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Récit en commun


Invité Snikch, le maître de la nuit

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Invité Snikch, le maître de la nuit

Pourrais je savoir tout d'abord a qui j'ai l'honneur de parler?

Quant a l'aubergiste, mieux ne vaut pas le déranger pour l'instant, lui et sa femme doivent prendre une importante décision.

Mais une intuition(/ou une fiche de perso lol/) me dit que vous pouriez etre très utile pour demmeler cette histoire.

Par exemple, pour savoir d'ou le coup est parti. Je me trompe?

Mais venez asseyons nous et présentez vous.

Pour ma part je me nomme Viorala et, comme vous pouvez le voir, je suis une elfe.

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Invité Feurnard

- Quant à moi, je suis Frederich et je n'ai pas envie de m'asseoir.

"Bien joué. Finement joué. Bon, qu'est-ce qu'il me reste ?" Elle était elfe, en effet. Viorala. Pourquoi son coeur s'emballait-il ? Oublier, se concentrer sur sa mission. A présent, plus aucun doute : le tireur avait fui.

- Puisqu'il m'est désormais impossible de poser des questions, autant donner des réponses.

En quelques pas, il revient sur la place où se tenait la victime. Déjà sa mémoire reconstituait la scène. Son corps tout entier fut parcouru du frisson de la mort.

- La victime n'a pas hurlé lorsqu'elle a été touchée. Cela veut dire que le projectile était endui d'un calmant très puissant, ce qui me semble peu plausible, ou alors qu'elle a aussitôt été projetée au sol. En effet, le choc aura frappé ses poumons, l'empêchant d'user de la totalité de sa respiration. Ensuite, c'est l'évanouissement par semi-asphyxie.

Tournant autour de la scène, il cherche dans sa besace, sans se presser. Il ne voit plus désormais sur le parquet que le corps effondré avec sa pointe noire dans l'épaule.

- Pour obtenir un tel effet, le trait n'a pas dû être tiré du sol mais des hauteurs. En effet, tiré du sol, le trait aurait poussé sa victime vers le haut et permi de lui arracher le cri. Tiré d'en haut, le trait la projette violemment au sol et lui coupe le souffle. La position du corps, elle, est révélatrice.

Il souriait. Finalement, tout n'était pas si désespéré. Une fois encore, ce don inné des ingénieurs lui revenait à l'aide. Et pourtant, il marchait en terrain si vaseux que ses jambes en tremblaient.

- Un tir à l'épaule aurait dévié le point de gravité sur le côté et fait tourner le corps. On l'a retrouvé face contre terre avant de la retourner, je me trompe ? Evidemment, puisque le tireur a touché alors qu'elle entamait un tournant. Cela se remarque aussi à l'angle...

Enfin, sa main victorieuse retira le précieux appareil de calcul doré qu'il s'empressa d'utiliser, comme confirmation de ses dires.

- ... angle qui n'est pas droit. Le trait ne l'a pas propulsé vers l'avant mais sur le côté. Pour un tel tir de précision, il faut deviner le prochain déplacement de la cible et donc...

Rangeant son appareil, il s'accroupit et regarde sur le côté. La flamme de la réussite brûle dans ses yeux.

- ... il fallait un angle suffisamment dégagé pour la voir venir. Seule une fenêtre offre un tel angle de vue. Ajoutons une position stable, relativement camoufflée si l'on tient compte de la luminosité et décalée de sorte à voir venir la cible...

Sa main se leva telle un couperet, désignant sans hésitation un point précis au lointain. Il ne bougeait plus, extasié par ses propres paroles. Trop simple, trop évident et ne reposant que sur des souvenirs que lui-même cherche à oublier. Mais le résultat est là et, quitte à n'avoir que cela, autant s'en suffire.

- ... il n'y a qu'une position possible. Celle-là.

L'avait-on seulement écouté ? L'avait-on compris ? Qu'importait, lui avait bien suivi le raisonnement et l'irait développer sur place. Mais pour l'instant, ses souvenirs le rongeaient et il devait y mettre fin.

- Mais dites-moi, et la victime ? Comment se porte-t-elle ?

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Invité Snikch, le maître de la nuit

Et bien elle est a un stade incertain.

La blessure est très profonde, l'os a été fracturé et les tendons arrachés.

Mes soins ne peuvent hélas qu'arreter la douleur, mais pour soigner cela il me faudrait de la magie.

Mais dite moi, vous avez aussi quelques notions en médecine.

Pourquoi désiriez vous voir les parents de la victime?

Je retourne les voir, désirez vous m'accompagner?

Et sans plus attendre, Viorala se leva de sa chaise et partit vers la pièce ou se trouvaient le couple.

Bientôt suivit par l'ingénieur.

Une dernière question, lui murmura t'elle a l'oreille,d'après vous se pourrait il que le tireur soit encore parmi nous?

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Invité Feurnard

- Un instant. Cela fait beaucoup de questions.

Debout, immobile dans une salle en effervescence, il cherche des yeux d'autres personnes intéressées par l'affaire. Beaucoup retournent à leurs occupations, d'autres se préparent à partir. Sans doute allait-on déjà avertir la garnison, acte le plus logique de cette matinée.

- Vous avez bien dit "les parents" ? vous parlez bien de l'aubergiste ? Je commence à comprendre...

Une évidence venait de l'assaillir et en benêt, il l'avait laissé le flageller. Son seul pardon fut de ne pas s'y être intéressé plus tôt. Mais il fallait enchaîner, vite, avant de perdre le fil.

- Le tireur n'a guère de raison de rester parmi nous. Il pourrait s'agir d'une diversion mais le coup a été trop bien ajusté pour qu'il ne s'agisse que de cela. Il lui aurait été également inutile de vouloir simplement la blesser pour la tuer par la suite. Malgré tout, le mieux reste de demander à la garnison un garde pour protéger la petite, du moins jusqu'à ce que nous en sachions plus.

Cherchant au plus profond de ses souvenirs, il ne trouvait aucun événement comparable et donc aucune aide pour le soutenir dans sa tâche. Mais à présent, il ne lâcherait plus l'affaire.

- Notre meilleure piste reste l'interrogatoire mais je ne veux pas l'entreprendre sans savoir exactement à quoi m'en tenir. Il suffit de bien peu pour renfermer une personne sur elle-même, surtout dans de telles conditions. Je préfère leur laisser une journée de repos, à méditer.

A nouveau sa main fragile agita la chevelure courte de noir charbon, signe de réflexion intense. L'idée, elle, était déjà toute formée mais il l'établissait dans un planning de plus en plus strict. Ne jamais agir d'instinct ; toujours savoir quoi faire ; jalonner la piste et marcher pas à pas, sans se presser, avec l'assurance de ne rien laisser passer.

- Le mieux pour le moment serait d'inspecter la position de tir. Peut-être y trouverons-nous des indices, même insoupçonnés. Si je ne me trompe, il y a déjà quelqu'un dehors. Je m'en vais le rejoindre et vérifier avec lui ce lieu. Pendant ce temps, je vous conseille de surveiller l'enfant... et les parents également. Mais ne les mettez jamais ensemble ou nous serons confrontés à une catastrophe.

Bien parlé, mûrement réfléchi. Ca prend forme, ça prend forme. "Attends, elle avait posé une dernière question..." se rappela-t-il alors, comme ses jambes l'emmenaient vers la porte. L'éclair se fit soudain.

- Quant à mes capacités en médecine, si vous tenez à le savoir, mon dernier souffrant est mort.

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Aedraüg avait suivi Barildor à l'extérieur.

L'étrange et peu bavard homme avait remarqué les traces de pas. Ils les suivirent ensemble. Celle ci se raprochait de l'auberge puis piétinnaient devant la fenêtre, visiblement leur propriétaire avait jeté un coup d'oeil discret. Ensuite, elles repartaient en direction de la forêt, vers un grand arbre.

Au moment ou ils l'obsevaient cela, on put entendtre l'impérial crier " ... il n'y a qu'une position possible. Celle-là." Il se retournèrent et le virent désigner l'arbre qu'ils avaient repérés et plus précisément un point à mi hauteur.

Il se précipitèrent à toute allure vers le sapin en question. Sur un signe de Barildor, Aedraüg commença à monter le long du tronc. A certain endroit, la neige avait été bousculé, confirmant la théorie de l'impériale. Il atteignit enfin une branche dégagé de toute neige, comme si quequ'un s'y était assis. Il toucha l'écorce, elle était encore relativement tiède. L'homme était resté longtemps et n'était parti que depuis peu.

Il se mit en quête d'un autre indice, il ne put trouver qu'un bout de tissu. Redescendant en montrant fièrement son trophée à son compagnon, il se dirigèrent ensemble vers l'auberge.

Snikch, comme sa, si tu avais une idée de base, tu choisis c'est quoi le bout de tissu..... Personnellement, je verrais bien un bout de tissu noir, un morceau du col d'une cape assez noble avec une petite goute de sang :whistling: , non ?

-- Aenario --

Modifié par Aenario
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Invité Snikch, le maître de la nuit

Une fois qu'elle eut observé l'aubergiste et sa femme, Viorala était certaine qu'ils avaient pris leur décision.

Alors,qu'avez vous décidé?

Bien,soignez la, mais faites vite je vous en prie...

Sans ajoutez un mot elle se dirigea vers la chambre.

La petite dormait toujours.

Elle défit son bandage, puis s'emparant d'un couteau commenca a réciter l'incantation la liant a la jeune fille.

Plus que de dévelloper cerrtain pouvoir, la fillette aurait une espérance de vie beaucoup plus longue que les autres humains.Et elle pourrait certainnement pratiquer la magie a partir de maintenant.

Dans un halo de lueur bleutée, elle s'entailla la main, puis la serra au dessus de la blessure.

Après quelques instants la blessure commenca a fumer, la jeune fille se cambra alors.

Viorala ne pouvait détaché son regard de la blessure, l'os se se reforma, les tendons se soudèrent a nouveau, jusqu'a ce que la blessure fut totalement refermée.

Il fallait encore du repos a la fillette.

Et il était temps pour elle de savoir qui avait bien pu tirer ce carreau.

Elle sorti de l'auberge, et apercu l'impérial qui s'avancait vers le magicien et un autre humain quel n'avait pas encore remarqué.

Quand elle arriva au lieux dit, elle remarqua grace a sa vue percante une tache de sang sur un buisson, et les branches cassées ne pouvaient signifier q'une chose: le meurtrier était passer par la.

Elle alerta les autres.

Leurs demandant si ils allaient suivre la piste avec elle, elle demanda a celui ou ceux qui resterait ici d'aller chercher du renfort a l'auberge.

Puis sans attendre plus, elle s'élanca a la poursuite du meurtrier.

Qu'on la suive ou non n'avait pas d'importance, mais ele aurait bien aimé en savoir plus sur cet impérial.

De toutes facon, elle avait déja sa petite idée du coupable...

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Invité Feurnard

"La voilà bien pressée. Cela va faire plus de dix minutes que le coupable s'est enfui." Sa curiosité fut la plus forte. Saluant les deux personnages au-dehors, il observa avec une attention toute feinte le bout de tissu et encouragea, bien que le besoin ne s'en soit jamais fait sentir, l'homme à approfondir cette piste. "Un homme, tu parles ! Un elfe, oui. D'ici à dix ans, ils auront remplacé l'humanité." Puis il jeta un regard sur la branche. Aedraüg eut la bonté de lui raconter ce qu'il y avait trouvé. Enfin, il s'approcha du buisson et, regardant calmement du côté où s'en était allée la charmante femme, il pensa tristement être trop vieux pour ces aventures.

- Du sang, oui, il y a du sang.

Pourquoi avait-t-il toujours cette impression de faire du monologue ? Sans doute ne considérait-il jamais les autres. Avec cette aventure, il se rattraperait.

- S'il y a du sang, c'est que le tireur a été blessé. Comment ? Soit un incident, soit une rixe. En ce dernier cas, elle n'a pas pu avoir lieu lors du tir. Mais cela voudrait dire qu'une personne l'a vue. Je... je ne comprends plus.

Anéanti. Avant le tir, il aurait créé du bruit et de l'agitation. Après le tir, il aurait été retardé : or un homme sortait déjà. Et puis, il n'y avait qu'une seule trace. Donc, c'était un incident, mais où ? Frederich ne voyait pas d'autres solutions. Se calmer, reprendre depuis le début. D'abord, les empreintes de pas dans la neige. En trouver une intact et s'en souvenir, vérifier la taille, la forme.

Il était resté un instant sur la marque profonde dans la neige. Puis il monte sur l'arbre et prend la pose du tireur. Avec sa lunette, il observe l'intérieur de l'auberge. Pas de doute, le lieu idéal. Mais alors, pourquoi être d'abord allé regarder à la fenêtre ? Un contact, peut-être. Bien. Maintenant, les parents.

Frederich traversa la salle et entra dans la chambre ou Wilheim réfléchissait, au bord des larmes.

- Je vous prie de m'excuser. Frederich Hertzenger, officier impérial au service de l'Empereur. Je prends en charge l'enquête jusqu'à l'arrivée des renforts, à la garnison.

Une seconde laissée à la réflexion, afin que chacun puisse jauger l'autre. Il sait ne pas devoir entrer dans le vif du sujet ou les parents seront brisés.

- J'ai parlé tantôt à une dame nommée Viorala. Vous la connaissiez ?

- Non. répondit en sanglot la mère effondrée.

- Selon elle, votre enfant va s'en sortir.

- Oh, elle a réussi !

"Réussi quoi ? Qu'a-t-elle encore entrepri ? Qu'importe, je n'ai pas le temps."

- Dites-moi, peut-on la voir ? Oh, il faut que je la voie !

- Votre fille a besoin de repos. Vous également. La garnison arrive et nous allons encore inspecter les lieux avec minutie. J'ai également constaté que la poursuite débutait déjà. Mais la routine veut que je vous pose quelques questions.

Mensonges. Que des mensonges. Une hypocrisie que l'on ne devrait pas autoriser. Le seul moyen de rassurer les parents.

- Bien... allez-y.

- Vous vivez seuls ici ?

- Oui, ma femme, ma fille et moi.

- Avez-vous reçu avant ce crime affreux des menaces ou des avertissements quelconques ? Un client mécontent, un voleur prit la main au sac ou quoi que ce soit d'autre ?

Les rappeler à la réalité, leur feindre la plus parfaite ignorance et la quiétude. Ne leur peindre leurs embarras que sur une toile de sécurité absolue. "On s'en sort bien mais la suite va se corser." Une fois encore il pensa à la demande de cette Viorala. "Il y en a d'autres pour cela et rien ne sert de se presser..."

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Invité Blackangel

Alors Barlidor décida de suivre Viorala discrètement, l'arbalète dans les main laissant son arc dans son dos prêt à en découdre, car il ne pouvait pas la prévenir avec ses cordes vocales ensorcelées.

bon qui sais peut être que mon aide pourrais lui servir et aussi ça me fera visiter la région et rencontrer peut être quelques vampires à dépeusser.

Se dit-il dans sa tête comme il le faisait encore plus souvent depuis qu'il avait perdu la parole, tout en entretenant des conversation avec une petite voix soit pour s'arrêter dans sa connerie volontaire ou plutot en rajouter soit tout simplement pour s'occuper mais il n'était pas cinglé pour autant en fait il définissait ce personnage imaginaire qu'il ne voyait pas mais qu'il faisait parler comme une petite machine à déconner.

A tiens il faudrait que j'm'achète des flèches et des carreaux parce que c'est pas avec une petite vinghtaine que je vais survivre dans ce monde. Mais je suis bête je ne les achètes pas..... Barildor! Oui petite voix? ta gueule!

Modifié par Blackangel
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"-Deux hommes et une elfe.

-Une elfe ?

-Oui, répondit l'aigle, en se lissant les rémiges. Une dénommée Viorala, d'après ce que j'ai ouï.

-Et elle court dans les bois, comme ça ?

-Les deux humains la suivent de près, fit l'harpie en hochant la tête.

-Une poursuite ?

-Je crois qu'ils chassent ensemble la même proie.

-Peut-être cette créature qui nous a opposé aux skavens", conclut Lamenoire en essuyant son épée dans l'herbe neigeuse.

Tout autour d'eux, une vingtaien de corps d'hommes-rats gisaient, horriblement lacérés. Tous étaient morts ou mourrants, les pattes tranchées et les bedaines éventrées. Le rôdeur déchu se rappela comment il en était arrivé là.

Le barde d'abord, et ses légendes sur la sylvanie. Les monstres de la nuit. Le Mal. Un travail digne de Lamenoire ! Le voyage à travers l'Empire. Et puis l'embuscade. Aux abords de la forêt, une troupe de maraudeurs. A la lisière, un être enveloppé dans une cape noire, accompagné de skavens. Lamenoire lui a barré la route, il a laché sur lui les skavens. Alors le rôdeur dégana sa lame...

"-Allons tirer cette affaire au clair !" lança Lamenoire, en grattant affectueusement la crête de plumes sur le front de Doubleserre.

Et les deux amis partirent dans la direction indiquée par le rapace.

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Invité Snikch, le maître de la nuit

Et bien a vrai dire oui, hier, ou avant hier, je ne sais plus...

Un étrange homme est venu, il marmonnait des choses imcompréhensibles et on aurait dit un cadavre tant son odeur était forte.

Et puis quand ma fille est descendue de l'étage, il l'a regardé, puis d'un coup il c'est jeter dessus...

Mais avant qu'il est eu le tant de dire ouf, il s'est retrouvé face contre terre, le sergent Karl, de la garde était dans l'auberge.

Malheuresement l'inconnu c'est échappé...

Vous pensez que cela pourrais avoir un rapport avec... avec ce qui c'est passer ce matin???

Wilheim attendait, la réponse de son interlocuteur.

A doite, et maintenant a gauche.

Le tireur ne suivait pas un chemin qu'il connaissait, on dirait qu'il tentait de fuir quelque chose, quelque chose ou quelq'un.

Viorala s'areta en bordure d'une petite clairière, faisant signe a son compagnon de ne plus bouger.

La, au centre de la clairière, se trouvait un gigantesque loup.

Sa chair partait en lambeaux, et il semblait etre mort depuis des jours.

Sans bruit l'elfe s'empara de son arbalète a répétition.

Elle visa tout d'abord le coeur, mais finalement se dirigea vers l'oeil.

Au moment ou elle tira le loup se retourna.Juste a temps pour voir le trait qui lui explosa la boite cranienne dans une gerbe écarlate.

non loin du cadavre Viorala remarqua un parchemin souillé de sang séché et a moitié déchiré.

Elle retourna près de l'humain, puis lui fit signe d'allez chercher les autres.

Une fois ce dernier parti elle s'enfonca un peu plus dans les ténèbres de la forêt.

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"-Elle l'a tué. Elle a tué le loup.

-Arr ! En voilà une qui sait tirer ! remarqua Doubleserre.

-Possible, mais c'est peu banale pour une elfe. Suis-la discrétement, elle ne se méfiera pas d'un aigle. Au moindre problème, rejoins-moi. Pour ma part, je reste ici à attendre ses compagnons. J'ai besoin d'explications."

L'aigle harpie aquiesca et s'envola entre les troncs noirs des sapins.

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Invité Blackangel

Nan mais elle me prend prend pour qui. Pour un pauvre con et tu le sais très bien! La p'tite voix tu peux la fermer stp j'essaye de me concentrer. tu veux te concentrer comment, sans cerveau ça va être difficile hihiihi! La p'tite voix tu as un humour pas possible, tu peux partir maintenant?Bon d'accord je m'en vais. A tiens j'ai une idée.

Alors il se hissa sur une petite falaise d'où il pouvait voir l'auberge. Il pôsa son arbalète, pris son arc, son calpin et commença à écrire un petit message qu'il attacha à une flèche et la projeta juste à côté des murs de l'auberge après s'être assuré qu'il n'y aurai pas de tué.

Oh joli le lancé! Merci la p'tite voix enfin j'ai eu de la chance j'aurai pu tuer quelqu'un mais comme dirait mes cher amis "Qui ose vaincra"..... ouai bah t'as fini maintenant? d'accord je me tais.

Il reprit la route sans se faire remarquer par l'elfe

Y a pas plus difficile que de suivre un elfe!

Modifié par Blackangel
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Invité Snikch, le maître de la nuit

vous comptez me suivre longtemps comme ca, demanda t'elle au semi muet.

Vous êtes aussi discret qu'un ours.

Bon rentrons de toutes facon, sa piste disparait et il est temps de revenir a l'auberge.

Une fois dans l'auberge elle se dirigea vers le maitre des épées et engagea la discussion avec ce dernier.

Bien le bonjour, que venez vous donc dans cette contrée?

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C'est qui le maître des épées ?

Aedraüg se dirigea vers l'autre elfe et l'interpella :

"Alors qu'avez vous trouvez ? Pour ma part, j'ai pu récupéré ceci en haut de l'arbre"

Il lui tendit le bout de tissu. Ensuite, sans attendre de réponse il sortit. L'heure du repas était proche et visiblement, il n'y aurait pas assez de sanglier pour tout le monde. Il entra dasn la forêt en prenant soin d'éviter la piste de l'agresseur pour en pas détruire d'éventuels indices. Soudain, il entendit un craquement dans son dos, il se retourna et crut apercevoir une silhouette humanoïde. Il cligna des yeux, l'apparition avait disparu.

Il trouva finalement son bonheur dans une clairière, à un cours d'eau se désaltéraient une famille de cerf et un vieux sanglier. Caché dans un coin, il prit le temps d'adresser une prière à Isha pour que la déesse l'autorise à prélever de quoi le nourir ainsi que ces amis. Soudain, il leva les bras. Ses yeux brillaient tel deux rubis, il écrat les bras et tira à deux reprise. Deux trait enflamé vinrent se ficher dans l'encolure du vieux sanglier et d'un cerf.

Il ramena ses duex prises à l'auberge ou chacun commençait à exposé se conclusion afin que l'on répartisse les taches. Il donna les animaux quelque peu carbonisé à l'aubergiste afin qu'ils les préparent.

--- Aenario, je commence à comprendre plus ou moins .... ---

Modifié par Aenario
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Invité Feurnard

Frederich avait terminé l'interrogatoire plus tôt, sans rien avoir appris de plus. Se tournant vers Viorala, il aborda un sourire léger.

- Hier à peine, les parents de la jeune victime étaient visités par un homme à l'allure cadavérique. Le sergent Karl ne devrait plus tarder pour nous renseigner à ce sujet. Nous sommes proches de la Sylvanie et les habitants racontent beaucoup d'histoires sur les êtres nocturnes à longues dents. J'ai beau penser qu'il ne puisse s'agir de cela, les parents semblent assurés.

Prenant un siège, il s'affaissa avec toute la charge de ses vingt-neuf ans. Trop vieux dans sa jeunesse. Il mourra avant l'heure.

- Mais moi, je ne sais plus que penser. Comment le tireur s'est-il blessé ? Pourquoi avoir tiré l'épaule et handicaper ainsi la victime ? Je ne vois là qu'une menace sourde pesant sur cette famille. Mais pour en savoir plus, il me faudrait... non, ridicule. Messieurs, je suis ouvert à toute suggestion pour espérer répondre à cette question : comment retrouver le tireur ?

Modifié par Feurnard
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Invité Snikch, le maître de la nuit

C'est Inxi

Ne dit on pas le criminel revient toujours sur le lieu de son crime?

Vous devriez peut etre croire plus a ses histoires,les morts qui marchent debout ne sont pas une invention des grands mères pour effrayer les enfants.

Tout a l'heure,dans la foret, j'ai tuer un loup en état de putréfaction avancée.

Et pourtant il aurait été très a màma de vous arracher un bras.

Mais regardez plutot ceci, j'ai trouvé ce parchemin par terre, et ce sang m'a tout l'air d'être humain.

C'est une langue ancienne mais que je ne réussie pas encore a traduire.

Mais vous le comprendrez avant ce soir.

A mon avis nous ne devons pas trop rechercher de l'aide auprès de l'armée.

De touts facon ils risquent d'etre très occupés avec les troubles du nord.

Mais n'avez vous pas faim?

L'un d'entre vous sait il cuisiner?

Bon pour ma part je ne le sais pas, donc j'attendrais q'une ame charitable m'offre un bon repas.

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"Ma foi, il y a fort peu de chance que nous le retrouvions. Il a du disapraître dasn la forêt. Si les histoire qui courent son réel comme le prétend cette femme, il a peut-être rappelé à la vie le cadavre du loup pour couvrir sa fuite. Et si c'était vrai, et si nous avions à faire avec un vampire ?"

Puis il se tourna vers Viorala.

"Eh bien si personne ne se propose, je veux bien essayéde tirer quelque chose de ces deux animaux."

-- Aenario --

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Après avoir recu le tissu, Ticris essaya de remettre de l'ordre dans ses idées et de faire le point. Les autres occupant de l'auberge s'éparpillait de partout et semblait avoir comprit ce qui allait se passer. Lui à part que leur adversaire pouvait être un mort vivant, il ne voyait pas ce qu'il y avait d'autre. Le temps qu'il face le point et qu'il aille se degourdir et les jambes et les bras, la majorité des personnes étaient rentré. Il décida de donner un coup de main à Aedraüg pour la nourriture

@+

-= Inxi, Dsl mais j'arrive pas à rentrer dans l'histoire :whistling: =-

C'est quand qu'on rencontre Largen dans l'histoire ? :innocent:

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Invité Blackangel

Barildor entra pour une seconde fois dans la maison accueillante des aubergistes, la flèche qu'il avait lancée à la main et toujours entouré par le message. Ils décida alors de s'assoir à la table de son compagnon de route.

-Mouhouou dit-il

Idiot tu peux plus parler! A après un mois je suis toujours pas habitué.

Alors il sortit une fois de plus son calpin et son crayon et adressa un bonjour écrit à toute la table.Ce qui lui vallu les rires de l'assemblées

- allez vous..... oups je parle..... et il s'arrêta une fois de plus pour tomber dans son mutisme.

Modifié par Blackangel
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Invité Feurnard

La première réaction de Frederich fut de rire. Un bon grand rire fendu qu'il ne put se réprimer. Après tous ces événements, cette attitude lui rendait la vie qui manquait à l'établissement. Puis une nouvelle pensée ajouta à sa joie. "Ils pourraient laisser cuisiner l'aubergiste..."

Toutefois, la menace du vampire était suffisante pour qu'il la prenne en considération. Selon les légendes, on le tuait par le soleil, l'eau bénite (mais par qui ?), le pieu ou la balle d'argent. "Mince, j'en ai pas. C'est malin."

- Bien. Pourquoi pas. Si tout le monde décide que nous avons un vampire, je ne dirais pas non. Et puisqu'il n'y a rien de mieux à faire pour le moment, je m'en vais aller garder la porte de la victime. Il serait trop bête que notre ennemi y monte et l'emporte, n'est-ce pas ?

"Faire très attention dans l'escalier, veiller à ne pas se faire surprendre" se dit-il tout du long de sa montée, sur ses gardes, l'arme au poing.

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Avec l'aide du maître des épée, Aedraüg préparait à mangé. L'aubergste et sa femme était encore sous le choc. "Vous devriez rejoindre le chevet de votre fille, nous nous chargeons de tout"

Après avoir coupé les 2 sanglier et le cerf, Ils les posèrent sur une grille de fer. Le mage la saisit à deux mains et ferma les yeux. Le métal se mit à rougeoyer. "Si tu chauffe trop fort, seul l'extérieur sera cuit", lui dit le maître des épées. Tandis que les deux Sapheryen discutaient nourritures. Le conseil de guerre se poursuivait.

Finalement, ils servirent aux autres des brochettes qui bien que savoureuse étaient ... comment dire ... croustillante. "Eh bien ma foi, si ce sont effectivement des longue-dents, ils craignent le soleil, nous avons encore toute l'après-midi pour se préparé. Néammoin, j'aimerasi comprendre une chose : Pourquoi donc ont ils attaqués et uniquement blessé cette jeune fille ?"

-- Aenario --

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A ce moment la porte s'ouvrit largement, et une forme noire entra dans la taverne : Lamenoire Gandacier.

Il avait suivi l'elfe jusqu'à l'auberge, puis s'était décidé à entrer, ayant senti la bonne venaison.

Sur son épaule, Doubleserre l'aigle harpie regardait de ses deux yeux dorés les brochettes grillées à point, l'air affamé. Le rôdeur salua les convives :

"-Bonsoir la compagnie ! Permettez-moi de me joindre à vous."

Il alla droit vers le comptoir, et s'adressa à Aedraug :

"-J'ai cru comprendre qu'il se passait dans la région quelque mauvais tour. Vous pouvez compter sur mon aide, je serais trop heureux de me joindre à votre mesnie pour combattre le Mal."

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Invité Snikch, le maître de la nuit

Et bien par les temps qui courts, un homme aussi décidé que vous peut faire des miracles.

Mais pouvons nous savoir a qui nous avon l'honneur de parler?

Et ce disant, Viorala lanca un morceau de viande au rapace qui l'attrapa au vol et l'avala d'une seul pièce.

Puis ce tournant vers Aedraug et lui dit:

Ceci vous renseigneras peut etre:

Et dans cette contrée sauvage naitra une fille

Par trois fois[tache de sang]perra a la mort

Et c'est la mort elle même qui la sauvera

[Tache de sang]et c'est ainsi que s'accomplira la prophétie

Qui veut que le seigneur de la mort périsse des mains de cette[Parchemin arraché]

La fin semble avoir été arraché.

Ce n'est peut etre q'une coïncidence mais j'en doute.

Je pense que nous savons maintenant que le tireur a raté son tir.

Ou si il l'a fait exprès je ne vois pas pourquoi, pour forcer la prophétie.

Non a mon avis il l'a bel et bien raté...

A nous de savoir maintenant comment protéger cette fillette.

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Invité Blackangel

Barildor s'approcha de Viorala lui donnant un petit morceau de papier.

alors elle le lut une fois dans ça tête puis le relit pour tout le monde:

- Alors bon je ne vais pas rester planté ici donc si quelqu'un veut venir avec moi pour trouver un moine qu'il le dise je tien à souligner que ce que je viens de lire n'est pas de moi mais du muet dit -elle.

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"-Mon nom est Lamenoire, et voici Doubleserre ( l'aigle opina du chef ), le meilleur éclaireur que l'on puisse avoir. Sachez seulement que tout ce qui m'intéresse, c'est de tuer le plus possible d'ennemis de la justice. Je crois deviné qu'il y a ici un blessé ? Alors dans la forêt, vous cherchiez l'assassin..."

Un moine ? Hum... Pourquoi ce type ne parlait pas ouvertement ? A élucider... Pourquoi un religieux ? Nous sommes prêt de la sylvanie... Un vampire ? Lamenoire se tourna vers son rapace, qui rongeait une brochette avec entrain :

"-Mon ami, dans quel pétrin nous sommes-nous fourrés !

-Arr, la NUIT porte conseil !" répliqua l'aigle harpie, le bec plein de viande carbonisée.

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