Invité Zoulaf Posté(e) le 2 mars 2008 Partager Posté(e) le 2 mars 2008 Puis je cours, je fui, les loups géants me recherchent! ça donne envie de faire des onomatopées... Je me cache, seul derrière la brume Ils me recherchent, m'entendent et m'hument Seuls leurs grands yeux tristes brillent dans le noir Je suis enterré dans le desespoir CRAC ! Ah bin voilà une onomatopée ! Désolé c'était plus fort que moi... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
crashnarf Posté(e) le 2 mars 2008 Partager Posté(e) le 2 mars 2008 (modifié) Puis je cours, je fui, les loups géants me recherchent! Louve alitée aime allaiter. Petit agneau lui peine à naître. Louve agitée sent le gigot. Petit agneau, agneau de lait... Huhu...^^ EDIT: accords revus. Modifié le 4 mars 2008 par crashnarf Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
eyes-t3x Posté(e) le 2 mars 2008 Partager Posté(e) le 2 mars 2008 Louve alité aime allaité. Petit agneau lui peine à naitre. Louve agité sent le gigot. Petit agneau, agneau de lait... Les accords, l'orthographe? c'est très difficile à lire, et c'est dommage, les idées sont bonnes. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Xédéos Posté(e) le 3 mars 2008 Partager Posté(e) le 3 mars 2008 (modifié) Seuls leurs grands yeux tristes brillent dans le noir (Zoulaf) La bataille fut finie, cédant macabre décor, Le sang agressa le nez, l'oreille n'ouï plus le cor. Il restait une ombre se faufilant entre les morts, Retournant les poches à la recherche de pièces d'or Modifié le 3 mars 2008 par Xédéos Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tib-tib Posté(e) le 3 mars 2008 Partager Posté(e) le 3 mars 2008 Le sang agressa le nez, l'oreille n'ouï plus le cor (Xédéos) La rage s'empare de moi, mon regard s'assombrit Je cède sans resistance à cette barbarie Le flux de mes aïlleuls coule à travers mes veines Celui de Sanguinius, qui anime ma haine Thibaut Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Zoulaf Posté(e) le 4 mars 2008 Partager Posté(e) le 4 mars 2008 Je cède sans resistance à cette barbarie Finie la vie, finis les deuils Tous les esprits, tous les recueils Balayée dans le sang mon âme S'est retirée sous cette lame Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Xédéos Posté(e) le 4 mars 2008 Partager Posté(e) le 4 mars 2008 Tous les esprits, tous les recueils(Zoulaf) Là, dans ce cloître frais où l'on peut craindre le rhume, Un moine esseulé, à l'abri de tout tapage, Avec méticulosité et une grande plume, Copie inlassablement des pages et des pages. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tib-tib Posté(e) le 4 mars 2008 Partager Posté(e) le 4 mars 2008 (modifié) Copie inlassablement des pages et des pages (Xédéos) Avec ses camarades assis autour de lui William sens que sa main commence à fatiguer Pourtant il sais très bien que comme il est puni Il va devoir ecrire toute la matinée Thibaut Modifié le 4 mars 2008 par Tib-tib Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Zoulaf Posté(e) le 4 mars 2008 Partager Posté(e) le 4 mars 2008 Pourtant il sais très bien que comme il est puni Le cercle se referme Cours, petit être chétif Ta punition de terme N'a pas, tu es si naïf... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Petimuel Posté(e) le 7 mars 2008 Auteur Partager Posté(e) le 7 mars 2008 Cours, petit être chétif Cours, cours sans t'arrêter, fragile porcelaine Egarée dans ce monde écartelé de chaînes Cette roue mécanique inflexible en son cours Te brise comme verre en un seul contact. Cours! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Zoulaf Posté(e) le 8 mars 2008 Partager Posté(e) le 8 mars 2008 Egarée dans ce monde écartelé de chaînes Tiraillée par les chaînes de la vie Mon âme seule est toute endolorie Des misères du monde et des esprits Qui se délectent des pleurs recueillis Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
crashnarf Posté(e) le 9 mars 2008 Partager Posté(e) le 9 mars 2008 (modifié) Mon âme seule est toute endolorie J'ai beaucoup marché en ce monde. Par amour je n'ai pas envié Ta joie. La terre est resté ronde... Et mon esprit a mal aux pieds... Aaah, l'errance sentimentale... Modifié le 9 mars 2008 par crashnarf Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
SonOfKhaine Posté(e) le 9 mars 2008 Partager Posté(e) le 9 mars 2008 J'ai beaucoup marché en ce monde (crashnarf) La vielle Terre n'a plus de secrets La science les a tous détruits Puis abandonnés, comme des déchets Je m'en vais, je pars rejoindre les esprits SoK, c'est une impression ou c'est mauvais toussa ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
oeildenuit Posté(e) le 9 mars 2008 Partager Posté(e) le 9 mars 2008 J'ai beaucoup marché en ce monde. J'ai trop donné et trop recu, Je t'ai trop de fois contourné, Et j'ai vu, comme tu as vu, L'étendue de nos vacuités. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
un vil gueux Posté(e) le 26 mars 2008 Partager Posté(e) le 26 mars 2008 Et j'ai vu, comme tu as vu, Oui, j'ai vu le sang coulé Dans ma bouche il est tombé Quand je détruisait ce monde Khârn est là, le sol gronde ^^ Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Petimuel Posté(e) le 30 mars 2008 Auteur Partager Posté(e) le 30 mars 2008 (modifié) J'ai trop donné et trop recu, (superbe vers, au passage) J'ai déposé mon coeur sur l'autel de ton âme Au milieu des vapeurs veloutées et des flammes Alourdi de mon poids l'écrasante folie Teignant ton horizon. Et tu me le rendis. Modifié le 1 avril 2008 par Petimuel Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
crashnarf Posté(e) le 1 avril 2008 Partager Posté(e) le 1 avril 2008 Teignant ton horizon. Et tu me le rendis. Et l'immense a hurlé à la mort La douleur des mondes qui pleurent, Qui parent de mille couleurs L'opaque écorce, le mauvais sort. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
un vil gueux Posté(e) le 4 avril 2008 Partager Posté(e) le 4 avril 2008 La douleur des mondes qui pleurent, Au fond de l'oeil de la terreur Se trouvent les mondes qui pleurent, Tous souffrent des morts des eldars. Tous sauf un, le monde noir. Gniark Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
SonOfKhaine Posté(e) le 12 avril 2008 Partager Posté(e) le 12 avril 2008 Au fond de l'oeil de la terreur (un vil gueux) A travers la pupile irisée de la peur Passe une bien sinistre et sombre lumière. Lentement croît la crainte, et sa sinistre soeur, La mort, vient sur la rétine, scellant ma bière. SoK, j'ai rien contre 40K, mais j'avais envie d'utiliser l'Oeil de la Terreur autrement... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Petimuel Posté(e) le 4 mai 2008 Auteur Partager Posté(e) le 4 mai 2008 (modifié) Et mon esprit a mal aux pieds... Les murs murés de songe, intangibles, fuyants Derrière qui mon coeur a trop couru, ces plâtres Dérobés de l'esprit que l'esprit va priant M'encombrent. - Et je rêve un jour de tout abattre. Modifié le 4 mai 2008 par Petimuel Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
sponiitroll Posté(e) le 4 mai 2008 Partager Posté(e) le 4 mai 2008 (modifié) Et l'immense a hurlé à la mort Ce que nous n'entendîmes, nous, les rats du dessous Lorsque l'espoir cherchait un trou dans la charogne Et l'engagé, lui, finissait sa sombre besogne Ayant la certitude qu'il gagnerait ses sous. PS: c'est pas fameux mais c'est digne d'un skaven Modifié le 4 mai 2008 par sponiitroll Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Limtor Posté(e) le 5 mai 2008 Partager Posté(e) le 5 mai 2008 Et l'engagé, lui, finissait sa sombre besogne Un soleil cuisant brûlait ses chairs Ahanant sous les coups de fouets L'engagé n'eut pas d'autres choix Maudire ou parjurer sa foi Première fois que j'écris un poème. Ça fait bizarre . Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
groniar Posté(e) le 7 mai 2008 Partager Posté(e) le 7 mai 2008 Et l'engagé, lui, finissait sa sombre besogne De tout son village c'était le plus malin. Engagé, écuyer se voyait chevalier, Grand, beau et fier partant guerroyer. Ingrat réveil, pelle, pluie, boue et crottin. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Celt Posté(e) le 16 juin 2008 Partager Posté(e) le 16 juin 2008 Et c'est moi qui rouvre le bal ! Retournant les poches à la recherche de pièces d'or (Xédéos) Bien caché dans le fond d'une obscure ruelle, Le gueux se dissimule. A ses yeux, point de crime A ravir au baron son énorme escarcelle. Il fait foin des scrupules... N'est-ce pas légitime ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
SonOfKhaine Posté(e) le 16 juin 2008 Partager Posté(e) le 16 juin 2008 (modifié) Maudir ou parjurer sa foi (limtor) Il doute. Les ordres sont on-ne-peut plus clairs, Mais pourquoi ? Pourquoi donc cette belle planète ? Pourquoi donc ses enfants et leurs mères et leurs pères ? Il prie et presse le bouton. Leurs vies s'arrêtent. SoK, viva l'exterminatus... Modifié le 17 juin 2008 par SonOfKhaine Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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