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[40k-Imperium] Les Régiments de Dagaz


Swissknife

Messages recommandés

J'avoue que ce qui m'a toujours impressionné chez les peintres les plus consciencieux parmis les joueurs de la Garde Impériale (je n'ai personnellement jamais affronté l'Astra Militarum 😉), c'est bien le respect méticuleux des marquages et autres signes distinctifs des différents pelotons/régiments/grades. 👍

 

Bravo, et j'espère bien poster à mon tour l'un de mes propres véhicules d'ici peu 😁

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Le 24/02/2025 à 19:32, gekko a dit :

Ah ah ah. C'est excellent. Le Blood axes en moi frétille quand même de cette belle organisation colorée.

L'insertion des photos de figs qui illustrent le texte est toujours savoureuse.

Merci beaucoup. Oui, les bandes pour les branches armées permettent d'ajouter un brin de vie dans la masse grise de ma piétaille. Autrement, ca déprime un peu.

Le 24/02/2025 à 21:24, Hammerstein a dit :

J'avoue que ce qui m'a toujours impressionné chez les peintres les plus consciencieux parmis les joueurs de la Garde Impériale (je n'ai personnellement jamais affronté l'Astra Militarum 😉), c'est bien le respect méticuleux des marquages et autres signes distinctifs des différents pelotons/régiments/grades. 👍

 

Bravo, et j'espère bien poster à mon tour l'un de mes propres véhicules d'ici peu 😁

Tant se faire se peut avec ce que j'ai sous la main, je tente de conserver une cohérence concret entre mon fluff et les figurines. C'est mon petit plaisir dans cette armée. Mes autres armées n'ont pas du tout le même background voir aucun (pour le moment). 

+++ EN SAVOIR PLUS ? LE MATERIEL DES REGIMENTS DE DAGAZ +++

Avant-Propos

Avant son retour au sein de l'Imperium, Dagaz à fait face à un conflit de longue haleine contre des Xénos (M.27 à M.30) ayant conduit à une haute militarisation de son tissu industriel, ainsi qu'un processus aigu de simplification  et rationalisation. Ceci à conduit à la conception de châssis de véhicule et d'armement typiquement Dagazien. L'ensemble fort bien adapté à l'environnement varié du système, comme à son adversaire lui aussi varié dans ses formes xénomorphes. 

Au retour dans l'Impérium, le Gouverneur Planétaire Dienes et les membres du Mechanicum choisirent de maintenir cette chaine de production militaire en adaptant au fur et à mesure les armements au standard Imperium quand cela apportait un avantage majeur, en terme militaire, économique et logistique. Cette politique rationnelle se poursuit encore de nos jours amenant du matériel Dagazien (souvent des châssis), armés avec du matériel type "Cadien".

Sommaire : 

  1. Armes lourdes de soutien
  2. Artillerie tractée
  3. Défense aérienne
  4. Véhicule de reconnaissance
  5. Véhicule de l'avant blindé
  6. Artillerie autotractée
  7. Blindé
  8. Véhicule de servitude
  9. Héritage antique


1. Armes lourdes de soutien

Si les mortiers, bolter lourd, lance-missile sont bien des armes de soutien, elles sont considérée comme des armes mobiles d'infanterie. Elles sont donc exclues de ce chapitre. Les lecteurs intéressés par ce matériel se référera au chapitre idoine. 

1.1. Arme anti-blindé

Ce rôle est dévolu au ALAB (Arme Lourde Anti-Blindé) CCL M.36. Il s'agit d'un canon-laser assemblé sur un châssis préexistant de la Fédération. L'ensemble à permis de garantir une continuité dans le flux de production. Cette arme hybride Fédération/Imperium reste de nos jours totalement intégrée dans les Régiments de Dagaz qui apprécient sa meilleure protection et stabilité en tir soutenu. 

L'inclusion de la batterie de l'arme a posé quelques soucis d'ingénierie. Afin d'assurer son rapide changement pour garantir une alimentation en tir continu, elle n'est pas intégrée au châssis, mais reste mobile. Afin de protéger la fragile connexion entre la batterie et  le canon, l'ensemble vient fournis avec une toile de tente, que les équipages en opération, déploie et accroche à la flèche droite de l'arme. 

Si la protection des servants est assurée, cela se fait au détriment d'une détectabilité plus grande, la hauteur du blindage amenant la pièce à 1m65. L'autre inconvénient est la possibilité de tir sur 360°, qui est supprimée. Il faut à l'équipe de servant bouger la pièce sur ses roues afin de suivre une cible mobile. 

Ces éléments sont parfaitement intégré à la philosophie des Régiments de Dagaz qui utilise cette pièce de manière plutôt statique, soit en embuscade, soit en défense sur une ligne de feu préétablie. Une équipe n'opère jamais seule, elle est appuyée par deux autres unités de feux, soit équipée elle-même d'ALAB, soit de PAC M.40 (Polyvant Auto-Canon).

Une unité de feu d'ALAB CCL M.36 est typiquement composée de 3 chefs de pièce, 3 servants. Ils sont rattaché à une Batterie comprenant 3 unités de feux, avec 1 peloton de véhicule de servitude "Maultier" (un châssis de Chimère transformé). Comme dit précédemment, il arrive pour des raisons opérationnelles, que 2 des 3 pièces soient transformée sur PAC M.40.

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Cette photo en action, démontre parfaitement l'habitude réglementaire des servants de protéger la fragile connexion entre la batterie et le canon, par la toile de tente réglementaire fournie avec la pièce. Elle permet d'éviter que la poussière des combats, la pluie ou toute impureté, viennent oxyder ou corrompre la connexion, afin d'être assurer d'avoir aucune perte en énergie.  Les bèches anti-recul sont reste de l'origine du châssis, dont la fonction première est inutile avec le canon-laser, mais reste dans la chaîne de production, car elle accroit la stabilité de l'ensemble. 

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Le marquage sur l'épaulière gauche du servant, indique qu'il s'agit d'un ALAB CCL M.36 appartenant au 2ème Régiment (le fameux "Poing de Fer" dont la devise est "Caro Infirma"), 6ème Batterie, 5ème unité de feu.

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@gekko@Hammerstein Merci beaucoup pour votre suivi et vos encouragements !!!

On continue avec la découverte des armes lourdes de soutien.

 

+++ LE MATERIEL DES REGIMENTS DE DAGAZ +++

 

1. Armes lourdes de soutiens

1.2. Canon d’appui direct

 

PAC M.38 – Du canon antichar au rôle d’appui direct

Conçu à l'origine par la Fédération pour remplir un rôle antichar, le PAC M.38 était une pièce tractée efficace dans le conflit l'opposant au Xénos. Son architecture robuste et sa cadence de tir relativement élevée en faisaient une menace sérieuse pour tout adversaire, même munie de blindage. Toutefois, son intégration dans l'arsenal de l'Imperium à révélé ses limites face aux standards actuels du champ de bataille. 

En effet, dans un environnement où les armures réactives et les champs énergétiques sont monnaie courante, le calibre initial du PAC M.38 s'est révélé insuffisant pour perforer les blindages modernes des véhicules de ligne ou des machines de guerre ennemies. Malgré une pénétration honorable contre les véhicules légers, il était incapable d'inquiéter les unités mieux protégées, rendant son emploi antichar obsolète. 

Plutôt que de l'abandonner, le Départemento Munitorum à opté pour un rechambrage au standard impérial, lui permettant d'exploiter une logistique plus cohérente avec les arsenaux existants. Ce changement à réorienté son rôle sur le champ de bataille : désormais le PAC M.38 excelle en tir tendu contre l'infanterie lourde et les cibles légèrement blindées. Son canon long et son mécanisme de mise à feu performant lui permettent d'offrir un appui précis et soutenu aux régiments de Dagaz, neutralisant efficacement les concentrations d'ennemis et les véhicules légers. 

Cependant, son architecture pose un problème notable : son blindage supérieur, atteignant 1,65 m de hauteur, en fait une cible particulièrement exposée sur le champ de bataille. Ce défaut à poussé les ingénieurs à concevoir une évolution du modèle, plus compacte et mieux protégée : le PAC M.40, qui viendra remplacer progressivement le PAC M.38 tout en conservant son rôle de pièce d'appui direct.

 

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Si son bouclier haut protège efficacement son servant, à contrario, il rend la pièce plus compliquée à camoufler pour un tir en embuscade. D'autant qu'après chaque tir, la fumée dévoile son emplacement.

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Sur le PAC M.38, le châssis avec amortisseur hydropneumatique et ses bêches anti-recul, est une plateforme très stable, permettant à l'arme de délivré 2 coups de suite, sans devoir réaligner sa visée. 

PAC38_04.png

Le PAC M.38 possède encore les anciennes roues à rayon typique de l'ère de la Fédération ou de l'ère de l'Intégration. Ces roues seront changée pour des pleines lors de modernisation en atelier, profitant de la production du nouveau châssis pour PAC M.40.  Ainsi, sur cette photo, les roues démontre qu'il s'agit d'une pièce vénérable d'ancienne facture. Les tubes de canon par contre son régulièrement changé et recyclé après usure de l'âme. 

+++ EN SAVOIR PLUS ? DECOUVREZ LE PAC M.40 +++

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@gekko Merci. C'est mon plaisir avec cette armée d'y adjoindre un background important, en tentant d'y donner une touche la plus cohérente. 

Petit aparté "Jeux"
Si le texte évoque des différences entre le M.38 et M.40, il s'agit tout deux d'unité "Escouade d'armes lourdes" équipée d'Auto-Canon. Sans aucune différence avec les règles (V5 ou V10 selon mes opposants). Le M.36 est quand à lui une escouade d'arme lourde équipée d'un canon laser (et non une batterie d'artillerie). La pièce a été conçue avant, mais c'est sûr qu'un jour, il y aura une batterie d'artillerie équipée de canon laser.

Sur la table, je déploie quasi toujours mes 2 M.40, ce sont mes "tueurs" (quand ils peuvent) d'Elite adverse. Accompagné soit du M.38, soit du M.36 si je veux plus de punch anti-blindé. 

S'il existe 9 Régiments de Dagaz (où je ne sais pas encore où les présenter, je pense que je vais mettre ça dans la suite du récit), c'est pour mes 8 listes d'armée type. Oui, 9 moins 8, il en manque une. C'est que le 8ème Régiment de Dagaz a disparu des radars de l'Imperium. Un lien peut-être avec cette vague histoire de renégats avec des uniformes ressemblant aux unités de Dagaz s'en prenant à des unités de Garde Impériaux, voir même des Spaces Marines. 

Donc le 8ème n'a pas de liste d'armée liée - mais des unités spécifiques - essentiellement du commandement peint selon ses nouvelles croyances dans "l'Empereur Rouge". Il existe uniquement pour justifier que je joue des parties contre les DKOK de mon fils, les Spaces Wolves de ma fille, ou les Ultramarines de mon beau-fils.

Retour dans un univers où il n'y a que la guerre.


PAC M.40 – La nouvelle référence de l’appui direct


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Successeur direct du PAC M.38, le PAC M.40 marque une évolution significative dans la doctrine d'appui des régiments de Dagaz. Conçu pour pallier les défauts de son prédécesseur tout en maximisant sa puissance de feu. Il s'impose rapidement comme le nouveau standard des pièces d'appui direct au sein des Régiments de Dagaz. 

D'un premier regard, le PAC M.40 se distingue immédiatement par son tube allongé et son frein de bouche étendu, l'ensemble permettant de réduire la fumée après le tir et donc la signature visuelle de l'arme. Cette modification accroît également la précision du tir tout en préservant une cadence de feu élevée, pour une pièce de ce type. Le canon bénéfice également d'un nouveau profil balistique, lui conférant une vélocité supérieure et une capacité de destruction accrue contre les formations d'infanterie lourde et les unités légèrement blindées. 

L'une des critiques majeures du PAC M.38 concernait la hauteur excessive de son blindage, qui rendait la pièce trop exposée au combat. Le M.40 corrige ce problème avec un bouclier plus réduit et à l'angle plus prononcé, conservant ainsi une protection efficace pour ses servants contre les éclats du champ de bataille et les tirs d'arme légères, tout en offrant une silhouette plus basse. Cette modification améliore la mobilité de la pièce sur le champ de bataille et facilite sa dissimulation dans le relief et les positions fortifiées. 

Sur le plan de l'équipement, le PAC M.40 bénéficie d'un système de visée amélioré, intégrant des optiques de nouvelle génération ainsi qu'un désignateur laser. Ces ajouts permettent une acquisition de cible plus rapide et une meilleure coordination avec les autres unités de tir indirect ou d'appui aérien, renforçant son efficacité opérationnelle. 

Plébiscité par ses servants pour sa maniabilité améliore, sa fiabilité et sa puissance de feu, le PAC M.40 a conquis à la fois les troupes et l'Etat-Major, qui le considère comme un vecteur essentiel du dispositif de soutien des Régiments de Dagaz. Son déploiement à grande échelle est déjà en cours, avec pour objectif le remplacement progressif de tous les PAC M.38 encore en service. 

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Cette illustration permet de voir les différences visuelles du M.40 avec le M.38. Le bouclier frontal est plus bas, avec un angle plus aigu, augmentant la protection, sans augmenter l'épaisseur du blindage. La volée du tube est également plus importante et bénéfice d'un frein de bouche plus important, ventilant mieux les gaz et la poudre en sortie. 

 

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Le désignateur laser de nouvelle génération à l'avant, offre le meilleur de la technologie impériale aux servants de cette pièce.

 

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A gauche du pointeur de pièce, nous trouvons l'écran de la pièce reflétant les données du désignateur laser, ainsi que la situation tactique du champ de bataille et les coordonnées de tir partagée par l'unité de feu.

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Cette vue de face permet immédiatement de comprendre l'avantage du M.40 sur le M.38 avec sa silhouette bien plus discrète et apte à l'embuscade ou à la constitution de ligne de défense bien enterrée.

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Cette vue aérienne, démontre que si les silhouettes tendent à être plus basse pour améliore la discrétion, la volée des tubes ne fait qu'augmenter entre le M.36, M.38 et M.40, ainsi qu'en corrélation le poids. Si autant le M.36 peut être déplacé à la bricole par ses servants, c'est impossible sur un terrain accidenté pour le M.40 avec un poids de 1'425 kg. Il en devient une pièce plutôt statique. 

 

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Décidément, c'est en réalité un authentique catalogue d'armement impérial, ton sujet !

 

On sent le vendeur désireux de montrer toutes les qualités de son dernier modèle de machine de guerre 😆

 

"Votre concessionnaire de Dagaz est fier de vous présenter son nouveau canon anti-char, largement capable de s'adapter à tout ce que vous visez pour mieux le pulvériser instantanément !" 👍

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Il y a 9 heures, Hammerstein a dit :

On sent le vendeur désireux de montrer toutes les qualités de son dernier modèle de machine de guerre 😆

Ah ah ah.

Et il le fait si bien.

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Le 28/02/2025 à 08:52, Hammerstein a dit :

Décidément, c'est en réalité un authentique catalogue d'armement impérial, ton sujet !

 

On sent le vendeur désireux de montrer toutes les qualités de son dernier modèle de machine de guerre 😆

 

"Votre concessionnaire de Dagaz est fier de vous présenter son nouveau canon anti-char, largement capable de s'adapter à tout ce que vous visez pour mieux le pulvériser instantanément !" 👍

 

Le 28/02/2025 à 18:04, gekko a dit :

Ah ah ah.

Et il le fait si bien.

Achetez, achetez, j'ai encore du stock 😇

On continue dans le catalogue Impérial du coup.

 

LMR "Malleus" - L'adapation pragmatique du lance-roquettes impérial

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Un ajout récent et adopté avec enthousiasme

 

Introduit récemment au sein des régiments de Dagaz, le "Malleus" est la version adaptée d'un lance-roquettes multiple impérial, initialement conçu pour saturer une zone d'impact par un feu nourri et indiscriminé. Si cette arme standardisée a été adoptée avec enthousiasme par l'Etat-Major, les troupes de Dagaz, fidèles à leur pragmatisme, n'ont pu s'empêcher de le modifier pour l'adapter à leurs méthodes de combat et aux contraintes de leur logistique.

L'une des modifications les plus visibles concerne la suppression du bras central avec le poste de tir. Ce changement a été dicté par des raisons d'ergonomie et compatibilité avec les tracteurs d'artillerie déjà en service au sein des régiments. Autre changement, la mise à feu étant désormais déclenchée par un simple câble d'allumage électrique actionné à distance. Si ce procédé peut sembler archaïque comparé aux systèmes électroniques impériaux, il a l'avantage d'être d'une fiabilité absolue et d'un entretien minimal - un point non négligeable dans les conditions extrêmes des campagnes menées par les troupes de Dagaz. 

Le Malleus conserve cependant son efficacité première : il est conçu pour marteler l'ennemi sous un déluge de roquettes explosives, semant le chaos parmi les formations d'infanterie et neutralisant des positions retranchées par saturation. Ses projectiles à fragmentation ou à charge incendiaire, transformant en un instant une ligne de défense en un amas de décombres et de corps mutilés.

L'adoption du Malleus a rapidement conquis l'enthousiasme des artilleurs, qui apprécient sa simplicité de mise en oeuvre et son son impact psychologique dévastateur sur l'ennemi. Face à un tel déluge de feu, rares sont les les adversaires qui tiennent leur position sans flancher. L'Etat-Major de Dagaz, quant à lui, reconnaît la valeur de cette pièce d'appui mobile, qui permet de combler les lacunes entre l'artillerie lourde et les mortiers d'infanterie. Avec son bruit distinctif lors du tir - une signature aussi terrifiante que ses effets -, le "Malleus" s'impose aujourd'hui comme un atout incontournable des batteries d'appui de Dagaz, poursuivant l'héritage des armes de saturation dont l'efficacité n'a jamais faibli à travers les âges de la guerre. 

 

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Rechargement d'une pèce de Malleus, les roquettes WGr48 pèse chacune 3,2 kg. La tête de la roquette peut-être adaptée en différente variante (la bande de couleur indiquant sa nature) : charge creuse (rouge), charge explosive (jaune), fumigène (blanc), chimique (noire).

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La mise à feu électrique par câble est bien visible sur cette photo.

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Les servants ont pris l'habitude de le recharger, tout en conservant son pointage, afin d'éviter un nouveau réglage fastidieux. Cela oblige à un chargement "sportif".

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3 hommes sont déployé par Malleus, 1 chargeur, 1 pointeur et 1 chef de pièce. 

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Le bruit de départ est impressionnant et le sifflement des salves de roquettes est un bruit très caractéristique du Malleus.

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Le rechargement peut prendre du temps, les tubes peuvent être actionnées individuellement ou groupé, les tirs de combat sont entre 7 à 12 roquettes par salve, pour assurer une saturation effective.

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Cette vue permet de voir, que les servants d'artillerie sont équipé du fusil-laser type FASC-04

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Afin d'assurer un rechargement rapide, malgré le risque important en cas de tir de contre-batterie, les servants ont tendance à préparer les roquettes à proximité immédiate de la pièce.

On reconnait sur la photo, une batterie du 3ème Régiment de Dagaz, les "Diables Rouges".

+++ EN SAVOIR PLUS ? :

1er Régiment de Dagaz "Les Prétoriens" : 


2ème Régiment de Dagaz "Poing de Fer"
 

 

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Punaise je trouve ça génial en vrai.

C'est très creusé.

Et j'adore les dispositions des artilleurs très réfléchies, évocatrices, fluff, enfin c'est très bon.

La peinture et les conversions au poil.

Que c'est bon.

On espère qu'il y a beaucoup d'armements à leur inventaire...

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J'ai un ami dont la devise, à SR4 est : A chaque problème sa grenade...
 

C'est le même principe : exterminer l'adversaire sans trop s'exposer !

 

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Posté(e) (modifié)
Le 05/03/2025 à 13:47, gekko a dit :

Punaise je trouve ça génial en vrai.

C'est très creusé.

Et j'adore les dispositions des artilleurs très réfléchies, évocatrices, fluff, enfin c'est très bon.

La peinture et les conversions au poil.

Que c'est bon.

On espère qu'il y a beaucoup d'armements à leur inventaire...

Toujours merci pour tes commentaires qui me font plaisir. 

Le Malleus est dans les dernières unités que j'ai assemblée et la taille du socle offre un belle opportunité de faire quelque chose. Je ne voulais pas gâcher ça. 
 

Le 05/03/2025 à 15:42, Hammerstein a dit :

La véritable devise des régiments de Dagaz: "On a un canon adapté pour chaque adversaire possible" 😉

Peut-être car ma première armée (en WHB) était Comte Vampire, une armée dénuée d'arme de tir, je me suis lâché sur le sujet avec ma Garde Impériale. Enfin, je peux tout anéantir à distance 😅
 

Le 05/03/2025 à 17:06, aun shova a dit :

J'ai un ami dont la devise, à SR4 est : A chaque problème sa grenade...
 

C'est le même principe : exterminer l'adversaire sans trop s'exposer !

 

Et ca permet aussi d'attirer le tir plutôt sur tout ce qui a un canon et fait peur, plutôt que sur l'infanterie 😇
 

Le 05/03/2025 à 19:45, Tienus a dit :

J'aime bien ton style "Osprey".

 

La carte est vraiment le detail qui tue !

Merci, oui, Osprey est une source d'inspiration. 

Par contre, pour la carte... c'est un hasard, j'ai disposé sur le socle comme si des liasses de papier s'étaient trouvée soufflée dans la rue. J'ai placé juste au dessus d'un, le sergent, mais sans idée que le papier ferait une carte. 

+++
OCl18 15 cm "Bombast" - Entre le mortier et le Basilisk, l'obusier de campagne.


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Historique et développement

L'OCl18 15cm "Bombast" est une addition récente dans l'arsenal des Régiments de Dagaz. Conçu comme une pièce d'artillerie de campagne standard dans l'Imperium, l'État-Major de Dagaz a toutefois choisi de le reclasser en obusier, un terme correspondant mieux à son utilisation effective selon leur doctrine militaire.
 

Son intégration dans les Régiments de Dagaz résulte d'une étude approfondie de leurs besoins en puissance de feu mobile et soutenue. Tout comme le Malleus, son châssis a été remanié pour correspondre aux exigences de maniabilité des régiments dagaziens. La suppression du bras central du tireur facilite non seulement la mise en traction de la pièce, mais permet également une accélération du rechargement, offrant un cycle de tir plus réactif et limitant les risques d'accidents sur le terrain.
 

Malgré ces modifications, le Bombast reste fondamentalement une pièce standard de l'Imperium. Pour les lecteurs souhaitant approfondir l’histoire technique et doctrinale de cette arme impériale, l’ouvrage "Traité sur l'optimum balistique et la stabilité cinétique du modèle Bombast, tome XXI", rédigé par l'Acolyte-Archiviste Magos Balirus Draxius, offre une analyse exhaustive de ses performances et de son évolution.
 

Doctrine et emploi

Conçu pour le tir indirect à longue portée, l'OCl18 15cm Bombast est idéal pour marteler les positions retranchées, briser les concentrations de troupes ennemies et perturber les assauts blindés adverses. Sa portée et sa capacité à tirer des obus lourds en font une arme redoutable, mais son encombrement logistique et sa dépendance à un ravitaillement constant le rendent vulnérable aux offensives rapides.
 

Les doctrines d'emploi du Bombast varient selon les régiments dagaziens, son intégration étant encore en phase d’optimisation. L'état-major étudie encore son usage optimal et attend les retours d’expérience pour ajuster son déploiement stratégique. Si l’OCl18 15cm offre un compromis entre puissance et mobilité, son temps de mise en batterie est significatif et exige une planification méticuleuse des positions de tir. Il est fréquemment combiné avec des éléments de reconnaissance avancée pour maximiser son impact.
 

Expériences de combat
 

Les premières campagnes impliquant le Bombast furent menées dans le cadre de la Croisade Indomitus, notamment contre les forces renégates du secteur Zekros. Lors de la bataille de Zekros IV, les batteries dagaziennes du 4ème Régiment déployèrent ces obusiers pour pilonner sans relâche les positions adverses.
 

Un artilleur du 4ème Régiment, interrogé après cette bataille, résuma leur expérience de la manière suivante :

"Le Bombast parle, et l’ennemi s'egosille en cri inutile. On les a regardés courir sous nos obus pendant des heures, et à la fin, il ne restait plus que des cendres. Si ça, ce n’est pas la justice de l’Empereur, alors je ne sais pas ce que c’est."

Cependant, toutes les opérations n’ont pas été aussi concluantes. Lors des engagements dans la jungle hostile de Xyphos-Primus, la mobilité limitée du Bombast s'est avérée problématique. Son déploiement y a été rendu difficile par les conditions du terrain, forçant l'état-major à revoir son emploi sur des théâtres de guerre plus exigeants.
 

Conclusion
 

L'OCl18 15 cm "Bombast" illustre parfaitement l’approche dagazienne de la guerre : robuste, fiable et conçu pour maximiser la puissance de feu tout en restant pragmatique dans son emploi. Si son poids et sa logistique en restreignent parfois l’utilisation, il demeure une pièce essentielle de l’arsenal dagazien et continue d'évoluer à mesure que ses doctrines d'emploi se précisent.
 

Son impact sur la stratégie militaire de Dagaz est indéniable, et nombreux sont les officiers qui considèrent son déploiement comme un présage de victoire imminente. L’optimisation de son usage, en fonction des théâtres d’opération, sera déterminante pour inscrire définitivement cette pièce dans les traditions martiales des Régiments de Dagaz.

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OCl18 15cm en position, prêt à tirer. Ici déployer en terrain urbain.

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Un OCl18 15cm en position de tir, protégé des éclats du champ de bataille par son environnement immédiat. 

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Son encombrement oblige à réfléchir bien à l'avance de l'endroit idéal de son déploiement.

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3 hommes seulement suffisent à l'emploi actif de l'OCl18 15 cm, un chef de pièce, un chargeur, un pointeur. 

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Un OCl18 15cm en pleine action, le pointeur vient de tirer sur la commande de tir. 

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Tout comme pour le Malleus, les servants ont pris l'habitude très dangereuse d'approcher les réserves de munition, afin de maintenir une cadence de tir appréciable.

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Le rechargement sur le modèle Dagaz, avec la suppression du bras central, permet un chargement autrement plus rapide, autorisant au maximum 6 tirs/tour.

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Afin d'aider le pointeur, les tables de tir sont inscrite sur l'intérieur du bouclier, à gauche.

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Plutôt rare, cet officier utilise un béret comme couvre-chef, ils sont généralement plutôt usité dans les branches blindées des régiments. Ils ont l'avantage de faciliter l'usage d'un ComVox.

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+++ EN SAVOIR PLUS ? :


3ème Régiment de Dagaz "Les Diables rouges" : 

 



4ème Régiment de Dagaz "Les Inébranlables" : 
 


 

Modifié par Swissknife
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Ha, décidément, quelle description détaillée de cet armée; que ce soit sur l'aspect fluff (plusieurs pages que je n'ai pas encore osé lire entièrement, mais je prendrai le temps.) ou le côté plus technique de ces canons !

 

J'adore. Sans parler des menus détails comme la carte de tir sur le revers du bouclier 😉👍

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3. Défense aérienne :

3.1. Armement anti-aérien mobile


Vc.Sb 251 a/sDCA "Hydra" – Le mariage réussi du neuf et de l'ancien

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Conception et développement
 

Le Vc.Sb 251 a/sDCA "Hydra" est né de la nécessité d’adapter rapidement l’industrie de Dagaz aux standards impériaux tout en exploitant les ressources déjà disponibles. Lors de l’intégration à l’Imperium, les chaînes de production de la Fédération tournaient encore à plein régime, produisant en masse le Vc.Sb 251, un transport semi-blindé semi-chenillé robuste et éprouvé. Plutôt que d’abandonner cette production en faveur des modèles impériaux classiques, l’état-major et le Mechanicus local prirent la décision pragmatique d’adapter ces châssis pour divers rôles militaires.
 

Le mariage du châssis du Vc.Sb 251 avec la tourelle antiaérienne de l’Hydra impérial fut la combinaison la plus efficace et la plus pérenne. La modularité du châssis permettait une intégration rapide du système d’arme, tout en conservant une excellente mobilité pour le soutien aux forces terrestres. Aujourd’hui encore, cette variante reste en production, confirmant sa fiabilité et son efficacité sur le terrain.
 

Doctrine et rôle sur le champ de bataille

Le Vc.Sb 251 a/sDCA "Hydra" est conçu pour offrir une couverture antiaérienne efficace aux colonnes mécanisées et aux positions stratégiques des Régiments de Dagaz. Sa batterie quadritube de 35 mm à tir rapide lui permet d’engager aussi bien des appareils ennemis que des cibles légères au sol.

  • Défense mobile : Grâce à son châssis semi-chenillé, il accompagne les convois blindés et d’infanterie en terrain accidenté, offrant une protection immédiate contre les frappes aériennes ennemies.
  • Soutien feu-sol : Bien que conçu pour l’antiaérien, sa cadence de tir et la puissance de ses obus explosifs en font un excellent appui contre les concentrations d’infanterie, les véhicules légers et même certains blindés légers.
  • Déploiement rapide : Moins encombrant et plus facile à produire qu’un char Hydra traditionnel, il peut être déployé en grand nombre sur les fronts où la menace aérienne est élevée.
    (Nota hors fluff :  ca c'est bien sur le papier, en réalité j'en ai qu'un seul et il y en aura qu'un seul, s'était un plaisir unique car ca prend du temps et surtout c'est pas économique pour un sous cette conversion).

L’état-major de Dagaz a rapidement intégré le Vc.Sb 251 a/sDCA "Hydra" dans sa doctrine tactique, en l’utilisant à la fois pour sécuriser les têtes de pont lors des assauts et pour protéger les bases avancées.

Les avantages et les contraintes du modèle "Dagaz" de l' "Hydra"
 

L’un des principaux atouts du Vc.Sb 251 a/sDCA "Hydra" réside dans sa mobilité. Grâce à son châssis semi-chenillé, il est capable d’évoluer sur des terrains difficiles, suivant sans peine les formations blindées ou mécanisées, là où des véhicules antiaériens plus lourds peineraient à progresser. Sa production, plus rapide et économique que celle de l’Hydra impérial classique, en fait une solution avantageuse pour équiper massivement les régiments dagaziens. Son armement, bien que principalement conçu pour l’antiaérien, s’avère redoutable contre l’infanterie et les véhicules légers, offrant ainsi une polyvalence appréciée sur le champ de bataille.
 

Toutefois, cette conception pragmatique ne va pas sans compromis. Son blindage reste léger, limitant sa résistance aux tirs directs et le rendant vulnérable aux armes antichars ou aux frappes d’artillerie. De plus, son châssis semi-chenillé, bien qu’efficace en tout-terrain, offre une stabilité moindre par rapport aux plateformes chenillées complètes, ce qui peut affecter sa précision lors de tirs prolongés. Enfin, bien que fiable, son équipement de détection reste en deçà des modèles impériaux plus récents, nécessitant souvent un soutien en ciblage provenant d’autres unités pour maximiser son efficacité.
 

Malgré ces limites, le Vc.Sb 251 a/sDCA "Hydra" s’est imposé comme une pièce maîtresse de la défense antiaérienne dagazienne, prouvant qu’une approche pragmatique et éprouvée peut se révéler tout aussi efficace que les modèles standardisés de l’Imperium.

Héritage et impact

Avec le temps, le Vc.Sb 251 a/sDCA "Hydra" est devenu un élément emblématique de l’arsenal dagazien, reflétant l’approche pragmatique de la guerre propre aux Régiments de Dagaz. Son maintien en production témoigne de son efficacité et de son rapport coût/efficacité imbattable, confirmant qu’un bon design peut parfois surpasser l’innovation pure.
 

Si l’Imperium est souvent réticent à s’écarter de ses modèles standards, il n’a pas cherché à interdire cette variante, preuve de sa valeur tactique indéniable. 

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Le marquage sur ce véhicule indique qu'il appartient à la 4ème Batterie de "Défense Contre Aéronef" (DCA), et que c'est la 4ème pièce de la 2ème Unité de feu. 

 

hydra03.png

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Le symbole de l'aile représente l'insigne de la 4ème Batterie de DCA. La couleur indique ensuite l'unité de feu.

Noir : 1ère / Rouge : 2ème / Jaune : 3ème / Blanc : Unité de remplacement (ou 4ème).

hydra05.png

Fidèle aux couleurs grises, héritage de la Fédération, et habituée à opérer plutôt en terrain urbain, cela n'empêche pas les régiments de Dagaz d'appliquer un camouflage, toujours dans les tonalités grises. Le principe reste de casser les formes du véhicule, afin de le rendre moins vite détectable et aider à un camouflage plus élaboré si nécessaire.

hydra06.png

+++ EN SAVOIR PLUS ? : -> 4. Véhicule de reconnaissance

 

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Le 14/03/2025 à 09:24, Fredo du 13 a dit :

Magnifique il doit pas être bon d être un volant !

Merci, l'ensemble avec ces proportions rend la tourelle assez "grosse" effectivement.

 

Le 12/03/2025 à 11:09, Hammerstein a dit :

Impressionnante, cette conversion : parfaite alliance entre deux maquettes, l'une historique; l'autre de chez GW 👍

 

Je suis jaloux du rendu de l'écran du pc 😆


Merci beaucoup pour l'appréciation. 

Quand je vois tes réalisations, tu n'as pas être jaloux de l'écran du pc.
 

Le 12/03/2025 à 10:47, Aaltar a dit :

C'est une base de Sd.Kfz.250 ? 🤩 La tourelle est un poil balèze mais ça le fait ! :)

C'est une base de Sk.Kfz 251/17 2cm Flak38 (mais je ne me souviens plus du fabricant) au 1/35ème. L'échelle la plus proche de nos fig'. Couplé à la tourelle d'un Hydra. J'ai récupéré le châssis de Chimère pour un autre véhicule, qui arrivera plus tard dans la présentation.

Effectivement, la tourelle fait un peu lourde, surtout, je pense que le châssis en réalité serait déformé dès la 1ère salve des canons, mais on est dans le "fantastique", tout est permis 😅


4. Véhicule de reconnaissance :

4.1. Véhicule longue distance


Vh.Rc.Bl "Taurox-6r" – La chenille impériale devenu un papillon Dagazien (en toute modestie)

Taurox01.png

 

Conception et origine :
Face au besoin croissant d'un véhicule de reconnaissance avancé capable d'opérer sans support orbital, l'État-Major des Régiments de Dagaz a cherché à remplacer ses anciens véhicules issus de la Fédération. Ces derniers, devenus obsolètes technologiquement et en proie à des pannes récurrentes, ne pouvaient plus assurer leur rôle efficacement.
 

Le Taurox s'est rapidement imposé comme une base idéale : son blindage, sa conception modulable et sa robustesse en faisaient un choix naturel. Toutefois, son train de roulement chenillé, bien que performant en tout-terrain, limitait son autonomie et sa vitesse de pointe, deux aspects cruciaux pour les missions de reconnaissance et d'observation avancée.
 

Les forges du Mechanicum sur Dagaz ont donc entrepris un remaniement en profondeur du châssis, aboutissant à la création du Vh.Rc.Bl "Taurox-6r", une version à six roues motrices, optimisée pour la rapidité et l'endurance en opération prolongée.
 

Caractéristiques techniques

  • Train de roulement : passage d'un système chenillé à un châssis 6x6, offrant une meilleure autonomie, une vitesse accrue et une maintenance simplifiée.

  • Blindage et protection : surélévation du bas de caisse pour faciliter le franchissement, conception en "V" pour atténuer les effets des explosions de mines.

  • Systèmes de visée et d'observation :

    • Tourelle équipée de deux autocanons impériaux de 20mm.

    • Caméras infrarouge et thermique pour les opérations nocturnes et en conditions difficiles.

    • Pod sur le toît (à droite de la tourelle) contenant un détecteur de mouvement et un télémètre automatique.

    • Désignateur laser pour le guidage de l'artillerie et des frappes aériennes.

  • Systèmes de communication :

    • Antenne HF à longue portée pour la coordination des forces.

    • Poste radio et écoute, permettant à un troisième membre d'équipage de servir d'opérateur.

  • Autres aménagements :

    • Ajout de rétroviseurs externes, solution pragmatique pour les manœuvres rapides en cas de désengagement d'urgence.

    • Support latéral pour une roue de secours.

    • Possibilité de stockage de jerrycans et de caisses de munitions sur le toit, renforçant son autonomie en mission prolongée.

 

Doctrine et emploi

Le Taurox-6r est principalement affecté aux unités de reconnaissance avancée et d'observation pour l'artillerie. Son blindage plus léger que les transports de troupes conventionnels est compensé par une vitesse supérieure et un armement dissuasif. Son rôle tactique dépendant de son affectation. Il peut-être utilisé par les unités de reconnaissance pour cartographier le terrain et identifier les menaces en l'absence de support orbital. Tout comme ses unités peuvent l'utiliser pour intercepter les communications ennemies ou brouiller les fréquences. Toujours dans les unités de reconnaissances, il peut-être utilisé pour amener rapidement une unité de Troupes de Choc sur un objectif, afin d'en assurer sa capture et le Taurox restera alors en couverture.

Son autre usage, est au sein des unités d'artillerie, où grâce à ses systèmes avancé de désignation laser et de transmission des coordonnées automatisées, il participe activement aux frappes précises et meurtrières des Basilisk.

 

Conclusion

Le Vh.Rc.Bl "Taurox-6r" incarne la philosophie pragmatique des régiments de Dagaz : un compromis entre vitesse, puissance de feu et capacités de reconnaissance. Son adoption dans les unités de reconnaissance et d'artillerie a déjà prouvé son efficacité, et son succès sur le terrain continue de justifier son développement et sa production en série.

Là où le Taurox standard est conçu pour la frontale brutalité de l'assaut, le Taurox-6r préfère l'anticipation et la précision de la frappe ciblée. Une approche typiquement dagazienne de la guerre.

Mais le "Taurox-6r" n'est pas la seule adaptation du Taurox dans les Régiments de Dagaz, il en a été aussi réalisé une version dite de "Commandement avancé". 

Taurox02.png

Le passage à un système de 6 roues motrices et le besoin d'être résistant aux souffles des mines ennemies à amener à un engin particulièrement haut perché, nécessitant une bonne forme physique des membres d'équipage pour monter à bord.

 

Taurox03.png

Le système de maintiens de la roue secours est hydraulique, permettant de libérer cette dernière sans intervention de l'équipage. 

 

Taurox04.png

Cette vue de face permet d'observer l'ajout des 2 rétroviseurs mais surtout du pod électronique d'artillerie à droite (dans le sens du véhicule) de la tourelle.

Taurox05.png

Sur la droite, on voit le départ de la longue antenne HF nécessaire à toute bonne opération de reconnaissance.


Taurox06.png

La page arrière du véhicule a été repensée pour s'accommoder de toute charge utile nécessaire aux missions longues distances.

Taurox07.png

L'intérieur d'un Taurox-6r reste tout aussi spartiate que son équivalent impérial. On notera l'artilleur qui a son siège en position haute (occupation de la tourelle), délaissant ainsi ses moniteurs d'observation et de guerre électronique, visible tout à gauche de l'avant du véhicule.

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Le poste à droite de la porte, et celui pouvant être occupé par un 3ème homme d'équipage, servant à la guerre électronique avancée.
Le Taurox-6r est totalement hermétique et viable en cas de guerre bactériologique. On aperçoit le système de filtration sous la console de guerre électronique avancée.

Taurox09.png

6 occupants supplémentaires peuvent être facilement transporté dans le Taurox-6r, dans un confort plutôt agréable comparé à une Chimère.

+++ EN SAVOIR PLUS ? : -> 4.2 Véhicule de commandement avancé

 
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Hé, pas mal ce Taurox, sans doute plus confortable qu'un Goliath et au moins aussi solide 😉

 

Si le régiment de Darax a besoin de professionnels pour la maintenance de ses véhicules, le nouveau gouvernement de Belqav sera ravi de vous fournir une main-d'œuvre qualifiée 😁

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J'aime beaucoup la maquette a priori, mes orks auraient bien aimé en voler une, et ta version haute sur pattes est vraiment très alléchante.

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