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La Menace du Stirland...


Kael

Messages recommandés

Sans vouloir être méchant... Mais il est stupide ou quoi ce commandant suprème?! Non, sérieux, il fait ça et il aurait la pire mutinerie du monde à gérer! Forcer un homme de le reconnaître comme maître puis l'insulter???

Je viens de la suisse, et notre armée est du même genre (milice, avec trois langues différenres au sein de cell-ci), et si on traitait un francophone comme cela... Je peux te dire que ça chafferait! Même chose si un germanophone était à la place...

D'accord, c'est un grand meneur d'hommes, mais ça ne marcherait pas: soit il se fait poignarder dans le dos, soit il y a une mutinerie, soit les réfugiés se barre au premier combât... Alors calme un rien ton mec, parce qu'il devrait causer trop de dégât si la situation était réelle...

Autrement, c'est pas mal... Mais je répète pour les dialogues: mets des commentaires entre deux.

La suite!

Ecthelion

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Il courru aussi vite qu'il le p

Une tite faute

J'en ai trouvé qu'une mais je suppose qu'il y en a d'autres. Je pense qu'une petite relecture ne serait pas superflue ! Alors au boulot :whistling:

Sinon, c'est pas mal. Je corrigerai qu'une seule chose. C'est le moment où ils se battent. En fait, il y a plein de 'il' donc on s'est pas ce qui se passe. C'est embettant surtout quand tu commences à dire qui est blessé où et ce genre de chose !

Bon un combat rapide qui remet les choses en ordre ! Malgré ça, j'aurais pensé qu'il allait le tuer !

Suite !

@+

-= Inxi =-

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Le Commandant Suprême des Forces du Stirland s'occupa de toute les formalités administratives, et ceci, jusqu'à ce que la nuit tomba.

Il était dans son bureau, dans la caserne principale de la cité de Wurtbad.

"Leichberg n'a pas répondu..."

"Non, l'attaque n'a pu avoir lieu !"

"J'aurais été alerté par les patrouilleurs..."

"Et Meltburg ?!"

"Où est-il ?!"

Ainsi pensa Anton Ludenhof, assis devant son bureau. La salle n'était éclairée que par la lumière de Manslièb, et l'homme était plongé dans les ténèbres...

Il aimait se réfugier dans l'obscurité. Il aimait remuer ses souvenirs dans l'ombre. Il aimait... Il aimait ces ténèbres. Et de cela, il ne pouvait l'expliquer.

-Et dire que c'est demain qu'on part ! Et je n'ai presque aucune nouvelle de Leichberg ! dit Anton.

Soudain, les ténèbres se firent plus intenses. Plus intenses... Plus intenses...

Il perdit connaissance.

Il voyait sa famille. Sa famille dans les différentes pièces de son manoir. Sa femme, Klara, était dans la serre, s'occupant des plantes. Son fils, Karl, était dans sa chambre en train de jouer. Les domestiques allaient et venaient. Tout se passait normalement.

Puis, un cor retentit au loin...

Une vingtaine de maraudeurs étaient à proximité du manoir. Voyant la beauté de la demeure, ils se remirent à courir. Courir pour voler. Courir pour piller. Courir pour tuer.

Les serviteurs vérouillèrent la porte. Ils prirent les armes. Et amenèrent les femmes et l'enfant en lieu sûr.

Les maraudeurs, se servant de leur hache comme des jouets, fracassèrent la porte.

Un vieil homme hurla :

-Défendez la demeure du Baron Ludenhof !

Le combat fut de courte durée. Ce n'était pas une dizaine de serviteurs, mal habitués au maniement des armes, qui pouvaient résister à la folie meurtrière des nordiques.

Crachant sur les cadavres agonisants, les maraudeurs se séparèrent pour fouiller la maison.

Dans la cave, les femmes étaient appeurées. La panique régnait. Il n'y avait qu'une seule sortie pour la cave, mais elle donnait directement dans la demeure.

Klara prit son fils dans ses bras et ensemble, prièrent Sigmar de leur venir en aide...

Les corps de sa famille...

Le cadavre de sa femme...

Son fils, terrorisé, caché dérrière des caisses...

Tout ceci se passa dans cette cave.

"Peu de temps avant, nous nous rencontrâmes, Anton Ludenhof...

-Monseigneur ? Allez vous bien ? demanda Swen Meltburg.

Reprenant connaissance, Anton répondit :

-Oui... Oui... Ce n'était qu'un léger malaise, répondit Anton.

Se secouant la tête, il se leva.

-Dites moi donc ce que vous avez fait ?! Je ne vous ai point vu depuis midi !

-Je vous prie de m'excuser. J'ai pu trouver le meneur de ces émeutiers.

-Et ?

-Eh bien, avec l'aide... de...

Un homme sortit des ténèbres et enleva son chapeau.

-Je suis l'Inquisiteur, Johann Meltburg.

Anton abasourdi par la présence du répurgateur, prit toutefois la parole :

-Quel plaisir de vous voir ! Vous avez aidé ce Capitaine ? demanda poliement Anton en s'inclinant devant la Sainte Inquisition.

-Légérement. Il se dévrouille trés bien tout seul, répondit Johann.

-Oui, bon... Capitaine, venez en aux faits, je vous prie, demanda le Ludenhof.

-Eh bien... Il n'y aura pas de soulevements populaires, dit Swen en se redressant.

-Bien... Trés bien... Je vous devais un couvert au restaurant "Le fleuve et la cité", c'est bien cela ?

-Ma foi, nous devions nous y retrouver ce midi, répondit en souriant le jeune Meltburg.

-Voudriez vous venir avec nous, Grand Inquisiteur ? demanda Anton.

-Excusez moi. Je n'ai pas le temps. Il y a des hommes à arrêter dans cette cité, répondit froidement Johann.

-Trés bien. Ais-je une chance de vous revoir ?

-Je partirai avec vous. Je crois que mon experience sur ces êtres des ténèbres vous servira...

Johann sortit peu de temps aprés ses "collègues" de la caserne.

Il marcha dans les rues de la cité.

Le répurgateur se dirigea vers la place du Comte Martin.

Sur le chemin, il rencontra maintes personnes qu'il aura bien aimé enfermées. Prostitués, vieillards inquiétants, mendiants...

Wurtbad était comme les autres villes de l'Empire.

Lorsque la nuit tombait, il valait mieux fermer les yeux pour dormir.

"Ou pour voir la lame d'un assassin..." pensa Johann.

Une fois là-bas, il s'approcha du cadavre de l'assassin.

Il sentit son odeur...

-Un membre de la Confrèrie des Roses Noires...

Il l'avait reconnu à l'odeur de rose que ces hommes se parfumaient tout les matins pour se reconnaître entre eux.

"Donc... La secte, ou peut-être les sectes cherchent à se débarasser d'Anton Ludenhof. Pourtant, la Confrèrie des Roses Noires n'est pas une secte chaotique. Ce sont juste des félés de Morr."

Il se rapprocha de la statue du Comte Martin. Son grand manteau noir, assorti de son chapeau, lui donnait un air inquiétant. Les passants accéléraient en le voyant. Et en soit, oui, il était inquiétant.

"Etrange... Les Fidels de Morr ne tolèrent pas la nécromancie. Or, Anton Ludenhof s'apprète à vaincre un puissant vampire... En quoi cet homme a pu enfreindre un des commandements de Morr ?!"

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Bonne question la dernière ! Dommage que mon background ne soit pas etoffé pour que je puisse répondre moi même à cette quetion ! Mais si je le pouvais, je serais à ta place en train d'écrire cette histoire !! Bon le problème qui devient récurent c'est :

Bien... Trés bien... Je vous devais un

Tu comptes faire combien de temps encore les fautes que je te signale à chaque chapitre ? :whistling: C'est pas bien compliqué les accents :)

Pour le fond, on démare une nouvelle association qui semble bien en mesure de rélgler les problemes de la ville ! Esperons que ca marche :lol:

@+

-= Inxi =-

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Ah ah! L'histoire se complique, que j'aime ça.

Pour les fautes d'accents, je ne vais pas revenir dessus mais sache que la maldie des fautes d'accents n'est pas incurable :skull: .

J'ai pas vraiment le temps de faire un joli commentaire, donc je vais être bref. C'est pas mal, l'inquisiteur est bien retranscrit et ces assassins de la rose noire sont une nouvelle énigme palpitante.

Donc comme conclusion rapide, La suite :D

Kroxigor.

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Les deux militaires sortirent du bureau du Commandant Suprême des Forces du Stirland. L'hiver imposait ses règles, et la nuit, Wurtbad était glaciale. Glaciale aussi, par ses dangers... Qui pouvait se cacher dans l'ombre ?

Pour Anton, il ne faisait nul doute que quelqu'un lui en voulait... Au point d'engager un assasin...

-Monseigneur, y allons nous à pied ? demanda Swen Meltburg.

-Non, certainement pas. J'ai demandé à un de mes serviteurs de préparer un carosse... répondit Anton en souriant.

-Je vous remercie de la soirée, je n'ai pas mangé à ce restaurant depuis des lustres ! dit Swen en montant les yeux.

En cela, il remarqua que le ciel était particulièrement sombre... Mannslièb ne se voyait qu'à peine, tant elle était caché par des nuages noirs.

-Eh bien, qu'y-at-il ? Vous avez l'air stupide à regarder ainsi les cieux ! Qu'est-ce qui... demanda Anton en regardant à son tour.

-Vous avez vu ?! dit Swen en ouvrant grand les yeux.

-Mauvais présage... Morr est en colère...

-Cela est certainement dû à la menace de l'Est !

-En effet, ce vampire a sans doute dû éveillé la colère du Dieu des Morts...

Un carosse arriva devant eux. Il comprenait quatre chevaux d'une blancheur immaculée. Le carosse en lui-même était particulièrement somptueux. Le tout était dirigé par un cocher habillé d'une manière élégante, refletant parfaitement la beauté de l'ensemble.

-Baron Ludenhof, nous pouvons y aller, dit le cocher.

-Très bien. Waldenmar, conduisez nous au restaurant "Le Fleuve et la Cité", et vite... répondit Anton en ouvrant la porte et en s'installant.

Swen l'imita et admira le carosse, qui se mit en route.

-Vous savez... C'est une excellente idée que votre frère nous accompagne, sur ce coup-là, Meltburg... dit Anton en regardant les bâtiments de Wurtbad qui défilaient devant lui. Les sombres fenêtres des immeubles donnaient une impression d'angoisse...

-Oui, mais c'est lui qui a voulu nous accompagner. Ce n'est pas à moi que revient le mérite de sa venue...

-Vous ètes bête, par moment, Meltburg... dit en soupirant Anton

-Je vous demande pardon, demanda le Capitaine interloqué.

Le Ludenhof se retourna et le fixa droit dans les yeux.

-Je n'aurais jamais vérifier l'exactitude de vos dires !

-Excusez moi... Mais je ne vois pas le rapport entre...

-Soyez un peu arriviste ! Certes pas trop, mais un peu d'ambition ne fait pas de mal ! Vendez vous au plus haut prix !

Swen comprit alors ce que son supérieur tentait de lui faire comprendre...

-J'ai compris, monseigneur. J'ai compris...

-Parfait !

Le reste du voyage se déroula en silence.

Swen craignait d'être le responsable de celui-ci...

"Me repprocher d'être honnête ? Non... Pas honnête. Il me disait juste que j'aurais dû en profiter pour me valoriser..."

-Meseigneurs, vous êtes arrivés, dit le cocher.

-Très bien. Revenez plus tard... dit Anton en sortant.

-C'est que je...

La porte se referma.

-Je vous conseille de faire des tours chaque quart d'heure, dit Swen en souriant.

-Oui... Il ne me reste plus que cela à faire...

-Alors Meltburg ! Vous traînez !

-Excusez moi... C'est donc ici ?

-Absolument, regardez en la pancarte... dit Anton en retrouvant le sourire.

Sur la pancarte, on pouvait admirer une magnifique cité protégée par un beau et large fleuve.

Les deux militaires entrèrent.

-Meseigneurs ! cria une petite voix.

-Aaaah, Max ! répondit Anton.

Un halefing apparut du dessous d'une table et les accueilla chaleureusement.

-Cela me fait bien plaisir de vous revoir ! Un peu comme lorsque que mon cousin Théo, cousin au troisième degré de ma mère, me rendit visite... A ne pas confondre avec mon autre cousin Théo, qui lui est cousin au second degré du côté de mon père !

-Euh... dit Swen, ne sachant pas comment réagir face à un tel enthousiasme.

-Je suppose que vous venez pour déguster ? demanda Max.

-Absolument ! dit en riant Anton.

-Suivez moi alors ! Je vais de ce pas vous réserver notre meilleur table ! Que ça me fait plaisir de vous voir ! Théo, hein, le cousin au troisième degré du côté de ma mère, lui était beaucoup moins important...

-Parce que Théo, votre cousin au second degré du côté de votre père, l'était ? demanda Swen en souriant.

-Oooh, certainement pas ! Lui, ce n'est qu'un sale cochon ! A force de rester fermier, il est devenu comme ses bêtes ! répondit en ronchonnant le hobbit.

-Vous vous débrouillez très bien, Meltburg... chuchota Anton.

-Et voilà ! Votre table ! Vous avez une magnifique vue sur le Stir ! Dommage que cette nuit soit si sombre... répondit le halefing en souriant.

Les deux militaires s'installèrent.

-Votre plat habituel, Commandant Suprême des Forces du Stirland ? demanda poliment le petit bonhomme.

-Un rôti de boeuf, assorti de pommes de terres, le tout asaissonné de votre sauce ? répondit en souriant Anton.

-C'est bien cela ! Et j'ai perfectionné cette sauce !

-Alors, deux ! dit Swen.

-Meseigneurs, sur la vie de Thomas, mon troisième frère, qui d'ailleurs travaillent dans les cuisines de l'armée, je jure que vous serez servi dans moins de trente minutes !

Et le hobbit partit...

-Ils sont si amicaux... dit Meltburg.

-Oui, loin de la cour du Comte-Electeur...

-Comment ça ?

-Vous n'ètes pas au courant ?

-De quoi donc ?

-Il y a quelques mois un grand incendie dans la bibliothèque a brulé les documents signés de la main de l'Empereur Ludwig le Gros.

-Oui, de cela, j'en ai entendu parler, répondit Swen.

-Et voyez vous... Ces documents étaient la preuve formelle que l'Empereur avait donné une partie du Stirland aux halefings... Cela veut dire que la polémique sur leur présence est repartie de plus belle !

-Oooh, je comprends... Et vous, quelle est votre position ? demanda le Capitaine.

-Eh bien... Personnellement, je n'ai rien contre cette race, certes, inférieur à celle de l'homme, comme vous en conviendrez, non ? demanda Anton.

-Oui, euh, absolument ! dit Swen, n'étant pas tranquille.

-Ils se sont trés bien insérés dans notre société. J'ai moi-même un cuisinier du Mootland ! Ce n'est pas leur faute... Mais j'en veux à cet Empereur ! Ce n'est pas parce que sa demande en mariage avait été refusée par la Comtesse du Stirland, que le peuple devait perdre ces terres ! Terres si fertiles...

Peu de temps après, le halefing revint les bras chargés de plats.

-Je vous ai rajouté quelques plats, offerts par la maison !

Le repas se déroula parfaitement bien... Mais, en voyant l'heure tardive, et la tâche que les deux hommes avaient à accomplir le lendemain, les deux militaires n'eurent d'autre choix que de se presser. Deux heures plus tard, ils sortirent du restaurant.

-Revenez quand vous le voudrez ! Et comme disait mon grand-père, Hugo, fils de mon arrière grand-père, Paul, et de mon arrière grand-mère, Agnès, "Dans la maison du bonheur, la plus belle pière, est la salle d'attente !"

-A bientôt, Max ! Je reviendrez, soyez en certain ! Et prouvez moi que cette sauce peut encore être améliorée ! répondit Anton en riant.

-Je n'y manquerais pas ! Aurevoir !

-Aurevoir ! répondit Swen.

-A bientôt, Max...

La porte se referma, et les deux furent replongés dans le froid de Wurtbad...

-Tiens, de la fumée ? dit Swen.

-En effet, et elle vient du bout de la rue, là-bas !

Un lourd nuage de fumée s'échappait de la cité. Cette fumée était si noire, qu'il était possible de la dissocié des nuages, qui pourtant était trés sombres...

Arrivés dans la rue, Anton s'appercut que le feu n'était autre qu'un bûcher...

-Bonsoir, Commandant Suprême des Forces du Stirland... répondit une voix grave.

-Bonsoir, monseigneur de l'Inquisition ! Qu'est-ce donc ce bûcher ? Encore des hérétiques ?!

-Non, non... C'est juste un autodafé...

-Ah, ce n'est que ça, dit Swen.

-Eh bien cela tombe trés bien ! Mes mains sont glacées, vous venez ? dit Anton.

Les trois mirent les mains devant les flammes purificatrices, et parlèrent du lendemain...

Swen remarqua que ces livres étaient des écrits à la couverture très sombre... Sur un d'eux, on pouvait lire "Les horreurs de l'Empire..."

Le Capitaine se rétracta, et se contenta de réchauffer ses mains...

Voilà une petite suite !

Modifié par Kael
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J'ai pas beaucoup de temps ces derniers temps ( une petite répétition) c'est pour ça que je ne peux venir tous les jours sur le forum. Mais repassons au texte.

Alors une suite somme toute banale qui permet de refléter un caractère de la société impériale même deux avec l'inquisition à la fin. Mais sinon, sans plus. Mais je crois que le problème est que j'attends la première bataille avec impatience et qu'elle est longue à venir et donc je suis un peu déçu à chaque fois, mais ce n'est rien ( j'espère avoir été clair :) ).

Je ne demande plus qu'une chose:

La suite

Kroxigor ( non je me demande pas moi :wink: )

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conduisez nous au restaurant "Le Fleuve et la Cité",

Je tique sur le deuxième mot 'restaurant'... Je sais pas, ça fait terme récent ! Enfin pas terme, établissement. Je sais pas si à l'époque, ils pouvaient se venter des premiers restau' :lol:

Vendez vous au plus au prix

:)

vous ètes arrivés

Ca fait deux fois, ça aussi : 'êtes'

Et le hobbti partit...

:)

aprés, le halefing revint les bras chargés

Grrrr.. Après

couverture trés sombre... Sur

aaaaaaaaaaaaaaaaa

Bon pour le fond, tu vas développer dans ce chapitre la relation entre le commandant et le capitaine. Il prend des sortes de lecons de son supérieur et on remarque par là qu'il est facilement influencable ! :D Mon dernier héros influencable a fini par faire une secte ( hein Kroxi :P ) Enfin avec l'Inquisiteur à côté, ca risque pas ! En parlant de ça, je comprends pas que tous tes persos prennent l'autodafé à la légère. Surtout de la part du capitaine je trouve :clap: Il pourrait avoir de la pitié pour des gens peut etre innocent :D

@+

-= Inxi =-

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Les trois hommes continuèrent à parler devant les flammes purificatrices pendant une dizaine de minutes. Swen ne sentait pas tranquille, les deux hommes à ses côtés ne semblaient pas se rendre compte à quel point le ciel était sombre.

-Bien, je pense qu'il est temps pour moi de rentrer, dit Anton en souriant. Je vous salue, Inquisiteur...

-Passez une bonne soirée, Commandant Suprême des Forces du Stirland ! dit Swen en saluant son supérieur.

-Que Sigmar vous garde !

Anton prit Swen à part et lui dit :

-Je vous veux demain, vers midi, prés de la place du Comte Martin...

-A vos ordres, monseigneur...

Anton Ludenhof s'en alla vers le restaurant. Là-bas, il y vit son carosse.

-Monsieur le Baron a passé une bonne soirée ? demanda Waldenmar, qui avait de lourdes cernes.

-En effet. Allez, ramenez moi à Biberhof ! Et en vitesse...

Le magnifique attelage se mit en route, et s'engouffra dans les ténèbres... La seule preuve de sa présence était deux petites lanternes prés du cocher.

Le domaine de Biberhof avait été acheté par les ancêtres d'Anton. Dés lors, la famille Ludenhof devint les seigneurs de cette petite terre. Ce n'était pas un trés grand territoire, une simple baronnie, mais ses champs lui assuraient une récolte plus que satisfaisante. Il avait sous son contrôle pas moins d'une centaine de paysans, qui globalement, tous le respectaient. Et puis, les manquements aux règles étaient sévèrement punis...

Quand Anton s'absentait, c'était le precepteur de Karl qui dirigeait le domaine, Valmir Hoftreheim.

Le carosse sortit

Anton repensa à la soirée. Le jeune Meltburg manquait d'experience, mais il allait devenir avec le temps un excellent commandant.

Il regarda les cieux, et fut étonné de voir qu'ils étaient encore plus sombres...

"Des cieux si sombres... C'est de la magie ! Von Carstein est de..."

Trois hurlement de loup retentirent...

Anton se retourna et ses yeux confirmèrent ses oreilles.

-Oh... Waldenmar ! Dépêchez vous !

-Je fais de mon mieux monseigneur...

Les chevaux accélerèrent.

Les loups également.

"C'est ce bâtard de vampire qui les a envoyé ! S'il croie pouvoir m'avoir aussi facilement !"

Le Commandant Suprême brisa la vitre arrière d'un coup de coude.

Il chargea son pistolet à répétition et visa.

Les loups se mélaient aux ténèbres, et seuls leurs yeux étaient clairement visible. Deux points rouges noyés dans une obscurité quasi-totale...

Les créatures hurlèrent de nouveau et accélerèrent...

"Allez, vise bien..." pensa Anton

Il tira. La balle toucha. Une des créatures tomba.

-Bien vu, Baron !

-Contentez vous de manier les chevaux !

"Merci infiniment, Archilecteur de m'avoir donné ces balles d'argent !"

Ce succés ne parvint pas à ralentir les deux autres monstres. Il fallait faire vite...

-Baberhof est devant monseigneur ! Nous y serons dans peu de temps !

-Bon... Je vais pas laisser deux horreurs entrer chez moi ! Votre pistolet !

-Tenez... dit le cocher en envoyant maladroitement le pistolet dans le compartiment.

Anton rechargea les deux pistolets aussi vite qu'il put.

Au-dessus de lui, il entendit un bruit sourd.

-Oh non... Crève ! dit Anton en tirant dans le toit de son carosse.

Un hurlement se fit entendre, mais la créature était encore "en vie", et commença à déchiqueter le toit du carosse...

-Waldenmar, dites moi que vous avez garder mon épée !

-C'est que... Elle est... Est... dit le cocher appeuré.

-Où ?!

-La... Malle...

-La malle ?! Imbécile ! C'est pratique une épée dans une...

Le loup arriva dans le compartiment et se jeta sur Anton. Celui-ci eut le reflexe de lui donner un grand coup avec ses deux pieds en pleine gueule. La bête était sonné.

Anton sortit une petite dague de sa veste et la planta dans la chair morte de l'abomination. Un gargouillis immonde sortit du monstre...

-Bon, et l'autre ? demanda Anton à Waldenmar.

-Je ne... Sais pas... Je ne le vois pas...

Un nuage noir vint aux côtés d'Anton.

-Qu'est-ce que... dit le Commandant Suprême en voyant ce nuage prés de lui.

Le nuage commença à se dissiper... Au bout de quelques secondes, un vampire à la blancheur cadavérique apparut.

-Bien le bonsoir, Baron Ludenhof...

Anton, interloqué par cet intrus ne put répondre.

-Je ne compte pas vous faire de mal. Je viens de la part de Gustav Von Carstein vous porter un message : "Restez à Wurtbad si vous tenez à survivre"...

-C'est pour cela que vous ètes venu ? demanda Anton en reprenant courage.

-Absolument.

-C'est grotesque !

-Vous ètes libre de ne pas tenir compte des propos de mon Maître...

-Encore heureux ! Vous lui direz que je me fiche totalement de ces propos, et que je le combattrai à Leicheberg, s'il a le courage de se montrer...

-Pour cela, il vous faudra survivre à votre traversée du Stirland...

Et le vampire redevint un nuage noir, qui quitta le carosse en direction de l'est. Peu de temps aprés, le nuage devint un loup...

-Nous sommes arrivés, monseigneur... dit Waldenmar.

-La prochaine fois, mettez mon épée ailleurs que dans la malle ! Comment aurais-je pu m'en servir ?! La malle est à l'extérieur du compartiment !

Modifié par Kael
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vous veux demain, vers midi, prés de la place du Comte Martin
Dés lors, la famille Ludenhof devint les seigneurs
Ce succés ne parvint pas à ralentir les deux autres

Il serait temps de te concentrer quand tu écris :D Y en a marre là :-| Ou de travailler sous word :)

Le carosse sortit

Il manque un point :)

S'il croie pouvoir m'avoir aussi

croit

vous ètes venu ? demanda Anton en reprenant courage.

-Absolument.

-C'est grotesque !

-Vous ètes libre de ne pas

êtes (x2)

Comment aurais-je pu m'en servir ?! La malle est à l'extérieur du compartiment !

Je pense que c'est pas utile de le préciser, on avait compris dès la première fois :-x

Donc une rencontre pour ponctuer ce chapitre. Des petits loups en moins et la rencontre d'un sous fiffre dans le chariot ! J'ai cru que c'était le maitre au début. En tout cas, va falloir qu'il se pose des questions sur sa sécurité maintenant ! Surtout que l'autre l'a à demi prévenu sur ce qui allait l'attendre ( sûrement des embuscades ! ) Bon allez suite !

@+

-= Inxi =-

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J'ai cru au début que c'était Von Carstein et pas un sous-fifre de celui-ci.

En tout cas maintenant, notre petit héros va devoir faire attention à sa sécurtié encore plus qu'avant.

-Pour cela, il vous faudra survivre à votre traversée du Stirland...

J'ai pas bien compris là. Anton va pas traverser le Stirland au milieu d'une armée?

De nouveaux éléments qui annoncent une bien bonne suite

La suite

Kroxigor

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Ça fait un moment, désolé...

Alors, toujours la même critique pour les dialogues (je dois être embêtant à la fin), mets des commentaires au lieu de faire défiler le dialogue! J'ai toujours l'impression que c'est fini un peu trop vite. Tu a fais un peu moin de cela dans ton dernier bout, mais c'est le truc qui me rebute le plus...

Autrement, c'est sympa de la part du vampire de laisser sa carte de visite, je sens qu'il va y avoir de l'action quand l'armée va traverser le territoire...

Suite! :angry:

Ecthelion

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Une petite suite... Mais je vais devoir accélérer mon rythme d'écriture, vous allez voir :wink:

Anton descendit du carosse.

-Ramenez tout ceci, et arrangez moi les dégâts... soupira le Ludenhof.

"Pas trop tôt... Bon, dire ''bonne nuit'' à Karl et dormir. Vous avez vos objectifs, Ludenhof !" pensa l'homme en souriant.

Anton traversa la petite cour de son domaine. On pouvait voir quelques arbustes et statues pratiquement entièrement dissumulés dans l'obscurité de cette nuit glaciale.

Les portes du château s'ouvrirent par l'action de deux hommes, habillé comme de simples domestiques.

-Bonsoir Baron... dirent-ils en coeur.

Anton ne les regarda même pas. Ce n'était que des paysans déguisés.

Ils ne méritaient pas son regard.

-Bien le bonsoir, Baron Ludenhof... dit le vieux Waldenmar en essayant de s'incliner autant que ses vieux os lui permettaient.

-Quelles nouvelles durant mon absence ? dit Anton en se dirigeant en traversant le hall d'entrée.

-Le jeune Karl a reçut ses résultats de l'Académie d'Escrime de Wurtbad...

-Les résultats ? demanda Anton en se retournant dans l'escalier.

-Eh bien, oui, Baron...

-Par Sigmar ! Ces résultats ! dit le Baron en se tappant sur le front.

-Souhaitez vous les connaître ? demanda Waldenmar en caressant sa longue barbe grise.

-Evidemment !

-Votre fils a eu les félicitations de la part de tous les professeurs de l'Académie, devenant ainsi le meilleur élève de sa section...

-Ah ! Mon fils ! Waldenmar, prenez congé.

-De prendre congé ? demanda le vieil homme au regard suspicieux.

-Absolument ! Je me sens d'excellente humeur ce soir !

-Le Baron est trop bon... dit Waldenmar en s'inclinant, pendant qu'Anton montait les escaliers de marbres blanc.

"Les félicitations ! Je savais que donner quelques subventions à l'Académie allait aider Karl... Bah, de toute façon, talentueux comme il est, j'ai sans douter perdu mes couronnes d'or !" pensa Anton en riant.

Il se dirigeait vers la chambre de son fils, lorsqu'il entendit une porte se fermer dérrière lui.

-Bonsoir, Baron Ludenhof, dit Valmir.

-Bonsoir, précepteur de mon fils ! répondit Anton.

-On vous a dit les résultats ?

-Certainement, et je tenais à vous remercier. Je ne regrette pas de vous avoir engager...

-Mais c'est honneur et un privilège !

-Comme a dit un certain Sire d'Altdorf : "Les Impériaux, de n'importe quelle province, haissent les inégalités, mais tous, approuvent les privilèges !"

-C'est bien vrai ! répondit le précepteur en riant.

-Dites moi, vous n'ètes pas sans savoir que demain je m'en vais en guerre...

-Si vous tenez à vous entretenir avec moi, que cela soit ailleurs que devant la porte du petit, vous ne pensez pas ? demanda poliement Valmir.

-Oui, vous avez tout à fait raison. Allons dans mon bureau...

Les deux hommes se dirigèrent ainsi vers la pièce, d'habitude strictement interdite aux serviteurs, à l'exception du vieux Waldenmar.

Ils traversèrent ainsi le salon, avec ses murs décoraient par de magnifiques tapisseries.

Enfin, ils arrivèrent devant les portes du bureau du Commandeur Suprême.

Anton chercha ses clefs dans sa veste, et ouvrit la porte.

Une fois à l'intérieur, Anton alla s'asseoir dans son confortable siège, fabriqué par les menuisiers d'Averheim.

-Je vous en prie, prenez place, dit le Baron en désignant une chaise, sans le moindre confort apparent.

-Vous disiez donc ?

-Je vais partir en guerre contrer la menace de la Sylvanie. Je veux, et noter bien que je n'ai pas dit ''je voudrais'', que vous vous occupiez du domaine de Biberhof, dit Anton en regardant Mànnslieb dérrière lui, qui ne se voyait qu'à peine.

-Vous pouvez compter sur moi, comme toujours, dit l'homme en abaissant la tête.

-Si j'avais pu, j'aurais donné ce travail à Waldenmar, mais il est trop vieux...

-Pourquoi donc ?

-Car vous ne connaissez pas aussi bien que lui les secrets de ce château... Néanmoins, vous vous occuperez de ce domaine. J'ai cru comprendre que certains paysans commençaient à contester mes impôts ?

-Ma foi, cela est vrai...

-Trés bien. Vous vous occuperez alors de leur infliger une sanction exemplaire...

-Mais, Baron, ils n'ont rien fait de concret, juste...

-Dix coups de bâtons ?

-Ils n'ont même pas prononcer des injures à votre nom, et...

-Vingt coups ?

-Baron, je...

-Va pour trente ! Trente est un chiffre parfait... C'est le nombre des Joueux d'Epées qui m'accompagneront ! dit Anton en souriant.

-Bien, Baron... dit Valmir embarassé.

-Vous garderez un oeil sur Karl ?

-Les deux !

-Alors c'est parfait ! J'ai eu une journée assez chargée, j'ai besoin de me reposer...

-D'aprés moi, il doit être environ deux heures du matin, Baron...

-Et sur quoi vous basez vous ? Les étoiles et les lunes sont cachées ! dit Anton en se levant.

-Eh bien, ce n'est qu'approximation... dit Valmir en imitant son seigneur.

-Approximation ou pas, je suis exténué !

Anton prit bien soin de fermer son bureau à clef, des documents confidentiels y étaient rangés.

En remontant à l'étage, le Baron se dirigea vers la chambre de son fils.

Entrant dans sa chambre, il chuchota à l'oreille de l'enfant profondément endormi :

-Je suis trés fier de toi... Je te promets de rentrer aussi vite que je pourrais, comprends que je défends la vie des Stirlanders, et donc la tienne. A mon retour, nous combattrons à l'escrime...

Puis, Anton se releva et ouvrit la porte.

-Père...

Surpris, le Ludenhof se retourna.

-Oui ?

-N'oubliez pas de tremper le corps de ce vampire dans les eaux bénies de la Cathédrale de Wurtbad...

-Qui t'as dit ça ?

-Maître Valmir...

-Comptes sur moi !

Et Anton referma la porte de la chambre...

"Ce petit m'étonnera toujours..."

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"Les félicitations ! Je savais que donner quelques subventions à l'Académie allait aider Karl... Bah, de toute façon, talentueux comme il est, j'ai sans douter perdu mes couronnes d'or !" pensa Anton en riant.

:wink::devil::lol: Bien marrant. Par contre, pour ce qui est de la gestion, Ludenhof est un véritable nul. On voit que c'est la guerre son domaine de prédilection.

Trés bien. Vous vous occuperez alors de leur infliger une sanction exemplaire...

-Mais, Baron, ils n'ont rien fait de concret, juste...

-Dix coups de bâtons ?

-Ils n'ont même pas prononcer des injures à votre nom, et...

-Vingt coups ?

-Baron, je...

-Va pour trente ! Trente est un chiffre parfait...

C'est de ce passage que je parlais bien sur.

Une suite sans grand intêret à mon avis mais qui a le mérite de nous souligner le caractère glacial de Ludenhof.

La suite

Kroxigor

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Franchement, je me demande comment un génie militaire et un grand meneur d'hommes comme Anton peut être aussi stupide... Je veux dire... Mais bon...

Autrement, je crois vraiment qu'il va finire par ammener son armée dans une situation impossible... Mais je crois que ça va être une catastrophe... Déjà que les Middenlander sont tellement mis à l'écart qu'ils vont déguerpir au premeier signe de danger...

Bonne suite, mais je crois que ça va faire mal!

Ecthelion

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Ludenhof n'est rien d'autre que l'archétype du baron de l'époque. Il est exclu de notre société, pas de celle de son époque.

Cette petite suite devait surtout approfondir le caractère de ce général. Il est trés strict, et gère sa terre comme à la guerre...

Je suis fondamentalement opposé aux personnages parfaits ! L'idéal de tolérance et d'égalité n'existent pas dans l'Empire ! :wink:

Toutefois, il ne faut pas prendre Anton pour un imbécile. La grande majorité des Stirlanders n'aiment pas les gens du nord, et ceux du nord, commencent à respecter notre ami baron, car il a prouvé ses valeurs, comme de ne pas renier ses dieux :devil: . De plus, il sait se battre comme un ''vrai homme du nord'' !

Bon, et faut quand même pas oublier que ce gars là, malgré tout, c'est le dernier espoir du Stirland. Il ne s'en rend pas compte encore, mais c'est le seul capable de mener ses armées à la victoire...

Les suites vont s'accélérer !

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Oui, peut-être qu'il est charismatique, je l'avoue, mais les hommes du nord ne vont pas aimer qu'on les rabbaisse tout le temps... Je ne sais pas si tu en a déja fait les frais, mais être marginalisé pour une raison ou une autre (appartenance politique, origine, religion, etc...) n'est pas exactement motivant (je parle d'expérience, quoique ce n'est rien comparés à certains de mes amis).

-Aucun uniforme pour eux, même pas quelque chose de leur terre natale... (des tuniques bleues, quelquechose!)

-Le premier jour, leur nouveau commandant force un des leur de renier son dieu... D'accord, il ne vont pas aimer le faiblard, mais leur amour pour le commandant ne vas pas augmenter... Même s'il sait se battre...

-Le autres soldats les detestent... Alors là il va y avoir aucune confiance. Du genre: "Confier ma vie à un Middenlander? Pas fou?" ou bien "Faire confiances à ces tafioles de Stirlanders pour tenir le centre? Ça va pas non?"

S'il était un tant soit peu intelligent, il mixerait les formations... Il n'a pas le tact ni le doigté de son segond...

Ensuite, il les deteste... Alors il ne va pas les utiliser correctement... Ou il va les laisser en arrière ou s;en servir comme écrans... Alors pense pas que les Middenlanders vont aimer...

Je dis juste que c'est pas comme ça que tu te forme une armée loyale et efficasse, barron à Warhammer ou Colonel dans l'armée Américaine!

Ecthelion

Purée, en ai peut-être fait trop... C'est le seul truc de l'histoir que je trouve bizare, le reste est bien!

Continue!

Ecthelion

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J'attends impatiemment la suite...

Le baron est quand même sacrément sévère, et ça risque de lui jouer des tours plus tard dans l'histoire. Mais à mon avis, tu sais très bien où tu veux en venir!

Quelques critiques:

Commandant suprème des forces du Stirland...un peu longuet non, pour le lui resservir à chaque fois? Quoique, ce serait bien dans le caractère de bonhomme d'exiger qu'on lui donne son titre complet.

Les dialogues: souven trop rapides...notemment le passage avec le vampire, tu aurais pu un peu l'allonger et le rendre plus tendu.

Le combat entre le baron et le Middenheimer: Un peu trop forcé à mon goût, ça fait pas réaliste du tout...je vois mal unhomme de son âge passer son temps à sauter sur des caisses, se jeter à terre, faire des roulades et se relever aussi sec...surtout s'il est habillé de façon assez riche!

Modifié par Greyhunter
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Je tiens compte de tes remarques pour les dialogues!

Et moi qui me tuait à te le dire... Pas grave, j'ai du trop te casser les pieds :wink:

Bonne suite!

Ecthelion

Au fait, le fils, il a quel âge? Par-ce que s'il a trente ans... Son fils en a 12-13 au max... Que fait-il à lécole des officiers? Pas un rien jeune? (pas sûr du tout, mais il me semnle quand même...)

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Ooooh, faut pas m'en vouloir mon p'tit Ecthelion, c'est juste que ça commence à faire un certain nombres de critiques sur mes dialogues :devil:

Le jeune Karl Ludenhof est âgé de dix ans, et fait ses études à l'Académie d'Escrime de Wurtbad. Ce n'est en aucun cas une école militaire ! On apprend l'art de l'escrime, et pour le reste (géographie, littérature, et toutiquanti), il a un precepteur !

Si vous voulez que j'éclaircisse certains personnages, n'hésitez surtout pas ! :wink:

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