Invité Zoulaf Posté(e) le 18 janvier 2008 Partager Posté(e) le 18 janvier 2008 Leur dieux n'étaient rien, en somme. Dieu est mien, il respire ma foi Il s'en nourrit d'ailleurs sans cela Vivre il ne pourrait pas Car c'est la foi qui fait vivre Dieu Ou toute autre croyance et dans ce cas Fait vivre les Dieux me semble mieux Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
un vil gueux Posté(e) le 18 janvier 2008 Partager Posté(e) le 18 janvier 2008 (modifié) Vivre il ne pourrait pas Tue ! mutile ! brûle ! Tue ! mutile ! brûle ! Tue ! mutile ! brûle ! Tue ! mutile ! brûle ! poême khorneux fallait bien que quelqu'un la sorte, celle-là Modifié le 18 janvier 2008 par un vil gueux Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Petimuel Posté(e) le 18 janvier 2008 Auteur Partager Posté(e) le 18 janvier 2008 Popopop! Y'en a qu'ont déjà oublié qu'il faut faire des qautraines -je parle pour zoulaf-. Ca y est ça se retrouve à peine en page deux que ça en oublie la règle du jeu! Ah la jeunesse, chte jure... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Zoulaf Posté(e) le 19 janvier 2008 Partager Posté(e) le 19 janvier 2008 (modifié) Ca y est ça se retrouve à peine en page deux que ça en oublie la règle du jeu! Le jeu démarre Les règles inscrites Même dans le marbre Sont toutes proscrites Modifié le 19 janvier 2008 par Zoulaf Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Celeborn Posté(e) le 27 janvier 2008 Partager Posté(e) le 27 janvier 2008 Même dans le marbre Le temps que nous avons passé Dans mon esprit maintenant sombre Et dans le marbre de ta tombe Ton nom gravé s'est effacé Désolé de plomber l'ambiance Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Petimuel Posté(e) le 27 janvier 2008 Auteur Partager Posté(e) le 27 janvier 2008 (modifié) Ton nom gravé s'est effacé J'ai perdu toute ma mémoire Qui étais-tu? Je n'ai de toi Qu'un petit battement de joie Et quelques fleurs maintenant noires Modifié le 27 janvier 2008 par Petimuel Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Zoulaf Posté(e) le 29 janvier 2008 Partager Posté(e) le 29 janvier 2008 J'ai perdu toute ma mémoire ... ... ... ... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Petimuel Posté(e) le 30 janvier 2008 Auteur Partager Posté(e) le 30 janvier 2008 La succession de plusieurs points de suspention est complètement hors des règles de la syntaxe française, est-il besoin de le rappeler? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Crilest Posté(e) le 31 janvier 2008 Partager Posté(e) le 31 janvier 2008 (modifié) ... Qu'ouî-je? Qu'entend-je? Ce silence me ronge. Partout où je pose mon regard n'est que néant. Pourrais-je toucher un jour ce vide où je plonge. Car, comme je vois cela, je ne ressens plus rien. Modifié le 31 janvier 2008 par Crilest Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
crashnarf Posté(e) le 31 janvier 2008 Partager Posté(e) le 31 janvier 2008 Pourrais-je toucher un jour ce vide ou je plonge. Mais il fait nuit et je vois le jour La terre est le ciel et tout s'inverse Je suis mort mais je respire encore Avec au fond de moi l'alcool et sa caresse hips... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hexeoclann Posté(e) le 31 janvier 2008 Partager Posté(e) le 31 janvier 2008 (modifié) Mais il fait nuit et je vois le jour Et sous le soleil de minuit, La neige est mon désespoir, J'y marche, m'y enfonce, la défie Mais à chaque pas, je risque de choir. Hexeoclann, sympa cette section. Modifié le 1 février 2008 par Hexeoclann Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Zoulaf Posté(e) le 1 février 2008 Partager Posté(e) le 1 février 2008 J'y marche, m'y enfonce, la défie Je défie sans espoir Ce qui m'entoure hélas Et me perd sans y croire Lorsque sonne mon glas Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
un vil gueux Posté(e) le 1 février 2008 Partager Posté(e) le 1 février 2008 Lorsque sonne mon glas Venez ! creusons la tombe Qui accueillera les soldats Qui au champ de bataille tombent Pour que l'Imperium soit. ça aurait déplu à Ivan... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Zoulaf Posté(e) le 2 février 2008 Partager Posté(e) le 2 février 2008 Venez ! creusons la tombe Creuse fossoyeur De tout ton coeur Avant que l'heure Fasse que tu meures Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Xédéos Posté(e) le 2 février 2008 Partager Posté(e) le 2 février 2008 (modifié) Avant que l'heure (Zoulaf) Tic tac, tic tac, regarde bien cette montre! Tic tac, tic tac, l'aiguille tourne folle, non? Tic tac, tic tac, ca ébranle même ton tenon! Oui, le temps est à ton encontre!! Modifié le 2 février 2008 par Xédéos Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Crilest Posté(e) le 2 février 2008 Partager Posté(e) le 2 février 2008 Tic tac, tic tac, regarde bien cette montre! Avec seulement deux calories, très cher Vous pouvez rêver en compagnie du Lapin. N'est-ce pas sublime, voire merveilleux cet air, Qui, sur les lèvres, est fredonné ce matin. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Zoulaf Posté(e) le 2 février 2008 Partager Posté(e) le 2 février 2008 Vous pouvez rêver en compagnie du Lapin. Je suis un lapin Un gentil crétin Et de bon matin je m'en vais au loin Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Petimuel Posté(e) le 2 février 2008 Auteur Partager Posté(e) le 2 février 2008 Mais à chaque pas, je risque de choir. Chaque mot, dès qu'il sort, comme pour apparaître Au monde de vos yeux, creuse un petit impact Dans un mur indistinct façonné de chaque être Et détruit; à la fois construit à son contact. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Xédéos Posté(e) le 3 février 2008 Partager Posté(e) le 3 février 2008 (modifié) Au monde de vos yeux, creuse un petit impact (Petimuel) Qu'est-ce donc celà, vil manant? Ne sais-tu donc que ton regard N'est point autorisé séant A me considérer tel un dard? Modifié le 3 février 2008 par Xédéos Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
crashnarf Posté(e) le 3 février 2008 Partager Posté(e) le 3 février 2008 (modifié) A me considérer tel un dard? On en oublia mon visage. Et j'aime à croire, Dieu me pardonne, Que dames et bas de chausses Furent écrins plus que tiroirs. Modifié le 3 février 2008 par crashnarf Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hexeoclann Posté(e) le 3 février 2008 Partager Posté(e) le 3 février 2008 (modifié) On en oublia mon visage. Je fut un grand, dans cette région. Des statues furent bâties en mon nom, Mais le temps, ennemi felon En a ôté toute signification. Hexeoclann, je sais pas si le dernier vers veut dire quelque chose . Modifié le 17 février 2008 par Hexeoclann Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Zoulaf Posté(e) le 3 février 2008 Partager Posté(e) le 3 février 2008 Mais le temps, ennemi felon Le temps qui passe Est un ennemi Car je trépasse Et on me suit Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Petimuel Posté(e) le 3 février 2008 Auteur Partager Posté(e) le 3 février 2008 Et j'aime à croire, Dieu me pardonne, Je remplis dès les primes mâtines Puis messes, missels, psautiers, mon coeur Qui douterait de la foi divine S'il avait le temps entre les heures. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Xédéos Posté(e) le 4 février 2008 Partager Posté(e) le 4 février 2008 Qui douterait de la foi divine (Petimuel) Véritable marée blanche de toges, Agenouillée devant leur Dieu, Tous lui psalmodiaient des éloges Qui résonnent encore en ce lieu. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hexeoclann Posté(e) le 4 février 2008 Partager Posté(e) le 4 février 2008 (modifié) Tous lui plasmodiaient des éloges Le héros s'en reviens de guerre, Grand jour pour toute la ville, Avec son armée témeraire, Il écoute les louanges des civils. Modifié le 5 février 2008 par Hexeoclann Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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