Invité Aenario Posté(e) le 2 septembre 2004 Partager Posté(e) le 2 septembre 2004 Mais c'est quoi toutes ses fautes ? Je t'vais pourtant dit de prendre ton temps pour bien te relire. Je sais, tu as fait un texte qui te semble pas mal, tu es très pressé de le montrer et d'avoir l'avis des gens dessus mais on peut patienter 10 minute de plus, le temps d'une relecture complète à tête reposée. J'ai eu le même problème, c'est pour sa que je me permet de te le signaler. Sinon, l'histoire avance dans la bonne direction, on sent le héros qui veut faire ce que la déesse lui demande mais qui sait aussi qu'il n'en a pas encore la force. J'attend la suite avec impatience. Un certain Feurnard s'il lit ce texte va probablement te reprocher d'avoir utilisé des personnages trop "connu" . Ce qui généralement conduit à des histoires abracadabrante ou tous le destin des elfes repose sur les épaules d'uen personne et que sa risque de changer la face du monde. Personnelement, sa ne me gène pas outre mesure. Mais après ton avis importe d'avantage. -- Aenario, la suite avec 10 minute de retard SVP -- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Imperator Posté(e) le 2 septembre 2004 Partager Posté(e) le 2 septembre 2004 Bon, le personnage est attachant et je ne peux que féliciter pour le scénario (qui, je suis forcé de l'avouer, a dépassé ce dont je suis capable (ce que beaucoup trop font...). Bon, sans plus m'apitoyer, disons seulement que ça sent un peu l'intrigue et qu'on veut en savoir plus.) Sinon, côté faute, là, je te rattrape... (remarque, vaut mieux faire des fautes et avoir un bon scénar comme toi...). Enfin, toujours est-il qu'une, deux, six, dix relectures s'il le faut devront être faites, car il est presque impossible de discerner le style sous ce "tissu" d'erreurs... (dont certaines sont en effet marrante). Seulement, j'ai réussi à trouver un passage plus ou moins exempt de fautes et qui mériterait un minimum d'attention en plus (je ne demande pas d'en faire un chapitre entier, mais pour une transition, on peut faire moins ennuyeux...): Ils partirent juste après le lever du jour. Et voyagèrent toute la journée jusqu'à la tombé de la nuit. Ils repartirent de bonne heure le lendemain matin. Le voyage se passa sans encombre. Le soir il n’était plus très loin de la tour À toi d'essayer, tu semble avoir suffisamment d'imagination pour ça. Sur ce, Imperator, on ne peut plus heureux de voir tant de personnes répondant aux textes (c'est une époque bénie par la lune!) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Algarion Posté(e) le 3 septembre 2004 Partager Posté(e) le 3 septembre 2004 Bon voilà la partie suivante, mais je pense que j'ai un peu foiré son début. Je n'en suis pas plus satisafait que ça. Je pense qu'elle serra moins bien que les autres. A vous de juger! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Algarion Posté(e) le 3 septembre 2004 Partager Posté(e) le 3 septembre 2004 Le réveil de la lune Partie 5 : Le temple de Lileath Cela faisait 1 ans déjà que Algarion était à la tour blanche. Le maître du savoir Aethar était chargé de lui apprendre l’art de combattre. Il lui avait d’abord appris à se battre à main nue les yeux bandés. Cet exercice était particulièrement difficile, il devait éviter les coups du maître et tous les projectiles qu’on lui envoyait, en s'aidant tout ses sens sauf de la vue. Cela avait eu pour effet d’éveiller tous ces sens. Il était capable d’éviter une flèche les yeux fermés. Il savait bloquer une lame a main nue et désarmer son adversaire. Grâce à cet exercice il avait attrapé des réflexes surhumains. Il lui avait appris ensuite à ce battre à l’épée et Algarion se rendit compte qu’il ignorait encore beaucoup de chose, qu’il ne tarda cependant pas à apprendre. Il s’était largement amélioré. Chaque brise, chaque bruit, chaque odeur, il était capable de les identifiés. Sa vue n’était plus qu’une aide supplémentaire lors des combats à présent. Un sens parmi les autres, dont il pouvait se passer de temps en temps. Quant à Teclis il lui apprenait à reconnaître les diffèrentes créatures et les différentes races qui peuplaient le monde, ainsi que leurs structures sociale et militaire ! Il lui parla longuement des humains et de leur société qui était à la fois si proche et si éloignée de la notre. Il lui narrât les splendeurs que renfermaient les villes qu’ils avaient su bâtir. « Mais ils sont encore bien inférieur à nous. Et ne risque pas de devenir un danger pour notre race. » Avait-il affirmé. Ce jour là Algarion grimpa les immenses escaliers de la tour et se dirigea vers les appartements du Grand Maître qui l’avait convoqué. Teclis l’attendait assis dans son fauteuil. « Bonjour Algarion, assied toi. J’ai quelque chose a t’annoncer. » Algarion qui c’était assis décelait une lueur inhabituelle de tristesse dans ses yeux. « Algarion, aujourd’hui ton séjour ici s’arrête. La déesse m’a parlé hier, dans mon sommeil. Il est temps pour toi de te mettre en route et de la rejoindre. Elle t’attend Algarion ! » « Alors…Elle vous parle à vous aussi ? » Algarion n'était pas surpris, à vrai dire il le pressentait depuis un bon moment. « Oui mais très peu, elle m’était déjà apparue pour m’annoncer ta venue, et elle m’est apparue pour me dire qu’il était temps pour toi de partir. » « Mais ou dois-je partir ? Que dois-je faire ? » « Du calme, c’est vers Annulii que tu devras partir. Tu dois trouver le temple de Lileath. Elle t’attend là-bas. » « Qui m’attend là-bas ? Et comment vais-je trouver ce temple sans indication ? » Teclis sortit un parchemin de sa bibliothèque et le posa sur la table. « Voici une carte de la région. La déesse m’a dit que tu devras chercher dans la forêt de chêne. Son temple se trouve au milieu de ses bois. Les forêts d’Annulii son dangereuses. Ils y rodent toute sorte de monstres. Tu devras être très vigilant ! » Il sortit un autre parchemin. « C’est une carte plus détaillée de la forêt. Elle indique le chemin à suivre pour atteindre la clairière qui se situe au centre. » « Je suppose que je dois faire ce voyage seul ? » « Oui, je ne peux pas intervenir. C’est la volonté de la déesse. Elle tien à ce que tu affrontes seul cette épreuve. » « Très bien ! Quand dois-je partir ? » « Le plutôt sera le mieux. » « Je pars dès que j’ai fini les préparatifs. Oh !Maître, il me faudrait une nouvelle armure. » Algarion ne se sentait pas encore près. Il s'avouait avoir un peu peur de se qui l'attendait. Teclis regarda sortir Algarion, il c’était attaché à ce petit et il espérait pouvoir le revoir bientôt. Algarion se retourna une dernière fois pour contempler la tour blanche. Puis faisant face au soleil il éperonna sa monture et partit en direction d’Annulii. Il voyagea pendant plusieurs semaine. Avant de quitter la contrée d’Hoeth. Lorsqu’il entra dans la province d’Annulii il était à bout de force. Il s’arrêta quelque jour pour prendre un peu de repos, puis repartit. Les villages étaient rares et il devait faire attention à ne pas tomber à cour de nourriture. Il devait donc se rationner. Puis, enfin, il arriva devant la forêt. Elle s’étendait à perte de vue, uniquement composé de chêne cette forêt inspirait à Algarion une certaine fascination, mais aussi de la crainte. Il laissa partir son cheval qui ne lui serait plus d’aucune utilité et qui risquait même de le gêner et s’enfonça dans la forêt. Sa carte lui indiquait qu'il était sur le bon chemin. Etrangement la piste semblait en bon état. Pourtant, on lui avait certifié que personne n’entrai jamais dans cette forêt. Tout cela ne lui inspirait pas confiance. Il évolua plusieurs jour en suivant cette piste, puis bifurqua et s’enfonça plus profondément dans la forêt. Plus il avançait, plus il faisait sombre et plus il était inquiet. Algarion continua cependant d'avancer s’enfonçant toujours plus. Il commençait à repérer de plus en plus de monstres et n’étant pas pressés de les combattre, il perdit de plus en plus de temps à les éviter. Mais, d’après ses calculs Algarion ne devrait plus être loin. Il pensait y être dans deux jour. En attendant il devait être vigilant. Tous à coup, il s’arrêta brusquement. Il avait entendu un bruit, à droite dans les fourrés un très gros animal. Il se dirigeait vers lui. Algarion tira lentement sa lame hors de son fourreau, aux aguets, prêt a bondir à la moindre alerte. L’attente était interminable, Algarion avait la désagréable sensation que la créature jouait avec ses nerfs. Il l’attendait, la bête sortit d'entre les arbres et se jeta sur lui, sa mâchoire tenta de le happer mais elle se referma dans le vide. Algarion avait exécuté une roulade sur le côté pour éviter le monstre. A présent il se trouvait face à la bête, c’était une énorme vouivre. Ses petits yeux mauvais fixés sur lui, eurent vite fait comprendre qu’elle avait l’intention dans faire son prochain repas. La vouivre rugit frustré d’avoir raté ça proie fît volte face et se prépara a renouveler l'assaut. Algarion sortit son autre lame et se prépara à la charge. Il n’avait pas très envie de combattre cette vouivre mais il n’avait plus le choix. La vouivre tenta se jeta une nouvelle fois sur lui mais Algarion si était préparé, lorsque la vouivre tenta une nouvelle fois de refermer ses mâchoires sur lui Algarion plongea en avant évitant les crocs de la créature et se retrouvant juste en dessous de son long cou. Il lacéra la chère de la bête qui recula rugissant de douleur. La blessure semblait avoir fortement énervé la créature qui bondit sur lui cette fois avec plus de violence encore, Algarion évita la ses mâchoires de très peu, mais, il n’avait pas aperçu la queue de la vouivre. Elle le percuta avec une force prodigieuse et fendit son armure. Algarion était à moitié assommé. La vouivre se redressa s'approcha et s’apprêta à l’engloutir goulument le croyant sans doute mort. Algarion en profita,au pris d'un violent effort il bondit sur le côté se redressa empoigna fermement sa lame et la projeta en direction du monstre, l’épée fila dans les airs et vint se figer dans le torse de la bête. Transperçant son cœur. Celle-ci poussa un dernier hurlement puis s’écroula, faisant trembler le sol. Algarion tomba à genoux son armure était fendue de part en part, il était tout endolori, cette dernière attaque lui avait demandé un trop grand effort. Il ne demandait qu’à s’arrêter et à dormir. Doucement c’est yeux se fermèrent et il s’endormit malgré lui, vider de toute force. Lorsqu’il se réveilla la nuit était tombée et il n’avait aucune idée de l’heure qu’il était. Il se releva encore à moitié endormi et ne remarqua pas l’ombre qui passa derrière lui. Il fît brusquement un pas en arrière effrayé, des yeux le regardaient à travers les buissons. Une vingtaine de paire environ. C’était terrifiant. Les créatures se déplacèrent et l’encerclèrent. Il était pris au piège ! Il resserrèrent leur cercle et Algarion les reconnus aussitôt, c’était des loups géants. Il savait qu’ils ne le laisseraient pas partir. Algarion allait encore devoir ce battre. Il n’attendirent pas plus pour attaquer, l’un d’eux bondit vers Algarion, celui-ci dégaina son épée et atteint le loup en plein vol, son corps retomba parterre sans vie. Intimidé les loups hésitèrent à renouveler leurs assauts, Algarion en profita, il bondit et traversa le cercle écartant le loup qui lui barrait le passage d’un geste vif de sa lame. Il n’attendit pas qu’ils se réorganisent et quitta la piste s’enfonçant dans les fourrés. Il évoluait avec difficulté et les loups le traquaient à présent comme un vulgaire gibier. Il ne regardait pas ou il allait et n’avait pas besoin de regarder en arrière pour savoir que les loups étaient à quelque mètre derrière lui. Sa course le fît déboucher dans une clairière, il y faisait totalement noir ou presque, il n’entendait plus les loups et pourtant il savait qu’ils étaient là. Ecoutant attentivement il remarqua qu’ils étaient arrêter aux abord de la clairière. Algarion s’attendît à ce qu’ils bondissent d’un moment a l’autre mais il ne bougèrent pas. Ils restaient là immobiles. La lumière de la lune éclaira alors la clairière. Algarion vît que les loups étaient coucher les yeux fixer sur lui. Ils semblaient apaisé et ne cherchaient pas à entrer dans la clairière, comme si une force les en empêchaient ! « Te voilà enfin fils de la lune ! Je t’attendais. Tu as été rapide, je pensais que tu prendrais plus de temps à arriver jusqu’ici. » Algarion se retourna, la personne qui lui avait adresser la parole était une femme et elle le regardait du haut d’un long escalier en pierre qui semblait taillé à même la roche. Derrière elle s’élevait un immense édifice qui lui aussi semblait taillé dans la roche. Tout l’ensemble dégageait une impression de puissance incroyable. Tout était taillé avec précision et minucie. La lumière de la lune faisait l’édifice de mille feux. C’est alors qu’il comprît ! Il l’avait trouvé ! Il était enfin devant le temple de Lileath, après tant d’effort ! Il s’agenouilla devant la prêtresse et laissa coulé quelque larme, le voyage était terminé, après toute ses souffrances il avait réussi, enfin, il allait enfin connaître la tache qui lui était assignée ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alynerion Posté(e) le 3 septembre 2004 Partager Posté(e) le 3 septembre 2004 Je trouve que ce passage est très bien aussi.Tu n'as pas à t'en faire pour le récit ou la qualité. Il y a du suspens,de l'action,de la description et de l'aventure. On passe sur la question de l'orthographe: en gros,encore quelques fautes mais qui s'effacent progressivement et qu'on remarque de moins en moins. Le style est clair,le texte dégagé et aéré. moi,ça me plait beaucoup ton histoire. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Algarion Posté(e) le 3 septembre 2004 Partager Posté(e) le 3 septembre 2004 Yes, merci Alynerion. Je pensais l'avoir un peu foiré. Faudra sans doute attendre pour la suite. Mais sa viendra. Par contre je dois vous annoncez que à partir du 6 septembre sa deviendra difficile pour moi de continuer a ce train là. Et oui c'est la rentrée . Déjà finni les vacances :'( . Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 3 septembre 2004 Partager Posté(e) le 3 septembre 2004 Bon y a moins de fautes mais y en a encore pleins ! :s En fait j'ai trouvé une methode pour lire : je lis vite comme ca tu fais pas attention à l'horto ! :'( Sinon l'histoire est interessante quoique ton héros est assez bourrin quand meme Bon voilà plus decrire serait pas mal @+ -= Inxi =- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Warzazatt Posté(e) le 3 septembre 2004 Partager Posté(e) le 3 septembre 2004 Eh ben, c'est pas mal! On va faire simple, les + et les moins: D'abord les "moins": -une syntaxe et une orthographe digne d'un orc. :'( -Quelques erreurs de tournure dans les dialogues et un petit manque de recherche. -Des descriptions somme toute légères. Mais bon j'avoue que je suis vraiment méchant...pour les deux derniers points seulement. Ensuite les "plus": -Un scénario agréable. -Des personnages attachants mais que l'on aimerait voir de plus près. (Ils restent encore un peu flous à la mémoire, mais c'est parce que tu avances rapidement.) -Une progression logique avec un mélange action/ explication assez bien équilibré. Voilà, trois dans chaque camp: Ca nous fait quand même un texte sympa. P.S: L’attente semblait interminables puis sont oncles s’écria « Feu ! » Et abaissa ça lame, les cordes vibrèrent un instant et les flèches fendirent l’air en direction des gobelins.Algarion toucha ça cibles mais ça flèche fut stoppé par l’armure de cuir du gobelin. Une erreur de réalisme que je vois tout le temps: Lorsque l'on commande un régiment d'archers, l'on ne crie pas "feu", mais "tirez" ou "décochez", voilà. Ah, et aussi: Une flèche à pointe perçante tirée par un arc long elfique à portée moyenne stopée par une armure en cuir: Ca n'existe pas!!! Warhammer ne reflète pas la réalité, est pour cause: si c'était le cas, les arcs long n'autoriseraient pas les sauvegardes d'armure. Ex: Lors de la guerre de cent ans, un chevalier en armure se retrouva cloué sur son cheval caparaconné par une flèche anglaise qui avait perçé le flanc de l'animal et ses deux jambes!!! C'est pour dire... Mais ce n'est qu'un détail mineur (majeur pour moi) qui n'est pas important (essentiel!!) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Imperator Posté(e) le 4 septembre 2004 Partager Posté(e) le 4 septembre 2004 Bon... En tout cas, à mon sens, tu t'améliore côté orthographe et grammaire, encore qu'il reste certaines fautes... Entre autre: il c’était attaché C'est: il s'était attaché. Il s’arrêta quelque jour Quelque, c'est pluriel... Donc "s" à jour... Il resserrèrent Pas "il", mais "ils"... mais Algarion si était préparé En fait, c'est: "s'y était préparé...". Le "si" est utilisé dans les conditions... (exemple: si tu viens, je ferais à manger...) Bon, comme quoi ça devient plus fin comme fautes. Niveau style, j'ai là aussi à te faire des "reproches..:" si l'on veut...: Chaque brise, chaque bruit, chaque odeur, il était capable de les identifiés. C'est plutôt: Il était alors capable d'identifier chaque brise (trop lu les vents sombres du destin...), chaque bruit et chaque odeur... Quant à Teclis il lui apprenait Quant à Teclis,... Mais, d’après ses calculs Algarion ne devrait plus être loin. Il pensait y être dans deux jour. En attendant il devait être vigilant. Tous à coup, il s’arrêta brusquement. L'ennui, dans cette progression, c'est qu'il n'y a pas de transition entre le moment où tu saute les jours et celui où il se fait attaquer... Il faudrait ajouter un petit: "À l'aube du troisième jour, il s'arrêta et, pendant sa pause, conclu qu'il ne devait plus être loin de sa destination". (je demande ça parce que ça fait étrange d'avoir un "tout à coup" au milieu de jours qui défilent... A présent il se trouvait face à la bête, c’était une énorme vouivre. On peut faire plus joli: "À présent, il se trouvait face à la bête: une énorme vouivre..." Bon, je ne relève que ces points là pour te donner des exemples. J'avoue que j'augmente d'un coup la pression, mais vu que le scénario va bien (un peu rapide, mais bon, c'est encore de l'introduction), je pense que l'on peut passer à la vitesse supérieure, ou tout du moins te donner une idée... Enfin bref... ça reste un bien bon texte. Sur ce, Imperator, qui pense qu'il est bon de commencer à te montrer un peu plus au moment de la critique... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Algarion Posté(e) le 5 septembre 2004 Partager Posté(e) le 5 septembre 2004 Imperator je ne comprend pas bien quand tu dis que je suis absent au moment de la critique?Je devrais répondre plus souvent? Pourriez-vous également me fournir des précision au niveau description.Qu'est ce que je ne décris pas asser? Pourriez-vous également me fournir des précision sur ce qu'est une synthaxe.Que je sois sur que se sois, se a quoi je pense. Bref Algarion qui apprécie vos critique(moi tant que c'est constructif) et qui essaye de tenir compte au max de vos remarque. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Imperator Posté(e) le 5 septembre 2004 Partager Posté(e) le 5 septembre 2004 Imperator je ne comprend pas bien quand tu dis que je suis absent au moment de la critique?Je devrais répondre plus souvent? Sois je suis amnésique, soit on traficote dans mon dos... (m'en fiche, je viens de changer le code, donc ça ne pourrait pas se reproduire...). En tout cas, quoi qu'il en soit, si j'ai put dire cela (sérieux, je ne m'en souviens pas), et bien... Personne n'est véritablement absent à la critique. Si tu as lu un texte, alors c'est bien de répondre... Par contre, si tu n'as pas envie de lire, je ne peux pas te forcer et ne vois pas pourquoi je le ferais. Évidemment, d'un côté, cette section ne peut fonctionner si tout le monde écrit et personne ne lit, mais c'est un choix personnel de chacun et je me vois mal forcer la main à qui que ce soit... (Je dis tout ça parce que je dois avoir un trou, vu que je ne vois pas quand et où j'ai put dire ça et que donc je cherche à vite expliquer ma position quand à l'investissement de chacun dans cette section, investissement certes nécessaire, mais qui dépend de la bonne volonté et de l'altruisme de chacun.) Sinon, Pourriez-vous également me fournir des précision au niveau description.Qu'est ce que je ne décris pas asser? Et bien, l'ensemble... C'est plutôt rapide et prendre plus de temps pour fixer le décor (la tour de Hoeth, la façon de s'entraîner en détail, les camarades, les difficultés...) pourrait être une bonne chose. Maintenant, je pense que Warzazatt saura mieux te montrer cela que moi... Sur ce, Imperator, empereur du néant... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Algarion Posté(e) le 5 septembre 2004 Partager Posté(e) le 5 septembre 2004 Mouai je vois,je demande tous ça avant de commencer la prochaine partie en fait. J'attend vos réponse pour le reste des question que j'ai posé. Par contre quelqu'un a dit qu'il trouvait mon perso bourin.Sur ce point je ne suis pas tout a fait d'accord.Une Vouivre n'est pas un animal si puissant,d'autant plus que ses stupide et borné. Dans un historique comme celui si, sa ne constitue pas un fait de Grand Héroisme.Surtout pour quelqu'un qui a atteint le niveau d'un commandeur(n'oublier pas que c'est un futur héros). Comparer a c'est futur adversaire c'est un encas cette voivre. Si vous n'êtes toujours pas convaincu, expliquer moi pourquoi, ça m'interesse (je tiens à ne pas sombrer dans le bourinisme). Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Erdraug Posté(e) le 6 septembre 2004 Partager Posté(e) le 6 septembre 2004 bonjour à tous tout d'abord, malgré l'orthographe plus qu'hasardeuse, l'histoire se tient et demande une suite. j'ai par contre également peur qu'elle sombre dans le bourinisme même s'il est vrai qu'un commandeur peut en tuer une, je doute que ce soit en une passe d'arme. mais bon, vu que c'est bien expliqué et justifié, ce combat passe très bien dans le récit. en gros, continue et surtout bravo pour tes efforts concernant l'orthographe qui s'améliore à chaque partie (c'est bien de critiquer mais il faut aussi savoir reconnaitre les progrès je trouve) sinon pour warzazat, concernant ta remarque sur l'archerie, ce serait bien que tu lises TOUS les posts car j'avais déjà soulevé le problème dans des propos très proches des tiens. je sais que je ne suis pas un éminent membre du forum mais je ne raconte pas que des conneries (quoique! ) à plus Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Algarion Posté(e) le 8 septembre 2004 Partager Posté(e) le 8 septembre 2004 OK merci! Bon pourriez-vous m'éclairer à propos de la synthaxe.C'est un mot que je n'emploie jamais.Alor qu'est ce... Concernant le récit je compte vous délivrer la suite ce weekend plus pobablement (dimanche).En atendant si vous avez d'autre critique (ou éloges ), je vous en prie. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alynerion Posté(e) le 8 septembre 2004 Partager Posté(e) le 8 septembre 2004 La synthaxe, c'est la construction de la phrase: l'ordre des mots,la ponctuation,la grammaire... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Algarion Posté(e) le 10 septembre 2004 Partager Posté(e) le 10 septembre 2004 Merci Alynerion, bon le récit est en bon avancement et je ^pense vous le délivrez dimanche comme promis. Quand à la synthaxe et au niveau de la decription je pense que se serra mieux. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité belaenner Posté(e) le 10 septembre 2004 Partager Posté(e) le 10 septembre 2004 Bonjour a tous, j ecris pour dire que ce texte est est passionnant, action suspens,...etc vrai pour les fautes d orthographe, malgré tout, je tien a féliciter Algarion pour ce texte magnifique et demande une suite de toute urgence!!!!!!!!!!! je suis friant de cest textes narrant les épopées d elfes mystérieux Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Algarion Posté(e) le 10 septembre 2004 Partager Posté(e) le 10 septembre 2004 (modifié) Oh!Merci , je te revaudrai ça! Rien que pour ça je vais encore essayer de m'améliorer en ortho et tenter dès demain de corriger ceux déjà existant. J'ai terminé la 6ème partie, rien que pour toi j'èspère quel va te plaire. Jla poste demain juste le temp de faire 9 ou 10 relectures. Modifié le 10 septembre 2004 par Algarion Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Zarathoustra Posté(e) le 11 septembre 2004 Partager Posté(e) le 11 septembre 2004 J'ai lu principalement la fin. Ce que j'ai lu montre de réelles qualités: l'imagination, le sens du mystère et de l'action, le tout se mélangeant plutot bien. Mise à part effectivement le français, quoique tu as fait pire , je pense qu'il faudrait mieux travailer la structure du texte. Ici, tout est morcellé, je sais que la lecture "forum" oblige à bien espacé les paragraphes, tu le fais peut être trop. Il faut que tu travaille tes scènes en blocs plus conséquent (même si ici, tu n'aurais qu'à moins sauter de lignes pour ça mais pas seulement); Quand je dis travailler plus en bloc, ça veut dire creuser tes scènes en pronfondeur, il te manque pour l'instant le recul pour savoir quand insister sur tel ou telle scène (ou description). Par exemple, la bataille avec la vouivre aurait mérité un peu plus (d'ailleurs en l'occurence elle est un peu gratuite, ça fait un peu "tiens je vous mets de l'action histoire de vous distraire, rusultat on a l'impression qu'il la tue un peu par chance, la chance fait donc bien les choses! ), idem les loups, tu aurais pu travailler la peur, faire monter davantage la tension. Pour les descriptions, le temple méritait plus que ces quelques lignes, il aurait dû se graver en nous, là on retient un escalier dans une falaise avec une femme dessus, c'est trop sommaire, cette apparition doit avoir quelque chose d'irréel, or là, tu effleures juste la question. Attention aussi à ne pas trop bourriniser l'ensemble. Voilà quelques pistes que j'ai trouvé à travailler. Pour finir, tu sollicites l'avis de tes collègues, dis toi qu'ils aimeraient aussi que tu leur apportes ton regard sur leur texte: ce que tu aimes, ce que tu n'aime pas (d'ailleurs, c'est souvent ça le plus intéressant: les points d'amélioration); Cette rubrique fonctionne avec un esprit de solidarité, sans lui, elle mourrait très vite, les textes sans retours découragent leurs auteurs, plus il y a d'auteurs, plus il devrait y avoir de retours or c'est malheureusement pas le cas. Bref, plus tu veux de retours, plus il te faut t'investir sur les textes des autres pour les remercier de leurs efforts sur les tiens, c'est ainsi que ça doit fonctionner ici, et tu verras accessoirement que tu batiras des relations presque amicales avec les autres! Allez, continue sur cette voie, tu verras combien on progresse tant en travaillant ses textes que ceux des autres! Zarathoustra "Bon il me reste Erdraug, Impe et toujours Warzazat à rattrapper. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Algarion Posté(e) le 11 septembre 2004 Partager Posté(e) le 11 septembre 2004 Oùch, ça c'est une critique constructive, merci. En se qui concerne mon avis sur les autre texte je frai un effort. Mais je suis tellement exité par ce texte que j'en oublie un peu le reste. Vous comprenez, je tiens a ce perso... Et puis j'hésite à donner mon avis j'ai un peu peur de dire n'importe quoi...Mais promis je ferais un effort. Sinon voici la suite, je crois qu'il faut peut-être que je travaille encore les scène clés non? Enfin je le poste toujours et le soumet à vos critique. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Algarion Posté(e) le 11 septembre 2004 Partager Posté(e) le 11 septembre 2004 Le Réveil de la lune Partie 6 : L'épeuve final. Algarion gravit les marches une à une, plus il se rapprochait de la silhouette qui lui adressé la parole, quelques minutes auparavant, plus il la trouvait familière. C’est lorsqu’il ne fût plus qu'à quelques mètres d’elle qu’il la reconnut ! Ses longs cheveux bruns, lisse et soyeux lui tombaient gracieusement dans le dos. Son si beau visage semblait sculpter par les mains des dieux eux-même tant sa beauté était grande. C’est yeux gris comme la lune brillait tels deux étoiles dans le soir. Une aura de bienfaisance brillait d’une lueur blanche, presque aveuglante, autour de son corps, dont les formes sensuels et gracieuses ferraient pâlir d’envie tous les elfes d’Ulthuan. Baigné par la lueur divine il lâcha sa lame dont le tintement résonna dans toute la forêt et se dirigea vers elle, comme attiré par un aimant. Il se laissa tomber à ses pieds, appuya sa tête sur son ventre pleura toutes les larmes de son corps. Celle-ci posa sur lui un regard débordant d’affection et se surpris-elle aussi à pleurer. Elle venait de retrouver son fils! Partit, il y a déjà un an et demi maintenant. Aucune mère n’aurait put être plus heureuse en ce moment. Elle posa une main sur sa joue et le gratifia d’un baiser, marque de tout son amour, quel déposa sur son front. Algarion était au comble de sa joie. Certes il ne l’avait jamais laissé paraître, mais sa mère lui avait terriblement manqué. L’un et l’autre étaient lié par des sentiments très forts. Comme il était aussi lié à sa sœur par des sentiments exceptionnels! Quant à son père c’était diffèrent ! Il l’aimait comme un fils se doit d’aimer son père, mais il éprouvait surtout de l’admiration pour lui. Algarion releva la tête et posa sur sa mère un regard plein d’affection. « Comment va Nacha ? » « Ta sœur va bien mon enfant, elle aurait tant aimé te revoir. » Après ce moment de joie dû aux retrouvailles, Algarion ne pût s'empècher de se demander ce que sa mère faisait ici. Que faisait-elle au beau milieu de cette forêt dans ce temple perdu dont seul les sages les plus anciens et les plus instruits en connaisse l’existence ? De plus, Algarion avait toujours cru que sa mère n’avait aucun pouvoir magique. Elle lui avait apparemment caché ce détail, bien quel est surement eût de bonne raison. «Mais, mère que faites-vous donc ici ? Quel lien entretenez-vous avec la déesse? » « Je suis la prêtresse mon fils. Une disciple. Comme toi ! Bien que mes pouvoirs soit arrivé à l’apogée de leur puissance contrairement au tien. » Elle prit une longue inspiration et reprit. « Elle m'avait interdit de te dire quoi que se soit mais à présent je peux te le réveler.Algarion, la déesse nous a créés ! Tout notre passé et notre avenir à été écrit et tracé par la déesse. Bien sûr il y a des choses qu’elle-même ne peut prévoir ! Et c’est ce qui fait de nous des êtres à part entière. Tu ne dois jamais te considérer comme un simple serviteur, tu peux toujours choisir ! Moi j’ai choisi de suivre le destin qu’elle m’avait tracé. » Algarion ne voyait pas où elle voulait en venir. Il lui demanda : « Que veux-tu me faire comprendre mère ! » « Ce que je veux dire, c’est que tu peux toujours choisir, soit tu suis le chemin qu’elle ta tracée soit tu te tourne vers un autre horizon. » Elle le regarda, pleine d’affection, sa mission ne serait pas facile. Mais il avait reçu de bien plus grand pouvoir après tout. « Algarion, ses maintenant ou jamais. Si tu veux reculer, tu le peux encore, après se ne sera plus possible. » Algarion sourit. « Je ne reculerais pas ! Quels que soit l’obstacle ! » « Très bien, je respecte ton choix, inutile de s’attarder plus longtemps dans ce cas. Entre dans le temple. La dernière épreuve t’attend. » Algarion se dirigea vers les portes du temples et s’arrêta devant. Elles étaient immense et Algarion doutait, qu’il arriverait à les ouvrir sans aucune aide. (Peut-être est-ce ça l’épreuve ?) A peine cette pensée lui traversa l’esprit, que les portes s’ouvrir d’elle-même sans que Algarion eut à faire le moindre effort. Un voile d’obscurité régnait à l’intérieur lorsque l’on était dehors, mais une fois à la porte franchie la pièce était illuminée par une lumière blanche presque aveuglante qui semblait émané du mur même. La pierre qui constituait le mur était très étrange, elle était aussi dur et lisse que le marbre, et malgré la lumière blanche qu’il diffusait la pierre elle-même était bleutée. Il était sûr de n’avoir jamais vu ni entendu parlé de ce type de pierre. Plus il la regardait et plus, il la trouvait fascinante. Mais il n’avait pas le temps de rêvasser plus longtemps devant ce mur. Il avait hâte d’en finir avec cet prétendue épreuve. Plus il pensait à cette épreuve plus il était inquiet. Teclis lui avait enseigné que les dieux pouvaient parfois se montrer très étrange… Il c’était à présent engager dans un long couloir dont-il ne percevait pas la fin. Il avait perdu tout repère et ne savait plus depuis combien de temps il marchait, la fatigue commença à s’installer et il sentit peser sur lui son armure. Il préféra l’enlever tant elle devenait lourde et de toute façon ne lui serrait plus d’aucune utilité car la vouivre, l’avait presque détruite. Ce poid en moins, il continua d’avancer sans vraiment plus savoir ou il allait et ne se posant plus la moindre question sur ce qui l’attendait tant il était fatigué… Enfin le couloir prit fin et déboucha sur une salle étroite. A première vue elle était vide, pourtant Algarion ressentait une présence maléfique. Là ! Dans le fond de la salle, une énergie sombre, haineuse, mais bouleversé se dégageait du mur qui lui faisait face. Comme si la créature avait compris qu’elle était démasquée, elle sortit de son coin d’ombre et marcha…Non ! Glissa vers lui. A présent il était clair que la créature n’avait aucun contact avec le sol. Elle le survolait, planant quelque centimètre au-dessus. Un rayon de lune éclaira brièvement la salle qui ne comportait pas de plafond et il pût distinguer plus nettement la créature. Se n’était rien, une silhouette, rien d’autre, comme enveloppé dans une longue cape noire déchirer qui recouvrait ce qui aurait du être son corps. Cette créature n’était rien d’autre qu’une ombre. Un frisson glacé parcourut le corps fatigué et gelé d’Algarion. Ce spectre était terrifiant. « Fi…Fil…Fils d…de lllla lllune, j…je t’attends de…depuis si, si longtemps ! » Il avait du mal à s’exprimer, comme s’il n’avait plus parlé à un être vivant depuis des siècle entier ! « Au…Aujourd’hui, le, le j…jour de ma, ma liberté, est enfffin, arri…arrivé. » « De quoi parles-tu, qui es-tu ? » « Je v…vais, te, te tu…tuer et ppprendre ton âme, fi…fils de la lune. » Algarion sentit la peur l’envahir, non ! Il devait la combattre, il ferma les yeux un instant, le temps de reprendre ses esprits. Il entendit une lame chuinté et réouvrit immédiatement les yeux. La créature s’avançait lentement vers lui un long glaive à la main. Algarion savait que la moindre blessure le viderait de toute force, que sa volonté s’effondrerait comme un château de carte. Rassemblant toutes les forces qu’il lui restait, il sortit lui aussi sa lame qui brilla un instant au clair de lune, puis un nuage masqua l’astre d’argent privant Algarion de toute lumière, même celle des étoiles. Algarion se déplaça doucement vers le mur de droite, il n’arriverait à rien avec cette simple lame d’ithilmar. Les fantômes étaient sensibles uniquement aux armes magiques. Il rangea sa lame continuant à se déplacer silencieusement. Une lame fendit l’air dans un bruit sec et s’abattit sur Algarion. Il évita la dague de peut roula quelques instant sur le sol puis se redressa. Le spectre continuant sur ça lancée renouvela son attaque avec plus de précision cette fois mais Algarion avait disparu dans l’ombre bien avant que la lame n’atteigne sa cible. « Tttttu nnne peut tttte ca…cacher fffils de lla llune, llle chaooos est mmmon univeeers ». Une nouvelle fois Algarion fût traversé d’un frisson, décidement cette voix n’avait rien de réjouissant. Algarion réfléchit rapidement, il devait trouvé une solution. Le spectre abattit sa lame une fois encore et il l’évita encore une fois. Le spectre renouvela encore et encore ses coups, arrachent à chaques assauts un peu plus d’énergie à Algarion qui avait de plus en plus de mal à éviter le glaive de l’assaillant. Cette fois il s’en était fallu de peu. Algarion recula et sentit la pierre froide dans son dos. Il ne pouvait plus s’échapper à présent ; vite une idée ; pensa Algarion, sinon je suis fichu. Un rayon de lune perça un instant l’obscurité et la lame du spectre scintilla quelques secondes puis le rayon fût à nouveau étouffé par l’obscurité. Oui ! Il avait peut-être une idée, c’était sa seule chance, la lame fondit une dernière fois sur Algarion… La mère d’Algarion se retourna, un long cri strident retentit dans la nuit. Elle tomba à genoux. Le visage dans les mains, une mère pleurait seul dans la nuit, le fils quel croyait avoir perdu à jamais. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Imperator Posté(e) le 11 septembre 2004 Partager Posté(e) le 11 septembre 2004 Bon, avant tout, fait attention à cette faute-ci qu'il ne faut plus reproduire: une mère pleurait seul dans la nuit, le fils quel croyait avoir perdu à jamais. C'est: qu'elle croyait avoir perdu à jamais. En effet, si l'on décompose: une mère pleurait seule dans la nuit le fils que elle croyait avoir perdu... et pas: une mère pleurait seule dans la nuit le fils quelle... Phonétiquement, c'est la même chose, mais il faut comprendre que le "qu'elle" est en fait un "que" et un "elle" assemblé car il s'agit en fait du début de la subordonnée... Enfin bref... Grammaticalement, ce serait dur à t'expliquer (car, au fond, je ne connais pas bien la règle), mais par des exemples, tu devrais comprendre le truc: Quelle: Quelle magnificence, quelle splendeur! Quelle folie aussi que de se l'être payée... Qu'elle: La chose qu'elle fit n'était pas pour lui déplaire, mais un truc l'aurait ennuyé, c'est qu'elle se mette à faire la bamboula à trois heure du mat, parce qu'elle aurait alors dût payer des frais qu'elle n'aurait jamais eut les moyen de verser, ce qui l'aurait poussé à faire un boulot qu'elle n'aurait pas apprécié. Vu? Bon, sinon, côté histoire: Algarion était au comble de sa joie. Certes il ne l’avait jamais laissé paraître, mais sa mère lui avait terriblement manqué.L’un et l’autre étaient lié par des sentiments très forts. Comme il était aussi lié à sa sœur par des sentiments exceptionnels! Quant à son père c’était diffèrent ! Il l’aimait comme un fils se doit d’aimer son père, mais il éprouvait surtout de l’admiration pour lui. le *quant à son père* n'est pas utile, et est même dérangeant... Je te conseille de l'enlever. Sinon, et bien, ce n'est pas trop mal. Mais j'espère qu'il va la reprendre, cette armure, vu la puissance qu'elle possède! Attention aussi à ça: Mais il n’avait pas le temps de rêvasser plus longtemps devant ce mur. Il avait hâte d’en finir avec cet prétendue épreuve.Plus il pensait à cette épreuve plus il était inquiet. répétition des plus ennuyeuses. Bon, sinon, c'est bien quoi, très intéressant... Combat presque passionant s'il avait été un peu plus poussé (il passe vite, et ce n'est pas un mal). Allez, sur ce, Imperator, empereur qui attend la suite... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alynerion Posté(e) le 11 septembre 2004 Partager Posté(e) le 11 septembre 2004 (modifié) Je te le dis sincèrement,j'aime moins cette partie que les autres.Je suis désolé. «Mais, mère que faites-vous donc ici ? Quel lien entretenez-vous avec la déesse? » « Que veux-tu me faire comprendre mère ! » Fais attention,ne passe pas du vouvoiement au tutoiement. Sinon il faut bien avouer que les fautes d'orthographes sont réapparues,plus nombreuses qu'auparavant... . il ya aussi des erreurs de temps par ci par là.Tout cela gène énormément la lecture. Côté histoire,il ya des problèmes: -une prétesse ne quittent pas le temple de sa déesse (enfin,je le conçois pas,du moins) -un temple ne peut pas accueillir une créature maléfique,surtout quand celle-ci compte tuer le fils de la déesse à qui est dédiée l'édifice. Le visage dans les mains, une mère pleurait seul dans la nuit, le fils quel croyait avoir perdu à jamais. Ne vends pas la mèche maintenant! Le passage de choisir son destin ou non est un peu confus,un peu brouillon. Un voile d’obscurité régnait à l’intérieur lorsque l’on était dehors, mais une fois à la porte franchie la pièce était illuminée par une lumière blanche presque aveuglante qui semblait émané du mur même. La pierre qui constituait le mur était très étrange, elle était aussi dur et lisse que le marbre, et malgré la lumière blanche qu’il diffusait la pierre elle-même était bleutée. Il c’était à présent engager dans un long couloir dont-il ne percevait pas la fin. de quel mur parles-tu?on voit quelque chose ou on voit rien? c'est dommage,tu nous avais pas habitué à ça,Algarion...retravaille cet épisode. ça n'emêche que ton histoire reste très bien et que j'adore toujours ce que tu as fais... Modifié le 11 septembre 2004 par alynerion Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Warzazatt Posté(e) le 11 septembre 2004 Partager Posté(e) le 11 septembre 2004 Mon dieu! mon Nurgle! Mon Khaine! Mais qu'est ce que c'est que toutes ces fautes de grammaire et d'orthographe! Allez, relis toi et corrige! Autant, le début du passage est correct, autant après tu t'embrouille un peu et les fautes reviennent au galop. Pour l'histoire, il y a de l'idée. De bonnes idées pour être exact. Donc bravo pour cela. J'ai remarqué un effort sur les descriptions. Du moins à mon point de vue. Donc, bravo pour ça. bon, j'ai la flemme d'écrire, donc j'éditerai peut-être plus tard. Mais d'ici là, fais déjà ce que je t'ai conseillé: Relis! Et écris... la suite. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Tylza Posté(e) le 11 septembre 2004 Partager Posté(e) le 11 septembre 2004 (modifié) En fait j'ai trouvé une methode pour lire : je lis vite comme ca tu fais pas attention à l'horto ! C'est rigolo, je fais pareil ! Niveau fautes, tu as progressé -je viens de tout lire, en fait, un p'tit lézard m'a parlé d'un récit Haut Elfe, qui a pour nom, je cite : "un truc avec des étoiles, ou, je sais pas.." -, mais ça reste encore une pas extra. C'est difficile d'écrire sans fautes quand on n'a pas "l'orthographe". C'est-à-dire que soit on l'a, soit on ne l'a pas. Mais par contre, tu as l'aide -bancale, je te l'accorde...- de Word, et si tu veux vraiment t'y mettre, tu peux progresser en grammaire, et en orthographe. Parce qu'en fait, tes fautes d'ortho sont dûes à des fautes de grammaire. Si tu connais les règles de grammaire, tu fais beaucoup moins de fautes d'ortho. Mais après, c'est qu'une question de volonté. C'est injuste, mais il y en a qui doivent plus travailler que d'autres. Comme moi en maths quand j'étais au collège, puis au lycée....... Sinon, j'aime beaucoup beaucoup ! Y'a du Haut Elfe partout !!! La Tour de Hoeth, etc ! C'est simple dans les formulations, l'histoire, etc, ça me plait. J'aime beaucoup l'histoire. J'aime aussi comment la sale bestiole ( le spectre ) parle dans cette partie. ça fait peur. Mais je dirais que tu devrais peut-être mettre plus de suspens, ici, dans le combat qui se livre. ( ? ) Pour les descriptions, tu t'améliores beaucoup, à mon avis aussi. Tu pourrais aussi décrire peut-être des scènes où le héros apprend à manier l'épée si tu retouches ton texte, etc? J'aprécie l'ambiance, et décrire plus les architectures, les physiques, etc ne feront en effet que la renforcer. Tylza Modifié le 11 septembre 2004 par Tylza Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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