Idée de suplèment

[Invité wargames]

liser ces quelques ligne:

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Appelez-moi Kruknek le paria. Seul survivant de l'Hydre, ce navire maudit, les dieux me pardonnent. C'est si loin que y'ai l'impression que ça s'est passé dans une autre vie. Nous nous étions embarqués sur les mers toxiques qui s'étendent loin dans le cœur de la Ruche, pour chasser les terribles araignées marines qui vivent dans le Sous- Monde. Leurs yeux, des diamants blancs striés de rouge d'une pureté parfaite sont très recherchés dans la Pointe. Nous parcourûmes les courants de vase multicolores ou d'énormes bulles de gaz venaient trouer la surface, éclatant en boules de feu qui montaient vers les dômes et éclairaient notre route. Le capitaine, Haagan Volgotha, n'avait pas quitté sa cabine depuis notre départ, mais nous entendions le bruit lourd de ses pas. Plusieurs fours passèrent avant que nous ne découvrions nos premières proies. Leurs peaux grises fendaient le liquide visqueux. Entendant nos cris, il sortit sur le pont crasseux, sa seule présence nous remplissait d'effroi. Volgotha, véritable géant, une chevelure aussi rouge que du sang, le visage couvert de cicatrices, habillé de noir à l'exception de la gigantesque dent d'araignée qui remplaçait sa vambe droite. Il regarda chacun d'entre nous, son regard noir sans âme brillait dans la pénombre et avec un cri de triomphe, il leva au-dessus de sa tête un diamant. Un diamant de toute beauté, un diamant qui devait causer notre perte. "Marins de l'Hydre," dit-il, "Marins de l'Hydre. J'ai dans la main la clé, la clé qui vous mènera à la richesse, à une vie qui dépasse vos rêves les plus fous. Ce cristal vous donnera tout. Vos dos oublieront le poids du labeur. \bs estomacs oublieront ce qu'est la faim. Oubliées les bouteilles vides. Pour ce diamant, le seigneur suprême Helmawr tombera à genoux devant vous, et tout ce que JC vous demande en échange c'est la vie d'une seule araignée, mais mes amis, une araignée très particulière." Nous étions suspendus à ses moindres paroles, bouche bée, les yeux écarquillés pendant qu'il parlait. "La bête dont <e parle est blanche, oui c'est la dernière Veuve Blanche de Varan. Et, grands dieux, quelle taille ! Elle projettera une ombre survos âmes, une ombre noire. La chose est couverte de cicatrices provoquées par des harpons ratskins mais personne n'a encore réussi à l'abattre. J'y suis presque parvenu une fois, mais l'y ai laissé ma lambe. En échange, iii réussi à lui arracher un croc et ce loyaux. Il avança à nouveau le diamant dont la surface brillante suscitait l'envie de chaque homme. "Certains ont dit que le marché était équitable, mais je dis non ! Je veux sa vie, alors retenez bien mes paroles, et rctenez-les toutes..." Il se redressa totalement à ce moment, s'élevant de toute sa taille. Un feu cruel brûlait dans ses yeux, puis il dit "Etes-vous avec moi ?" Nous l'aurions suivi comme un seul homme jusqu'aux portes de l'enfer et nous étions complètement électrisés par sa volonté. Les ratskins couraient comme des fous d'un bout à l'autre du pont, leurs fusils harpons à la main, alors que nous descendions nos skiffs sur l'eau vaseuse et empoisonnée. Pendant ce temps, Vblgotha nous poussait par ses cris et ses insultes depuis le pont de l'Hydre alors qu'un à un les moteurs à gaz propulsaient nos hydroglisseurs légers vers nos proies, laissant derrière nous des nuages de fumée grasse. Mon harponneur, Skyle, un ratskin à la peau cuivrée, se tenait debout à la proue du skiff, l'arme levée, son visage et son torse nu couverts de tatouages représentant chaque araignée tuée. Puis nous fûmes sur elles, ignorant les jeunes, pour frapper sans merci les mâles. Ils se défendirent sauvagement mais notre attaque avait été fulgurante. Les harpons fusèrent, les lames acérées comme des rasoirs transpercèrent facilement les carapaces dorsales des araignées. Leur sang faune se mêla au liquide épais et putride du lac. Je mis mon moteur en marche arrière pour stopper mon skiff près de notre première victime. Skyle sauta sur sa carcasse sans vie et avança vers la tête de la bête. Sortant son couteau, il arracha les yeux de la créature en chantant des prières ratskins destinées aux esprits du Sous- Monde. Puis d'un coup précis, il perça le sac à venin et but goulûment à cette fontaine de poison violet. Pour tout être d'une autre race, une seule goutte de ce fluide provoquait une mort lente dans d'atroces souffrances, mais ces gens étaient chasseurs d'araignées depuis des générations et avaient développé une immunité au poison qui au lieu de les tuer les plongeait dans une extase indescriptible. Les pierres précieuses ne signifiaient rien pour cet homme. Le venin était son seul salaire et il en voulait plus. Son œuvre rapidement achevée, Skyle me montra la cible suivante. Ouvrant en grand la poignée des gaz, nous poursuivîmes la chasse. Les skiffs fonçaient entre les créature enragées qui, les unes après les autres, furent harponnées et dépecées. La mort avait été soudaine, impitoyable, et pas une n'y avait échappé. Chaque embarcation traînait les cadavres de plusieurs araignées. Les ratskins imbibés de venin se tenaient à la proue de chaque skiff, raides comme des piquets, les yeux brillant d'une lueur violette tandis qu'ils braillaient leurs prières aux esprits invisibles. Sensiblement ralenti par nos captures, ramenais lentement mon skiff vers l'Hydre. C'est à ce moment que les femelles surgirent des profondeurs. Des hurlements s'élevèrent en provenance des derniers hydroglisseurs. Je me retournai et aperçus un skiff voltiger dans l'air, ses deux occupants retombant dans le lac noir. Le liquide corrosif brûla et rongea leurs chairs. Avant que nous n'ayons pu réagir, cinq skiffs étaient détruits, mis en pièces par les araignées ou retournés et commençant à se dissoudre dans le fluide nauséabond. Retrouvant nos esprits, nous tranchâmes les liens qui retenaient nos captures et nous lançâmes dans un combat à mort contre les créatures enragées. Skyle se battait comme un démon, chaque frappe de harpon faisait mouche, tandis que je faisais décrire à mon skiff des cercles autour des terribles femelles. Mon cœur battait la chamade, on aurait dit que nous étions sur le point de redresser la balance, les équipages survivants défendaient désespérément leurs vies. Soudain, comme par miracle, les dernières araignées se retirèrent. Exténués nous regardâmes leurs énormes carapaces grises s éloigner sous la surface huileuse. Mais notre l'espoir fut de courte durée, à environ cinq cent brasses, elle se retournèrent en notre direction, dix à douze redoutables araignées femelles, leurs innombrables yeux brillant de haine nous regardaient avec une intensité diabolique. J'entendis Skyle et les autres ratskins bénir leurs harpons, mais les araignées n'attaquèrent pas. Au lieu de cela, elle commencèrent à gémir. Te vous promets que ce son me suivra psqua ma tombe. Je me bouchai les oreilles en vain pour ne plus l'entendre. Il me sembla que ma tête allait exploser. Puis, par dieu, elle arriva. J'avais vu beaucoup de choses dans mes voyages à travers les Bas-Fonds. Des abominations impossibles à décrire, mais cette horreur était au-delà de l'imaginable. Une araignée femelle blanche, une montagne de chair pâle, des pattes aussi grosses que les pistons d'une énorme machine, des yeux rouges d'albinos dans lesquels brillait un feu d'enfer, son énorme bouche s'ouvrait sur des rangées d énormes crocs suintant de venin. Comme un seul homme, nous hurlâmes à la vue de l'ignoble créature. Skyle laissa tomber son harpon et tomba à genoux de terreur alors que la chose nous chargeait. Je réagis rapidement et fis demi-tour, poussant mon moteur à fond ^e fuis en direction de l'Hydre. Je pouvais entendre

par dessus le hurlement du moteur, les cris de mes compagnons condamnés que ^'abandonnais derrière moi. L'Hydre était droit devant, l'y étais presque quand mon skiff fut projeté de côté par le sillage du monstre me dépassant. Je n étais pas la proie qu'il avait choisie. La centaine de tonneaux de l'Hydre reposait dans le cloaque vaseux du lac, mais l'araignée heurta l'avant du navire à plusieurs reprises. Tout d'abord je crus que l'Hydre tiendrait le coup mais, avec un grincement sinistre il commença à chavirer alors que l'araignée se hissait hors de la vase, ses immenses panes enserrant complètement le pont. Ce ne fut qu'à ce moment que la véritable apparence de la chose me fut révélée. Son dos était hérissé de plusieurs centaines de harpons brisés, d'énormes veines battaient à travers la chair de son ventre où, avec horreur, j'aperçus accrochés ses rejetons, des centaines de répliques miniatures du monstre. Au dessus du tumulte ^e l'entendis. Haagen Volgotha, hurlait son défi à son ennemi mortel. Il attrapa un harpon et lança une attaque démente, frappant sauvagement dans la chair du monstre secoué de convulsions. Je crus un instant qu'il pourrait avoir le dessus, mais l'araignée se jeta

en avant et l'attrapa. Elle l'agrippa de ses mandibules recourbés et l'amena inexorablement vers ses énormes crocs, alors qu'il hurlait comme un fou en continuant de la frapper sauvagement à la tête avec son harpon. Puis la vision d'horreur disparut quand l'Hydre et son ignoble passager sombrèrent dans les flots toxiques, provoquant un immense bouillonnement et un geyser multicolore. Puis la plainte s'arréta, la surface retrouva lentement son calme et tout redevint silencieux. Je restai pétrifié aux commandes du skiff, la petite embarcation se balançait lentement en suivant les ondulations de la surface. Skyle retrouvait ses esprits et parcourait des yeux la surface du lac, agrippant fermement son fusil à harpon. Soudain une patte d'araignée blanche jaillit et l'attrapa à la ^ambe. Il neuf pas le temps démettre le moindre cri qu'il avait dé'fi disparu sous la surface. Plusieurs fours plus tard, ^e fus recueilli par un navire Orlock. Ils crurent que ictais devenu fou et ye mis plusieurs semaines à sortir du délire. Le capitaine du vaisseau, un homme honnête, trouva les diamants dans mon skiff et me les mit de côté. Je lui racontai mon aventure pendant que nous faisions route vers la côte, et ;e lui laissai une poignée de cristaux au moment où nous nous séparâmes. Puis, quelques fours plus tard, f escaladai un promontoire isolé et rendis les diamants au cloaque d'où ils venaient. Le sang de mes compagnons avait terni leur beauté à jamais. Bien des années ont passé depuis ce jour dont je vous parle, la pauvreté et la solitude ont ensuite été mes uniques compagnes et je n'ai plus jamais posé les yeux sur les eaux sordides du Sous-Monde. Mais laissez-moi vous dire, que quand je n'ai plus la force de rester éveillé, elle revient hanter mes rêves. L'horrible créature approche lentement à travers la vase, son corps luisant dans l'obscurité pour, comme lavait prédit Volgotha, étendre son ombre noire au-dessus de mon âme.

----------------------------------------------------------------------------------------------------Mon idée serais de Fair un suplèment avec les règles des bateau et des combat marin se serai géniale. Devoir se déplacer en skif. D'avoir des senarion ou l'on doit tuer des arégner des mers. enfin vous voyer mon idée si sa vous bote

Gaël Goy

[Invité Thespios]

1° Ce texte est t-il de toi ? Car c'est pas mal écrit et vraiment bien raconté.

2° Si le texte n'est pas de toi, merci de mettre la source (livre et auteur).

3° Des combats navals, non, pas vraiment intéressant à mon avis. Le Sous Monde est déjà assez pourri comme ca, on estime que c'est en ruine de chez ruine, par conséquent je vois mal comment on pourrait y naviguer. De plus, si mer ou océan il y a, ca voudrait dire que tu pourrais avoir des navires, mais les règles de Necromunda ne seraient pas adaptées et non adaptables pour des combats navals.

4° Par contre tu peux éventuellement créer une campagne de quelques scénarios qui illusterait cette histoire reportée dans le Sous Monde : supposons qu'ils poursuivent une bête infâme dans les ruines etc...

[Invité Kaptin Manik]

Il y a des mers sur Nécromunda. Le problème, c'est que le surnom de Mers de Fange n'est pas là pour rien. on pourrait presque marcher dessus

Slereah

[la queue en airain]

Voui pour la mer, elle existe et on en cause dans le dex necromundis, de memoire, une histoire de gars qui cherchent les nyeux des araignees geantes qui y trainent (d'ailleurs j'ai juste survolé le texte, mais, n'est ce pas celui-là?).

Mais, certes, cette mer, elle n'est pas propre au plus haut point, et puis, il vaut mieux pas tomber dedans. Sans même parler des bibites qui y trainent, la qualite de l'eau doit fortement (voire plus) attaquer le derme. Et en plus, pour y nager, ça doit pas etre gagne.

Par contre, de la regle a con de combat maritime pourraient etre drole, sans parler des regles des gars qui tombent dans la bouillasse.

Mais ça risque de se retrouvé relativement limité au deplacement du bateau et des skiffs... Un gorkamorka oùsqu'on ne peut pas descendre au sol, quoi.

le squat

n'empeche que ça peut entrainer plein plein de situations cons, j'en suis

[Invité wargames]

Alors;

Se texte n'est pas de moi mais de GW. Il se trouve à la page 58 et 59 du codex necromundis.

Je me disais que l'on pouvais faire des partis de necromunda avec des bateaux (même échel que les fig de necromunda) et des skiffs le jeux serais plus ou moi le même seulement que l'on et obliger de rester sur son bateau ou de se d'éplacer a coups de harpon. Oui il y a des mer sur necromunda. Les mers toxiques qui s'étandent au plus profond de la ruche.

se que je penssais serai de fair deux ou trois règles pour fair des partie avec des bateaux (le conducteur du navire ne peux rien fair d'autre, si il veux tirer ou bouger le bateau ne poura pas avencer se tour ci. Le bateau coute 250+2D6 crédits. Les combatant tober dans la vase subisse 2attaque de force 3 si il ne sont pas repercher tout de suite il sont mort.)

enfin vous voyez l'idée

Gaël Goy

Modifié le 3 juin 2003 par wargames

[Ludwig Muller]

Si ca peut vous inspirer, j'ai créé un truc du même genre pour Mordheim... C'est sur la Tour Blanche (lien en dessous de ma signature), dans la rubrique Autres Jeux/Mordheim... Ca s'appelle "A l'abordage"