Ecthelion Posté(e) le 22 octobre 2006 Partager Posté(e) le 22 octobre 2006 Salut! La seule chose que je pourrais reprocher est qu'on n'a pas encore vu de l'action... Mais, c'est normal, les choses se mettent lentement en place, et on ne peut pas avoir du combat sans arrêt... Si la prochaine fois tu nous poste qqch de plus long? Comme ça on pourrait en vor plus... Si tu as le temps, bien sˆure. Ecthelion Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kael Posté(e) le 22 octobre 2006 Auteur Partager Posté(e) le 22 octobre 2006 La seule chose que je pourrais reprocher est qu'on n'a pas encore vu de l'action... Ah, si tu savais... Dans tout mes récits on m'a repproché d'être trop lent. Je fais attendre la guerre. Je fais attendre l'inévitable. Et, j'ennuis. Toutefois, au prochain épisode, il y aura de l'action ! Tu apprendras que le texte que j'avais posté (le dernier) était plus court à la base. Je me suis dit que quand même, il fallait vous satisfaire Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Nazdrug ud Ghor Posté(e) le 25 octobre 2006 Partager Posté(e) le 25 octobre 2006 la suite s'il te plat.. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Kroxigor Posté(e) le 25 octobre 2006 Partager Posté(e) le 25 octobre 2006 Ah, si tu savais... Dans tout mes récits on m'a repproché d'être trop lent. Je fais attendre la guerre. Je fais attendre l'inévitable. Et, j'ennuis. Je trouve vraiment pas que cette histoire est lente. Il faut bien des chapitres d'exposition. Continue comme ça, c'est très bien. la suite s'il te plat.. Euh......le monoligne? Il est où le commentaire du texte? La suite Kroxigor Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kael Posté(e) le 29 octobre 2006 Auteur Partager Posté(e) le 29 octobre 2006 (modifié) Etant un peu chargé ces temps-ci, je n'ai pu écrire la suite que ce soir. Milles excuses aux habitués -Bonsoir, Baron, dit un homme aux habits élégants, qui indiquaient toutefois qu'il n'était qu'un simple domestique, en s'inclinant. Ses rides et sa longue moustache, aussi grise que ses cheveux, montrait la vieillesse qui rongeait le valet. -Bonsoir Waldenmar. Des nouvelles durant mon absence ? demanda Anton en demandant à deux gardes d'ouvrirent les portes. -Le Baron apprendra que son fils a eu d'excellent résultat, dit le serviteur en suivant son maître qui s'était avancé dans le hall du manoir. Dans ce hall se trouvait un gigantesque escalier, où des servantes se hâtaient. Deux gigantesque portes avaient été installées sur les côtés. Celle de droite menait au salon, et celle de gauche, vers les cuisines. L'odeur indiquait clairement que le cuisinier était un Halefing du Mootland. -Et sur le plan de l'escrime ? questionna Ludenhof en se dirigeant vers la porte de droite. -Eh bien, d'aprés Sire Hoftreheim, le jeune Karl a fait d'intenses progrés, répondit Waldenmar en marchant derrière le Baron. Anton se retourna et, pour la première fois depuis le début de cette conversation, regarda son serviteur : -A-t-il battu le petit Fanterneir ? demanda le Baron. -Karl Ludenhof a en effet vaincu le jeune Ulrich. Je me dois de préciser au Baron que sa mère, Madame Fanterneir, s'est fortement irritée, d'aprés les dires de Sire Hoftreheim, répondit Waldenmar en se caressant la moustache. -Bien, trés bien. Prenez votre repos Waldenmar, dit Anton en avancant. -Le Baron est trop bon... dit le seviteur en s'inclinant. Le salon était spacieux. Il y avait de somptueux divans et fauteuils, ainsi qu'une immense cheminée. Le drapeau du Stirland avait été affiché sur un mur, ainsi que de nombreuses tapisseries, rendant hommage aux forces de la province. Continuant d'avancer, sans faire attention aux salutations de ses serviteurs, Anton ouvrit la porte qui se trouvait au fond du salon. Il arriva dans son bureau. Celui-ci était également grand. Son bureau était propre, ainsi que la salle. Les murs étaient cachés derrière des étagères remplies de livre. Sur le sol, on y avait representé le Stirland dans sa totalité, et ceci grâce à de nombreuses heures dépensaient par des artistes. On pouvait y admirer Wurtbad, mais aussi Leichberg, tout prés des sombres forêts de la Sylvanie... Le Commandeur Suprême des Forces du Stirland alla à son bureau et commença à rédiger une missive : ...Et c'est pourquoi il est impératif que chaque homme capable de tenir une épée, quelle que soit sa province natale, doit être mobilisé. Toutes nos forces et nos ressources doivent être impérativement, et ceci dés demain, mis à la dispostion de l'Armée du Stirland. Gustav Von Carstein sera arrété, et le Graf de Wurtbad, et moi-même, ordonne que ce soit fait le plus vite possible. C'est pourquoi, Capitaine Meltburg, je vous choisis encore une fois comme second. Je me dois de rendre hommage à votre vaillance pendant toutes ces années où vous avez été à mes côtés. Je sais que vous ne me decevrez pas. Faites passer cet ordre dans toutes les casernes, y comprit celle dAnderssenstadt, malgré les récentes émeutes. Dés que vous aurez terminée cette lettre, partez sur le champ. Je vous retrouverai demain à la caserne de Wurtbad, en fin d'aprés-midi. Je vous fais confiance, Capitaine. De votre course va dépendre beaucoup... Commandant Suprême des Forces du Stirland, Anton Ludenhof. P.S : Je n'ai pas oublié votre acte héroïque durant la battue. Comptez sur moi pour parler au Comte Electeur de votre bravoure... -Otto ! appela Anton. -Le Baron m'a demandé ? demanda un domestique à la barbe blonde et aux cernes remarquables. -Oui, apportez cette missive au Capitaine Meltburg sur le champ, dit le Baron en terminant d'insérer la missive dans l'enveloppe. Faites vite. -Tout de suite, Baron, dit Otto en prenant la lettre et en courant. Le Commandant Suprême monta se coucher dans ses appartements. Il était épuisé. Cette battue, cette dispute avec la Fanterneir, ce repas, cette lettre de Leichberg, cette maudite pluie, cet hiver... Il était épuisé. En se reveillant, Anton alla se laver. Ce jour se devait d'être mémorable. Le Stirland entrait en guerre. -Bonjour, Baron, dit une jeune femme brune. -Faites couler un bain. Appellez moi dés qu'il sera prêt, puis aller me préparer quelque chose à manger. Allez ! dit Anton en se dirigeant vers la chambre de son fils. Il marchait dans un couloir, dont les murs avaient pour décoration les tableaux des ancêtres Ludenhof. Le tapis sur lequel Anton marchait était absolument superbe. Il venait de la lointaine Arabie, plus exactement de Sudenburg, où il avait fait escale il y a plusieurs années. En arrivant devant la porte de la chambre de son fils, Anton frappa. -Entrez, dit la voix d'un petit garçon. Le Baron s'éxécuta. -Père ! fit Karl Ludenhof en le voyant. Il était encore en chemise de nuit, tout comme son père. Les cheveux bruns de jeune homme était similaire à ceux d'Anton. Il ressemblait vraiment à l'homme qu'il serrait dans ses bras. Toutefois, son nez, c'était celui de sa mère... -Bonjour Karl, comment vas-tu ? demanda Anton les yeux remplis d'émotion. -Je vais bien, mais vous ?! Et la battue ? Et ce repas ? Et, euh... répondit précipitemment le garçon. -Ton père a mené son armée avec bravoure. Les Hommes-bêtes ont été vaincus ! Ils ne s'en prendront plus aux villages forestiers pendant lontemps, dit le Baron en se redressant. -Racontez moi, père, racontez moi ! dit le garçon en sautillant sur place. -Va prevenir Mademoiselle Fralheim que tu désires prendre un bain à mes côtés, je te raconterai tout... -J'y cours ! répondit Karl en se hâtant. Durant le bain, les deux Ludenhof se racontèrent les derniers jours. Karl aimait et admirait son père. Son respect était mélé de crainte, car il savait trés bien que son père avait tué, et que lorsqu'il avait fait une faute, son père, en conséquence de cause, n'hésitait pas à lui donner une gifle. Malgré tout, ce genre de sanctions restaient rares, et Karl comprenait son père. -Donc... Vous partez demain ? demanda le fils inquiet. -Oui. Comprends bien ce qui se passe, Karl... répondit le père désolé. Puis, aprés un long silence : -Vous reviendrez ? demanda le jeune Ludenhof à la mine grave. -Ne t'en fais pas. J'ai déjà affronté plusieurs fois ces morts-vivants, ils ne m'effraient pas. Et connais-tu quelqu'un de plus talentueux que ton père dans le maniement de l'épée à deux mains ? répondit en souriant Anton, tentant de rassurer son fils. -... -Allons, tu seras fier de porter mon nom ! dit le Commandant Suprême en sortant de son bain. -Mais je le suis déjà, père... -Eh bien tu le seras encore plus ! lui répondit Anton en se mettant une serviette. Pendant mon absence, je veux que tu t'améliores à l'escrime... -Mais, j'ai battu Ulrich ! protesta Karl. -Ce n'est pas assez, ce petit est un bon à rien. Bats le fils de Sire Von Runyal ! dit Anton en fermant la porte derrière lui. Le Baron mit une chemise blanche, suivit d'une veste verte. Son pantalon était également vert, mais ses colants étaient de couleurs jaunes, qui se terminaient par de petites sandales noires. Il se coiffa et mit son magnifique chapeau de la veille, en y rajoutant les trois plumes de griffons, trophées de ses défis contre des escrimeurs de son niveau. Descendant l'escalier, Otto s'inclina devant lui. -Le Baron reçoit la visite du Capitaine Meltburg... -Ah ! Faites le entrer ! dit Anton en souirant. Désolé, j'aurais tant voulu mettre de l'action ! Mais comprenez que ce récit à son rythme... Kael, en esperant de ne pas avoir perdu ses lecteurs... Modifié le 29 octobre 2006 par Kael Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Kroxigor Posté(e) le 29 octobre 2006 Partager Posté(e) le 29 octobre 2006 Deux gigantesque porte portes vers les cuisine cuisines Désolé, j'aurais tant voulu mettre de l'action ! Mais comprenez que ce récit à son rythme... Mais tu es tout pardonné. C'est toi l'écrivain, c'est toi qui écrit, ce n'est pas nous, les lecteurs raleurs . L'action peut attendre, cela nous permet d'en savoir un peu plus sur le personnage de Anton, et de "voir" son fils dans l'histoire. Sinon, c'est très bien quoique un peu court mais ça doit être la faute aux images qui prenaient de la place. La suite. Kroxigor Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kael Posté(e) le 29 octobre 2006 Auteur Partager Posté(e) le 29 octobre 2006 Voilà, j'ai corrigé ! Je tiens à preciser que je pars trois jours, donc, je ne suis pas sûr que je pourrais répondre à toutes vos questions... Kael, content de voir que Kroxigor est au rendez vous ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 2 novembre 2006 Partager Posté(e) le 2 novembre 2006 Deux gigantesque portes avaient été installées Accord d'aprés Sire Hoftreheim, le jeune Karl a fait d'intenses progrés Tu vas pas me dire que c'est sous word ça Parce que deux accents dans le mauvais sens... Bien, trés bien. Prenez votre Accent dans sa totalité, et ceci grâce à de nombreuses heures dépensaient par des artistes. Serieux concentre-toi... Ca va devenir lassant.... Dés que vous aurez terminée cette lettre Deux fautes : accent et accord car il savait trés bien que son père avait tué Accent Bon mis à part ces fautes d'ortho plus que récurentes, ca pourrait être pas mal... C'est vrai que l'histoire avance pas à grande vitesse mais a toute histoire, ses temps morts pour recadrer l'action et donner des informations interessantes Allez suite @+ -= Inxi =- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kael Posté(e) le 5 novembre 2006 Auteur Partager Posté(e) le 5 novembre 2006 (modifié) Le Capitaine Swen Meltburg était un jeune homme agé d'un peu plus de vingt-cinq ans. Homme de bravoure, il avait servi sous le Commandant Suprême pendant sept ans. Il avait fait ses études à Wurtbad, d'où il était natif d'ailleurs, et connaissait particulièrement bien sa province. Il était grand, mince, et robuste. Ses longs cheveux blonds descendaient jusqu'à ses oreilles. Il portait un bel uniforme de l'armée du Stirland, similaire à celui d'Anton. -Commandant Suprême des Forces du Stirland, mes respects ! dit le Capitaine en saluant son supérieur. -Bonjour Capitaine, faites votre rapport, répondit Anton en lui renvoyant son salut. -En suivant vos instructions, je me suis rendu aussi vite que possible à Wurtbad. Dés lors, j'ai pu prévenir les casernes, et une dizaine de messagers sont partis en quête d'homme. Toutefois... dit le Capitaine en regardant sur le côté. -Toutefois ? demanda Anton d'un air interrogateur. -Eh bien, Commandant Suprême, sauf votre respect, vos ordres risquent de provoquer un incident diplomatique, répondit le jeune homme en reculant. -Et avec qui ? Le Middenland ? Le Talabecland ? Ou encore mieux, l'Ostland ? Ce sont des provinces perdues, et elles ont presque disparues. Voyez vous, la situation de l'Empire est alarmante. Là où l'armée d'Archaon a été défaite, il faut savoir que d'autres races sont en activités. Je ne tolérerai pas que le Stirland tombe. Ces hommes seront recrutés. Sans doute de force, mais seront recrutés. Maintenant, venez donc à table... Anton et Swen se quittèrent une heure plus tard. Le Ludenhof alla prendre son coursier dans ses écuries. -Bonjour, Monseigneur, dit un jeune palefrenier en abaissant la tête. -Tornac est il sellé ? demanda le Baron. -Absolument, je vais vous le chercher, dit le jeune homme en avancant dans les écuries. Bien qu' Anton n'appréciait que "modérement" la cavalerie, il aimait chevaucher son coursier. Tornac était un pur-sang alezan, ses jambes étaient toutefois marquées par des balzanes blanches. Anton détestait attendre son cocher, il prenait donc souvent des initiatives... -Le voici, Monseigneur, dit le palefrenier en donnant les rennes au Commandant Suprême. Anton monta sur Tornac, et les deux silhouettes s'en allèrent à travers la campagne du Stirland, qui était plongé dans une mer de brumes... La Baronnie des Ludenhof du Stirland avaient été fondée dés que son aïeul entra dans le commandement de l'armée. La Baronnie n'était pas exceptionnellement grande, mais sa terre était fertile. Outre les nombreux champs, la Baronnie avait sur son terrain une petite forêt, où Anton et le Comte-Electeur allait parfois chasser. Anton se dirigeait vers Wurtbad. De là, il commencerait son travail, à savoir, la mobilisation des troupes ainsi que leurs entrainements. Au bout d'une heure, les murailles du la Cité du Stirland étaient visibles. Ces murailles étaient la fierté de la Cité. Rares étaient les ennemis à y avoir pu rentrer, tant elles étaient solides. "Et il en sera ainsi pour toujours..." pensa Anton. -Commandant Suprême ! dirent les gardes en saluant le cavalier. Otto, ouvrez les portes ! ordonna un homme qui semblait être un sergent. Le Ludenhof et sa monture s'enfoncèrent dans la Cité. Les passants s'écartaient, d'autres admiraient, mais un d'eux se rapprocha du cavalier. Il était habillé de noir, et son visage était difficilement reconnaissable. Soudain, il sortit un pistolet et tira. Tornac, affolé, se cabra et ce reflexe lui permit d'éviter la balle. Toutefois, Anton avait été projeté contre les pavets. Les passants, appeurés, s'étaient éloignés. Le coursier s'enfonça d'avantage dans la Cité. -Meurs ! Infidel ! cria l'assassin en sortant une longue épée. Anton ouvrit les yeux juste au moment où l'épée s'abattait sur lui. Ecoutant ses reflexes, il roula sur le côté et se releva. Si l'épée avait été évitée, Anton n'eut pas le temps d'esquiver le poing qui alla sur son visage. Les yeux remplis de larmes, il s'éloigna et dégaina son épée, et sortit son pistolet. -Pourriture, à ton accent, t'es du Talabecland ! cria Anton en tirant une balle sur l'assassin. L'homme habillé de noir tenta d'esquiver la balle, mais trébucha sur un des pavets. Certes, le projectile ne l'avait pas touché, mais Anton avait profité de sa chute pour retirer l'épée des mains de son adversaire, et mit la sienne sous sur son cou. -Les hommes comme toi doivent mourrir, dit Anton avec un regard sombre. -Non ! Je... Noon ! dit l'assassin. Mais la lame trancha. Une fine ligne de sang apparut sur le cou de l'assassin, suivit des spasmes du mourant. -Monseigneur ! dit un sergent menant cinq hallebardiers. -Amenez le où vous voulez. Mais, surtout, que son cadavre soit vu, ordonna Anton avec un regard sombre et inquietant. Modifié le 5 novembre 2006 par Kael Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Nazdrug ud Ghor Posté(e) le 5 novembre 2006 Partager Posté(e) le 5 novembre 2006 c'est pas mal, je trouve qu'il y a une réelle atmosphère, tu t'en sors bien, on est transposé aux cotés des personnages, enfin bref on aimerait en savoir plus. encore une fois, tout ca grace au rythme du récit, avec un suspens bien géré. Mais, car il y a un mais, je trouve que la dernière scène est trop calculée, il faudrait qu'on sente mieux le coté surprenant de l'attaque. Enfin je sais pas , j'ai un problème ave cette scène de la tentative d'assassinat mais sinon bravo, enfin un boulot sérieux( fais quand-meme attention aux fautes d'orthographe qui deviennent récurantes) Encouragements Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Kroxigor Posté(e) le 5 novembre 2006 Partager Posté(e) le 5 novembre 2006 Ses long cheveux blonds descendaient jusqu'à ses oreilles. longs Commandant Suprême des Forces du Stirland, mes respect mes respects suaf votre respect petite faute de frappe mais elle sa terre était fertile y a un mot de trop la mobilisation des troupes ainsi que leurs entrainements Même si c'est grammaticalement correcte, j'aurais vu un singulier à "leurs entrainements" Bien, bonne suite, même très bonne, les fanas d'action ont leur amuse gueule . Même remarque que Nazdrug ud Ghor ( diffile à prononcer dis donc ). La scène est trop calculée, on sent qu'il va y avoir quelque chose et cela vient du fait que tu décris la réaction des passants. En effet, comme tu précises leur attitude, on sent que quelqu'un sera différent de tous. Mais il est vrai que c'est un genre de scène assez difficile à exploiter. La suite Kroxigor ( à dimanche prochain ) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 5 novembre 2006 Partager Posté(e) le 5 novembre 2006 Dés lors, j'ai pu prévenir les casernes GROS soupir Mouhaha : Qu'il meurt ce sale assassin ! Bon ben ça fait passage de transition, un peu comme j'ai pu moi-même le faire Rien de négatif, ne t'inquiete pas ! Donc on apprend quelque chose d'important : un risque de soulevement, enfin de discorde au sein des autres villes. Donc peut etre des petits problemes en perspectives @+ -= Inxi =- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kael Posté(e) le 8 novembre 2006 Auteur Partager Posté(e) le 8 novembre 2006 (modifié) Le Capitaine Swen Meltburg attendait le Commandant Suprême près du Palais du Graf de Wurtbad. Il était en retard. Et ce n'était pas habituel... Midi était passé, et ils devaient aller déjeuner chez un excellent restaurant tenu par un Halefing, "Le fleuve et la cité". Il devait s'être passé quelque chose. Ses jambes le faisaient souffrir, encore marquées par la dure journée d'hier. Il avait "aidé" son supérieur. Un énorme Gor avait surpris le Commandant Suprême, et juste au moment où la lame allait rencontrer la chair, Swen avait plongé pour mettre à terre son Seigneur. Quelques secondes plus tard, il se redressa, l'épée à la main, s'interposant entre le Commandant Suprême à terre, encore sonné et cette monstrosité du Chaos. La bête hurla et s'élança. Swen para encore et encore, se forcant à ne penser qu'à une seule chose : le Stirland. Puis, le Capitaine trébucha et le Gor fut sur lui. Croyant son heure arrivée, il résista néanmoins à la force de la créature. Toutefois, il été exténué, son corps exigeait repos. Il entendit le bruit caractéristique d'un pistolet tirant son projectile, et l'instant d'aprés, le Capitaine s'était retrouvé sous un Gor agonisant... Anton Ludenhof venait de rembourser sa dette. Swen regarda deux hallebardiers qui patrouillaient. Ils étaient de braves soldats, fiers de leur patrie et prèt à donner leurs vies pour la sauvegarde de la province. Swen les connaissait, il étaient là la veille... Ils se nommaient Hans et Friedrich, et ce dernier avait perdu son oeil suite à la battue, mais avait tout de même voulu rester à son poste. Les deux hommes passèrent en saluant le Capitaine. -Il parait que notre bien-aimé Commandant Suprême s'est fait connaître de plus belle aujourd'hui ! dit Hans en riant. -Tu l'as dit ! Bah, un assassin de moins, c'est toujours mieux pour cette cité ! répondit le borgne en souriant. -Et surtout moins de travail pour nous ! répondit son ami. Swen entendant ces mots bondit vers eux. -Attendez ! Soldats, que venez vous de dire ? ordonna le Capitaine. -Eh bien... Capitaine, j'informais juste mon collègue sur ce qui s'est passé il y a moins d'une heure, mon Capitaine, répondit timidement Hans. -Que s'est-il passé ? exigea Meltburg. -Le Commandant Suprême des Forces du Stirland a été victime d'un attentat, et... -Non ?! Que s'est-il passé ?! ordonna le Capitaine en prenant l'hallebardier par les épaules. -Il est en vie, mon Capitaine ! Il est en vie ! Le Commandant Suprême a tué l'agresseur, son cadavre est pendu sur la place dédié au Comte Martin... répondit Friedrich. -Où puis-je trouver le Commandant Suprême ? ordonna Meltburg. -Euh, Hans ? demanda Friedrich. -Je crois l'avoir vu descendant la rue menant à la caserne principale de... dit l'hallebardier, interrompu par le Capitaine qui se mit à courrir. -Rompez ! dit Swen en accélérant. "Bon sang ! Un attentat ! C'était inévitable... Les immigrés vont se révolter ! Il faut que je trouve Ludenhof !" pensa le jeune Capitaine du Stirland... Voilà, une petite suite en ce soir de Mercredi. Celle que j'ai faite Dimanche méritait d'être étoffée, c'est chose faite ! Modifié le 13 novembre 2006 par Kael Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 9 novembre 2006 Partager Posté(e) le 9 novembre 2006 Bon première remarque tirée des premières lignes : Je veux bien être patient avec l'orthographe mais faut pas pousser !!! Parce que la même faute que je trouve à tous les passages, ca désespère ! Exemple : Meltburg attendait le Commandant Suprême prés du Palais du Graf de Wurtbad. Bon après, il y a les petites erreurs d'inattention qui me gène car, normales j'envie de dire , du style : Ses jambes le faisait souffrir fiers de leur patrie et prêt à donner leurs Bon sinon je ne peux que conseiller la suite. Moi la question que je me pose, c'est pourquoi la révolte. Je pense que ca sera plus développé dans un prochain passage alors vivement celui-ci !! Et attention au problème ' é ' et ' è ' @+ -= Inxi =- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kael Posté(e) le 12 novembre 2006 Auteur Partager Posté(e) le 12 novembre 2006 (modifié) Le jeune Capitaine du Stirland courrait de toutes ses forces dans les rues de la Cité. Les passants s'énervaient, puis, en remarquant son uniforme, se calmèrent. "Oh non ! Le marché !" pensa Swen. Il avait tellement courru vers la place dédié au Comte Martin, celui qui tua Mannfred Von Carstein, qu'il était arrivé sur la place du marché... Il devait la traverser. Ne pouvant courrir, il dût se résoudre à marcher. -Capitaine ! Regardez ces tissus d'Orient ! cria un marchand. -Héros du Stirland ! Ne l'écoutez pas, des hommes comme vous ont des femmes à chérir ! Je vends des bijoux de Marienburg ! répondit un autre. "Surtout, rester calme..." Swen haissait ces marchands. Les entendre l'irritait au plus au point. -Mais taisez vous donc ! Laissez le passer ! dit une voix. "Ah ?" Un homme habillé luxueusement vint le trouver et dégagea la route pour lui. Son visage était dissimulé sous une barbe blanche, et les couleurs de ses habits reprenaient celles du Stirland. Swen se sentit rassurer. -Je vous remercie, dit le jeune Capitaine. -Allons, allons ! C'est normal, aprés tout ce que vous faites pour notre province ! Venez donc dans mon échoppe, nous pourrions discuter affaire tranqu... commença à dire le marchand. Swen fit une grimace qui exprimait clairement sa colère. -Laissez moi... dit-il d'un ton glacial. -Allons, jeune... répondit le marchand. -J'ai dit : laissez moi ! cria Swen. Le Second du Commandant Suprême avait été profondement choqué par le marché étant petit. Son père se faisait constamment agressé par des propositions malhonnêtes, et c'est ce qui lui coûta la vie, alors qu'il traversait une ruelle peu fréquentable. Lui et son frère ainé, Johann, s'en allèrent vivre chez leurs grands-parents. L'un parvint à se hisser au rang de Capitaine de l'Armée du Stirland, tandis que l'autre... L'autre devint un redoutable Répurgateur, au service du Grand Théogoniste. Johann Meltburg excercait sa profession avec talent, il avait réussi à arrêter la menace du Nécromancien Léopold Von Zeiman. Pour Swen, il était l'un des derniers Répurgateurs à avoir l'esprit à peu prés sain... Le jeune Meltburg, aprés cette dure épreuve psychologique, arriva dans la place tant convoitée. Elle était entourée par des bâtiments d'une rare splendeur, qui avaient pour fonction de loger les plus grands aristocrates du Stirland. Au centre, se trouvaient quatre fontaines, chacune possédant une statue. Celle pointé vers le sud représentait la Freya, Reine des Asoborns. Celle du nord, avait pour statue Sigmar, terassant un orc. La fontaine de l'ouest représentait Taal, aux côtés d'un cerf. Et la dernière, celle de l'est, avait pour statue celle de Magnus le Pieux, qui se retournait vers celle du centre... Une statue du Comte Martin avait été sculptée, le glorifiant de son acte de bravoure en tuant le vil vampire... Dérrière ce monument, l'un des plus imposants de tout Wurtbad, bien au fond de la place, le cadavre d'un homme pendu. "Alors, c'est ce fumier qui..." pensa Swen en s'approchant. Une pancarte avait été écrite aux côtés du corps inerte : Cet homme a dû répondre aux crimes suivants : -Irrespect des forces militaires du Stirland. -Attentat sur le Commandant Suprême des Forces du Stirland. Devant la gravité de ces faits, cet homme ne méritait pas de procés. Que son cas puisse servir d'exemple à ne pas suivre ! -Vous noterez, Capitaine, qu'ils n'ont pas mis qui a tué cette pourriture... dit une voix familière dérrière Swen. Le jeune Meltburg se retourna et vit enfin son supérieur. Il le salua immédiatement. -Mes respects, Commandant Suprême des Forces du Stirland ! s'éxécuta le Capitaine. -Je suppose que l'on vous a conté ce qui s'est passé ce matin... dit Anton en allant s'asseoir sur une des marches qui menaient à un des appartements des riches aristocrates. -Oui... fit Swen en s'asseyant à ses côtés. -Vous aviez raison. Des émeutes font se déclencher, fit le Ludenhof d'une sombre mine. -Avez vous des chiffres, Commandant Suprême ? demanda poliment Swen. -On a pu enrôler de force pas moins de mille réfugiés. Autant sont encore dans la nature, sans doute en train de préparer un coup... répondit-il en soupirant. -Vous avez une idée ? demanda le Capitaine. Anton Ludenhof, le Commandant Suprême des Forces du Stirland, se redressa et contempla le regard vide du Comte Martin. -Bien sûr ! Vous me prenez pour qui ? répondit-il. Se redressant également, Swen en souriant dit : -Et puis-je savoir quelle idée ingénieuse va nous retirer cette difficile situation ? -Regardez sur votre droite. Et aussi sur votre gauche. Que voyez vous ? Meltburg s'éxécuta et... -Des Feux d'Enfer ?! Mais... Ne me dites pas que... ! -C'est une manière comme une autre de répondre à une agression. -Mais... Anton se retourna et regarda fixement son second. --Ecoutez, Meltburg, ce vampire risque de dévaster cette province. Vous pensez réellement que je vais perdre du temps avec... avec, des Middenlanders ? Des Talabeclanders ?! s'enerva Anton. -Je comprends. Mais laissez moi au moins, essayer d'arranger les choses par la diplomatie. C'est tout ce que je vous demande, répondit Swen en regardant son supérieur droit dans les yeux. -Trés bien. Faites vite alors ! dit le Ludenhof en partant. -Attendez ! Vous savez où je pourrai trouver leur meneur ? questionna le Capitaine. -Bah, sans doute dans une taverne... "Merci de cette aide !" pensa Swen. -Et, notre repas ?! -Sachez ce que vous voulez... Ca sera pour une prochaine fois, dit le Commandant Suprême en s'éloignant dans l'une des rues de la Cité. Swen alla s'asseoir sur une des marches. Tant de question se posaient en lui... Pourquoi Anton avait-il réagi par... par l'achat de deux Feux d'Enfers ? Au fond de lui, Swen savait que son supérieur souffrait. Il souffrait de la perte de sa famille. Cette blessure ne s'était jamais refermée, comme peut en témoigner le crâne qu'il y a sur son chapeau. Et puis, il y avait eu eux... Ces elfes... Durant la Tempête du Chaos, le Ludenhof avait combattu aux côtés d'un petit contingent envoyé pour se "venger". Les "Elfes de Sang" qu'on les appellait... C'est à cause d'eux que le Commandant Suprême était devenu fou ! Fou... Fou ? Non... Cruel envers ceux qu'il méprisait. En soit, ce n'était pas si dérangeant, mais Swen n'appréciait pas son idée... Comment allait-il trouver le chef de ces rebels ? Ce devait être un immigré, comme la plupart des hommes qui n'avaient pas répondu à la mobilisation. Un Middenlander ? Un Talabeclander ? Un Ostlander ? Swen ne savait pas. N'y avait-il pas une taverne où il pourrait récolter des informations ? -La taverne du Vieux Porc ! cria Swen en courrant vers le port, pendant que son supérieur devait sans doute préparer les hommes au combat... Modifié le 13 novembre 2006 par Kael Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 12 novembre 2006 Partager Posté(e) le 12 novembre 2006 du Stirland courrait de toutes ses forces dans Il n'y a qu'un 'r' tellement courru vers la place dédié au Comte Martin, celui qui tua Mannfred Von Carstein, qu'il était arrivé sur la place du marché... Il devait la traverser. Ne pouvant courrir, il dût Même remarque en double exemplaire Mais taisez vous donc ! Laissez le passer ! dit une voix."Ah ?" Un homme habillé luxueusement Tu ferais bien d'enlever ce ' ah ' Il n'a rien a faire là ^^ celles du Stirland. Swen se sentit rassurer. rassuré Dérrière ce monument, l'un des plus imposa A mon avis.... tu travailles pas sous word. e méritait pas de procés. Que son cas puisse servir d'exemple à ne pas suivre ! -Vous noterez, Capitaine, qu'ils n'ont pas mis qui a tué cette pourriture... dit une voix familière dérrière Swen. Deux fautes d'accents qui me font confirmer ce que je disais au-dessus. Des émeutes font se déclencher, fit le Ludenhof Du verbe faire je suppose Bon sinon, ca y est, présentation du personnage que je trouve plus attachant maintenant qu'on en sait plus sur sa vie. On sait pas trop ses positions mais juste qu'il est du bon côté. Enfin moi je vois ça comme ca. Donc ils vont matter la rébellion par le sang ? Interessant Il faudrait mieux les recruter pour se battre contre le vampire Mais bon, peut etre qu'il y aura un renversement de situation ! Allez suite @+ -= Inxi =- PS : Ah oui ! J'en ai marre de tes fautes d'accents... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Kroxigor Posté(e) le 13 novembre 2006 Partager Posté(e) le 13 novembre 2006 Un énorme Gor avait surpris le Commandant Suprême, et juste au moment où la lame allait rencontrer la chair, Swen avait plongé pour mettre à terre son Seigneur. Quelques secondes plus tard, il se redressa, l'épée à la main, s'interposant entre le Commandant Suprême à terre, encore sonné et cette monstrosité du Chaos. La bête hurla et s'élança. Swen para encore et encore, se forcant à ne penser qu'à une seule chose : le Stirland. Puis, le Capitaine trébucha et le Gor fut sur lui. Croyant son heure arrivée, il résista néanmoins à la force de la créature. Toutefois, il été exténué, son corps exigeait repos. Il entendit le bruit caractéristique d'un pistolet tirant son projectile, et l'instant d'aprés, le Capitaine s'était retrouvé sous un Gor agonisant... Anton Ludenhof venait de rembourser sa dette. Tout ce passage est àrefaire au niveau des temps. On comprend que tu veux nous raconter un épisode récent mais tu n'a pas choisi les bons temps. -Que s'est-il passé ? exigea Meltburg sur un ton exigent Bien marrant, mais bon, ça se voit ce genre de répétition. se redressa et regarda le regard vide du Comte Martin. Même remarque. Il y a des verbes synonymes. Bon je ne reviendrais pas sur les fautes d'accents. C'est pas mal, on en sait plus sur le personnage. Mais cette histoire d'elfe est à éclaircir, j'ai pas tout compris. La suite Kroxigor P.S: désolé pour le retard. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kael Posté(e) le 14 novembre 2006 Auteur Partager Posté(e) le 14 novembre 2006 Bon... Pour les fautes, je suis vraiment navré Problème persistant des accents, mais tu sais, Inxi, si ce n'est que ça, j'en suis assez fier ! Aprés, il me faut me relire, c'est certain... Pour le passage que Kroxi a cité, j'ai tenté de le mettre en italique pour exprimer le songe. Meltburg songe à ce souvenir Mais cette histoire d'elfe est à éclaircir, j'ai pas tout compris. Désolé, dans le récit même, je n'en reparlerai sans doute pas. Sache juste que cette armée, je l'a joue. Et que dans les premiers récits qui ont vu naître Anton Ludenhof, il y avait Kael Indonniel. Si tu veux plus d'infos sur eux, pas de soucis ! Mais c'est juste pour faire un rappel à ceux qui m'ont soutenu jusqu'ici La suite dimanche ! L'action se met en route... et vous allez découvrir quelqu'un ! Vous essayez de le trouver ? Allez, c'est le jeu ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kael Posté(e) le 19 novembre 2006 Auteur Partager Posté(e) le 19 novembre 2006 (modifié) Le Capitaine Swen Meltburg quitta la place du Comte Martin, en le saluant une dernière fois. La taverne qu'il cherchait se trouvait à environ deux heures à pied... Par chance, il vit un carosse dans une des rues. Il s'élança et toqua à la portière : -Bonjour, messieurs, mesdames. Capitaine Meltburg, je peux faire un bout de route avec vous ? demanda-t-il poliement. Un gros bonhomme aux cheveux gras sorti la tête, il portait des habits bleus et sa peau luisait, comme s'il n'avait que trop sué, lui répondit : -Les Forces du Stirland ne savent plus marcher ? dit-il avec une voix hautaine. -Trés bien. Si vous le prenez ainsi... Je réquisitionne ce carosse, au nom du Prince de Wurtbad... répondit en souriant Swen. -Quoi ?! Mais vous ne pouvez ! s'énerva le bourgeois. -Vous allez par où ? questionna le jeune Meltburg. -Klara ! Réponds à cet ord... officier... répondit l'homme en retournant dans le carosse. Une belle jeune femme aux cheveux bruns regarda le Capitaine avec un regard intense. -Nous allons au marché... dit-elle en se caressant les lèvres avec sa langue. Swen, nullement intéréssé, répondit : -Celui de Wurtbad Ouest ? -Tout à fait, dit-elle en recommençant son numéro. -Parfait ! Je fais un bout de route avec vous ! Cocher, à la taverne du Vieux Porc, dit Swen en entrant dans le carosse. Il se retrouva assis prés de la belle Klara. "Mon vieux, surtout, ne t'excites pas !" s'ordonna le Capitaine. -Cela ne m'étonne pas qu'un homme comme vous aille dans ce genre d'endroit... dit le bourgeois. -En effet, j'y vais souvent. Mais vous apprendrez par la suite que c'est le meilleur endroit pour trouver des informations. -Bien sûr... répondit le gros bonhomme en regardant par la fenêtre. Les chevaux se mirent à avancer, et le carosse à trembler en passant sur les pavets de la ville. -J'ai appris que le Stirland rentrait en guerre ? demanda Klara en jouant avec ses yeux. -C'est exact. Et c'est pour cela que je dois me rendre dans cette taverne... répondit Swen courtoisement. -Oui... Notre armée est tellement décadente que nous avons besoin de mercenaires... siffla le bourgeois. Durant plus d'une heure, Swen dut supporter les sarcasmes de son "hôte" et les avances de sa compagne. Plus d'une fois il s'était demandé s'il n'aurait pas été mieux de marcher... Arrivé devant l'établissement, Swen sortit du carosse : -Je vous remercie encore une fois. Quant à vous, messire ? demanda le Capitaine. -Fanterneir... siffla l'intéréssé. -Parfait, vous irez vous expliquer devant les gardes. On n'insulte l'armée du Stirland... Et Swen claqua la porte. "Je hais ces types !" s'hurla-t-il. Les environs de la taverne étaient sombres... Des petites ruelles se trouvaient en ces lieux, où des odeurs nauséabondes sortaient, c'était sans aucun doute le repaire de brigands et de voleurs. La taverne était laide. Sa pancarte, où le nom de l'établissement y avait été écrit, rouillée et grinçait au moindre coup de vent. Son uniforme n'allait pas plaire. Il n'y avait pas songé. Et de plus, il va lui être difficile de répérer le meneur des émeutes... -Bonjour, petit frère, dit une voix familière dans son dos. -Non ? Johann ?! dit Swen en se retournant, le sourire aux lèvres. L'homme portait un long manteau et un chapeau de cuir. Son teint était pâle. Sa moustache chevauchait une ballafre, qui arrivait jusque sous son oeil droit. -Swen... Cela fait si lontemps ! répondit l'ainé Meltburg en embrassant son cadet. -Tu es devenu célèbre ! Même à Altdorf on connait tes exploits ! -Non. A la limite, ils savent que je me suis occupé de Von Zeiman. Mais dis moi, que fait officier dans ce sombre endroit ? demanda Johann. -Je recherche un meneur d'émeutes. Tu es au courant que le Commandant Suprême a déclenché un appel aux armes intense, suite à la menace de la Sylvanie. Et tout les immigrés venant du nord sont fortement susceptibles de se révolter. Le Baron Ludenhof a d'ailleurs été victime d'un attentat, et... -Il s'en est sorti ? interrompa le Répurgateur. -Tu le connais. J'ai dû mal à imaginer quelqu'un qui puisse l'abattre ! Et, comme je le disais, les révoltes sont imminentes. Ludenhof a même acheté des Feux d'Enfer pour "calmer" les émeutiers. J'ai besoin de rencontrer le meneur pour éviter le bain de sang, tu comprends ? -Oui... Je crois savoir de qui tu veux parler. Il est à l'intérieur. Tu veux le voir ? demanda Johann. -Absolument ! confirma Swen. -Rentrons alors... La porte s'ouvrit sur une assemblée d'ivrognes et de brigands. Le serveur était dérrière son comptoir. Celui-ci se nommait Ulrich et portait une fine moustache. Il gardait continuellement son pistolet à proximité. Les clients buvaient et jouaient. Le vacarme était dérangeant. -C'est celui qui est au fond, le grand barbu, dit Johann à son frère. -Oooh... -Tu as peur ? -Eh bien, disons qu'il n'a pas l'air commode... dit doucement Swen. En effet, le meneur des émeutiers portait une longue barbe noire et des cheveux hirsutes. Il était trappu et fort. Sa hache était sur ses genoux et s'occupait de la nettoyer. A cet instant, Swen remarqua que la hache avait du sang sur son tranchant. -Ne me dis pas qu'il a... -Si. -Non ?! -Si, si. -Etait-ce un... -Un Hallebardier de la Cité. -... ! -Je vais t'accompagner, non ? demanda le Répurgateur. -Je ne te dis pas non... Les deux Meltburg s'avancèrent et malgré les sombres regards dont ils étaient la cible, ils prirent place prés du grand homme. -Un Officier ici ? Par Ulric ! Ma hache a soif, ça tombe bien ! dit l'homme du nord en riant. -Je te déconseille de lever ta hache, ordonna Johann en pointant son pistolet sur la tête de l'homme. Immédiatement, Swen sortit les siens. Et tout les autres clients firent de même. -Oh, la situation est tendue, dit le jeune Capitaine. -Tu l'as dit... siffla l'homme. -On peut se parler ? demanda Swen. -Je t'écoute, blondard, répondit l'homme du nord. "Blondard ?!" -Ecoute... Je sais que c'est toi qui comptes mener les immigrés à la révolter et... -On t'a envoyé faire du pour-parler ?! -Je ne suis ici que parce que je l'ai demandé. Sinon, je serai en train de nettoyer les Feux d'Enfer qu'a acheté le Commandant Suprême pour vous calmer ! -Ah, il y va pas avec le dos de la cuillère, ton chef, là ! -Anton Ludenhof. Le Commandant Suprême Anton Ludenhof. -Et toi, tu te nommes comment ? -Swen Meltburg, je peux te reposer la question ? -Non. -Trés bien... -Et je te dirai que je ne relâcherai pas mes gars. On va mettre un sacré bazar dans cette province ! commença à rire l'homme. -Dis moi, tu es croyant d'Ulric ? -Bien sûr, je ne suis pas Middenlander pour rien ! -Oui, croyant d'Ulric. Et tu te permets d'arriver chez nous, de demander du travail, un toit, et t'es même pas capable d'honorer ton Dieu en allant à la guerre ? -Eh ! Bon, t'as gagné, dégage avant que je me fâche ! -Vous le regretterez... -Dégage ! -Swen, je vais rester. J'ai quelque mots à dire à notre ami, dit Johann. Attends moi dehors. Le Capitaine s'éxécuta et attendit son frère. Quelques minutes plus tard, celui-ci ressortit et dit : -C'est bon. Plus question d'émeutes ! -Comment as tu fait ?! demanda Swen. -Je ne peux te le dire. Je viendrais avec vous. Je connais bien ce Gustav Von Carstein. Je vous serai utile. -Je te remercie Johann... -Allez, sortons de cet endroit... Modifié le 19 novembre 2006 par Kael Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Kroxigor Posté(e) le 19 novembre 2006 Partager Posté(e) le 19 novembre 2006 Oh oh, un répurgateur non fou dans les rangs de l'armée du Stirland, c'est de plus en plus interressant. Je ne peux te le dire. Moi aussi je veux savoir :'( Alors, relis toi bien, il y a des endroits où tu as oublié des mots ou alors tu n'a pas mis les bons (non je ne te dis pas que tu es fou, ne va pas te taper le crâne contre le mur ). C'est pas mal même si je reste quand même sur ma fin à cause de ce répurgateur qui ne dit rien. Sinon, bien marrant la scène avec le bourgeois. La suite Kroxigor Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ecthelion Posté(e) le 19 novembre 2006 Partager Posté(e) le 19 novembre 2006 C'est bien, mais fait gaffe aux dialogues... Tente d'ajouter des petits commentaires si et là pour éviter les répliques qui se suivent. Cela fait qu'on risque de passer par-dessus des détails ammusants... Voilà pour mon petit commentaire, et je finis par demander la suite! Bravo! Ecthelion Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kael Posté(e) le 19 novembre 2006 Auteur Partager Posté(e) le 19 novembre 2006 Voilà, fautes corrigées ! cry.gif cry.gif Moi aussi je veux savoir cry.gif cry.gif Eh ben, non :'( non je ne te dis pas que tu es fou, ne va pas te taper le crâne contre le mur tongue.gif C'est déjà fait Sinon, bien marrant la scène avec le bourgeois. Merki et je finis par demander la suite! Et dimanche prochain (seulement ? ) Bon, on commence à avancer. Je vous rappelle que les troupes partent demain (du récit ) L'action va commencer... Soyez toujours aussi présent ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Inxi-Huinzi Posté(e) le 20 novembre 2006 Partager Posté(e) le 20 novembre 2006 Bon tu te débrouilleras sur la forme, moi je veux plus corriger Y a toujours les mêmes fautes donc tu n'as qu'à relire au dessus Tu dois surement voir de quoi je parle -Un Hallebardier de la Cité.-... ! Ca existe ça ? C'est du braille ? Un ' Seul le silence s'échappa de ses lèvres' aurait été mieux je pense Sinon c'est pas mal. Ca se finit pluot bien et heureusement pour eux Un seul petit reproche : clarifier la scène où tout le monde se vise. Ca pourra faire que du bien je pense parce qu'on se perd un peu à ce moment. Sinon, je dois dire que ton histoire dans l'ensemble avance plutot bien ce qui est un bon signe pour la suite ! @+ -= Inxi =- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kael Posté(e) le 26 novembre 2006 Auteur Partager Posté(e) le 26 novembre 2006 (modifié) Le Commandant Suprême des Forces du Stirland arriva au camp d'entrainement, qui était situé à l'extérieur de la Cité. Il devait assurer l'entrainement, et montrer à tous, qu'il était plus motivé que jamais pour prendre les armes... Le camp était immense. Chaque heure, des dizaines de soldat arrivaient de tous les coins du Stirland, et commencaient à installer leurs tentes dans le sol, qui était dur, de par l'hiver. Anton pouvait reconnaître les Stirlanders des réfugiés. En fait, il classait tous ceux qui avaient une barbe comme venant du nord. C'était plus simple. Bien sûr, le Stirland ne pouvait fournir des uniformes pour tous, et ceux qui avaient survécu à la Tempête du Chaos furent immédiatement donnés aux Stirlanders. Les réfugiés se contenteraient de mettre un simple brassard vert... Le Ludenhof se dirigea devant un sergent, qui était occupé à lire des missives. Il portait une moustache qui cachait une cicatrice. Il prétendait que c'était une cicatrice qu'il avait eu suite à une griffure de goule. La vérité est moins glorieuse. Son barbier l'avait lourdement raté... -Mes hommages ! Commandant Suprême des Forces du Stirland ! dit le sergent en se redressant. -Où en est la mobilisation ? questionna Anton. -Eh bien, monseigneur... Toutes les villes de la Province ont sonnées l'appel aux armes, de tout le Stirland arrive des... -Vous me prenez pour qui ?! -Euh... -Je le vois bien que la mobilisation a commencé ! Dites moi comment se comportent les réfugiés ! commença à s'énerver Anton. -Il n'y a pas eu de conflit dans le camp. Quelques disputes, c'est tout, mon Commandant Suprême, répondit le sergent appeuré. -Rompez ! ordonna Anton. Le Ludenhof se dirigea alors vers la carrière d'entrainement. Là-bas, de nombreux soldats s'excercaient. Les archers tiraient sur des épouvantails en paille, les épeistes combattaient entre eux avec des épées de bois, les lanciers chargeaient des manequins en hurlant le nom de leur province... A son arrivée, tous les soldats s'arrétèrent et le saluèrent. Anton repéra un jeune Stirlander qui tenait fort mal sa hallebarde. -Tu as vu comment tu tiens ton arme, soldat ? demanda le Commandant Suprême. Le jeune homme, sans doute âgé de seize ans, tout au plus, devint pâle. -C'est que... que... -Est-elle trop lourde ? questionna le Ludenhof, un sourire aux lèvres. Le garçon hocha la tête. -Allons, tu aimerais combattre avec quelle arme ? -La lance, monseigneur... Anton se retourna et ordonna : -Qu'on lui amène une lance ! Je veux un soldat pour manier cette hallebarde ! Et au trot ! cria-t-il. Le garçon ne savait plus où se mettre. Il était impressionné par la générosité d'un homme qui avait mauvais portrait. -Merci, mon... monseigneur... balbutia-t-il. -Tu t'appelles comment ? -Rudiger Terlateir... -Eh bien, Rudiger, sache que je n'ai aucun intérêt à ce qu'un de mes soldats tombe, et qui plus est, sous prétexte qu'il ne savait pas manier son arme. Allez, va t'entrainer ! -Merci monseigneur ! Anton se félicita. La vie de ce petit ne lui importait que peu. C'est l'effet que la scène avait provoquée sur les soldats alentours qui lui plaisait. Tous s'étaient excercés de nouveau, avec plus de conviction, et certains crièrent son nom pour les encourager... Le Ludenhof alla voir un homme à la longue barbe, qui était sans aucun doute un réfugié. -Salut donc ton seigneur ! ordonna Anton. -Mon seigneur, n'est autre qu'Ulric, ou alors, le Comte Tobringer, dit l'homme. -Je t'ai ordonné de me saluer... -Et moi, je vous ai répondu, que vous n'étiez pas mon seigneur ! Anton s'érnerva devant tant d'insolence. -Chien de Middenlander ! Je vais te montrer en quoi je te suis supérieur, prends ton arme ! L'homme prit une lourde hache et se leva. Les deux soldats allèrent au centre de la carrière. Les guerriers firent un cercle autour d'eux, et chacun commençait les paris... -En garde ! ordonna Anton en dégainant son épée. Celle-ci était marquée du sceau de sa famille, et se devait de l'honorer. -Ulric me guidera ! hurla l'homme. -Pour le Stirland !! hurla Anton en chargeant. Le Commandant Suprême regarda l'épaule droite de son adversaire, mais son épée se dirigea contre son flanc. L'homme bondit en arrière, et s'élança en levant sa hache. Anton roula de côté pour l'esquiver, et se releva. Il couru aussi vite qu'il le pouvait vers le Middenlander et sauta sur une caisse de munitions. En retombant, il donna un magnifique coup de pied dans le visage de son adversaire. L'homme fut déstabilisé et trébucha. Il cracha deux de ses dents ainsi que du sang... Anton recula, et au moins dix mètres les séparaient. Autour les soldats, s'agitaient : -Combattez pour le Stirland, monseigneur ! -Prouvez votre valeur ! -Montrez nous que ce Middenlander ne vaut rien ! Le Middenlander se releva... -Bâtard de Stirlander... -En plus, tu te permets de m'insulter ?! Je pensais te laisser la vie sauve... Rejoins Ulric ! hurla le Commandant Suprême des Forces du Stirland. Anton courra. L'homme prépara sa hache. Le Ludenhof plongea et fit une roulade. Au passage, il prit un caillou qu'il lança en plein dans le visage de son adversaire. Celui-ci avait tenté de se protégé avec sa hache, mais ne fut pas assez agile. La pierre frappa son oeil et l'homme ne put retenir ses larmes. Anton re releva et prit sa hache. Il l'a jetta à terre, mit à terre son adversaire et son épée alla sous la gorge du Middenlander. -Alors... Ne suis-je point ton seigneur ? demanda Anton en souriant. L'homme ne répondit pas, il était dévasté par la honte... -Allez, demande donc ma grâce... L'homme ouvrit un oeil et regarda tout autour de lui ses camarades. -Grâce... -Demande moi maintenant pitié ! -Pitié... Anton relâcha sa prise, rengaina son épée et se releva. -Je te laisse la vie sauve. Vous tous ! Ceci est un exemple ! Qui est votre seigneur ?! hurla Anton. -Le Commandant Suprême des Forces du Stirland, répondit le jeune Rudiger. Tout les soldats le regardèrent et l'imitèrent : -Le Commandant Suprême des Forces du Stirland, Anton Ludenhof ! crièrent-ils. -Quant à toi, Middenlander, suis-je ton seigneur ? L'homme tenta de se redresser, mais ses forces l'abandonnèrent. -Oui... Anton lui cracha au visage. -Renier son dieu ! Tu n'es rien de plus qu'un fumier... Anton Ludenhof s'en alla et ordonna que l'on reprenne l'entrainement. "Je mets au défi Sigmar de trouvé un seul homme dans ce camp, qui ne m'obeira pas..." Modifié le 27 novembre 2006 par Kael Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Kroxigor Posté(e) le 26 novembre 2006 Partager Posté(e) le 26 novembre 2006 Commandant Suprême des Forces du Stirland Dans ce genre de passage tu peux te contenter de "Commandant suprême", on sait qu'il est du Stirland. Sinon vraiment bien, on découvre un ludenhof vraiment tyrannique et calculateur, et froid de surcroit. J'aime vraiment bien. On sent qu'avec lui comme général, il ne peut rien nous arriver. Pas vu de fautes flagrantes mais: Le Ludenhof plongea et fit une roulade. Au passage, il prit un caillou qu'il lança en plein dans le visage de son adversaire. Celui-ci avait tenté de se protégé avec sa hache,mais ne fut pas assez agile. La pierre frappa son oeil et l'homme ne put retenir ses larmes. Pourquoi avoir sauté une ligne? A moins que ce soit une faute de frappe. La suite Kroxigor Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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