Un Forestier anonyme Posté(e) le 12 juillet 2006 Partager Posté(e) le 12 juillet 2006 Alors là je ne c'est pas comment ils vont s'en sortir A part si un des 2 à un quelconque objet tranchant cachée dans le string de Lora ou la barbe de Durgrim, je pense pas à part peut-être pour le nain... Sinon c'est bien la description de Lognar un peu longue à mon goût, mais elle est bien. Voila j'en redemande Merci Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Linuath Posté(e) le 18 juillet 2006 Auteur Partager Posté(e) le 18 juillet 2006 A part si un des 2 à un quelconque objet tranchant cachée dans le string de Lora ou la barbe de Durgrim une idée à creuser ? je voyais pas ça comme ça mais j'n'en dirais pas plus ! un peu de place au suspens ! dejà qu'il y en a pas beaucoup ! Linuath - Ch.9 in progress Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Linuath Posté(e) le 24 juillet 2006 Auteur Partager Posté(e) le 24 juillet 2006 Allez le début du chapitre 9 : Ch.9 Rencontres La nuit. Et les étoiles. Ces poussières de lumière qui étincelaient dans le firmament, comme des cendres incandescentes. Et la pénombre. L’obscurité. Tous ces mots étaient vides de sens pour lui. Aussi loin qu’il pouvait remonter dans ses souvenirs –autrement dit, pas bien loin– il n’avait jamais vu la nuit. En tous cas, telle que les autres la voyaient. Il décrocha les yeux du ciel nocturne avec un soupir intérieur. Au début il avait eu du mal à en comprendre le concept, tel que les autres se le représentaient. Comment concevoir quelque chose que vous êtes le seul à ne pas voir ? C’était la question perpétuelle qu’il se posait. Les quelques tentatives de description de l’obscurité n’avaient pas rencontré un grand succès. La plupart se résumaient à un « en gros, c’est quand il fait noir » ou « quand la nuit tombe », ce qui bien entendu, ne faisait en rien avancer les choses. Il savait que c’était l’absence de lumière, les objets et les gens devenaient indistincts. Comme si on les recouvrait d’un voile opaque. Il soupira. Il ne savait pas pourquoi il s’entêtait à comprendre tout ça. Après tout, les autres considéraient comme un prodige ce que lui considérait comme un handicap. _ « Alors ? Qué vois-tou ? » Murmura une voix pressante avec un profond accent tiléen qui le tira de ses pensées. Il avait envie de répondre un éternel coucher de soleil, mais il n’en fit rien, gardant sa rancœur pour lui. _ « Fais encore plus de bruit, imbécile ! » Répliqua-t-il d’un ton sec. « Si on nous repère, sois sûr que tu ne verras pas l’aube. » Sa voix n’était qu’un souffle mais un souffle aussi froid qu’un blizzard de Kislev. L’homme accusa le coup et avala sa salive sans pouvoir s’en empêcher. _ « Yé m’escouse amigo, né t’énerve pas. » Finit par articuler l’homme d’une voix quasi inaudible. Mais l’autre ne l’écoutait déjà plus, il avait tourné la tête vers le bas du défilé rocheux où ils se tenaient dissimulés dans l’ombre d’une crête. L’homme à l’accent tiléen s’appelait Pietro Fernando de La Rosa Azura. Mais pour tout le monde, c’était simplement Pietro ou Raton, rapport à la fourrure qu’il portait en guise de couvre-chef. S’il n’habitait plus sa Tilée natale, c’était tout simplement parce que sa tête y était mise à prix. Cela pour de multiples raisons qu’il n’avait jamais avoué à personne. Pietro n’était pas particulièrement courageux mais pas particulièrement lâche non plus, aussi dans son exil, avait-il fini par rejoindre un petit groupe de bandits de grand chemin qui oeuvrait dans l’Empire, il y avait de cela quelques années. Pour être tout à fait honnête, on ne lui avait pas vraiment laissé le choix : soit il rejoignait la bande, soit il allait rejoindre ses ancêtres. Autant dire que sa décision fut vite prise. Le tiléen commençait à s’impatienter. L’autre en face de lui ne semblait pas presser de lui dire ce qu’il voyait. L’autre. Voilà bien un nom qui lui allait comme un gant. Il y avait quelques spécimens plutôt étranges dans la bande, mais lui, il était autre. Pietro se souvenait du jour où il l’avait rencontré pour la première fois. Cela faisait deux ans qu’il avait rejoint les brigands. A cette époque, leur chef était déjà Gunther, un ancien chevalier de la Reiksguard désavoué. Ils avaient gagné la Bretonnie pour se faire oublier de l’Empire pendant quelque temps, après une rapine particulièrement lucrative. Ils s’étaient arrêtés pour la nuit aux contreforts de grandes montagnes blanches. Pietro s’était éloigné de quelque pas pour se soulager et alors qu’il s’apprêtait à rejoindre les autres, il avait aperçu deux lueurs jaunes dans la pénombre devant lui. Avant qu’il ait pu crier quoi que ce soit, une forme sombre s’était jetée sur lui avec un grognement inhumain et l’avait jeté par terre. Il avait d‘abord cru à un loup ou à un jaguar jusqu’à ce qu’il sente le contact froid de l’acier contre sa gorge. Les autres, alertés par le bruit avaient bondi, armes en main. Puis Pietro, tel un pantin, s’était retrouvé debout, soulevé par son agresseur, le cou toujours sous la menace d’une lame. Celui qu’il l’avait attaqué se servait de lui comme bouclier. Gunther avait alors prit la parole. _ « Tu as bien mal choisi étranger. Nous sommes armés et tu es seul. » Avait-il dit d’une voix autoritaire et pleine de confiance. _ « Pas seul. » Avait alors murmuré le mystérieux assaillant. Et soudain un autre brigand cria en lâchant épée et bouclier. Une ombre tenait une dague grossière contre sa gorge. Gunther grogna et son visage prit une expression contrariée. Pietro n’en menait pas large. _ « Je vois. » Déclara le chef des bandits. « Et que voulez-vous au juste ? Nous ne sommes que de simples voyageurs. » L’agresseur du tiléen pouffa derrière lui. _ « Tu peux perdre deux hommes ou gagner deux lames supplémentaires. Choisi. » Avait répliquer l’ombre aux yeux jaunes d’un voix curieusement féline qui se mêlait à un grondement animal. Gunther ricana, au grand dam de Pietro dont le cœur battait à tout rompre. _ « Te crois-tu en position de me donner des ordres ? » Il fit une pause, comme s’il attendait une réponse, mais celle-ci ne vînt pas. Les deux assaillants restaient aussi silencieux que la mort. Les hommes s’impatientaient et Gunther le voyait bien, il fallait prendre une décision et vite, il le savait. Une poignée de secondes s’écoula avant que le chef du groupe de brigands ne reprenne la parole. _ « Baissez vos armes vous autres ! » Lança-t-il à ses hommes. Puis il dit à celui qui tenait le tiléen sous la menace de son arme : « Relâchez-les. Vous êtes des nôtres. » Pietro eut un soulagement incommensurable lorsqu’il sentit la lame se retirer de son cou. Puis il entendit un bruit sourd et regarda derrière lui. Son agresseur venait de tomber à terre, inerte, une lame rouillée gisait non loin de lui. D’un coup de pied, il propulsa l’arme au loin tandis que trois de ses compagnons ainsi que Gunther le rejoignaient. Le reste de la bande s’occupait de l’autre. Ils auraient pu les tuer sans peine car ils étaient marqués de nombreux coups et balafres. Leurs vêtements n’étaient que haillons et ils semblaient ne pas avoir mangés à leur faim depuis bien longtemps. Mais Gunther avait été chevalier avant d’être renié. Et s’il avait abandonné son serment de la Reiksguard, il était encore un homme de parole. Aussi laissa-t-il la vie à ses deux nouvelles recrues. Le tiléen, qui possédait quelques notions de guérisseur, avait soigné comme il le pouvait les blessures des deux hommes et ils mirent plusieurs jours avant de pouvoir reprendre la route. Tout le monde voulait savoir d’où ils venaient et qui leur avait administré pareil traitement mais personne ne leur posa la question. Car c’était une des règles du groupe : le passé était le passé. Il appartenait à chacun de le dévoiler s'il le désirait. Mais jamais ils n’en avaient parlés. Il y avait même une petite cagnotte pour celui qui parviendrait à découvrir leur passé. Les deux recrues s’avérèrent une bonne affaire pour le groupe. Ils savaient se battre. Bien mieux que n’importe lequel des autre brigands. Mais ils avaient deux styles vraiment différents. L’un était tout en force tandis que l’autre se battait avec vitesse et grâce. Ce n’était pas là leurs seules particularités. L’un des deux était brun, d’une taille moyenne, les yeux d’un gris très clair. L’autre était grand, élancé et avait des yeux d’ambre. Mais quelle n’avait pas été la surprise du groupe lorsqu’ils découvrirent que ce dernier n’était pas humain, mais un elfe. Ils n’avaient pas voulu donner leurs noms. C’était aussi leur droit. Aussi on les affubla de surnoms. L’humain était désormais connu comme Tibérias et l’elfe se vit appeler Atride. Ils semblèrent très satisfaits de leur nouvelle identité. Comme s’ils avaient enfin trouvé un point d’encrage pour leur vie. Depuis quelques jours, la bande avait gagné le comté de Marienburg. Et ce soir-là, Pietro avait et Atride avaient été envoyé en éclaireurs pour dénicher leur prochaine proie. Le tiléen n’avait jamais été patient et l’elfe lui avait la manie de prendre son temps. Aussi, ne tenant plus, il tapota sur l’épaule de son compagnon. Mais ce dernier ne réagit pas. Le seul son qui parvînt aux oreilles de Pietro fut un étrange grondement animal. Il avala soudainement sa salive. L’elfe était plus qu’étrange et on ne savait jamais vraiment ce qu’il pensait de vous ou ce qu’il préparait. Mais quand on entendait ce bruit sourd qui ressemblait à un ronronnement agressif, mieux valait se faire tout petit. Lothar avait un jour provoqué Atride. Lothar avait une antipathie viscérale pour tout ce qui n’était pas humain. Il ne cachait nullement son mépris pour l’elfe, mais celui-ci n’avait jamais répondu aux piques ou aux provocations. Et puis un jour, Lothar poussa Atride dans les flots tumultueux d’un fleuve qu’ils traversaient sur un tronc d’arbre qui faisait office de pont improvisé. L’elfe en réchappa de peu et son détracteur ne rata pas l’occasion de le rabaisser une nouvelle fois. Mais à peine Atride était-il sorti de l’eau que Lothar s’embrasa comme une torche imbibée d’huile. Les flammes s’éteignirent rapidement d’elles-mêmes, ne laissant qu’un cadavre carbonisé de l’humain qui avait défié l’elfe. Pietro avait été témoin de la scène et depuis, il avait mis une certaine distance entre lui et l’elfe, à l’instar de tout les autres, sauf Tibérias. Le tiléen avait jeté un regard à Atride alors que Lothar brûlait vif et il avait bien vu que ces yeux d’ambre étaient devenus encore plus brillants, comme des puits de feu. Il espérait bien que jamais l’elfe ne lui jetterait le même regard. Soudain, Atride recula de son poste d’observation et sans un mot, il se détourna d’un pas aussi léger que silencieux tout en prenant le chemin qui menait au campement de leurs compagnons. Pietro le regarda s’éloigner, l’air interdit. Il mit une poignée de secondes avant de se décider à le suivre. Sauf que lui hésitait à chaque pas, car si la pénombre ne gênait nullement l’elfe, elle faisait trébucher le tiléen tout les deux pas. Lorsqu’ils se furent éloignés d’une distance raisonnable, Pietro lança : _ « Madre ! Vas-tou enfin mé dire ce qué tou as vou ? » L’elfe stoppa brusquement sa marche et le tiléen failli le percuter. _ « Une petite troupe impériale se tient là en embuscade. Ils sont un peu plus d’une vingtaine, de ce que j’en ai vu. Et bien armés. » _ « Ma, qu’est-cé qu’ils attendent ? » Demanda naïvement l’humain. Mais l’elfe était déjà reparti de son pas sûr et rapide entre les rochers. Pietro marmonna dans sa langue quelques mots à l’encontre de la génitrice d’Atride et lui emboîta le pas. Linuath - Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 30 juillet 2006 Partager Posté(e) le 30 juillet 2006 Hop me revoici de retour !!! Bon une petite suite sympatique moi je dis ! On s'est pas encore ce qu'ils vont faire dans l'histoire mais je me doute qu'il va avoir rencontre et que la solution des autres viendra de la ! Au début, j'ai trouvé ca un peu bizarre l'introduction sur la nuit ! Je l'aurais plus mis apres une breve description du perso !! Sinon, c'est du tout bon Encore ! @+ -= Inxi =- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Un Forestier anonyme Posté(e) le 31 juillet 2006 Partager Posté(e) le 31 juillet 2006 Moi aussi je suis revenue B) Pareil qu'Inxi suite sympa. Atride ne serais pas un ES ?(change-forme, ou forestier qui sais ?) Sinon bennn plus je lis plus je devient impatient de la suite finale lol Mais que serais le bonheur sans l'attente ? Allez sur ce édè Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Linuath Posté(e) le 4 août 2006 Auteur Partager Posté(e) le 4 août 2006 (modifié) bonjour ! me revoilà aussi, désolé d'avoir été aussi long ! je me doute qu'il va avoir rencontre et que la solution des autres viendra de la ! Atride ne serais pas un ES ?(change-forme, ou forestier qui sais ?) Je ne dirais rien ! Et c'est pas parce que je met que ça veut dire que c'est vrai hein Bon allez une courte suite à ce chapitre 9 qui s'annonce un peu plus long que les autres ! « Combien dis-tu qu’ils sont ? » _ « Au moins douze, Capitaine. Peut-être plus. Enfin, je pense, Capitaine. » Répondit respectueusement l’éclaireur. Mais le ton était hésitant et la peur filtrait incontestablement de sa voix. _ « Je ne te demande pas de penser, soldat ! Je te demande d’être sûr de toi ! » La réplique fut cinglante et le ton du supérieur monta d’un cran ; l’éclaireur réprima de justesse un sursaut. _ « A mon avis, ils… » Mais il ne put finir sa phrase car un gantelet de métal le frappa en plein visage. L’homme tomba à la renverse dans un cri autant de surprise que de douleur. _ « Je n’ai cure de ton avis, scélérat ! Je préfèrerais encore m’adresser à mon cheval plutôt qu’à toi. » Le capitaine s’exprimait d’une voix impitoyable mais il prononçait parfaitement ses mots, signe révélateur d’une éducation de noble. Kessler. Capitaine Jackobb Kessler, c’était ainsi qu’il s’appelait. Un homme légèrement plus grand que la moyenne. Ses épaules déjà larges, étaient rendues encore plus impressionnantes par une armure de plates d’une propreté impeccable et qui brillait à la lueur des torches. A son côté pendait un fourreau richement décoré et une cape d’un épais tissu pourpre, bordée de fourrure blanche recouvrait son dos. Autour de son cou, la croix sigmarite, symbole des répurgateurs, était suspendue à une épaisse chaîne d’argent. L’affable lumière de la lune se reflétait sur son crâne parfaitement chauve, ainsi que sur le grand marteau de guerre qu’il portait posé sur l’épaule. Le capitaine impérial avait une allure qui imposait le respect mais surtout qui inspirait la crainte. Kessler était d’ailleurs convaincu qu’il ne pouvait y avoir de respect sans la peur. Celui qui parvenait à se faire craindre de ses hommes pouvait compter non seulement sur leur obéissance mais aussi sur leur loyauté. Bien sûr, il était nécessaire de contrôler cette peur, car comme toute source de pouvoir, elle pouvait s’avérer dangereuse et se retourner contre vous. Mais Jackobb Kessler était un homme prudent et il lui tenait fermement la bride. Son regard se posa sur le soldat qu’il venait de frapper. L’homme venait à peine de se relever et portait sa main à sa lèvre fendue. Le sang coulait sur son menton. Quel incapable, pensa dédaigneusement le gradé impérial. Autour de lui, la troupe regardait gravement la scène, sans mot dire. Il aurait pu continuer à humilier l’éclaireur fautif mais il n’en fit rien. Car l’humiliation menait à la haine et celle-ci ne pouvait que trop facilement renverser la peur. _ « Que cela ne se reproduise plus Ivan. Inutile de te préciser que tu as intérêt à te racheter avant que nous ne soyons de retour à Marienburg. Dans le cas contraire, je saurais me souvenir de toi, sois en certain ! » Le timbre de sa voix n’avait pas changé, il restait aussi terrible que le tonnerre et cinglant qu’une pluie battante de grêlons. La menace n’était pas feinte, toute la troupe le savait. L’éclaireur réagit tel que Kessler s’y attendait. _ « Oui Capitaine. A vos ordres Capitaine. » Et il s’éloigna vivement sur un salut militaire réglementaire. Voilà qui est mieux se dit-il. Cependant, il n’était pas beaucoup plus avancé qu’auparavant. S’il avait envoyé Ivan en éclaireur c’était bien pour connaître le nombre exact des adversaires qu’ils auraient peut-être à combattre et non pas une simple approximation. Il avait perdu du temps, un temps pour le moins précieux. Et c’était là une des rares choses qui avaient le don de profondément le contrarier. Son visage se crispa imperceptiblement. Ivan était parti au petit matin et n’était revenu qu’après la tombée de la nuit. Non seulement avait-il outrageusement prit son temps mais qui plus est, revenait-il avec des informations plus maigres que la cervelle d’un orque. Une colère noire monta chez le capitaine impérial et il regretta soudain de ne pas avoir fait fouetter le soldat. Puisse Sigmar le punir à ma place, dit-il pour lui-même. Puis Kessler chassa Ivan de son esprit. Il lui fallait maintenant agir avec circonspection autant que célérité, car il était inconcevable pour lui de laisser ses hommes penser qu’il hésitait ou pire, qu’il ne savait que faire. _ « Trevis ! Frantz ! » Lança-t-il soudain d’un ton sec qui portait. Les deux hommes sortirent presque immédiatement des rangs et se présentèrent au garde-à-vous devant lui dans un cliquetis de mailles, avant de dire d’une seule voix : _ « A vos ordres Capitaine ! » Kessler se permit un sourire intérieur. Ces deux-là ne le décevraient pas. Ils étaient sous son commandement depuis assez longtemps pour le savoir. Deux vétérans de nombreuses batailles et de deux fois plus de traques qu’avait menées Kessler à travers tout le pays contre les impurs. Et malgré les cheveux blancs qui commençaient à parsemer leur chevelure, ils restaient des combattants redoutables. _ « Vous avez jusqu’au petit matin pour me faire un rapport détaillé sur la troupe ennemie. » Commença-t-il de sa voix impérieuse et sévère. « Je veux tout savoir : leur effectif, leurs armes, leurs montures, le chemin qu’ils empruntent, leur rythme de marche. Je veux même savoir quels sont leurs vêtements et s’ils ont bien mangé. Mais surtout… » Un rictus carnassier vînt se dessiner sur ses lèvres. « Je veux savoir exactement qui sont leurs prisonniers. » Linuath - PS On s'est pas encore ce qu'ils vont faire dans l'histoire Les vacances te réussissent pas mon vieux inxi ! Modifié le 6 août 2006 par Linuath Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 4 août 2006 Partager Posté(e) le 4 août 2006 A son côté pendant un fourreau richement décoré et une cape d’un épais tissus Deux fautes La menace n’était pas feinte, toute la troupe la savait Encore une ^^ Ces deux-là ne le décevrait pas. Ils pour me faire un rapport détaillée sur la troupe Quoique, ca viendra peut être de quelqu'un d'autre la libération des prisonniers J'aime bien ce nouveau personnage ! Peut etre parce que je sais que c'est un futur méchant ! J'aime bien les méchants en fait Et d'ailleurs, il est ou mon orc ????? Allez encore @+ -= Inxi =- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Linuath Posté(e) le 9 août 2006 Auteur Partager Posté(e) le 9 août 2006 Fautes corrigées ! j'ai honte ! Quoique, ca viendra peut être de quelqu'un d'autre la libération des prisonniers J'aime bien ce nouveau personnage ! Peut etre parce que je sais que c'est un futur méchant ! J'aime bien les méchants en fait Et d'ailleurs, il est ou mon orc ????? j'aime bien ces smileys, ils représentent plutot bien ce que je veux dire Bon c'est pas tout ça mais je risque d'être légèrement plus long à poster des suites, déjà que j'étais pas un rapide (pas de mauvaises interprétations SVP...) vu que j'ai commencé récemment un nouveau texte sur du 40K. Mais j'ai déjà fais la structure alors le plus gros est fait Donc excusez-moi d'avance ! Linuath - qui passe de l'elfe à l'eldar, et ouep ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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