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La Menace du Stirland...


Kael

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Courir. Oui, courir et prevenir...

Le Sergent Hans Fretz ne pensait qu'à ça alors qu'il courrait à travers la brume, entre les sombres arbres d'une forêt inquietante.

Courir et prevenir le Comte...

Il avait été envoyé par le Comte Peter von Stople, le souverain de Leichberg, le dernier rempart du Stirland avant la terre maudite de Sylvanie.

Soudain, il entendit un hurlement de loup. Il fallait accelerer, malgré ses poumons en feux.

Hans avait réussi à s'infiltrer dans l'un des châteaux en ruines qui résident encore en ces lieux abandonnés de la Lumière de Sigmar. Le Sergent avait découvert les plans du Maître des lieux... Ce Vampire s'appretait à lever une grande armée de morts-vivants ! Il ne faisait nul doute que sa terre natale, le Stirland, courrait un grand danger.

La bête accelera, ou plutôt les bêtes. Hans ne savait pas, il était trop terrorisé pour se retourner.

Le Stirland, non, l'Empire tout entier, dépendait de cette course. S'il réussissait à atteindre Leicheberg, les forces du Grand Comté seraient averties, et pourraient contrer la menace...

Le Sergent sortit des bois, et put découvrir que trois énormes loups étaient à ses trousses. Il ne pouvait pas aller plus vite, les ignobles créatures allaient le rattraper...

C'est alors qu'il vit une lanterne, la seule lumière, exceptée celle de Manslieb, éclairant les environs. Hans courra vers elle, il pouvait déjà sentir l'haleine des créatures.

-Apportez cela au Comte ! Au Comte de...

Il ne put jamais terminer cette phrase, les trois loups funestes s'étaient aggripper au cou de leur proie. L'homme à la lanterne resta pétrifié d'effroi en voyant ces monstres. Pourtant, elles ne semblèrent pas le remarquer et s'acharnèrent à achever le Sergent. Le paysan envoya son chien contre les loups, et s'enfuit en direction de Leicheberg aussi vite que ses jambes le purent.

Le Commandant Suprême des Forces du Stirland arriva devant le Palais du Graf Albérich Haupt-Anderssen. Le Comte Electeur du Stirland avait organisé un bal en l'honneur de la victoire de ses armées sur les Hommes-Bêtes.

Anton Ludenhof, le principal responsable de cette glorieuse battue, avait bien evidemment été invité.

Anton sortit de son carosse et commença à monter les marches de l'imposant bâtiment. Il portait son armure légére, ainsi que son épée, celle-ci rangée dans son fourreau sur la hanche gauche de son propriétaire.

L'histoire lui avait montré que même durant les plus somptueuses cérémonies, il se devait de rester vigilant. L'uniforme d'Anton comportait deux couleurs : le vert et le jaune, et on pouvait y admirer les dizaines de medailles qui pendaient sur sa poitrine, signe de sa bravoure et de sa stratégie militaire. Arrivé à l'entrée du Palais, il salua l'un des gardes :

-Caporal, comment sont les environs ? ordonna Anton.

L'homme se mit au garde à vous et répondit :

-Nos hommes parcourent le périmètre comme prévu, Commandant Suprême ! Rien de suspect n'a été vu !

-Fort bien, restez toutefois sur vos gardes...

-A vos ordres !

-Tâchez de ne pas attrapper froid avec ce maudit hiver..., dit Anton en ouvrant la gigantesque porte.

Le Commandant Suprême fut étonné des milles lumières et des beautés qu'il rencontra dans le séjour. Un serviteur vint lui prendre son manteau et l'amena dans la salle du bal.

Nombres de danseurs et de danseuses étaient sous les yeux d'Anton. Sur l'aile droite de la pièce, se trouvait une vingtaine de musiciens qui jouaient et qui ne relevaient jamais la tête de leurs partitions. Sur l'aile gauche, le Ludenhof vit une table, qui par ailleurs était extremement garnie, où le Graf présidait.

Anton descendit l'escalier et se dirigea vers la gauche. Il put reconnaître le Capitaine Wilfied Klieger, chef de la garde personnelle du Comte Electeur, le Comte Martin Von Anderssen, souverain d'Anderssenstadt, ainsi que le chef de sa garde, le Lieutenant Lothard Grünider, ainsi que que Rudolph Volzinger, le maire de Kemperbad, accompagné lui aussi du dirigeant de sa garde personnelle, le Commandant Karl Von Heutrass. A la grande surprise d'Anton, Le Comte Rudolph von Wissen, le souverain de Sylvanie était lui aussi présent. Le Commandant Suprême vit bien d'autres personnes à la table du Graf, mais il ne les connaissait pas toutes.

-Ah, Ludenhof enfin ! dit le Comte Electeur.

-Mes respects, Excellence. Pardonnez moi de ce retard, je suis confus, répondit Anton embarassé.

-Voyons, ce n'est rien ! Il faudra un jour m'expliquer pourquoi avez vous choisi de vivre à l'extérieur de Wurtbad... Asseyez vous donc ! dit le Comte en désignant un siège sur sa droite.

-Je vous remercie de votre clémence, monseigneur, dit Anton en s'exécutant.

Le Graf regarda alors tous ses invités, et leva son verre.

-Vous savez tous et toutes qu'aujourd'hui le Commandant Suprême des Forces du Stirland, Anton Ludenhof, l'homme assit à ma droite, a réussi à mener nos hommes à la bataille. Messieurs, Mesdames, je voudrais qu'on lève nos verres à la victoire des soldats du Stirland contre ces infâmes Hommes-bêtes ! A la victoire ! dit le Graf en amenant sa coupe de vin à ses lèvres.

-A la victoire ! dirent en coeur ses invités, en l'imitant.

-Alors dites moi, von Wissen, comment vont les Nains de Zhufbar ? demanda Haupt-Anderssen en se remettant sur son somptueux siège.

Le concerné regarda son souverain, et lui répondit :

-Eh bien, monseigneur, les Nains de Zhufbar se portent on ne peut plus bien. Toutefois, ils restent outrés par l'attitude du Comte d'Averland. Le Haut-Roi de la Citadelle a demandé à notre Bien-Aimé Empereur, Karl Franz Ier de venir discuter de la situation.

-Ah oui ? dit le cousin du Comte, ils auraient pu aussi penser à nous...

-Allons, pourquoi nous auraient-ils inviter ? demanda Volzinger.

-Pourquoi ? Parce que c'est grâce au sang de notre peuple que la Citadelle de Zhufbar est encore debout ! Qui pourrait retenir ces immondes morts-vivants ?! s'exclama le Comte.

-N'oublions pas que les Nains de Zhufbar nous ont rendus la pareille... répondit Anton.

-Et donc vous dites que le Haut-Roi a invité l'Empereur ? demanda le Graf en tentant de changer de sujet.

-En effet, Excellence, mais Notre Empereur n'aurait pas encore donné sa réponse...

-Il doit être encore trés préoccupé par les suites de la dernière guerre, dit Volzinger.

-Tout comme nous, répondit Anton.

-Cela me fait penser à la merveilleuse défense du Mur Sud de Middenheim, organisé par notre Graf ! dit von Heutrass.

-Oui, levons notre verre à votre exploit ! dit le Commandant Suprême.

Et tous retrinquèrent.

-Dites moi, Ludenhof...

-Oui, Excellence ?

-Avez vous une petite anecdote à nous conter sur Notre Empereur ?

-Eh bien, ma foi, oui...

-Faites donc nous part de cela ! demanda Klieger.

-Ce fut la veille d'une bataille contre les Orcs. Les mêmes Orcs qui menaçaient et le Stirland et le Reikland. Cela se passa il y a plus de cinq ans.

Tous les invités étaient suspendus aux mots du Commandant Suprême.

-Nous étions en train de festoyer, mon estomac se souvient encore de ce succulent rôti !

-Vous verrez que ce soir vous ne serez pas déçu non plus ! répondit le Graf.

-Je n'en doutes pas le moins du monde, monseigneur. Donc, nous parlions de la façon de vaincre ces peaux-vertes. Et c'est alors que l'Empereur me regarda droit dans les yeux. Je me souviendrai toute ma vie de ce regard froid... Et là, Il m'a dit, exactement comme cela, alors Anton adopta une voix grave et autoritaire :

"Ludenhof !" Je répondis : "Oui, Majesté ?" "Pourriez vous me passer le sel ?"

Les invités éclatèrent de rire, même le Graf ne put s'en empecher.

-Ah Ludenhof, je suis bien content de vous avoir choisi pour être mon...

-Excellence ! dit un Garde.

Abasourdi, le Comte Electeur se retourna devant le Garde du Palais.

-Qu'y a-t-il ? Vous venez de m'interrompre ! commença à s'enerver Haupt-Anderssen.

-Milles excuses, mais un message d'urgence est arrivé de Leicheberg. Le Comte Peter Von Stople vous prie de lire immediatement cette missive.

-Bien, bien, donnez la moi !

Le Garde s'exécuta. Le Graf de Wurtbad lut attentivement... Puis, au bout de quelques minutes :

-Je vous prie de m'excuser. Ludenhof venez avec moi...

-Bien, Excellence...

Le Commandant Suprême Anton Ludenhof suiva son Seigneur dans ses appartements. Sans parler, les deux hommes, sans qui le Stirland serait tombé depuis lontemps, avancèrent dans le Palais du Graf. Les murs étaient décorés de tappisseries représentants des scènes de batailles, une des plus imposantes était une representation de la Guerrier-Reine Freya, celle qui unissa les Asoborns avec le Grand Sigmar, à la bataille où toutes les tribus de l'Empire combattaient sous une même bannière.

L'éclairage était faible, seules quelques torches avaient cette fonction, ce qui contrastait intensement avec celui de la salle de bal. Anton n'était pas tranquille... D'habitude, le Graf Albérich attendait la fin de ses soirées organisées pour s'entretenir avec lui. C'était comme une sorte de protocole, le Comte Electeur respectait ses invités. Or, le contenu de cette lettre avait clairement indiquait à Haupt-Anderssen que le protocole était à laisser. Les deux hommes passèrent devant une tapisserie représentant l'Empire... Le regard du Commandant Suprême s'arrèta sur le Hochland. C'était la patrie de ses ancêtres. Ceux-ci avaient eu des divergences avec le Comte Electeur de cette province lors de la Grande Guerre Conte le Chaos. Ils avaient trouvé refuge chez un de leurs amis, le Graf du Stirland. Dés lors, la famille Ludenhof avait été séparée en deux, et ceux du nord vouaient une haine envers ceux du sud. Anton comprenait, mais ne pardonnait. Si son aïeul était parti, c'était pour une noble cause. Il avait demandé à son frère de placer sa confiance dans les forges de Nuln ou dans l'infanterie, plutôt qu'aux Chevaliers. Le Commandant Suprême respectait cet avis, les Chevaliers étaient pour la plupart des têtes brulées, des inconcients, des impétueux ! Nombres de bataille furent perdue, ainsi que de nombreuses vies, par leurs soi-disante "vaillance". L'Empire n'en avait pas besoin. Toutefois, Anton respectait certains ordres, notemment la Reikguard ou encore les Templiers de Morr. Anton méprisait en particulier un ordre : ceux des Chevaliers du Loup Blanc, symbole même de l'inconscience humaine. Tous les autres étaient appellés à disparaître selon lui. En ce qui concerne le Graf Albérich, il n'est pas du même avis que son Commandeur Suprême, mais le respecte. Son second avait la fâcheuse habitude, lui qui était d'ordinaire amical et compréhensif, d'être assez obtus sur ce sujet.

Les deux Stirlanders arrivèrent devant une imposante porte en bois. Deux Gardes l'ouvrirent en silence, de sorte que ni le Graf, ni le Commandant Suprême n'eurent à s'arrêter.

La porte se referma derrière eux.

Albérich Haupt-Anderssen alla s'asseoir à son bureau, encore couvert de contrats, de papiers, et d'autres formalités administratives. La salle était imposante. Anton était situé juste sur le symbole du Stirland, au milieu de la salle. A sa gauche, se trouvait des étagères ouvragées remplies de livres. La plupart était sur la politique, l'économie ou encore la guerre. Le Comte Electeur le devint trés jeune, suite au sucide de son père, il n'a donc pas joui d'une enfance heureuse. Il était nécessaire pour lui de porter le lourd fardeau de sa province, et dû donc apprendre trés vite. A sa droite, se trouvait encore une tapisserie, representant cette fois-ci Wurtbad sous un fugace levé de soleil, qui accueillait les armées victorieuses du Stirland.

Et également deux petits niches. L'une dédiée à Morr, avec le buste de l'ex-Comte Electeur, et l'autre dédiée à Freya et Sigmar.

Derrière le bureau du Graf, de grandes vitres donnaient sur le jardin du Palais. A cette heure de la soirée, on pouvait admirer Morrslieb et Manslieb brillaient dans le ciel des tenèbres.

-Je viens de recevoir une lettre du Comte Peter von Stople, le souverain de Leicheberg. Il m'informe que l'heure est grave... Un paysan aurait informé les Gardes de la ville au sujet d'une lettre qu'il aurait reçu de la part d'un Sergent. Ce Sergent se nomme Hanz Fretz.

-Ne serait-ce pas le Sergent qui fut envoyé en Sylvanie ? demanda le Commandant Surpême, sur un ton des plus polis.

-En effet. Et il est décédé, si l'on en croit les dires du paysan... répondit le Graf sur un ton grave.

-Si ce n'est qu'un paysan, je doute de ces mots, répliqua Anton en regardant son Seigneur droit dans les yeux.

-Vous dites vrai, Ludenhof. Toutefois, j'ai dans ma main la lettre du Sergent Fretz, dit le Graf en agitant une lettre ensanglanté dans la main droite. Lisez Ludenhof, lisez...

-Bien Excellence, dit Anton en prenant la lettre :

Sergent Hans Fretz, de la cité de Leichberg.

Je n'ai que peu de temps. J'ai été reperé par les Maîtres de la Sylvanie, et c'est dans une angoisse extrême que j'écris ces mots. J'ai vu trop de choses... Ils ne pourront me laisser en vie. Le Seigneur Vampire Gustav Von Carstein est de retour. Son armée frappera le Stirland trés bientôt ! La Sylvanie est agitée d'une sombre malediction...

Je prie de pouvoir vous dire ces mots, mais je ne pense pas survivre à cette nuit. J'entends les monstres du Vampire.

Dans la vie ou la mort, je reste votre serviteur...

-Alors ? demanda Haupt-Anderssen d'un oeil interrogateur.

Le Commandant Suprême releva la tête et dit :

-Quand dois-je partir pour Leicheberg, Excellence ?

Modifié par Kael
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Invité Kroxigor
"Ludenhof !" Je répondis : "Oui, Majesté ?" "Pourriez vous me passer le sel ?"

Attention au plagiat. :)

Sinon, ceci est une très bonne histoire, tout y est : l'ambiance, les décors, les personnages, l'humour et la dévotion au travers du pauvre sergent.

Continue ainsi, car c'est très bien.

Le Commandant Suprême releva la tête et dit :

-Quand dois-je partir pour Leicheberg, Excellence ?

Ca c'est plutôt marrant, ce professionnalisme à toute épreuve. :)

La suite.

Kroxigor

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J'avoue que le coup de Master and Commander, je n'ai pas pu resister... C'est tellement "puissant" ! Mais c'est la seule fois durant ce récit que je compte faire un "plagia" !

Sinon, ceci est une très bonne histoire, tout y est : l'ambiance, les décors, les personnages, l'humour et la dévotion au travers du pauvre sergent.

Merci ! :)

Continue ainsi, car c'est très bien.

Compte sur moi !

Ca c'est plutôt marrant, ce professionnalisme à toute épreuve. laugh.gif

Ah ! Que veux tu ! Quand on est Commandant Suprême...

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Je suis d'accord ! C'est un très bon début :D !

J'ai vraiment pas beaucoup de reproches à te faire... Les seules fautes que j'ai vu sont des fautes d'accent, rien de bien méchant. Donc un bon effort de ce côté là :)

Pour l'histoire, je vois rien à dire non plus. Le côté panique est bien retranscrit, ensuite on passe côté chateau avec l'arrivée du commandant. Petit début intéressant puis arrivée de la missive. Donc le seul côté que tu laisses un peu de côté, c'est le caractère de tes personnages. Tu as commencé un peu avec la blague et tu aurais pu t'étendre plus je pense :)

@+

-= Inxi =-

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Whoah !

Inxi-Huinzi aime mon récit !

Là, je reste sans voix... (ça tombe bien, j'écris)

Les seules fautes que j'ai vu sont des fautes d'accent, rien de bien méchant. Donc un bon effort de ce côté là smile.gif

Oui, je saute souvent pour mettre un accent. Toutefois, ceux qui sont mis ont leurs places, non ?

Donc le seul côté que tu laisses un peu de côté, c'est le caractère de tes personnages. Tu as commencé un peu avec la blague et tu aurais pu t'étendre plus je pense wink3.gif

Je me suis efforcé de clarifier Anton Ludenhof sur deux points trés importants :

-Son origine étrangère.

-Son "désaccord" avec les Chevaliers.

Notez que les invités sont vraiment des personnages du Stirland. J'aime ce côté fluff. J'espère ne pas avoir fait d'erreur... Et que pensez vous des images ?

Kael, alors là : :)

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J'aime ton récit! Il est assez prenant... Même si ce n'est encore que l'ntrigue que tu mets en place...

Juste une critique (pas méchante, je promets), je trouve que tu pourrais rajouter quelques détailles en plus quand le sergent est en train de fuir les loups...

Il fallait accelerer, malgré ses poumons en feux.

Continue sur cette lancée... Fais nous sentir le goûts, les odeurs, ce qu'il voit, la douleur qu'il ressent... Laisse nous courir avec le sergent... (cela a aussi l'avantage de rallonger des textes trops courts (pas le tien) sans pour autant ennnuyer le lecteur)

Je pense que le début serait encore plus prennant, accrochant le lecteur dès le début et ne le laissant pas séchapper pendant la pose de l'intigue...

Le début et la fin sont les parties les plus durs, mais tu t'en sort comme un chef!

Ecthelion

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Oui, c'est corrigé! Bravo! C'est parfait!

Pour ne pas faire un monoligne... Je dois avouer queca risque de devenir intéressant, ce gars qui déteste les ordres de chevalerie... Surtout que les loups blancs sont ceux qui ont ont battus le sylvaniens à plusieurs reprises et ne voudront probablement pas manquer la partie -_- ...

Beau duel de sommet en perspective!

Ecthelion

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Si je ne me trompe pas... Un des Grands Ma¡itres du Loup Blanc à tué Vald ou Conrad von Carstein... (regarde dans le livre d'armée CV sous ce perso spéciale). Aussi, dans le livre de règles V6, un des scénarios confronte (historiquement) les chevaliers contre les MV...

Regarde aussi la chronologie de Dreadaxe sous les archives en "background"...

Ecthelion

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:rolleyes::rolleyes:

c est un tres très bon debut .

j adore le debut , la poursuite des loup , c est bien retranscrit , j en ai presque froid dans le dos -_-

Il y a un gros efforts au niveau des fautes d ortographes , a vrai dire je n en ai pas vues , si il y en a, elles ne se voient pas ...

bravo , continue comme ca.

la suite

++

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Merci pour cet encouragement !

Pour ce qui est de Vlad, je pense qu'il a été tué par le Grand Théogoniste ! Vlad n'est pas allé à Middenheim, il a foncé sur Altdorf. Pour Konrad, il a été vaincu par un nain et un marienburger. Pour ce qui est de Mannfred, je crois que c'était surtout Finreir, l'archimage de Hoeth.

Modifié par Kael
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Oui, Vlad est tombé du haut des remparts d'Altdorf pour mourrir définitivement!

Mais c'est Vlad qui a affronté les loups blancs avant... Il l'a tué une fois, puis Vlad est revenu à la vie et crucifiee le pauvre grand maître devant Middenheim...

Voici un extrai de la chronologie:

Vlad von Carstein est tué par Kruger, Grand Maître des Chevaliers du Loup Blanc.
C'est en l'an 2025

Et:

Vlad von Carstein réapparaît, et se venge de Kruger : son corps est retrouvé exsangue au pied de l'Ulricsberg.
C'est en l'an 2026

Encore:

Bataille de Swartzhafen. L'armée de Morts-Vivants de Vlad von Carstein et l'armée du Comte Electeur de Middenheim se rencontrent à la frontière sylvanienne. Vlad est battu, et même blessé par les Chevaliers du Loup Blanc. Il mettra un an à s'en remettre.
C'est en l'an 2050

Finalement:

Vlad von Carstein est finalement tué par le Grand Théogoniste Wilhem III lors du siège d'Altdorf et son épouse Isabella se suicide plutôt que d'endurer l'éternité sans son époux. Les Comtes Vampires se querellent entre eux pour la succession de Vlad, et leurs armées de Morts-Vivants se dispersent dans les campagnes de l'Empire. Les Impériaux s'emparent alors des copies des Neuf Livres de Nagash, et du Liber Mortis.
C'est en l'an 2051

Espère que ce sera utile!

Ecthelion

Modifié par Ecthelion
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Eh oui ! Ce n'est pas dimanche que j'écris mais samedi soir ! Voici la suite de notre cher Commandant Suprême des Forces du Stirland...

Replongez vous dans l'aventure...

-Eh bien, Ludenhof... dit le Graf avec une mine grave.

-Qu'y a-t-il ? Je suis tout à fait apte à diriger une armée, Monseigneur ! répondit Anton en se redressant.

Le Comte Electeur se leva et commença à avancer vers ses fenêtres.

-Voyez vous, Ludenhof... Vous venez à peine de rentrer d'une bataille, votre fils vous attend... Je peux y envoyer quelqu'un d'autre, vous savez... dit le Comte en regardant Manslièb.

Le Commandant Suprême des Forces du Stirland s'avança à ses côtés et lui répondit, en le regardant en face :

-Excellence, ne pas me donner cet ordre, c'est enfreindre votre devoir. Je suis l'homme de la situation, et vous le savez trés bien. Ma patrie avant, mon fils et le repos plus tard !

Le Graf de Wurtbad se dirigea alors vers son bureau.

-Très bien, Commandant Suprême. Vous partez dans deux jours. Prenez vos hommes, et défendez votre patrie que vous chérissez tant... dit le Comte en soupirant.

-J'honorerai cet ordre, Monseigneur, répondit Anton en s'inclinant.

-Laissez moi écrire vos ordres, Commandant Suprême, dit Albérich Haupt-Anderssen sur un ton grave.

-Excellence, sauf votre respect, vous avez des invités... dit poliement Anton.

Le Graf leva la tête et regarda son second.

-Vous... Vous avez le courage d'aller au front pour votre patrie. Je ne vous comprends pas. Alors, je vais tâcher de vous imiter... Annoncez à mes invités que la fête est terminée.

Puis en se redressant de son fauteuil.

-Le Stirland part en guerre ! annonça le Comte Electeur fièrement.

-J'y vais de ce pas Excellence... dit Anton en se dirigeant vers les portes.

-Une dernière chose, Ludenhof...

-Monseigneur ? répondit le Commandant Suprême en faisant volte-face.

-Je... Je... Revenez vivant... dit le Graf en saluant son second par le signe militaire des armées Impériales. Combattez pour le Stirland !

-Et en votre nom, Excellence. Que Sigmar soit avec vous.

Et le Commandant Suprême des Forces du Stirland quitta le bureau de son supérieur.

-Que Sigmar soit avec vous, Ludenhof... dit le Comte Electeur en essuyant une larme d'un revers de sa manche.

-Commandant Suprême ! Que se passe-t-il donc ? demanda le cousin du Graf, encore à table.

-Sa Majesté, le Comte du Stirland, vous annonce que le repas touche à sa fin... dit Anton en les regardant droit dans les yeux.

-Et pourquoi donc ? répliqua-t-il.

Anton en s'en allant, lui répondit :

-Nous sommes en guerre... Valet, appellez mon cocher !

Attendant sous la pluie, aux côtés d'un des Hallebardier de Wurtbad, Anton Ludenhof regardait la rue en esperant y voir son carosse.

-Commandant Suprême, sauf votre respect, je connais votre regard. Nous partons en guerre, n'est-ce pas ? demanda l'Hallebardier en reculant.

-En effet... répondit Anton étonné de cette remarque.

-Puis-je savoir contre qui ma hallebarde frappera ?

-... Les armées du Comte Vampire, Gustav Von Carstein. Maintenant, retournez à votre poste et laissez moi.

-Bien, Commandant Suprême des Forces du Stirland... dit l'Hallebardier en obeissant.

Le carosse arriva. Il était d'un bois clair, son intérieur était luxueux, toutefois, son cocher était trempé et avait de lourdes cernes. Il était habillé trés modestement, ses habits étaient noir, contrastant avec son tricorne vert.

-Puis-je savoir la raison de ce retard ? demanda Anton Ludenhof en montant.

-Eh, bien, Monseigneur... La route menant au Palais a été bouchée à cause de la pluie. Les rues étaient impraticables. J'ai donc dû prendre un autre itineraire. Monseigneur ? dit le cocher en s'appercevant qu'il n'était pas écouté.

-Menez moi à mon château. Ne vous arrétez pas, et surtout, silence... dit Anton en retirant son tricorne trempé et en regardant la pluie tomber sur sa vitre.

Il avait besoin de réfléchir.

Affronter Gustav Von Carstein. Anton ne le craignait pas. Mais son armée oui. Comment le Stirland arriverait-il à le repousser avec une armée composée de survivants. Trop de Stirlanders avaient croisés le fer avec le Seigneur de la Fin des Temps. Toutefois, le Commandant Suprême savait que ses hommes étaient prêts à donner leurs vies. C'était du moins ce qu'il se forcait à croire...

Wurtbad...

"Il faudra un jour m'expliquer pourquoi avez vous choisi de vivre à l'extérieur de Wurtbad..."

Anton trouvait cette ville, comme toutes celles de l'Empire d'ailleurs, et en particulier Middenheim, sales. Oui, sales. A l'exception des Quartiers Riches, le reste n'était que misère, où nombres d'innocents périssaient pour un sou de cuivre. Toutefois, Wurtbad était doté de murailles trés impressionnantes, avec pas moins de dix mètres de hauts avaient resistés à bien des sièges... Wurtbad était une cité où l'on prenanit un réel plaisir à la défendre. Le peuple descendant des Asoborns ont dû affrontés maints ennemis et jusqu'à lors, aucun n'est arrivé à son but ! Et cela ne se passera jamais ! Ainsi pensait Anton Ludenhof...

Anton regarda des pauvres mendiants demander l'aumône. D'aprés leurs barbes, ce devaient être des Talabeclanders, ou pire, des Middenlanders. Une fois que le nord de l'Empire fut détruit, des dizaines de milliers de démunis vinrent dans les provinces du sud, et donc du Stirland... Des dizaines de milliers ? Oui ! Des dizaines de milliers !

Et pourquoi pas ? Le Stirland manquait de forces, ils demandaient du travail ! Mobiliser ces hommes était peut-être un espoir pour sa patrie ! Certes, ce n'étaient pas des guerriers émérites, mais au moins, ils étaient nombreux. Et bien qu'Anton les détestait, il devait admettre que les Impériaux du nord savait combattre... Il prit sa décision, il mobilisera ces hommes !

"Des guerriers émérites..."

Certainement plus que les Maraudeurs qui dévastèrent le manoir d'Anton. Ces chiens avaient dû traverser la Sylvanie et étaient affamés. Profitant que le Commandant Suprême était dans le Middenland, ils attaquèrent. Anton apprit que sa femme, Klara, avait périe. Son fils, Karl, avait réussi à se cacher, mais rester profondement traumatisé. En revenant chez lui, il apprit également que des Maraudeurs s'étaient établis dans une forêt non loin. Il mena la purge, et dés lors conserve le crâne, sur son chapeau, de celui qui avait accroché le cadavre de sa femme sur un arbre. Bien que ce fut un éléve talentueux en apparence, certaines nuits il devait venir chercher du réconfort dans les bras de son père. Anton se devait de proteger son fils. Et c'était d'ailleurs pour cela qu'il avait choisi comme précepteur Valmir Hoftreheim, un homme aussi honnête que bon guerrier. Vétéran de nombreuses guerres, il s'était tourné vers l'éducation. Karl... Son fils... Il tenait à son fils plus que tout au monde, malgré ses dires...

-Monseigneur ? Vous ètes arrivé à votre manoir... dit le cocher en tapotant la vitre.

-Oui, merci, Waldenmar. Prenez congé, mais revenez demain pour dix heures, dit Anton en sortant.

-Fort bien, répondit le cocher en repartant.

Modifié par Kael
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Invité Kroxigor
Replongez vous dans l'aventure...

Tout de suite et pas besoin de me le dire deux fois :wink:

sur votre respect

"Sauf votre respect". Le pire c'est que tu le mets comme ça plus tard dans le texte :) .

Anton trouvé cette ville, comme toutes celles de l'Empire d'ailleurs

"Anton avait trouvé", enfin si c'est ce que tu voulais dire.

C'est toujours aussi bien, on découvre une autre personnalité de Anton ainsi qu'un bout de son histoire personnelle.

La suite ( dimanche ou samedi soir?)

Kroxigor

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Oh merci ! (Zut, y'a Inxi qui va me dire que c'est peut-être du flood...)

Bien vu pour les fautes ! Je corrige ça tout de suite !

Et pour la suite, ça sera le mystère : samedi soir ou dimanche...

Par contre, j'ai un petit doute... Rassurez moi, dans l'Empire, on peut en trouver des tricornes ? Parce que je viens de m'acheter un costume pour mes tournois : costumeempireds1.th.jpg

Accompagné d'un joli tricorne (rassurez vous, la perruque jamais je ne la porterai, je me doute bien qu'ils ne mettaient pas ça dans l'Empire !)

Modifié par Kael
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Trés bien, Commandant Suprême.

Très

nuits il dû chercher du réconfort

Il manque un 't' ^^

Voici deux types fautes en passant mais j'en ai vu d'autres :)

Alors deux remarques avant le fond :

1)

Ah non, ce sont des images du net ! Je n'ai pas ce talent... Tu les trouves comment ?

Tu sais que c'est pas franchement légal :wink: Je me porte pas responsable de toi en cas de poursuite judiciaire ^^ J'ai l'air de plaisanter mais je suis sérieux... juste au cas où :'(

2 )

Zut, y'a Inxi qui va me dire que c'est peut-être du flood...)

Pour ce message là, ça va, mais faut pas te sentir obligé de répondre à chaque lecteur 'merci', parce que je revérifiais au dessus, il y a trois lignes mais ca aurait pu être éviter : Du style en attendant plus de réponses pour faire quelque chose de regrouper :clap:

Bon pour le fond, on développe le personnage, le moment où il parle de son 'hermitage' et il y a le début de la guerre. Par contre, ce que je trouve bizarre, c'est que personne n'ait peur. Ni le hallebardier, ni le compte électeur. Je pense pas que c'est courant une guerre contre les CV :clap: Même une pointe de doute ca aurait pu etre pas mal :clap:

Suiteuh !

@+

-= Inxi =-

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Attention... Ils ont peur. Le Comte, avez noté qu'il ne dit plus "Ludenhof" mais "Commandant Suprême" ? Avez noté qu'il a peur que son second ne revienne pas ? Avez vous noté qu'Anton craint que son armée ne soit pas suffisante ? Avez vous noté son besoin d'être seul ?

Je vais revoir mes fautes...

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Très intéressante , cette petite suite .

Les choses se mettent en place , les personnages se definissent ...

Je suis réelement etonné du peu de fautes qu'il y'a dans ton texte et , connaissant un peu le sujet , je connais la difficulté de l ecriture de dialogue .Et franchement , les tiens sont bien ecrits , pas trop répétitifs et très réaliste

Voila ,a la semaine prochaine ...

++

PS: ne reponds pas !!! :wink:

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