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Les huit pattes du Destin


Inxi-Huinzi

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Voila la toute dernière partie !

Chapitre XVIII

Le capitaine Van Hoff, célèbre commandant de la compagnie de mercenaires des Aigles Sanglants, assurait la protection du carrosse. Lui et ses trente hommes assuraient une garde sans faille aux quatre seigneurs des cités voisines qui se rendaient le plus discrètement à l’auberge du Fanfaron. Le carrosse suivait tranquillement le chemin, vibrant à chaque fois qu’il roulait sur un gros caillou. Le capitaine espérait que les essieux supporteraient les caprices de la route. Il n’avait pas envie de faire le mécanicien.

Il donna un petit coup de talon à son cheval pour remonter la colonne de soldats. Il la dépassa puis alla voir deux cavaliers qui se situaient à une cinquantaine de mètres devant.

-Alors ? Demanda Van Hoff.

-Rien, capitaine, tout est tranquille.

Le commandant hocha la tête puis fit ralentir sa monture pour se remettre à la hauteur du carrosse. A priori, ils livreraient le colis sans un problème…

-Capitaine, il faut qu’on s’arrête !

-Que se passe-t-il encore ?

-Toujours la même chose ! C’est ce pouilleux de conducteur du carrosse… Il n’arrête pas de vomir !

-Dis-lui de régler ce problème rapidement !

Le capitaine fit arrêter la colonne ce qui permit au paysan d’aller soulager son estomac dans la forêt. Notre commandant ne comprenait pas pourquoi il l’avait engagé… D’après le paysan, la bière qu’il avait bu avant de partir serait mal passée. Les seigneurs avaient insisté pour que ce soit un homme de leur choix qui conduise. Van Hoff ne savait même pas à quoi il ressemblait, à chaque fois qu’il avait voulu le regarder, celui tournait de l’œil et vomissait. Mais bon… les seigneurs l’avaient vu et il était de confiance alors…

Le paysan moustachu courut derrière les arbres et Van Hoff entendit trop nettement le bruit de nourriture régurgitée s’étalée sur le sol. Le capitaine releva un sourcil puis attendit que l’homme ressorte… Ce qu’il tardait à faire.

-Alors ! Hurla le capitaine. Que fais-tu ?

Silence. Le capitaine dégaina son épée et alors qu’il allait ordonner à sa monture d’avancer, le paysan émergea de la forêt. Il semblait avoir retrouvé des couleurs et marchait avec plus d’assurance.

-J’espère que ça ira ce coup-ci… Dit Van Hoff.

Le paysan hocha la tête et remonta à sa place. Van Hoff se demanda quel métier faisait ce moins que rien : Il était assez musclé en fin de compte…

Le carrosse se remit en branle et ils purent arriver, une heure plus tard et sans arrêts, à l’auberge. Le capitaine ordonna à ses soldats de vérifier la place. Une demi-douzaine se mit en position autour de la bâtisse. Une autre partie rentra dans l’auberge tandis que le reste vérifiait les alentours ainsi que la sorte d’écurie qui bordait la maison. Dans cette dernière, Van Hoff put voir qu’il y avait un énorme tas de foin mesurant quatre mètres de haut et une dizaine de mètres de large. Le capitaine mercenaire sourit en pensant qu’il pourrait dissimuler toute sa compagnie sous ce foin… Au dessus de ce premier étage, il y avait des petites planches en bois qui supportaient tant bien que mal d’autres meules de foin. Par précaution, les hommes vérifièrent chaque parcelle de terrain.

Quand ses hommes eurent tout vérifié, Van Hoff fit signe au conducteur de venir. L’homme hocha la tête et fit claquer ses fouets. Le carrosse se remit doucement en route, puis il accéléra. Il prit beaucoup de vitesse, trop ! Nota le capitaine.

-Arrêtez-le ! Hurla ce dernier à l’adresse de ses hommes.

Le capitaine vit ses hommes essayer de s’interposer mais le conducteur ne semblait pas vouloir ralentir. Les mercenaires sautèrent hors de portée avant de se faire écraser par le cortège. Van Hoff vit le chariot passer à toute vitesse devant lui. Il vit également la tête de deux seigneurs sortir de la fenêtre pour voir ce qui se passait. Le conducteur du carrosse sauta de sa place et chevaucha l’un des deux chevaux qui menait le carrosse. Il dégaina une épée, alors qu’il n’était pas sensé être armé, et détruit ce qui retenait les bêtes.

-Attrapez cette pourriture ! Dit Van Hoff en se mettant lui aussi à la poursuite de l’imposteur.

L’homme libéra un cheval et attendit que le chariot passe à la vitesse de l’éclair devant lui avant se mettre à sa poursuite. Van Hoff était à deux cent mètres environ du tueur. Il vit avec effroi le carrosse de ses protégés s’écraser dans le foin de l’écurie. L’assassin coupa une corde sur le côté de l’édifice et le capitaine de mercenaires put voir avec horreur des meules de foin suintantes recouvrirent la partie du carrosse qui dépassait encore de la paille.

Le tueur tourna la tête vers le capitaine Van Hoff qui arrivait au triple galop. Il ne restait que cinquante mètres. Le capitaine savait qu’il pourrait y arriver. Il encouragea sa monture de plus belle. En attendant, l’homme avait sorti une torche et la lança sans hésitation dans le foin. La torche se posa doucement dans la paille et sembla attendre que Van Hoff se rapproche. Subitement, le brasier prit un bon mètre de diamètre. La seconde suivante, ce fut toute une partie du foin qui s’embrasa. Et seulement dix secondes après. C’était toute l’écurie qui prit feu, alimenté par la paille, l’huile et le vent qui soufflait en rafale.

Le tueur disparut derrière l’auberge avec sa monture tandis que l’on pouvait entendre nettement des cris d’agonie sortir du foin. Van Hoff voyait son argent et sa réputation partir en fumée. La chaleur l’empêchait d’avancer plus loin, sa monture était terrifiée. Cet assassin savait ce qu’il faisait, dû se rendre compte à l’évidence le capitaine. Dommage que ce n’était pas l’un des leurs…Une poutre consumée s’écrasa… Il rassembla ses hommes qui ne tentèrent pas de rattraper le fuyard et vida le lieu.

@+

-= Inxi =-

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J'aime bien ce changement de narrateur et j'adore toujours ton texte. Mais comme à chaque fois il y aun truc qui me chiffonne, mais c'est souvent la petite bête.c, ce qui me gêne, c'est que le capitaine a réussi à rattraper un retard de 200 mètres. Et puis deux cents mètres ça me semble beaucoup pour la scène autour de l'auberge. Sinon, j'attends la fin avec de plus en plus d'impatience.

Kroxigor.

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Moi aussi, 200 mètres me semble beaucoup :lol: pour l'auberge simplement. On visualise mal :lol: .

Sinon, pour rattraper le retard, simple à expliquer car Neryme est statique.

Sinon, à un moment, tu écris recouvrirent au lieu de recouvrir.

Encore sinon, petite question: il est aisé de comprendre que Neryme a mis un poison dans la bière du conducteur, mais par contre, prévoir l'endroit exact de l'arrête est compliqué... J'espère qu'il suivait à distance, sur le côté de la route, avec un cheval, pour expliciter tout ça. (à moins que ce soit Neryme lui-même qui se fasse vomir, ce qui expliquerait qu'il se détourne chaque fois que Van Hoff approche, mais n'explique pas pourquoi il y a un temps long d'arrêt).

C'est quand même vraiment pas mal, mais on sait trop vite comment s'y prend Neryme et l'on visualise mal la scène: avant l'action, tu devrais décrire précisément où se trouvent tous les protagonistes: le capitaine proche de l'écurie... Car là Neryme part trop vite et passe devant le capitaine, qui ne devait pas être loin, ce qui signifie qu'il a quand même eu le temps de prendre de la vitesse. Ensuite, Neryme a eu un brandon enflammé, on ne sait même pas comment... Et puis, à mon avis, malgré la paille que tu décris comme "suintante" (donc non sèche, donc il lui faut du temps pour bien cramer) qui tombe sur le carosse (carosse, pas les 4 seigneurs), je pense qu'ils auraient eu le temps de se jeter hors de la bâtisse (quoique moi-même n'en suis pas si sûr).

Par contre, le fait que les soldats ne tentent pas de poursuivre Neryme est aberrant. J'imagine assez la Confrérie obéir au principe: "oeil pour oeil, dent pour dent". Laisser fuir l'assassin des 4 principaux seigneurs est étrange...

Ainsi que vider les lieux où il n'y a plus que des morts :) .

Je ne sais pas pourquoi, mais j'aurais bien vu ton personnage mourir, comme à la fin il va de désillusion en désillusion, ça lui aurait donné une grande profondeur, être prêt à mourir car il a perdu toute envie de vivre... (enfin, ne tue pas ton héros à cause d'un de mes conseils :lol: )

Iliaron

Modifié par Iliaron
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Dommage pour Neryme, et Dinelgera , mais Neryme amoureux c'est moins palpitant. Oh ! et dommage pour Pierre aussi . (fausse compassion: ouais! bien fait pour lui!)

Notre voleur comptait se rendre pour obtenir un entretien avec le Duc.
OK, donc le plan, c'est de jouer de son charme avec quelqu'un qui le déteste, et veut le voir mort ? Pauvre Neryme, sa rupture l'a rendu suicidaire...
Voila la toute dernière partie !
Hey ! On devait savoir pourquoi "Les huit pattes... "!
Il sauta par-dessus bord et grimpa des escaliers qui avaient été creusé directement dans la roche.
Accord.
Après une centaine de mètre
Accord.
Neryme se mit donc à suivre le sentier qui passait tout près. Il suivit celui-ci jusqu’à l’orée de la forêt.
Répétition.
quelque chose que je peux faire pour les arrêter ou au moins les ralentirent un bon coup.
Il faut un infinitif.
Cette guilde a été crée à la base pour détruire
Il manque un "é".
la votre est la prochaine sur la liste…
"la vôtre".
-Oui, c’est ça… Tu comptes t’en faire un allier ?
"allié".
-Il pense que ton chef est au courant et que tu as envoyé dans ces régions pour enquêter…
Manque un mot, là, non ?
-En plus, ils n’auraient pas essayé de me tuer, je n’aurai jamais été au courant.
"je n'aurais".
pour trois heure et demi de marche.
"demies".
Dinelgera était en train de discuter avec l’un de ses amies
Accord.
-Ou étais-tu ? Demanda Dinelgera.
"Où".
-Non, pourquoi j’aurai du ? Mentit notre ami.
"dû", non ?
-Alors dis moi ce qu’il ne va pas !
"Alors, dis-moi ce qui ne va pas !".
A son grand réconfort, elle tendit la main. Neryme eut un pâle sourire et lui attrapa
"la lui attrapa", non ?
Jamais il n’aurait du replonger dans l’amour
"dû", non ?
Neryme fut jeter manu militari
"jeté".
Notre voleur attendit donc patiemment que celui daigne se montrer.
Il manque un petit quelque chose, non ?
-C’est pas ce que m’on dit mes hommes ! A priori, tu les aurais attaqués…
"ont".
-J’aimerai vous proposer un marché, dit Neryme.
"J'aimerais".
-Penses-tu honnêtement que tu sois en position de négocier ? Demanda le Duc avait un petit rire.
"avec", non ?
serai-je venu ici si mon offre n’en valait pas la peine ?
"serais-je".
-Je pense que non… Dit moi ce que tu veux !
"Dis-moi".
Dites moi comment les arrêter et on sera quitte
"Dites-moi", non ?
Ils s’étaient passés trop de mauvais souvenir. Des choses et sentiments qu’il aimerait oublier.
Des souvenirs qui se passent ??? On a des souvenirs, des évènements se passent...
la bière qu’il avait bu avant de partir serait mal passée
Accord.
Van Hoff entendit trop nettement le bruit de nourriture régurgitée s’étalée sur le sol.
Un infinitif là, non ?
Il dégaina une épée, alors qu’il n’était pas sensé être armé
"censé".
Cet assassin savait ce qu’il faisait, dû se rendre compte à l’évidence le capitaine.
"dut".
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Hey ! On devait savoir pourquoi "Les huit pattes... "!

Heureusement qu'il y en a un qui suit ! :) Je laisse tout ce qui a fait le pourquoi de l'histoire et personne dit rien ! :lol: Allez, voici les dernières réponses normallement ! Désolé pour les fautes :lol: C'est vraiment hallucinant :lol:

Epilogue

Neryme faisait face à la vertigineuse falaise. D’où il était, il ne pouvait voir la discrète entrée. A cet instant, il se rappela tout, tout depuis le début. Et il se souvint la fin, surtout la fin.

Lorsqu’il dût empoisonner la réserve de bière de l’aubergiste car il ne savait pas qui devait conduire le carrosse. Quand il avait construit les trappes dans l’écurie et avait déversé de l’huile dessus. Quand il avait suivi le carrosse dans la forêt et quand il avait assommé et prit la place du chauffeur. Et bien évidemment lorsqu’il avait mis le feu avec la torche qu’il avait laissé à côté.

Ce plan avait été risqué mais le fait que les mercenaires ne fassent pas parti de la Confrérie avait bien aidé la chose. Il en avait abattu un en fuyant tandis que le reste avait été bloqué de l’autre côté par les flammes. Le capitaine mercenaire n’avait pas essayé de le poursuivre ce qui était compréhensible vu que la solde qui avait été versée ne comprenait pas le service après mort…

Ensuite, Neryme s’était enfui et avait délivré son message aux membres de sa guilde… Sa mission était accomplie… Il reporta ses yeux vers le décor qui l'écrasait de sa taille. La cime de la montagne à laquelle faisait face Neryme était couverte de neige. De véritables dents de pierre sortaient à certains endroits de la roche ce qui donnait au lieu un aspect dangereux et primitif. Loin au-dessus, neuf pics formaient une impressionnante ennéade... Un vent glacial vint fouetter le visage de notre voleur. Neryme regarda le sol et abandonna tous ses fifrelins.

Notre ami leva la tête vers le ciel où quelques flocons commençaient doucement à tomber. Au plus profond de la montagne, une créature attendait son châtiment. Elle avait tué ses amis et Neryme voulait sa vengeance. Il rabattit sa capuche… C’est ici qu’allait se jouer son destin, face à cette créature à huit pattes.

-En avant ! Hurla Neryme, poing brandi vers le ciel en signe de défit. Aujourd’hui se joue les Huit pattes du Destin ! Mon Destin…

Après ce moment, personne ne put dire s’il ressortit ou non de la grotte… Enfin personne de vivant…

Modifié par Inxi-Huinzi
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Après ce moment, personne ne put dire s’il ressortit ou non de la grotte… Enfin personne de vivant…

Pourquoi!!! :lol::lol:

Je voulais connaître la façon dont il allait tuer la bête :lol: . Bon mis à part cette petite déception j'ai bien aimais le passage où il se remémore les derniers mois qu'il a vécu.

La phrase où Neryme part venger son ami fait un peu film. :)

Avis général sur tout le texte: -_--_-^_^

Kroxigor qui s'excuse pour la quote mais j'arrive pas à obtenir de case blanche.

Modifié par Inxi-Huinzi
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Oh ! et dommage pour Pierre aussi . (fausse compassion: ouais! bien fait pour lui!)

Je dois avoir une passoire pour cervelle, j'ai déjà oublié qui était ce Pierre (me fallait des suites moins espacées -_- ).

L'épilogue est quand même bien construit, mais le récit me laisse un goût d'inachevé, comme si en fait tout, absolument tout ce qui s'est passé, n'a servi à rien d'autre qu'à permettre ce dernier moment.

De plus, comme tes intrigues sont souvent décousues, dues à ton imagination débordante :lol: , on a toujours un peu de mal à bien comprendre tout (peut-être que le fait que je n'ai pas lu la Confrérie de l'Ombre aide un peu à mon incompréhension :) ).

En fait voilà, pour résumer: entre l'intro et la conclusion, le rapport est le même: l'araignée. Par contre, tout le reste, donc absolument tout ton récit, n'a absolument aucun rapport avec cette fameuse araignée, ou alors un rapport tellement implicite que je ne le vois pas. S'il ne pouvait aller dans cette grotte pour une raison liée à l'intrigue principale, mais une bonne raison quand même, et que ses amis soient morts à cause de la Confrérie, alors je comprendrais mieux. Là dommage, mais on se demande si le fil rouge n'est pas l'intro et la conclusion, et toute ton histoire un fil bleu qui n'a au fond aucun lien...

En fait, on a l'impression que si on enlève l'intro et la fin de l'épilogue, le récit ne change absolument pas, tellement le rapport entre l'intro et le reste est ténu (ça lui fait tuer un magicien, mais après, c'est à mon avis tout...) Mais j'ai peut-être (sûrement même) mal compris l'intrigue.

De même, certains passages, pourtant presque ceux que je préfère, n'ont pas grand intérêt: ses amourettes ne servent qu'à se tirer de certaines situations, rien de plus. Au fond, qu'il aime Dinelgera ou ne l'aime pas, cela aurait fait la même chose à mon avis, mais je ne suis pas sûr (aussi car souvent, quand le héros est en période "trouble", tu as une manière de raconter qui sur le moment est très bien, on est dans l'incompréhension totale, mais malheureusement après on ne comprend pas la cause de l'action: par exemple, pourquoi après sa première rencontre avec Dinelgera il a été assomé et jeté aux fers...)

C'est dommage, on a cette impression que d'un côté tu as une intrigue vraiment imaginative, créée sur le coup (par exemple, avec les loups, là ça c'est le type même d'action assez invraisemblable qui donne l'impression d'avoir été imaginée sur le coup), et pourtant, après ces choses qui apparaissent comme folles servent.

J'ai eu aussi l'impression que des pans de l'histoire ne servent qu'à peu de chose: Neryme apsse deux chapitres à fuir du château du Duc en ayant volé son or, à acheter une barque, à aller dans un repaire... tout ça juste pour avoir un renseignement (certes important, mais on s'attendait à mieux, surtout d'après ce que tu avais dit).

Ton récit lu d'une traite doit être très bien, mais dès qu'on attend un peu, tu as un style qui fait que l'on doit réfléchir tout autant que ton héros, et quand lui comprend quelque chose qui lui apparaît comme logique, ça l'est tellement qu'il n'a pas besoin d'expliquer pourquoi, alors qu'en fait, pour les lecteurs, si :lol: .

Mon impression est quand même largement positive, j'ai passé vraiment un bon moment à te lire, je regrette juste que tes histoires n'ont pas vraiment de trame pensée dans les moindres détails; mais vu ton style, je crains qu'une intrigue très poussée te prive de ton imagination, donc de ton panache...

En fait, il faudrait que tu fasses un mix entre les deux: que tu aies un fil rouge béton, mais que tu puisses faire marcher ton imagination quand même, mais en respectant ce fil rouge.

N'empêche que je suis jaloux ^_^ , tu parviens toi à finir tes histoires -_- . Je me demande vraiment ce que ça doit faire de se dire qu'on a fini une de ses sagas (je m'imagine même pas pouvoir me dire une telle chose, tellement j'aime retoucher à tout). Enfin, je saurais en temps voulu (dans longtemps, si je ne peux écrire que quatre heures par semaine, et encore, quand je suis motivé :lol: )

Iliaron

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Je voulais connaître la façon dont il allait tuer la bête

Personne n'a dit qu'il la tuait :) Chacun le décide ou non :lol:

La phrase où Neryme part venger son ami fait un peu film.

Qu'est ce qu'un récit sans phrases classiques, hein ? ^_^

Kroxigor qui s'excuse pour la quote mais j'arrive pas à obtenir de case blanche.

Je te l'ai fait pour la peine :lol:

De plus, comme tes intrigues sont souvent décousues,

Je crois que c'est incorrigeable -_- !!!

peut-être que le fait que je n'ai pas lu la Confrérie de l'Ombre aide un peu à mon incompréhension

Je pense pas -_- Mis à part le nom, on retrouve presque pas de point commun avec l'ancienne :wink:

Par contre, tout le reste, donc absolument tout ton récit, n'a absolument aucun rapport avec cette fameuse araignée

Exact ! Ca me permet de lancer l'histoire avec le magicien et la mort de ses deux compagnons ! Ca permet donc de terminer par la vengeance ^_^

J'ai eu aussi l'impression que des pans de l'histoire ne servent qu'à peu de chose: Neryme apsse deux chapitres à fuir du château du Duc en ayant volé son or, à acheter une barque, à aller dans un repaire... tout ça juste pour avoir un renseignement (certes important, mais on s'attendait à mieux, surtout d'après ce que tu avais dit).

J'ai raté ce passage alors ! :) Parce qu'en fait au départ, il veut partir et rendre ses infos pour etr elibéré. Donc tous ces efforts sont fait pour le liberer de ce poids ! Mais au dernier moment, il décidé de rester et tout ces efforts finissent par être fait pour un renseignement !

Je me demande vraiment ce que ça doit faire de se dire qu'on a fini une de ses sagas

Pas grand chose :o Ca soulage généralement ! Mes recits finissent fort generalement ca me permet de respirer ! Et puis aussi, je travaille sur d'autre texte à côté ! En ce moment deux autres sagas ( que vous verez bientot ), un projet ( avec Arga et Cassis ) et un concours ( avec Tirli ) Ce qui fait qu'en fait, c'est comme dix huit ans ! Ca change rien :lol:

@+

-= Inxi =-

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Tout d'abord : "incorrigible", pas "incorrigeable". Je pensais à "incorrectible" mais le dictionnaire me donne tort.

Au risque de t'apeurer, il y a quand même des fautes qu'il te faut désormais absolument éviter.

Je vais te donner quelques exemples flagrants :

Après quelques minutes à scruter la roche, il découvrit ce qu’il cherchait : une entrée qui se découvrait par intermittence. Si Neryme ratait son coup, il se retrouverait écrasé contre la roche.

Avec une maîtrise insoupçonnée, Neryme passa pile poil dans l’intervalle.

Pas le moindre suspense. A la limite, tu vantes ton héros. "pile poil" est l'expression type à éviter. "de justesse", "en frôlant les rochers", "de peu", aetcetera. "pile poil" tient du langage oral.
Il se mit à trottiner jusqu’aux quais. Pas question de perdre du temps. Il trouva son ami toujours au même endroit.
La ville contient un lieu et une personne. C'est-à-dire des quais dont on ne sait rien et l'ami du héros. En d'autres termes, la ville n'existe pas. Pense à décrire plus longuement les maisons, les rues, pour donner corps au décor. Rends la rencontre plus difficile (miracle, le PNJ reste toujours au même endroit... :crying: ). Bref, mets de l'ambiance.
Le Duc se retourna ce qui donna à la scène un aspect assez théâtral.
Ces temps-ci, je n'ai plus vraiment l'envie de rire. Du coup, je me suis contenté de maugréer intérieurement. La précision "aspect assez théâtral" est parfaitement inutile et même indésirable.

Ton récit reste empêtré dans cette atmosphère "jeux de rôle" qui mêle transitions fugitives et solutions de facilité.

Du reste, j'approuve Iliaron : le développement est totalement indépendant de l'introduction et de la conclusion. Je vais plus loin : il ne s'est rien passé.

C'est un peu tard pour critiquer ce récit puisque tu l'as terminé, mais il vaut mieux que tu saches sur quoi t'améliorer pour le prochain. Je ne saurais trop te rappeler l'importance de la trame qui fait le corps de l'histoire.

Il n'en reste que l'expression simple et directe, mêlée à des retournements en grands nombres, à des attitudes brusques mais toujours humaines, est agréable à la lecture. Les personnages souvent dégrossis n'en sont pas moins assez vivants et, au-delà de l'originalité, ton texte a pour lui une certaine cohésion dans les événements.

Feurnard, de mauvais poil.

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Bon, bon, bon ... ^_^

Pas le moindre suspense.

Le truc, c'est que pour ce genre de scène je me demande que faire ? Je vais pas non plus dire que c'était d'une difficulté extrème du type : "Après des milliard de manoeuvres, de positionnement de la voile, il entra dans la grotte par la seule position possible" Je trouvais ca un peu gros pour simplement s'engager dans un trou qui apparait dans le creux des vagues :crying:

La ville contient un lieu et une personne.

La, ca rejoint un posé par Iliaron. Mais je serai honnete, j'ai pas ecris ce passage avec son commentaire en tete surtout qu'il a été posté après ! ^_^ L'idée est donc de décrire ce lieu. Ca veut dire pour bien le décrire, rue/décor/ambiance, au moins quatre paragraphes. Donc cela va faire devenir de cette ville un lieu important. Ca va meme contribuée a rendre ce que j'ecris important à ce moment là. Alors qu'en fait la, non ... Pas du tout, mon héros ne fait que passer. Mais le vrai problème qui fait que j'écris comme ça est le suivant : J'écris pour moi. Et ca s'étend tellement que j'écris pour des lecteurs qui seraient comme quoi. Qui ni'aiment pas les trop longues scènes de descriptions ( Alors que sur certains textes, j'adore ! Justement les tiens Feurnard :lol: Mais la différence, je crois que c'est le talent ! )

Donc le truc, c'est que même avec un plan ( ce que j'ai fait pour les trois derniers chapitres si ma memoire est bonne ) vous avez toujours cette impression d'inutilté de certains passages ( la, en l'occurence, c'est tout le texte ) Alors que pourtant, si je me force à écrire ces passages, c'est qu'ils sont indispensables ( mis à part un, l'histoire avec Dinelgera qui sert surtout à poser par écris ce qui m'était arrivé ! Ca a permis de donner plus d'humanité à mon héros ) Donc pour revenir à ce problème de fil rouge, il y en a un : La transmission du message. Ensuite, sur le retour il tombe sur cette confrérie qui veut le tuer. Il décide d'agir mais a besoin d'allier qui sont plus au courant de lui. Ensuite, ils executent les seigneurs et transmet enfin son message. Au début, je voulais faire mourir le messager dans le repaire pour que Neryme se voit obligé de transmettre le message lui même mais devant mon manque de motivation, j'ai décidé d'abreger la nouvelle (bien qu'il ne soit pas exclus qu'une suite vienne plus tard, beaucoup plus tard, pour reprendre ou je m'en suis arrêté)

Mais maintenant, après vos remarques ( que j'autanat très au sérieux vous conaissant ) Je me demande bien comment faire pour éviter ces problèmes car toutes les portes que j'ai ouvertes je les ai refermées ! C'était un problème que m'avait signalé Imperator sur mon dernier texte et que j'ai décidé de corriger : J'ai posé par papier, tout les personnages et ai décidé de les réutiliser ou de précisé clairement qu'ils ne seront plus là après !

Bref, avec ce plan, j'ai essayé de faire un effort sur la crédibilité du texte ( bon ce n'est voyant que sur la fin justement ou les tours de passe-passe sont fini, plus de corde, plus de poison, comme dans la vraie vie ! En tout cas, la réalité sera peut être le but de mon prochain texte )

Bon revenons un peu sur les autres commentaires :

Ces temps-ci, je n'ai plus vraiment l'envie de rire. Du coup, je me suis contenté de maugréer intérieurement. La précision "aspect assez théâtral" est parfaitement inutile et même indésirable.

La, en fait, j'ai essayé de préciser au maximum ma vision de la scène en fait ! Cela consistait dans le fait que le duc se trouve face à la cage et se retourne en gardant un faciès desespéré et dès que Neryme ne le voit plus, il arbore un grand sourire sûr de la réaction du voleur. Et ca marche ... C'est le soucil du détail je pense mais je pense plutôit trouver une nouvelle formule pour essayer de garder la vision que j'avais de la scène. Cela montre comment le héros est naif et comment il se fait manipuler.

solutions de facilité

J'aimerai aussi revenir sur ce point qui ponctue pas mal mes récits. Bon je vais prendre l'exemple des archers qui tirent sur Neldirage lorsqu'il y a la course poursuite dans le chateau et on m'a reproché qu'il s'en tire indemne car les archers n'arrivent pas à le toucher... En fait, quand on visualise bien la scene, tout va vite très vite. Les hommes doivent viser une cible qui arrive en plein galop vers eux, ça veut dire qu'ils attendront le moment d'être sûr de le toucher pour faire feu. Donc on peut supposer que ce sera lorsque Neldirage sera assez près. Mais si le cavalier, et donc notre héros, tourne avant la zone ou lmes archers s'étaient mentalement preparé à faire feu ? Le tir manque de précision car ils doivent relever l'arc au dernier moment et essayer de toucher une cible qui est en train de tourner puis mettre les voiles. Peut etre meme qu'il se met à y avoir des obstacles entre eux et la cible. Il me parait donc évident que notre ami s'en tire sain et sauf.

le développement est totalement indépendant de l'introduction et de la conclusion. Je vais plus loin : il ne s'est rien passé.

Je corrigerai plutot la phrase de cette façon : L'introduction et la conclusion sont indépendantes du développement. Les mots de changent pas mais le principe si. Dans ma phrase cela veut dire que l'intro et la conclusion gravitent autour du texte et non pas le contraire. Ici, je dis donc que le texte est important et l'intro et conclusion ne passe qu'en second role et donc pas l'inverse. Parce que sinon, il faut que je refasse le texte et fasse une aventure en montagne avec la poursuite d'une araignée...

Il ne sait rien passé : Je ne sais pas trop comment je dois l'interprêter. L'histoire d'un individu lambda qui va d'un point A à un B avec un obstacle C qu'il contourne. L'histoire banale d'un individu A. Enfin bref, le tout est de savoir où il ne sait rien passé. Mais bon puisqu'on vient précédement de parler de l'intro, du dvp et de la conclusion, je pense que l'on parle du texte en général. En meme temps, ca doit vrai si vous avez raison et que mon texte n'est qu'une suite de situation de facilité et de transitions fugitives.

C'est un peu tard pour critiquer ce récit puisque tu l'as terminé, mais il vaut mieux que tu saches sur quoi t'améliorer pour le prochain.

Grande question qu'est mon prochain texte ... Heuresement que j'ai pas posté le premier chapitre ce soir ! Je crois que je vais attendre un peu et voir s'il mûrit tout seul ! L'autre texte d'après aussi d'ailleurs ! En meme temps, c'est normal. C'est un défaut que je retrouve sur tout mes textes et meme en étant conscient que ca va pas de ce côté, je n'arrive pas à y remedier. C'est peut etre plus fort que moi ? Peut etre que pour moi c'est pas un défaut donc je ne vois pas quoi corriger ? Que sais-je ? Donc je suis pratiquement sur que sur les 50 premières pages que j'ai écrite, on a le meme problème ! Donc je vais terminer ce nouveau texte ( J'en suis qu'à la moitié ! ) Et puis je verrai bien si j'ai encore de la place sur mon disque dur pour l'archiver au chaud entre Falcrisos et la Confrérie :crying:

Bon je dois aller manger, j'en rajouterai surement encore une bonne couche si quelqu'un a le courage de lire tout ca et a quelque chose à dire ! Ou tout simplement quelqu'un a quelque chose à rajouter sur mon texte que j'ai de nouveaux paragraphes à faire !

@+

-= Inxi, et bé ... =-

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Le truc, c'est que pour ce genre de scène je me demande que faire ? Je vais pas non plus dire que c'était d'une difficulté extrème du type : "Après des milliard de manoeuvres, de positionnement de la voile, il entra dans la grotte par la seule position possible" Je trouvais ca un peu gros pour simplement s'engager dans un trou qui apparait dans le creux des vagues 

Simple: une description; en un quart d'heure, on a des résultats splendide (là je fais très rapide, pour te montrer)

Neryme, s'accrochant au mieux sur le radeau , aperçut enfin, dans les contreforts, une entrée. Celle-ci apparaissait au gré des vagues, et laissait alors dévoiler ses dents de pierre, tranchantes stalactictes pointées face au voyageur. L'écume s'écrasait contre l'entrée, et des jets blancs étaient rejetés au loin, sous la violence constante du choc.

Neryme se baissa alors vivement, se couchant jusque sur les planches de bois. Relevant sa tête, il vit le niveau légèrement baisser, et découvrir la lumière en fond de grotte. Alors qu'il se mettait à espérer atteindre ce but, une masse informe et houleuse recouvrit sa vision, se fracassant avec force contre la roche. L'instant d'après, il fut aspiré par la force du rouleau et le bateau fut projeté en avant.

Neryme, balloté en tous sens, s'accrochait désespérément aux quelques cordages du navire, se retenant aux cordes salvatrices, seul lien lui permettant de se maintenir en vie. Un craquement sourd se fit entendre, brisant la structure du bateau. Neryme ferma les yeux, s'attendant à ressentir la morsure âpre de l'eau. Les rouvrant, seul du noir l'accueillit, et une peur, passagère indésirable, se mit à envahir les veines de Neryme. Soudain, il se sentit bouger, et constata avec bonheur que son navire était encore à flot. S'il pouvait tenir encore quelques instants... Il déboucha alors dans la lumière vive, et dut cligner des yeux sous l'intensité de l'astre solaire.

L'instant d'après, un être se saisit de son corps. Se retournant, il découvrit son informateur.

"- Tu as de la chance que seul ton mat ne se soit brisé."

"- Comment savais-tu que je viendrais?"

"- Je le sentais. Je vérifiais depuis quelques semaines la mer, j'étais persuadé que si tu venais, ce serait par là"

Exemple très rapide réalisé en dix minutes.

La ville contient un lieu et une personne.

Je suis tout à fait d'accord, n'ayant pas compris qu'il était en ville.

Décris le lieu, sa progression. N'hésite vraiment pas, ça prend certes plus de temps, mais c'est ô combien gratifiant.

Je me demande bien comment faire pour éviter ces problèmes car toutes les portes que j'ai ouvertes je les ai refermées !

On ne dis pas du tout le contraire!

C'est juste que majoritairement au début tu as des tours de passe passe qui disparaissent par la suite (une qualité qu'ils disparaissent, vraiment!), et donc on a constemment cette impression de solution de facilité.

J'aimerai aussi revenir sur ce point qui ponctue pas mal mes récits. Bon je vais prendre l'exemple des archers qui tirent sur Neldirage lorsqu'il y a la course poursuite dans le chateau et on m'a reproché qu'il s'en tire indemne car les archers n'arrivent pas à le toucher... En fait, quand on visualise bien la scene, tout va vite très vite. Les hommes doivent viser une cible qui arrive en plein galop vers eux, ça veut dire qu'ils attendront le moment d'être sûr de le toucher pour faire feu. Donc on peut supposer que ce sera lorsque Neldirage sera assez près. Mais si le cavalier, et donc notre héros, tourne avant la zone ou lmes archers s'étaient mentalement preparé à faire feu ? Le tir manque de précision car ils doivent relever l'arc au dernier moment et essayer de toucher une cible qui est en train de tourner puis mettre les voiles. Peut etre meme qu'il se met à y avoir des obstacles entre eux et la cible. Il me parait donc évident que notre ami s'en tire sain et sauf.

Tu vois bien que l'explication, pour une scène de ce genre, est vraiment très longue. Tu la modifies donc de manière à rendre le tout compréhensible de manière digeste. Comme tu dis, la scène est très rapide, donc les archers ne sont pas encore en place. Il en voit, par exemple, 5 se précipiter vers la porte. Ayant à peine le temps d'encocher, on comprend aisément qu'ils le ratent.

Dans ma phrase cela veut dire que l'intro et la conclusion gravitent autour du texte et non pas le contraire.

Justement, l'intro sert à lancer le texte :crying: .

Et puis, franchement, le lien est quand même ténu et dur à voir :crying: .

j'en rajouterai surement encore une bonne couche si quelqu'un a le courage de lire tout ca et a quelque chose à dire ! Ou tout simplement quelqu'un a quelque chose à rajouter sur mon texte que j'ai de nouveaux paragraphes à faire !

Personnellement, tu es pour moi la personne qui mérite le plus les critiques, car tu dispenses avec altruisme de tes critiques, et vu le temps que tu passes pour nos textes, il est normal que nous en passions autant sur les tiens (c'est peut-être plus qu'on passe sur le tien, mais qu'importe, et puis en cumulé sur tous les textes que tu critiques, tu nous largues largement :lol: )

Iliaron

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  • 2 semaines après...
Et il se souvint la fin, surtout la fin.
Et là, on nous explique les points obscurs des parties précédentes... (merci, ça évite les élucubrations enfiévrées pour remplir les blancs)
Après ce moment, personne ne put dire s’il ressortit ou non de la grotte… Enfin personne de vivant…
Je retire le merci...
Lorsqu’il dût empoisonner la réserve de bière
"dut", non ???
quand il avait assommé et prit la place du chauffeur.
"pris", non ???
lorsqu’il avait mis le feu avec la torche qu’il avait laissé à côté.
Accord.
Ce plan avait été risqué mais le fait que les mercenaires ne fassent pas parti de la Confrérie avait bien aidé la chose.
Je m'interroge: le passage étant à l'imparfait, le subjonctif imparfait ne serait-il pas plus approprié ?
la solde qui avait été versée ne comprenait pas le service après mort
Ce n'est pas "après la mort" ?
poing brandi vers le ciel en signe de défit
"défi".
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