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Massacre dans la plaine...


DwarfKeeper

Messages recommandés

Allez, un petit bout pour commencer...

Unkbhâr n'en pouvait plus. Il avait toujours détesté les arbres. Là, il en était entouré. Partout. Et en plus il pleuvait. Le bruit de la pluie gouttant sur sa crête l'énervait plus que tout. Mais ce qui l'énervait encore plus, c'était de devoir suivre ces rangers, alors qu'à l'opposé de sa position, il avait aperçu un géant! Un géant! Et lui devait s'occuper de ces jeunots à la barbe naissante qui aimaient gambader dans la forêt comme des elfes! De son temps, personne ne faisait ça! Un bon nain était un nain qui vivait avec sept bon pieds de terre au dessus de la tête!

Mais, cette courte-barbe de Bofin lui avait ordonné de protéger son flanc droit avec les Rangers. Il avait dû s'incliner. Peut-être pourrait-il trouver un ou deux adversaire de valeur dans l'armée chaotique d'en face. Peut-être connaitrait-il le repos de la mort...

Jerôme regarda son armée. Il était fier de ce qu'il avait accomplis. Depuis qu'il avait quitté Nuln, nu comme un vers et chassé par ses pairs pour avoir deux yeux de couleur différente, il savait qu'il était dédié à la grandeur. Peu importe combien de morts il y aurait aujourd'hui, la tour et ses secrets seraient à lui. il en absorberait les secrets et la puissance, et deviendrait l'égal des dieux! Et l'Empire sera à genoux devant lui, craignant sa colère!

" EN AVANT!!!!! TUEZ LES TOUS!!!"

L'armée du chaos s'élança, les chevaliers de Khorne écumant de rage se lançant en direction de la marée verte devant eux. Les chars l'accomagnait, tandis que l'immense buveur de sang semblait déjà avoir trouvé une proie, et s'élança dans les airs...

" J'ai dit : EN AVANT BAND' DE MHOULESSS" L'énorme orque noir attrapa un orque et le projetta dans le régiment devant lui. Immédiatement les querelles cessèrent. Du moins, autour du point d'impact. Des ricanements s'élevèrent sur la droite du Boss. Immédiatement, il tourna son regard vers les gobs qui "tenaient son flanc" Là il aperçut Gisgit le lâhce, le "grand chamane gobelin", attraper sa robe à deux mains et se metttre à courrir pour atteindre la sécurité toute relative des rangs gobelinoides.

L'armée verte se mit en branle... sauf un régiment de guerrier situé devant le régiment du grand boss. Et ou, ce n'est pas simple tous les jours d'être le général d'une des plus grande waaagh.

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Unkbhâr pestait. Il était tempé, et il venait de perdre les rangers de vue. Il pensait être semé pour de bon lorsqu'un cri de haine pure déchira le silence de la forêt, suivi des cris de ses frères et de bruits de combats. Ou plut^to, d'un massacre. Il entendait clairement les appels désespérés de ses frères. Puis il vit Braggi, courrir vers lui, les yeux emplis de terreur, couvert de sang. Derrière lui il y avait Snorri et Dagi et quelques autres. Pas plus d'une dizaine. Ou étaient les autres? Puis l'ombre gigantesque fut sur lui. Une vision sortie de l'enfer de l'ancien temps, au moment de la déchirure, quand ses ancêtres durent se réfugier sous terre pour se protéger des démons. Une vision, que la raison commandait de fuir, une vision qui risquait bien d'être la dernière.

Mais il était Unkbhâr le maudit, et il était déjà mort. Et les morts ne craignent pas la peur.

Zaaron' dergast en voulait plus! Plus de crânes! Plus de sang pour le dieu du sang, son maître! Ces misérables mortels ne sont que des larves!!! Ils doivent mourir!!! Je les hais!! Je les hais!!! Du sang!!! Des crânes pour le trône de Khorne! Des crânes pour le trôn...

La douleur jaillit dans le corps du démon, la douleur d'une arme mortelle perforant sa jambe. Zaaron' dergats baissa son regard sur le nain sans armure, aux cheveux et à la barbe rougoyante. Pfff... Cela n'était pas digne de lui. Ce n'était qu'un crâne. Un crâne de plus. Il leva son arme, puis l'abaissa. Le sang jaillit.

Bofin rageait! Il aida son frère de clan à se remettre sur pied, avant de se rendre compte que celui-ci était mort. L'immense pied vert qui venait de s'abattre sur son régiment avait causé de lourdes pertes à l'élite naine. De plus celui-ci s'était abattu sur les longue-barbes à sa droite, laissant de nombreux corps démembrés comme seule preuve de sa présence. Puis la chose s'en était allée. Mais apparamment l'armée du chaos avait elle aussi eu affaire à cette maudite magie. Bofin agita son marteau en direction de Zarak en lui faisant bien comprendre qu'il avait intérêt à se montrer plus efficace. Le vieux maître des runes hocha gravement la tête, avnt de commencer à forger une rune sur son enclume... ce chamane allait le payer, et cher.

L'armée de peaux-verte avançait dans un chaos indescriptible. Toute la cavalerie orque et gobeline se dirigeait vers les chevaliers en armure rouge et or, très désireuse d'en découdre. Le chef orque éperonnait tant et plus son sanglier, tout en tentant désepérément de s'accrocher à lui... Ce qui était un exercice fort difficile, il faut l'avouer.

Pedant ce temps, l'infanterie orque, enfin disciplinée s'élançait vers la tour, le géant en tête. Bientôt, ils auraient atteint la base de la structure.

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Frédérick regardait le champs de bataille. Sur sa droite, Jérôme, ce parvenu, s'élançait déjà en quête de gloire, à peine conscient du pouvoir que contenait la tour. Il fut tenté d'abattre cet impudent dans le dos, mais se ravisa. Seul le grand architecte avait droit de vie et de mort sur ce pantin. Il dirigea son regard vers les lignes naines qui se dessinaient au travers de la pluie. Ceux-ci avançaient résolument malgré la boue et leurs lourdes armures. Frédérick decida de déchainer sa puissance sur ces misérables adversaires. Dessinant queques arabesques dans les airs, plus pour impressioner la piétaille des maraudeurs que par nécessité, Frédérick déchaina sa puissance, un éclair multicolore s'échappant de ses douze doigts. Selui-ci vola vers la ligne de bataille des nains, mais s'évapora au contact de l'antique bannière des brise-fers. Frédérick fronça les sourcils. Sans attendre, il déchaina de nouveau ses pouvoirs, sans prendre le temps d'effectuer des passes inutiles. Cette fois-ci l'éclair sembla contenir toute la puissance du sorcier. Frédérick sourrait lorsqu'un'une douleur insoutenable lui vrilla le cerveau! Quelquechose tentait d'absorber son pouvoir, de lui faire perdre la connaissance de ses sorts! Mais le sorcier ne se laissa pas abattre. Rassemblant toutes ses forces mentales, il repoussa l'agression psychique. Rapidement, il découvrit l'origine de sa douleur... un nain à la barbe particulièrement longue et blanche. Il fallait s'occuper de lui rapidement, le faire payer. Le buveur de sang était dans les parages et devrait amplement suffir à cette tâche. Mentalement, Frédérick repéra le démon, et souria. Mais son sourire devint vite un rictus de terreur...

Zaaron' dergast n'y croyait pas! Il reculait! chacun de ses coups était répoussé par ce ridicule être à sang chaud! Son coup de hache avait ouvert une large plaie en travers de la gorge de son adversaire, mais celui-ci au lieu de mourir, avait à plusieurs reprises enfoncé sa hache dans ses jambes! Le buveur de sang hurla de rage et de fureur lorsqu'une nouvelle fois le nain perça sa défnse et lui ouvrit une large entaille dans la cuisse. Le démon frappa encore de son immense hache, mais cele-ci ne fit que couper un arbre en deux, le nain se trouvant déjà derrière lui. Le émon tenat alors d'attraper la pathétique créature de son fouet, mais son coup se perdit dans le vide, tandis que la hache du nain lui mordait encore cruellement la peau.

Rassembalnt toute son énergie, le démon leva sa hache et l'abattit... explosant des centaines de crânes... levant lentement les yeux, il reconnut un paysage familier. Des pyramides de crânes l'entourait, toutes plus hautes les unes que les autres. Au sommet de la plus haute, siégait un trône en airain. Sur celui-ci, une ombre gigantesque, d'où s'écoulait des fleuves de sang l'observait. Zaaron' Dergast sut que son maître ne pardonnerait pas cet échec...

Lorsque le démon disparut, Unkbhâr hurla sa rage d'être encore vivant. il s'essuya les yeux, couverts de son propre sang, et d'une démarche titubante, prit la direction des lignes chaotiques. Il devait tout faire pour mourir. Mais si un démon n'avait pu l'abattre, alors quel dieu le pourrait?

Zarack abattit son marteau. La rune d'air qu'il avait dessiné disparu, et s'abattit sur les lignes des gobelins, trop proches à son goût. Il vit plusieurs silhouettes en flamme quitter la masse de vermine, mais cela était trop peu. Et trop tard. Avec désespoir, le vieux nain vit des gobelins tourbillonants quitter la protection de la masse. L'un d'entre eux traversa les angs des longues-barbes et des marteliers. De sa position, le seigneur des runes crut distinguer qu'une paire de ses frères dans chaque régiment était mort. Ses yeux, pleins de larmes, se dirigèrent alors vers la petite forêt à sa droite. il vit les rangers (ou du moins ce qui enrestait) en sortir en courrant, terrifiés. Cette maudite vallée avait déjà trop prit de vies naines. Et cela ne risquait pas de s'arranger. Mais par Grungni, ils allaient vendre chèrement leurs peau. Ho que oui!

Gisgit le lâche avala un morceau de champigon, et de nouveau Gork (ou Mork) écouta ses suppliques, et un immense pied vert s'abbatit dans les rangs nains. Mais Mork (ou Gork) en avit déjà assez et se retira. Le chamane gobelin geignit lorsqu'il vit son adveraisre, Grogbur, le chamane orque, invoquer ces mêmes dieux avec plus de succés, écrasant un régiment adverse après l'autre, à la grande satisfaction du général orque noir. Gisgit se concentra et par un acte d'une incoryable malveillance, parvint à déconcentrer son homologue. Du coup, Gork( ou Mork, je ne sais pas) dérappa et écrasa les Kostos, laissant quatre d'entre eux démembrés avec leurs angliers dans la boue alentour.

Grogbur fut a moitiè assomé sous les coups des orques noirs alentours, et Gisgit, satisfait se retouran, pour voir les fanatqisues revenir vers lui... oups...

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Jêrome éperonna de plus belle sa monture et parvint à éviter l'immonde pied vert qui jetta à bas deux des siens.

Les cavaliers de la tribu des Kulls, des humains ordinaires, se jetèrent sur les gobelins de la nuit. Ceux-ci, sans surprises, lâchèrent leurs fanatiques. Bien évidemment, les cavaliers furent tous déchiquetés, mais cela lui laissait le champs libre. Déjà à sa droite, les cavaliers de Khorne chargeaient les orques sur sangliers. Ceux-ci furent exterminés dans une orgie de sang et de métal froissé. Les guerriers en armure sang et or hurlaient leur rage et leur plaisir, chacun de leur coup décapitant un orque. Leur chef répandait la mort, sa bannière luisant de puissance, et déchainait sa colère sur tout ce qui vivait encore alentour.

Jêrome lui même se plaça de manière à recevoir l'assaut des autres chevaucheurs... Ceux-ci allaient périr de sa lame.

Frédérik se tenait la tête à deux mains et crchait du sang. Tzeentch ne supportait pas l'échec, et le rappellait à son humble serviteur. Déjà, le seigneur des runes avait enfin réussi à le priver d'une partie de son pouvoir, mais cette fois c'était le grand architecte qui venait le punir en personne. difficilement, Frédérick se remit debout. L'entrée de la tour était juste devant lui. Mais à travers la pluie battant et le bruit de l'orage, le sorcier aperçut des ombres massives apporter une sorte de gros madrier. Les orques étaient déjà là et s'attaquaient à la porte d'entrée.

D'un hochement rapide de la tête, Frédérick enjoignit ses hommes à charger. Les guerriers de Tzeentch percutèrent les peaux-vertes, tranchant têtes et membres dans un indescriptible mélée. Mais les peaux-vertes ne se laissèrent pas impressionner et ripostèrent. Et même si leurs coups ne firent qu'effleurer les armures bleutées, la vermine verte ne céda pas un pouce de terrain.

Khazuk! Khazuk! Khazuk! Unkbhâr se jeta au mileiu de la masse des maraudeurs, chacun de ses coups prélevant une vie. Les sauvages guerriers de Norsca tentèrent vainement de jeter à terre ce démon à barbe et crête rouge, mais celui-ci se déplaçait à une vitesse hallucinante. Les rares coups qui touchaient ne semblaient pas affecter le nain. Unkbhâr était au bord de la folie, car il ne pouvait accomplir son serment. Un nouveau coup et le chef des maraudeurs tomba à ses pied. du coin de l'oeil, il vit certains de ses adversaire tenter de le déborder. Les choses s'annonçaient amusantes.

Zarack fulmianit. Ses runes s'avéraient impuissantes face à la magie verte, bien plus brutale que la sienne. Il grommela un vague "maudit elfes grmmblll..." et abattit une nouvelle fois son marteau sur l'antique enclume. cette fois-ci le pouvoir des runes lui répondit, et la magie s'enfonça dans le sol, pour jaillir sous les pieds du géant.

Celui-ci hurla et sautilla sur une jambe en tenat son pied dans ses mains. Bien pensa le maitre des runes.

Bofin s'empressa de faire avancer ses gars, pendant que le fanatqiue qui avait abattu plusieurs de ses hommes s'étranglait lui-même. Il voyait déja la base de la tour. encore quelques pas et il...

"Par l'enfer". Au milieu des débris de la porte et des corps démembrés d'orques, Bofin aperçut des guerriers à l'armure bleutée pénetrer dans la bâtisse. Mais le pir, c'étaitt que de massifs orques noirs semblaient sur le point d'atteindre eux aussi le bâtiment.

" Ca va être dur pensa le vieux nain. Très dur"

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Invité Engra-morte-épée

Erf,quel taré ce tueur il se bute le demon majeur de khorne et puis des hordes de maraudeurs ... dis tu pourrai nous expliquer comment ce combet (tueur/demon) c'est passé en therme de jeu ?? Comment se fait il que le petit nain ai pu survivre après avoir frappé le demon majeur ??

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Très simple en terme de jeu : une incroyable collection de 1 et de 2 au toucher. Je n'ai que rarement vu ça chez mes adversaires. (c'est plus fréquent déjà sur mes sauvegardes d'armures) La seule touche qu'il a fait sur sa charge irrésistible s'est transformée en blessure. (5, même pas coup fatal) Moi ce fut l'inverse! 4 touches, 4 blessures, une seule sauvegarde démoniaque réussie. Et hop, un test d'instabilité démoniqaue raté avec un magnifique 11, bye bye le buveur de sang. Bonjour un fou rire du côté nain et orque. Par contre côté chaos ça grommelait un peu beaucoup. (j'ai vu un espèce de livre des rancunes en peau de nain pas très loin!) :innocent::)

Bon je poursuis (2d6-1) un petit peu, j'ai une revanche avec le chaos à 3000pts tout à l'heure.

Les orques noirs se jettèrent de l'avant lorsqu'il aperçurent enfin quelques adversaires à leur niveau. Des gros Zom du Nord bien costaud. Mais pas assez pour eux. Dans un beuglement effroyable, les orques noirs s'engouffrèrent dans la tour. A l'intérieur de celle-ci, les guerriers de Tzeentch renversèrent tables et chaises pour briser l'assaut de leurs opposants, mais ce fut peine perdue, car dans leur furie destructrice, l'élite de l'armée orque balaya tout sur son passage. Frédérick vit un énorme orque Noir porter la grande bannière de l'armée ennemie se diriger vers lui. Levant sa masse d'arme en signe de défi, le sorcier du chaos se fraya un chemin dans la mélée pour atteindre son adversaire. Autour de lui, la méle était furieuse. Les guerriers du chaos tombaient par poignées, mais aucun d'entre eux ne céda un pouce de terrain, entrainant leurs adversaires avec eux dans la mort.

Un orque particulièrement laid tenta de s'interposer entre Frédérick et son rival. Le sorcier transforma cet impudent en horreur, ainsi qu'une demi-douzaine de ses congénères. Le chef orque noir ne se laissa pas impressioner et s'avança face à son adversaire. Celui-ci ne lui laissa aucune chance et défonça le crâne de l'orque d'un unique coup de sa masse. L'orque noir mort à ses pied, Frédérick scruta la mélée. Les orques noirs fuyaient la b^tisse, directement sur les nains. Mais il ne lui restait plus qu'une dizaine de guerrier. Il fallait que les renforts se dépèchent. Et vite. C'est alors que les fenètres sur sa gauche volèrent en éclat. D'autres orques arrivaient...

"Boucliers.... Baissés!" Les brise-fer reçurent de plein fouet la charge combinée des deux chars. Les bruits d'agonie et de métal froissé glaçèrent le sang de Bofin, mais Daek lui fit signe de continuer vers la tour. Il fallait à tout prix s'en emparer. Le seigneur hocha gravement la tête et détourna son regard des corps démembrés des brise-fer que leur armure n'avait pu protéger.

Hélas pour les nains, les chars fuirent pour se regrouper un peu plus loin, prêts à se lancer de nouveau à l'assaut des lignes naines. Maudite pluie! Et maudits canons! Où étaient ces ingénieurs quand on avait besoin d'eux.

Gisgit déchaina de nouveau ses pouvoirs sur les nains, mais une violente douleur dans ce qui lui servait de cerveau le cloua au sol. Lorsqu'il se releva, il se rendi compte qu'il ne savait plus appeller ses dieux pour qu'il viennent piétiner ces nabots de malheur. A cause d'eux, deux d'es fanatqiues étaient revenus percuter don régiment, et Gluddog était mort. Il lui devait quatre champignons! Maudits nains!

Il aperçut proche de lui des nains à la barbe blanche se préparer à l'attaquer. Le gobelin blêmit, ce qui lui donna une teinte jaunâtre écoeurante. D'un geste, il ordonna à ses gars de fuir la menace naine. Les gobelins se débandèrent sous les insultes et les quolibets des orques alentours. Ceux-ci se préparèrent à attaquer les anciens nains. Le sang allait encore couller.

Bofin pour sa part, ordona la charge dans les rangs des orques noirs en déroute. Ceux-ci s'enfuirent de plus belle en direction des lignes du chaos, et d'un régiment de maraudeur... engagé par un fou furieux à la barbe orange...

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Je suis tres impressioné quelle magnifique bataille!!

en tout cas pas de bol pour le demon majeur j'ai cru qu'il allait découper le nain mais il s'est fais buter et tant mieux.

D'ailleurs je me joins a la remarque precedente si tu pouvais nous expliquer en terme de jeu la confrontation

merci et vivement la suite

akenarion elfe admiratif et qui aime bien les nains quand meme.

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Invité Engra-morte-épée

Putin c'est le truk qui me motive a peindre de ce pas un tueur de démon !!!ces bestiaux sont vraiment fun a joué et trop souvent négliger par l'adversaire ... enfin je sent que c'ets les nains qui vont gagner la bataille mais que notre petit ami tueur n'y survivra pas malheureusement ...

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engagé par un fou furieux à la barbe orange...

il lui reste combien de pv exactement? 1 seul? mouaiiiii.....il a beau etre héroique, il ne s'en sortira pas face aux marauder ( tros nombreux )

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Jêrome contra l'attaque de l'énorme orque, et lui enfonça son épée dans le ventre. La créature ne sembal pas s'en rendre compte, jusqu'uà ce qu'elle glisse à terre. L'arme magique qu'elle portait s'était révélée nefficace face à son bouclier. Autour de lui, il ne restait cependant que quatre de ses hommes. Les autres étaient tombés face à la fureur de la cavalerie adverse. Mais même malgré cela, les orques s'enfuirent. D'un geste sec, Jerôme intima à ses hommes de garder leurs position. Il avait éventer la ruse des peaux-vertes : un régiment d'orque les attendait à côté de la tour, pour les prendre de flanc. Au lieu de cela, il leurs fit face. Derrière lui, il entendit soudain un cris d'agonie. Il se retourna sur sa selle, pour voir le régiment de cavalier de Khorne se faire piétiner par la magie des peaux vertes. quatres cavaliers avaient été jetés à terre, et il ne restait plus donc que le serviteur de cette violente divinité, couvert autant du sang de ses ennemis que de ces alliés. Mais cela ne semblait que peu lui importer.

Frédérick changea encore une paire de peaux-vertes en horreur, mais il y en avit trop. Deux autres de ses gardes du corps s'effondrèrent en sang, transpercés par les armes brutales de ses adversaires. Le sorcier entendit un nouveau bruit de verre brisé, juste derrière lui. Alors qu'il s'attendait à sentir la morsure d'une lame, il fut dépassé par une demi-douzaine de gueriers torses-nus, à la peau couverte de tatouage, qui se jettèrent férocement sur les orques. Les Nordiques étaient enfin arrivés, et offraient un répit inespéré à ses hommes. Pourtant, les peaux-vertes tinrent bon, et certains d'entre ces monstres commencèrent meêm à démollir les murs pour permettre aux leurs encore dehors d'entrer dans la bâtisse.

Drok Brise-Portes commençait à s'énerver. Les longues-barbes devant lui s'étaient immobilisées. S'ils n'avançaient pas plus vite, jamais ils n'atteindraient la tour! Le jeune nain tenta de regarder par le côté lorsqu'il sentit la terre trembler sous ses pieds. Il fut parcouru de sueurs froides, et lentement il tourna la tête. Il hurla de terreur! Un géant jaillit d'on ne sait ou et à travers un rideau de pluie, vint les percuter. Le géant leur sauta dessus en riant à gorge déployée. Brok et Dofur, Gidli et Snorri, tous moururent, et bien d'autres encore. Alors qu'il tentait de fuir, Drok sentit une violente douleur dans tout son corps. Il était déjà mort lorsque le géant percuta les brise-fer.

Zarak n'en croyait pas ses yeux! Malgré toute la noble magie de son enclume, le géant avait massacré une dizaine de ses frères. Les yeux embués de larmes le seigneur des runes se rendit compte que la magie de son enclume était presque épuisée. Les vents de magie brute qui tourbillonaient au-dessus de la plaine avaient atteint une masse critique. Et l'enclume ne pouvait absorber cette magie brute. Au bord de l'épuisement, le vieux nain s'entêta tout de même aider ses frères. En vain.

Bofin se retourna, fou de rage. Il n'y avait plus qu'une dizain de longue-barbes et ses marteliers qui pouvaient s'attaquer à cette fichue tour. Il serra les dans et ordonna la charge. Il était plus que temps. Il percuta les hommes du nord uqi se tenaient encore hors de la tour et les balays. Les longues barbes entrèrent immédiatement dans la tour et se joignirent à la mélée. Bofin reprenait espoir lorsque des cris d'agonie lui rappelèrent que les chars du chaos étaient encore là... combiende ses frères allaient encore mourir?

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Invité Engra-morte-épée

la suite la suite La Suite LA SUITE LA SUITTTTTEEEEE !!!!!!

je vais fondé le club des fan du massacre dans la plaine qui exigent la SUUIIIITTTTTEEEEEEEE !!!!!!!!!!!!!!

PS:Bravo c'est vraiment hyper agréable à lire même si les nains sont en train de se faire applatir j'ai l'impression .... mais au fait où sont les régiment de guerreirs nains de base ???

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la suite la suite La Suite LA SUITE LA SUITTTTTEEEEE !!!!!!

je vais fondé le club des fan du massacre dans la plaine qui exigent la SUUIIIITTTTTEEEEEEEE !!!!!!!!!!!!!!

PS:Bravo c'est vraiment hyper agréable à lire même si les nains sont en train de se faire applatir j'ai l'impression .... mais au fait où sont les régiment de guerreirs nains de base ???

tout pareil......:innocent:

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Jerôme hurla de douleur. L'imposante arme du seigneur orque noir lui trancha net le bras gauche. Cette monstruosité de muscles et de nerfs semblait inarrétable. Mais le fier seigneur du chaos ne voulait pas perdre. Il ne DEVAIT pas perdre. Il était trop près de la gloire, de la réussite. Le monde allait lui appartenir! Des visions de sont futur se bousculèrent devant ses yeux. Il vit des milliers de soldats hurlant son nom à pleine gorge. Il vit l'Empire à feu et à sang! Il se vit maître d'un Empire qui devait durer pour des siècles et des siècles.

Ces visions ne le quittèrent même pas lorsque ses compagnons s'enfuirent, et que les orques noirs se mirent à le déchiqueter. Ainsi s'acheva la saga de Jerôme le traitre. Quelque part sur un autre plan, le grand architecte souria...

Bofin regarda autours de lui. Il vit un autre groupe de maraudeurs pénétrer dans la tour. Mais hormis ceux-ci, il ne semblait plus n'y avoir qu'un autre groupe de guerriers du Nord. Mais ils semblaient empêtrés dans un combat qui ne semblait guère être à leur avantage.

Le seigneur nain décida donc d'entrer lui même dans la tour, et de la réclamer au nom du peuple nain.

A l'intérieur de la tour, la mélée était extrêmemnt confuse. Nains, horreurs, guerriers du chaos, orques et orques noirs s'affrontaient dans le chaos le plus total. n orque éventra un démon, avant d'être lui-même abattu par une longue-barbe. Mais ce dernier ne put esquiver un coup d'hallebarde qui le décapita. Le gurrier du chaos tenata de frapper un autre anin, mais un orque noir le jeta au sol. Au centre de la mélée, Frédérick déchainait tous ses pouvoirs. La puissance de la tour courrait dans ses veines, et chacun de ses sortilèges prélevait sur ses adversaires un énorme coût en vies. Mais il sentait que ses efforts étaient contrés par une puissante magie, une magie runique. Mentalement, il ordonna à ses chars de régler le problème...

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Vraiment trop bien!!

J'adore quand une bataille se transforme en un massacre generalisé surtout quand c'est trop race bien bourrine au corps a corps

Et quel suspens tu nous fait souffrir dwarkkeeper je suis un elfe et tu n'aimes pas les elfes mais bon....

par pitié la Suite!

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qu'est ce qui m'arrive! Je vais être généreux avec un elfe? Deux fois de suite dans la journée (n'est ce pas Khaela? :innocent: ) je vais être malade!

Ghisgit attrapa une fois de plus ses robes à deux mains, et détala. Décidément, ce n'était pas son jour! Ce n'était pas sa faute si ses sorts rataient les uns après les autres. C'était de la faute de RatKik, qui faisait rien que l'embêter. Une fois hors de portée de ses pairs, le chamane gobelin jeta un coup d'oeil sur ce qui se passait. La pluie qui constituait désormais un rideau infranchissable l'empechait de voir grand chose, mais les bruits de combats lui indiquèrent qu'il ne devait (malheureusement) pas se trouver très loin du coeur des combats.

Au bout de quelques pas (qu'il estimait aller dans la direction opposée à ces dits combats) il percuta un mur de pierre. Un gros mur de pierre. Avec énormément de peaux vertes autours en train de se battre. L'influx de magie Waaagh qui en résulta tourna la tête du chamane. Il ouvrit les yeux et un rai d'énergie verte en jaillit immédiatement, transformant une paire de... quelque chose en cendre. (vraisemblement, deux choses multicolores un soupçon aggressives.)

Son homologue orque retroussa ses babines en voyant la réussite de son adversaire à la petite taille! Et un gobelin ne peut égaler un orque! Dans sa colère, le chamane orque accumula trop d'énergie avant de lancer son sort. C'était ce qu'attendait Ghisgit. Une rapide prière à Mork et Gork (dans cet ordre) et l'accumulation d'énergie dans la tête de l'orque fit tout simplement exploser celle-ci. Ghisgit était satisfait. Il le fut nettement moins en voyant une rangée de guerriers nains aux armures étincellantes s'approcher de la tour.

Gribdil frappa le géant de toutes ses forces. Ce dernier le relacha au milieu de ses pairs. Le jeune nain avait eu chaud. Ce n'était pas les cas de Kadrin et de Meldrik qui avaient été piétinés par les sauts répétés du géant, tout comme une demi-douzaine d'autres guerriers. Mais le géant était à bout. La pluie, la fatigue, la faim, et ces horribles petites choses qui lui déchiraient la peau avec leurs armes ridicules.... C'en était trop. L'immense colose fit un pas en arrière, mais trébucha, et chutta de toute sa masse. Même si Harduin Large-Hache fut écrasé sous le monstre, ses frères de combat se ruèrent sur la créature et le découpèrent vif, vengeant leurs morts. Gribdil regarda à côté de lui. Les autres guerriers et brise fers étaient de nouveau prêts à reprendre leur progression vers la tour, les chars du chaos les ayant délaissés pour un autre objectif. La quarantaine de guerriers encore debout reprirent leur route. encore un effort, et la tour serait à eux.

Frédérick transforma les dernières longues barbes en horreur. Leur chef sembla vouloir résister un moment, mais la transformation n'en fut que plus amusante. Le serviteur du grand architecte décida de laisser à l'horreur la barbe du nain. Ainsi, tous sauraient quel est le destin qui attend ceux qui osent s'opposer à ses plans. Les maraudeurs qui venaient encore de le rejoindre lui permettaient d'asseoir sa supériorité numérique dans la tour.

Pourtant cela ne s'avérait pas suffisant, car il y avait encore des orques pour lui disputer sa domination. Le sorcier se concentra, avant de voir ses efforts être réduits à néant par un nain des plus tétu. Frédérick commençait à en avoir assez de lui.

Ce fut d'ailleurs ce moment que choisis Bofin pour pénétrer dans la tour avec ses gardes du corps. Oh oui! Frédérick commençait à en avoir assez...

La suite sera écrite lorsque je serai sûr que le forum est sauf de l'hébergeur. (écrire tout et devoir le refaire n'est pas une perspective agréable!)

Modifié par DwarfKeeper
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  • 1 mois après...

Ha, ça fait du bien de voir que tout est en ordre.

Je vois que le forum a avancé depuis la dernière fois que j'ai réussi a me connecter...

Mais il manque le plus important... "La Baston! La Baston!"

Bon aller, bon courage.

Que Gork, Mork, Khorn, Slannesh, Tzench, Nurgle, Grungi, Sigmar, Juda, Dieu et leurs potes te protégent.

Grush a qui tu as beaucoup manqué :lol:

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Bofin entra enfin dans la tour, suivis de près par des marteliers enragés, qui ne désiraient qu'une chose : faire payer leurs ennemis pour la mort de tant de leurs frères.

Le seigneur nain chercha du regard un adversaire à sa mesure. Une horreur lui bondit dessus, et c'est nonchalament qu'il la renvoya dans le warp d'un revers de son arme. Ses marteliers semèrent la mot dans les rangs mouvants des guerriers du nord, mais ceux-ci, habitués depuis leur prime enfance à des massacres d'une telle ampleur, ne rompirent pas le combat. Au contraire, ils se jetèrent avec fureur sur les nains, certains s'empalant délibérément sur les pointes des marteaux nains pour que leurs compagnons puissent passer la garde de l'élite de l'armée naine.

Soudain, un immense hurlement retentit dans la tour lorsque le plus gros orque noir que Bofin ait vu durant sa déjà longue vie entra dans la pièce centrale, entouré de ses gardes du corps. Le dernier acte se joue mainteant pensa le nain...

Zarack hurla de rage lorsque le char percuta les courageux guerriers qui s'étaient interposés entre eux et l'enclume. Plus de la moitié de ces fiers nains gisaient au sol, et les autres furent fauchés par les chars en furie. Pas un n'en réchappa. Il était le prochain...

Un éclair s'abattit sur les orques, transformant trois d'entre eux en torches vivantes. Du coup, Gisgit estima qu'il était plus prudent de rentrer dans la tour... on ne sait jamais.

Dès qu'il mit le pied à l'intérieur de celle-ci, le chamane gobelin regretta immédiatement son geste courageux. (ou inconscient, c'est selon!)

Le sol était couvert de corps démembrés. De véritables fleuves de sang coulaient entre les jambes des guerriers encore debout, dont le nombre décroissant témoignait de la férocité du combat. L'élite des trois armées s'affrontait dans un ballet mortel, où chaque acteur exécutait les pas rituels de cette danse morbide qu'est la guerre. Chaque coup, chaque riposte brisait une vie, emprisonnait une arme. Tel était le prix de la vallée. Mais ces guerriers se souvenaient ils de l'objet de leur quête? Car seule la haine d'autrui se lisait sur leurs visages, et non la promesse d'une vie éternelle et paisible.

Gisigit secoua la tête. Que c'était-il passé? D'où lui étaient venus ces term... ces mo... ces choses qu'il avit dit dans sa tête?

Peu importait. Rassembalnt ses pouvoirs, il tenat de terrasser un nain à la brabe particulièrement impressionante, mais le chaos de la pièce le déconcentra. Alors qu'il s'appretait à opérer un repli startégique, il vit son Big Boss défier celui qui sembalit être le chef des nains...

Bofin para et riposta. Déjà, l'orque avait réussi à passer sa garde par deux fois. Du sang coulait dans son armre là où l'impressionant hachoir de son adversaire avait percé son armure runique. Lui même avait touché le colosse noir, qui souffrait de multiples blessures. Mais cette monstruosité ne semblait pas faiblir. Le vieux nain aperçu cependant une faille dans la garde de l'orque. Se déplaçant avec toute l'adresse dont les nains savent faire preuve, Bofin esquiva une attaque de son adversaire et se porta sur sa droite. Lorsque l'orque se replaça vers son opposant, Bofin passa sous la garde de l'orque noir, s'appretant à asséner un énorme coup à son opposant. Hélas, le vieux nain glissa dans une flaque de sang, et chuta au sol. Il tenta désespérément de se remettre debout, mais enchassé dans sa lourde armure, c'était impossible. Tranquillement, dans un rictus mortel, l'orque noir posa son pied sur le poitrail de son adversaire. Une seconde s'écoulla, pui il abattit son immonde hachoir. Bofin trouva la situation assez intriguante. Comment pouvait-il voir son corps et l'orque noir de la là où il était. Et où était sa tête? un voile noir lui recouvrit les yeux, quelques secondes après sa mort...

Zarack ressentit au plus profond de lui la mort de son frère. Les larmes ne coulèrent pas le long de ses yeux. Il n'avait que trop pleuré. Déjà, les chars tant maudits se redirigeaient vers lui. Peu lui importait. Car ils n'arriveraient jamais à lui. Il abattit son marteau sur l'enclume, et une éruption de terre jaillit sous l'un d'eux, le renversant dans sa course et tuant ses passagers. Dans le même mouvement, il forgea la rune de feu sur l'enclume. Au dernier moment, il retint son bras... quelques secondes s'écoullèrent, et le char fonçait vers lui à toute allure. Ses deux aides se plaçèrent devant lui, jetant des regards inquiets par dessus leurs épaules. Zarack repensa à Bofin, son frère, son ami. S'il ne pouvait pas abattre le responsable de sa mort, au moins il ferait payer tout ceux qui se dresseraient devant lui. au moment où le char aller percuter l'enclume, Zarack Battlehammer abaissa son marteau. Seules quelques flammèches vinrent lécher les armures finement ciselées des gardes de l'enclume. Le char n'était plus.

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Frédérick regarda avec inquiétude à travers l'une des ouvertures de la tour. Le rideau de pluie battante n'était percé que par les multiples éclairs et le grondement de la foudre. Il savait qu'il avait perdu. Il ne restait qu'une poignée de ses hommes, et la tour était encore la prois de terribles combats. Des nains en armure étincelantes étaient venus preter main forte à leur frère. Les gardes du corps de leur roi l'avaient vengé, et le corps du générla orque noir gisait brisé à leurs pieds.

Soudain le silence se fit dans la tour. tous les belligérants abaissèrent leurs armes, sentant instinctivement que le temps était venu. Défiant les nains de les poursuivre, les orques noirs reffluèrent par l'ouverture qu'ils avaient eux-mêmes créée dans la pièce.

Les nains, protégés par une impressioannte rangée de guerriers en armure de gromril, soulevèrent le corps de leur défunt roi (sans oublier sa tête), et entamèrent leur retraite. Le bruit de leur chants de lamentation décrut au fur et à mesure qu'ils s'éloignai de la tour ey que la pluie redoublait.

Frédérick regarda autours de lui. Une dizaine de guerriers attendaient ses ordres. Un instant il pensa soumettre la puissance de la tour à sa volonté, mais il se rendit compte que le temps lui manquerait. Il avait perdu. Tout comme les aures. La rage au coeur, il ordonna la retraite. Au moins, il serait le nouveu maître de l'armée. Tzeentch y avait pourvu.

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