Inxi-Huinzi Posté(e) le 20 avril 2005 Partager Posté(e) le 20 avril 2005 (modifié) Intro Ses pattes grattaient la terre autour des parois. Ses tunnels, elle les avait creusés de nombreux siècles auparavant. Dans un coin de son cerveau, elle gardait le plan exact de tout l’édifice montagneux. Son antre, située aux confins du monde, lui garantissait une protection optimale. Mais aujourd’hui, des aventuriers y avaient pénétré. Cela faisait des années que personne n’avait troublé sa quiétude. Son corps n’avait pas fait des exercices depuis quelques générations mais elle se remit rapidement à courir à sa vitesse d’autrefois. De nature curieuse, elle ne pouvait s’empêcher de se demander qui pouvaient être ces fous qui s’étaient aventurés dans sa caverne. En tout cas, elle n’avait pas peur, ce combat allait être comme tous les autres et elle tuerait ces imprudents. Quelques rares pierres tombèrent lors de son rapide passage mais les parois ne l’égratignaient pas. Ses huit pattes poilues la projetaient à des vitesses ahurissantes. Elle traversa rapidement de nombreuses cavernes et arriva enfin devant l’entrée de sa grotte… Dans cette vaste salle, culminaient des trésors fabuleux. Les piles de pièces semblaient soutenir la voûte, des armes dépassaient de partout, des bracelets, des couronnes jonchaient le sol. Il y avait plus de trésors ici que toutes les espérances des rois fortunés. Cette quantité infinie de pièces formait des colonnes et des tapis de gemmes contribuaient à donner à la salle une impression de palais fantastique. Le peu de lumière qui éclairait la pièce, en passant à travers diamants et rubis, donnait l’impression de se trouver dans un kaléidoscope. C’était un labyrinthe d’or géant où l’on se perdait dans des rêves de puissances et de richesses. Au milieu de ces montagnes de richesses, circulaient de jeunes fous. De ses yeux globuleux, la créature mutante apercevait un nain et deux humains. La gigantesque araignée entra en action. D’un souffle, elle projeta un filet des plus collants sur les hommes. Elle attaqua alors le plus petit, ce dernier fit un pas de côté qui l’empêcha d’être piétiné par le monstre. Le nain voulut mettre un coup de hache mais la patte de la créature l’envoya séjourner dans une colonne d’or. L’araignée sentit une sorte de pression sur une de ses pattes. Un des hommes avait réussi à sortir de la toile et à lui porter un coup. Ce dernier, stupidement, avait frappé dans l’os ne réussissant qu’à énerver encore plus l’animal à huit pattes. Le nain ne bougeait pas, le deuxième homme se débattait encore sous la toile, l’araignée allait pouvoir se délecter du freluquet. L’humain tenait une large épée et tentait désespérément, et à grand coup de moulinets, de maintenir son adversaire à distance. Le monstre velu, avec une adresse étonnante pour une telle créature, attaqua l’homme à fourrure de ses pattes avant. L’épée fut projetée au loin et l’araignée cracha une nouvelle toile sur l’aventurier. En quelques secondes, celui-ci fut incapable de bouger. Elle le souleva du sol facilement et l’avala. Elle sentit les os craquer dans sa bouche, et elle se délecta ensuite du sang qui coulait en elle. Elle ne fit qu’une bouchée du corps et sentit avec plaisir son organisme agir par petite dose d’acide pour ronger ce dernier. L’humain avait un goût particulièrement délicieux pour quelqu’un se cachant sous de telles couches de fourrures. Le monstre tourna sa monstrueuse tête vers le nain assommé en se demandant si celui-ci serait aussi succulent. Le petit être n’avait toujours pas repris ses esprits, au moins il ne se débattrait pas. L’araignée avala également la petite créature qui était venue la défier. Le nain était beaucoup plus craquant que l’humain et également plus consistant. Ses seuls défauts furent qu’il était beaucoup moins savoureux et qu’il laissait trop de poils sur la langue. La créature avait maintenant envie de se nettoyer la bouche avec le dernier humain. A sa grande surprise, ce dernier avait disparu. Elle lança un cri qui devait être un rire : Il n’irait pas bien loin. @+ -= Inxi =- Modifié le 20 novembre 2005 par Inxi-Huinzi Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Roujio Posté(e) le 20 avril 2005 Partager Posté(e) le 20 avril 2005 C'est un peu court, jeune homme (j'adore dire ça)... Attention, UNE, oui, UNE faute!! Alalala, quelle horreur... celui fit un pas de côté Il y a aussi une formulation étrange: Le nain voulut mettre un coup de hache D'accord, c'est français, mais, "mettre un coup de hache", c'est assez étrange je trouve... ET UNE DEUXIEME!! débâterait Ahah!! Sinon, j'ai trouvé une très grave faute: plus moelleux Moelleux? un nain? Mais, un nain, c'est trapu, c'est dur, c'est noueux, il faut mastiquer pendant une demie-heure avant d'avaler... moelleux... laissant trop de poils sur la langue Concordance des temps, et de trois!! (sinon, pas mal cette phrase ^^) Bon, sinon, je prédit une fin atroce à cette araignée qui sous estime un Bilbo, alors, j'ai bon? Ce n'est qu'une intro, mais, ça présage de quelque chose de bien... Roujio, trois fautes... L'orthographe se perd... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Imperator Posté(e) le 20 avril 2005 Partager Posté(e) le 20 avril 2005 (modifié) Bon, niveau faute, il y en a: Les pilles de pièce les piles de pièces, par exemple... Mais je n'ai pas le temps de m'attarder dessus. Par contre, niveau style, c'est assez clair. Le gros, que dis-je, l'énorme problème de ce morceau, ce sont les répétitions. À la fin de ma lecture, et pourtant ce passage est relativement court, ma tête bourdonnait des mots "goûts" "homme", etc... exemples: deux hommes. La gigantesque araignée entra en action. D’un souffle, elle projeta un filet des plus collant sur les hommes. Elle attaqua alors le petit homme, celui fit un pas de côté qui l’empêcha d’être piétiné par le monstre. Le nain trois fois "homme" en trois lignes sans justification. Il aurait mieux valu marquer: "deux hommes. La gigantesque araignée entra en action et, d'un souffle, projeta un filet des plus collant sur ses adversaires, puis attaqua le plus petit qui fit un pas de côté, ce qui l'empêcha d'être piétinné par le monstre. Le nain..." L’humain avait un goût particulièrement appétissant pour quelqu’un se cachant sous de telles fourrures.Le monstre tourna sa monstrueuse tête vers le nain assommé en se demandant si celui-ci avait le même goût. "L'humain avait un goût particulièrement appétissant (ça se dit? Il peut paraître appétissant, mais son goût, lui, serait plutôt savoureux, ou délectable...) pour quelqu'un se cachant sous de telles fourrues (allusion aux vêtements? J'avoue que ça ne me parait pas très clair, et je croix même y voir une allusion à l'araignée). Le monstre tourna sa monstrueuse tête vers le nain assomé en se demandant si celui-ci aurait la même saveur, la même consistance ou serait aussi satisfaisant à avaler..." Bon, ce sont les deux plus grosses, mais je crois qu'il y en a de plus petites. Pour le reste, il n'y a pas énormément de sentiments dans cette intro. On pourrait y voir un reproche, mais en vérité ce n'est qu'une constatation, et qui ne fait que mettre en évidence l'importance de la suite. En effet, je me rends bien compte que l'animal ne ressentant pas grand chose, sinon le fumet de ses ennemis, il ne puisse y avoir exacerbation d'aucun sentiment, et qu'en tant qu'introduction, ce puisse même être assez prenant. Toutefois, mis seul, comme cela, on ne prend ni gain de cause pour l'araignée, ni pitié pour les aventuriers. On se contente de voir la scène, et presque de s'amuser à la mort des malheureux. Je ne sais pas quoi faire de cette constatation, mais je t'en informe, c'est, personnellement et pour moi, ce que j'ai ressenti. Son antre, située au confint du monde, lui garantissait une protection optimale. Attention, autant il ne faut pas utiliser de chiffres, ou le moins possible, afin d'éviter une approche trop froide (même si ce peut être un style), autant il faut éviter dans un récit se voulant fantastique des mots comme "optimal" qui ont une connotation très scientifique ou soutenue. À moins d'écire tout le texte dans ce vocabulaire, il vaut mieux y préférer des champs lexicaux moins élevés . Maintenant, passé le style, côté histoire et bien... Comme pour toute introduction, il n'y a pas grand chose à dire. J'ai sous-entendu auparavant que l'on ne se situe pas encore, en tant que lecteur, dans ton texte, et que l'on "flotte" pour le moment. Je suppose que nous sommes sensés prendre parti pour le fuyard. Toutefois, tu arrive là au moment où il faut soigner ta transition. En effet, comme dirait une personne que je connais, le plus important dans un texte, c'est le début et la fin, car c'est tout ce dont on se souvient. Il est ici d'autant plus important de faire un bon début que c'est ce qui accroche le lecteur (n'est-ce pas, Wilhelm). Bref, on attend de voir la suite, mais il faudra faire très attention à cette transition vers l'histoire proprement dite. Personnellement, je serais même partant pour que ce morceau soit mis en italique au-dessus du reste du texte, comme prologue, et que le texte en lui-même commence juste après, comme tout texte un peu normal, par un "dans la joli vallée de Morgul, sous un soleil de plomb" ... Et ce pour jouer un peu sur le changement d'ambiance, et accrocher le lecteur par le jeu de contradiction et le mystère pouvant s'installer par là-même. Mais bref, je ne vais pas trop en dire non plus, l'histoire t'appartient avant tout. Enfin, je dois dire qu'il est dommage que tu ne mettes pas Amorifices au fur et à mesure... L'important, même si on y tient, ce n'est pas d'être lu, c'est de progresser... La persévérance et le meilleur atout de l'écrivain comme la force est celui des jedis. Mais ça, tu le sais assez. En tout cas, permets-moi de te dire que ce texte est tout de même un bon début, et que j'espère que tu saura l'exploiter. N'oublie pas de ne pas ouvrir trop de portes pour pouvoir toutes les refermer, d'exploiter toutes tes intrigues subalternes (en référence au vol du crépuscule) et le résultat devrait être fameux. Sinon, pour le titre, . J'avoue qu'il a retenu mon attention, de par son originalité. Maintenant, c'est une chose que l'on aime ou que l'on aime pas, mais la petite dose d'humour derrière le sérieux me plaît . Voilà. J'avais un peu de temps, et j'avoue avoir hésité entre ton texte et la saga (mes deux priorités en ce moment) et j'ai préféré ton texte pour la perspective de pouvoir faire un commentaire avant mes vacances (la saga, je vais l'imprimer...). Sur ce, Impe, qui s'est réessayé à la critique, la p'tite dernière avant la route (encore que... qui sait?). Modifié le 20 avril 2005 par Imperator Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Iliaron Posté(e) le 27 avril 2005 Partager Posté(e) le 27 avril 2005 Honte à moi, j'allais oublier de commenter le nouveau texte de notre plus dévoué commentateur . Alors, pas mal de répétitions (je n'ai pas tout relevé, Impe a déjà commencé : Son antre, située au confint du monde, lui garantissait une protection optimale. Mais aujourd’hui, des aventuriers avaient pénétré dans son antre Répétition? "Mais aujourd'hui des aventuriers y avaient pénétré" L’araignée sentit une sorte de pression sur une de ses pattes. Un des hommes avaient réussi à sortir de la toile et à lui porter un coup. Ce dernier, stupidement, avait frappé dans l’os de la patte ne réussissant qu’à énerver encore plus l’animal à huit pattes. Répétition Le deuxième "patte" n'est pas nécessaire: si l'homme frappe dans la patte, on devine bien qu'il ne touche pas l'od protégeant le cerveau Le nain qui ne bougeait pas, le deuxième homme qui se débattait encore sous la toile, l’araignée allait pouvoir se délecter du freluquet. Les "qui" de trop. Essaue sans et ça va tout de suite mieux Sinon, aussi bizarre que cela^puisse paraître, j'ai du mal à adhérer au récit, en partie car les mots sont quand même assez familiers (et aussi car nous sommes au tout début, et que nous ne nous sommes pas du tout lié à cette araignée, qui apparaît sans coeur). Pour bien faire comprendre ce qui ne va pas, ce genre de phrases donne mal: Le petit être n’avait toujours pas reprit ses esprits mais ce n’était pas grave, au moins, il ne se débattrait pas Cela fait comme une phrase enfantine (le "mais ce n'était pas grave, au moins" y est pour beaucoup, même si je ne sais pas comment la changer). En même temps c'est peut-être voulu pour suggérer la bêtise de l'araignée qui n'a aucune culture, et auquel cas c'est bien fait. Sinon j'ai quand même hâte de voir la suite, pour découvrir le réel potentiel du texte. En fait, l'idée j'adhère à l'idée d'Impe pour mettre le passage en italique, car là, je trouve qu'il manque ce petit quelque chose qui fait d'une introduction une bonne introduction: des sentiments par exemple (à part si on reste ensuite du point de vue de l'araignée). Iliaron, vivement la suite quand même, pour découvrir le potentiel (bride ton imagination fertile ) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Caladai49 Posté(e) le 27 avril 2005 Partager Posté(e) le 27 avril 2005 Je sent une nette amélioration de ton style depuis que tu as écrit Amorifices, non ? Le texte semble plus travaillé et l’ambiance mieux dessinée. En même temps que ton style s’est affiné, j’ai l’impression qu’il possède une certaine qualité de polyvalence : de loin, il semble différent de celui employé pour Amorifices, mais en fait il reste bien le même, à quelques nuances près peut être, c’est juste qu’il semble s’adapter à tous types de situations et d’histoire… ce qui est une qualité admirable ! Je m’arrêterais là pour les comparaisons avec l’autre texte, je ne vois de rapport entre les deux qu’au niveau du style. Si l’introduction donne envie de lire la suite, elle n’en reste pas moins piquée de quelques défauts. Je citerais notamment la rapidité de l’action. Tu ne t’attardes pas assez sur des éléments que tu n’aurais pas mis si tu ne souhaitait pas qu’ils créer dans les esprits des lecteurs quelques sensations et sentiments. Ainsi, au niveau du trésor : tu pourrais aisémment dévellopé. Ne souhaites-tu pas exalter le lecteur, lui donner envie, l’émerveiller, en parlant de toutes ses richesses ? N’hésite pas à inonder un ou deux paragraphes de descriptions merveilleuses, d’images pleines de couleurs, quite à faire oublier le lecteur la situation actuelle, pour lui rappeler l’horreur de ce qui se passe ensuite. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 29 avril 2005 Auteur Partager Posté(e) le 29 avril 2005 D'accord, c'est français, mais, "mettre un coup de hache", c'est assez étrange je trouve... Je sais pas, celle-ci, je l'ai laissé ... J'ai toujours dit comme ça et j'ai lu recement encore cette expression Donc je vais la laisser. Le gros, que dis-je, l'énorme problème de ce morceau, ce sont les répétitions Alors, pas mal de répétitions (je n'ai pas tout relevé, Impe a déjà commencé C'est corrigé ! A chaque fois que vous me l'avez signalé !! Je ne sais pas quoi faire de cette constatation, mais je t'en informe, c'est, personnellement et pour moi, ce que j'ai ressenti. Je ne vais pas le changer Tu ressens les bonnes choses. L'araignée est le mal donc j'ai pas envie de faire ressentir de la compassion mais en meme temps, je dois montrer le plaisir qu'elle a, elle. Tout en restant loin de ses pensées Je reste neutre également car c'est l'intro Donc je ne rajouterai pas de sentiments Maintenant, c'est une chose que l'on aime ou que l'on aime pas, mais la petite dose d'humour derrière le sérieux me plaît C'est ce que j'aimerai garder mais j'ay arrive pas forcement Donc on vera si je peux continuer !! En même temps c'est peut-être voulu Ce n'était pas voulu Donc j'ai changé la phrase :'( Je sent une nette amélioration de ton style depuis que tu as écrit Amorifices, non ? Amorifices est plus un texte que j'ai créer en glissant des trucs, vraiment construit avec des références et des sous entendu ! Je vais bientot poster tout ce que j'ai glisser comme construction. J'ai pas aimer faire ce recit, j'en étais lassé à un moment car ce n'est pas une facon sur laquelle j'aime écrire. Quand j'écris, je me laisse porter, je ne sais jamais d'avance comment ca va se passer. C'est un défaut et une qualité comme on me l'a montré. Mais je fais avec, c'est ce que je préfère, les reves du moment deviennent le récit Je citerais notamment la rapidité de l’action. Tu ne t’attardes pas assez sur des éléments que tu n’aurais pas mis si tu ne souhaitait pas qu’ils créer dans les esprits des lecteurs quelques sensations et sentiments. Ainsi, au niveau du trésor : tu pourrais aisémment dévellopé. C'est fait Bon voilà, je sais pas quand je la posterai la suite !!! Je l'ai écrite mais me manque l'essentiel : Des noms Je suis vraiment pour ca ! C'est le truc qui te poursuit tout au long de l'histoire et donc il faut que je le choississe avec soin Le premier chapitre fait trois pages word de souvenir Donc vous savez à quoi vous attendre. Je vais laisser le temps à deux trois lecteurs de tout lire, genre deux trois jours puis je post la suite pour ceux qui sont motivés pour me dire tout ce qui va pas ! La j'ai plus de negatifs que de positifs mais tant mieux ! J'envie que ce texte soit très bien alors c'est ce que j'attends pour le retravailler a partir des critiques ! La j'ai pris en compte tous les avis et aie fait les changements alors si vous voyez des choses, n'hésitez pas !! Bon sur ce @+ -= Inxi =- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Caladai49 Posté(e) le 30 avril 2005 Partager Posté(e) le 30 avril 2005 (modifié) Des noms Je suis vraiment pour ca ! Mon truc à moi, c'est : I-Tu écrit tous les adjectifs concernant ton personnage. Du genre : Gros, Sale, Eborgné, Mauvais, Raleur II-Tu réunis les premières lettre : G S B C M R III-Tu joue au Scrabble en inventant tes mots, et en ayant le droit priviligié de reprendre la même lettre plusieurs et d'en rajouter d'autres à l'occasion : GROMRESS Et voilà, un nom qui convient au personnage et aux adjectifs les concernant . Ensuite, avec un peu de travail, il peu y avoir des syllabes qui conviennent pas, ou autre, auquel cas de légères modifications s'imposent. Pour mon récit "les anneaux de cornaline", j'ai fait comme ça pour trouver Naefir : Froid, Noir, Arrogant, Intelligent, Espion = F N A I E= NAEFI = on rajoute un R, NAEFIR. Idem pour la comtesse de Semir, avec Sensuelle (bas oui le brouillon c'est intime on peut se permettre ), Elegante, Mystérieuse, Intelligente, Riche (les adjectifs clichés sont admis, je le rapelle c'est un brouillon). Bon après, je ne dit pas que la méthode est une référence, on aime ou on aime pas... Modifié le 30 avril 2005 par Caladai49 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
korelion Posté(e) le 30 avril 2005 Partager Posté(e) le 30 avril 2005 Bonne petite intro Un détail m'a fait tiquer : lle le souleva du sol facilement et l’avala. Elle sentit les os craquer dans sa bouche, et ensuite, elle se délecta du sang qui coulait en elle. Le Et Ensuite ne me plait pas trop, il casse un peu la tournure et la rythmique de la phrase. Sinon, on sent le lecteur de SDA Korelion, fan des grosses araignées velues se faisant attaquer par des petits hommes avec anneaux.... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité toidrick Posté(e) le 30 avril 2005 Partager Posté(e) le 30 avril 2005 Le titre m'a fait tiquer (dans le sens positif du terme), et je pensais au chaos...lorsque l'effective présence d'un arachnide m'a sauté aux yeux. Bon, le clin d'oeil à Arachne est évident, même si je trouve ce texte plus inspiré...Mais deux trucs me choquent... Tout d'abord les araignées sont aveugles, non? Ensuite, si l'intensité du combat est bien retranscrite, je te suggère de développer la dégustation de l'araignée... Avis aux âmes sensibles : éloignez vous de ce spectacle... (Miam! ) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité lastday Posté(e) le 30 avril 2005 Partager Posté(e) le 30 avril 2005 Tout d'abord les araignées sont aveugles, non ? A ouais ? Depuis quand ? Personnellement moi j'aime bien ce texte, bourré de références diverses et variées, et voilà ... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Caladai49 Posté(e) le 30 avril 2005 Partager Posté(e) le 30 avril 2005 Tout d'abord les araignées sont aveugles, non ?A ouais ? Depuis quand ? Bas oui les araignées sont aveugles mon cher Lastday. Tout du moins, presques aveugles, elles se servent presque exclusivement des vibrations pour se repérer. Encore une réponse indigne d'un Chateaubriand ou d'un Victor Hugo Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Elgalen Posté(e) le 30 avril 2005 Partager Posté(e) le 30 avril 2005 J'ai lu ton texte après les corrections que tu as déjà faites et tu as un style plutôt agréable à lire. Cependant j'ai encore quelques remarques sur la forme. Quelques fautes: un filet des plus collantcollantsL’épée fut projeté au loinprojetéela petite créature qui était venu la défiervenueUne autre répétition que celles déjà citées: Le monstre tourna sa monstrueuse tête Et puis une phrase vraiment bizarre: Le peu de lumière, qui venait dont ne savait où transformait, en passant à travers diamants et rubis, donnait l’impression de se trouver dans un kaléidoscope.Ca ne vas pas du tout, j'aurais même du mal à proposer quelque chose, vu que je ne comprends pas. Peut-être: "Le peu de lumière, qui venait on ne savait d'où, transformé en passant à travers diamants et rubis, donnait l’impression de se trouver dans un kaléidoscope."Sinon pour le fond, tout a été dit: pas trop de sentiments qui impliquent le lecteur pour l'instant, mais la fin donne envie de lire la suite! En espérant avoir plus de temps pour s'attacher au personnage qui a réussi à s'évader qu'aux deux autres Elgalen, qui attend la suite avec curiosité Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 4 mai 2005 Auteur Partager Posté(e) le 4 mai 2005 Les retouches ont été apportées ! Pour ce qui est de la phrase bizarre, c'est vrai que quand je l'ai écris, j'ai eu du mal ! J'ai pas du faire attention si au final, ca donnait quelque chose de lisible Enfin maintenant c'est rectifié ! Bon je pense que sur la forme et le fond tout a été dit ! Si quelqu'un voit encore des choses, qu'il n'hesite pas ! Pour le nom, tu m'as donné des idées ! Mais un peu trop tard .. :'( Je pense que je vais utiliser cette technique pour mes personnages suivants ! Moi, la technique que j'utilise en majorité, c'est je cherche, en latin, la traduction de ce qui défini le personnage et je le transforme légérement en nom C'est ce que j'ai fait pour tout les persos ! Enfin vous verrez ca pour ceux qui ont lu, quand je posterai le commentaire de mon texte Voila, la suite devrait pas tarder, d'ici quelques semaines @+ -= Inxi =- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Iliaron Posté(e) le 4 mai 2005 Partager Posté(e) le 4 mai 2005 On va commenter l'amélioration au confint confins Les pilles de pièces piles tapis de gemmes contribuait contribuaient (relecture, quand tu nous oublies ) Le nain voulut mettre un coup de hache mais un coup de patte l’envoya séjourner dans une colonne d’or. Répétition (je ne l'avais même pas noté) "Le nain tenta de l'attaquer de sa hache mais..." L’humain avait un goût particulièrement délicieux pour quelqu’un se cachant sous de telles fourrures. Les fourrures, c'est l'habit ou pas??? Car là ça ne s'applique plus au nain, et c'est étrange. Je ne vois pas pourquoi les fourrures (vêtements) donneraient mauvais goût, à moins que l'homme aussi soit poilu. Pour les trésors, c'est quand même mieux . Pour la bataille, je trouve (je ne sais pas pourquoi) qu'elle manque de rythme. Elle lance sa toile, et puis plus rien. Mais ce manque de rythme est surtout du au fait que l'araignée ne craint pas pour sa vie, ce qui rend la bataille normale, comme un acte de la vie courante. Elle devrait pourtant (je pense encore) ressentir quelque chose à leur encontre, eux qui ont osé pénétrer dans son antre pour une des premières fois. Les pensées de l'araignée sont simples, mais la phrase est trop longue. je vois l'araignée qui ne fait que des courtes phrases. ca donnerait: Le nain était beaucoup plus craquant que l’humain et également plus moelleux mais il était beaucoup moins savoureux et il laissait trop de poils sur la langue. "Le nain était bien plus craquant; et plus moelleux. Malheureusement il était moins savoureux et laissait des poils sur la langue." Le "mais" aussi me paraissait un peu trop simple (arrg, je veux faire simple et fais compliqué ) Iliaron, mais la suite permettrait de fixer le potentiel je pense. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 4 mai 2005 Auteur Partager Posté(e) le 4 mai 2005 Voilà; c'est corrigé ! Pour les fautes Plus je rajoute des passages, plus j'en rajoute !!! Donc, on vera si dans ce nouveau paragraphe, j'en ai remis Donc comme je viens de le dire, j'ai fais les corrections et aie rajouté un paragraphe sur la créature et ses "sentiments"... Je vais par contre laisser la scene de combat, je compte pas rentrer directement dans le recit dans l'introduction ! Mais vous inquietez pas, si vous voulez, j'en mettrai Voila @+ -= Inxi =- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Elgalen Posté(e) le 5 mai 2005 Partager Posté(e) le 5 mai 2005 (modifié) Je viens de lire la nouvelle version et ça donne déjà beaucoup mieux. Tout est plus détaillé, l'environnement mieux décrit, bref, on ne se sent plus aussi distant de l'action. Après, une araignée reste une araignée et je ne crois pas que tu puisses lui donner plus de sentiments que cela. Et puis ce n'est qu'une introduction, donc je pense que l'ambiance de la suite sera bien différente. Par contre au niveau de la forme il y aurait encore quelques fautes à corriger: fautes de conjugaison: Dans cette vaste salle, culminait des trésors fabuleuxculminaient Cette quantité infinie de pièces formaient des colonnes formait Un des hommes avaient réussi à sortir de la toile avait Le petit être n’avait toujours pas reprit ses esprits repris Fautes d'accord: Ses tunnels, elle les avait creuséecreusés ce combat allait être comme tous les autres et elles tuerait ces imprudents. elle Et puis deux fautes de frappe: Cela faisait des années que personne n’avait troublé pas troublé sa quiétudece qui est en violet est en trop Le nain voulut mettre un coup de hache mais un la patte de la créature l’envoya séjourner dans une colonne d’or. le "un" est en trop aussi il me semble Voilà, j'espère que tu pourras bientôt t'attaquer à la suite Elgalen, l'Etoile Verte Modifié le 5 mai 2005 par Elgalen Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 5 mai 2005 Auteur Partager Posté(e) le 5 mai 2005 (modifié) Voila la suite ! Bon vu le nombre de fautes, étonnant d'ailleurs, je vois les fautes des autres et pas les miennes .. Bon pour les fautes, doit en avoir quoi ! Bon j'attends vos critiques pour tout retoucher Chapitre I Comment avait-il fait pour sortir de l’antre ? Neryme ne le savait pas lui-même. Une fois que la monstrueuse araignée eut dévorée ses deux amis, il avait préféré fuir que de rester là. Après qu’il eut réussi à trancher les, ô combien résistants fils, il avait ramassé une vieille épée courbée et avait pris la fuite… On était tueur et voleur ou on ne l’était pas ! Quand Neryme avait quitté la guilde des semaines plus tôt, il ne se serait pas attendu à arriver ici. Au départ, il était parti pour retrouver le frère de son chef. Ce dernier avait disparu dans la nature depuis plusieurs mois et personne n’avait une once d’idée d’où il avait bien pu partir. Lui, Neryme, n’était pas mauvais dans son genre. Il était assez doué dans les rapines et savait tuer quand il le fallait. La nuit et les ombres étaient ses amis, la rue sa maison, le ciel son toit. Ne jamais hésiter, telle était sa devise… Elle lui avait souvent sauvé la vie, même si des fois elle lui avait compliqué la tâche. Maintenant, notre voleur devait retourner chez lui, à l’autre bout du continent. Cela lui prendrait autant de temps pour revenir, il désespéra devant les kilomètres qu’il allait devoir avaler. Il se retourna une dernière fois vers la montagne et jura de venger ses amis. Sa quête de retour allait être ponctuée de petits ennuis qu’ils avaient laissés à l’aller. Pour commencer, Neryme comptait bien régler ses comptes avec le magicien qui les avait envoyés ici. Ce Tycontrel lui avait toujours paru suspect mais il avait laissé tomber l’idée de mensonges devant l’éloquence et l’assurance de l’homme. Maintenant, notre assassin comptait bien lui faire tâter de sa nouvelle arme. La ville se trouvait à une vingtaine de kilomètres et il y serait normalement à la tombée de la nuit. Neryme avait quelques contacts disséminés dans celle-ci et une planque des plus protégées. Il se mit alors en route malgré la fatigue qui commençait à se faire sentir. L’homme en noir ne fit aucune pause durant le trajet, il regretta cette décision car il fut vite fatigué mais il fut en ville plus tôt que prévu. Les marchands commençaient à ranger leurs établis et de délicieux effluves de nourritures rappelèrent à Neryme qu’il avait horriblement faim. Il passa au milieu de la place centrale et fit discrètement disparaître une pomme et un morceau de pain de quelques étalages. Il prit une rue descendante puis une sombre ruelle sur la droite. Notre héros escalada le mur de l’immeuble et se hissa sur le toit. Neryme vérifia que ses pièges n’avaient pas bougé et sortit une planche de bois un peu humide de derrière une cheminée. Il la fit basculer au-dessus de la rue, vers l’immeuble qui se trouvait en face. Après avoir passé ce pont de fortune, et après avoir prié qu’il ne lâche pas, il arriva sur un toit où une lucarne était accompagnée d’une plate-forme. Derrière ce hublot se trouvait une petite pièce qui lui servait de refuge, cette chambre était uniquement accessible par le chemin qu’il avait emprunté et était ponctué d’indices qui prouveraient que des personnes fussent passées. Notre ami détacha donc un trousseau de clés qui était plaqué contre son torse et sélectionna une clé en forme de croix. Il la glissa dans un petit trou sur sa gauche, dans le toit, et entra dans son havre. Par bonheur, rien n’avait été touché et il s’empressa alors de se déshabiller et de se plonger dans son lit bien qu’il fut froid. Neryme s’endormit dans les quelques minutes qui suivirent. Notre voleur se leva le lendemain matin en ayant l’impression d’avoir dormi des jours entiers. Il s’habilla rapidement et décida de consacrer sa journée à reprendre contact avec ses anciens associés. Le premier qu’il comptait voir, était un petit homme qui se déguisait en enfant. Sous des tonnes de crasses, des vêtements trop grands et sa petite taille, il réussissait parfaitement son rôle. Comme à son habitude, celui-ci attendait dans la rue qui joignait l’église au dock. Neryme tenta une vieille approche pour tester les réflexes de son contact. Il glissa d’ombre en ombre jusqu’à ce qu’il ne se trouve qu’à quelques mètres du soi-disant enfant. Il ne l’avait toujours pas repéré ce qui décevait un peu notre voleur. Il vit rapidement le piège, en effet, son informateur avait placé un astucieux miroir qui surveillait son dos. Neryme chercha l’angle mort, qu’il trouva rapidement, puis se posa à quelques centimètres du petit homme. Il sortit son fin poignard et le glissa sous sa gorge. -Fais attention gamin, tu n’es plus aussi attentif qu’autrefois ! L’informateur essaya de se dégager mais arrêta quand il sentit la lame froide lui caresser l’œsophage. D’une voix mal assurée, il dit : -Qui êtes-vous et que me voulez-vous ? -Allons, allons … Ne me dit pas que tu ne reconnais pas tes vieux amis … Répondit Neryme d’une voix où s’entendait la déception. Notre voleur desserra sa prise et l’ancien collaborateur put se dégager. Il se retourna et dévisagea notre ami. Si ses yeux avaient pu sortir de sa tête, ils l’auraient sûrement fait. -Mais … Hésita-t-il. Personne ne t’attendait plus ici ! Une rumeur disait que … -Les rumeurs… coupa Neryme en faisant une mine déçue… Si l’on croyait toutes les rumeurs, le monde serait dans un drôle d’état… D’ailleurs, j’ai une petite visite à rendre à celui qui a lancé cette rumeur. -Oui, c’est sûr ! Quand je pense que l’autre jour, je … Il s’arrêta en voyant l’expression de Neryme. Que me veux-tu en fait ? Je suppose que cette visite n’est pas qu’une visite de courtoisie ! -Et tu supposes bien ! J’ai besoin de savoir tout ce qu’il s’est passé pendant mon absence ! Et je ne veux pas un seul oubli, pas le moindre commerçant qui s’est installé ! Tu termineras bien évidemment par une description exacte de la bâtisse où ce magicien miteux, qui nous a envoyé à la mort, vit. Les deux anciens amis prirent donc la direction de la taverne la plus proche pour discuter autour d’une chopine. Le petit homme passa devant et Neryme, après un regard en arrière, suivit le pas. Les deux associés se séparèrent alors que la lune venait d’atteindre son apogée. Après un bref au revoir devant les portes massives de l’auberge, ils partirent dans deux directions opposées. Neryme remonta donc jusqu’en centre ville qui comme tout centre ville qui se respecte contenait une garde plus importante, plus d’éclairage et les bâtiments étaient plus richement décorés. La maison du sorcier était facilement reconnaissable à son architecture … différente. Une tour qui semblait s’enrouler sur elle-même trônait au milieu de toits formés par des angles complexes. Cette maison était aussi facilement reconnaissable car elle était à l’écart des autres domaines appartenant aux sorciers. Cela était étonnant car la population tolérait rarement les sorciers. La potion était plus dure à concevoir qu’autre chose, la moindre imperfection et il aurait tout à recommencer depuis le début. La goutte tomba lentement et les deux produits réagirent. La potion passa d’un bleu pâle à un rose clair. Le magicien soupira et reposa le flacon dans un reposoir en verre. Dans l’ombre du laboratoire, une forme ténébreuse bougea. -Tu te souviens de moi j’espère, Tycontrel ? -Vous ? S’exclama-t-il, surpris. Je dois bien admettre que je suis étonné de vous revoir ! -Si tu ne nous avais pas envoyé dans une mort précipitée, tu n’aurais peut-être pas été surpris. Et pour cela, je vais te tuer. L’homme en toge rouge foncée sourit de toutes ses dents et rit. -On ne peut tuer un magicien dans son antre ! Dit Tycontrel. Comme pour prouver ses dires, il leva les mains au ciel et deux élémentaires, ces êtres composés de terre prirent place à côté de leur créateur. -Vous n’avez donc pas trouvé ce que vous cherchiez à ce que j’en déduis ? Laissez moi vous expliquer… On m’a dit qu’un homme s’était aventuré dans ces régions, j’ai bien évidemment pensé que c’était celui que vous cherchiez ! -Et comme cette araignée vivait également dans les terres, vous vous êtes également dit que nous allions récupérer le butin pour vous, c’est ça ? Dit Neryme d’un ton ironique. -Exactement ! Mais vous êtes en vie, c’est ce qui compte. -Et mes amis sont toujours en vie peut-être ? Dit Neryme, tout bas, bouillonnant. -Choisissez mieux vos ennemis ! Tout ce que je voulais, c’était quelques babioles qui traînaient dans la caverne. Fut les seules paroles que le magicien trouva à dire. Le voleur redressa le menton et d’un bond rapide en avant, envoya un direct dans la face du magicien. Ce dernier, trop surpris par la rapidité de l’action, fut projeté au milieu de son établi. Tycontrel se releva, tout sourire ayant quitté ses lèvres. Mais il eut beau chercher dans toute la sombre pièce, notre ami n’était plus là. Le sorcier n’entendit qu’une porte se fermer au loin. -Misérable ! Je te retrouverai ! Hurla le magicien en se tenant le visage. L’homme soupira et congédia ses deux illusions. Il éteignit toutes les bougies sauf deux qui encadraient un large miroir. Il s’y dirigea et examina sa blessure. Tycontrel leva le menton et essuya à l’aide d’une serviette humide le sang qui ruisselait doucement. -Ca m’apprendra à traiter avec des voleurs de pacotille ! Maugréa le magicien. J’espère qu’avec les potions on ne verra plus ces cicatrices ! Dit-il pour lui-même. Il regardait toujours le miroir quand il vit un petit éclat derrière lui. C’est en regardant dans le miroir qu’il regretta de ne pas avoir vérifié si Neryme était bien parti. C’est toujours en regardant le miroir qu’il s’effondra la gorge tranchée. Et c’est en chutant qu’il entendit ces simples mots : -Je choisis toujours bien mes ennemis … Neryme essuya sa lame sur la serviette déjà ensanglantée et quitta la maison vers la prochaine ville. @+ -= Inxi =- Modifié le 7 octobre 2005 par Inxi-Huinzi Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Elgalen Posté(e) le 6 mai 2005 Partager Posté(e) le 6 mai 2005 C'est génial! Tu développes très bien le personnage de Neryme, tu introduis bien et progressivement ses ennemis et ses complices. Globalement ton récit est très clair et pourtant j'ai l'impression qu'une intrigue assez complexe s'installe peu à peu. J'ai aussi mieux compris pourquoi tu avais fini ton dernier passage en disant seulement que le troisième aventurier s'était échappé, sans plus détailler, en effet, vu que c'est un voleur il a du partir très discrètement. Et grâce à cette même discrétion il réussit à tuer Tycontrel. Je n'ai juste pas très bien compris pourquoi Tycontrel avait souhaité la mort des aventuriers. Peut-être que ce passage mériterait d'être développé, mais peut-être que ça n'a pas vraiment d'importance pour la suite, que tu voulais juste nous montrer à quel point Neryme était un voleur et assassin discret et habile, auquel cas c'est très réussi. Donc à toi de voir selon la suite que tu envisages. Pour la forme, j'apprécie que tu aies fait un effort, ce n'est pas du tout si mauvais vu la longueur du texte. D'ailleurs c'est bien que tu aies posté un passage plus long que la première fois, je dirai que c'est à peu près la longueur optimale. Je cite quand même les fautes qui restent: Cojugaison: Après que la monstrueuse araignée est dévorée ses deux amisait de délicieuses effluves de nourritures rappela à Neryme rappelèrent indices qui prouverait que des personnes fussent passées. prouveraient L’homme en toge rouge foncée sourit de toutes ses dents et ria rit Fautes d'accord: Elle lui avait souvent sauvée la viesauvé le magicien qui les avait envoyé ici envoyés une planque des plus protégée protégées dans tout la sombre pièce toute Il éteignit toute les bougies toutes Et finalement quelques oublis, ou des phrases pas très françaises... Si tu nous avais pas envoyé dans une mort précipitéetu ne nous avais pas envoyés envoya un direct dans la face du magicien envoya un coup direct ...??? en tout cas il manque un mot Tycontrel leva le menton et pensa à l’aide d’une serviette humide le sang qui ruisselait doucement deux choses: premièrement il faudrait écrire "pansa" et deuxièmement, pour moi on panse une blessure, pas du sang, j'aurais donc dit "essyua [...] le sang" Elgalen, qui espère lire bientôt une suite aussi réussie Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Iliaron Posté(e) le 6 mai 2005 Partager Posté(e) le 6 mai 2005 J'ai laissé passer des fautes au vu du relevé d'Elgalen n’avait la once d’idée je dirais "une", mais perception personnelle L’homme en noir ne fit aucune pause durant le trajet, il regretta cette décision mais il fut en ville plus tôt que prévu. Décris nous pourquoi il regrette. rien avait été touché n'avait qui nous a envoyé à la mort, vit. Bravo pour cette phrase . Belle mise en relief des sentiments -Si tu nous avais pas envoyé dans une mort précipitée, tu n’aurais peut-être pas été surpris. Et pour cela, je vais te tuer. La phrase apparaît bizarre. Ce manque de négation ("ne") gêne, mais aussi... En fait non, j'avais mal compris le sens. je te conseille quand même de mettre le ne, on comprend d'un coup mieux. Sinon bravo, j'aime comment tu nous décrit le caractère de l'homme, qui apparaît rempli de paradoxe: il tue mais il a du coeur, il a soif de richesse mais il préfère ses amis... Et j'adore aussi la description pour le meurtre. J'ai hâte de lire la suite pour savoir pourquoi ce sorcier les avait envoyé, et quel était cet homme (je revoies un des problèmes du Vol du crépuscule: lorsque c'est dur d'expliquer, tu te perds dans des phrases longues, pour ne pas trop en dire et ne pas faire deux phrases courtes. apprends à couper tes phrases . Je me permet une limite à ce que je viens de dire: ici comme les personnages savent de quoi ils parlent il ne l'évoquent pas, donc finalement c'est assez clair. on va dire que tu es prévenu pour la suite Iliaron, bravo quand même Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Feurnard Posté(e) le 6 mai 2005 Partager Posté(e) le 6 mai 2005 S'il y a amélioration, je trouve encore quelques défauts à régler au plus vite. Tout d'abord ta ponctuation. Tantôt tu oublies la virgule, tantôt tu la substitues au point. De même, tu es très expressif, par tes points d'interrogation et d'exclamation. C'est un langage assez oral donc et qui ne me semble pas très adapté. Ensuite la transition. Imagine-nous dehors, avec ton assassin, et soudain projetés tels des boulets de fonte au travers des murs pour ricocher contre la petite éprouvette du magicien. Tu t'en sors mieux pour introduire ton personnage. Cependant, il aurait été préférable qu'on ne sache que ce à quoi il pense en un tel instant. Mauvaise transition dès lors, puisqu'elle nous arrache à l'action. Sinon, l'histoire en elle-même me dérange, parce qu'on en est trop distant, comme un train qu'on prendrait en route, et qui ne va pas dans le bon sens. Elle se déroule sans difficulté, presque entendue, comme si le magicien lui-même n'avait eu pour vocation que de mourir. A ce titre sa mort n'a pas toute la stupéfaction voulue. Parce qu'il n'y a pas d'autre manière pour le dire, je me contenterai de te conseiller ceci, de rendre ton récit plus vivant (sic). Pour le détail, je ne crois pas qu'un magicien puisse se permettre d'établir sa tour dans n'importe quelle ville, quand on sait la suspicion qu'a la population envers eux ; et, pareillement, je doute qu'il puisse invoquer et révoquer des golems d'un claquement de doigt. Trop théâtral, donc. Enfin, ton histoire n'est pas assez, non pas cohérente, ni confuse, mais plutôt confondue, en cela que tes événements ne s'entremêlent pas assez. Aussi puis-je t'avouer que, pour moi, l'histoire peut aussi bien s'arrêter là, sans qu'il lui manque rien ; non pas que j'aie cette volonté, mais parce qu'il a accompli sa vengeance et qu'on n'attend rien de plus de lui à l'heure présente. Essaie pour la suite de ne jamais achever un événement sans en avoir imbriqué un nouveau, et de ne jamais introduire un élément nouveau sans l'avoir auparavant annoncé, sans quoi la cohésion te manquera. Cela dit, si le "freestyle" duquel tu uses fatigue ton récit, je n'ai pu pour autant m'empêcher de jubiler durant ma lecture, puisque tu as réellement progressé, tant sur l'expression que sur la présentation de l'histoire, et si bien que c'est toujours un plaisir de te répondre. T'ai-je déjà dit que tu représentais l'idéal mythique de la section ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 25 juin 2005 Auteur Partager Posté(e) le 25 juin 2005 Bon voila !! Apèr sun longue absence, je trouve le temps de replancher sur mon texte ! Après m'etre occupé de vos textes, ô lecteurs ! Bon tout ca pour dire que j'ecris la suite et que j'ai fait les modifications que vous m'aviez indiqué ! J'ai rajouté quelques répliques et preciser pour l'habitation du sorcier ! Enfin bref tout ca pour dire que : ca arrive !! Bref tout ca pour dire que si vous avez d'autres remarques, surtout n'hesitez pas !!! Poster, je prend tout ! @+ -= Inxi =- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
fibz Posté(e) le 26 juin 2005 Partager Posté(e) le 26 juin 2005 salut Inxi, je suis tres mauvais pour la critique (surtout que ton texte me semble depourvu de fautes!) alors je vais me contenter de te dire que ton texte est tres agreable a lire et que l'histoire est tres prenante! j'atends la suite avec impatience! fibz (ex gib qui te conaissait si tu te rapelles de moi ) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité galrauk Posté(e) le 26 juin 2005 Partager Posté(e) le 26 juin 2005 voila je trouve ton texte vraiment très bien, assez agréable a lire et je trouve que l'on commence a s'attacher au héros (j'aime comment tu le met en place comment tu décris son comportement) Je n'ai qu'une chose à te réclamer: La suite!!!! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wilheim Von Carstein Posté(e) le 26 juin 2005 Partager Posté(e) le 26 juin 2005 Salut à toi, c'est un texte prometteur que tu nous livres là. Tout ce qui avait à être dit sur l'introduction a été dit, je n'y reviendrai donc pas. En ce qui concerne le chapitre I, la description de Neryme est très complète : aussi bien au point de vue de son physique que de sa personnalité. Tycontrel par contre m'a parru un brin faible : la facilité avec laquelle Neryme s'en débarasse est en désaccord avec la vantardise du magicien (et même si les magiciens ont tendance à la mégalomanie, il y a quand même généralement un fond de raison à cela). Le fait même que ses deux golems soient des illusions contribuent également à cette impression bien que l'histoire de la potion qu'il fabrique laisse penser que ça n'est pas un bras cassé, d'où une certaine incohérence de ce personnage, à mon avis (bon, à la limite, comme il meurt ... ) Une autre chose : le ton du récit. Je vais peut être sembler rigide mais je trouve que le côté décalé de la narration nuit un peu à la qualité du texte. Quelques exemples de ce qui me choque un peu : *L'utilisation de notre ami qui, personnellement, me choque un peu * Je t’en mettrais moi des voleurs de pacotille Je ne vois pas du tout un magos parler comme ça, même si ça coïncide plutôt avec l'image que j'ai de Tyconrel (cf paragraphe ci-dessus)Mais bon, ça reste mon avis. En tout cas, j'attends la suite avec impatience (je trouve ce voleur très attachant). Autre chose : j'aime beaucoup ton titre : il est déjà sympa en lui-même et le fait que l'araignée soit la cause de tout lui donne tout son sens et tout son humour. A+ Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Xarys Posté(e) le 27 juin 2005 Partager Posté(e) le 27 juin 2005 Salu Inxi ! Je viens de lire ton intro et ton premier chapitre, et j'aime bien ... Tout d'abord l'intro par le coté original de son traitement et le premier chapitre car il est simple, plutôt bien écrit et efficace. Sinon par rapport à ce qu'il a été dit avant, je n'ai pas grand chose à rajouter, mis à part le fait que je déplore qu'il n'y ait pas de description physique de Neryme... Ca a l'air d'être ton personnage principal, dc à un moment faudra bien le décrire Bon passons maintenant aux quelques "fautes" que j'ai pu relever : Dans l'intro : délicieux pour quelqu’un se cachant sous de telles couches de fourrures.Le monstre tourna sa monstrueuse tête vers le nain assommé en se demandant si celui-ci serait aussi délicieux une petite répétition, tu pourrais essayer succulent par exemple ? Dans le chapitre 1 : Cela lui prendrait au moins le même temps de voyage Je n'aime pas ce "au moins le même temps de voyage", ca ne sonne pas bien, à ta place je reformulerais... le petit homme avait placé un astucieux miroir qui surveillait son dos. Neryme chercha l’angle mort, qu’il trouva rapidement, puis se posa à quelques centimètres du petit homme. Il sortit son fin poignard et le glissa sous sa gorge.-Fais attention petit homme, Encore une chtite répétition...Voilà c'est tout ce que j'ai pu remarquer, j'attends impatiement la suite pour voir comment ton intrigue va se développer Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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