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Récit en commun


Invité Snikch, le maître de la nuit

Messages recommandés

Je crains fort noble volatile que nous ne puissions pas attendre la nuit. Si c'est bien à un vampire que nous avons à faire, il attauqeras probablement dès la nuit tombé. J'imagine qu'il a tenté de tué cette fillette pour qu'elle ne le tue pas, c'est en tout cas ce que semble expliqué ce document. Mais les résultats des calculs balistiques de cet impérial prouve qu'il était voulu que la flèche ne fasse que la blessée. Il y a la un mystère.

Et dans cette contrée sauvage naitra une fille

Par trois fois[tache de sang]perra a la mort

Et c'est la mort elle même qui la sauvera

[Tache de sang]et c'est ainsi que s'accomplira la prophétie

Qui veut que le seigneur de la mort périsse des mains de cette[Parchemin arraché]

Il y apeut être une autre signification à ce poême

-- Aenario, désolé, plus le temps de chercher --

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Invité Snikch, le maître de la nuit

En son for intérieur Viorala le savait.

C'était elle.

Elle Vampire, condamnée a errer pour l'éternité sur cette terre.

C'était elle. La prophétie était donc vrai.

Je ne sais pas, répondit elle, probablement qu'elle échapera a la mort grace a un miracle.

Pour répondre a votre question, dit elle en se tournant vers barildor, vous ne risquez pas de trouvez un prêtre de Sigmar ici.

Mais il y a d'autre moyens de tuer un vampire.

Le décapiter par exemple...

Puis elle monta a l'étage, pour aller veiller la petite dit elle. Mais surtout pour réfléchir.

Modifié par Snikch, le maître de la nuit
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"-Arr, assez mangé pour aujourd'hui ! Je laisse ce qui reste de brochettes aux autres." Et Doubleserre se percha sur le linteau de la cheminée pour somnoler. Lamenoire se tourna alors vers les autres convives :

"-Hum ! Que tous ceux qui ont une arme la gard à portée de main. Les autres feraient mieux de partir avant la patrouille de la garnison, quand elle aura étudié notre problème."

Sur ce, ne voyant pas l'aubergiste, il se demanda en son for intérieur s'il devait se servir lui même du cidre, ou attendre d'avoir le gosier à sec.

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Invité Snikch, le maître de la nuit
il se demanda en son for intérieur
et c'est mon expression...

Lorsque Viorala arriva devant la porte elle trouva Heinrich occupé a netoyer son pistolet.

Je ne comprendrais jamais pourquoi les humains utilisent ce genre d'instrument.

Une bonne flèche bien placée peut faire beaucoup mieux q'une balle de plomb.

Comment va la petite?

*******

Le serviteur tremblait de peur,de froid et serrait les dents de douleur, quand il s'agenouillat devant son maitre.Son bras droit n'était plus fait que de lambeaux de chair ensenglantés.

En face de lui seul les deux points rouges de ses yeux laisser deviner la présence du maitre de la mort, comme il se faisait appeler.

Une voix guturale s'éleva:Alors avez vous tuez l'humaine?

Non maitre, c'est que...

Ne vous cherchez pas d'excuses!

C'est que le loup m'a attaqué maitre...

Suffit, ta punition sera a la hautteur de ton échec!

Pitié maitre...

Tu sais très bien que je n'en ai pas.

Lacher le aux zombies...

Non, pitié maitre...

Trainer par deux gardes le serviteur continua a crier.

Quand ses hurlements se furent enfin tus un géant en armure vint se placer devant le vampire.

Alors serviteurs des dieux sombres tu as vu ce que je fait des incapables a mon services?

Oui,seigneur.

Alors va, prend avec toi le nécromancien et tue moi cette humaine!

Il sera fait selon vos ordres, dans les plus brefs délais.

Korslaach se retira de la salle d'un pas vif.

Dès qu'il aurait ce qu'il voulait il montrerait a ce suceur de sang qu'il n'était pas un pion...

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Invité Snikch, le maître de la nuit

Peu a peu le voile de la nuit tomba sur la foret.

A l'intérieur de l'auberge, l'ambiance était de nouveau joyeuse, pour féter la réussite des soins d'Aléa.

Viorala lui avait 'evidemment posé un bandage qui avait double usage.

Premièrement le cataplasme permettait d'appaiser les muscles endoloris de son épaule.

Deuxièmement il évitait que les clients posent des questions sur un rétablissement trop rapide.

Très vite quelque clients formèrent un orchestre improvisé.

Et l'elfine fit une démonstration de ses talents de chanteuse, en entonnant quelques anciennes chansons elfique aux paroles oubliées depuis longtemps.

Puis vint le moment du repas, Tara avait concocté les meilleurs petits plats.

On pouvait gouter de la terrine de faisan ou encore le fameux roti de sanglier.

Puis peu a peu, les clients alèrent se coucher.

La nuit reprenait ses droits, alors que l'aubergiste comptait ses bénéfices de la journée. Il ne lui faudrait que peu de temps pour pouvoir aller s'installer a Nul avec sa petite famille.

La dernière a monter dans sa chambre fut viorala.

Et elle ne se coucha pas avant de nombreuses heures, réfléchissant a cette prophétie et au spectacle étrange auquel elle avait assisté lorsque elle soignait Aléa.

Un instant elle avait lu en elle, comme dans un livre.

Lut son passé, son présent et son avenir.

Un instant qui avait semblé l'éternité.

Et ce qu'elle avait vu la bouleversait.

Finalement elle s'étendit sur le lit et ferma les yyeux.

Non pour dormir, les vampires n'en non pas besoin, mais pour méditer.

Finalement elle dut s'assoupir car elle fit un songe.

Elle se trouvait dans une foret, une foret a la végétation luxuriante, et devant elle se trouvait une jeune femme humaine, a peine vétu de léger vétements.

Je sais qui tu est, dis cette dernière,je sais le mal que tu as fait.

Je sais le mal que tu es.

Mais je sais aussi le bien. Le bien que tu peux,que tu vas faire.

Je sens aussi l'amour en toi, l'amour pour un homme, l'idéal qu'il représente.

L'amour de la liberté.

Car ton destin Viorala, ou devrais je dire Karnich?

Ton destin n'est pas de mourir,pas encore.

Tu ne trouveras le repos que quand tu auras accompli la tache qui t'est dévolu.

Quel est cette tache?

Et qui êtes vous?

Ton devoir c'est elle dit l'humaine en montrant Aléa, alors que quelque instants plus tot se trouvait une petite source a cet endroit précis.

C'est elle, c'est moi c'est nous.

Vous etes...

L'humaine acquiésa silencieusement puis se tourna vers la fillette.

Aléa, écoute moi, tu va vivre des moments difficiles et douleureux.

Alors remet en a Viorala, grace a elle tu pourras accomplir ta quete.

Laisse toi guider par ton coeur.

Viorala,l'elfe sursauta, il y a dans cette auberge des gens puissants, des personne qui le sont moins, quelque soit leur race ils ont tous le coeur pur.

Tu devras les enmenner avec toi.

Tous on un role a jouer.

Tous.

Maintenant va.

Réveille toi et va il est temps...

Viorala se releva d'un bond.

Non c'était trop réel pour etre un simple rêve.

Mais avant qu'elle ne put réfléchir plus le premier cris retentit.

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Le soleil commençait à décliner à l’horizon, embrasant les cimes des pins de la Sylvanie. La neige brillait couleur or sous le crépuscule.

Njal menait son cheval par la bride, pestant contre la boue. Voila plusieurs heures qu’il cherchait son chemin à travers la forêt, et la seule chose certaine, c’était qu’il était irrémédiablement perdu.

« Un raccourci ! grommela t’il. Mon cul oui ! Ca m’apprendra à écouter les aubergistes ! »

Maintenant le soleil avait presque disparu, et la lumière ne perçait plus que rarement l’épaisse voûte de la forêt.

« A ce train là je ne vais jamais rejoindre la route… Saloperie ! »

Il déboucha dans une petite clairière obscure, mais qui semblait illuminée après l’obscurité des bois. Il arrêta son cheval, et regarda autour de lui.

« Bon… pensa-t-il. Il ne reste plus qu’a passer la nuit ici… De toute façon avec cette nuit noire je ne verrais même pas les arbres… »

Il entreprit de déharnacher son équipement, exaspéré de ne pas pouvoir passer la nuit dans un bon lit douillet, a fortiori dans les bras d’une jolie fille, quand soudain il fut arrêté dans sa tache par un bruit étrange.

Il se figea et tendis l’oreille. Le bruit revint, plus fort. On eut dit une sorte de râle d’agonie ou de douleur.

Le cœur de Njal s’emballa. Toutes les légendes qu’il avait entendues sur la Sylvanie au cours de ses voyages s’imposèrent brutalement à son esprit, et il lui fallut un effort terrible de volonté pour ne pas remonter sur son cheval et partir au triple galop.

Prenant son courage à deux mains, et sa lance par la même occasion, il avança prudemment sous les branchages.

Il ne lui fallut pas longtemps pour le trouver.

Un homme était assis contre un arbre en position fœtale, le visage enfoui dans ses mains. Il portait un uniforme de soldat impérial crasseux et déchiré, et ses cheveux étaient gras et sales.

Njal ne fit plus un geste, n’osant même pas respirer. Il passa au moins une longue minute avant qu’il n’arrive à crier :

« Ca va ? Vous avez besoin d’aide ? »

Idiot ! Pensa t’il. Tu ne l’as pas entendu gémir ? Bien sur qu’il a besoin d’aide !

Il se mit à courir dans sa direction.

Arrivé près de l’homme, il tendis l’oreille.

Crénom, je n’entends même pas sa respiration ! Il doit vraiment être mal en point !

Il lui mit la main sur l’épaule.

L’homme s’affala dans la boue, face contre terre.

Merde ! Quel con !

Njal lui saisit le bras, et le retourna.

Il poussa un cri d’horreur.

Son visage était à moitié putréfié, et un asticot sortait de ce qui avait un jour été son œil droit. Mais pire, sa gorge était tranchée sur toute sa longueur… Une affreuse odeur de décomposition vint lui frapper les narines.

Njal recula et trébucha sur une racine. Il tomba dans la boue,

« Oh merde ! Il est mort ! Ce salop est mort depuis au moins un mois ! »

Soudain un bruit de branche écrasée derrière le fit se retourner. Il scruta les ténèbres, mais ne vit rien. Quand soudain une pensée terrifiante lui traversa l’esprit…

Il avait entendu un râle… Il avait trouvé un mort… Un mort, ça ne parlait pas, non ? Non ? NON ?

« PITIÉ, NON!!! hurla t’il. »

Njal se retourna. Il était debout. Un râle étouffé monta de sa gorge trachée tandis qu’il se jetait sur l’homme à terre.

Seuls ses réflexes aiguisés par sa vie de mercenaire, combiné à son instinct de survie sauvèrent Njal. Le zombi vint s’empaler sur la lance de cavalier Tiléenne, juste au niveau du cœur.

Une substance verdâtre et écœurante coulait de la blessure, tandis que le fer de lance sortit de l’autre côté du corps. Njal rejeta le cadavre sur le côté, et repris sa respiration. Lentement, il se releva, les jambes tremblantes.

« Au nom de tous les dieux… Au nom de tous les dieux… Qu’est ce que c’était ? Mais qu'est ce que c’était ? »

Il dégagea avec dégoût sa lance du cadavre et tenta d’essuyer la substance dans l’herbe. Tout était flou autour de lui, comme dans un rêve. Quand soudain il se rappela le craquement de tout à l’heure. Fuir. Il fallait fuir ! VITE !

Il se jeta à perdre haleine dans la direction de son cheval. Il déboula dans la clairière avec fracas et remis pêle-mêle son équipement dans les sacoches de selle de son cheval. Une véritable frénésie semblait s’être emparé de lui. Puis il sauta en selle. Trop vite, car il glissa, et retomba de l’autre coté. Pestant contre sa malchance, il se releva, et enfourcha son cheval.

Il s’apprêtait à retourner par où il était venu, quand il vit des ombres sous les branchages, immobiles…

« Et merde… »

Il saisit sa lance d’une main, la bride de l’autre, et fit faire demi-tour à son cheval. Là aussi, on l’attendait.

Des corps putréfiés marchaient vers lui, sortant des fourrés. De touts les côtés, des morts se levaient et allaient vers lui.

« VOUS N’AUREZ PAS MA PEAU SI FACILEMENT, BANDE D’ABOMINATIONS! »

Il chargea droit devant lui, lance en avant. Il embrocha trois zombis avant que son cheval ne soit aggripé de toute part par la masse putride des morts vivants.

Il tomba à terre, et resta quelques instants sonnés. Les morts s’acharnaient sur son cheval, lents et stupides, mais terriblement forts. Il parvint à se relever, et à dégainer son épée avant que la horde ne se tourne vers lui.

Comment il réussit à s’en sortir indemne, il n’en sut jamais rien. Toujours est-il qu’il parvint à se frayer un chemin hors de la clairière à coup de taille et d’estoc. En temps normal, il aurait sûrement été incapable d’un tel exploit, mais la peur lui donnait des ailes.

Une fois sorti de la mêlée, il se mit à courir plus vite qu’il n’avait jamais couru, pour échapper aux morts vivants. S’il avait sut que ses pas le menait droit vers le cœur de la Sylvanie, peut être que sa course eut été moins rapide, mais malheureusement pour lui, il n’en savait rien.

Il n’hésita même pas à se jeter dans la brume, croyant y trouver une protection contre les monstres des ténèbres… Comme il était naïf…

Il courut au moins un quart d’heure à cette vitesse, quand il tomba sur la route. Bénissant les dieux, il tourna à droite, et repris sa course, mais moins vite. Soudain, il aperçut des lumières dans le brouillard.

Une auberge ! C’était une auberge !

Rassemblant ses dernières forces, il se lança dans sa direction.

Il se jeta su la porte, et tenta de l’ouvrir, mais elle semblait verrouillé. Alors, crier et à tambouriner contre la porte avec le pommeau de son épée.

« A l’aide ! Au secours ! Ils sont là, ils sont là ! Réveillez vous ils sont là ! LAISSEZ MOI ENTRER ! »

Exténué, il glissa au sol, serrant toujours son épée, et s’évanouit…

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Invité Blackangel

Alors Barildor qui dormais en bas parce que l'auberge était pleine, réveillé par les supliments de l'homme et le martelement qu'il faisait sur la porte, il se leva et alla regarder par la serrure de la porte.

Et merde t'as vu comment il est costaux! Et j'vais le transporter comment moi? Bon quant il faut il faut. Sa veux rien dire c'que tu dis.......

il dégaina son épée et déverouilla la porte puis sortit, regardant tout autour de lui puis referma la porte derrière lui.

Bon y a pas de saloperie en vue c'est déjà ça.

Alors il se rapprocha du corps et se pencha dessus et lui prit son poux.

Bon bah c'est pas en morvivant c'est déjà ça mais je crois que tout d'abord je vais l'écarter de ses armes moi je suis trop jeune pour mourrir

Alors il esseya de le porter tant bien que mal mais il n'yarrivait pas.

Et voilà une seule personne et il faut que ça soit un mec, pesant trois tonnes et évanoui. Merde pourquoi c'est pas une princesse? Bon je vais essayer une autre technique.

Alors il lui prit le bras et le traina dans la boue jusqu'à l'intérieur de l'auberge.

Dsl mon gars hihihi

Puis il retourna à l'extérieur pour récupérer le barda du "p'tit nouveau" et referma la porte à double tours.

Bon maintenant il faut se rêveiller la belle au bois dormant. Ne m'oblige pas à te renverser une jarre d'eau sur la tête( pensait-il tout en lui donnant quelques claque) Bon moi je m'en fou.

Il partit et revenu avec une jarre d'eau qui eut un effet immédiat. Alors il repris son calpin et donna un p'tit message au nouveau.

- Alors je vais prévenir les autres tu ne bouge pas lit le p'tit nouveau.

Alors il monta à l'étage et r^éveilla un peut tout l'monde.

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Invité Feurnard

Bon sang, j'avais écrit une longue tirade pour ouvrir cette porte digne du D&D ! Rooohhhh....

- Bon t'es qui toi ? vociféra Frederich.

C'est vrai, quoi ! Il avait pas mangé, pas dormi (seulement reposé contre la porte) et on lui avait même pas montré le message. En plus, il s'appelait bien Frederich, pas Heinrich, non mais !

- Ben bravo ! Surtout, n'hésitez pas ! Gardez la porte ouverte, mettez un panneau "tout le monde rentre ici la nuit surtout les vampires !". Il aurait peut-être fallu se méfier un peu, non ? Mais non, on ouvre tout grand, on expose son torse à l'inconnu et on reste bien dehors, vulnérable à toute attaque, à fouiller le corps de machin qu'aurait très bien pu faire semblant par ailleurs !

Et il s'approche, hors de lui.

- C'est avec ma vie que vous jouez, là ! Je ne compte pas la terminer dans cette auberge, vous savez. Alors cessez de jouer à l'aveuglette, c'est pas un jeu.

Enfin, il s'assoit à une table, à dix pas de l'étranger, et lui braque son arme en plein.

- Quant à toi, si tu fais la moindre bétise, ne serait-ce que chercher quelque chose dans tes poches, je te tromblonne.

Non mais...

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Invité Blackangel

A vraiment il me fait marrer si un vampire aurai voulu nous tuer il aurai juste eu à briser une vitre et vu que j'étais le seul en bas je me serai fait bouffé tout cru sans que personne le sache et il serait allé de chambre en chambre pour égorger leur occupant alors vos leçons vous pouvez vous les garder et sincèrement moi j'ai jamais vu une brutte épaisse crier d'une tel façon (on aurait dit ma soeur). Je l'aurais laissé dehors il se serai fait bouffer et puis qui vous dit que je n'ai pas pris de précaution et puis plus vite vous integrerez dans vote cervelle que vous êtes déjà mort mieux ce sera pour tout le monde. En plus au début qui vous a dit que l'assaillant n'avait pas loupé sa cible au lieu de faire tout un tas de calcul.... Barildor arrête de faire sembalant d'être énèrvé je sais très bien que t'en à rien à foutre! Oh la p'tite voix si on à pu le droit de déconner!hihihihi!

Alors il quitta la chambre, retourna dans le salon et commença à questionner sa princesse qui était évanouie qui lui raconta toute son histoire.

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Invité Snikch, le maître de la nuit

dsl pour le nom...

oups...

Quand Viorala descendit elle entendit la longue tirade de l'impérial.

Tout de suite une froide colère l'emplie a l'égare de ces humains.

Alors que la situation nécessité de l'entraide et de l'union l'impérial ne songeait qu'a sa petite personne et ne pensait qu'a se disputer.

Plus q'une colère, c'était maintenant une froide déclaration qui l'habitait.

Ces yeux devinrent d'un noir de jais.

Elle descendit l'escalier et avant que Frederich ait pu réagir elle lui envoya une claque magistrale et en profita pour poser son arme sur la table.

Sachez humain que votre stupidité n'a d'égale que votre égo surdimensioné.

Pourquoi ne vous a t'on pas averti de la cécouverte du parchemin.

Parceque vous n'étiez pas la.

Assumez vos décisions, vous veillez la petite c'est louable.

Mais ne venez pas vous reprochez de ne pas avoir été vous chercher.

Et pas la peine de menacer cet homme, vous voyez bien que meme si il le voulait il serait incapable de vous attaquer.Il est transi de froid et de peur.

Enfin réfléchissez un peu, si jamais il avait voulu vous égorger aurait il fait tous ce raffut?

Non, il serait entré par une fenetre et aurait accompli son méfait.

Une fois qu'elle eut dit ses quatres vérités a l'ingénieur elle se dirigea d'un pas vif vers le foyer pour raviver le feu.

Puis elle commenca a interroger l'humain.

Qui etes vous?

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Tout était noir. Njal flottait dans une brume noire, parmi les ombres. Soudain, une ombre s’approcha plus près de lui.

Son visage était décomposé, ses mains putréfiées. L’ombre sourit au Tiléen.

« Viens … Viens à moi…

- Non ! cria Njal. Non je suis vivant ! »

Le mort fut pris d’un grand rire démoniaque, étouffé par les gargouillements qui venaient de sa gorge tranchée.

« Nul n’échappe… A la mooorrrrrttt… »

Alors Njal leva ses mains à la hauteur de son visage, et vit qu’elles étaient déchiquetées, grouillantes d’asticots. Il hurla d’horreur.

« Tu vois ? Nul ne peut m’échapper… Viens à moi… Viens à mooiiiii… Vienss ààà…»

SPLATCH ! Trois litres d’eau vinrent s’abattre sur sa tête, le reveillant instantanement. Il toussa pour chasser l’eau dans sa bouche, et ouvrit les yeux.

Au dessus de lui se tenait un homme qui lui souriait. Celui ci lui tendait un bout de papier, que Njal saisit machinalement. Puis l’homme fit demi tour, et quitta la pièce.

Njal se mit sur son séant, et regarda autour de lui. A coup sûr, il était à l’intérieur de l’auberge… Que c’était il passé exactement ?

Il jeta un coup d’œil sur le petit papier : « Alors je vais prévenir les autres tu ne bouge pas lit le p'tit nouveau. »

« Qu’est ce que ça veut dire exactement ? se demanda t’il à voix haute. »

Il chercha son épée à sa ceinture pour parer à toute éventualité, mais son fourreau était vide.

« Et merde… »

Soudain, un homme armé d’un arme à feu fit irruption dans la pièce, tempétant et criant. Puis il vint se planter devant lui, pointant son arme dans sa direction.

Mais avant qu’il n’ait eu le temps de faire quoi que ce soit, une deuxième personne fit irruption dans la pièce . Manifestement c’était une elfe, et elle ne laissa pas le temps de respirer à l’impérial, lui confisquant son arme. Puis elle se lanca dans une longue tirade que Njal ne perça qu’a moitié, encore abruti par le froid, la fatigue, et la terreur.

Puis elle se tourna vers lui. Grace à un intense effort de volonté , il parvint à se concentrer sur ses paroles :

« Qui êtes vous ? »

La question prit Njal au dépourvu. Il n’aurait jamais imaginé que la première question qu’on lui poserait serait « Qui êtes vous ? »…

« Heu… Heu … Hé bien… Mon nom est Njal. »

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Invité Snikch, le maître de la nuit

Et bien Njal vous avez des manières qui laisse a désirer.

Réveillez les gens en plein milieu de la nuit voila qui est fort impolie.

Maintenant sachez que si cet homme vous menacait de mort, je peux vous faire bien pire alors répondez en toute franchise a mes questions.

Que faites vous ici?

Pourquoi avez vous suplier qu'on vous ouvre?

Et pourquoi etes vous couvert de sang?

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Invité Feurnard

La claque repartit de plus belle. Dire les quatre vérités prouve un manque total de contrôle et cela depuis toujours. Oser vouloir le dominer par un geste puéril ne serait pas pour l'emporter si c'avait été justifié mais encore il acceptait parfaitement une réaction décidément bien trop humaine pour venir de cette dame. Toutefois, l'outrecuidance intolérable de cet affront direct ne lui avait pas échappé : l'on ne retire pas le fruit de treize ans d'étude et de travail laborieux à un ingénieur sans en payer les conséquences.

- Petite sotte ! Ayez les airs les plus hauts et la vie devans vous mais moi je suis de chair et mortel qui plus est ! L'on ne survit pas à quatre ans de guerre sans avoir un minimum de gugo...

Trop tard, il était à terre. Décidément, elle frappait fort. Et son arme, restée sur la table, ne pourrait pas lui servir. Il ne faut pas laisser la guerre aux femmes car elles n'y tuent que des hommes ; bien souvent dans leurs propres rangs plus que dans ceux de l'adversaire. Mais qu'importe, la bétise humaine dépasse cette sexualité grossière et il sait bien qu'un homme est prêt aux pires bétises pour des broutilles inexplicables. Non, c'est bien à la réplique inexcusable qu'elle lui avait balancée qu'il lui en voulait.

Sans plus écouter son corps douloureux et le dédain de son antagoniste, il se rappela les histoires de soldats où une femme fait tuer tout un camp car elle travaillait pour l'ennemi, où un garde, homme par ailleurs, avait perdu toute la garnison par son manque de vigilance. Et ce récit incroyable où par simple esprit de supériorité, une femme brisa la vie d'un chevalier. Mais les gens ne pensent qu'à eux-mêmes et se veulent montrer sous leur plus beau jour. Ils oublient bien trop souvent que les gens ne sont pas là pour les admirer mais pour vivre et que chacun de leur geste a des incidences sur les autres.

Qui ose démentir d'un pareil agissement ? N'y en a-t-il pas qui passeraient des heures, des jours et des mois à s'assurer la confiance d'une personne simplement pour pouvoir l'assassiner ? On parle si souvent d'occasions passées où l'on aurait pu se faire tuer ; il est pourtant si facile de tromper la vigilance et de frapper là où on s'attend le moins à recevoir le coup. Pourquoi user d'un carreau lorsque la victime vous montre son dos mis à nu ? Pourquoi s'escrimer à l'épée et y risquer son sang lorsqu'un verre vous sert mieux qu'une lame ? Nombre de dirigeants importants ont agi pareillement et de cette grave erreur des villes entières ont subi un juste courroux.

On en a tant blâmé, de ces personnes heureuses, laissées à des tâches si ridicules. Ils se disent un maillon sacrifiable, illusoire d'une chaîne que l'on ne voit pas. Puis, lorsque ce maillon a disparu, la chaîne se brise et tout ce que les tâches servaient disparaît. L'on ne parle ni de couard ni de traître mais bien des imprudents qui de leur simple volonté de se croire invincible tuent des milliers d'êtres en mourant. Voilà pourquoi, face à de tels caractères irresponsables, tant de félons peuvent exister et passer de leurs lames aux gorges des innocents. Voilà pourquoi les plus grands héros, insouciants, les yeux rivés sur leurs armes, oublient qu'ils ont un corps et se le font percer de dos.

L'on bâtit une forteresse. Aussitôt, les défenseurs se rappellent combien l'ennemi peut monter les courtines et traverser les herses, percer les défenses jusqu'à submerger le donjon. On ne croit même pas qu'il passera par la porte, en humble vieillard. Trop tard puisque la grange brûle, que les chevaux s'affolent. Puis c'est au tour des réserves de vivre qui s'empoisonnent ou la poudre qui explosent jusque sous les tours de la muraille. Alors on se rend compte qu'il n'y aura pas eu un seul homme pour traverser les murailles, faire tomber les piquets et gravir les échelles ; toute une défense aura été traversée car l'on aura pas assez gardé la porte, dernier endroit où l'ennemi passerait.

Un jour fut dit qu'une armée invincible traverserait les plaines. Nulle autre ne pouvait espérer la vaincre tant sa puissance était redoutable. On y alignait mille canons des plus grosses tailles et autant de mortiers. Un défilé terrible sur les champs de bataille désertés d'adversaires. Chacun se disait perdu et voyait déjà son rêgne s'achever. Mais il se trouva un homme qui demanda deux cents cavaliers pour mettre fin à la menace. On les lui donna et il disparut dans la nature. Un jour, il revint et ordonna qu'on lui donne cent archers. Chacun le crut fou mais accepta. Enfin, il revint et ordonna qu'on installe cinquante gardes pour protéger les murailles. Lorsque l'armée fut en vue, il n'en restait que des cadavres affamés car l'on avait attaqué les convois de nourriture puis brûlé leurs réserves. Aucun ne fut capable d'atteindre même les murs.

- Je m'excuse. Je ne sais pas ce qui m'a prit. La peur, sans doute.

Frederich s'excusait. Il entendit ses paroles comme dans un rêve et se félicita de les avoir dit. Puis, rangeant son arme, il se rappela que de toute manière, il lui faudrait bien mourir un jour.

Vous avez de la chance que Batman la relève commence !

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Après l'escuse de l'impérial, Njal repris:

"Qu'est ce que je fait ici? Si j'en sait quelque chose! J'ai couru, et je me suis dirigé vers la lumière... Euh... Je peut me relever? Merci."

Njal se releva, et commenca à arracher la croute de boue qui s'était formé sur ses jambes.

"J'ai supplié qu'on m'ouvre parce que j'était poursuivis par tout les démons de l'enfer, et que malgrès ma bravoure, je ne peut pas tenir éternelement sans aide... Oui ne froncez pas les sourcils! J'ai été attaqué!"

C'était bon, il était revenu en terrain connu, et si se battre avec une armée de zombis n'était pas son fort, raconter ses exploits à une superbe femme avec un décoleté prometeur était beaucoup plus engageant.

"Je chevauchait à travers la forêt, quand j'ai entendu un appel à l'aide. N'écoutant que mon courage, je saute de selle et je part au secours...

...

...

...

... il y en avait de dizaines, que dit je des dizaines, des centaines, qui sortaient des partout, du sol, du arbres... Je prend une épée dans chaque main, et je me prépare au combat...

...

...

...

... cela faisait bien deux heures que je me battait et les corps s'ammoncelait autour de moi mais il en venait toujours plus! Je commencait juste à fatiguer, quand soudain je vois un homme blafard et couvert de sang se frayer un chemin à travers les zombi! Je me tourne vers lui, et je le défi de me battre!...

...

...

...

... et là je lui plante mon pieux dans le coeur. Le vampire tombe au sol dans une gerbe de sang. Les morts vivants autour des moi reviennent à l'assault. Mon bras me faisait un peut mal, mais je me lance dans la mélée...

...

...

...

... grace à cette action d'éclat, je réussi à me dégager, et je me met à courir dans les bois, taillant les zombis qui apparaisent de toutes part...

...

...

...

... et là je voie votre auberge. Comme je me dit que si je ne vous previens pas, vous allez être attaquez, je viens frapper à la porte, et ce que vous avez pris pour des appels à l'aide étaient en fait des avertissement. Je ne comptais pas resté, mais la fatigue s'est emparé de moi, et je suis tombé. La suite vous la connaissez..."

Njal sourit, espérant que son histoire avait été sufisement crédible...

Modifié par Kadra
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Invité Snikch, le maître de la nuit

Excuse acceptées Frederich.

Je vous pris moi aussi de bien vouloir accepter les miennes.

Maintenant repartons du bon pied.

Quand a vous Njal, sachez premièrement qu'un vampire ne saigne pas, quand on le tue il se transforme en poussière.

Ensuite les cris, il n'y a personne a la ronde a part l...

L'avant poste impérial!

barildor, allez réveillez les autres je crois que nous avons un problème.

Soudain on entendit des coups, comme si on tambourinait sur la porte.

Elle rendit alors son épée a Njar et son pistolet a l'impérial.

Vous risquez d'en avoir besoin, ajouta elle.

Mais un coup de hache coupa net ce début de conversation.

Ils commencer a défoncer la porte.

Rapidement la défense se mit en place.

On dressa les tables en rempart devant la porte et les fenetres.

Puis Viorala s'adressa a l'assemblée.

Frederich moi et tout ceux qui ont une arme de jet, nous allons monter a l'etage pour les retarder.

Wilheim y a t'il une autre sortie a l'auberge?

Il y a bien l'écurie mais...

LEs cris de détresse des chevaux fermer définitivement cette option.

Ils leur faudrait donc défendre leurs vies.

La porte s'effondra alors laissant passer son flot de cadavres en putréfaction...

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Invité Feurnard

Un premier tir calma la charge et les corps se bousculèrent à l'entrée. Le second coup de feu traversa le crâne de l'abomination, le jetant définitivement à terre.

- Cette fois plus de doute possible, les légendes disent vrai ! A l'étage, que je leur apprenne quel est mon nom !

Il monte quatre à quatre les escaliers et débouche sur le couloir. Avec horreur, il aperçoit d'immondes chauve-souris se battre contre la vitre d'une fenêtre placée au bout. "Cette fois, nous sommes fichus." Sortant sa dague du petit fourreau, il attaque le bois autour des gonds d'une porte. De petits bruits aiguës lui annoncent que le verre se brise sous les assauts répétés de la vermine. "Allez, vite !" La pièce du bas a cédé et déjà il s'attaque à celle du haut. Un éclat de verre tombe au sol, minuscule. Les piaillements tridents s'égaillent dans l'auberge en réponse aux hurlements des morts. La porte tombe.

- Maintenant !

Prenant la porte à deux mains, il s'élance contre la fenêtre. Le bois le protège de la giclée d'éclats coupants. Le verre a cédé, la fenêtre laisse passage aux hordes de volants. Mais l'impérial parvient à poser la porte au même instant et la maintient de son épaule. Soudainement, un nouveau cri le fait détourner la tête. L'une de ces horreur a passé.

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Invité Snikch, le maître de la nuit

Les zombies beaucoup trop nombreux, se gennaient pour passer la porte...

Les défenseurs n'avaient pour le moment aucun mal a les hacher au tir.

Mais viendrait un moment ou il n'aurait plus de munitions...

Viorala monta les escaliers pour voir comment ce débrouiller l'humain...

Lorsque elle rentra dans la chambre elle vit une chauve sourris qui se jetait a toute vitesse sur l'humain.

Elle la cloua au mur d'un carreau de son arbalète de poing.

Frederich lui dit alors que les portes de l'étages deaient etre fermées...

Ils s'élancèrent dans le couloir quand soudain un guerrier portant une armure lourde et aux teintes changeantes, sortit de la dernière chambre et posa sur eux un regard plein de haine.

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Aedraûg se réveilla enfin, visiblement, l'auberge était attaqué. Il se releva rapidement et sortit dasn le couloir. Devant lui, un étrange spectacle apparut. Un gigantesque guerrier à l'armure aux couleur chageante faisait face à Viorala et Frederich. Il tendit les bras en avant et lança une boule de feu vers le grand guerrier.

A moins de 5 pas il avait fort peu de chance de le rater. Il tira donc la boule de feu explosa au contact de l'armure las flamèche furent aspirés par celle-ci. Tzentch, la magie, l'armure avait absorbé son énergie magique. Le guerrier parit d'un grand rire. Vexé et effrayé, le mage sortit un fusain et commença à dessiner dans la paume de sa main.

-- Aenario --

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Invité Snikch, le maître de la nuit

Visiblement la magie n'avait aucun n'effet sur le chaotique.

Qu'importe.

Viorala et fréderich pointèrent ensemble leurs armes sur le guerrier.

Il ne portait pas de casque, probablement pour mieux voir les combats.

ce fut sa dernière erreur.

L'elfe et l'impérial appuyèrent en meme temps sur la détente de leurs armes.

La tete du guerrier fut alors réduite a l'état de pulpe ensanglantée alors que plusieurs carreaux d'arbalète percait sont armure.

Le corps s'écroula alors dans un grand fracas métallique.

Une fois toutes les portes fermées, le petit groupes se dirigea vers la salle ou tous les clients de l'auberge, maintenant a court de munitions, se défendaient au corps a corps.

Les nouveaux arrivants vidèrent leurs armes puis se jetèrent dans la mélée.

Viorala trornoyait au milieu des zombies,a chacun de ses coups un des morts vivants trouvait enfin le repos.

Et sans raison, les zombies cesserent de rentrer dans l'auberge.

Les occupants comprirent pourquoi lorsque Aerdraug recut une flèche dans l'épaule.

Soudain une fumée noire commenca a apparaitre par les escaliers.

Ils avaient mis le feu a l'auberge.

Et celui qui tenterait de sortir périrait sous leurs flèches.

Soudain un géant en armure se présenta a la porte.

Il parla dans un impérial incertain:

Donnez nous la fille et vous pourrez partir en vie.

Viorala répondit sans attendre les autres: laissez nous réfléchir.

Bien mais vous avez peu de temps.

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Lamenoire frappait de tous côtés, tout en réfléchissant : d'abord le vacarme à la porte, ensuite cet espèce d'homme muet le réveillant au beau milieu de la nuit ; ce conteur à l'imagination débordante et à la langue bien pendue... Et maintenant l'attaque tant attendue ! Il jeta un oeil vers la cheminée. Doubleserre avait dû s'échapper par-là.

"-Si ces espèces de crapauds putrides lui ont fait du mal, ils connaîtrons la rage du rôdeur !" Marmonna t-il ,tout en décapitant un zombie globuleux.

Soudain le combat cessa, et un grand échalas leur fit une proposition insultante. Outré, Lamenoire braqua sa lame sur lui en criant :

"-C'est tout réfléchi ! Vous n'aurez rien, si ce n'est une mort certaine si vous ne décampez pas sur-le-champ !"

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Invité Blackangel

Moi je suis pour donnez la fille hihihihi. Bon d'accord si monsieur l'elfe noir décide pour les autre je crois que je vais ressortir mon épée.

Alors il se redressa et dégaina son épée toute pourri attendant que la masse morte défèrle

faudrait que j'm'en achète une autre..... Euh c'est pas le moment de penser à çamon gars! D'accord la p'tit voix je me tais

Modifié par Blackangel
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Invité Snikch, le maître de la nuit

Avant que quelq'un puisse faire quoique ce soit, le guerrier du chaos pointa son bras vers Aléa et cria.

Si vous ne voullez me le donner je le prendrais de force.

Puis un trait de feu partit vers la jeune fille.

La scène passa au ralentit pour Viorala, la jeune fille ne bougeait pas, cloué par la peur.

Le trait arrivait droit sur elle. Elle n'avait plus le choix.

L'elfe se jeta devant la fillette, recevant la boule de feu sur le flanc gauche.

S'ensuivit immédiatement l'odeur de vetement et de chair brulé.

Le sorcier profita de la confusion pour se jeter vers la jeune fille.

La mère tenta de s'interposer mais un revers d'épée l'éviscera.

Wilheim se jeta alors sur le colosse,des larmes de rage et de colère perlant sur son visage.

Le guerrier ne s'attendait pas a cette ataque et il tomba a la renverse tandis que wilheim tentait de s'emparer de l'épée de son adversaire.

Il hurla a la compagnie.

Fuyait, vite dans la cave il y a un passage.

Aléa montre leur.

Puis sans attendre, Aléa et la compagnie derrière elle s'enfuit dans la cave, Frederich aidant Viorala a marcher.

Le passage en question était cacher derrière un gros tonneau.

Aléa déclencha le mécanisme puis une fois qu'ils furent tous entrés elle abaissa le levier et la porte de pierre se referma, les plongeant ainsi dans l'obscurité.

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<MODE NAHEULBEUK>"Je vais piéger le passage derrière nous. Si les vampires tentent de passer, ils seront noyés dans un torrent de lave </NAHEULBEUK> :lol: "

Bon, plus sérieusement

Le tunnel était obscure. Aedraüg décida d'éclairer un peu le passage devant eux. Il leva le bras avec l'intention d'y faire apparaître une petite flamme. Il avait hélas oublié la rune d'amplification magique qui ornait toujours la paume de sa main.

A l'instant précis ou le sort partait, il referma sa main libre sur l'autre. Seul en résultat une explosion. Il fut le seul touché réellement, les autres ayant juste été légèrement poussé vers l'avant.

Il tomba en arrière. Un mot franchit néammoins ces lêvres : "Désolé". il s'évanouit.

-- Aenario --

Modifié par Aenario
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Invité Feurnard

- Bravo. rouspéta Frederich, se retenant avec le souvenir cuisant de sa joue enflée.

Se relevant lentement, il continua à charger son arme, non sans chercher deux ou trois billes de plomb tombées durant sa propre chute. Le micro-projecteur ainsi rechargé, il décida de couvrir les arrières de la troupe.

- Allons-y, maintenant. Je n'ai pas de torche sur moi mais de quoi l'allumer. Pressons et veillez à ce que je ne vous perde pas : tout souterrain qui n'aurait été creusé par un nain me déplaît horriblement.

Ainsi pressait-il la troupe, non sans braquer ses six fûts braqués dans le passé.

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