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La route de la soie


Setepenmentou

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Il pleuvait ce matin dans la principauté de Marienburg, le ciel était complètement noir à cause des énormes nuages qui cachaient le moindre rayon du soleil. La nature venait à peine de se réveiller et les fleurs recevaient l’eau du ciel en ouvrant grand leurs pétales. L’herbe était particulièrement verte et grasse, un bonheur pour le bétail et les chevaux. À l’embouchure du Reik, les navires marchands se pressaient dans le grand port pendant que les flots formaient de grandes vagues. C’est ce spectacle que voyait un chevalier tout droit venu de bretonnie, il était seul, n’avait pour compagnon que son fougueux destrier. Il transportait sur le dos de sa monture le matériel nécessaire pour les longs voyages et ne semblait point être dérangé par la pluie. Il était vêtu d’une tunique orangée comme le tissu qui habillait son cheval, mais derrière on pouvait deviner la cotte de maille qui s’étendait jusqu’aux coudes et aux cuisses. Le chevalier ne portait pas son casque mais une capuche qui cachait ses cheveux noirs comme l’ébène. Un grand bouclier montrait clairement ses armoiries: Un fond bleu et une bande verte en diagonale sur lequel est dessiné un chardon. Le cheval avançait au pas vers la ville portuaire. Le chevalier ne semblait pas être pressé malgré le mauvais temps surtout avec ces énormes rochers qui jonchent la plaine.

Il continuait d’avancer ainsi vers Marienburg, le bruit des sabots résonnait dans la plaine et mis à part ce voyageur, il n’y avait personne, sauf quatre coquins brigands cachés derrière le plus gros rocher de la plaine, près à encercler et dépouiller le voyageur. Lorsque ce dernier se trouva à leur niveau, ils surgirent de leurs cachettes et l’encerclèrent.

-La bourse ou la Vie! Dit le plus fort d’entre eux. Le chevalier sortit deux pièces de cuivre et les jeta à terre.

-Je ne suis pas d’humeur à me battre, contentez-vous de ces piécettes ou vous regretterez d’avoir croisé ma route. Dit le bretonnien en ordonnant à sa monture de repartir.

Le chef des brigands se mit une fois de plus sur son chemin.

-Navré pour vous messire mais il va falloir en donner plus pour pouvoir passer.

Le chevalier descendit de sa monture, s’approcha du chef des brigands et mit sa main comme pour ouvrir à nouveau sa bourse. Il dégaina promptement une épée bâtarde étincelante à laquelle était attaché un ruban bleu et attaqua le coquin.

-Aux armes à moi! Hurla ce filou, ses semblables se saisirent rapidement de leurs dagues pour se jeter sur ce chevalier trop fou pour leurs résister.

Le sire d’un large revers décapita l’un des brigands, les autres ne parurent point déconcerté par la mort de leur camarade. Chacun tentait de blesser le chevalier, mais celui çi paraît les attaques ou alors son armure le protégeais des coups bas. Le plus petit malfrat bondit derrière son adversaire pour le neutraliser. Le noble chevalier l’attrapa et le jeta à terre. Il occit le plus maigre des bandits. Leur chef tenta de porter un coup sur la tête du sire, mais l’épée bretonnienne eu raison de l’arme grossière de cette brute. Le bretonnien lui rendit son attaque en lui faisant sauter la calotte crânienne, le brigand s’effondra dans une mare de sang.

Le plus petit des malfrats tenta de fuir mais fut attrapé par le col.

-Misérable vermisseau j’avais pourtant dit que vous regretteriez de vous opposer à moi.

-Pitié messire, épargnez ma vie, je vous servirai, je ferai vos quatre volontés mais pitié ne me tuez point.

Le chevalier remit son arme dans son fourreau.

-Eh bien soit j’épargne ta vie, mais à présent tu me serviras sans mot dire et ceci jusqu’à ce que je te délie de ton serment. Tu seras mon valet et rien de plus.

Le jeune homme se mit à genoux devant celui qui est son maître.

-Sauf votre respect noble sire, puis-je connaître l’homme que je sers?

Le chevalier retira sa capuche, la pluie se calmait

-Je suis le comte Laurent de La Ronce, Chevalier de la Quête. Et toi qui es-tu?

Je me nomme Hugo et je suis…

-Trêve de bavardage, puisque tu es mon nouveau serviteur, décharge mon cheval de quelques paquets que tu porteras sur ton dos.

Hugo ne dit mot mais quand il arriva au destrier il se retourna:

-Mon seigneur, aurais-je des gage?

-Des gage? Laurent n’en croyait pas ses oreilles, il sortit vite son épée du fourreau pour intimider son valet.

-Non messire, je ne réclame que l’honneur de vous servir ainsi que le couvert.

-Tu ne mangeras que ce que tu pourras attraper gamin, maintenant tais-toi, nous repartons prestement.

Hugo se saisi de quelques sacs.

-Puis-je savoir où nous allons?

-Plus loin que tu ne pourrais l’imaginer. Nous ne nous arrêterons pas à Marienburg, mais à Altdorf la capitale de cette nation.

Ainsi Laurent fit connaissance avec Hugo et l’emmena dans son périple.

à suivre

Note: Ce récit est la suite d'un autre qui s'intitule Le magicien de la Dame, cliquez ici pour le lire

Setep'

Modifié par Setepenmentou
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C’est ce spectacle que voyais un chevalier tout droit

Accord du verbe

et le jeta à terre et il occit

"et il l'occit" et l'autre faute est la répétition des "et"

Le plus petit des malfrats tenta de fuir mais fut

Incoherence ^_^ Tu venais de dire quelques lignes au dessus qu'il était tué :D

aurais-je des gages?

Pas de "s"

Voila sinon ca commence pas mal sauf que j'ai une impression de lenteur pendant le combat mais ca vient peut etre de moi !!

Sinon, donc ca part bien ! Les descritpions irréprochables ( manque peut etre une touche de psychologie ) et l'ambiance très bien posée !

Suite !

@+

-= Inxi =-

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et le jeta à terre et il occit

"et il l'occit" et l'autre faute est la répétition des "et"

Le plus petit des malfrats tenta de fuir mais fut

Incoherence :D Tu venais de dire quelques lignes au dessus qu'il était tué ^_^

Non c'est le plus maigre qui est tué, j'avais mal placé un point (d'ailleurs j'ai mis ce "et" en plus :D mais je fais n'importe quoi ou quoi?)

ça donne ça en fait

Le noble chevalier l’attrapa et le jeta à terre. Il occit le plus maigre des bandits.

Sinon le reste est corrigée (même la remarque d'Ecthelion a été prise en compte)

Je pense que vu le titre vous avez compris qu'il y aurai forcément une suite (la route de la SOIE ne s'arrête pas à Marienburg ^^.)

Modifié par Setepenmentou
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même la remarque d'Ecthelion a été prise en compte

Que veux'tu dire par cela? Donnerais-je de si mauvais conseilles qu'il fasse que tu mettes une mention spéciale pour qulque chose que tu as pris en compte? :D^_^:D

Peux-tu éclairer ma lanterne

Modifié par Ecthelion
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lol non, mais comme j'avais seulement cité le message d'Inxi-Huinzi, je pensais que tu aurai pu mal le prendre (et là me sort un autre message du style, "ça veut dire quoi ça?" ^^) Il n'y avait aucun méchanceté ni dans mon post précédent ni dans celui là.

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Que ce soit pour le Magicien de la Dame ou ce texte, je suis fatigué, tout ça... donc, je vais résumer.

Tout s'enchaîne trop vite et les événements arrivent souvent sans que l'on sache bien pourquoi ni ce qu'ils amènent à ton récit. Tu ne manques pas d'idées mais rien ne les relie, rien ne les unit et ne justifie qu'elles forment une même histoire.

L'ambiance de ces événements est elle aussi à revoir. Bien souvent, tu te contentes de raconter sans nous plonger dans le récit.

Je ne peux que te conseiller de lire beaucoup d'autres récits de la section pour te faire une idée des méthodes narratives ou descriptives testées ou employées. Prends aussi ton temps lorsque tu écris. Détaille bien, relis l'action, peaufine-la pour la rendre unique et, surtout, donne-lui une raison d'être dans ton récit.

J'allais oublier : évite de rendre ton personnage trop important, sans quoi je serais tenté de penser qu'il pourrait bien être un peu trop glorifié. Pour le reste, je te reporte à la Méthode de travail qui date mais a l'avantage de me faire gagner du temps.

Bref, ton texte moyenne moyennement dans la moyenne, félicitations.

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Le Magicien de la Dame était surtout un essai (peu concluant je l'admet mais on m'a demandé une suite) La route de la soie sera un peu mieux que le précédent texte(j'ai lu ta méthode de travail elle est pas mal, mais mes inspirations viennent de Voltaire et Racine, de vieilles références quoi! Faudra que j'adapte)

les événements arrivent souvent sans que l'on sache bien pourquoi ni ce qu'ils amènent à ton récit.

Autre détail qui sera corrigé par rapport à mon premier texte.

Bref, ton texte moyenne moyennement dans la moyenne, félicitations.

Euuuuuuuuuuuuuuuuuh en clair ça veut dire quoi? ironie?

--Edit: quelqu'un aurait une grande carte de l'empire pour que je puisse mieux situer l'action?

Modifié par Setepenmentou
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Pour les cartes : La Tour de Hoeth

J'ai mal étudié Voltaire et Racine (Candide et Phèdre). Si tu t'en inspires, tant mieux. Tu as de la chance d'ailleurs, puisque j'ai appris en autodidacte et, si tu relisais mes premiers textes, tu découvrirais quelque chose de très semblable à ce que tu écris maintenant.

D'ailleurs j'en profite pour expliquer ma formule : ton texte ressemble à beaucoup d'autres, sans que rien, ni dans la forme ni dans le fond, ne le fasse ressortir. Il n'est pas mauvais puisqu'il est dans la moyenne de la section mais il n'est pas bon pour autant.

Et puisque j'y pense, je te propose, sans pour autant dénigrer tes inspirations, la lecture de Les Misérables, de Victor Hugo. Ou alors de Madame Bovary, de Gustave Flaubert. Avec eux, tu étofferais un peu plus tes descriptions et l'ambiance de tes récits.

Enfin, je te conseille de considérer La route de la soie comme un autre essai. Tu aurais d'ailleurs pu garder les deux histoires dans le même sujet, en tant que deux chapitres d'un même récit.

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J'avais posé à Impé sur le fait de mettre sur le meme sujet ou sur un autre (en précisant que c'était la suite) il m'a conseillé d'en ouvrir un autre.

Les Misérables, de Victor Hugo.

Oui j'ai lu le premier livre, il est classe et c'est vrai que je pourrais m'en inspirer. (J'y avais pas pensé, là je suis sur du Jules Verne)

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Hugo était chétif et n’avait que seize ans. Il était habillé d’un pantalon et d’une chemise en cuir, certainement volés par ses défunts compagnons. Il avait l’air malicieux mais ne l’était en rien. Ces cheveux rouges étaient constamment en bataille et quelques poils lui poussaient au menton. Le pauvre garçon était peu habile de ses mains et avait toujours vécu dans l’ombre d’un Templier de Sigmar, lequel avait été tué et dépouillé par les même brigands qu’il avait rejoint. Laurent en conclut alors qu’il était lâche et quelques peu parasite. Toutefois ce garçon l’amusait et il décida qu’il lui apprendrait à se comporter en homme.

Le maître et son valet continuèrent à descendre le Reik pendant plusieurs heures, les grands arbres de la forêt se reflétaient dans les eaux calmes et bleus du fleuve. La plupart devaient être plusieurs fois centenaires et Laurent regardait avec respect leurs majestueuses formes. Hugo lui traînait de plus en plus, ce qui exaspérait quelque peu son maître, il arrivait même que celui çi fasse demi-tour pour lui botter le derrière en disant: Allez dépêche-toi, mon cheval porte bien plus de masse que toi et il n’est pas si lent lui.

Ils continuèrent à avancer ainsi, le calme souvent troublé par les brimades de Laurent et les protestations d’Hugo. Ils venaient de franchir la frontière entre la Baronnie de Westerland, le grand-duché du Middenland ainsi que la grande principauté du Reikland que le soleil déclinait, il fallait s’arrêter et poser les pièges pour se nourrir plus tard.

Hugo connaissait plutôt bien les environs et connaissait le chemin le plus sur. Non pas au niveau de la sécurité, Laurent s’en moquait, le chemin était sur car on ne pouvait pas se perdre en suivant le fleuve jusqu’à la Capitale.

La première expérience d’Hugo avec les collets se révéla peu concluante, trois d’entre eux avaient été mal attachés et emportés par des bêtes sauvages, les autres étaient mal disposés et finalement, ils ne capturèrent qu’un petit oiseau, maigre pitance cela va de soit mais au moins les deux ne mourraient pas de faim.

S’il était mauvais chasseur, Hugo était en revanche un excellent cuisinier, à ses dires il aurait grandi près du Moot parmi les halflings et ceux çi lui auraient appris leurs art.

-Au moins tu n’es pas mauvais à tout. Dit Laurent en mangeant une bonne partie du volatile. Ce n’était guère un grand festin, juste un oisillon assaisonné avec des herbes sauvages et des champignons ainsi qu’une petite gourde de vin de Bordeleau pour le maître. Le valet lui se contenta de s’abreuver à la rivière et de dévorer l’aile et la cuisse que le chevalier avait bien voulu lui céder.

Pendant tout le long du repas, Hugo fit une description détaillée de l’Empire qu’il avait traversé de long en large depuis sa plus tendre enfance. Il parlait des beaux palais et jardins d’Altdorf, des écoles d’artillerie de Nuln et de la ville de Middenheim trônant sur ses pics. Laurent écoutait le discours du valet, ne connaissant pas l’Empire il lui avait semblé instructif de prêter attention aux dires de jeune homme. Hugo finit par arrêter de parler avant de s’allonger à terre.

-Dites-moi maître, je vous ai parlé de mon pays, mais vous ne m’avez guère décrit le vôtre.

Le valet se releva.

-Si tu y tiens Hugo je vais te parler de la Bretonnie.

Et Laurent à son tour décrit les merveilles de sa terre, il parla des magnifiques ports de commerce où la flotte mouillait en permanence, des temples de marbre dédiés à la Dame qui se trouvaient à Couronne, ainsi que des châteaux-forts. Soudain il s’arrêta.

-Le feu est en train de faiblir, va chercher du bois mort dans la forêt.

-Pourquoi s’enfoncer dans la forêt alors qu’il y a du bon bois ici? Dit Hugo.

Évidemment il n’était pas au courant des superstitions bretonniennes au sujet des bois. Laurent lui réagit violemment à la question de son valet.

-Je t’ai dit d’aller chercher du bois mort! Hurla le chevalier en sortant sa lame. Comme d’habitude, le valet prit peur et obéit rapidement. Il revint plus tard avec deux misérables branches mortes.

-Tu es désespérant Hugo, comment crois-tu faire tenir le feu toute la nuit avec ce que tu ramènes!

Hugo était tout penaud, il finit par dire tout bas:

-Pardonnez-moi maître, mais j’ai peur le soir et la nuit dans la forêt.

Laurent secoua la tête. Un jeune homme de son age ne devait pas avoir peur ainsi, en Bretonnie il aurait été raillé par ses semblables, même les paysans faisaient preuve de plus de courage. Il finit par lui tendre son arme lourde d’origine, qui depuis que Laurent a son épée de la quête n’est plus beaucoup utilisée.

-Si tu as peur, prends ça pour te défendre. Quand tu reviendras, tu monteras la garde pendant que je me reposerai un peu.

Hugo parti avec la grosse épée serrée contre lui comme une petite fille serrerait contre elle sa poupée de chiffon.

Laurent attendit Hugo pendant un certain temps. Mais depuis six jours il n’avait pas assez dormi et finalement il s’assoupit dans l’herbe. C’est à ce moment là que le valet arriva avec un fagot de bois ainsi que la grosse épée. Il vit alors que son maître dormait.

Une idée traversait son esprit. Il pourrait profiter de cette opportunité pour se débarrasser de ce seigneur qu’il craignait tant et se sauver sur son destrier. Hugo ne résista guère longtemps à la tentation. Il déposa sans faire de bruit le bois mort qu’il avait trouvé et se s’approcha de Laurent. Lentement il mit l’arme, pointe vers le bas dirigée vers le cœur du chevalier.

‘‘Adieu vilain messire!’’ Pensa Hugo en levant bien haut l’épée. C’est alors que Laurent se réveilla et dégaina rapidement l’épée de la quête. Surpris, le valet tomba à terre. Le chevalier lui reprit l’arme des mains.

-Tu ne pensais pas me tuer ainsi, tu aurais juste pu me blesser si je n’avais pas remarqué ta présence.

Hugo s’attendait à être exécuté sans sommation. Il était étonné quand il vit Laurent ranger ses deux épées.

-Tu m’as fait un serment Hugo, assume les conséquences et si jamais tu essayes à nouveau de m’occire, ce qui n’arrivera pas je pense, fais attention à ce que je ne dorme pas que d’un œil. Maintenant occupes-toi du feu, après tu pourras te reposer.

Hugo exécuta promptement l’ordre qui lui avait été donné. Il regretta amèrement de n’avoir pas su résister à la tentation et craignait maintenant une éventuelle vengeance de la part de son terrible maître. Il avait des sueurs froides pendant qu’il jetait les branches mortes dans le feu et il mit longtemps à s’endormir. Laurent monta la garde toute la nuit décidant de se méfier davantage de son valet. Le lendemain, il réveilla le jeune d’un coup de pied dans le postérieur.

-Réveilles-toi fainéant, aujourd’hui une longue route nous attend.

Hugo se leva en sursaut, pendant que son maître se mit en selle, il s’aspergea la figure avec l’eau de la rivière, prit les paquets qu’il devait transporter et courut derrière le destrier qui partait déjà.

à suivre

Modifié par Setepenmentou
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le chemin était sur car on ne pouvais

Accord verbe

finalement il s’assoupi dans l’herbe.

Accord verbe

et si jamais tu essaye à nouveau de m’occire

Accord verbe

Je te conseille vraiment que lorsqu'il y a un verbe dans ta phrase, de te demander qui parle et donc quelque lettre ponctue la fin de ton mot :whistling:

Sinon dans le fond c'est pas mal ! J'ai pas grand chose à dire. La relation maitre valet se developpe peu à peu et les sentiments du gamin sont bien exploités ! Tu as un style très leger quand tu racontes une histoire qui la rend assez spécial ! Ca donne un charme, c'est plus "enfantin" j'envie de dire ( malgré ce que tu nous racontes ! ) Enfin pour moi, c'est du tout positif !

@+

-= Inxi =-

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Juste, l'épée de la quête de Laurent, est-ce L'Épée de la Quête, ou l'arme lourde des chevaliers de la quête?

C'est bien L'épée de la quête qui lui a été transmise dans la forêt de chalons par un chevalier du graal qui le tenait d'un autre chevalier du graal quand il était lui même chevalier de la quête etc...(cf: Le magicien de la Dame)

Modifié par Setepenmentou
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Invité Snikch, le maître de la nuit

Oui enfin une suite!!! :whistling:

Bon il y a des petits problèmes de coordination des temps:

se trouvent à Couronne

Tu commence à l'imparfait, alors il faut continuer, d'autant plus que le présent ne fait pas terrible ici...

qu’il craint

qu'il craignait tant...

Voila il y en as encore quelques autres dans le récit...

Sinon pour le fond c'est très bien.

Tu fais entrer un personnage attachant de par sa maladresse.

Sinon connaissant la destination du chevalier de la quête ca risque de durer longtemps...

Allez je parie que le jeune valet va mourir en sauvant le chevalier...

Allez bonne suite...

@+

-=Snikch=-

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Voilà la suite si longue à venir, désolé, trop de cours, de boulot à la maison et peu de sommeil.

Hugo parvint à rattraper le destrier après une demi-heure. Il soufflait comme un bœuf et transpirait à grandes eaux. Laurent eut un sourire amusé quand il vit son valet arriver à ses cotés. Il commençait d’ailleurs à le trouver lent et jamais ils n’atteindraient le Cathay s’ils avançaient à cette allure. Il fallait acheter un cheval ou au pire un mulet pour aller plus rapidement. Le ciel était d’un bleu pur et il n’y avait rien si ce n’est un soleil éclatant. Les oiseaux chantaient dans les arbres et une petite brise soufflait dans l’herbe. Laurent vit un cerisier au loin, ce n’était pas un champ et les fruits semblaient murs. Il se saisit de son heaume.

-Hugo, va cueillir des cerises et mets les dans ce heaume, je vais faire un tour pour voir s’il n’y a pas un hameau près d’ici.

Le valet prit le casque et s’en coiffa.

-De quoi j’ai l’air messire?

Laurent réprima un sourire amusé et répondit tout simplement

-D’un chaudron Hugo, aller ne traîne pas, il nous reste un long chemin à faire.

En effet, ils n’avaient fait que la moitié du chemin entre la frontière du Westerland et Altdorf. Le Reik était toujours aussi calme. Laurent fit galoper sa monture pendant peu de temps, il vit un petit village en effervescence. Se demandant si les habitants auraient besoin de son aide, il alla vite chercher son valet qui était encore sur le cerisier.

-Hugo, descends, nous reprenons la route, il y a un petit village pas loin mais il semble y avoir une certaine agitation, s’il y aura bataille, je préfère avoir mon heaume.

Le garçon tenta de descendre rapidement, mais la branche à laquelle il s’était accroché fini par rompre et Hugo se retrouva les quatre fers à l’air.

-Cesse de faire le pitre et dépêche toi.

Dit Laurent, Hugo se releva péniblement et suivi son maître vers le village.

Lorsqu’ils arrivèrent, les habitants les regardaient avec un air curieux. C’était logique, ils n’avaient jamais vu de bretonnien de leur vie et ne pouvaient savoir ce qui avait poussé ce chevalier dans cet endroit perdu. Soudain une voix impérieuse cria

-Place aux voyageurs messieurs dames. Un homme assez grand s’avança vers Laurent et Hugo. Il avait une large carrure, la tête complètement rasée, ni cheveux ni barbe mais les sourcils d’un noir profond, l’un de ses yeux était opaque mais l’autre était vert émeraude. Le regard de ce guerrier, car s’en était un, montrait sa fierté et sa foi envers son dieu. Il portait une armure de plate complète noire avec une comète à deux queux sur son torse. Il avait également un énorme marteau dans les mains.

-Bienvenu messire, je me nomme Klaus, prêtre guerrier de Sigmar, c’est un honneur d’accueillir un seigneur bretonnien dans notre village.

Il était clair que Klaus n’était pas de la région, il semblait venir des terres du Nord, en effet, c’était un prêtre guerrier originaire de Ferlangen qui a quitté sa maison natale pour devenir prêtre guerrier de Sigmar. Il était un pieux prêtre et lutta aux coté de Luthor Huss et Valten lors de l’assaut provoqué par Archaon sur Middenheim.

Laurent sourit au prêtre qui le lui rendit bien, puis il se dirigea vers un homme assez musclé et barbu qui semblait être le maréchal ferrand.

-Dites-moi, j’ai vu que vous aviez des chevaux, en vendez-vous?

L’homme se gratta le menton et dit finalement:

-Nous avons actuellement besoin de ces chevaux pour nous défendre, les orques lancent des raids sur notre village, bien que nous ayons toujours de quoi les repousser, ils reviennent et finiront par nous submerger et…

Le prêtre guerrier coupa la parole au maréchal ferrand.

-Peut être que si messire consentait à nous aider à défendre le village en attendant les renforts que j’ai demandé, vous pourriez lui vendre un cheval Sigmund.

Le barbu réfléchit à son tour et dit en haussant les épaules:

-Moi je veux bien!

Klaus regarda Laurent qui répondit positivement d’un signe de tête.

-Les renforts devraient arriver au plus tard demain ce qui ne vous bloquera pas longtemps ici. messire?

Laurent descendit de son cheval.

-Je suis le comte Laurent de la Ronce, chevalier de la quête.

Klaus fixa ensuite Hugo qui se tenait près de son maître. Le garçon avait un peu peur du prêtre guerrier et de plus la perspective d’affronter les orques ne l’enchantait guère. D’ailleurs il semblait se cacher derrière le chevalier.

-C’est un bien peureux écuyer que vous avez là messire! Dit Klaus en souriant.

Laurent dit aussitôt.

-Quoi ce gosse? Ce n’est en aucun cas mon écuyer, même le plus trouillard des paysans que j’ai connu est plus courageux que lui. Ce n’est que mon valet. Maintenant, il vaut mieux nous préparer à nous battre.

HUGO amène mon cheval aux écuries du maréchal ferrand.

Pendant que le gamin détalait exécuter l’ordre. Le chevalier pria la Dame de lui accorder la victoire dans la bataille à venir.

à suivre

Modifié par Setepenmentou
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-Cesse de faire le pitre et dépêches toi.

Dit Laurent, les deux voyageurs se dirigèrent vers le village.

Relis ta phrase, tu vas voir par toi meme le souci qu'il y a ^_^

L’homme se gratta le menton et dit finalement.

Il faudrait ":" a la fin !

Bon c'est tout ce que j'ai pu voir donc a priori, c'est pas trop mal !

Sur le fond, les deux associés se trouvent dans une belle galère ! Meme si on ne voit pas comment un homme changerait les cours des choses puisque tu decris les orcs comme etant plus nombreux !!!

Voila

@+

-= Inxi =-

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Invité Snikch, le maître de la nuit

ha génial une suite...

Bon je n'ai pas trouvé de fautes,même si je ne cherche pas énormément... ^_^

Alors l'histoire avance, on s'attache vraiment à hugo par ses actes maladroit...

Bon j'ai pas grand chose à rajouter...

Bonne écriture si tu trouves le temps...

@+

-=Snikch=-

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  • 3 semaines après...

Les défenses furent soigneusement mises en place. Laurent parla des pieux qu’utilisaient les paysans pour se protéger. Les villageois prirent les énormes bûches qu’ils possédaient et les taillèrent en pointe pour les ficher autour du village. Les armes furent rapidement distribuées. Le maréchal ferrand alla voir le chevalier avec une arquebuse.

-Holà messire, que diriez vous de porter cette pétoire?

Laurent se saisit de l’arme et l’examina. Il connaissait peu les arquebuses et savait ce que c’était. Il rendit l’arme au barbu.

-C’est bien dommage! Personne ne maniera cette arme. Dit le maréchal ferrand.

-Attendez j’ai une idée. Dit Laurent avec un petit sourire.

Il appela son valet. Hugo était perché sur un des toits et faisait le guet. En entendant son nom, il se pencha vers son maître.

-Sais tu te servir de ceci? Continua Laurent en lui envoyant l’arme.

Le jeune garçon l’attrapa et l’examina pendant un certain temps.

-Je m’en servirai du mieux que je peux mon maître! Conclut le valet avant de reprendre ses observations. C’est là qu’au loin il vit une silhouette très corpulente qui se tenait devant le soleil qui commençait à décroître. Il mit ses mains en porte voix et hurla

-Messire un orque à l’horizon vers le couchant.

Laurent regarda dans la direction indiquée par son valet. En effet, il y avait un énorme peau verte sur une colline, puis un autre orque apparu, puis dix, et vingt. On pouvait voir les silhouettes des gobelins qui se cachaient derrière leurs chefs.

Le chevalier hurla aux armes, tous se mirent en position, les chevaux furent montés en moins de deux et au loin les habitants entendirent le hurlement sauvage des peaux vertes. Certains tremblaient, d’autres attendaient calmement. Laurent sorti l’épée de la Quête de son fourreau pendant que Klaus priait et serrait son marteau dans ses grandes mains.

Les orques arrivèrent jusqu’au village, traversant les quelques buissons sur leurs chemin. Mais la majorité ne virent pas les pieux dressés pour les accueillir et s’embrochèrent dessus. Les hommes armèrent rapidement leurs arquebuses pendant que les orques franchissaient la première rangée de pieux en marchant sur les cadavres de leurs congénères. Les soldats firent feux et d’autres peaux vertes furent fauchés par les balles. La première ligne d’arquebusiers se mit en arrière pour recharger pendant que la seconde avançait résolument et se mettait en joue. Toujours perché sur son toit, Hugo visa également l’ennemi le plus proche, tira et fit mouche. Sa victime tomba à terre, le crane était entièrement explosé par le projectile. Laurent ordonna que les lanciers défendent les tireurs, ils se mirent à genoux devant leurs compagnons et firent face à l’ennemi, la lance placées comme des pieux. Les orques progressaient toujours enragés et même leurs pertes ne les arrêtaient pas car il y en aurait d’autres qui les remplaceraient. D’ailleurs à l’endroit où le chef orque se trouvait, d’autres masses vertes continuaient à se lancer dans la bataille. Klaus vit la marée verte franchir la seconde ligne de pieux alors qu’ils étaient criblés de balles et se jeter sur ses troupes. Priant Sigmar le prêtre guerrier brandit son marteau et chargea les orques avec quelques guerriers qu’il a rendu fanatique par ses prêches. Laurent décida que c’était le bon moment pour prendre l’ennemi de flanc. Il leva son épée au ciel et accompagné des rares cavaliers du village, il attaqua à son tour. La charge des destriers enfonçant facilement les peaux vertes mal protégés. Toutefois Laurent savait que les orques avaient de nombreux effectifs et qu’il aurait fallu se préparer à une guerre d’usure, mais c’était impossible étant donné le peu de temps dont ils avaient disposé. Mais le comte n’avait pas l’intention d’abandonner, il ne mourra pas sur ce champ de bataille, il ne perdra pas, il était fermement déterminé à remporter la victoire.

L’ennemi arrivait toujours plus nombreux pendant que le soleil se couchait, les orques rugissaient de rage, les prières de Klaus permettaient aux combattants de garder leurs courage. Aux fenêtres des maisons les enfants et les femmes jetaient des projectiles pendant que les hommes empêchaient à tout prix les peaux vertes de pénétrer leurs logis. Hugo toujours sur son toit tirait sur tout ce qui approchait trop de lui, il restait sur place non pas par courage mais plus par peur de se faire tuer s’il bougeait. Un gamin arriva pour lui apporter ce qu’il restait de cartouche dans la maison. Le jeune homme les usait bien vite il ne prenait pas assez de temps pour viser, mais comme les orques étaient nombreux c’était quasi inutile, il tirait à tout va et touchait toujours un ennemi.

La bataille se déroulait dans le village qui était à présent entouré de brochettes vertes. Laurent toujours sur son destrier frappait avec la force de sa foi, il gardait espoir en la victoire, il fallait tenir jusqu’à ce que les chevaliers réquisitionnés par le prêtre guerrier arrivent, ce qui ne saurait tarder. Toutefois il devait faire reculer son destrier petit à petit, les villageois derrière se battaient avec des fourches et des faux, ce qui permettait que le chevalier ne soit pas débordé, même si les rues étaient étroites et réduisaient l’avantage du nombre, les impériaux étaient encerclés de tout les cotés. Les armes à feux étaient à présent inutiles et envoyées à ceux qui pouvaient encore s’en servir. Les peaux vertes se taillaient un chemin sanglant dans le village. Klaus courut dans les plus intenses des combats renforçant la détermination des habitants. Les armes improvisés étaient nombreuses mais efficaces. Hugo et des gamins armés d’arquebuses sautaient de toit en toit pour récupérer les munitions non utilisées, il fallait que chaque habitant participe à l’effort de guerre. Le valet se désola que ces gosses connaissent déjà les malheurs du combat, il savait qu’il serait difficile pour eux de tuer pour la première fois, mais il fallait tuer ou être tué, il l’avait longtemps appris quand il était brigand. Au loin il voyait Laurent affrontant simultanément quatre orques, il épaula son arme et cette fois visa longtemps dans la direction de son maître. Il était bien placé et cette opportunité était à saisir, il n’aurait plus cette chance. Au meilleur moment il appuya sur la gâchette. La balle de plomb traversa la rue pour atteindre un orque, Hugo avait réussit son coup et certains ennemis fuirent. Laurent jeta un coup d’œil et vit son valet qui continuait de tirer sur d’autres peaux vertes un peu plus lointains. Le chevalier sourit et souffla dans son cor. D’un cri de guerre sauvage il chargea les orques, la populace le suivit avec courage, pour eux, Laurent était un sauveur. La bataille n’était pas perdue ni gagnée alors que le dernier rayon du soleil venait de décliner.

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Invité Snikch, le maître de la nuit

Bon ben prem's...

Au niveau de la forme il me semble que tu as des problèmes au niveau de la conjugaison...

ce qui permettait que le chevalier ne soit pas débordé, même si les rues sont étroites et réduisent l’avantage du nombre,

Ici il y a un problème de coordination de temps...

tu devrais mettre "même si les rues étaient étroites..."

mais il faut tuer ou être tué

Fallait

il l’a longtemps appris

l'avais

Il ya pas mal de passage comme ca dans ton texte...

Malheureusement étant donné mon état de fatigue et ma flemme je n'ai pas réussi à tous les retrouver...

Sinon au niveau du fond rien à dire...

Toujours aussi bon...

J'attends la suite...

@+

-=Snikch=-

Modifié par Snikch, le maître de la nuit
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arf faut dire que récément j'ai eu très peut de temps à moi, donc très peu pour écrire et me relire désolé, c'était surtout le soir aux alentours de 22h.

Votre avis sur la bataille par rapport à celle du Magicien de la Dame?

Modifié par Setepenmentou
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Les soldats firent feux et d’autres peaux vertes furent fauchés
enfonçant facilement les peaux vertes mal protégés

Alors pour les deux phrases, j'aurai fait un accord avec peau verte et la suite, et pour la première, il n'y a pas de "x" a feu :whistling:

Sinon dans l'ensemble c'est pas mal ! Meme si la bataille est assez longue sur papier, j'ai l'impression qu'elle est abrégée ... Je saurai pas dire ce qui rend cet effet mais c'est penible :whistling:

Sinon c'est pas mal, :wink:

Je veux la suite !

@+

-= Inxi =-

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abrégée ... Je saurai pas dire ce qui rend cet effet mais c'est penible :whistling:

Peut être il faudrait que je décrive mieux :wink: perso je sais pas, puis elle est pas finie ^^.

Je veux la suite !

ca risque d'être long ^^'

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Invité Feurnard

Une transition me dérange sérieusement :

-Je m’en servirai du mieux que je peux mon maître! Conclut le valet avant de reprendre ses observations. C’est là qu’au loin [...]
Inexpliquablement dérangeant.
La bataille se déroulait dans le village qui était à présent entouré de brochettes vertes
Sérieusement ? Des brochettes ?

Une bataille très descriptive, comme dans Histoire des hommes lézards. Essaie de décrire un peu plus, pour donner des repères et pour qu'on puisse plus aisément visualiser le combat. Ce peuvent être des descriptions générales, comme "Les abords du village jonchés de cadavres puaient la mort" ou plus précises, comme "La troupe est enfoncée, les corps culbutant, roulant, piétinés par leurs compagnons et la masse des orcs.". Il faut nous faire entendre le fracas de la bataille (le plus souvent par une répétition de voyelles ou de consonnes).

Le déferlement des orcs est, par contre, assez bien réussi. Ca mériterait peut-être un peu plus de descriptions.

Et puis il y a le côté cohérence. Ce dont tu nous parles, à part qu'il n'y a que de la piétaille, c'est d'une véritable armée d'orcs. Dans ces conditions, en dix minutes la bataille est pliée. D'ailleurs, durant tout le texte, tu tentes d'excuser la victoire des impériaux (les piques, les arquebuses, les gosses...).

Il y a d'autres manières pour rendre le combat épique, que de faire déferler des millions de créatures faiblardes. J'aurais bien imaginé quelques chevaucheurs tournant autour du village, puis des munitions qui manquent vraiment ici et là, et les maisons en flamme. Plus c'est cohérent, plus c'est tangible et donc plus c'est dangereux.

Par contre, tu as fait un réel effort pour décrire plus en profondeur la bataille et, même s'il reste quelques clichés (mais Hugo n'est-il pas en soi un cliché ?), elle nous paraît bien plus vivante que dans Le Magicien de la Dame.

Bref, en effet il faut que tu décrives mieux, mais c'est déjà assez bon comme cela. J'attends la suite avec un certain intérêt.

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Salut,

Pour ce qui est des fautes, à vrai dire je n'en ai trouvé qu'une:

Le chevalier sourit et fit souffla dans son cor.

A part ça, j'allais te faire remarquer le manque de description mais le bon Feurnard l'a si gentillement fait à ma place :wink: Donc, il te faut décrire plus, ce qui ne peut qu'attirer encore plus le lecteur et rendre ton texte plus beau. Le scénario en lui même est très sympa et j'ai hâte de découvrir la suite...Bonne soirée,

Méph' :whistling:

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