Iliaron Posté(e) le 28 août 2005 Partager Posté(e) le 28 août 2005 Alors, en vrac: La tour s’élevait sur dix mètres de hauteur, ce qui était assez bien vu le peu de temps qu’ils avaient disposé Plutôt exceptionnle même . 10 mètres!!! Un loup ne sait pas grimper, quelque chose de 4 mètres est suffisant, surtout que j'imagine qu'il faut des engins pour une telle taille, pour ne aps faire quelque chose de branlant... Ils durent attendre que peu de temps avant de les voir ne durent la planta au centre de gravité du triangle qu’il formait avec ses amis Pas trop détaillé non plus . Ce ne sont que des paysans, alors le terme "centre de gravité" . Juste "centre" ça ira, car là ça crée une rupture lexicale du plus mauvais effet (surtout que ça fait réfléchir, c'est aps bien ça ) tuait les loups qui commençait commençaient L’homme au sol ne pouvait rien faire tant sa blessure le faisait souffrir. , au sol,Neryme avait vu plusieurs loups agrippés des hommes agripper dans la ténébreuse caverne.La caverne sentait le fauve. Répétition Il y avait qu’une seule cavité. n'y Allez, vous coucher Pas de virgule Neryme vit avec étonnement le reste des bêtes obéirent obéir Neryme se mit à porter de larçin portée se fut que celles-ci se retournent contre lui ce Le loup massif se retourna et suivit des autres bêtes, il sortit de la caverne. et, suivi des autres bêtes, Le texte est pas mal, mais ce qui fait ton grand avantage est ton grand défaut: tu imagines beaucoup de choses, mais cela crée en même temps des choses bizarre: - les paysans qui sont encore là au vu de la violence des attaques, alors qu'auparavant ils ne disposaient d'aucune protection. - quelques scènes d'actions héroïques (le coup du pont par exemple) qui sont un peu floues, car l'on situe mal la caverne par rapport au pont. - le pendentif, j'espère que ce sera expliqué comment cet homme en a pris posession A part ça le texte est très prenant, mais part dans tellement de sens qu'au final on se demande si l'intrigue est bien construite: on a le vol du baron, le mystérieux informateur les ayant amené vers l'araignée, maintenant ce village (au passage, même si la fréquence des attaques est logique, qu'il arrive pile dans ce village est quand à lui un heureux hasard, mais c'est dur de rendre cela mieux ). Iliaron, qui attend une suite (faut que je vérifie que ça amène quelque part ). Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fourberass Posté(e) le 28 août 2005 Partager Posté(e) le 28 août 2005 Whaou, quelle vélocité !!! Alors tout dabord bravo pours les quelques remaniements, c'est tout de suite plus crédible ! A quand les autres ... Quand le ciel se couvre, ils attaquent. Ca à toujours été ainsi. j'aime bien cette explication, ca donne un petit côté plus sombre... Une petite faute je crois... Neryme put voir de minuscules yeux jaunes éclairés l’orée de la forêt éclairer, non? A part ça le texte est très prenant, mais part dans tellement de sens qu'au final on se demande si l'intrigue est bien construite: on a le vol du baron, le mystérieux informateur les ayant amené vers l'araignée, maintenant ce village (au passage, même si la fréquence des attaques est logique, qu'il arrive pile dans ce village est quand à lui un heureux hasard, mais c'est dur de rendre cela mieux ). +1 !!! Sinon et bien c'est très bon, l'attaque était décrite avec intensité. Notre Neryme ce la joue un peu sadique sur la fin (miam ...), j'adore. Mais qui est ce vieux? d'où vient ce collier? Quel est ce loup qui lui sauve la vie? Des questions auxquels nous éxigeons des réponses !!! Et pourquoi les huits pattes du destin ? Fourberass, dernier jour de vacance dans le var ... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 31 août 2005 Auteur Partager Posté(e) le 31 août 2005 (modifié) Et voila la suite ! Avec peu de fautes je l'espere ! Chapitre VIII Une fois que les créatures furent parties de la grotte, Neryme crocheta la cage de fer où reposaient les villageois. Il les réveilla un par un car ils étaient tous évanouis. Le voleur reconnut pratiquement toutes les personnes qui étaient là, seules trois inconnues lui étaient étrangères. Il y avait une jeune fille qui était vraiment magnifique. Elle était brune, ses cheveux cascadaient jusqu’aux épaules et Neryme vit, lorsqu’elle reprit conscience, qu’elle avait de magnifiques yeux foncés. Notre ami commença à ressentir des choses qu’il avait voulu l’oublier… Il détourna les yeux et ordonna que les plus forts soutiennent les plus faibles et qu’ils rentrent au village. Ils sortirent donc de la grotte comme l’avait fait les loups précédemment. Le pont étant détruit, ils durent contourner la falaise vers le pont suivant qui se trouvait à trois lieues de là. Ils mirent quarante cinq minutes au lieu d’un quart d’heure à l’aller. Même si la distance n’était pas la même, les blessés ralentissaient considérablement la marche. En chemin, il apprit qu’un quart du village était mort dans ces geôles. Neryme s’étonna qu’ils restent dans leurs habitations. Ce à quoi ils répondirent qu’ils n’avaient pas assez de biens pour tout laisser et qu’ils avaient demander des renforts à Brankburg mais ils n’étaient jamais venus… Notre voleur apprit aussi beaucoup sur certains membres du village. Il apprit que le vieillard était le grand père de la jolie fille qu’il avait délivré. Il s’était excusé auprès de celle-ci mais elle ne lui en voulait pas. Elle le remercia même qu’il est mis fin à la vie d’un homme qui avait juré la perte de sa propre famille. En continuant à parler avec elle, il apprit qu’elle était la fille de Pierre. Neryme apprit aussi qu’elle moisissait dans cette prison depuis deux jours avec deux autres hommes. Les pensées qui assaillirent notre héros lui rappela son passé. Depuis ces premières aventures dans la guilde quand il avait été trahi par son aimée à aujourd’hui. Elle l’avait lâchée et sa seule solution avait été de laver l’affront dans le sang. Il se rappela leur départ de la ville et toutes leurs aventures. Une des plus dangereuses et des plus d’actualités était ce vol du baron. Ils l’avaient dépouillé en se faisant passer pour des cuisiniers. Cela leur avait pris deux semaines mais ils avaient réussi à endormir tout le château en empoisonnant la nourriture. Il se rappela aussi comment ils avaient berné une compagnie de mercenaires non loin de leur caverne près de leur baie. Que de souvenir… Mais même si ces aventures avaient été palpitantes, Neryme voyait aujourd’hui toutes les conséquences de ses actes. A chaque actes, chaque lieux où il allait, il se retrouvait avec des problèmes. Ces mystérieux individus, ces chevaliers qui avaient maltraités ce paysan… Il n’attirait que les ennuis ! Même ses deux amis étaient morts dans cette antre où l’araignée vivait. Maintenant, il avait admis que cela faisait partie de la vie et comme l’avait dit un de ses amis : Vivre est dangereux, on peut en mourir. Mine de rien, à force de réflexions, il se retrouva rapidement au village où les paysans se remettaient tout doucement de leurs émotions. Malgré la fatigue qui reposait sur leurs épaules, les habitants du hameau eurent la force de faire des retrouvailles très émouvantes. Pour une fois, Neryme avait fait quelque chose qui donnait un sens à sa vie et il en était fier. Seul Pierre n’avait pas remercié notre héros pour ce qu’il avait fait. Il lui avait interdit de s’approcher de sa fille et il était parti dans sa maison, écumant de rage. Malgré cela, Neryme n’était pas décidé à partir et ils se voyaient régulièrement sans se cacher. Bien que la vie était très dure ici, il décida de s’en satisfaire avec une si charmante personne à ses côtés. Cela faisait deux jours depuis l’attaque des loups. Neryme devait retrouver Pierre et sa fille dans leur logis. Ils avaient rendez-vous à la tombée de la nuit. Notre voleur fut à l’heure, le ciel était coloré d’une jolie couleur rouge et l’air se faisait plus frais. Quand il rentra dans la pièce, il fut tout de suite frappé par le peu de lumière qu’il y avait. Assise sur un tabouret, son amie, même si elle était bien plus que ce qu’il voulait admettre, pleurait. Neryme avança dans sa direction mais il ne put faire qu’un pas. Deux hommes l’avaient saisi par les bras et deux autres se tenaient prêt à agir. Le capitaine de la garde du baron, que Neryme n’eut aucun mal à reconnaître s’approcha de lui. -Tu croyais nous échapper ? Dit-il d’une voix désagréable. Neryme se tourna vers la jeune femme en pleur qui fuyait son regard, il n’arriva pas à l’accrocher. Il tourna ensuite lentement la tête vers celui qui l’avait vendu. -C’est comme ça que tu me remercies d’avoir sauvé une partie de ton village ? -Je t’avais prévenu de pas approcher de ma fille ! Dit-il avec un calme retenu. Et puis l’or était assez appâtant. -Espèce de fils de … Commença Neryme avant qu’un coup de poing ne l’envoie au pays des songes. @+ -= Inxi =- Modifié le 31 août 2005 par Inxi-Huinzi Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Iliaron Posté(e) le 31 août 2005 Partager Posté(e) le 31 août 2005 où reposait les villageois. reposaient jeune fille brune qui était vraiment magnifique. Elle était brune Et bien, quelle est brune Notre ami commença à ressentir des choses qui l’avait voulu l’oublier qu'il avait Ils mirent quarante cinq minutes au lieu d’un quart d’heure à l’aller. Même si la distance n’était pas la même, les blessés ralentissaient considérablement la marche. Pas forcément important comme détails. que cela faisait parti de la vie partie Sinon l'histoire est bien développée, on en apprend plus sur le vol (ah oui, n'exagère pas, un somnifère ne dure pas deux semaines ). Par contre, je ne me rappelle plus du tout de Pierre, il ne m'avait décidemment pas marquer . Enfin, très joli proverbe, quelque chose que j'avais pensé souvent . Iliaron, qui veut une suite. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fourberass Posté(e) le 2 septembre 2005 Partager Posté(e) le 2 septembre 2005 Salut Inxi ! Désolé pour le retard, mais en ce moment j'ai pas mal de soucis qui m'empêche de faire tout ce que je voudrais, et mon esprit n'est guère à ce qu'il fait... Néenmoins j'ai pris quelques minutes pour jeter un oeil à ton texte et je ne suis pas déçu : Cette suite est trés bonne car personnellement, j'y retrouve nombre d'éléments qui m'avaient chagriné et qui sont maintenant dévellopés plus consciencieusement! Et quelques petites pistes pour l'avenir, comme cette probable romance avec la jeune fille (c'est dommage tu ne donnes pas son nom ...), laisse présager pleins de bonnes choses pour l'avenir... Tout comme la fin et son rebondissement que j'ai beaucoup aimé !!! Persévère Inxi, tu es sur la bonne voie !!! J'ai hate de lire la suite!!! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
fibz Posté(e) le 2 septembre 2005 Partager Posté(e) le 2 septembre 2005 bravo c'est de loin la partit que j'ai preféré avec le rebondissement ed la fin! je ne m'y attendais pas du tout et je trouve que c'est une tres bonne idée! j'attends la suite! fibz Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 4 septembre 2005 Auteur Partager Posté(e) le 4 septembre 2005 Voila, bonne lecture Chapitre IX Notre voleur se réveilla dans un chariot une heure à peine après l’incident. Il avait un furieux mal de crâne. Une fois qu’il s’habitua à ce marteau qui frappait son cerveau, il sentit les chaînes qui l’entravaient. Ensuite, il prit conscience qu’il était allongé sur de la paille crasseuse. Neryme put ensuite, quand il reprit possession de sa vision, voir cette minuscule prison à roues qui le transportait. Cette cage mobile était escortée par les mêmes hommes qui avaient sauvagement frappé le paysan. Contrairement à la première fois, il les voyait de plus près et ce coup-ci, il vit le blason du baron. Neryme se laissa retomber dans le chariot en se demandant comment il allait bien pouvoir sortir de cette galère dans laquelle il s’était fourrée. Les chevaliers ne semblaient pas avoir remarqué qu’il s’était réveillé. Le voleur eut beau observer et regarder de nouveau sa prison, il ne put trouver la moindre brèche ou idée à exploiter. Maintenant, tout ce qu’il avait à faire, c’était se concentrer pour saisir la moindre opportunité. Neryme et ses geôliers arrivèrent en vue des épais remparts de Brankburg. Les gros remparts étaient effrayants dans la nuit ambiante. Il y avait quelques braseros sur les remparts et seule l’entrée était bien éclairée. On aurait dit la porte pour entrer en enfer ... et c'était pratiquement le cas. Les cavaliers passèrent la porte après que les sentinelles eussent fini de vérifier leurs identités. Le convoi attaqua ensuite la montée qui venait droit dans la prison. Située dans le quartier ouest, au beau milieu de la garnison, celle-ci était assez bien protégée. La troupe passa devant de nombreux passants. Généralement des riches et des notables qui regardaient Neryme comme un monstre de foire. Plusieurs fois notre héros avait cru que les enfants, qui suivaient le chariot en riant, allaient le lapider à coups de pierres. Au final, ils arrivèrent sans encombre devant la seconde muraille qui entourait la garnison. La plupart des soldats dormait à cette heure ci et Neryme pouvait voir deux soldats qui leur ouvrirent ainsi que deux vers l’alarme et quatre sur le chemin de ronde. Arrivé au milieu de la cours, des écuyers vinrent chercher les chevaux et deux gardiens vinrent emmener notre ami vers sa prochaine demeure souterraine. Neryme fut traîné sans ménagement vers sa cellule. Malgré ses premières craintes, la cellule n’était pas si terrible et avait même une petite lucarne, enfin une meurtrière, qui donnait une vue sur l’extérieur. Il apprit plus tard que c’était pour voir la potence le jour de l’exécution. Le voleur était dans une prison de quelques mètres carré. Cette dernière était faite tout en pierre et seule une porte, qui semblait aussi facile à détruire que ces murs, permettait de rentrer ou sortir de la salle. Neryme passa le temps comme il le pouvait : assis, en bougeant, en faisant de l’exercice. Le temps lui parut bien long et il décida de laisser une petite trace de son passage.. en souvenir. Avec l’aide de ses chaînes, il grava son nom sur la pierre. Le voleur recula pour regarder son œuvre et vit que de petits morceaux de roches rendaient la lecture difficile. Il entreprit donc de frotter sa gravure pour la rendre plus lisible. En commençant à frotter, il vit que la roche était de piètre qualité et que de gros blocs commencèrent à se détacher. Au bout d’un moment, il vit qu’il s’était fourvoyé et que si la roche était aussi fragile, c’était parce que des barreaux la complétaient. En effet, il s’agissait d’une grande cage dont les espaces qui se situaient entre les barres de fer avaient été recouverts par cette sorte d’ersatz de roche. Au fil du temps, Neryme réussit rapidement à dégager une petite fenêtre sur une autre cellule. Dans cette dernière, notre ami put voir deux hommes allongés sur de vieilles paillasses. Il faisait aussi sombre que dans sa pièce mais il n’y avait pas le moindre filet de lumière. Notre ami put quand même voir, malgré ce peu de luminosité, que ces hommes portaient des capes vertes foncées. Neryme eut un coup de chaud et il s’adossa aux parois de sa cellule. Une seule question lui venait à l’esprit : Comment ? Comment étaient-ils ici ? Notre voleur trouva une possibilité bien vite. En effet, Neryme émit l’hypothèse que ces hommes s’étaient lancés à sa poursuite et qu’ils étaient tombés nez à nez avec les hommes du Duc qui, à la base, le cherchaient lui. Notre voleur ne sut plus trop quoi faire. A la fois, il avait envie de savoir pourquoi on lui en voulait tant mais il avait également peur de ce qu’il pourrait découvrir. Neryme se jeta à l’eau, il devait savoir. -Vous là-bas ! Les deux hommes se réveillèrent en sursaut. Ils furent paniqués d’entendre une voix sortie de nulle part. En plissant les yeux, les deux hommes virent la petite lucarne qu’avait faite Neryme et se rapprochèrent. Ils émirent des grognements quand ils virent que leur proie était à quelques mètres d’eux à peine. -Qu’est t’as ? Demanda l’un des hommes. -Qui êtes-vous ? -Personne. -Savez-vous que l’on va être exécuté bientôt ? Demanda Neryme. Le voleur lut dans leur yeux la peur de ce châtiment. Notre ami savait qu’ils s’étaient préparés à cette sentence mais c’était la première fois que quelqu’un leur lançait à la tête. Un des hommes soupira et retourna s’allonger sur son lit. L’autre continua la discussion. -Oui, on s’en doutait. -Alors dites moi pourquoi on va mourir ! Que me vouliez-vous à la fin! ? ah oui, n'exagère pas, un somnifère ne dure pas deux semaines C'est pas ce que je pensais en ecrivant ca ! Mon idée : endormi le tant qu'il le dépouille mais si c'est mal dit, je vais retravailler. Cette suite est trés bonne car personnellement, j'y retrouve nombre d'éléments qui m'avaient chagriné et qui sont maintenant dévellopés plus consciencieusement Normal, cette suite est pratiquement toute créee sur les remarques que tu m'as fait par mp c'est dommage tu ne donnes pas son nom ...) T'inquiete pas, je l'ai pas mis parce que j'avai pas d'idée mais la c'est bon ! Ce n'est pas encore fini, tu le sauras avant la fin @+ -= Inxi =- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fourberass Posté(e) le 6 septembre 2005 Partager Posté(e) le 6 septembre 2005 Salut ! J'avais pas remarqué la suite...Boulet ... Alors, les remarques en vrac: Neryme et ses geôliers arrivèrent en vue des épais remparts de Brankburg. Les gros remparts étaient effrayants dans la nuit ambiante. le deuxième "rempart" fait écho, j'aurai plutôt mit "muraille"... la montée qui venait droit dans la prison Dans la prison ? Tu es sur? Ce serait pas "vers"... a troupe passa devant de nombreux passants. Passer devant des passants ...Devant des badaux, des chalands... La plupart des soldats dormait dormaient et deux gardiens vinrent emmener notre ami vers sa prochaine demeure souterraine. "emmenèrent" serait plus juste... Au fil du temps, Je trouve (perso) que cela suggère une trop longue durée qui s'oppose au "rapidement" qui se trouve juste après. Comment étaient-ils ici ? Je trouve que ca ne sonne pas trés bien..."Comment étaient arrivé jusqu'ici"? Qu’est t’as ?Demanda l’un des hommes. Gné ? Ayé ! Maintenant les impressions: C'est bien, notemment la fin qui va nous permettre (peut-être) de connaître enfin l'dentité des deux hommes en vert... Juste une question, c'était prévu dans le récit originel, ou tu l'a rajouté ensuite? En tous cas c'est toujours trés bon, tu distilles bien le suspens ce qui fait qu'on en redemande !!! Continu et bonne chance pour la suite !!! Fourberass, matinal... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Iliaron Posté(e) le 11 septembre 2005 Partager Posté(e) le 11 septembre 2005 Déjà, désolé du retard, mon pauvre Inxi avec juste un commentaire, lui qui commente tout ! Ensuite, merci à Fourberass, il m'a déjà relevé le coup des remparts et l'opposition du temps . Maintenant, deux endroits où je ne suis aps sûr: était faite tout en pierre toute ? Notre ami savait qu’ils s’étaient préparés à cette sentence mais c’était la première fois que quelqu’un leur lançait à la tête. la leur (la pour répéter la sentence) Sinon, place aux impressions . Comme toujours avec toi, on sent qu'il y a de l'idée, et quelques jeux de mots vraiment bon (le coup de l'enfer ). Pour la prison, ce que tu dis apparaît quand même aberrant, car enfermés dans une cellule tous les condamnés laissaient une petite trace, donc l'ersatz de roche ne tomberait pas, surtout que pour la prison la mieux gardée, ça fait tache . Enfin, sinon on aurait beaucoup de mal à continuer l'histoire ! Pour l'intrigue, point positif, tu as réussi à maintenir une bonne cohésion, déjà avec les soldats qui reviennent (les fourbes ), et ensuite avec les deux hommes verts qui sont eux aussi emprisonnés. On ne sait qui ils sont, j'avais tout d'abord songé à ce qu'ils fassent partie des gens devant capturer Neryme (comme ils sont échoué, on renouvelle la main-d'oeuvre ), mais finalement non. Je me demande même si ce n'est aps Neryme qui a voulu les tuer puis eux plus tard qui se sont rebellés (enfin, ça dépend de qui pose la question à la fin, après réflexion ce doit être Neryme ). Bref , t'as pas honte , jamais on ne coupe à un tel moment , t'aurais pu mettre une ou deux lignes de plus . Ah mais, c'est embêtant, tu es un Dieu dans l'art de couper toujours au mauvais moment . Iliaron, vivement la suite (je devrais même réussir à la lire plus rapidement ) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
fibz Posté(e) le 11 septembre 2005 Partager Posté(e) le 11 septembre 2005 oups! je viens de me rendre compte que le commentaire que je t'avais laissé le 1er jour ou tu as posté la suite n'a pas été posté a cause de l'erreur du forum.... tout ça pour dire que je continue avec plaisir a lire ton histoire, j'aime beaucoup le suspens que tu donnes et l'apparition des 2 personnes, qui le recherchaient au debut, presage de nous en apprendre plus sur ce que l'on reproche a notre cher Neryme! fibz qui attend la suite! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Taurnil the Fallen Angel Posté(e) le 11 septembre 2005 Partager Posté(e) le 11 septembre 2005 Bonne histoire, joli style, homris les "notre voelru", "notre ami", que je trouve, comme dire... trop familiers. Même si je ne vois plus le rapport avec les 8 Pattes de l'araigné, c'est bien pensé, bien trouvé, bref, j'aile bien. Juste, une petite inspiration d'Artemis Entreri, surtout visible dans le chapitre 1 ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 11 septembre 2005 Auteur Partager Posté(e) le 11 septembre 2005 (modifié) Une petite suite parce que j'ai pas bien le temps en ce moment Une page word quoi Chapitre X -Je ne parlerai pas ! Répéta-t-il encore une fois. -Tant pis … Abandonna Neryme, sa patience étant à bout. Les deux partis rejoignirent les coins de leur cellule. La journée fut assez calme jusqu’à sa fin où des pas lourds se firent entendre dans les prisons. Neryme entendit nettement la porte de la cellule voisine s’ouvrir. Ensuite, il eut des bruits étouffés et les pas s’éloignèrent. Le voleur, curieux, jeta un œil vers les prisonniers voisins. Il manquait l’un des deux hommes et l’autre était étendu au sol, inconscient. Notre ami s’empressa d’aller regarder par la meurtrière. Pendant ces longues heures, les soldats avaient dressé un échafaud. Du coin de l’œil, il vit de massifs hommes en armures de cuir amener le deuxième assassin. Neryme entendit des rires ainsi qu’un soldat se moquer de lui en pensant qu’il pouvait creuser la prison. C’était à priori leur distraction que de désespérer les prisonniers. Notre ami reporta son attention sur le condamné. Ils le traînèrent sur l’estrade de bois et le firent monter sur une chaise. Une fois la corde passée au coup, ils firent preuve d’une immense cruauté. En effet, les soldats attendirent que l’homme soit réveillé pour retirer la chaise et la remplacer par deux épées sur lesquelles l’homme devait tenir en équilibre. Cet ordre fut donné par un homme que Neryme ne pouvait pas voir : la pierre l’en empêchait. Bien évidemment, l’homme ne tint pas longtemps et il se retrouva rapidement à demi embroché sur les deux lames. L’homme se vidait de son sang, il aurait du en mourir en une dizaine de minutes mais c’était sans compter la corde qui était passée autour de son cou. Le sang et l’air n’arrivèrent rapidement plus au cerveau et l’homme commença à se balancer au rythme du vent. Neryme se détacha du macabre spectacle et décida de réveiller l’homme au sol. Ses tentatives furent vaines et notre voleur décida d’attendre que l’homme se réveille par lui-même. Il fallut une demi heure avant que le tueur reprenne ses esprits en maugréant. -Où est … ? Neryme ne comprit pas très bien le mot mais il déduit que c’était le nom de son infortuné compagnon. -En train de se balancer au bout d’une corde, lança notre ami comme si de rien était. L’homme à la cape verte su que Neryme ne mentait pas. Ils devaient savoir qu’ils allaient finir, tôt ou tard, comme ça. Il poussa un soupir significatif. -Vous voulez toujours pas me dire ? Réessaya le voleur. Vous savez, je doute que vos arrestations soient une coïncidence… Peut-être que vous traîniez trop… L’argument parut faire mouche et l’homme leva des yeux interrogateurs vers Neryme. Il détourna la tête, fit quelques pas et revint vers notre voleur. -Les enfoirés ! Ils payeront ! Je crois que tu as raison… Il vaut mieux que tu saches pourquoi tu vas finir toi aussi au bout d’une corde. Pour résumer l’histoire, un nouvel ordre s’installe. Ta guilde est sur notre liste noire, tous ses membres doivent être exécutés sans aucune exception dans toutes les villes connues. Mine de rien, vous gagniez du terrain et cela ne plaisait pas à tout le monde. Certaines autorités installent leur propre guilde. Un conseil a été crée pour cette décision, les plus véreux dirigeants s’y trouvaient. Il a été décidé qu’une fois cette campagne terminée, le nouveau réseau devrait être démantelé. Mais tout le monde sait que quelqu’un essayera d’en prendre le contrôle exclusif. Moralité, un climat de tension et de peur règne au sein de notre nouvelle guilde. Celle-ci est assez puissante sur ce que nous avons pu voir. Elle dispose de nombreux agents et de nombreux artefacts. Le plus proche d’ici est un ermite qui possède une amulette capable de contrôler les loups. Il était censé attaquer des caravanes mais nous n’avons plus de nouvelles depuis plus d’un mois. En te poursuivant, nous devions le trouver aussi mais nous sommes fait avoir par ces soldats … Voilà tout, tu connais l’histoire. Neryme décida de ne pas lui apprendre que l’ermite avait été tué. La majorité de ses suppositions se révélaient exactes et c’était loin de le rassurer. De plus, l’homme avait rappelé ses souvenirs sur Pierre et sa fille : Dinelgera. Elle lui manquait énormément mais au moins, elle était en sécurité. Malgré cela, il se fit la promesse de revenir la voir. -Qui sont ces hommes ? Qui sont les dirigeants les plus aptes à prendre le contrôle de cette guilde, où peut-on les trouver ? Furent les questions qui vinrent à l’esprit de Neryme. Au moment où l’homme allait répondre, la porte du couloir claqua. L’homme commençait visiblement à avoir peur. Il réussit à parler du clergé de Brankburg avant que la porte de sa cellule ne s’ouvre. -Mais vous n’êtes pas … Il ne put finir sa phrase. Neryme s’était caché dans le coin le plus sombre de sa cellule et il n’entendait désormais plus que des cris d’horreurs étouffés. Après quelques secondes, il n’eut plus rien. Son assassin venait d’être tué. Juste une question, c'était prévu dans le récit originel, ou tu l'a rajouté ensuite? J'écris au fur et à mesure donc j'y ai pensé ! En fait, sur tout mes textes on m'a reproché d'ouvrir des portes mais de ne pas les refermer ! Donc j'essaie de faire gaffe la Bonne histoire, joli style, homris les "notre voelru", "notre ami", que je trouve, comme dire... trop familiers. Ca, ca plait et ca plait pas... Je vais essayer de reduire quand meme ! Même si je ne vois plus le rapport avec les 8 Pattes de l'araigné La réponse au dernier chapitre @+ -= Inxi =- Modifié le 18 septembre 2005 par Inxi-Huinzi Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fourberass Posté(e) le 11 septembre 2005 Partager Posté(e) le 11 septembre 2005 Salut Inxi ! Alors les remarques comme d'hab': Le voleur écouta sa curiosité Gné ? Neryme entendit des rires et il entendit écho décida de se mettre en quête de réveiller l’homme au sol. tu peux virer le "de se mettre en quête"... Voilà, c'est tout... Non je déconne !!! Alors c'est pas mal, on avance doucement mais surement, mais j'avoue que l'action m'a parut un peu confuse vers la fin...C'est peut-être moi ... En tout cas on persévère et on nous pond une suite vite fait bien fait: bonne chance !!! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 16 septembre 2005 Auteur Partager Posté(e) le 16 septembre 2005 Chapitre XI Neryme resta tranquillement sans bouger. Pratiquement invisible dans son coin obscur, il vit nettement le nouveau tueur regarder dans sa cellule. L’homme ne parut pas le voir et disparut dans la prison avant que la garde n’arrive. Neryme sortit alors de sa cachette et regarda le corps sans vie dans la pièce voisine. Par chance, l’homme avait eu le temps de révéler à notre ami des informations plus qu’intéressantes. Maintenant, Neryme devait quitter la prison avant que le chef de cette caserne ne décide de le faire exécuter, vu qu’il était le dernier des trois prisonniers. Malheureusement, il ne vit pas de solution. Neryme se rassura en se disant que le tueur n’était pas à ses trousses mais sûrement à celle des deux hommes à cape verte. L’organisation avait du préférer les tuer avant qu’ils n’aient le temps de raconter tout ce qu’ils savaient. Notre ami décida de rester éveillé pour profiter de derniers moments de sa vie. Alors qu’il était en train de penser à Dinelgera, Neryme entendit des cris ainsi que des hurlements. Des hurlements de loups... Notre ami se précipita à sa meurtrière pour regarder une meute de loups s’attaquer aux quelques soldats formant la garde de nuit. Un rapide mouvement de fourrure grise lui passa devant le faisant, par peur, reculer. Notre ami vit un loup prendre à parti un garde particulièrement audacieux sur la muraille nord. Le loup bondit sur sa proie qui tenta d’esquiver. La bête se retrouva sur son dos et, paniquant, le geôlier se jeta dans le vide. Un court moment après, un trousseau de clés manqua de crever un œil au voleur. En effet, les clés avaient été lancées par l’ouverture alors que Neryme regardait le spectacle. Le voleur regarda un moment ce cadeau du ciel, interdit, puis il les attrapa et fila ouvrir la cellule. Une fois la lourde porte ouverte, notre ami s’engagea immédiatement à gauche vers la sortie mais il se stoppa et recula de deux pas lorsqu’il vit le massif loup sur son trajet. Comme lorsque le chef de la meute l’avait quitté, celui--ci tenait dans sa gueule l’amulette. Le loup la posa sur le sol et recula un peu pour faire comprendre à Neryme de la passer autour de son cou. Une fois que le jeune voleur l’eut fait, le loup lui parla. -Cette amulette confère le don de contrôler les loups mais aussi de comprendre le langage des plus anciens, comme moi. Cet artefact est le plus important à notre race et je le récupérerai à la fin de notre discussion. Neryme ne broncha pas et écouta le loup parler en silence. -Si moi et mes amis sommes venus ici, c’est pour payer notre dette. Tu nous as libéré du joug de l’ermite alors nous te libérons de cette prison. Pour venir jusqu’ici, nous avons du creuser. Le trou pour sortir de l’enceinte intérieur se trouve devant la porte et celui pour sortir de la ville se trouve derrière une auberge. Je ne sais pas lire donc je ne sais pas quel était son nom. Le loup se retourna, reprit l’amulette et s’enfuit au détour d’un virage laissant Neryme seul avec ses questions et notamment la suivante : qui était ce loup ? Le voleur partit alors à la recherche de la salle de garde. Il la trouva juste à côté de la porte principale, d’où l’on pouvait voir un trou profond la décorant. Il n’y avait plus personne dans cette salle. On pouvait apercevoir un tonneau où quelques dés se chevauchaient ainsi que des chaises renversées et des armoires ouvertes sur des panoplies d’armes et armures. Une fois que Neryme eut rassemblé son équipement au grand complet, il laissa les corps aux corbeaux et s’engagea dans le trou pour s’enfoncer dans la nuit ténébreuse. L’autre côté du mur contrastait étonnamment avec ce qu’il venait de voir. D’un côté la mort, le sang et les cris et de l’autre le calme, de douces lumières et un petit vent paisible qui balayait la ville endormie. Neryme décida d’aller au port pour trouver un navire capable de l’emmener loin de là. Il avait quelques heures à peine pour trouver un navire partant à l’aube. Il devait partir avant que les gens, qui l’avaient mis dans ce trou, ne décident de le faire rechercher. Les docks se situaient à l’autre bout de la ville. Neryme prit de petits chemins et s’arrêta auprès de ses anciens contacts. Il apprit que trois bateaux partaient le lendemain matin. Deux capitaines se trouvaient dans des soirées mondaines et le dernier, quant à lui, était dans une taverne toute proche où il surveillait son équipage à la veille du départ. Il opta pour le dernier capitaine et mis une demi douzaine de minutes à rejoindre le lieu précédemment évoqué. On ne pouvait voir qu’une façade de la taverne car celle-ci était incrustée dans un bâtiment beaucoup plus grand qui servait de lieux de rencontre aux négociants et marchands en tout genre. La taverne était construite en pierre, ce qui était loin d’être rare dans la région. Il y avait une porte à gauche et une fenêtre à droite encadrée par deux battants de bois. Neryme entendait déjà des rires sonores à travers la porte. Après un coup d’œil de chaque côté de la rue, il traversa la chaussée et entra dans le bâtiment de La plaine froide. Neryme fut frappé par l’ambiance joyeuse qui animait la taverne. Des hommes barbus regardaient, en riant plus fort les uns que les autres, une danseuse se déhancher sur une table. Deux groupes de marins se racontaient les dernières rumeurs et un groupe d’aventurier racontait quelques histoires, ou légendes, à deux bambins. La taverne était disposée en cercle et décorée de multiples tableaux. Il y avait une énorme tapisserie montrant une scène de combat d’un héros d’autrefois. Neryme trouva facilement le capitaine qui était en train de discuter avec l’aubergiste. Il ressemblait à un homme sévère et sa petite moustache confirmait aussi cette impression. Notre ami attendit que le tavernier aille ranger quelques verres pour engager la conversation. -Excusez-moi … Le capitaine se retourna pour voir qui lui adressait la parole. -Oui ? Répondit celui-ci. -J’ai appris que vous partiez demain matin et j’aurai aimé savoir s’il serait possible que je fasse parti de l’équipage. -Oui, bien entendu. Nous avons un compartiment pour les voyageurs. Il en coûtera une pièce d’or par semaine tout compris. Neryme trouva le tarif acceptable et essaya de se saisir de sa bourse. Il regarda à sa ceinture et remarqua qu’il l’avait oubliée. -Est-ce que cela serait possible que je vous paye plus tard ? Demanda Neryme. Parce que je crains d’avoir oublié ma bourse dans un endroit … inaccessible. -Vous avez jusqu’à demain matin dernier délai … les bons comptes font les bons amis. Le voleur maudit sa négligence et se demanda où il allait pouvoir trouver de quoi se refaire une bourse. Un grand sourire vint illuminer sa face : il était temps d’aller dire bonjour à un de ses vieux amis. @+ -= Inxi =- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
fibz Posté(e) le 16 septembre 2005 Partager Posté(e) le 16 septembre 2005 (modifié) bien bien bien!!! ce n'est pas une surprise que "notre voleur" ce soit tiré de prison mais le retour des loups est assez inattendu!on se demande juste un peu comment ils ont pu savoir qu'il etait dans cette prison! une bonne suite quand meme! j'ai bien envi de voir la visite a son "ami"! une suite! PS: enfin modo Inxi, felicitation fibz Modifié le 17 septembre 2005 par fibz Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fourberass Posté(e) le 17 septembre 2005 Partager Posté(e) le 17 septembre 2005 Salut Inxi !!! Alors comme ça on devient modo...Aucune faute ne pourra plus être pardonné dans tes textes alors ... Bon, cette suite est toujours bien. Deux choses: -Reprendre les loups est une bonne idée car cela permet de faire le lien avec l'épisode où Neryme les rencontre, et lui donne plus d'interêt. Par contre l'évasion est un peu trop rapide à mon goût. En tout cas c'est mon impression. -Deuxième chose, c'est toujours aussi bon ! On suit avec plaisir les aventures de Neryme et quand on connait ses méthodes, on ne peut que se demander comment il va se procurer de l'argent ...(en gros je veux la suite ...) Juste une dernière chose: as-tu pris en compte les derniers commentaires car il ne me semble pas que tu les ais relevé ... Voilà, a++ Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 28 septembre 2005 Auteur Partager Posté(e) le 28 septembre 2005 (modifié) Voila la suite ! Désolé de ce trou ou j'ai rien posté ! Mais je suis pas mal occuper à organiser quelques personnes Chapitre XII La maison, ou plus exactement, le château du Duc n’avait pas franchement changé en ces quelques mois. Les tuiles et les murs semblaient plus écarlates ce qui laissait supposer que ce dernier avait été rénové récemment. Le château se composait d’une première barricade de bois puis après quelques mètres et tours, un mur de quatre mètres de haut. Si Neryme avait si bien réussi leur dernière fuite, c’est parce qu’ils avaient bien préparé par où passer. Notre ami ne pensait pas que le plan qu’ils avaient utilisé soit, encore aujourd’hui, obsolète. Il allait donc passer de nuit entre les tours qui, à cet endroit, avaient été mal construites et qui laissaient entre elles une zone d’ombre dans laquelle notre voleur serait invisible. Ensuite, il aurait le choix entre escalader, prendre l’entrée ou utiliser la porte de derrière qu’utilisaient les esclaves et les cuisiniers. Et pour terminer, il devrait trouver quelqu’un capable de le renseigner sur le nouvel emplacement de la salle des coffres car Neryme se doutait que des changements avaient dû avoir lieu depuis son dernier passage. Neryme choisit de passer par les cuisines. La première raison fut qu’il savait où aller. La deuxième fut que l’entrée était trop dangereuse pour qu’il tente cet accès. Et pour terminer, il passerait par là pour se garder les murailles pour sa fuite : Il avait récupéré sa corde. Ensuite, Neryme irait voir sa conquête qu’il avait abandonné ici après leur fuite. Neryme espérait qu’elle aurait pardonné pendant tout ce temps mais il ne se faisait que très peu d’illusions … Le voleur alla donc en direction des fameuses tours qu’il devait franchir à l’aller et au retour et bien avant que le soleil ne pointe le bout de son nez. En s’approchant du lieu dit, il vit que la seule modification était la présence de barbelés sur le haut de la rambarde. Neryme sourit et escalada la paroi. Arrivée en haut, il se pendit aux planches et de l’autre main, sortit une pince qui allait lui permettre de couper les barbelés. Il se hissa par-dessus la rambarde, et juste après que la ronde fut passée, il courut en direction des murailles contre lesquelles il se plaqua. Une fois que son cœur se fut calmé, il essaya de percer la nuit de ses yeux pour voir s’il y avait le moindre indice sur le fait qu’on l’aurait repéré. A priori, tout allait bien, il pouvait rejoindre la porte de la cuisine. Neryme se cacha derrière un petit monticule de pierres qui semblait avoir été laissé ici après les travaux. Il se situait à deux pas de la porte. Normalement, notre ami n’aurait pas à attendre longtemps avant que le ravitaillement nocturne n’arrive. A peine se souvint il de ce détail que les premiers serviteurs passèrent en courant devant Neryme avant de s’enfoncer dans la nuit. Ils revinrent au pas de course les bras chargés de provisions. Le voleur, en embuscade, attendit que la majorité du groupe passe avant d’assommer le plus lent. Il enfila ses habits, ce qui n’était pas forcement agréable avec ceux qu’il portait avant et qu’il refusait d’enlever, prit les paquets et se mit à courir comme les autres esclaves. Un coup de fouet dans les jambes l’accueillit dans la pièce avec un chapelet de jurons : -Espèce de saloperie ! Le Duc ne va pas attendre toute la nuit ! Grouilles-toi donc ! Si jamais notre Duc se plaint, je te ferai pendre haut et court, espèce de vermine. Neryme se retint de lui couper la langue et se contenta de baisser la tête et de marmonner. Il suivit les employés sur une courte distance avant de se débarrasser des habits et des colis dans une des réserves. Après un petit regard dans le couloir encombré de tonneaux et d’ustensiles de cuisine, il se dirigea prestement vers le hall d’entrée. Neryme croisa différents serviteurs mais aucun d’eux ne s’alarma sur sa présence. Il arriva ensuite dans le hall d’entrée, lieu normalement restreint à la famille du Duc. Les serviteurs n’avaient pas le droit d’y être comme lui rappela un garde qui avait un peu trop forcé sur une outre de vin. Neryme le frappa durement au visage puis disposa le corps de façon à ce qu’on le croie ivre. Le voleur rentra donc dans la nouvelle pièce richement décorée de lustres en cristal et de soie fines et se dirigea vers les quartiers privés du château. La fille du Duc était la femme qu’il allait essayer de retrouver. Neryme se demanda d’ailleurs si ce dernier avait appris leur liaison. Ca pourrait expliquer cette rage qu’avait le bourgeois envers lui. Neryme suivit le tapis rouge jusqu’à ce que le couloir fasse un coude. A gauche, il y avait un nouvel escalier qui menait au salon et salle à manger et de l’autre côté, une volée de porte plus finement décorée les unes que les autres. Celle de son ex-conquête était la porte qui était gravée d’une rose entrelacée de deux soleils. La fille du Duc lui avait révélé comment ouvrir la porte sans la clé. Neryme ouvrit donc les pétales de la rose. La porte se déverrouilla et notre ami la poussa et entra dans la chambre aux milles splendeurs. Un lit multicolore se présentait immédiatement. Il était encadré de deux tapisseries : l’une représentait un dragon rouge volant dans un ciel mauve et l’autre représentait un repas mélangeant humains et créatures célestes. A gauche des tapisseries, il y avait une commode en bois de chêne et une table surmontée d’un large miroir. A droite, il y avait une autre porte d’où s’élevait une douce musique. Neryme suivit les notes qui voletaient dans l’air. Son ex-conquête était en train de jouer d’un instrument à cordes que Neryme n’arriva pas à reconnaître. Le voleur profita un instant de ce plaisir auditif puis lui toucha l’épaule. Elle sursauta avec un petit cri. Elle le regarda ensuite avec de grands yeux, lui envoya une grande claque, l’embrassa et dit : « Comment oses tu ? » @+ -= Inxi =- Modifié le 6 novembre 2005 par Inxi-Huinzi Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fourberass Posté(e) le 29 septembre 2005 Partager Posté(e) le 29 septembre 2005 (modifié) Salut !!! Pas mal cette suite, tout s'enchaîne vite (qu'est ce qu'il est fort ce Neryme !!!) et les préludes de chaudes retrouvailles nous laisse tout frétillants d'impatience !!! Quelques petites remarques sur la forme: il passerait par là pour se garder les murailles pour sa fuite la répétition de "pour" rend la phrase un peu lourde... Neryme croisa différents serviteurs mais aucun d’eux ne s’alarma sur sa présence Il ne vaudrait pas mieux dire "de" sa présence? la porte qui était gravée d’une rose entrelacée de deux soleils. J'aurais plutôt vu le contraire. Je vois mal des soleils s'entrelacer autour d'une rose... Sinon c'est du tout bon. On attends la suite du coup ... A++ Modifié le 29 septembre 2005 par Fourberass Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gemini Dragon Posté(e) le 30 septembre 2005 Partager Posté(e) le 30 septembre 2005 Salut !!! je suis tombé par hasard sur ce texte (qui ne me semble pas une perte de temps...) je n'ai lu que les deux premiers chapitres (pour l'instant...) je passe rapidemement sur l'intro: sympathique, un point de vue assez peu courant, lance le texte... Chapitre I: ça a le mérite d'expliquer une chose: "vous foutez pas de la gueule à Neryme, c'est une mauvaise idée..." Neryme essuya sa lame sur la serviette déjà ensanglantée et quitta la maison. le seul reproche qu'on pourrait faire à cette phrase, c'est son ton... définitif...on la ferait suivre du mot FIN, personne ne serait surpris... -Oui, c’est sûr ! Quand je pense que l’autre jour, je … Il s’arrêta en voyant l’expression de Neryme. Que me veux-tu en fait ? Je suppose que cette visite n’est pas qu’une visite de courtoisie !-Et tu supposes bien ! J’ai besoin de savoir tout ce qu’il s’est passé pendant mon absence ! Et je ne veux pas un seul oubli, pas le moindre commerçant qui s’est installé ! Tu termineras bien évidemment par une description exacte de la bâtisse où ce magicien miteux qui nous a envoyé à la mort, vit. Les deux anciens amis prirent donc la direction de la taverne la plus proche pour discuter autour d’une chopine. un rapide résumé de la conversation aurait été agréable, ne serait-ce que pour pouvoir apprécier les décisions qui en découlent; à défaut d'un résumé, une allusion est bien aussi, du style "ce qu'il venait d'apprendre le décida à faire ceci" ou autre chose... en l'état, le passage avec "l'ancien associé" me fait une mauvaise impression: au mieux, il sert à indiquer où vit le sorcier, mais du coup on se demande comment ils l'ont connu...ce passage est ...frustrant... on n'a aucune idée de quoi ils ont parlé, ou si ça a eu des conséquences... chapitre II on en apprend un peu plus sur le passé et la psychologie de Neryme (qui en deviendrait attachant du coup...) la fin du chapitre est mieux que la première, elle annonce qu'il va arriver quelque chose... Neryme et ses amis avaient voulu vérifier s’il ne s’agissaient pas d’Enriq, l’homme qu’il devait retrouver.c'est le frère du patron, ou un autre qu'il cherche maintenant ???Cela faisait des années que personne n’avait pas troublé sa quiétude.sûr pour le "pas" avec "personne" ???se demander qui pouvait être ces fous qui s’étaient aventurés dans sa caverne."pouvaient", non ???Quelques rares pierres tombaient lors de son rapide passage un passé simple ne serait-il pas plus indiqué ???Cette quantité infinie de pièces formaient des colonnessûr pour le nombre du verbe ???Une fois que la monstrueuse araignée ait dévorée ses deux amis je le trouve suspect, le subjonctif...elle lui avait compliquée la tâche. compliqué...Maintenant, notre voleur devait revenir chez lui, à l’autre bout du continent. Cela lui prendrait autant de temps pour revenir, il désespéra devant les kilomètres qu’il allait devoir avaler.est-ce fait exprès ???Neryme vérifia que ses pièges n’avaient pas bougés bougé...Notre ami détacha donc un trousseau de clé une seule clé ???Il glissa d’ombre en ombre jusqu’à se trouver qu’à quelques mètres "ne se trouver qu'à" ou "se trouver à quelques mètres seulement" passerait mieux, je trouve... une description exacte de la bâtisse où ce magicien miteux qui nous a envoyé à la mort, vitil faudrait ajouter une "," avant "qui" ou retirer celle avant "vit"... Il troqua sa vieille chemise et son pantalon usée accord...Neryme et ses amis avaient voulu vérifier s’il ne s’agissaient pas d’Enriqpluriel ??? il entendait déjà les bruits émergeants de la vieille bâtissesûr pour l'accord ???les ombres qui le suivaient, n’étaient bien que celle qu’elles laissaient supposer être"ce", ou sinon: "celles"...Il s’assit à la table de notre ami sans aucunes émotions visibles au singulier...qu’est ce que je peux bien faire"qu’est-ce", non ??? cela remontait à une paire d’année pas de pluriel ???Mais Dieu seul savant pourquoi, elle arrêta sous de faux prétextes.soit l'histoire ne se passe pas dans le bon monde, soit Il n'a rien à faire là... ne serait-ce pas "savait" ???Incapable de faire quoique se soit"quoi que", non ???L’homme parut soulagersoulagé... ou alors il manque un "se", mais en public, c'est douteux... Il vit rapidement que ces lieux que le tavernier regardait, correspondait à des lieux la répétition des "lieux" est-elle voulue ??? accord...Neryme jeta une regard noir à l’aubergiste "un regard", non ??? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 7 octobre 2005 Auteur Partager Posté(e) le 7 octobre 2005 (modifié) Je serai toujours étonné par le nombre de fautes que tu arrives à trouver ... Vraiment imprésionnant ! Merci pour ton travail ! Et merci à vous tous de me lire Sinon, voici la suite : Chapitre XIII Neryme ne savait pas sur quel pied danser. Elle lui appliquait deux comportements opposés. Lequel reflétait réellement la personne qui lui faisait face ? Le voleur déduit qu’elle était partagée entre la joie de le revoir et la colère de ce qu’il lui avait fait. Neryme allait voir si ses anciennes attirances étaient aussi puissantes qu’elles en avaient l’air. -Mais m’amour ! J’ai eu plein de problèmes ! Notamment à cause de ton père ! Et si je suis là, c’est bien pour toi ! -Menteur ! S’exclama-t-elle ! Je ferais bien d’appeler la garde sur le champ ! -Mais tu ne le feras pas ! Dit Neryme d’un ton enjôleur et en faisant grimper ses doigts le long du corset de sa conquête. Parce qu’au fond de toi, tu m’aimes bien ! Elle sourit pendant une seconde avant de cacher son sourire derrière une grimace et de chasser des doigts vagabonds. Neryme n’aimait pas ce jeu dans lequel il n’était pas à son aise. Il était attiré par cette femme mais il n’en attendait pas plus. Il continua quand même son jeu de séduction en se collant derrière elle. -Allons, allons, ne le nie pas ! Ca se voit encore ! -Tu te trompes, rougit-elle. Elle s’écarta à nouveau de lui pour chercher du regard un objet inexistant par la fenêtre. Il se recolla à elle en lui étreignant ce coup-ci la taille. Elle ne se débattit plus. -Tu m’as déçue … Tu m’as fait du mal en m’abandonnant ainsi … -Mais je suis revenu, lui glissa Neryme à l’oreille, tout va redevenir comme avant ! -Non, c’est impossible, dit-elle, il y a quelqu’un dans ma vie ! -Depuis longtemps ? Demanda-t-il. -Une semaine … -Tu pourrais l’oublier, dit-il avec un tendre baiser dans le cou. Elle lui passa la main dans les cheveux, pivota pour lui faire face, soupira, baissa les yeux et le repoussa pour se dégager doucement … -Je ne suis pas naïve, que veux-tu de moi ? -Comment peux-tu … Commença à feindre Neryme. -Ne t’enfonce pas Neryme… S’il te plait … Elle l’appelait rarement par son prénom. Uniquement quand la situation était grave. Il laissa donc tomber le masque de l’ignorance. -J’ai besoin de la fortune de ton père ! -Je l’aurai parié … Dit-elle en relevant les sourcils. -Mais ce n’est pas ce que tu crois ! J’ai laissé ma fortune à la prison et je souhaitais … Se rendant compte qu’il venait de faire une gaffe, il anticipa la question : -J’ai été arrêté pour … Neryme ne pouvait pas dire que c’était pour une autre femme … avoir été trop généreux envers un village ! -Voyez-vous ça … Dit ironiquement l’aristocrate. -Un des hommes, alors que je les avais sauvés des loups, a cru que je voulais être chef du village ! Il m’a dénoncé à ton père ! La demoiselle, convaincue ou pas, sembla accepter la réponse. -Tu as donc sauvé ce village ! Il y a beaucoup de rumeurs qui circule à ton sujet, tu le savais ? -Euh non, avoua-t-il, et que disent-t-elles ? -Tu aimerais que ton ego soit flatté hein ? Dit-elle avec un sourire, et bien sache qu’on ne tarit pas d’éloge, c’est sûr … Mais tu n’en sauras pas plus ! -Et pour mon problème ? Tenta Neryme. Elle soupira et dit : -Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que je vais le regretter ! @+ -= Inxi =- Modifié le 6 novembre 2005 par Inxi-Huinzi Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gemini Dragon Posté(e) le 8 octobre 2005 Partager Posté(e) le 8 octobre 2005 Et merci à vous tous de me lire ah...non !!!merci à toi de nous faire partager les aventures de Neryme ... Mais seules les puissances divines savant pourquoi"sachant" ou "savait" (navré, j'avais pas vu la première fois...)Chapitre III Il n’aurait jamais du y repenser.j'suis bien d'accord...elle le fait tourner en bourrique ... (qui a dit "comme toute les autres" ???) c'en est même suspect... Notre ami comprit tout lorsque l’un des deux hommes ne put s’empêcher de jeter un rapide coup d’œil en arrière. Neryme allait droit dans un traquenard. Il n’en fallu pas plus pour que sa raison le dissuade de continuer. Notre ami abandonna la chasse pour se réfugier chez lui puis quitter la ville au plus vite.le chassé qui devient chasseur... chassé... j'ai mal à la tête... Il y avait quelque chose de malsain et notre voleur n’aimait vraiment pas ça.sans blague...il vient à peine d'arriver et on retourne toute la ville pour avoir sa peau... (ouais, cool !!! comment ça, je suis cruel ???) « Voilà comment se règle notre problème… »L’agresseur avait esquivé le premier piège mais en reculant, il marcha sur l’autre dague. Son épée lui tomba des mains et il lâcha un chapelet de jurons. Il ouvrit de grands yeux et hurla quand ses artères explosèrent. Il chuta dans le vide et le silence revint quand sa tête toucha le sol. problème réglé...je sais pas pour vous, mais c'est le genre de passage qui m'amuse... Chapitre IV Ses cimeterres dans son armoire, sa ceinture de couteaux sous son lit, des fioles de poisons et d’antidotes dans son oreiller. Avant de partir, il prit également une bourse pleine d’or et des rations de nourritures.intéressantes, ses priorités... j'aurais été lui, j'aurais fait ça dans l'autre sens (j'ai pas la vocation...)Neryme alla plus loin en imaginant que ces deux hommes étaient ceux de l’auberge.à moins que j'aie sauté un passage, ce n''est ni infirmé, ni confirmé, dommage...Alors que le jeune homme s’interrogeait sur les raisons de cet arrêt spontané juste au-dessus de lui, deux lames vinrent transpercer le plancher à quelques pouces de son visage.he he he...ben voilà, il sait maintenant... Pendant ces peu de mois où ils s’étaient fréquentés, Neryme avait pu se vanter d’avoir un ami.d'abord sa douce amie, maintenant ça... il deviendrait pas sentimental, des fois ???Neryme ne s’était pas battu « honnêtement » depuis longtemps. Il avait envie de se dérouiller un peu. Il aurait pu le tuer d’un jet de fléchettes empoisonnées mais il commençait à en avoir marre de regarder tomber ses victimes sans le moindre effort.d'un coup, je me pose la question: il pense à prendre sa retraite ou quoi ??? nostalgie, envie d'un un combat honnête, c'est mauvais tout ça dans sa branche...Alors que notre tueur allait terminer son adversaire par deux coups au niveau de la tête , son ennemi lui décocha un coup de pied au genou qui terrassa Neryme et l’envoya au sol.et voilà...c'est que je commence à m'y attacher au Neryme... Il n’aurait jamais du y repenser."dû", non ???Il eut envie de mourir et tout ca soit disant pour son bien ?ça... soi-disant... je trouve qu'un plus-que-parfait passerait mieux (avis personnel...)Lui, Neryme allait mieux jusqu’à ce qu’elle mette tout ces efforts en l’air.pas de "," après "Neryme" ???jamais notre ami ne voulait être aspiré par ces spirales de l’amour.jamais plus... "notre ami ne serait" me semble préférable (encore un avis personnel, et oui...)Il n’avait réfléchit qu’une seconde. réféchi...ce court laps de temps avait déjà causer la mort de plusieurs hommes.causé...Neryme, toujours feintant de ne rien voir, continua de grimper à travers l’édifice. "feindre" passerait mieux que "feinter", je trouve...il déduit aussi ce qui était arrivé à ses coéquipiers.déduisit...personne ne devait leur mettre des bâtons dans les roues.dans une tournure négative, "de" passe mieux...Neryme étant un ancien voleur influantinfluent...notre héros soit disant parti par la fenêtresoi-disant...Neryme s’arma d’un couteau pas plus grand que son petit doigt dans le creux de sa manchele coutau dont il s'arme est dans sa manche, c'est ça ??? la tournure donne l'impresssion bizarre qu'il s'arme dans sa manche... peut-être un "...qu'il portait dissimulé dans un creux..." serait préférable, à moins que tu ne trouves cela trop lourd...Se fut sa dernière erreur Ce...Pendant ce temps, Neryme suivait à la trace ses deux meurtriers pour une petite leçonpeut-être un peu tôt, il ne l'ont pas encore eu, hein... (cela dit, c'est un détail...)il était de nouveau confiant et sur de lui même.sûr...Ces derniers, habillés de larges manteaux verts foncés, avançaient d’un pas assuré.Les adjectifs de couleur composée sont invariables... donc soit "...vert foncé...", soit "...verts et foncés..." ...pourquoi n’avaient ils pas peur ?"n'avaient-ils", non ???Le voleur approcha d’une porte surveillé par deux hommes.accord avec ..."le voleur" ???D’immenses cages munies de barreaux contenant une multitude d’esclaves.une "," après "barreaux" serait appréciable...des personnes nécessitants de la main d’œuvre.nécessitant...Neryme avait déjà consacré plusieurs heures à mémoriser les plans des lieux. La carte datait un peu"plans", au pluriel c'est pas vraiment adapté, je trouve; surtout que c'est suivi de "la carte", au singulier...l’échelle qui devait le mener à un pâté de maison de chez lui.maisons...il vit que de la mousse avait été arraché accord...Il vit la ruelle avant qu’une botte apparaisse juste devant son visage."n'apparaisse",peut-être ??? (ça collerait avec les autre "avant que" que j'ai relevés...)notre ami glissait de maisons en maisonsj'aurais mis "maison", au singulier (après tout, il n'est que sur une maison à la fois)...Plus Neryme avançait, plus ses soupçons se confirmèrent.sûr pour le temps ???ses marqueurs indiquaient qu’un groupe de personnes étaient passés accord...Malgré les risques qu’il encouraient accord...comme le prouvait ses rapides regards à chaque bruit suspectaccord...une partie de celui-ci que l’agresseur de pouvait pas voir???C’était moins susceptible que certaines méthodes mais cela avait le mérite d’être efficace.je n'ai pas compris... pourrais-tu expliquer la phrase ???notre voleur lança de grands cris feintés.feints... d'ailleurs, comment fait-on semblant de crier ???Aidez moi "aidez-moi", non ???il prit également une bourse pleine d’or et des rations de nourritures.pourquoi un pluriel ???Il sortit ensuite la corde magique comme il l’appelait dans le métier.il serait intéressant de souligner l'appellation par l'usage de signes tels que les " ", par exemple: "Il sortit ensuite la 'corde magique' comme il l’appelait dans le métier"au fait, si c'est "dans le métier", il ne doit pas être le seul, donc "ils", ou "on" Mais à cet instant, notre ami l’attacha à une petite cheminée et la laissa tomber dans la rue. Il descendit avec agilité le long de celle-ci et la rangea avant que quelqu’un ne le surprenne.j'aime pas cette phrase... on ne sait pas trop si il descend le long de la rue, de la cheminée, ou de la corde, ce qui, quand on arrive à "rangea" est franchement...bizarre...le vent semblait lui même éviter cette rue.lui-même... placé là, "lui-même" donne l'impression qu'il le fait "en personne", au lieu de laisser quelqu'un d'autre le faire... le placer juste après "vent" serait plus judicieux, je trouve... ou mieux, "même" tout seul: "même le vent...", ou "le vent même..." il lui sembla voir une cape verte marron "verte et marron", sinon les adjectifs de couleur composée sont invariables...Au milieu de cet havre de verdurej'hésite... "ce havre", non ???le voleur déduit qu’il y avait deux hommes à sa poursuite.déduisit...on n’entendait plus qu’à présent le bruit de l’eau qui coulait doucement.comme c'est écrit, ça dit qu'on n'entendait pas l'eau auparavant, sans préciser si on entend autre chose; or, si j'ai compris la phrase, ce que tu voulais exprimer, c'est que d'un coup l'eau est le seul bruit qu'on entend; dans ce cas, c'est: "on n’entendait plus à présent que le bruit de l’eau qui coulait doucement."...(si j'ai mal compris, mettons que je n'ai rien dit sur ce coup-là...) Notre guerrier en avait jusqu’au genoux accord...s’il ne mourrait pas, les hommes douteraient peut-être d’avoir eu une bonne intuition mourait...les coups ne continuèrent pas et notre ami profita pour ranger ses deux armes.manque un complément pour "profita": "en profita", ou "profita de ce répit", ou ce tu peux trouver...Neryme avait eu une sorte de maître d’armed'armes...Combien de fois ce maître d’arme l’avait frappé d'armes...Pendant ces peu de mois où ils s’étaient fréquentés"quelques" passerait mieux, je trouve...Mais toutes les bonnes choses ont une fin et son maître d’arme fut tuéd'armes... il avait toujours su que son emporté de maître d’arme finirait comme ça…d'armes...l'expression se répète quatre fois en un seul (court) paragraphe... L’homme para les deux lames et lança une maladroite contre attaque.contre-attaque...Notre ami contra la lame d’une de ces cimeterres tandis que l’autre se dirigeait vers l’un de ses flancs vulnérablesun... ses... si tu mets "l'un de ses flancs", le sujet de la phrase étant "notre" voleur, ça donne une image assez ...trouble... il serait bon de préciser: "...de son adversaire" ...de plus en plus d’espace dans sa gardeun peu plus haut, "de grands espaces dans sa garde" au pluriel...Il envoya une cimeterre de toute sa force en direction du lâche.un...La lame se planta dans le dos, coupant net la colonne vertébrale.j'ai comme un doute... "nette" ???de peur que d’autre ennemi n’arrive.au pluriel, non ???Il réussit à atteindre les portes sans aucun problème les portes de la ville ??? si c'est le cas, il serait agréable de préciser parce que, jusqu'à présent, il était dans le parc...Neryme se décida alors de sortir par les remparts"décider de" ou "se decider à"...vivement que je m'attaque à la suite... c'est prenant... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 18 octobre 2005 Auteur Partager Posté(e) le 18 octobre 2005 (modifié) Hop la, et encore merci a Gemini pour son travail ! Chapitre XIV Le mystérieux couple traversait les couloirs aussi discrètement que le permettaient les chaussures de la fille du Duc. Fort heureusement, cela n’attira pas l’attention des gardes qui connaissaient ce bruit caractéristique. La demoiselle s’arrêta juste avant une intersection. -Après ce couloir, il y a le bureau de mon père. La pièce est surveillée par deux gardes, je pourrai te faire rentrer mais pas te faire sortir… Le coffre se situe sous la chaise, il n’y a pas de verrou : mon père pense que sa localisation est son meilleur atout. Prends le minimum ! Maintenant adieu ! Dit-elle en faisant mine de passer le couloir. -Attends ! Dit Neryme. Même s’il n’en avait pas envie, il lui devait une faveur. Ne sachant quoi dire, il la remercia et l’embrassa avec tendresse sur la joue. Elle rougit et se remit en marche. -Vous, suivez-moi ! Entendit le voleur. Une fois que les bruits de pas se furent éloignés, Neryme se lança dans le couloir et entra discrètement dans le bureau. Il ne perdit pas de temps à la contemplation mais il vit rapidement que celui était sobre, sombre et fait tout de bois. Le voleur retira la chaise et se pencha vers la supposée trappe. A force de tâtonnements, le voleur localisa l’emplacement secret mais quelle fut sa surprise de voir une combinaison ! A priori, la fille n’était pas au courant de tous les agissements de son père … Cela faisait longtemps que Neryme n’avait pas eu à crocheter de coffre. Au bout de quelques essais, le voleur retrouva ses réflexes et après deux autres tentatives, il vint à bout du mécanisme. Neryme ouvrit la porte et se chargea de toutes les bourses qu’il put. Une fois chose faite, il chercha par où sortir et vit la cheminée. Celle-ci était faite dans une pierre blanche qui ressemblait à une sorte de marbre. Il se pencha par l’ouverture et trouva que le trou était assez grand pour qu’il puisse s’y glisser. Il commença l’escalade en appuyant son dos contre une des parois et en plaquant ses pieds de façon à monter par étapes. Sur les derniers mètres, il dut se servir de ses dagues en les plantant car le boyau s’était rétréci. Alors qu’il pensait être dehors, il resta coincé à sa grande surprise : En effet, les bourses, formant un relief sous sa combinaison, l’empêchaient de passer. Neryme avait tout sauf envie de se débarrasser de sa fortune… Après un soupir, il dut se résigner à en laisser tomber une grande partie pour pouvoir rejoindre le toit de la maison. Ce que Neryme n’avait pas vu pendant son ascension, c’est qu’il avait été repéré et qu’un gros feu avait été allumé dans la cheminée pour tenter de l’étouffer. Neryme, trop occupé à monter, ne l’avait remarqué que lorsqu’il sortit à l’air libre car des petites volutes de fumée montèrent à sa suite. Le voleur fut à peine en équilibre sur les tuiles qu’il vit une flèche passer juste à côté de lui. Des cris d’alarmes retentirent dans tout le château. Des hommes munis de torches se postèrent sur les remparts et d’autres commencèrent à monter sur les toits. Une nouvelle volée de projectiles passa juste à côté de Neryme qui se jeta dans la pente. Il dégringola du toit en glissant sur les tuiles. Il se raccrocha au rebord du toit et dut se laisser tomber dans le foin à une dizaine de mètres plus bas. A travers la paille, Neryme put voir des gardes qui prenaient position. Le voleur, toujours coincé sous cette dernière, ne pouvait sortir de sa cachette sous risque de se faire embrocher. Neryme vit ensuite le Duc lui-même qui regardait la paille en pensant y voir notre ami. Il secoua la tête, regarda un de ses hommes et hocha de nouveau la tête. L’homme s’approcha torche au poing et la jeta dans la paille. Neryme ne put s’empêcher d’ouvrir des yeux ronds et de lâcher un : -Oh merde ! Neryme, asphyxiant sous son foin, se déplaça vers le côté opposé. Il se plaqua contre le mur et se passa la main sur le visage pour enlever les brindilles ainsi que les gouttes de sueur qui s’étaient formées à cause de la chaleur. Neryme tâtonna le mur à la recherche de quelque chose qui pourraient le sortir de cette fournaise. Il trouva rapidement une trappe de métal qu’il défonça. Il s’engagea alors dans la brèche alors que les flammes arrivaient jusqu’à lui. Après avoir repris son souffle et remis de l’ordre sur lui, Neryme vit qu’il se trouvait dans l’écurie. Sans hésiter, le voleur se jeta sur un étalon. Il lui fit faire quelques pas en direction de la porte de sortie. Une fois devant, il tira un coup sec qui força le cheval à se cabrer en donnant de grands coups de sabots. Il retomba violement sur la porte ce qui eut pour effet de la faire exploser. Il talonna la bête et ils traversèrent la cour au grand galop. Neryme réussit à entendre le Duc hurler : -Rattrapez le ! Ne le laissez pas s’enfuir. Notre voleur tenta d’utiliser la porte principale. Les gardes la refermèrent juste avant qu’il n’y arrive et Neryme manqua même de s’empaler sur les lances qu’on tendait vers lui. Il fit demi-tour et d’un coup de hanche, il refit partir au galop sa monture. Cette dernière renversa deux gardes avant de hennir de joie puis de repartir à travers la forteresse. Neryme, en passant devant les écuries, vit émerger trois cavaliers. Il encouragea sa monture de plus belle avant qu’une course poursuite ne s’engage à travers l’énorme bâtisse de pierres. @+ -= Inxi =- Modifié le 6 novembre 2005 par Inxi-Huinzi Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Kroxigor Posté(e) le 18 octobre 2005 Partager Posté(e) le 18 octobre 2005 Toujours aussi bien. Cette histoire est depuis le début une formidable aventure. Juste un truc qui me chiffonne, le titre, je comprends pas bien sa signification. Soit je suis un niais soit c'est trop facile et je le voiepas. Peux tu m'éclairer? Kroxigor Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 18 octobre 2005 Auteur Partager Posté(e) le 18 octobre 2005 Soit je suis un niais soit c'est trop facile Non et non Vous aurez la réponse dans le dernier chapitre, et meme la dernière phrase ( j'ai tout prevu !! ) J'aime bien expliquer mes titres sur la fin Pour le moment, ca ne sera que des hypotheses ! Mais c'est facile à voir @+ -= Inxi =- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fourberass Posté(e) le 18 octobre 2005 Partager Posté(e) le 18 octobre 2005 Salut !!! Dommage, c'est trés court. Mais fort heureusement, le peu que tu nous livre est toujours bon !!! L'action est toujours bien mené, et on attends avec impatience la suite des évènements. Tu sais donc ce qu'il te reste à faire ... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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