Guidrion Posté(e) le 4 novembre 2005 Partager Posté(e) le 4 novembre 2005 (modifié) Bonjour à tous Voici le commencement de l'histoire de mon système:enfin plus particulièrement de sa GI,avec quelques apparitions de space marines Enfin assez de bavardage,place au récit: Chapitre 1: Premier assaut "Par l'Empereur, qu'est-ce qu'il y a encore?" C'est sur ces mots qu'Adrian se réveilla en sursaut du fait de l'alarme stridente de son poste de réception. La réponse qu'il demandait s'afficha sous la forme de runes sur l'écran principal. Au moment où Adrian allait appeller le commandant, ce dernier ouvrit la porte en prononcant son éternel "que se passe-t-il?" depuis qu'il avait été affecté à ce poste. Adrian avait pris l'habitude des entrées imprévues du commandant; il se retourna pour apercevoir le grand homme s'avancer vers lui, débraillé avec un uniforme du haut-commandement enfilé nonchalament, ses cheveux bruns bouclés éternellement en bataille. Il sourit malgré la gravité de la situation: cet homme qui dirigeait à lui seul toute la garde de Numar avait l'air de tout sauf d'un grand officier. Le commandant Mike Azkar s'appuya sur le fauteuil gris et usé d'Adrian en regardant l'écran. - Et bien? - Une nouvelle étrange est tombée commandant: La ceinture d'astéroïde nord du système a cessé tout signe de vie, le QG d'Altis ne capte plus aucune émission d'énergie. - Un problème informatique de leur centrale? - Non les ordinateurs d'Altis l'auraient remarqué - Une attaque? - Possible, mais bizarrement aucune des batteries de la ceinture ne s'est mise en marche. - Transmettez l'ordre de lancer une escadrille de reconnaissance Faustus au TIR d'Altis. - A vos ordres. - Tenez-moi au courant des résultats. Sans attendre de réponse, Azkar quitta la pièce en laissant Adrian à son travail. Malgré son air calme, il était réellement inquiet; Altis était la défense la plus efficace de Numar après la ceinture de défense de Numares Prime. De plus, elle était positionné dans un point de Lagrange qui constituait le point de passage le plus important avec le reste de l'Imperium. Un an plus tôt, il n'aurait pas éprouvé autant d'inquiétude. Mais aujourd'hui Numar avait déclaré son indépendance vis-à-vis de Terra en proclamant son mépris de ces hommes qui se croyaient assez sage pour parler au nom du divin Empereur, l'Adeptus Terra. Il n'avait pas peur de l'inquisition, il n'avait pas peur des régiments de la garde impériale: après tout, Numar avait tenu en échec les Taus et les cultes du chaos: mais un seul ennemi qu'il n'avait jamais affronté le terrifiait: les forces Astartes. Mais il chassa cette pensée de son esprit: Les space marines ne se déplacent pas pour de "simples indépendantistes". Il partit dans ses quartiers pour préparer les troupes d'élite de Numar en vue d'une opération dans la ceinture Altis: Les régiments Numars de Numares Prime. Texte remanié: "Par l'Empereur, qu'est ce que c’est que ça?" C'est sur ces mots qu'Adrian se réveilla en sursaut les timpans vrillés par l'alarme stridente de son poste de réception. La réponse qu'il demandait s'afficha sous la forme de runes sur l'écran principal: des données en provenance de la surveillance altienne. - Ils ne pourront donc jamais s’occuper d’eux-mêmes seuls. Après avoir poussé un long soupir et s’être maudit pour avoir accepté les permanences transmissions dans les unités spatiales, Adrian se pencha sur son clavier pour décoder le message astropathique et pianota son propre code de sécurité. Une nouvelles volée de runes apparut sur l’écran l’instant suivant. Son ordinateur lui annonça de sa voix mécanique que son code était inadapté. - Un niveau de codage pourpre… Il soupira. Pas de bonnes nouvelles en perspective. Au moment ou Adrian allait appeller le commandant, ce dernier ouvrit la porte en prononcant son éternel "que se passe-t-il?" depuis qu'il avait été affecté à ce poste. Adrian avait pris l'habitude des entrées imprévues du commandant; il se retourna pour apercevoir le grand homme s'avancer vers lui, débraillé avec un uniforme du haut-commandement enfilé nonchalamment, ses cheveux bruns bouclés éternellement en bataille. Il sourit malgré la gravité de la situation: cet homme qui dirigeait à lui seul toute la garde de Numar avait l'air de tout sauf d'un grand officier. Le commandant Ilsem Azkar s'appuya sur le fauteuil gris et usé d'Adrian en regardant l'écran. - Et bien? - Une nouvelle inquiétante est tombée, commandant: La ceinture d'astéroïde nord du système semble avoir un problème, le QG d'Altis ne capte plus aucune émission d'énergie. - C’est suspect. Un problème informatique de leur centrale? - Non, les ordinateurs du serveur militaire central d'Altis l'auraient remarqué. - Une attaque donc. - Possible, mais bizarrement aucune des batteries de la ceinture ne s'est mise en marche à aucun moment avant la coupure et les radars n’ont rien détecté. - Il serait temps qu’Altis investisse dans des équipes de psyker logistiques - Les Altiens n’ont plus confiance dans ce genre de moyen depuis que la chute partielle de la planète contre les Taus. - Adrian, je sais cela… Nous êtions dans la reconquête, vous vous souvenez? Bon, assez trainé. Transmettez immédiatement l'ordre prioritaire de lancer une escadrille de reconnaissance à l’état-major spatial du TIR d'Altis. Niveau de sureté magenta. - A vos ordres. - Tenez moi au courant des résultats. Je serai au gymnase. Sans attendre de réponse, Azkar quitta la pièce en laissant son subordonné à son travail. Malgré son air calme, il était réellement inquiet; Altis était la défense la plus efficace de Numar après la ceinture de défense de Numares Prime. De plus, elle était positionnée dans un point de Lagrange qui constituait le point de passage le plus important avec le reste de l'Imperium. Un an plus tôt, il n'aurait pas éprouvé autant d'inquiétude. Mais aujourd'hui, sa planète et ses alliés avaient déclaré leur indépendance vis-à-vis de Terra en proclamant haut et fort son mépris de ces hommes qui se croyaient assez sages pour parler au nom du divin Empereur, l'Adeptus Terra. Ils étaient à présent appellés hérétiques pour avoir proclamé une fois directement liée à Lui et non pas à des humains dictant leur bon vouloir à un million de mondes. Il n'avait pas peur de l'inquisition, il n'avait pas peur des régiments de la garde impériale. Après tout, Numar avait bien tenu en échec les envahisseurs honnis de l’Empire Tau et les cultes hérétiques du chaos mais un seul ennemi qu'il n'avait jamais affronté le terrifiait: les forces Astartes. Mais il chassa cette pensée de son esprit: Les space marines ne se déplacent pas pour de "simples indépendantistes". Il partit dans ses quartiers pour préparer les troupes d'élite de Numar en vue d'une opération dans la ceinture Altis: Les régiments TIR de Numares Prime, les vétérans les plus célèbres des dernières années. C'est tout pour l'instant,je posterai la suite ce soir à cause d'un manque de temps. En attendant vous pouvez déjà exprimez votre avis Merci d'avances pour les commentaires bon ou mauvais Guidrion Remanié! Modifié le 28 juin 2007 par Guidrion Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tano Heefa27 Posté(e) le 4 novembre 2005 Partager Posté(e) le 4 novembre 2005 (modifié) Voilà un texte interessant et original ... Toutefois, la ponctuation laisse à désirer, et sacade le texte... tu place notamment souvent les points à la place des virgules... Pour les idées générales transmises: Mais aujourd'hui Numar avait déclaré son indépendance vis-à-vis de Terra en proclamant son mépris de ces hommes qui se croyaient assez sage pour parler au nom du divin Empereur,l'Adeptus Terra. Interessant, mais à creuser: en effet, si ils adorent l'Empereur, mais pas ce que son Imperium est devenu (comme la Ja'rad Guard ), c'est tout au moins que le gouverneur de ce système à eut accès à des archives datant de l'Hérésie, décrivant un Empereur qui n'est pas vraiment celui que présente l'Adeptus Terra, xénophobe et fasciste... Il n'avait pas peur de l'inquisition,il n'avait pas peur des régiments de la garde impériale:après tout,Numar avait tenu en échec les Taus et les cultes du chaos:mais un seul ennemi qu'il n'avait jamais affronté le terrifiait:les forces Astartès. Astartes. Si le système seul est capable de résister aussi vaillement, c'est qu'il est puissant et important. Si il est aussi puissant et important, c'est qu'il est facile d'accès... ce que tu contredis... Mais il chassa cette pensée de son esprit:Les space marines ne se déplacent pas pour de "simples indépendantistes".Il partit dans ses quartiers pour préparer les troupes d'élite de Numar en vue d'une opération dans la ceinture Altis:Les régiments Numars de Numares Prime. Idem ici: si le système est important et difficile à reprendre, on fera appel aux SM pour qu'il étaignent les feux de la rébellion rapidement, proprement (enfin... il essayeront...), et chirurgicalement... C'est d'ailleurs précisément leur rôle premier. TH, qui pense qu'il n'est pas du tout facile de quitter l'Imperium... à moins d'avoir de puissants alliés (comme les Tau, que les Numariens ne semblent hélas pas porter dans leurs coeurs... ) Modifié le 4 novembre 2005 par Tano Heefa27 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Guidrion Posté(e) le 4 novembre 2005 Auteur Partager Posté(e) le 4 novembre 2005 Toutefois, la ponctuation laisse à désirer, et sacade le texte... tu place notamment souvent les points à la place des virgules... Hélas,c'est mon grand défaut mais je relirai le texte pour cooriger la ponctuation Interessant, mais à creuser: en effet, si ils adorent l'Empereur, mais pas ce que son Imperium est devenu (comme la Ja'rad Guard ), c'est tout au moins que le gouverneur de ce système à eut accès à des archives datant de l'Hérésie, décrivant un Empereur qui n'est pas vraiment celui que présente l'Adeptus Terra, xénophobe et fasciste... Le gouvernement Numar(et pas numarien ) considère que l'état actuel de l'Imperium n'est du qu'aux actions mal réfléchie de l'adeptus terra.Ils considèrent que nul n'est assez pur pour parler au nom de l'Empereur:c'est pour cette raison qu'ils ont coupé les ponts avec l'Imperium. Si le système seul est capable de résister aussi vaillement, c'est qu'il est puissant et important. Si il est aussi puissant et important, c'est qu'il est facile d'accès... ce que tu contredis... je me rends compte que j'ai mal rendu l'idée de base sur l'accessibilité du système.Je vais le corriger. De plus pour la puissance du système:il faut prendre en compte qu'il s'agit de l'avis du chef de la défense Numar:il n'a pas peur de l'ennemi sauf les astartes. Enfin vous en apprendrez plus sur Numar plus tard,l'imperium n'a pas vraiment le point de vue valorisant d'Azkar vis-à-vis de la puissance Numar autre détail:les cultes du chaos ne sont pas des smc mais une sombre histoire de révolte majeure du à une immigration ratée.Enfin vous en saurez plus au fur et à mesure de l'avancée du texte. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
The Last Sword Posté(e) le 4 novembre 2005 Partager Posté(e) le 4 novembre 2005 Après le passage de Tano, il n'y a plus grand-chose à redire. Les idées sont sympathiques et j'ai envie d'en savoir plus. Dommage que la ponctuation déserve le texte, ainsi que quelques mots manquants et autres fautes d'orthographes sournoises cachées dans quelques recoins. Enfin rien dont un traitement de texte et une relecture ne puissent venir à bout. Il y a juste quelques passages dont la formulation me paraît un peu bizarre C'est sur mots qu'Adrian se réveilla en sursaut du fait de l'alarme stridente de son poste de réception J'aurais mis quelque-chose du style "C'est sur ces mots qu'Adrian se réveilla en sursaut, les tympans vrillés par l'alarme de son poste de réception.", mais c'est peut-être plus une question de goût. Mis à part ces points-là, l'histoire de Numar m'a l'air bien travaillée. Et comme les space marines vont arriver, je guette la suite. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Guidrion Posté(e) le 4 novembre 2005 Auteur Partager Posté(e) le 4 novembre 2005 (modifié) voici la suite du texte A l'intérieur des trois Faustus de la patrouille, le silence régnait, parfois rompu par les gémissements de l'astropathe de bord, et la tension montait au fur et à mesure de l'approche: chacun savait intimement ce qu'une telle alerte signifiait: si c'était l'Imperium qui avait lancé l'assaut, c'était peut-être le début de la fin. Le premier à mettre fin au silence pesant fut le chef d'escadrille: - Ici Caeden, nous amorçons la phase d'approche du centre de commandement, mettez vos batteries en position de tir et soyez prêts à faire feu au moindre signe d'hostilité. L'ordre fut transmis par l'astropathe après avoir récité une litanie de protection. Simultanément, les serviteurs placèrent les autocanons en position de tir. Caeden voyait les installations fortifiées de l'astéroïde-état-major, pensant que plus personne ne s'y trouvait. - une saleté de météorite aura bousillé le système d'aération. Le capitaine ne put prononcer une autre parole, le hurlement de son navigateur produisant les derniers sons qu'entendrait l'appareil. Rien ne put être fait alors que les batteries du batiment, soudainement rallumées, avaient abattus les trois appareils dans une gerbe de flammes, de plasma et d'acier en fusion. Sur Numares Prime, Adrian poussa un juron plus par désespoir que par colère et appella le commandant pour lui transmettre la nouvelle. Azkar se mit aussitôt à courir en direction du centre d'opération. En arrivant, le commandant surgit dans la pièce et se précipita vers les écrans. - La situation? - Mauvaise, très mauvaise: l’escadrille de reconnaissance a été entièrement détruite sans pouvoir nous transmettre une seule information. - Comment a-t-elle été détruite? Azkar haussa la voix si fort qu’Adrian sursauta et faillit tomber de son siège. Il n’avait jamais vu son commandant ainsi. Azkar, visiblement incapable de garder son calme, reposa sa question, moins fort, mais avec un ton infiniment plus menaçant. Adrian se mit à fixer son écran en quête de l’information, il était terrifié. - Les batteries de l’installation de commandement de la ceinture se sont subitement rallumées et les ont abattus. Azkar reprit son calme en soupirant mais Adrian voyait que sa colère avait fait place à la peur, la peur et l’inquiètude. - Alors il ne s’agit pas d’une panne. C’est une attaque et ce ne sont pas des xenos qui ont fait le coup. - Qui alors? L’opérateur connaissait déjà la réponse mais l’échange de regard qu’il eut avec le commandant confirma ses pensées. C’était arrivé! L’Imperium était à leurs portes! L’état d’alerte avait été déclaré, deux régiments du TIR de Numares Prime était déjà en train d’embarquer dans les vaisseaux de transports rapides, preuve de l’organisation sans pareil des troupes Numars. Azkar avait ordonné le déploiement de trois régiments de la garde de Numar et avait ordonné aux autorités d’Altis d’appliquer les tactiques de couverture de la flotte des FDP Altis et de déployer les équipes d’infiltration du TIR local. Il avait une confiance totale dans ces unités de vétérans qu’il avait constitué depuis la seconde chute. Le TIR ou troupe d’intervention rapide était une unité constitué de tout les vétérans issus des FDP de chaque planète du système. Elles avaient deux fonctions: la mise en place rapide et puissante contre les invasions par des troupes motorisées et blindées et l’infiltration dans les installations ennemies ou même derrière les lignes avant la bataille. C’était de tels soldats qui allaient infiltrer la base astéroïdale afin de retarder les actions ou au mieux éliminer l’ennemi avant l’arrivée des troupes d’Azkar. Sur Altis la sélection des équipes d’infiltration fut rapide mais efficace, tous les meilleurs éléments avaient été rassemblés en escouade excellant chacune dans une mission: le sabotage des batteries, la démolition et le tir embusqué. Tous reçurent un équipement complets correspondant à leurs aptitudes, bien que certains durent se séparer de leur fusil laser au profit d’un fuseur ou d’un lance-plasma. Les trois lieutenants Crell, Garen et Julius des équipes furent brieffés durant le trajet qui les conduisaient à l’objectif. Ceux-ci étaient simples mais primordiaux: l’équipe de sabotage devait coupés les générateurs des batteries de lasers, l’équipe de démolition devait faire sauter la salle de commandement après avoir transféré un virus dans les fichiers défense de l’ordinateur principal avant qu’il ne puissent être décodés et finalement la dernière équipe devait infliger le plus de pertes possibles dans les rangs de l’ennemi et plus particulièrement parmi leur commandement. Une fois sur place, aucune erreur n’était permise. Les vaisseaux des FDP attaquèrent par le versant le moins défendu, celui orienté vers Altis. Le plan était de faire croire à une attaque spatiale afin de diriger les défenses et l’attention de l’ennemi sur les vaisseaux tout en larguant des torpilles à haute pression, une arme dévelloppé durant les combats avec l’Empire Tau. La projection de métal dense et de substances extensives opaques que produisait ces torpilles permettait de brouiller les radars et de diminuer la vision ennemie permettant ainsi aux vaissaux légers et rapides du TIR de débarquer les équipes d’infiltration avant une retraite rapide vers la flotte. texte remanié: Une forte agitation se tenait dans le spatio-port de la Triade. Caeden, chef d’escadrille de petite taille et arborant de longs cheveux blancs, y entra l’air préoccupé. Il leva les yeux en direction de son vaisseau. Trois chasseurs orbitaux de classe Arès se tenaient prêt à décoller sur les rampes de décollage, surplombant et écrasant de leur taille les hommes d’adeptus mechanicus et les techniciens altiens. Il partit en direction de son appareil, affectueusement surnommé le Soror macina. Un homme de l’état-major avec son casque de transmission l’apostropha, manifestement pressé. - Rejoignez votre appareil immédiatement. Décollage dans sept! Caeden acquiesca d’un signe de tête et se dirigea vers son appareil. Il ne put dissimuler un baillement. Tout cela l’ennuyait tellement. On lui avait confié une mission de reconnaissance. Encore un ordre de ces paranoïaques de bureaucrates de Numares Prime, pensa-t-il. On lui avait dit que c’était un ordre du “seigneur-commandant militant des armées numars Azkar”. Si c’était l’Azkar qui avait aidé la reprise d’Altis, il avait bien molli. Caeden avait le souvenir des ordres radicaux d’un homme énergique. Le vrai Azkar aurait déjà lancé une flotte parée pour le combat. Décidément tout devenait si ennuyeux… Une heure plus tard, à l'intérieur du Soror macina, le silence régnait, parfois rompu par les gémissements de l'astropathe de bord, et la tension montait au fur et à mesure de l'approche: chacun savait intimement ce qu'une telle alerte signifiait: si c'était l'Imperium qui avait lancé l'assaut, c'était peut-être le début de la fin. Le premier à mettre fin au silence pesant fut le chef d'escadrille, le seul à ne voir dans cette intervention qu’une banale reconnaissance: - Ici Caeden, nous amorçons la phase d'approche du centre de commandement, mettez vos batteries en position de tir et soyez prêts à tirer au moindre signe d'hostilité. L'ordre fut transmis par l'astropathe après avoir récité une litanie de protection. Simultanément, les serviteurs placèrent les autocanons en position de tir. Caeden voyait les installations fortifiées de l'astéroïde-état-major, pensant que plus personne ne s'y trouvait. Malgré tout, il n’arrivait pas à retrouver la concentration qu’il avait eu de par le passé, pendant la guerre. - Une saleté de météorite aura bousillé le système d'aération. Le capitaine ne put prononcer une autre parole, le hurlement de son navigateur produisant les derniers sons qu'entendrait l'appareil. Caeden et ses équipiers rencontrèrent leur destin tandis que les batteries du quartier général de la ceinture, soudainement rallumées, avaient abattus les trois appareils dans une gerbe de flammes, de plasma et d'acier en fusion. Sur Numares Prime, Adrian poussa un juron plus par désespoir que par colère lorsqu’il reçut une communication du quartier général du TIR altien et appella le commandant via les haut-parleurs de la base pour lui transmettre la mauvaise nouvelle. Ce dernier se trouvait alors en plein combat contre le colosse aux cheveux noirs qui constituait l’entraineur du gymnase. A l’intérieur d’un cercle dessiné à la craie, Azkar et l’immense Hostien combattaient avec d’antiques armes d’entrainement. L’Hostien semblait savourer chaque passe d’arme, chaque façon de prouver qu’Azkar n’avait pas tout les talents qu’on lui prêtait. Le commandant parvenait à parer tout les coups mais la force de son advresaire le faisait plier les genoux à chaque fois alors que ses propres attaques faiblissaient. - Alors petit Azkar! On a décidé d’en faire le moins possible? J’ai combattu des débutants avec moins de facilité. L’Hostien se pavanait avec de plus en plus de hardiesse tandis que les parades d’Azkar le forçaient à reculer pour profiter d’un peu de répit. Ce dernier tenta de distraire son adversaire. - Si tu essayais de me toucher au lieu de débiter ses sornettes! Azkar esquiva deux coup en s’abaissant et en s’approchant dangereusement de la ligne. “Par l’Empereur, peut-on faire plus archaïque que l’épée bâtarde ou le duel à l’hostienne?”, pensa-t-il. Il sursauta lorsque les haut-parleurs crachèrent son nom et un appel urgent au centre de communication du secteur. Il soupira et tourna rapidement la tête. Un coup d’épée le frappa au visage et le projeta à un mètre du cercle, complètement hagard. Il reprit ses esprits en secouant la tête. Il leva les yeux et vit son entraineur rire grassement devant lui avant de s’approcher et de lui tendre la main pour se relever. Azkar toussa, son nez saignait et son dos le faisait souffrir. - Il faudra faire mieux la prochaine fois! En combat, il faut savoir user de vos tripes pour éviter des coups plus méchants sous peine de les avoir à l’air. Il prit la main de son entraineur et se leva en lui jetant un regard noir. - En combat, on découpe l’arme de son adversaire avec une arme énergétique ou on l’achève avec un pistolet de service. - Vous êtes tellement terre-à-terre dans votre famille… Azkar soupira: il n’allait pas en plus lui raconter ses vieilles histoires avec son père et son frère? Après cette déplaisante fin de duel, Azkar se mit aussitôt à courir en direction du centre d'opération. Si on l’appellait ainsi, l’heure n’était plus aux boutades entre élèves et professeurs .En arrivant, le commandant, rouge et en nage, surgit dans la pièce et se précipita vers les écrans. - La situation? - Mauvaise, très mauvaise: l’escadrille de reconnaissance a été entièrement détruite sans pouvoir nous transmettre une seule information. - Comment a-t-elle été détruite? Azkar haussa la voix si fort qu’Adrian sursauta et faillit tomber de son siège. Il n’avait jamais vu son commandant ainsi. Azkar, visiblement incapable de garder son calme, reposa sa question, moins fort, mais avec un ton infiniment plus menaçant. Adrian se mit à fixer son écran en quête de l’information, il était terrifié. - Les batteries du quartier général de la ceinture se sont subitement rallumées et les ont abattus. Azkar reprit son calme en soupirant mais Adrian voyait que sa colère avait fait place à la peur, la peur et l’inquiètude. - Alors il ne s’agit pas d’une panne. C’est une attaque et ce ne sont pas des xenos qui ont fait le coup. Les xenos n’utilisent pas nos armes contre nous. - Qui alors? Qui cela peut-il être? L’opérateur connaissait déjà la réponse mais l’échange de regard qu’il eut avec le commandant confirma ses pensées. C’était arrivé! L’Imperium était à leurs portes! L’état d’alerte avait été déclaré. En moins d’une heure, deux régiments du TIR de Numares Prime avaient déjà entamé leur embarquement à bord des vaisseaux qui devaient les transporter à l’Arrianis. Un troisième était encore dans la salle de briefing régimentaire et attendait patiemment que le spatioport militaire soit dégagé. Au même moment, dans l’espace, les vaisseaux d’approvisionnement quittait l’Arrianis pour rejoindre les docks de la ceinture planètaire. En une heure, les Troupes d’Intervention Rapide requises de Numares Prime étaient sur le pied de guerre et paré à toute éventualité, preuve de l’organisation sans pareil des troupes Numars. Le commandant Azkar se tenait devant sur la rampe de sa navette d’état-major. Sa suite d’officiers montait en petits groupes dans l’appareil en conférant des marches à suivre et, pour les plus jeunes et impulsifs, pariant sur les décisions de leur supérieur. Le seul à ne pas se joindre directement à ces groupes de discussion futiles sur des stratégies hypothétiques fut Adrian. Il remarqua l’air quelque peu anxieux de son supérieur accoudé à la rampe de l’escalier. Son regard errait au milieu des immenses formations militaires. Il s’approcha de lui. Sa voix fit vaguement tressaillir son supérieur. - Tout va bien, commandant? - Oui. Je réfléchissais. - Vous devriez embarquer: l’Arrianis ne devrait pas attendre notre bon vouloir. - Vous avez raison, Adrian. L’embarquement des troupes en si peu de temps est déjà suffisament difficile sans qu’on n’y ajoute des officiers trainards… Allons-y! Azkar avait ordonné le déploiement de trois régiments de la garde de Numar et avait ordonné aux autorités d’Altis d’appliquer les tactiques de couverture de la flotte des FDP Altien et de déployer les équipes d’infiltration du TIR local. Il avait une confiance totale dans ces unités de vétérans qu’il avait constitués depuis la seconde chute. Le TIR ou troupe d’intervention rapide était une unité constituée de tous les vétérans issus des FDP de chaque planète du système. A la différence de la Garde d’honneur planétaire, ils avaient tout pouvoir pour intervenir hors des frontières de leur planète d’origine pour enrayer toute invasion. Elles avaient deux fonctions: la mise en place rapide, puissante et efficace d’une défense contre les invasions par des troupes motorisées et blindées et l’infiltration dans les installations ennemies ou même derrière les lignes avant la bataille. C’étaient de tels soldats, les meilleurs dans leur catégorie, qui allaient infiltrer la base astéroïdale afin de retarder les actions ennemies ou au mieux éliminer l’ennemi avant l’arrivée des troupes d’Azkar. Sur Altis la sélection des équipes d’infiltration, sous la direction experte des tacticiens d’Eulanius Algerian fut rapide mais efficace. Les meilleurs éléments avaient été rassemblés en escouade excellant chacune dans une mission bien spécifique: le sabotage, la démolition et l’assassinat. Tous reçurent un équipement complet correspondant à leurs aptitudes, bien que certains durent se séparer de leur fusil laser au profit d’un fuseur ou d’un lance-plasma. Certains hommes réchignèrent quelque peu mais leurs supérieurs Les trois lieutenants Crell, Garen et Julius des équipes furent brieffés durant le trajet qui les conduisaient à l’objectif. Les trois hommes avaient rejoint la salle en discutant de leur état de service. Garen ne pouvait dissimuler sa fierté après qu’on lui ait donné le commandement des équipes. Crell se contentait de le féliciter tandis que Julius dissimulait sa surprise. Il s’attendait à ce que son vieil ami, le lieutenant Crell, reçoive le commandement. La longue discussion entre Warden et le tacticien du général l’intriguait au plus haut point mais l’idée de mettre une mission en péril par de simples soupçons ne lui plaisait guère. Ils entrèrent dans la salle plongée dans le noir. L’écran situé devant eux s’illumina en les éblouissant et afficha un plan en trois dimensions de la base astéroïdale. Un officier entra en compulsant un dossier. Il le posa sur le bureau proche et sortit une baguette de métal. Tout en commençant son exposé, il pointa les différents poinst névralgiques de la base et l’angle de débarquement. Les objectifs étaient simples mais primordiaux pour assurer la sécurité de la flotte et des renforts d’Azkar: l’équipe de sabotage devait couper les générateurs des batteries de lasers, l’équipe de démolition devait faire sauter la salle de commandement après avoir transféré un virus dans les fichiers défense de l’ordinateur principal avant qu’il ne puissent être décodés et finalement la dernière équipe devait infliger le plus de pertes possibles dans les rangs de l’ennemi et plus particulièrement parmi leur commandement. Le briefing terminé, l’officier enjoignit ses subordonnés à rejoindre leur unité après leur avoir remis à chacun une plaque de donnée contenant le plan de la base. Les trois hommes quittèrent la salle sans un mot. Une fois sur place, aucune erreur ne serait permise. Les vaisseaux des FDP attaquèrent par le versant le moins défendu orienté vers Altis. La ceinture avait en effet été pourvu de défences principalement dirigée vers l’extérieur et ce, afin d’empêcher un bombardement de la planète au cas où la ceinture tomberait. En ce jour plus qu’en tout autres, les tacticiens altiens purent se féliciter de cette idée. Le plan était de faire croire à une attaque spatiale ayant pour but la destruction de la base afin de diriger les défenses et l’attention de l’ennemi sur les vaisseaux. Les vaisseaux de la flotte larguèrent un grand nombre de torpilles à haute pression, une arme dévelloppée durant les combats avec l’Empire Tau, pour couvrir le débarquement des infiltrateurs.. La projection de métal dense et de substances extensives opaques que produisait ces torpilles permettait de brouiller les radars et de diminuer la vision ennemie permettant ainsi aux vaissaux légers et rapides du TIR de débarquer les équipes d’infiltration avant une retraite rapide vers la flotte. La suite de cet assaut sera écrite ce soir si j’en ai encore le temps. Sinon, je m’y mettrais dés demain. Guidrion, les astartes attendront Remanié! Modifié le 23 décembre 2006 par Guidrion Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Kroxigor Posté(e) le 5 novembre 2005 Partager Posté(e) le 5 novembre 2005 Vraiment pas mal Moi j'adore ton texte et j'attends la suite avec impatience. Sinon c'est quoi FDP, c'est pas quelque chose comme Forces ou Flottes de Défenses Planétaires. Kroxigor qui attend la suite. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Guidrion Posté(e) le 5 novembre 2005 Auteur Partager Posté(e) le 5 novembre 2005 (modifié) Merci pour fdp t'y étais presque: forces de défense planétaire(dixit codex GI) EDIT:pour simplifier la compréhension et la suite du texte,j'ai divisé le texte déjà écrit en chapitre(pour l'instant un bien évidement) et en "parties" Modifié le 5 novembre 2005 par Guidrion Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Guidrion Posté(e) le 5 novembre 2005 Auteur Partager Posté(e) le 5 novembre 2005 (modifié) Bonjour à tous,voici la suite promise hier, avec la première apparition des sm et une apparition loin d'être discrête Chapitre 2: Infiltration Une fois débarqué, chacun des chefs d’escouade avait établit la connexion radio avec son équipe. Une fois les vérifications terminées, la trentaine d’infiltrateurs progressa vers le batiment. Par bonheur, la zone d’avancée était parsemée de couverts permettant une progression sûre bien qu’il y eut peu de risque que des hommes furent postés à cet endroit. L’attaque de la flotte était sans doute suffisament importante pour mobiliser la totalité de l’ennemi. Crell s’autorisa un sourire de satisfaction lorsqu’ils atteignirent la porte, mais celui-ci disparut rapidement. La vraie difficulté commençait maintenant. La porte ne pouvait être détruite par des explosifs standard, le bruit aurait déclenché l’alarme de sécurité interne. Par un geste, Crell intima aux hommes équipés de fuseurs l’ordre de découper la porte. Réduit à leur plus faible puissance, les armes thermiques découpèrent la porte sans difficulté; Cela fait, une simple bourrade suffit à faire tomber la porte. L’équipe entra à l’intérieur. Les yeux se tournèrent vers le plafond. Jusque là tout se passait comme prévu: les conduits d’aération s’étaient fermés pour empêcher une dépressurisation dûe à un impact de missile. Habitué à ce type d’opération, Jark, le technicien de l’équipe de démolition, détacha la plaque protectrice du conduit d’aération sans délencher l’alarme. Les conduits préssurisés par palier étant la seule option pour continuer l’opération avec discrétion. Une fois le conduit ouvert, les membres de l’escouade s’engouffrèrent dans le conduit un à un. Une fois toute l’équipe entrée, le collègue de Jark referma la trappe et transmit à ce dernier l’autorisation d’ouvrir la seconde plaque de protection. Le même acte se joua une dizaine de fois de suite. Une fois arrivé au onzième palier, le groupe avait déjà accomplit la première étape de l’infiltration. Une fois arrivé à un croisement, le groupe descendit dans un couloir de la base. Une fois là, les chefs d’escouades se réunirent tandis que Garen sortait une plaque de données. Celle-ci contenait un plan détaillé de la base. -Bon! On va pas s’installer confortablement. Je vais vous donner les ordres et ensuite on se dépêche de les exécuter. La flotte principale sera là dans trois heures et si on se plante: Ils se feront descendre en deux minutes pigé? Malgré le silence des hommes, Garen savait que chacun était conscient de l’importance de la mission. -Alors voilà les ordres: Julius et son équipe vont partir dans le conduit pour rejoindre la centrale des batteries. Une fois, là ils feront tout sauter. L’équipe de Crell s’occupera du centre de commandement. Vous devrez passer par les couloirs sans vous faire remarquer vu que ce réseau de conduit d’aération ne couvre que les zones défensives de la base. Maintenant les derniers viendront avec moi pour esayer d’éliminer les patrouilles et de tuer leurs chefs. Allez exécution! La suite se passa avec diligence, les soldats de Julius sautèrent avec agilité dans le conduit tandis que l’équipe de Crell se mettait en marche dans le couloir nord. L’équipe de Julius avançait dans la pénombre des conduits bien que parfois la faible lueur du lecteur de Julius. Le silence était de rigueur durant la progression bien qu’aucun n’aurait songer à parler tant la tension était grande. Chacun savait ce qu’il se passait, chacun connaissait sa mission mais aucun n’arrivait à admettre cette situation. Heureusement ce silence pesant ne durat que peu de temps:l’équipe arriva à destination en une dizaine de minutes.Une fois au-dessus de la salle contenant le générateur principal, toute erreur était fatale. Les soldats descendirent un à un du conduit, Julius fut sidéré de l’absence de sentinelles. - Alex! Ouvre la porte avec une charge énergétique. Jark! prépare tes explosifs. Brad et Klen vous couvriront! Les autres! venez avec moi pour surveiller le couloir! Chacun des hommes ayant reçu ses instructions, l’opération sa passa avec silence. Alex sortit un explosif de la taille d’un poing d’enfant et le plaça contre la serrure à code de la porte. Il l’arma et s’éloigna. Une gerbe de fumée se propagea dans l’air mais pas le plus infime son ne fut perçu. La porte s’ouvrit, Brad et Klen entrèrent prestement en braquant leurs fusils lasers dans la pièce. - Y a rien! - Bizarre! - On s’en fout jark! Va poser les explosifs... J’aime pas cet endroit. C’est trop calme. Jark avanca dans la salle sans tenir compte de l’avis pessimiste de Klen. La salle était emplie de machines grondant. Il s’avanca vers l’engin central. Il détacha une charge de plastic de son épaule et le plaça sur l’engin. Il sortit ensuite un détonateur de sa sacoche et l’arma. Il se mit à courir en direction de la sortie. La charge mise, il était primordial d’avoir vidé les lieux lorsque l’explosion aurait lieu. Julius prit la parole: - Maintenant on se sépare en deux groupe: Brad, Klen et Alex vous prenez le couloir de droite: au fond vous trouverez une autre salle, elle alimente les batteries d’autocanons. Vous allez me faire sauter tout ca vu? - vu chef! Le groupe désigné se mit en route. Klen en tête Les cinq autres hommes allaient se charger des batteries anti-débarquement, les plus nuisibles aux soldats d'Azkar avec les batteries de canon lasers dont ils venaient de s'occuper.Le groupe se mit en branle et partit vers le couloir opposé. Klen avançait trois mètres devant ses compagnons, il avait peur. Le calme et le trop bon déroulement de l'opération était trop louche à son gout. Ils arrivèrent à un croisement, Klen fit un geste pour arrêter son groupe, des bruits lourds et sourds leur signalait l'arrivée d'une patrouille. Klen avança à pas de loup vers le croisement et soudain se jeta devant le passage. Sans qu'il n'ait pu mettre en marche son arme, Klen fut projeté en arriére par la violence du choc. Plusieurs projectiles d'une rafale aussi bruyante qu'un coup de tonnerre l'atteignirent, explosant et réduisant en charpie la totalité de ce qui fut Klen au-dessus de son abdomen. Etouffant un cri, Alex et Brad se mirent en position de tir, terrifiés. L'ennemi avança dans vers l'embranchement et firent apparaitre l'étendu de la terreur qu'ils inspiraient. Trois guerriers astartes du chapitre des ultramarines étaient là. Superbes et terrifiants, les immenses guerriers avancèrent. Le premier avança en écrasant les restes de Klen. Mauvaise fut son inspiration. Une explosion retentit, le space marine avait marché sur la sacoche de grenade du défunt. Le guerrier fut déchiqueté par l'explosion et s'écroula. Son suivant avait également sentit la puissance du choc, du moins son bolter qui reçut plusieurs éclats d'adamantium brulant le rendant inutilisable. Le guerrier visiblement en colère jeta son arme en direction d'Alex qui réceptionna le coup avec son fusil mais le choc brisa l'engin. Sidéré, le soldat fut pris d'une sorte de courage désespéré. Il sortit une longue dague en se mettant à courir en direction du space marine. A son contact il bondit pour tenter de lui trancher la gorge, mais l'ultramarine se saisit de sa main dans un geste si rapide que les deux Numars crurent rêver. Dans un second geste tout aussi rapide, le guerrier brisa la totalité du bras du soldat en un seul coup comme si il s'agissait de porcelaine. Alex poussa un hurlement de douleur qui se répercuta dans le couloir sombre. Sa souffrance ne dura pas longtemps: le space marine, d'un revers de la main jeta le soldat sur le mur dans un monstrueux bruit de métal froissé et d'os brisés. Il mourut sur le choc, son sang s'écoulant sur la paroi métallique. Brad fut tellement terrifié lorsque le space marine se dirigea vers lui sans souffler un seul mot qu'il ne put retenir sa peur et se souilla. Dans un dernier sursaut de désespoir, il enclencha le tir de son fusil laser. L'astartes avançait inexorablement vers lui, le rayon rouge se dispersant sur sa poitrine métallique comme un filet d'eau sur un rocher, n'entamant même pas la peinture bleue du chapitre. La dernière vision de Brad fut un gantelet bleu se dirigeant vers son visage. Sa vie se termina dans le bruit du broyement de sa tête. Modifié le 17 janvier 2006 par Guidrion Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
yohannlb36 Posté(e) le 5 novembre 2005 Partager Posté(e) le 5 novembre 2005 Fichtre!!! Ca fait mal un coup de gantelet énergétique dans la tête, vive le doliprane... Plus sérieusement, c'est plutôt bien, voire même bien tout court, peut-être un peu trop dense au niveau de la forme du texte, quelques coquilles et fautes d'orthographe de-ci, de-là, mais rien de bien grave (j'en corrige moi-même dans mon post, c'est dire...), les descriptions sont biens, prenantes... Bilan : vivement la suite... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Kroxigor Posté(e) le 6 novembre 2005 Partager Posté(e) le 6 novembre 2005 J'adore toujours ton texte et je suis malheureux que ce soit court. Car ça s'arrête au meilleur moment. Donc j'attends la suite avec impatience. Kroxigor. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tano Heefa27 Posté(e) le 6 novembre 2005 Partager Posté(e) le 6 novembre 2005 Oui, effectivement, çà devient interessant voir vraiment excellent . Gaffe toutefois à l'ortho et à la ponctuation, je ne le répéterais jamais assez ... J'ai particulièrement adoré le moment où l'Ultra marche sur le soldat, puis explose ... çà leur apprendra, à se croire supérieur à tout B) . Je ne peux du reste que te féliciter pour tes déscriptions d'actions commando, qui sont extrêmement bien tournée, et qui font passer l'action comme si on y était . En clair, c'est du bon boulot, et tu sais ce que tu as à faire pour atteindre la perfection . TH, qui ne peux donc que te souhaiter good shit for the suite, et une bonne continuation . Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Guidrion Posté(e) le 7 novembre 2005 Auteur Partager Posté(e) le 7 novembre 2005 (modifié) Merci de vos encouragements peut-être un peu trop dense au niveau de la forme du texte, quelques coquilles et fautes d'orthographe de-ci, de-là désolé de mon ignorance mais c'est quoi une coquille? Sinon je n'ai pas résisterà l'envie de vous dévoiler la suite de l'infiltration du groupe de Julius(j'aurai aimé en faire plus mais je manque de temps ). à présent régalez-vous Le reste de l'escouade de Julius progressait avec célérité dans les couloirs sombres et silencieux, mais le lieutenant cessa soudain sa course. Il avait entendu des bruits d'explosions différents de ceux du bombardement. Il fit signe à son équipe de stopper la marche. En tendant l'oreille, Julius entendu l'écho d'un cri. - Klen! Merde! - Lieutenant! On a perdu la liaison avec Alex et les autres. - Alors ils se sont fait avoir. - Vous croyez chef? - T'as une autre explication? Jark ne répondit rien, il sentait aussi que ce silence n'était pas dû à une panne. Le groupe reprit sa course. A l'approche de la zone externe de défenses sol-sol, la température se refroidissait. Les systèmes d'alimentation d'air véhiculant le gaz vital donnait l'impression d'une brise légère et glaciale, mais pour le groupe l'air devenait pesant, lourd de désespoir et d'abattement. Malgré ce moral désastreux, chaque homme restait déterminé, un échec leur aurait mis des centaines de morts sur la conscience. Au bout d'un quart d'heure, le groupe atteignit la centrale des batteries anti-personnel. En connaissance de la présence ennemie, l'équipe prit plus de précautions dans son infiltration: Gelk, Julius et Dork se placèrent sur les flancs de la porte en position de tir, fuseur et fusils laser sous tension. Aux cotés de Jark, le dernier membre de l'escouade se tenait prêt à purifier la salle de toutes présences hostiles de son lance-flamme. Jark s'avança, une charge énergétique à la main, frissonnant à la vision du regard rieur et sadique du pyromane. La charge ayant sauté, la porte s'ouvrit en grinçant. L'équipe, ne voyant aucun ennemi, entra avec prudence, craignant un quelconque sniper. Ne voyant rien, Jark s'avança vers la machinerie centrale et y apposa la charge de plastic avec son détonateur. - Chef! C'est installé on a plus qu'à se c... Le technicien ne put achever sa phrase, le son de sa voix couvert par une détonation semblable au tonnerre.Il se retourna et vit des restes humains partout sur le sol, les restes d'un lance-flamme, du sang se répandant sur le sol et deux guerriers bleus dans l'embrasure de la porte. L'un d'eux, désarmé, du sang sur le gantelet gauche, s'avança lentement vers les hommes restant, près à les démembrer un à un avec une froide efficacité. Soudain Jark entendit un sifflement suraigu. Dans un hurlement étouffé, il vit la chair séculaire calcinée du guerrier se méler à l'adamantium en fusion infligeant une mort atroce à l'Ultramarine. Gelk avait fait feu de son fuseur, les larmes aux yeux. Il se mit à hurler "Assasins!!" alors qu'il fit feu une seconde fois de la puissante arme thermique. Hélas, le space marine avait esquivé le tir en effectuant une roulade vers le coté. S'immobilisant en tirant une nouvelle rafale vers le groupe apeuré. Dork fut déchiqueté et Julius perdit son bras droit dans un bruit monstrueux. Lorsque le space marine s'appreta a tirer une nouvelle rafale meurtrière, un bruit se fit entendre suivi d'une ombre qui tomba sur le space marine, l'immobilisant. L'Ultramarine, son bolter hors de portée tenta en vain de se dégager mais la complexe machinerie qui s'était écroulé sur lui, sa base liquéfié par le tir du fuseur, le clouait au sol. Gelk s'avança en préparant son arme. - Crève assassin! Le hurlement du space marine brulé par l'onde thermique couvrit le sifflement de l'arme puis s'étouffa soudain. Le corps renforcé de l'astartes avait cédé. Le calme revenu, Gelk s'écroula au sol, abattu: il venait de perdre son plus cher ami. Surmontant sa tristesse, Jark s'approcha d'une démarche épuisée de Julius. Le lieutenant tenait le peu qu'il restait de son bras avec sa main gauche. Malgré la quantité importante de sang qu'il perdait et la douleur lancinante de son bras, le vétéran ne poussa aucun gémissement lorsque Jark lui prodiguait les premiers soin, se contentant de serrer les dents. Malgré son stoïcisme, il ne put résister à la blessure de son âme et se mit à verser une larme, se joignant aux sanglots de Gelk, seuls bruits dans le silence pesant, froid et métallique du batiment. Modifié le 17 janvier 2006 par Guidrion Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
yohannlb36 Posté(e) le 7 novembre 2005 Partager Posté(e) le 7 novembre 2005 QUOTEpeut-être un peu trop dense au niveau de la forme du texte, quelques coquilles et fautes d'orthographe de-ci, de-là désolé de mon ignorance mais c'est quoi une coquille? Tu es tout pardonné... Une coquille est une faute de frappe que tu as laissé passer à la relecture, différente de la faute d'orthographe dans le sens ou il s'agit d'une lettre oubliée ou bien en trop à cause de doigts un tantinet trop rapides sur le clavier et qui n'atteignent pas la destination voulue, ce n'est pas bien grave car en général, ça ne nuit pas trop à la lecture... Sinon, cette nouvelle partie de ton texte est plaisante, plus aérée (on voit les efforts et ça fait plaisir), bien menée... Par contre, tu sembles faire une fixation sur le mélange chair-adamantium... Ca ne me dérange pas, je fais bien une fixation sur le cuir et le Nutella dans mes textes... Bonne continuation, car tu retranscris bien les émotions de ces "simples" soldats face à l'"élite" de l'Imperium... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Kroxigor Posté(e) le 8 novembre 2005 Partager Posté(e) le 8 novembre 2005 Toujours aussi bien. Elle est courte mais comme c'est aéré on lit lentement et on imagine très bien la scène. Continu comme ça. Il y a juste un truc qui me chiffonne, c'est quand tu dis que les soldats auraient des centaines de morts sur la conscience s'ils échouaient. Mais vu ce que les élites ne font pas de cadeaux, je pense que les soldats de Numars seront morts avant de pouvoir raconter leur échec. Kroxigor, dont plus personne ne lit le texte, qui adore le tien, qui est fatigué, qui attend une suite, qui va bientôt manger, qui... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
The Last Sword Posté(e) le 8 novembre 2005 Partager Posté(e) le 8 novembre 2005 Ah, les voila les space marines ! Vous remarquerez que deux suffisent à arrêter le commando... Enfin presque. Les éclopés réussiront-ils à empêcher que l'assaut tourne au désastre ? Il y a quand même deux choses qui me chiffonnent : le fuseur, dont le rayon est invisible si je me souviens bien. Et l'ultramarine qui meurt parce qu'un câble de son armure a été coupé. Si c'est bien ça, c'est un peu léger pour le tuer. Je veux bien que l'armure soit endommagée au point d'immobiliser le marine, mais il peut vivre sans elle. Un câble tranché ne suffit pas. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tano Heefa27 Posté(e) le 8 novembre 2005 Partager Posté(e) le 8 novembre 2005 (modifié) J'aime vraiment cette suite, qui présente effectivement beaucoup d'améliorations, et qui en plus est assez "sympathique", avec un côté très humain... . Bref, j'ai beaucoup apprécié, au reste, maintenant . Par contre, tu sembles faire une fixation sur le mélange chair-adamantium... Ca ne me dérange pas, je fais bien une fixation sur le cuir et le Nutella dans mes textes... Je confirme B) dont plus personne ne lit le texte, Hé hé... que tu crois . TH, totality out... EDIT: (j'avais pas vu le message de The Last Sword... ) Vous remarquerez que deux suffisent à arrêter le commando... Enfin presque. Bah oui, c'est quand même l'élite de l'humanité (à ce qu'on dit, hein... .) le fuseur, dont le rayon est invisible si je me souviens bien. Très juste, je n'avais pas relevé . Le fuseur déploie en fait des champs magnétiques qui cuisent la cible comme si elle se retrouvait dans un micro-onde (mais avec des effets bien pire... ). De fait, pas de rayon, et encore moins de rayon visible . Et l'ultramarine qui meurt parce qu'un câble de son armure a été coupé. Si c'est bien ça, c'est un peu léger pour le tuer. Je veux bien que l'armure soit endommagée au point d'immobiliser le marine, mais il peut vivre sans elle. Un câble tranché ne suffit pas. Très juste. Impossible. De plus, j'aimerais à cette occasion signaler que tout nous décris deux SM... hors ils n'en tuent qu'un puis ses reposent. A corriger. En plus de celà: les SM progressent toujours en escouades, surtout lorsqu'il s'agit d'aborder une station/ un vaisseau/ d'attaquer une base, par précaution. Une division par deux me semble peu plausible... Enfin, il me parait étrange qu'ils s'amusent à tuer les GI "à mains nues"... il me font vraiment penser à des décérébrés, des robots munis uniquement de mains assez fortes pour tuer... Désolé de ne pas avoir signaler la première fois, j'étais peu éveillé (ce que je suis d'ailleurs toujours... .) Modifié le 8 novembre 2005 par Tano Heefa27 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Guidrion Posté(e) le 9 novembre 2005 Auteur Partager Posté(e) le 9 novembre 2005 (modifié) Merci merci Et l'ultramarine qui meurt parce qu'un câble de son armure a été coupé. Si c'est bien ça, c'est un peu léger pour le tuer. Je veux bien que l'armure soit endommagée au point d'immobiliser le marine, mais il peut vivre sans elle. Un câble tranché ne suffit pas. Petite erreur dans l'interprétation, il s'agit d'un cable électrique de la salle. Le sm est mort d'avoir reçu un "petit coup de jus" Très juste, je n'avais pas relevé . Le fuseur déploie en fait des champs magnétiques qui cuisent la cible comme si elle se retrouvait dans un micro-onde (mais avec des effets bien pire... ). De fait, pas de rayon, et encore moins de rayon visible . Autant pour moi(je vais devoir récrire ce passage ) En plus de celà: les SM progressent toujours en escouades, surtout lorsqu'il s'agit d'aborder une station/ un vaisseau/ d'attaquer une base, par précaution. Une division par deux me semble peu plausible... Il s'agit d'une petite patrouille, le reste du détachement peu nombreux comme vous vous en rendrez compte plus tard(une quarantaine envoyé en avant-garde par l'ordo hereticus).Autre détail: si vous lisez bien vous vous rendrez compte que ces deux sm sont les survivants du premier groupe et que le sm qui s'amuse à massacrer les gens avec son gantelet y est obligé vu qu'il a perdu son bolter. Il y a juste un truc qui me chiffonne, c'est quand tu dis que les soldats auraient des centaines de morts sur la conscience s'ils échouaient. Mais vu ce que les élites ne font pas de cadeaux, je pense que les soldats de Numars seront morts avant de pouvoir raconter leur échec. C'est vrai que j'ai mal choisi le terme: mon idée était de refléter leur compréhension du fait que tout abandon ou fuite de la mission leur mettrait des centaines de morts sur la conscience Mais c'est un peu la petite bête là non? De plus, j'aimerais à cette occasion signaler que tout nous décris deux SM... hors ils n'en tuent qu'un puis ses reposent. A corriger. En comptant le sm liquéfiés(pour sortir de ma fixation sur le fameux mélange ) et le sm électrocuté, nous sommes bien à deux sm morts.Le compte est bon. Guidrion qui aime nettement moins les fuseurs Modifié le 9 novembre 2005 par Guidrion Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tano Heefa27 Posté(e) le 9 novembre 2005 Partager Posté(e) le 9 novembre 2005 (modifié) Petite erreur dans l'interprétation, il s'agit d'un cable électrique de la salle. Le sm est mort d'avoir reçu un "petit coup de jus" Un petit coup de jus a peu de chance de tuer un SM: il est extrêmement résistant, et je pense que la peinture d'une armure énergétique est isolante. En bref, je trouve la chose peu plausible... Je penses de plus qu'il faudra un peu clarifier le passage, puisque l'interprétation est facile à faire. Il s'agit d'une petite patrouille, le reste du détachement peu nombreux comme vous vous en rendrez compte plus tard(une quarantaine envoyé en avant-garde par l'ordo hereticus).Autre détail: si vous lisez bien vous vous rendrez compte que ces deux sm sont les survivants du premier groupe et que le sm qui s'amuse à massacrer les gens avec son gantelet y est obligé vu qu'il a perdu son bolter. OK, désolé, ma concentration n'est décidément pas au beau fixe ces derniers temps... En comptant le sm liquéfiés(pour sortir de ma fixation sur le fameux mélange ) et le sm électrocuté, nous sommes bien à deux sm morts.Le compte est bon. Idem ... (même si je penses qu'il va falloir trouver un autre moyen de liquider le deuxième...) Guidrion qui aime nettement moins les fuseurs Tu as tort, c'est vraiment pratique, ces choses-là ... Modifié le 9 novembre 2005 par Tano Heefa27 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Guidrion Posté(e) le 9 novembre 2005 Auteur Partager Posté(e) le 9 novembre 2005 (modifié) Un petit coup de jus a peu de chance de tuer un SM: il est extrêmement résistant, et je pense que la peinture d'une armure énergétique est isolante. En bref, je trouve la chose peu plausible... Le petit coup de jus était ironique... c'est un cable d'alimentation de batteries anti-personnel. Pas de la petite bibine donc Quoique pour la peinture isolante, ca peut se défendre: si quelqu'un pouvait confirmer? Modifié le 9 novembre 2005 par Guidrion Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tano Heefa27 Posté(e) le 9 novembre 2005 Partager Posté(e) le 9 novembre 2005 Le petit coup de jus était ironique... c'est un cable d'alimentation de batteries anti-personnel.Pas de la petite bibine donc Quoique pour la peinture isolante, ca peut se défendre: si quelqu'un pouvait confirmer? Je pense que personne ne le pourras... mais même, je n'aime pas beaucoup cette idée: avec leurs réflexes, les SM sont capables de réagir rapidement, ici, de se dégager avant d'avoir choper une dose mortelle de jus... . Je vois très mal le fait qu'une armure puisse conduire le courant comme çà. TH, encore un peu brouillon, aujourd'hui... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
The Last Sword Posté(e) le 9 novembre 2005 Partager Posté(e) le 9 novembre 2005 Si le courant passe par l'armure, elle pourrait être fortement endommagée. Mais je ne suis pas sûr qu'elle soit fabriquée dans un matériau conducteur, ça serait bizarre. En revanche si le câble touche la tête du marine (et donc qu'il n'a pas de casque), ça va sentir le brûlé... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Xeti Posté(e) le 11 novembre 2005 Partager Posté(e) le 11 novembre 2005 Bonjour. Les armures spaces marines, et plus précisément le pack dorsal et le casque/nuque, peuvent-elle traversé par un choc électrique majeur, en l'occurence un câble coupé d'un générateur? Les armures Space Marines sont entièrement isolées de l'extérieur. Elles sont insensibles au vide, aux gaz, aux attaques biologiques et surtout, dans le cas qui nous concerne, aux grenades PEM! Ce ne serait pas malin sinon. Trouvé sur le forum Background, réponse de Sle. Si le courant passe par l'armure, elle pourrait être fortement endommagée. Mais je ne suis pas sûr qu'elle soit fabriquée dans un matériau conducteur, ça serait bizarre.En revanche si le câble touche la tête du marine (et donc qu'il n'a pas de casque), ça va sentir le brûlé... laugh.gif Si l'armure est isolante, le SM n'est pas relié à la "terre" donc il n'est pas électrocuté, à moins que le courant ne reparte par le câble... Bon, c'était juste histoire d'apporter mon aide à Guidrion car j'avais à peu près la même idée pour ma garde mais moi je n'ai pas eu le courage de mettre par écrit mes idées. Donc bon courage et bravo pour ce récit passionnant, à quand la suite? Xeti - pour le respect du fluff et des initiatives comme celle ci. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Guidrion Posté(e) le 16 novembre 2005 Auteur Partager Posté(e) le 16 novembre 2005 Petit up je suis de retour pour vous jouer un m... comment ca je m'égare? Bon j'ai du m'absenter à cause d'un surplus de travail Je n'ai malheureusement pas le temps de mettre une suite croustillante pour le moment. Mais le passage du fuseur a été corrigé et j'ai fait de infiltration un chapitre, sinon le chapitre 1 aurait été trop long. Guidrion qui aime bien voir des sm mourir dans d'atroces souffrances Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Guidrion Posté(e) le 21 novembre 2005 Auteur Partager Posté(e) le 21 novembre 2005 (modifié) Bonjour à tous Alors enfin un peu de nouveau dans l'avancée du texte: La mission du second groupe d'infiltrateurs L’équipe de Garen progressait au pas de course dans les couloirs. Le silence était total, parfois rompu par les indications de Garen sur le chemin à suivre. Les couloirs se ressemblaient tous, froids, métalliques et vides. Garen était inquiet, inquiet que cette infiltration se passe aussi bien. Il aurait préféré rencontrer une patrouille, voir quelques sentinelles isolées mais rien, seulement le silence et le calme. Le calme! Garen le maudit, cette absence d'action qui faisait monter la tension au sein du groupe, elle qui rendait silencieux les hommes, elle qui annonçait une tempête d'autant plus grande que le silence était long. Les Numars n'en pouvait plus de ce déroulement parfait et si simple. Le lieutenant l'avait déjà rencontrée maintes fois: l'illusion de la victoire, aussi agréable qu'un rire d'enfant jouant dans les parcs d'Altis, plus dangereuse que les pires horreurs du warp. Au bout de quelques minutes, ils arrivèrent à un croisement. L’équipe s’appretait à poursuivre losque l’officier leur intima l’ordre de faire halte d’un geste. Des bruit de pas retentissaient dans le couloir et se rapprochaient! Garen et ses hommes préparèrent leurs armes tandis que la tension montait dans le petit groupe. Le lieutenant aurait voulu se lancer à l’assaut et profiter de l’effet de surprise mais des voix commencèrent à se faire entendre. - Monseigneur. Frère Davinity nous a signalé un commando des hérétiques dans la périphérie. Frère Caelius a succombé. Nous devrions enclencher l’alarme. Une voix rauque et lointaine se fit entendre. Garen crut sentir la chaleur de son sang disparaitre. Il eut même l’impression que du givre apparaissait sur le sol. - Oseriez-vous douter de mes compétences ? Je reconnais bien là l’ignorance qui caractérise les simples soldats! - Ne vous méprenez pas monseigneur. Je n’oserai jamais exprimer du mépris envers un homme de votre rang. - Non seulement vous m’insulter mais vous osez me mentir. Je sais que vous n’éprouvez que de la crainte et de la haine pour ma personne. Je vois en vous que vous haïssez tout ceux qui me ressemblent et qui vous sont supérieurs. C'est la peur de la puissance que vous cachez par votre masque méprisant. Vos sentiments me parviennent clairement malgré votre casque ridicule! Vous mériteriez la mort si vous ne m’étiez plus utile vivant que mort. L'homme parlait avec une voix terrifiante et en même temps envoutante. Garen aurait voulu se mettre à courir, fuir aussi loin que cela lui était possible mais la voix le clouait sur place. Son sentiment de refroidissement de l'air s'accroissait, si bien qu'il grelotta dans sa tenue étanche. Voulant connaitre l'origine de cette voix, il tourna légérement la tête et s'approcha du tournant du couloir. Il put apercevoir deux immenses Ultramarines et un petit homme. L'humain portait un uniforme noir et usé et restait encapuchonné. Il lui tournait le dos apprement en train de se préparer à lancer une autre remarque cinglante au guerrier, ce qui empechait Garen d'en savoir plus. Mais tandis qu'il se retourna en retenant sa respiration, il avait vu quelque chose: L'insigne de l'Ordo Hereticus, la marque des inquisiteurs! Soudain la voix s'éleva à nouveau mais différente, on eut dit un possédé parlant à travers deux bouches, une voix lente et aigue qui fit augmenter le rythme cardiaque du lieutenant: - Vous démontrez à nouveau votre incompétence astartes! Vous êtes sensés me protéger mais vous ne savez même pas que des soldats se trouvent dans ce couloir! Leur esprit est si faible et si pitoyable; ils sont terrifiés comme des fillettes devant un gros chien. L'homme éclata d'un rire mauvais. Puis il s'exprima à nouveau dans sa voix faible et rauque: - A présent... Allez les tuer pitoyables larbins! Ces vermines hérétiques valent encore moins que vous! Garen tressaillit et se mit en position de tir. Les pas se rapprochaient, sourds et sonores. Soudain les deux spaces marines apparurent en tirant de grandes rafales de bolters. Garen se jeta au sol et roula sur la gauche pour éviter le tir mais son équipe n'eut pas la même chance; tous sans exception furent déchiquetés par les bolts explosifs. Surmontant sa peur, Garen fit un rapide mouvement pour se placer dans l'embrasure et tira en direction de la silhouette noire. L'homme poussa un petit cri lorsque le tir du sniper le toucha à la poitrine. Garen s'attendit à ce que l'inquisiteur tombe sous l'effet de la douleur. C'est ce qu'aurait fait tout homme normal mais les inquisiteurs ne sont hélas pas des hommes normaux: Il tendit soudain ses bras et s'éleva de quelques centimètres dans les airs, son image se brouillant sous l'effet de l'énergie qu'il dégagait.Garen se mit à trembler de tout ses membres. L'impression de givre sur le sol n'était pas une illusion d'optique: une plaque de givre se formait réellement sur le sol! Le lieutenant vit des éclairs de lumière vert et violet se répandre dans la salle, l'un d'eux projetant l'Ultramarine qui avait contrarié l'inquisiteur à terre. Le même éclair se tordit et se dirigea vers Garen. Il ressentit une vive douleur, un froid si intense qu'il lui brulait la peau.Puis la vue du lieutenant se ferma soudain mais ses yeux demeuraient grands ouverts et crispés tandis que l'inquisiteur inconscient retombait sur le sol. Garen avait vécu. Voilà, je sais c'est plutôt court mais malheureusement j'ai beaucoup de travail et je manque de temps pour écrire EDIT: étoffé Guidrion Modifié le 17 janvier 2006 par Guidrion Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
yohannlb36 Posté(e) le 21 novembre 2005 Partager Posté(e) le 21 novembre 2005 C'est vrai que c'est court (notamment le passage de l'utilisation par l'Inquisiteur de ses pouvoirs psychiques) mais c'est bien mené... T'as un bon potentiel, moi j'aime bien, même si c'est vrai que tu es allé un peu vite, mais la fonction Edit est ton amie, ne l'oublies pas, tu pourras toujours rattraper. Bonne continuation. Yohann, qui aime bien... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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