elfe V uruk

[gandalf le noir]

Donc voilà mon rapport, qui est romancé, néanmoins je n'ai pas pris de note durant la bataille, et il n'y aura pas de photos (je sais j'abuse)!!!

LISTE D'ARMEES:

Bien:

- Glorfindel à cheval

- 2 rangers du nord avec arcs et lances

- 10 elfes avec armures lourdes, boucliers et lances

- 10 elfes avec armures lourdes et lames elfiques

- 8 elfes avec armures lourdes, lances et arcs

Mal:

- Capitaine uruk avec arme de base, armure lourde et bouclier

- 1 uruk avec étentard

- 9 berzekers

- 6 uruks avec arbalètes et armes de bases

- 10 uruks avec armes de bases et boucliers

- 10 uruks avec piques

PS: les listes sont de tête et il y a peut-être des erreurs!!!

Contexte:

Cette escarmouche se passe durant la guerre de l'anneau. La communauté s'est dissoute et Boromir est mort. Sam et Frodon sont avec Gollum et se dirigent vers le Mordor. Le reste de la communauté est au rohan. Mais ce n'est pas cela qui nous intéresse. Après le passage d'Aragorn en Lothlorien, Galadriel envoie des émissaires à Fondcombe. Elrond fait passé le mot aux Dunedains:"Aragorn a besoin d'aide" Pendant que les parents de l'héritier d'Isildur se rassemble, Arwen tisse l'étendard proclamant le titre d'Aragorn. Elrond envoie aussi une petite troupe localiser Aragorn et si besoin le protéger. Deux de ses amis se joignent à cette force, dont le commandement échoua à Glorfindel. Mais cette force ne rencontra jamais Aragorn, bien qu'elle se dirigea bien en rohan. Une bande de pillards sous les ordres de Saruman l'intercepta, et une bataille eut lieux. Voici comment les choses se passèrent

Rapport de bataille pour le seigneur des anneaux, elfe contre uruk-haï.

La matin se levait en rohan. Les premiers rayons du soleil, timides, n'éclairaient pas totalement la scène. Mais même dans la nuit noire, on les aurait vu passer. Une compagnie elfe. Sur leurs têtes, un casque d'or. Sur leurs poitrines, une armure faites de lames délicatement entrelacées enfilées par dessus des mailles brillantes. Leurs épées étaient aux fourreaux, la poignée étant finement décorées de motifs en fil d'or. Ils portaient des capes couleur azur, la même que celle qu'à la mer quand elle est calme. Dans leurs dos, arcs et boucliers étaient attachés par des cordes en hithlains. Ils portaient des ceintures de satins, et leurs visages étaient nobles. Mais toute leurs grâces, toute leurs beautés, leurs élégances, était éclipsait par la majesté et la noblesse de l'être qui les menait. Une lumière blanche semblait émanait de son corps. Bien qu'il fut tête nue, on avait l'impression qu'il portait une couronne. La beauté de ses traits n'avaient d'égal que celle de ses boucles d'or qui tombaient sans retenue sur ses épaules. Par dessus ses mailles, il portait de simple vêtements de voyage, mass aurait-il été en haillons qu'il aurait quand même terni par son physique le plus beau des hommes, vêtues de la plus belle tunique du plus riche des rois mortels. Il chevauchait dignement un grand destrier blanc à la crinière grise. Un homme du Rohan l'aurait aperçu qu'il se serait incliné devant lui de la même façon qu'il le ferrait devant son roi. Et il aurait eu raison de le faire car devant lui se tenait Glorfindel tête d'or, qui s'était jadis sacrifié pour terrasser un Balrog et qui avait vu les rivages blancs avant d'être renvoyé sur cette terre par les puissances qui sont. Oui, devant lui se serait tenu l'ancien chef des osts elfiques qui avaient chassés le Roi-sorcier de l'Angmar. Il y avait bien des raisons d'honorer Glorfindel. A ses côtés se tenait deux hommes, certes grand par leurs statures, mais on ne les remarquait pas du premier coup d’œil car ils marchaient dans l'ombre du seigneur elfe. Ils étaient vêtus pauvrement, leurs habits depuis longtmpes sali par des années de voyage. Néenmoins, leurs regards étaient vif et intelligent, et leurs maintiens plein de noblesse. C'était des Dunedains, les longtemps descendants des gens d'Arnor, et cette asendensce valait celle d'un actuel roi des hommes, car l'un de leurs proches parents était Aragorn, fils d'Arathorn, fils d'Arador, descnednat d'Isildur. Dans leurs mains, arcs et lances étaient prêtes à l'emploie, et leurs yeux gris lançaient des regards farouches. C'était une bien belle compagnie qui parcourait le rohan. Mais ai sein de ce pays, on pouvait faire des rencontres bien plus malheureuses. Par exemple, à moins de 5 km d'ici, à l'ombre de hautes collines, une horde d'uruk-haï foulait la terre de leurs chaussures de métal. Ils étaient en armes, portant une armure complète de fer et de solides lames. Mais là ou le métal elfique était beau et recouvert de feuille d'or, celui-là était terne et cabossé, recouvert de boue et de sang. Le sol tremblait de douleur sous leurs pieds. A leurs têtes, il y avait deux uruks particulièrement massif. L'un deux portait un étendard sur lequel était grossièrement peint une main, en peinture blanche. L'autre portait l'équipement réglementaire, mais il était encore plus trempé de sang que ses congénères. Au centre de la troupe, des massifs berzekers avançaient. Leurs longues épées en main, et ne portant aucune protection, leurs présences rendaient nerveux les autres uruk à proximités. Ceux là se disaient qu'il fallait vite trouvé un village à massacrer, sinon leurs espérances de vie baisseraient de façon dramatiques.

Ceux deux forces marchaient actuellement l'une vers l'autre, mais personne ne le savait, le vent ne tournant pas dans le bon sens pour que les uruks sentent les elfes, et ceux-ci ne pouvant distinguer les uruks à cause des hautes collines. La bataille allait commencer.

Et ce fut une véritable boucherie, les disciplinés elfes affrontant la furie uruk. Dès le début du combat, le capitaine uruk dut distribué fort coup du plat de sa lame pour ordonner à ses troupes de se mettre ordre de bataille. Il envoya ses arbalétriers sur sa droite, leurs ordonnant de tirer parti d'une haie pour se protéger, mais ceux-ci le firent de mauvaise grâce, tant leurs soifs de sang étaient grande. Ils voulaient combattre! De même, si des menaces suffirent à faire entendre raison à ses troupes qui se regroupèrent autour de la bannière, les berzekers furent particulièrement difficiles à convaincre. L'un deux aurait décapité le capitaine si celui-ci n'avait évité le coup avant de se jeter sauvagement sur l'uruk en le mordant. Il réussis finalement à se faire entendre, met il se positionna au milieu d'eux pour garder un oeil sur eux. Bien l'eut en pris car même avec lui à proximité, deux d'entres eux sortirent de la phalange pour courir vers l'ennemi, à tout deux trouvèrent la mort sous la forme d'une volée elfique. De même trois uruks en armure périrent, le corps criblés de fléches. Le capitaine ordonna à ses arbalétriers de riposter, mais leurs tirs tombèrent trop court. Ces damnés elfes s'étaient mis or de portée!!!

Pendant ce temps, Glorfindel donna de rapides ordres: les archers devaient se placer sur une colline, derrière un mur en ruine. Sur leurs droites, une phalange eflique pris forme, les Dunedains allant d'une force à l'autre pour soutenir là où le besoin se faisait sentir. Glorfindel charge seul sur la gauche, au devant de ses troupes, pour narguer les arbalétriers, mets il prit bien soin de progresser à couvert: courageux mais pas fou. Bien lui en prit car les carreaux le ratèrent de peu. Son plan marcha, les arbalétriers, poussés par leurs soifs de sang, sortirent de leurs couverts et se mirent à le poursuivre, mais il ne se laissa pas atteindre par leurs traits. Alors que l'heure du corps à corps était venu, il fit brusquement demi-tour pour soutenir ses forces. Les arbalétriers étaient trop loin pour participer à la bataille, mets ils réussirent quand même à transpercer un elfe avant le combat. Son corps s'effondra sans vie sur le sol, mais son armure ne fut pas tachée de sang, car elle avait été forgé par des elfes, et nul souillure ne pouvait l'atteindre.

Avec des hurlements de rage, les uruks se lancèrent sur les elfes. Les archers elfiques sur la colline finrent soutenir leurs phalange, sautant par dessus le mur. Le capitaine de l’Isengard put enfin lâché ses berzekers, qui fondirent sur l'aile elfe. Mal leurs en prit car Glorfindel se tenait là, et plus d'un périt sur sa lame. Mais ceux qu'il ne put engager fauchèrent ses guerriers. Au centre du combat, l'issu était incertaine, l'avantage allant tantôt de l'un, tantôt à l'autre. Mais le court de la bataille allez changer! Au cœur des combats, Glorfindel apperçut des uruks particulièrement massifs, l'un beuglant des ordres et l'autre brandissant une bannière en lambeau. Aussitôt, il donna l'ordre à deux de ses guerriers de s'occuper du porteur de bannière, et lui même chargea aveuglément son homologue adverse. Terrifié par se seigneur immortel le chargant, l'uruk ne riposta bas. Néanmoins, l'épée elfe n'ut pas raison de l'épaisse armure du capitaine. Il fut quand même jeté bas. Glorfindel fit alors demi-tour et se lança de nouveau contre son adversaire. Ainsi par trois fois il le chargea, et par trois fois l'uruk tomba avant de se relever, sans pourtant donner aucun coup d'épée. Il hurla sa rage mais l'elfe était trop bon combattant pour se laisser toucher. A la qutrième charge, l'épée de Glorfindel décrit un vaste arc de cercle et vint trancher le coup de l'uruk, lui arrachant la tête.

Horrifié, les survivants s'enfuirent petit à petit, ceux trop fous pour rester finissant piétiner sous les sabots d'asphaloth. L'elfe regarda autour de lui, triomphant. Seul les arbalétriers et les berzekers survivants étaient encore là. Dépêchant un petit groupe contre les tireurs de l'Isengard, Glorfindel se chargea lui même des berzekers, son arme sabrant à gauche et à droite. Une dizaine de minute plus tard, il n'y avait aucun survivant uruk à 10km à la ronde, le reste épars de la horde s'étant enfuit, comme poursuivit par les fouets de Sauron en personne. La victoire appartenait au bien. Mais le prix a payé avait été terrible, et seul le seigneur elfe, les Dunedains et une dizaine d'autre survivants s'en étaient tirés. Trop peu pour continuer leurs quêtes. Ils reprirent donc le chemin de Fondcombe.... Glorfindel se tourna alors vers les Dundedains, qui faisaient triste mine:

"Nous reviendrons, nous trouverons votre parent!"

Modifié le 6 mars 2006 par gandalf le noir

[Xev74]

--> Il n'y a apparamment pas d'erreur puisque la liste du Bien fait 498 Pts et celle du Mal tout juste 500 Pts

--> La mise en forme avec le contexte est une bonne chose.

--> Quelques interrogations subsistent il me semble sur le Glorfindel du 1er et 3ème Âge ... Sont-ce les mêmes ?

--> Quand tu parles "d'espérance de vie", tu veux dire que les Berserkers seraientprêt à manger de l'Uruk s'ils ne trouvent pas un village humain pour se remplir le bide ?

--> Le rapport se transforme peu à peu en récit, en histoire ... c'est sympa mais cela aurait tellement plus attractif avec quelques photos.

--> Toi aussi, tu as la maladie du tolkiennisme : dès que tuparles d'un elfe, tu es capable d'en dire pendant 3 heures ! Mais le tout est bien écrit je trouve. Je ne suis pas un pro de la littérature mais c'est marrant.

--> Essaie simplement de relire ton texte pour corriger les quelques fautes d'orthographe ou mieux, fait un copier/coller vers Word et lance le correcteur.

Good job !

[gandalf le noir]

--> Il n'y a apparamment pas d'erreur puisque la liste du Bien fait 498 Pts et celle du Mal tout juste 500 Pts

--> Quelques interrogations subsistent il me semble sur le Glorfindel du 1er et 3ème Âge ... Sont-ce les mêmes ?

--> Le rapport se transforme peu à peu en récit, en histoire ... c'est sympa mais cela aurait tellement plus attractif avec quelques photos.

Good job !

- et bien j'ai une bonne mémoir alors^^

- il y a un sujet sur tolkienfrance il me semble! Toujours est-il que vers la fin de sa vie Tolkien lui même l'affirmait....

- merci, mais pour les photos j'en ai pas pris!!!!

[gandalf le noir]

Désolée pour le double post, mais le rapport est fini!! Bonne lecture