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La maitresse de la douleur


Invité Snikch, le maître de la nuit

Messages recommandés

Invité Snikch, le maître de la nuit

Edit= Bon pour vous éviter à tous de vous taper les trois pages de commentaires j'ai replacé le débutde mon récit en page trois.

Bonne lecture et merci de vos avis...

@+

-=Snikch=-

Modifié par Snikch, le maître de la nuit
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Un peu court, non?

Bon, en tout cas:

Le village impérial n’était plus que ruine et désolation.

plus que ruines (et oui, y en a plusieurs) et désolation...

En quelque instants

En quelques instants (il me semble...)

la horde de maraudeurs et de guerriers chaotiques avait déferlée sur la pauvre bourgade,

avait déferlé... Pas de "e", lit le à haute voix, tu comprendras... (pour la règle grammaticale, ce n'est pas de mon ressort (un truc de complément avant...)).

Elle fut alors empli d’un chagrin

Même chose, mais le contraire... Là, c'est "emplie", car le verbe être en auxiliaire (fait le au son, c'est tellement plus simple et cool à lire par la suite).

et non consciente que des hommes mourraient autour d’elle

Là, je veux juste te proposer "et non consciente du massacre des hommes autour d'elle". Ce me semble meilleur... Enfin, c'est à toi de voir.

qui venait d’occire son âme sœur.

Sachant que c'est une femme, ça donne une impression bizarre... Il faudrait une autre formulation tel que l'amour de sa vie, ou dieu sait quoi...

trop occupé a chercher

à chercher...

Pour le reste, c'est plutôt saccadé, mais l'impression de massacre a l'avantage d'être présente, sans oublier que la petite, au moins, n'a rien pu faire face à une armure du chaos (enfin!). Bref, j'ai peut-être trop décortiqué ton texte et ça peut en paraître un peu vil et sournois, mais sache que j'ai apprécié le fait qu'il y ait, dans le fond, peu de fautes.

Au passage, fait quand même attention aux virgules.

Sur ce, Imperator, empereur heureux d'apprendre ton retour...

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Invité Snikch, le maître de la nuit

Merci les enfants...

Bon Imp ca me gène pas le moins du monde: si tu fais ca c'est pour corriger mes fautes, alors je n'ai pas a t'en vouloir.

Pour la suite, j'édite ce texte et je la continue...

Merci de ces réponses, le chapitre un est pour bientôt...

@+

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C'est un peu comme courir un 50m, tu t'élances comme un fou mais à l'arrivé c'est tellement rapide que t'es même pas fatigué :D

Sérieusement, c'est un peu court.

Sinon:

non consciente du massacre des hommes

inconsciente

chagrin sans limite qui lui brisa le cœur

Pléonasme: un chagrin sans limite brise forcment le coeur (puisqu'il est sans limite)

Bon bah sinon c'est très bien écrit, ce qui laisse présager du meilleur pour la suite mais c'est un peu court même pour une intro.

La suite, la suite ^_^

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C'est vrai que la question de la longueur est importante. Trop court comme c'est le cas ici, tu frustres le lecteur et mobilises la communauté pour quelque chose qui ne le mérite pas forcément (je ne veux pas dire que ton texte n'est pas bien mais juste qu'avoir 10 réponses pour une 20taine de lignes, c'est disproportionné).

Trop long, et le lecteur fuira l'effort. Dans l'absolu, il vaut mieux un peu trop long que trop court surtout une fois l'histoire lancée. Je trouve très difficile de me replonger trop fréquemment sur une histoire qu'on publie par petit bout tous les deux jours.

Moi je livre des petits bouts tous les mois, c'est plus classe! :o Comme ça personne ne se rappele de quoi je cause! ^_^ Mais j'assume maintenant qu'on ne vienne plus trop me lire... :D D'ailleurs c'est même pas vrai depuis le mois d'aout je dois faire un texte tous les 10 jours, ça frise l'excès de vitesse!

Tout ça pour te dire qu'il faut bien mesurer son effort. Mieux vaut ne pas lasser prématurément. En plus, quand c'est trop court, on ne peut en fait rien dire d'intéressant (ou alors c'est qu'il valait mieux ne pas le publier! :) ).

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Invité Snikch, le maître de la nuit

Voila la suite..

A votre avis estce assez long???

Chapitre premier : Esclave !

La caravane se remit en route, les gémissements des esclaves seulement couverts par les chants de victoires des nordiques. Devant Karla, une femme s’écroula de fatigue.

Son mari se pencha alors pour la remettre debout.

Tout deux eurent alors la tête coupée par un guerrier, au torse nu malgré le froid environnant.

Le voyage dura ainsi des jours, ceux qui n’arrivaient plus a faire un pas étaient tués sur le coup.

Pendant un instant Karla pensait que ce serai le meilleur moyen d’en finir.

En ce moment elle pensait qu’elle ne pourrait plus jamais être heureuse.

Ses parents, comme son petit frère Helmut, avait été massacré par ces guerriers au cœur plus dur que celui d’un démon. Plus jamais elle ne pourrait faire de promenades avec son Viktor.

Elle qui était si joyeuse le jour ou il l’avait demandé en mariage, ne songeait maintenant plus qu’à son corps froid et sans vie.

Qu’elle aurait aimé que ce monstre la tue.

Mais il l’avait juste assommé. Elle s’était réveillée, en proie à une vive douleur, lorsque les pillards les avaient marqués au fer rouge, comme du bétail.

A présent une rune ornait son bras gauche. Une rune qui indiquait à qui elle appartenait désormais.

La vie de Karla s’était en effet arrêté là.

Survivre dans cet enfer était un miracle.

Ceux qui réussissaient à passer la journée risquaient chaque soir de se faire sacrifier dans des rituels impies.

Pourtant chaque soir Karla priait. Elle ne savait pas qui ou quoi mais elle priait.

Et il lui semblait qu’on lui répondait.

Chaque soir une présence, un peu plus forte à chaque fois, occupait ses pensées et lui permettait de dormir en ignorant les cris de douleurs des sacrifiés.

Et elle remerciait cette présence chaque soir.

Sa volonté et son désir de vivre était si fort qu’elle prenait chaque coup de fouet, chaque coupure comme une bénédiction, lui indiquant qu’elle était encore en vie.

Enfin, un jour la caravane arriva en vue du village de la tribu.

Des centaines d’esclaves impériaux il n’en restait q’une poignée, une centaine tout au plus, tout exténués, sales et fatigués.

Quand ils entrèrent dans le village, les prisonniers devinrent source de l’attention de toute la tribu.

Les femmes témoignaient du mépris pour les étrangers tandis que les enfants les regardaient avec curiosité, et les jeunes hommes s’attardaient particulièrement sur Karla, la détaillant de la tête au pied.

C’est alors que le chef de la tribu se dirigea vers le centre de la place.

Il prit la parole et sa voix gutturale couvrit immédiatement le brouhaha de la foule.

Bien qu’il se mit à parler en chaotique, Karla n’eut étrangement aucun mal à le comprendre.

Les hommes se sont bien battus. Ils ont massacré beaucoup des couards du Sud pour la gloire du prince des plaisirs. Karla supposa qu’il s’agissait du titre du chef de la tribu. Ceux qui sont morts sont à présent à ses côtés.

Ils ont aussi ramenés beaucoup d’esclaves et de marchandise.

Que commence la répartition des esclaves !

Modifié par Snikch, le maître de la nuit
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Arf :clap:

Tu te souviens de moi? C'est moi qui t'avais tarabusté à propos de ton texte sur les skaven pour que tu le continue... Tu m'avais promis que tu le finirais... Il y a un ans complet de cela... :lol:

Donc tu délaisse tes pauvres petits rats pour de vils barbares rustres et violents... Ca y est, je suis déja monté contre toi :lol: .

Bon, dans l'ensemble c'est bien, mais un peu court... Essaie de faire minimum 2 pages word. :blink:

Voila. Donc, un commentaire plus étoffé quand tu aura fait plus de texte!

Et ne déséspère pas, tu est lu!

Kadra, qui a aussi peur du noir, mais à deux on a moins peur :unsure: .

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Lol... Ne désespère pas, tout vient à point à qui sait attendre...

Mais j'avoue qu'il est étrange que ton texte ne m'aie pas été signalé par le forum (j'entends par là que quand j'arrive, certains textes (tout ceux que je n'ai pas lu) sont plus colorés que les autres, et je sais ainsi ce que je n'ai pas encore lu...). Mais on va tenter de réparer ça...

Ceux qui réussissait à passer la journée risquait chaque soir de ce faire sacrifier dans des rituels impies.

Pourtant chaque soir Karla priait. Elle ne savait pas qui ou quoi mais elle priait.

Et il lui sembler qu’on lui répondait.

Chaque soir une présence, un peu plus forte à chaque fois, occupé ses pensées et lui permettait de dormir en ignorant les cris de douleurs des sacrifiés.

Pleins de fautes de conjugaisons:

- réussissaient

- risquaient

- se faire (pas de conjugaison, mais je la relève aussi)

- il lui semblait

- occupait

Bon, je ne vais pas non plus passer une heure à t'expliquer chaque faute, mais si tu pense (estime, juge ou autre) que c'est nécessaire, je serais ravi de m'exécuter (pour cela, mon temps est le tien).

Côté histoire, je sens la possession démoniaque. Mais ça me rappelle assez le film "Attila" que je ne conseille pas (sauf pour Flavius, qui est un véritable exemple d'humanité) où la gentille femme se fait emmener chez les barbares pour sa bravoure, etc...

Bon, sans plus en dire, je me contenterais de faire remarquer que tu coupes là où ça devient intéressant et que tu nous demande de juger une transition, ce qui est souvent un peu ennuyeux, vu qu'il n'y a pas grand chose à dire (de mon point de vue). Certes, on a l'épisode des têtes coupées qui met dans l'ambiance, la marque, le flaschback (bien introduit du reste) et l'étrange prière ainsi que la non moins étrange compréhension des voix... Mais nous couper alors que ça devient passionant, non!

Ah oui, fait attention à ça:

Pendant un instant Karla pensait que ce serai le meilleur moyen d’en finir.

En ce moment elle pensait qu’elle ne pourrait plus jamais être heureuse.

Penser, penser, je sais qu'elle pense, mais penser pour penser n'est pas un exercice passionant, et ça, il faut y penser, surtout que sans la pensée, et je l'accorde volontier, il n'y aurait plus de livres de pensée, ni de pensée collective et encore moins de grand penseur :lol: ...

Sur ce, Imperator, empêcheur de penser en rond...

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Ah en fait, c'est pas parce que ton texte n'a pas de reponse dans les deux minutes qu'il faut d'enflammer ! Je connais des textes qui sont resté un mois sans reponse !

Bon pour le texte maintenant ! Ca devient plus long et on se prend mieux dans l'histoire :lol: ! Mais je pense qu'encore un poil plus long serait agrable :lol:

Allez c'est pas mal ! La suite !

@+

-= Inxi =-

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Invité Snikch, le maître de la nuit

Oki merki merki...

C'est juste que je commencer à me dire

"merde, c'est si nul que ca!!!"

Donc voila mais je ne stress pas outre mesure...

Sinon pour kadra:

Je reccomencerais un récit sur les skavs dès que celui là aura bien avancé

Pour Imp pour les répétitions j'ai oublier de relire ce passage et c'est vrai que c'est affreux..

Sinon les verbes c'est juste des étourderies...

Mais si je refais des fautes aussi grave il faudrait ppeut etre envisager de me donner des cours LoL...

Sinon le film Attila n'y est pour rien bien que mon histoire risque en un point (et en un seul de bien t'y faire penser...)

Bon merci de vos réponses et je commence la suite dès que j'ai corrigé mon post...

@+

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Oki merki merki...

C'est juste que je commencer à me dire

"merde, c'est si nul que ca!!!"

pas du tout... Un jour, si tu veux, je t'écrirais un texte vraiment nul, et tu te rendras compte que le tien est déjà bien!

En tout cas, relis-toi un tout petit peu, comme ça plus de critique orthographiques négatives.

Sur ce, Imperator, empereur du néant.

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  • 2 semaines après...
Invité Snikch, le maître de la nuit

Chapitre deux : Le duel

Immédiatement Karla sentit les regards se poser sur elle. Bien que de nombreux jeunes hommes semblaient intéressés par les femmes, en particulier celle comme Karla aux cheveux blonds, seuls les guerriers plus âgés avaient le droit de les toucher. De temps en temps un homme ou une femme s’en allait avec un esclave. L’impériale supposa qu’il avait trouvé de nouveaux maîtres.

Son regard se détourna de ses compagnons pour se diriger vers leurs bourreaux.

S’attardant sur chaque nordique, elle remarqua que même les plus vieux de cette communauté ne manquaient pas d’un certain charme.

Alors qu’elle détaillait un jeune homme de la tête au pied elle se surprit à ressentir comme une sorte de désir, une pulsion violente et sauvage qui ne dura heureusement q’un instant. L’expression qui était alors apparu sur son visage se figea quand elle repensa au corps froid de son cher Viktor.

Un des enfants avait du apercevoir son expression, aussi fugace fut elle, car il chuchota quelques paroles à un des maraudeurs en la pointant du doigt.

Quelques secondes plus tard le barbare se dirigea vers elle, et ,avant qu’elle n’ait pu esquisser le moindre geste, il la gifla. La force de l’homme la fit tomber à terre et du sang coula de sa bouche.

Alors qu’elle se relevait douloureusement il l’attrapa par les cheveux, et lui tirant la tête en arrière lui parla dans un impérial plus qu’imparfait :

-Pourquoi toi sourire femme ? Moi pouvoir tuer toi ! Toi plus jamais sourire ou parler !

Pour toute réponse Karla ne sut que cracher à la figure de son tortionnaire.

Le nordique jeta alors la jeune femme par terre, puis il sortit son épée. Mais au moment de frapper un coup de poing l’en empêcha.

Plus sonné par la surprise que par le coup le maraudeur se tourna lentement vers son agresseur.

Le barbare était, contrairement à la majorité de la tribu, blond et ses yeux étincelaient d’une lueur bleutée.

Bien qu’un peu plus petit que son adversaire, il n’en mesurait pas moins deux tête de plus que Karla.

Il portait un pantalon de cuir mauve et un pagne rosâtre, sale et rapiécé.

Lorsque leurs regards se croisèrent Karla crut ressentir une sorte de compassion.

Un combat verbal se déclencha entre le maraudeur, qui se trouvait être le chef de la tribu, et le sauveur providentiel de Karla, qui pourtant avait participé à d’innombrables massacres dont celui du village de la jeune impériale.

-Comment ose tu toi qui n’est pas des nôtres ?

-Cette esclave ne t’appartient pas Dargh’oria. Et je la réclame.

-Peut m’importe, je suis le chef de cette tribu et elle ne t’appartiendra que si je le décide !

-Même un de ces pourceaux du Sud commanderaient mieux que toi.

Tu te bats comme un lâche, cette femme a failli te tuer. Si elle avait réussie à porter son coup tu serais mort !

Lanshor ne mérite pas des champions dignes de toi.

-Fils de chien! Tes injures seront lavées dans le sang ! Le tien et celui de cette misérable esclave !

Alors que Dargh’oria prononçait ces mots, Karla crut apercevoir un rictus sur le visage de son protecteur et une lueur maligne traversa ses yeux l’espace d’un instant.

La foule se fendit, et alors que tous les esclaves étaient refoulés sans ménagement, les deux duellistes prirent place de chaque côté du cercle ainsi formé.

Un homme au teint rosâtre s’interposa entre les deux combattants et prit la parole d’une voix suave :

Selon la loi des tribus un seul en sortira vivant.

Celui qui vaincra emportera le but de la querelle.

Si l’un des deux le souhaite, il peut s’en aller dès maintenant.

Après un coup d’œil au deux protagonistes, qui avaient chacun choisi leurs armes, le mage termina :

Que le duel commence !

Tout d’abord les deux adversaires se tournèrent l’un autour de l’autre, pour trouver une faille dans la garde de l’autre. Se jetant des regards haineux, les maraudeurs se jetèrent l’un sur l’autre au même moment.

Les coups fusaient à une vitesse ahurissante.

Peu à peu le chef de la tribu semblai prendre le dessus. Sa lourde hache faisait à chaque coup reculer un peu plus son adversaire. Une feinte habile lui permit d’entailler la cuisse de son adversaire.

Celui ci sembla accueillir la douleur avec plaisir et sa figure se barra pendant un instant d’un étrange sourire.

Malheureusement le nordique chuta et son épée lui glissa des mains, pour retomber un mètre plus loin.

Alors qu’il allait se relever un violent coup de pied de la part de son adversaire le fit retomber sur le dos.

A moitié sonné il ne put qu’écouter son adversaire hurler à la foule :

Voyez ce qui arrive à qui me défie !

Lanshor me protège !

Si d’autres souhaite me combattre regardez donc ce qui va arriver à cet avorton.

Alors que le maraudeur armait son bras pour porter le coup fatal, un croc en jambe de son adversaire le fit tomber à terre.

En effet ce dernier n’avait besoin que de ces quelques secondes d’inattention pour mettre son plan à l’œuvre.

Ramassant son épée à une vitesse surnaturelle, il taillada son adversaire au bras.

Dans un grognement de douleur celui ci se releva.

Le protecteur de Karla semblait animé de forces nouvelles.

Tout les coups de Dargh’oria ne rencontraient que le vide.

Bientôt une autre coupure vint se dessiner sur le flanc du chef nordique.

Puis bientôt une autre sur sa jambe.

Enfin le jeune barbare feinta vers le ventre de son adversaire, et dans une gerbe de sang lui ouvrit l’artère jugulaire.

Alors que le seigneur déchu tombait à genou, le nordique victorieux lui trancha la tête avec un sadisme prononcé.

Puis il prit la parole :

Que tous le voit : Kharleth est le nouveau seigneur des Ghur’pakash.

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Invité Snikch, le maître de la nuit

Je vais essayer de le refaire mais j'ai un peu de mal

Un peu d'aide plz...

Sinon la suite, bien sur il y en aura un..

Plein d'idée fourmille dans ma tete

Bonmerci de ton commentaire

@+

Ps: les nordiques sont plutot typés asiatiques...

Les impériaux eux sont blonds...

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Salut

Ton texte est pas mal, mais quelque chose me gêne: ton texte est écrit en nombreuses phrases très courtes, qui certes donnent un rythme haletant dans les moments d'action, mais qui sont malvenues lorsque tu décris ou dévoiles les pensées des personnages.

Sinon, je trouve que ça manque de descriptions: tu te concentres plus sur l'action, mais un aperçu du village ou du paysage de temps serait bienvenue afin d'immerger le lecteur dans le texte.

Voilà, bonne continuation!

@+

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Et bien...

C'est un joli combat et Karla s'est trouvée là un joli protecteur, super.

Bon, après Attila (pas de p'tite sorcière pour l'empêcher de tuer son cousin...), on va enfin passer à l'innovation. Mais, à défaut d'un scénario très développé (pour le moment du moins, et je te fais confiance pour la suite), ton style mérit mes félicitations, c'est très bon, selon moi en tout cas.

Sur ce, Imperator, qui veut surtout la suite...(et même la fin si tu l'as déjà).

ps: attention à tous: rictus=contraction des lèvres produisant un sourire forcé et grimaçant.

Donc pas lorsque l'on sourit safiquement.

ps 2: non, l'auto-pub n'est pas illicite, mais si chacun s'y met... Enfin, pour le moment, il n'y a pas lieu de réprimer, mais fait attention à ne pas en abuser. (comme les autres, mets plutôt le lien dans ta signature...)

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Invité Snikch, le maître de la nuit

Alors la fin ben c'est pas pour tout de suite...

S'il vous plait un peu d'aide pour les combats...

@ imp:

pour le rictus je corrige ca de suite.

@ Monthy:

Merci de me lire, mais pour mes phrases j'ai peur de faire trop long justement.

Les descriptions... Aïe j'ai un peu de mal justement...

Merci encore de vos commentaires

@+

-=Snikch, qui creuse qui creuse et qui a trouvé Gniaaark...=-

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Invité Rik Azul

C'est vrai que la description des combats est trés courte alors que ce combat en particulier me parait trés important.Pour rallonger tu pourrais ,par exemple, aller jusqu'au point ou les combattants sont complétement éssouflés car ils sont de force égale....Pour faire durer un combat il existe plein de méthodes et celle que je viens de te citer est assez utilisé. Il y a aussi le point de vue par un perssonnage participant au combat(tu peut dévelloper ces pensées...) ,ou encore la foule qui encourage son favori et enfin l'intervention des dieux...(surtout que tuest avec des chaotiques !).

Voila j'espere que ces qqs techniques pourront t'aider.Sinon texte agréable a lire.

Donc continue :good: !

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  • 3 mois après...
Invité Snikch, le maître de la nuit

Bon voilà...

J'y ai mis le temps mais me revla...

Alors le chapitre suivant...

N'hésiter pas pour les commentaires, ils sont les bienvenus...

Chapitre trois : L’affront

Dans le warp un visage sourit, un rire retentit.

Après le duel, les évènements se déroulèrent à toute vitesse.

Une grande partie des esclaves fut poussé en avant, vers une caverne recouverte de rune tracées dans le sang.

A l’intérieur régnait une puanteur à peine égalée par l’obscurité. Mais une fois habituée Karla ne la trouva pas si désagréable que ça, au moins lui permettait elle d’oublier l’odeur du sang qui la recouvrait.

Une fois qu’on eut apporté des torches, la jeune femme s’aperçut que les murs étaient couverts de trophées divers, allant d’une simple bannière avec une insigne grossière à une riche broderie cousue de fils d’or.

La longue file s’arrêta, on était arrivé dans une caverne assez grande et en son centre se trouvait un autel grossièrement taillé dans la roche. Il semblait luire du sang séché qui l’avait, déjà maintes et maintes fois, éclaboussé.

Le chaman se dirigea avec le nouveau chef de la tribu vers le centre de la grotte, il y traça une série de symboles avec une roche violacée puis hocha la tête en direction du chef.

Celui ci leva son bras au dessus des runes, puis attrapa le couteau courbe que lui tendait le sorcier.

Aussi tout les nordiques entonnèrent une étrange mélopée qui dura quelque secondes avant que ce cri ne sorte de toutes les bouches : Lanshor ! Lanshor ! Lanshor !

Kharleth traça quelque signes cabalistiques sur sa poitrine avec le couteau, sembla se délecter de la douleur, puis s’entailla vivement le bras.

Les goûtes de sang descendirent lentement le long de l’avant bras du jeune chef, puis tombèrent au centre du cercle tracé sur la pierre.

Plusieurs choses se passèrent alors : Le corps du chaman fut agité de violentes convulsions, l’autel de pierre s’enflamma quelques secondes et une brume rosâtre commença à envahir la salle.

Alors que la totalité de la pièce était occupée par ce brouillard, Karla commença à entendre des cris.

Des cris d’extases.

Puis, aussi soudainement qu’elle était apparu, la brume disparu.

Le regard de l’impériale se dirigea vers le centre de la grotte, où une forme se trouvait maintenant dans le pentacle, et où le sorcier semblait à peine tenir debout, un filet de sang à la commissure des lèvres.

Rapidement Karla réussit à mieux distinguer les contours de la forme. Il s’agissait d’un homme, non d’une femme. Il semblait que la créature était un mélange des deux, ce qui rajoutait encore au charme et au charisme qui en émanait. Pourtant cet être était tout autant répugnant et effrayant. Mais la jeune fille ne pouvait en détourné les yeux. C’est alors que la chose se tourna vers elle, leurs yeux se croisèrent et aussitôt une vive douleur enflamma ses sens. Pendant un instant qui sembla durer une éternité Karla lutta contre cet esprit, essayant de rejeter la douleur ou au contraire elle l’acceptait, et semblait l’apprécier.

Puis on la bouscula. La file des esclaves s’était remise en marche. Elle s’arrêta au pied de l’autel, alors que le nouveau seigneur de la tribu, à genoux, semblait s’adresser à l’apparition :

«_ Qui me demande ? Susurra la créature androgyne.

_C’est Kharleth, le nouveau seigneur des Ghur’pakash qui t’appelle Ô Lanshor mon maître.

Je souhaite ta bénédiction sur moi et la tribu pour que jamais nos ennemis ne cessent d’endurer la Douleur et que jamais ne cessent les plaisirs. Puis Kharleth se releva et se mit à crier :

Voit Lanshor : pour toi nous sacrifierons toutes ces âmes, Toi tu ressentiras leurs douleurs et toute la force de leurs peines. »

Puis d’un geste les esclaves furent pousser en avant. Les villageois avaient repris leur chant, toute les voix formaient un fond sonore qui fut bientôt recouvert par les cris de souffrances des vieillards, des femmes et des enfants qu’on sacrifiaient sur l’autel impie.

Maintenant tout était clair, il ne l’avait pas sauvé, il s’était servi d’elle pour accéder à la place de chef.

Et c’était à elle de mourir.

Et bien elle honorerais son aimé, elle mourrais dignement, la tête droite.

Une fois devant le chaman elle s’aperçut qu’elle était la dernière de la vingtaine d’esclaves à avoir été sacrifiés.

Le sorcier tendit son couteau au « sauveur » de Karla.

Les chants s’étaient tut.

Un silence assourdissant avait pris leurs places.

Karla n’avait pas vraiment l’impression d’être dans son corps, elle était comme une spectatrice, assistant impuissante à ses derniers instants.

Tout à coup le seigneur la retourna, arracha sa robe déchiré, couverte de boue et de sang, et traça rapidement sur son dos la rune de son dieu.

Karla réintégra son enveloppe corporelle.

La douleur était vraiment insoutenable, Karla croyait avoir de l’acide à la place du sang. Elle avait l’impression qu’on lui versait du métal en fusion sur le dos.

Puis tout cessa. Elle s’affala mais fut rattrapée et tournée. Aussitôt un concert de cris retentit et se turent quand une voix suave s’éleva :

« Lanshor vous accorde sa bénédiction, les ennemis des Ghur’pakash connaîtront la douleur. »

Puis l’apparition disparu et Karla s’évanouit.

Elle ne put entendre son tortionnaire lui lancer ce dernier affront :

« Celle la servira pour mon plaisir et pour celui de vous tous. Qu’on la conduise dans ma tente !

Ce soir le prince des plaisirs sera honoré ! »

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Et bien, c'est pas mal du tout !

Bon, j'ai peu de remarques à faire ! Une des premières que j'ai à te dire, c'est soit de faire un résumé pour qu'on se rapelle ce qui s'est passé soit faire des textes plus long pour pas que l'on s'en rappelle qu'a la fin :D

Bon sinon fond/forme est globalement bon, je crois pas avoir repéré de fautes aberantes ! Donc il faudra continuer ! Pour le reste, je suis préssé de savoir comment la miss va se sortir de là !

Suite ! Vite!

@+

-= Inxi =-

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