Rhydysann Posté(e) le 5 mai 2023 Partager Posté(e) le 5 mai 2023 (modifié) Fini cette vieillerie il y a peu et c’est du très bon. Il va être difficile de ne pas spoil le scénario tout en énonçant les qualités indéniables que comporte ce manuscrit. Mais j’ai normalement fait de mon mieux pour ne rien spoil. Certifié sans spoil. Bonne lecture. La marque de la damnation Citation ==> LA MARQUE DE LA DAMNATION - Tome 1 du dyptique La Marque du Chaos par James Wallis. Karl Hoche, héroïque officier de l'armée impériale, voit sa vie basculer après avoir contrecarré les projets d'un culte voués aux dieux du Chaos, au sein même des rangs de la Reiksguard. Mais l'exploit de Karl attire bientôt l'attention de l'Untersuchung, une organisation secrète vouée à combattre le Chaos sous toutes ses formes. Trahison et corruption se dresseront sur son chemin, et lorsqu'il deviendra ce qu'il a juré de combattre, son âme devra choisir en damnation et salut. - Scénario et mise en scène = 4/5 Le lecteur suit Karl Hoche, un soldat ayant découvert un complot d’une envergure dantesque. À la suite de cela et diverses péripéties il finit par rejoindre l'Untersuschung, une division au sein de la Reksguard très spécifique qui s’occupe de la traque des cultes chaotiques. Bien évidemment notre héros va finir par avoir sa marque de damnation et connaître une mutation, légère mais tout de même une mutation durant l’une de ces missions. Et c’est tout ce que j’aborderai au niveau scénario par peur de trop spoil. Ce qu’il faut retenir c’est que le scénario au premier abord peut paraître convenu mais que nenni. Si le roman commence de manière quasiment banal, l'auteur en a décidé autrement. Il n’hésite pas à faire une coupure brutale entre le début qui est très fantaisy banal et le reste. Cette première partie n’en reste pas inintéressante avec la découverte de cette section de la reiskguard peu banale qui ne comporte aucun soldat et qui se contente d’être le FBI ou la CIA de l’empereur. Avec mission d’espionnage, infiltration de sectes, compréhension et spécialiste du chaos, mage non assermenté par un collège de magie, etc... Une véritable petite inquisition Sigmarienne. Il prend d’ailleurs vraiment le temps d’introduire son histoire et son personnage sans se précipiter ce qui permet une attache émotionnelle plus rapide et poussée du héros et un intéressement accru au scénario. Mais c’est vraiment la seconde partie très mono centré sur le personnage principal qui hausse vraiment le niveau. Plus que le scénario d’ailleurs c’est la vision qu’à l’auteur du monde de warhammer battle ainsi que la mise en place de son personnage principal qui fait l’intérêt de son roman. Ainsi à un certain moment du roman on a des pauvres hommes et femmes mutants qui ne connaissent rien au Chaos qui se voit obligé de le vénérer et de s’exiler du reste de l’humanité. Qui ne cherche qu’à survivre, terrifié de leur futur. Ou bien encore des chevaliers panthères préférant cacher un scandale d’une grande envergure en faisant disparaître les preuves ainsi que les innocents au courant au lieu de traquer des renégats. WALLIS montre un univers très gris. Avec des têtes pensantes prenant des décisions politiques, froides et réfléchies. Des chaotiques, mutants, parfois totalement mauvais et vénérant en connaissance de cause les 4. Mais aussi d’autres qui tout l’inverse le font par défaut, que leur reste-t-il lorsque tout le monde leur a tourné le dos sauf les chaotiques. Ou bien encore des personnages dont surtout un d’une gentillesse extrême dénotent totalement avec le reste du roman. Tous ces personnages secondaires ou non ayant leur caractéristique et façon de penser propre montre bien la qualité qu’à l’auteur de mettre en place un univers plus réaliste loin des personnages bateaux que l’on peut retrouver dans certains romans de la BL. D’ailleurs Wallis n’hésite pas à faire disparaître n’importe quel protagoniste de son histoire sans aucun état d’homme. Et cela passe aussi par son héros principal qui connaît une très grosse évolution au cours du roman. Passant d’un petit gradé bas de front à moitié gueux (il sait lire et écrire quand même), plein de préjugé et de certitude à la découverte d’un tout nouvel univers, plus noir et mesuré. Puis au plongeon même du héros dans le désespoir (voir la folie) et la noirceur réelle de l’environnement dans lequel il évolue. Jusqu’à sa renaissance qui n’est pas réellement la révélation d’un grand héros tout beau tout propre. Révélation Le type n’hésite pas à tuer des innocents corrompus par le chaos dont des enfants et leur mère Le personnage d’ailleurs toujours très humain ne tue pas à tour de bras des centaines d’hommes, en fait il galère même la plupart du roman lorsque ces adversaires sont plus nombreux que lui, situation parfaitement normale. Il prend encaisse d’ailleurs pas mal durant tout le livre aussi bien physiquement que psychologiquement. Et tout cela accompagné d’un très bon scénario permettant cette évolution et donnant de très belles scènes. Scènes qui sont une multitude mais chacune est utile au scénario ou bien encore représente un pan de la vie impérial moyen. Tout est donc bien amené, notamment cette fin d’intrigue qui est allée à l’opposé de ce que je pensais et qui ne conclut pas par une grande bataille rangée insipide. Pourtant c’est presque comme si l’écrivain voulait nous y amener et prendre un brusque et rapide virage. Il le fait d’ailleurs plusieurs fois au cours du livre. Une intrigue bien ficelée, avec ce dénouement que l’on apprend qu’à la toute fin et qui est très difficile à deviner. Révélation Il n’est pas banal effectivement de voir des complots de khorne Malheureusement le roman souffre de quelques points négatifs comme ce complot qui peut paraître un peu bancal sur la fin Révélation Que ce passe-t-il si Hoche ne se montre jamais dans l’armée, cela n’a aucun sens Mais rien qui n’a vu gâché mon bonheur lors de la lecture de cette histoire. Je conclurai cette partie en abordant le thème des combats. Eh oui car des combats il n’y en a presque pas pour ne pas dire pas du tout, pas de fin non plus en bataille rangée. Et ça change vraiment de l’habituel livre moyen se déroulant dans le vieux monde. Et pourtant magiquement le bouquin est bien plus intéressant que la majorité des lectures WHB et me donne à titre personnel plus envie de découvrir l’univers que d’autres plus catalogues. Comme quoi… - Style et écriture = 5/5 C’est très bien écrit, voire trop bien pour de la BL à l’ancienne. Surement une des meilleures plumes que la maison d’édition a eues. Notamment dans l’humanisation de ses personnages qui atteint un niveau rarement atteint par les auteurs de la BL à l’exception de quelques-uns (Abnett me vient bien évidemment en tête mais aussi Harrisson plus récemment ou bien Wraight parfois). Il est aussi très juste dans l’intégration de ces personnages dans l’histoire et dans la société impériale. Par exemple, les nobles sont bien élevés et parlent bien. Les soldats de base sont des gueux faisant des blagues graveleuses. La dulcinée du héros est une fermière ne sachant ni lire ni écrire, le père du protagoniste devant le faire pour elle quand elle reçoit des lettres, etc… Je n’ai pas décroché une seule fois de la lecture du bouquin happé par le scénario. Je n’ai jamais relevé la tête en me disant tiens ce dialogue est bizarre ou ne paraît pas réel. Les scènes sont bien décrites et certaines sont d’une réelle beauté littéraire Révélation Notamment la scène de dépression du héros nu allongé dans la boue qui attend sa mort Tout s'enchaîne bien, peu voire pas de temps mort inutile. Une vraie réflexion philosophique aussi bien au sein du vieux monde mais qui peut aussi être reportée à notre univers réel. Univers réel légèrement critique dans le bouquin avec des sujets encore d’actualité avec par exemple le thème de l’isolement. Ce qui est amusant c’est que je n’ai pas trouvé le style d’écriture aussi satisfaisant qu’un ADB ou bien un Fehervari. Mais c’est bien écrit et surtout intelligemment écrit. - Intérêt fluffique = 4/5 Du fluff sur la Reiksguard mais surtout le traitement des mutants et chaotiques au sein du vieux monde. L’auteur apporte un point de vue frais et différent du mutant/chaotique profondément méchant habituel. Et juste pour cela la note et l’apport fluffique est très haute. Du fluff sur la vie quotidienne impériale sinon. - Appréciation personnelle = 4/5 Ironiquement, malgré toutes les qualités que j’ai cité objectivement, ce n'est pas le meilleur livre que j’ai lu. Certes la plume de l’auteur ainsi que son scénario différent et bien ficelé en fait indéniablement un bouquin du haut de panier (concernant WHB) mais à mes yeux pas l’un de mes préférés. D’où une note faible concernant mon appréciation personnelle. Cela peut s’expliquer par une plume certes qualitative mais qui ne m’a pas totalement émerveillé. Je crois d’ailleurs que c’est ce style d’écriture qui en fait que je n’arrive pas à mettre ce roman sur un piédestal avec les meilleurs bouquins WHB, Le tome 2 de Malus Darkblade par exemple. Bon après c’est à remettre en conditions, le bouquin a reçu la note de 17. Alors qu’en général je note les romans notés excellent à 16/20 max. Le 17 étant réservé au haut de panier et le 18 à mes lectures préférées. D’ailleurs je parle peu voire pas du tout des défauts du roman et pourtant il y en a mais le style efficace d’écriture ainsi que tous les points forts du roman parviennent aisément à les gommer. Un très bon livre de la vieille époque de la BI. Et un roman qui me rappelle que le monde qui fut avait encore tant à être explorer au niveau littéraire (mais aussi au niveau figurine mais c’est un autre sujet déjà abordé des milliers de fois) avant sa destruction au profit d’AOS. Note excellent que je vous enjoins à lire amateur du vieux monde en tous genres. - Note globale = Total des points 17/20 La marque de l'hérésie Citation ==> LA MARQUE DE L'HERESIE - Tome 2 du dyptique La Marque du Chaos par James Wallis. Les hordes d’Archaon ravagent les frontières septentrionales d’un Empire qui, jadis solide et uni, s’enfonce désormais dans la terreur et la confusion. Entre la mort tragique du Grand Théogoniste et les rumeurs de la réincarnation de Sigmar, le peuple ignore encore quel sera son destin. Karl Hoche, ancien soldat impérial torturé par un sombre secret, a fait vœu de traquer les forces obscures du Chaos, et compte bien se dresser contre la tempête qui s’annonce. Pourchassé par trois impitoyables répurgateurs, Karl se retrouve entraîné vers la capitale de l’Empire, Altdorf, au cœur même de la tourmente ! Découvrez la suite de La Marque de la Damnation et des aventures de Karl Hoche, soldat, mutant, renégat, hérétique… Explorez le Vieux Monde, Chaos, mensonges, trahisons seront votre lot commun. Résisterez-vous à l'Hérésie ? - Scénario et mise en scène = 4/5 Le scénario reprend quelques mois (6 pour être précis) après le précédent tome. Et Karl Hoche n’a pas chômé durant tout ce temps car il n’a eu de cesse de traquer les mutants et autres joyeuseté chaotique passant à sa portée. Mais voilà il réussit enfin à contacter un membre de son ancienne organisation Untersuchung qui va la renvoyer vers de nouveaux commanditaires ayant besoin de ces talents. Malheureusement pour lui plusieurs choses vont aller à son encontre, premièrement trois répurgateurs déjà rencontrés par notre héros vont être envoyés par sœur Karin qui est devenu soeur afin de le traquer. Deuxièmement l’organisation qu’il compte rejoindre est entourée de mystère, troisièmement les frères à la cape trainent dans les parages ce qui est toujours annonciateur de complot à grande envergure. Cela étant après une rencontre fortuite avec un prêtre itinérant Hoche va décider de rejoindre une croisade et pas des moindres celle de Luthor Huss alors à la recherche de Valten, alias la réincarnation de Sigmar. Et je n’en dirai pas plus pour vous laisser le plaisir de la découverte. Le scénario est dans la même veine que le précédent si ce n’est un poil meilleur. Tout s'enchaîne bien, avec une bonne logique. Les scènes sont bonnes, les personnages toujours aussi bien écrits. L’auteur continue de rentrer dans l’intimité du vieux monde en traitant plus profondément le monde des répurgateurs ainsi que des sectes chaotiques mais aussi et surtout en incorporant dans son histoire deux des plus grands héros de l’Empire et de la période de schisme religieux de Huss. La vision que donne l’écrivain de Huss est d’ailleurs très terre à terre loin des grandiloquentes habituelles de GW. Pareil la croisade l’accompagnant est si bien composé de fanatique est elle aussi loin d’être la force indomptable de fanatisme que des auteurs habituels nous auraient proposé. Ainsi Huss est entouré de péquenauds et nécessiteux et se les trimballer non car il les a amenés à lui mais car ces derniers se sont eux-mêmes amenées au prêtre. Vous l’aurez compris j’ai beaucoup mais beaucoup aime la vision que nous a donnée Wallis d’Huss avec ce prêtre qui n’a jamais voulu de cette croisade qui a un certain moment et à deux doigts de s’effondrer et pourtant par moments l’on retrouve l’homme vertueux que nous peignent les codex, la force brute qui en dégage. Pareil pour Valten qui lui est représenté comme un gueux qui parfois ne dégage rien de spécial si ce n’est une force quasi surhumaine et parfois au contraire il dégage quelque chose de grand. Le personnage est d’ailleurs au contraire de Huss souvent laissé en arrière-plan et pourtant à un moment du roman le héros comprend qui oui, cet homme est spécial. Révélation Petit plus à Valten le bouseux qui parle d’un personnage féminin en parlant de ces arguments, ça m’a fait sourire Le reste de l’histoire est parsemé d’une multitude de personnages et complots en tous genres qui laisse toujours un doute sur ce que la suite va amener ou comment le roman va se terminer. La fin est bien amenée et non rush, quoique presque trop conventionnelle je me serai attendu à quelque chose d'autres mais reste en soi satisfaisant. - Style et écriture = 5/5 Au risque de me répéter, l'auteur a un style très bon auquel j’adhère particulièrement. Comme le premier roman que ce soient ces personnages, ces mises en scène ou bien encore ces dialogues, tout est d’une rare justesse pour un livre de la BL, et encore plus pour des romans du monde qui fut. Certains auteurs après des années de service n’ont encore jamais atteint ce degré d’écriture… J’ai notamment particulièrement apprécié les dialogues avec les frères à la cape et les échanges d’information qui sont des petites pépites. Et l’un des points qui me font dire que oui l’auteur est bien talentueux c’est dans l’écriture de cette suite qui reprend certaines thème ou personnage à peine abordées. Tout ce qui a été écrit dans le livre un l’a été fait pour une bonne raison, tel un Abnett avec ces fantômes de Gaunt par exemple. Comme ces trois répurgateurs qui étaient à peine des personnages secondaires lors du premier roman et passe alors en personnage de premier plan. Sœur Karin qui revient totalement et qui a radicalement changé tout comme le héros qui s’est passablement endurcie. Les frères à la cape toujours à rôder dans le coin, etc… Un travail de recherche a aussi été fait, notamment sur l'utilisation des armes comme ce passage sur l'utilité des piques qui casse totalement l'action en cours d'une superbe manière. - Intérêt fluffique = 4/5 Pas mal de fluff aux finales. Notamment sur Valten et Huss vous vous en doutez mais surtout sur la période trouble précédant le retour de Volkmar et la présentation de Valten à l’empereur. Vous vous en doutez juste pour cela il y a beaucoup de fluff. - Appréciation personnelle = 5/5 Bon il est très frustrant de savoir que ce roman ne connaîtra pas de suite. L’auteur l’explique à la fin de son roman et s’adresse notamment au public français et j’ai beaucoup aimé le geste. Mais c’est tout de même très frustrant que la BL n’a pas réussi à garder un auteur de cette qualité pour recruter d’autres plus questionnables. Sinon l’une des meilleures séries WHB que j’ai pu lire en VF, qui aurait pu devenir surement l’une des meilleurs tout court tel un malus darkblade si suite et fin il y avait. Je vous enjoins, si fan de du vieux monde, à vraiment lire cette pépite qui m’a l’air d’être bien trop méconnu. - Note globale = Total des points 18/20 Note globale de la série= Total des points 18/20 Modifié le 5 mai 2023 par Rhydysann Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hammerstein Posté(e) le 5 mai 2023 Partager Posté(e) le 5 mai 2023 Ha, bon sang, tu m'as à la fois terriblement donné envie de lire ces bouquins... Et d'un autre côté, l'idée de ne jamais en lire la fin (ok, il y a End of Times...) me rebute un peu. Bonne critique, bravo et merci. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Schattra Posté(e) le 7 mai 2023 Partager Posté(e) le 7 mai 2023 Merci pour cette revue très motivante, comme relevé par mon camarade ci-dessus, @Rhydysann! J'ai eu tendance à considérer ce diptyque avec suspicion car la nouvelle où Wallis "introduit" l'Untersuchung ('Rest for the Wicked'//'Pas de répit pour les braves') dans le recueil 'Les Epées de l'Empire' ne m'avait que moyennement emballée. Ce n'est que bien plus tard que j'ai lu ses travaux consacrés à Dieter Brossmann ('The Dead Among Us', 'The Bretonnian Connection'), le Prêtre de Morr et détective privé de Middenheim, qui étaient d'une bien meilleure qualité. Je me retrouve totalement dans ce que tu dis sur la bonne caractérisation des personnages opérée par Wallis quand je repense à ces nouvelles (intégrées au forceps dans 'Hammers of Ulric'). D'ailleurs, si mon bien-aimé Brossmann fait un petit caméo dans ces romans, ça pourrait me motiver à franchir le pas. Schattra, oldie goldie Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rhydysann Posté(e) le 9 mai 2023 Auteur Partager Posté(e) le 9 mai 2023 Le 07/05/2023 à 11:54, Schattra a dit : J'ai eu tendance à considérer ce diptyque avec suspicion car la nouvelle où Wallis "introduit" l'Untersuchung ('Rest for the Wicked'//'Pas de répit pour les braves') dans le recueil 'Les Epées de l'Empire' ne m'avait que moyennement emballée. Ce n'est que bien plus tard que j'ai lu ses travaux consacrés à Dieter Brossmann ('The Dead Among Us', 'The Bretonnian Connection'), le Prêtre de Morr et détective privé de Middenheim, qui étaient d'une bien meilleure qualité. Je me retrouve totalement dans ce que tu dis sur la bonne caractérisation des personnages opérée par Wallis quand je repense à ces nouvelles (intégrées au forceps dans 'Hammers of Ulric'). D'ailleurs, si mon bien-aimé Brossmann fait un petit caméo dans ces romans, ça pourrait me motiver à franchir le pas. Non pas de cross-over mais le héros à la fin se rend dans la cité du Loup, peut-être qu'il aurait pu voir le jour. Je ne me souvenais plus vraiment de cette nouvelle mais après relecture de mon retour je ne l'avais pas vraiment apprécié non plus. Une nouvelle quelconque. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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