas à bouger et avant de se rendormir, il n’entendit qu’une phrase de ses gardiens :

- Ouais ! Cette exécution va être terrible…

Quand Enriq émergea de nouveau, ses membres arrivaient à assurer leurs fonctions. Un coup d’œil par le trou lui apprit qu’il était seul dans la pièce. Sûrement que ses agresseurs devaient dormir, ils devaient le penser trop faible pour tenter la moindre chose. En tout cas la seule chose sûre, c’est que lui, il n’allait pas rester là en attendant sa mort prochaine. Il trouva une meilleure position et envoya un grand coup de pied dans les planches de sa cage. Enriq ne les avait pas fait bouger, mais il sentit qu’en persévérant, elles finiraient par lâcher. En effet, après moult coups, une planche vola en éclat. Il regarda s’il pouvait passer mais dut en casser une autre. Une fois la taille du trou atteinte, notre jeune démolisseur se glissa hors de cette cagette. La première chose qu’il alla faire, c’est de récupérer tout son matériel sur le râtelier. Une fois équipé, il prit la direction opposé à celle où il était parti la veille.

Une première patrouille de gardes passa devant lui mais elle ne sembla pas à la recherche de quelqu’un… Enriq sortit de sa cachette dès que celle-ci disparut derrière le premier virage. Accroupi, il avançait de cachette en cachette. Notre jeune évadé ne savait pas où aller, il y allait en tout cas à l’instinct. Il se reposa deux secondes sur un mur en cherchant le meilleur moyen de s’évader. Par où sortir ?

Tu n’arriveras pas à partir par là où tu es arrivé… Il faut que tu trouves par où est arrivée la servante !

- Tu as vu comme moi la taille de cet endroit ! C’est gigantesque.

On va réfléchir deux secondes… La servante est forcement entrée près de la cascade donc la porte se trouve tout près d’où tu es rentré car c’est le seul endroit où on a vu de l’eau. Ensuite, elle n’est peut être pas rentré sous la cascade mais peut être sur l’un de ses côtés.

- Bon, retrouvons alors la grotte où il y a l’eau…

Après trente minutes de recherche, Enriq n’avait toujours pas reconnu une seule des salles qu’il avait bien pu voir. Il avait même la furieuse impression de tourner en rond. Il devait faire vite car ses adversaires allaient bientôt s’apercevoir de sa fuite, si ce n’était déjà pas fait… Il essaya de tourner à droite et se retrouva juste à côté de la salle à manger. Enriq se sentait un peu plus rassurer car il savait un peu près où aller. Le seul problème c’est que dans cette salle, une bonne partie des soldats dormaient. Un seul bruit, même minuscule et il aurait une armée à ses trousses. Il avança et traversa la salle sur la pointe des pieds. Enriq, comme par hasard, avait envie d’éternuer.

- Pourquoi faut-il que se soit à ce moment ? Murmura-t-il.

Essaie de te retenir, ce n’est vraiment pas le moment.

Il ne put retenir son envie et éternua. La moitié des gardes se réveillèrent et le reste le fut par le vacarme. Les gardes le reconnurent vite et Enriq décida alors de fuir vers le bureau de la veille. Les gardes étaient patauds ce qui lui donna une longueur d’avance non négligeable. Il ouvrit le bureau et heureusement pour lui personne ne se trouvait dedans. En quelques secondes, Enriq avait réussi à caler tous les gros objets de la pièce contre la porte. Mais déjà les gardes essaient de l’enfoncer.

- Allez réfléchi ! Essaya de se stimuler Enriq. Qui y a t il dans cette pièce ? Des murs, du mobilier, des feuilles, de quoi écrire…

Notre jeune héros tourna plusieurs fois sur lui même avant de finir par voir le petit trou qui devait être caché par l’un des meubles qu’il avait bougés. Il s’en approcha et vu qu’il fallait une petite clé pour activer ce que la serrure protégeait. Enriq espérait que la clé était dans cette salle car les martèlements sur la porte lui apprit qu’ils allaient avoir de la visite. Il commença à fouiller la pièce. Il attrapa un premier coffre, l’ouvrit et le renversa par terre : rien. Il passa à des vêtements qu’il secoua dans tous les sens mais toujours rien. Enriq se rappela soudain le tiroir ensorcelé. Il s’approcha du bureau et glissa sous celui-ci. Derrière le tiroir se trouvait un petit mécanisme, il ressemblait à une petite boite avec deux trous à ses extrémités. Enriq dégaina une large épée qu’il glissa sous l’espèce de boite s’en servant de levier. Il l’abaissa violemment projetant des petits bouts de l’ancien piège au alentour. Une clé tomba au sol, il l’inséra dans le mur. Il se retourna et put voir la bibliothèque bouger. Enriq rentra dans le couloir et abaissa le levier : la porte se referma. Il attrapa une torche, l’alluma et prit la fuite.

@+

-= Inxi =-

Modifié par Inxi-Huinzi
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En ce qui me concerne, je réclame haut et fort une relecture...

Et qu'on ne me deise pas que ça a été fait... J'ai vu de magnifique fautes de sens dues à des fautes de frappe (entre autre au départ). Tiens: par exemple:

- Où m’emmenez-vous ? Tenta de savoir Enriq.

- Tu le seras bien assez tôt… Répondit le garde en laissant apercevoir ses dents gâteuses.

Voilà... Pour ceux qui ne l'auraient pas vus, le garde répond "tu le sera" au lieu de "tu le sauras". Un moment d'inattention bien humain... Bref, je sais que t'as écris un joli morceau, mais il faut tout de même se relire.

En plus, tu pourras éliminer une partie des fautes d'ortho/gramm. À part ça (et les nombreuses, très nombreuses répétitions), je tiens à noter l'ambiance du petit qui veut fuir dont j'ai été particulièrement friant lors de ta lecture. Si seulement le manque de relecture n'avait pas gâché le tout, j'y aurait été complètement plongé (tout de même, le coup de la poudre...Surtout que c'est connu, la poudre, y a plus besoin d'en faire venir de loin.).

Bref, c'est très bien, mais entre répétitions, fautes de frappe et d'inatentions ainsi que nonbreuses répétitions... Attention, si tu veux affronter la colère de l'empereur, continue à écorcher ainsi tes idées et ton texte...

Imperator, qui trouve que tu ne t'applique pas assez pour un texte qui mériterait tellement plus (bon, là, je fais abstraction de la famille, des études et tout et tout...).

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Voilà... Pour ceux qui ne l'auraient pas vus, le garde répond "tu le sera" au lieu de "tu le sauras". Un moment d'inattention bien humain... Bref, je sais que t'as écris un joli morceau, mais il faut tout de même se relire.

Un manque d'attention humain ou c'est de l'irronie :D ? Parce que sans y toucher, après lecture de son post, j'avais mis la bonne reponse :wink: ( Parce que tu as même quoter comme preuve c'est irrefutable :wub: )

Bon sinon j'admet n'avoir pas relu pour trouver les fautes :lol: J'ai relu une seule fois pour regarder si mon texte était cohérent. Les repetitions meme quand j'y pense, y en traine encore... Et pour les fautes, bon bah c'est tout moi ! Y en aura toujours ! :)

Merdi de vos reponses quand meme ca fait plaisir ! ^_^

@+

-= Inxi =-

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Invité Feurnard

Moi, ce qui m'étonne, c'est qu'il ait de la poudre sur lui. C'est vraiment des chanceux, ces types.

Pour les répétitions, il y a le mot "cage" dont tu abuses. Tu as aussi parlé une fois de "cagette", vraiment amusant.

Plus amusant encore, les réponses du pseudo-Enriq. Tu t'es défoulé, à n'en pas douter. Je ne sais pas si sa situation est critique mais pour moi, il a l'air de drôlement s'amuser.

Quelqu'un connaît-il le complexe de Serval ? Ben moi non plus. Une grotte aussi immense me surprend. Qu'ils fassent gaffe aux skavens parce qu'à ce stade-là, tous les nains te le diront : "Ca sert à rien de faire des trous aussi gros quand y a pas d'or à la clé surtout que c'est fait n'importe comment regarde-moi ce bazar non mais les jeunes y respectent plus rien...". Bref, j'ai plus l'impression que tu nous fais visiter un bunker anti-atomique de Fallout (quoi qu'ils soient plutôt petits) plutôt que la tanière d'une guilde. Une impression peut-être de gigantisme qui fait perdre en crédibilité.

Sinon, le récit est réaliste, intéressant et bien suivi. La scène de l'éternuement (amusante mais bien courte) se structure plutôt bien. Allez, on s'amuse !

Débutant : 9/10 :lol: (y a trop de fautes...)

Vétéran : 6/10 :wub: (homogénéité de l'histoire, descriptions...)

Ecrivain : 2/10 :wink: (structure des phrases, atmosphère générale...)

Maître-Ecrivain (type Baudelaire :D ) : 0/10 ^_^ (on s'en étonne...)

Voilà. Comme ça, j'aurais dit quelque chose dans ma critique. :)

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