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Maximilian Draken; Livre I: Deux Ennemis


Poupi

Messages recommandés

Bon, alors voilà mon premier récit (soyez indulgents), que je vais posté sur ce forum parallèllement à ma campagne JDR. Bonne lecture et laissez moi vos avis...

Maximilian Draken

LIVRE I

Deux Ennemis

Chapitre 1 : L’Initiation

Sud du futur Empire. Quelques siècles avant l’ère de Sigmar.

Le choc du métal contre le métal produisait un bruit sourd à chaque fois que les deux armes se heurtaient. Le guerrier tribal maniait un lourd marteau de guerre, tandis que le soldat tiléen utilisait un glaive léger pour contrer son adversaire. Autour d’eux, des duels semblables s’étendaient à perte de vue sur un vaste champ de bataille. Cependant, de nombreux guerriers, tout en luttant, jetaient des regards anxieux vers ce combat précis, car il opposait les généraux des deux armées qui luttaient l’une contre l’autre ce jour-là. Certains combattants s’étaient même arrêtés de lutter et restaient là, le regard livide, debout, perdus dans l’immensité de la plaine, à contempler les deux hommes qui s’affrontaient.

L’un d’entre eux s’appelait Mordras. Fier guerrier d’une tribu au nord de la Tilée, il s’était élevé très rapidement dans la hiérarchie de cette dernière par son talent martial et sa carrure intimidante. Ses valeurs principales étaient le courage, la force et la fermeté. Toute sa vie, il avait du se débrouiller seul : d’abord orphelin, il avait du vivre chez un oncle qui s’était jadis disputé avec son père, et qui reportait sa haine fraternelle sur l’enfant de l’être détesté. Mordras avait souvent été battu, mais ces épreuves infantiles, loin de le briser, n’avaient fait que l’endurcir. Cela lui avait été utile par la suite, car arrivé à l’age de seize ans, alors que son oncle était mort, il avait été chassé par la communauté qui ne voulait pas le prendre en charge. Il avait alors vagabondé plusieurs années, revenant bien plus tard vers son lieu natal qui subissait depuis plusieurs mois les attaques incessantes d’un loup-garou.

Modifié par Poupi
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Salut. :)

Globalement, ton texte est sympa mais cruellement court :blink: . Pour l'allonger un peu, rajoutes des adjectif, des périphrases et d'autres trucs utiles.

Bon, quelques imperfections quetion forme :

Certains combattants s’étaient même arrêter de lutter et restaient là, le regard livide, debout, perdus dans l’immensité de la plaine, à contempler les deux hommes qui s’affrontaient.

Hum hum, pas très réaliste.

Ses valeurs principales étaient le courage, la force et la fermeté

Je mettrais plutôt, "il était fort..."

Bon...Suite !

Bravo, Hexeoclann

Heu... un autre truc : la fin n'as pas une "résonnance" de fin si tu vois ce que je veut dire. Bien sur, tu peut facilement en faire une en suspend mais la description ne semble ici pas finie.

Modifié par Hexeoclann
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Bon alors tout d'abord re bienvenue par ici :) Jeter un coup d'oeil aux épinglés peut parfois faire du bien ^_^

Bon première remarque qui ne sera pas un conseil mais plutôt une demande de modérateur : La taille de ton texte, faut que tu postes plus qu'un paragraphe. Un monoligne et une signature, c'est aussi long que ce que tu as posté pratiquement ! :wink: Donc jete des coups d'oeil de droite à gauche pour voir ce que nous postons comme exemple.

Pour le fond, ben on apprend pas grand chose. Si que le héros sera peut être le tiléen vu que seul lui est décris. Ca nous donne une piste pour les vainqueurs de la bataille. Bon pour le loup garou, je vous jure que c'est pas le mien :blink:

Allez suite

@+

-= Inxi =-

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Salut ^_^

Je commence par la forme :devil:

L’entrechoc du métal contre le métal

Le choc suffit, entrechoc ca fait un effet un peu bizarre

vers ce combat précisément

Ce combat précis plutôt

l’une contre l’autre aujourd’hui

Ce jour-là est mieux

Certains combattants s’étaient même arrêter de lutter et restaient là, le regard livide, debout

arrêtés ; debouts

Fier guerrier d’une tribu guerrière du nord de Tilée

y a comme une répétition là :devil:

Toute sa vie, il avait du se débrouillé seul

débrouiller

Voilà, c'est ce que j'ai relevé :)

Au niveau du fond, ben on sait pas grand chose, sinon que ca se bastonne assez dur et que le personnage principal n'est pas un rigolo qu'on chatouille avec plaisir :wink:

Globalement, pour un premier récit c'est pas mal du tout, ca se lit facilement et on en redemande :blink:

Sur ce Waz, la suite !

EDIT: et merde, doublé par Inxi et Hexeoclann, un de nous est en trop ici :devil:

Modifié par Waz
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Là Inxi, chuis pas d'accord : Mordras (le seul décrit) ne doit pas être le héros car le titre est Maximilian Draken.

EDIT: et merde, doublé par Inxi et Hexeoclann, un de nous est en trop ici

Débrouilles toi avec Inxi, je prend le survivant. :blink:

Hexeoclann

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car le titre est Maximilian Draken.

Et on ne sait pas ce que c'est :) Effectivement, ça peut être un personnage. Mais ca pourrait être un nom qu'il utilisera après ou quelque chose comme ça ! Ca serait pas rare ! Donc en attendant, pour nous départager, il faudra la suite pour comprendre :blink: Surtout que vu la fin du passage, on va surement avoir le droit à un flashback.

@+

-= Inxi =-

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Que de commentaires! Merci beaucoup.

Je crains de m'être mal exprimé; en fait, Mordras n'est pas le tiléen au glaive, mais le guerrier au marteau. Je vais corriger ça. La suite arrive!

Alors que Mordras approchait du village qui l’avait vu naître, il avait entendu des hurlements aigus. Accourant vers leurs provenance, il s’était retrouvé face à une jeune fille d’environ seize ans, que menaçait une immonde créature mi-humaine mi-animale. Sa tête avait une apparence vaguement canine, mais elle était trop longue pour être tout à fait celle d'un loup. Son corps semblait être le fruit d'un mélange entre humain et orque, et possèdait de longs poils qui évoquaient ceux des ours des montagnes. Quand à ses jambes, puissantes et vigoureuses, elles étaient elles aussi poilues et se terminaient par des griffes aiguisées. Dégainant sa dague, Mordras s’était jeté sur le monstre et un combat court mais violent s'était engagé. Le monstre avait réussi à esquiver la première charge et l'avait agrippé à la gorge, ses longs doigts griffus serrant doucement leur proie. A la fois étouffé et griffé, Mordras allait défaillir au moment où, dans un suprême effort, il avait réussi à faire basculer la créature par-dessus lui. Le garou s'était affalé au sol, avant de périr sous la dague de Mordras. Reconnaissante, la jeune fille, nommée Nina, l’avait conduit au village qui l’avait alors acclamé en héros, lui qu’ils avaient rejeté quelques années plus tôt. Au fil des ans, Mordras avait encore accroît son respect par ses divers faits d’arme, et, depuis six ans, il dirigeait la tribu, le chef précédent étant mort lors d’une escarmouche contre les mêmes tiléens que Mordras combattait en ce moment précis.

Son adversaire se nommait Fabius Trivolus, surnommé Trivolus Dux, et était le dirigeant de l’armée de la cité naissante de Miragliano. Fils de simple paysans, il s’était engagé dans l’armée à dix-sept ans, et avait connu une ascension rapide et fulgurante par son habilité tactique et l’aura de commandement qui émanait de lui. Trivolus était un homme droit, dans tous les sens du terme : il allait toujours le dos relevé, fier de sa ville et de son peuple, et sa piété et son honneur faisait de lui le patricien le plus respecté de la ville. Il s'était marié à un excellent parti, et était père de deux enfants. Malgrès ses trente-cinq ans passés, il avait encore fière allure: ses longs cheveux roux lui descendaient jusqu'aux aisselles, et son regard vert luisait d'une autorité incontestable qui pouvait revigoré le plus faible des hommes à la bataille. Depuis cinq ans, il avait été chargé de chassé des barbares venus du nord-est par les Voûtes, mais la discipline et le génie militaire des tiléens avaient trouvé leur égal dans la férocité et la ténacité des pré-impériaux. Cela faisait donc cinq ans que Mordras et Trivolus se combattaient, et ils se vouaient une haine farouche teintée d’une légère estime.

Trivolus esquiva à nouveau l’imposante arme de Mordras. Le tiléen était habile, mais il faiblissait sous l’effort et la chaleur décuplée par son armure de plaques. Il tenta alors une feinte risquée. Il recula d’un pas, comme s’il était repoussé par son adversaire. Mordras saisit alors cette occasion et leva son marteau haut dans le ciel. Trivolus déchira alors le ventre de son adversaire à l’aide d’une dague qu’il avait discrètement dégainée de la main gauche. Mordras parut surpris lorsque le sang jaillit de son thorax, mais n’arrêta pas son geste pour autant. L’énorme marteau s’abattit sur le crâne du tiléen et le fendit en plusieurs morceaux. Le chef s’arrêta, essoufflé, contemplant la cervelle dégoulinante de son adversaire. Il tourna alors son regard vers ses propres boyaux, qui jaillissaient de son corps par la blessure infligée par la dague. Tour devint noir.

Mordras flottait légèrement dans une curieuse brume violette. Il n’avait plus aucune conscience de soi, son corps lui paraissait comme inexistant, mais ses sens extérieurs fonctionnaient à merveille, voir mieux que d’habitude. De multiples filaments violets l’entouraient, le chatouillant légèrement, tandis qu’au loin résonnait l’écho de la bataille, comme étouffé. Après quelques minutes que Mordras passa en silence, profitant de la sérénité qui le traversait, les échos guerriers disparurent totalement. Une curieuse odeur que Mordras identifia comme celle de l’if flottait dans les airs. L’endroit était humide. Mordras bougea légèrement, regardant autour de lui. Il aperçut alors Trivolus, qui observait l’endroit avec un mélange d’étonnement et de bien-être dans le regard. Furieux, reconnaissant son adversaire, Mordras voulu se précipiter vers lui, mais il s’aperçut qu’il ne pouvait se déplacer. Au moment où il s’apprêtait à vociférer sa colère, un coup de gong retentit dans l’air moite.

C'est assez long, cette fois? :blink:

Modifié par Poupi
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Oui, c'est assez long^^. Le petit paragraphe, c'est frustrant.

J'ai noté quelques fautes d'orthographes ci et là, des boyaux qui jaillissent (peut-être que ça dépasse un peu, mais de là à jaillir... c'est le sang qui jaillit!), et c'est tout je crois.

J'aime bien, c'est vraiment pas mal pour un début, et ta fin d'épisode est bien mieux réussie que la première.

Continue ainsi!

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la jeune fille (nommée Nina) l’avait conduit au village

J'aurais mis des virgules à la place des parenthèses.

Mordras et Trivolus ce combattaient, et il se vouaient

se combattaient ; ils se vouaient

C'est assez long, cette fois?

parfait.

bon, côté fond, c'est pas trop mal :blink: .

Côté forme, bravo :) . C'est bien décrit et la tournure du combat est bien imaginée. Juste, une glaive peut dificilement parer un marteau de guerrre, l'épéiste est contraint d'esquiver mais c'est pas très grave.

En clair, félicitation, continues comme ça. Suite.

Hexeoclann

Modifié par Hexeoclann
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C'est assez long, cette fois?

:) Non : Tu peux au moins multiplier par trois ce que tu as écrit ^_^ Je te dis, regarde les autres textes pour voir la taille postée !

Trivolus ce combattaient, et il se

se

une immonde créature mi-humaine mi-animale. Dégainant sa dague, Mordras s’était jeté sur le monstre après un combat court mais violent.

Deux lignes pour se débarasser d'un loup garou ? J'y crois comment dire... moyennement :blink:

voulu se précipiter vers lui, mais il

Avec un 't'

Bon ben en fait le petit truc qui te ferait gagner de la place dans ton texte, ca serait de mettre des descriptions parce que là, il s'est passé beaucoup de choses dans un tout petit passage ! Bon ils sont tous les deux morts et je pense pas que quelqu'un s'y attendait ! Bienvenue au royaume de la mort ! Fermez la porte, ça fait courant d'air !

@+

-= Inxi =-

Modifié par Inxi-Huinzi
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Tu as mis une description et c'est bien, certes, mais n'empeche que le combat fait quand même deux lignes.

En decrivant l'action, tu mettrais plus de suspens, moins de bourinisme et tu allongerais le texte. Pour la longueur, écoutes Inxi : c'est lui le modo.

Hexeoclann

EDIT : Inxi -> Je veux pas flooder donc j'edit directement ici. Pour la taille, c'est pas un ordre formel... Si tu aimes écrire comme ça, fais-le. Mais essayes de bien travailler ta forme vu que tu as moins à écrire. Après, si tu veux que le lecteur se prenne plus dans ton histoire, écris plus long. Qu'on est le temps de se transposer dans ton récit

Modifié par Inxi-Huinzi
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J'ai un peu plus détaillé le combat... en attendant, voici la suite:

Mordras se retourna et constata avec stupeur qu’une immense porte faite d’un métal noir avait jailli de nulle part. Elle s’entrouvrit légèrement sans le moindre bruit, laissant passer une petite embarcation qui avançait toute seule parmi la mer de brume violette, un homme à son bord. Ce dernier était grand, d’un front altier, ses cheveux noirs taillés courts, et ses yeux bleu sombre luisants comme ceux d’un rapace. Mordras n’avait pas la moindre idée de ce que tout cela signifiait, mais Trivolus, lui, semblait reconnaître l’individu. Lorsque la barque eût atteint la hauteur des deux adversaires, elle s’arrêta. L’homme au regard fier toisa alors les deux ennemis.

-Sei… Seigneur Morr ? demanda Trivolus, la voix emplit de crainte et de respect.

Son interlocuteur eût un sourire amusé.

-Oui et non, répondit-t-il. Je ne suis qu’un fragment de l'entité gigantesque qu’est le dieu d’outre-tombe… Le fragment qui correspond à l’image que les hommes ont dressé de lui… Si cette entité –c’est à dire moi- se manifestait dans toute sa splendeur, vous ne seriez pas capables de me percevoir. J’ai donc arraché à mon être cette portion minuscule afin que vos esprits de mortels puissent me comprendre…

-Et vous êtes là pour… pour nous… bégaya Trivolus.

-Pour vous accueillir et l’euphémisme trouvé par vos prêtres que je préfère, répondit le dieu, non sans ironie.

Trivolus parut effrayé, puis se ressaisit.

-J’accepte mon destin, dit-t-il sereinement. Quand pourrons-nous entrer ? ajouta-t-il en désignant la gigantesque porte d’un coup de tête.

-Dès que les rites funéraires auront été exécutés sur vos dépouilles, répondit Morr. Cela ne saurait tarder. Déjà, les tiléens ont remporté votre bataille…

-QUOI ? s’exclama Mordras.

Morr se tourna vers lui.

-Tiens, j’allais l’oublier, celui-là, commenta-t-il d’un air désinvolte. Toi, tu n’as rien comprisà la conversation, n’est-ce pas ? Ce que ton peuple manque de raffinement… Et dire que d’ici quelques siècles, il aura fondé la plus puissante nation du Vieux Monde… Bon, je vais essayé de t’expliquer : gros guerrier plus vivant. Lui devoir attendre ici sorcier mettre cadavre dans tombeau. Lui comprendre ?

Mordras sentit une profonde colère lui griller les entrailles.

-Je suis Mordras, fils de Lutor, que craignent toutes les tribus des Voûtes ! Nul ne peut me parler ainsi !

La brume sembla alors durcir autour du chef tribal, et il se sentit comme étouffé. Le visage du dieu n’exprimait plus le moindre amusement.

-Ne t’avise plus jamais de me parler sur ce ton, mortel, dit-t-il d’une voix sourde et terrifiante. Sache que je suis Morr, le Maître du Passage, celui par qui tout finit…

-D’accord, d’accord, marmonna plaintivement Mordras, qui sentait un froid terrible l’envahir. Je… je m’excuse.

L’étreinte se desserra. Le guerrier médita un instant, avant de demander :

-Attendez… vous voulez-dire que lui et moi nous sommes entre-tués ?

-Je vois qu’il te reste encore quelques neurones, grinça Morr.

Mordras se sentit accablé. Toute son existence, il avait combattu de nombreux adversaires, il lui été même arrivé de devoir reconnaître sa défaite, mais ça, jamais !

-On a lutté ensemble pendant cinq ans pour que ça se finisse sur un match nul ? C’est injuste !

-Cinq ans ? répéta le dieu. Mais, mortel, sais-tu ce que sont cinq misérables années au regard de l’Histoire que contemplent les dieux depuis leurs célestes perchoirs ?

-Je n’en sais rien, répliqua sèchement Mordras, mais à mes yeux, c’est très important. On ne pourrait pas recommencer le combat, s’il vous plaît ?

Morr parut étonné.

-Tu ne manques pas de culot ! Sache que je n’accorde aucun prolongement à une vie qui s'est déja terminée. De toute façon, nul ne peut effacer ce qui a déjà été écrit. A l’heure qu’il est la dépouille de Trivolus est enterrée dans son caveau familial. Toutefois…

-Oui ? demanda Mordras, plein d’espoir.

Modifié par Poupi
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Niveau forme, j'ai noté quelques fautes mais je ne les citerai pas ici.

En revanche, la tournure de

Si cette entité –c’est à dire je- me manifestai dans toute ma splendeur
me gêne.

J'aurais plutôt mis un truc du genre "Si cette entité -c'est à dire moi- se manifestait dans toute sa splendeur...", parceque la, ca fait bizarre (wahou le commentaire précis :))

Ah, y a aussi "l’immense identité de l’entité" qui donne un effet pas très agréable (pour le lecteur que je suis, tout du moins)

Sinon, niveau fond, pas mal du tout, on attend la suite avec impatience.

Peut-être que le Dieu est un peu trop familier mais c'est subjectif.

Dernier truc, j'aurais coupé la derniere phrase sur la fin ^_^

Sur ce, Waz, continue :blink:

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Super! :blink:

franchement, j'adore l'idée du guerrier qui se fait traité comme inferieur et j'ai explosé de rire quand il a demandé de recommencer le combat.

J'ai cepandant relevé des fautes dans le combat contre le loup-garou :

la première cherge
avant de préri sous la dague

relis bien tes textes (ou passages lorsque tu édites)

l'avait agrippé par la gorge

je mettrais "à la gorge"

ses longs doigts griffus serrant doucement leurs griffes

répetition

Que du bon dans ce troisième récit :) .

Hexeoclann

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Bien alors, je vais prendre les remarques sur ce ton léger justement.

Alors tu peux prendre un ton comme tu le fais. Où le Dieu se moque et tout mais tu es obligé de continuer tout ton texte comme ça. Tu pourras pas revenir à des phrases et discussions sérieuses après. Parce que ça choquerait trop ! Si tu persistes dans cette voie, essayes d'en mettre un peu dans ton premier post, histoire qu'on soit pas trop étonné !

Je sais pas si j'ai été clair ! Bref... Voyons quel va être le marché que va proposer le Dieu :blink:

@+

-= Inxi =-

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Ouh là... j'ai interet à faire gaffe, parce que sinon, ya Inxi ki va sénervé!

Bon, voilà la suite:

-Toutefois, reprit le dieu, il existe un moyen de vous départager. Une façon de… jouer une revanche, si l’on peut dire.

Mordras sentait une profonde liesse lui traverser la poitrine dès qu’il entendait le mot « revanche ».

-Parle, ô splendeur des divinités infernales, dit-t-il, la voix pleine de respect.

-Je peux vous offrir une nouvelle vie. Une vie dont le but unique sera de vous tuer l’un l’autre, expliqua Morr. Mais il faut pour cela que vous le désiriez tous les deux.

-En ce qui me concerne, c’est d’accord, s’exclama Mordras.

Le dieu se tourna vers Trivolus.

-Et toi ? demanda-t-il.

Le tiléen semblait hésiter.

-Eh bien, je ne voudrais pas retarder mon arrivée dans votre funèbre royaume, Seigneur Morr, si cela vous dérange, expliqua-t-il. D’un autre coté, ce barbare vient de me lancer une sorte de défi, et mon honneur de patricien serait gravement entaché si je ne le relevais pas.

-Sache que je ne vois aucune objection à ce que vous retourniez dans votre monde le temps de vous départager, répondit Morr. Je préfère deux âmes en paix plutôt que deux âmes en colère qui passeront l’éternité à fulminer leur désir de revanche.

-Dans ce cas, j’accepte également votre offre.

-Bien, dit le dieu. Vous renaîtrez chacun dans un de vos descendants respectifs. Cependant, vous devez savoir plusieurs choses : tout d’abord, en se baignant dans cette brume, vos âmes se sont imbibées du vent de Shysh, qui est celui que j’utilise pour appeler les mortels quand leur heure a sonnée. Il est donc possible que vous présentiez des affinités troublantes avec ce vent. Ensuite, vous ne vous souviendrez plus de vos existences passées. Cependant, Shysh soufflera dru sur vous, de façon à ce que vous accomplissiez votre destin (à savoir vous combattre l’un l’autre). Enfin, le chemin pour aller de votre monde au mien et très court, mais le sens inverse est beaucoup pus long. Des siècles se seront écoulés depuis votre mort lorsque vous renaîtrez. De plus, votre vitesse dépendra des émotions qui vous traversent. Plus vous vous adonnerez à des sentiments tels que la haine et la colère, plus vous renaîtrez rapidement. Plus vous resterez calmes et sereins, plus votre voyage jusqu’à votre prochaine chair sera long.

-C’est ça, grommela Mordras. Bon, on y va ?

Morr lui porta un regard sévère.

-Je constate que tu ne m’as même pas écouté… Tant pis, tu n’as qu’à garder ta colère, et tant pis si tu arrives en avance !

La brume se solidifia alors autour des deux trépassés qui se sentirent comme aspirés. Mordras sentit une grande puissance porter une marque profonde au cœur de son être, puis ce fut le trou noir…

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Non t'inquiète je m'enerve pas :blink: M'en faut bien plus que ça ! Par contre si tu veux m'agacer, tu peux faire deux choses : continuer à poster des petits bouts et répondre pour rien dire à chaque personne qui répond à ton texte :) C'est considéré comme du flood ! Mais te tracasse pas, ou le prends pas mal, je previens ! Je prefere prévenir que guérir mais je ne mords pas ^_^ Donc en gros, si tu écris plus, ben tu posteras avec plus d'espace et plus de gens pourront te lire.

Ben c'est pas mal ce petit marché ! Original tout du moins :wink: Même si le Dieu pourrait les laisser fulminer ! Surtout que sur les deux, ça a l'air d'en gêner qu'un seul ! Maintenant, il faut voir quelle sera la situation sociale de chaque personnage et qu'est ce qui va faire qu'ils vont essayer de s'entretuer. Parce qu'ils vont pas partir à la recherche l'un de l'autre comme ça, surtout sans souvenir ! Donc j'attends de voir !

Suiteuh

@+

-= Inxi =-

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Si ça se trouve, ils vont se retrouver à notre époque, énorme :woot: . Mince, j'ai oublié qu'ils ne se souviendront plus de rien :crying: .

C'est super quoi que trop court comme l'as dit Inxi.

petit problème :

-Tu ne manques pas de culot ! Sache que je n’accorde aucun sursis

Dans le troisième texte.

-Je peux vous offrir une nouvelle vie

Dans le quatrième.

J'ai pas tout compris là. :huh:

Hexeoclann.

EDIT:

je ne mords pas

Ce n'est pas ce que nous laisse croire ton avatar :D .

Modifié par Hexeoclann
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(j'espère que ceci ne compte pas pour "répondre pour ne rien dire :crying: ) J'ai essayé de rendre les paroles de Morr un peu plus claires...

Voilà la suite:

Mon nom est Elthorian. Je suis un Archimage de la Tour Blanche de Hoeth. Contrairement à la grande partie de mes confrères qui se sont tournés vers l’étude de Quaysh et de la Haute Magie, j’ai décidé dès les premières années de ma formation de me livrer à une étude certes moins puissante mais tout aussi passionnante : celle de Shysh, le Vent de Mort, qui mène toute chose vers son achèvement. Shysh est source de bien des merveilles dans notre univers, mais j’ai décidé de consacré ce livre au phénomène lié à Shysh le plus intéressant que j’ai trouvé. En guise de phénomène, il s’agit d’un humain. Ou plus exactement, il s’agissait d’un être humain ; mais sa haine, sa folie et son ambition l’ont perdu. Son nom est Maximilian Draken.

Ce ne serait pas me vanter de dire que je l’ai suivi depuis les tout premiers commencements de sa vie. C’est en effet le jour de sa naissance, trente ans avant l’avènement d’Asavar Kul, que je l’ai aperçut la première fois.

Je me trouvais alors dans la ville humaine de Middenheim, ou j’enquêtais sur une secte druchii vouée à Kaela Mensha Khaine qui s’était propagée jusque dans le Vieux Monde. Alors que, à la nuit tombée, je marchais dans les rues de la ville, j’aperçu un souffle de Shysh qui s’engouffrait par la fenêtre d’une riche demeure. Présageant le pire, je me hissais discrètement jusqu’à cette fenêtre et y jetais un coup d’œil. J’eu alors la surprise de me retrouver fac à un… accouchement ! L’accouchement d’une femme qui avait l’air d’appartenir à la noblesse ; elle gémissait, entourée de ses servantes qui s’affairaient à toute vitesse. Et Shysh soufflait au-dessus de la scène ! Je n’y comprenais rien ! Shysh étant le vent de la Fin et de la Mort, sa présence sur le lieu d’un accouchement était totalement illogique ! Plus qu’intrigué, je décidais de suivre la scène jusqu’au bout. Tout se déroula à merveille, et c’est un magnifique garçon qui sortit du ventre de la mère. Toutefois, à peine l’accouchement était-t-il terminé que Shysh se mit à planer silencieusement autour de l’enfant. Ma conviction fut alors que cet humain avait une destinée exceptionnelle, en rapport avec le Vent de Mort… Rien de bien rassurant ! Je me promis donc de revenir lorsqu’il aurait atteint l’âge adulte et m’éloignait dans la nuit juste après avoir entendu la mère nommer son fils « Maximilian ». Il me fut facile d’apprendre que la famille qui vivait dans cette demeure était celle des Draken.

Je continuais alors ma quête des dévots de Khaine. Je vécu ainsi durant les décennies qui suivirent maintes péripéties qui me firent voyager de la contrée maudite de Sylvanie à la grande cité d’Altdorf, et je combattis aussi bien des Démons que des orques brutaux ou des skavens pervers. Mais tout ceci n’est pas le sujet de mon livre. Toujours est-t-il que je ne pus revenir à Middenheim que trente ans après mon dernier passage, et j’appris que le dénommé Maximilian Draken était porté disparu dans le conflit qui opposait l’humain nommé Magnus aux forces du Chaos. Je me doutais bien qu’au vu de son destin exceptionnel, Maximilien ne pouvait pas mourir, mais le temps que je retrouve sa trace, il avait déjà accompli son ignoble transformation…

Quelque part au Nord de l’Empire. 2301.

Maximilian déglutit. L’avenir de l’Empire lui apparaissait plus que douteux. Accompagné de cinq compagnons de l’Ordre Panthère, il avait face à lui une trentaine de chevaliers du chaos en armure. Cette petite bande les avait repérés et se dirigeaient vers eux, le martèlement des sabots de leurs coursiers s’amplifiant à chaque mètre parcouru.

Maximilian et ses compagnons avaient été envoyés dans l’Ostermark pour y contacter les restes de l’armée du comté, afin de tenter de déloger les forces du chaos qui séjournaient dans l’Empire. Hors, les Chevaliers Panthères avaient non seulement constaté que les restes de l’armée impériale avaient été totalement anéantis, mais qu’en plus, des troupes du chaos circulaient dans toute la région. En l’occurrence, ils venaient de se faire surprendre à l’orée d’une petite forêt, et toute fuite était impossible : les monstrueuses montures des guerriers maléfiques étaient beaucoup plus rapides que les frêles chevaux épuisés par plusieurs semaines de vagabondage des chevaliers. De toute façon Maximilian n’aimait guère la fuite. Fervent adepte des valeurs militaires, sa doctrine lui interdisait de tourner le dos à l’ennemi. Aussi se contenta-t-il d’abaisser stoïquement son heaume et de lever sa lance de cavalerie afin de se préparer à charger. Ses compagnons suivirent son geste. Lorsque les cavaliers du chaos furent à moins d'une dizaine de mètres, Maximilian éperonna sa monture en hurlant un vaste :

-Chaaaargez !

Aussitôt, le petit groupe de chevaliers s’élança.

Le choc fut épouvantable et terrible pour le camp des Impériaux : trois chevaliers périrent au premier contact. Les survivants se retrouvèrent ainsi à un contre dix. Toutefois, Maximilian avait réussi à transpercer l’un des guerriers du chaos de sa lance, et sortit ensuite son épée pour parer le coup que lui présentait un adversaire. Alors qu’il s’apprêtait à riposter, il aperçut quatre cavaliers, au sommet d’une petite colline qui faisait face à la forêt. Ces derniers sortirent des lances de cavaleries et s’élancèrent vers les guerriers du chaos. Maximilian se réjouissait d’avoir des alliés, mais il doutait que lutter à sept contre une trentaine (deux chevaliers du chaos avaient mordu la poussière) soit suffisant pour gagner. De plus, il ne pouvait s’empêcher de s’interroger sur la nature de ces providentiels alliés : leurs visages étaient entièrement recouverts par leurs casques, et leurs armures entièrement rouges (et par ailleurs relativement inquiétantes) ne lui disaient rien qui vaille. Il arrêta ici sa réflexion pour parer un nouveau coup de son bouclier, puis riposta en planta sa lame dans la gorge de l’adversaire. Il fit tomber de selle le chevalier du chaos le plus proche de lui d’un coup de pommeau dans la mâchoire, puis l’acheva avant qu’il ait eu le temps de se relever. Il prit un peu de recul et observa le combat. Il eut alors deux surprises majeures : tout d’abord, les membres de son unité avaient été entièrement décimés sous le poids du nombre. Ensuite, les chevaliers du chaos n’étaient plus qu'une douzaine ! Et déjà, deux d’entre eux périssaient sous les efforts des mystérieux chevaliers écarlates. Ragaillardi par cette nouvelle tournure du combat, il chargea à toute vitesse et décapita un chaotique au passage. Malheureusement, une lourde hache s’abattit alors sur son fier destrier, qui périt sur le coup. Maximilien se jeta à terre afin de ne pas être gêné par la chute de son cheval, puis se retourna afin de venger la mort de ce dernier. Mais ce n’était plus la peine : les quatre mystérieux chevaliers avaient achevé les derniers chevaliers du chaos encore en vie. Deux d’entre eux sautèrent à terre. Le premier dit d’un ton monocorde.

-Buvons donc avec cet individu ; la bataille m’a un peu fatigué et j’ai grand besoin de me sustenter.

Maximilian trouvait sa proposition, quoique surprenante, très sympathique, mais visiblement, l’autre chevalier n’était pas du même avis. Il dégaina son épée et la plaça entre son compagnon et Maximilian.

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J'adore... :crying:

Sauf : (et oui, ce mot est inevitable)

ne lui disaient rien du tout

J'aimerais mieux un petit "rien qui vaille"

Il arrêta ici sa réflexion

j'enleverais ça : c'est de trop car on a l'impression qu'il s'arette de se battre pendant longtemps.

lutter à sept contre vingt-huit
les chevaliers du chaos n’étaient plus que douze

Tu nous fais un rapport de bataille pas un récit! :woot:

Bon, je vois pas le rapport avec les autres textes mais c'est super.

Continue, suite, Hexeoclann

Modifié par Hexeoclann
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l’ai suivi depuis les tout commencements de sa vie. C’est en effet le jour de sa naissance, trente ans avant l’avènement d’Asavar Kul, que je l’ai aperçut la première fois.

Attention, y a plein de fautes comme celles-ci partout dans ton texte :crying:

sa lance de cavalerie afin de se préparer à charger dès que l’ennemi serait à portée de charge.

Là, je reviens Hexeoclann, ca fait trop rapport de bataille tout le combat. C'est bien trop précis au niveau des chiffres. Soit flou, des douzaines.. Ce genre de chose. Et regarde dans ce passage, ca existe pas les portées de charge dans la vraie vie, tu charges quand tu veux donc attention ( d'ailleurs en gras, ca fait répétition.

Pour le fond, présentation du héros, ainsi que sa naissance et la confirmation du 'cadeau' que lui a fait la mort. On le voit ensuite évoluer et se battre et rencontrer ses premiers alliés/adversaires. Pour l'instant, on sait pas trop !

(j'espère que ceci ne compte pas pour "répondre pour ne rien dire ) J'ai essayé de rendre les paroles de Morr un peu plus claires...

Oui tu peux le dire, mais tu as posté un texte après alors que là par exemple :

J'ai taché de rendre les paroles du dieu un peu plus compréhensible... Pour la familiarité, c'est qu'en grand fan de Lanfeust, je n'ai pas pu m'empêcher de mettre un dieu familier et méprisant...

Tu réponds juste ça, c'est ca que je trouve parler pour rien dire. Je parle niveau contenu mais je veux dire que tu peux attendre tn morceau suivant pr le poster :woot:

@+

-= Inxi =-

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J'ai essayé de rendre mon récit moins "rapport de bataille". Voilà la suite:

- Cet homme a bien combattu aujourd’hui, Ulrich, pour quelqu’un qui ne possède pas nos aptitudes. Je suis d’avis que nous l’initions.

Son interlocuteur parut surpris.

- Luthor ? Tu serais près à initier un individu que nous connaissons depuis quelques instants à peine ? Laisse-lui au moins quelques années d’épreuves !

Le dénommé Luthor (un nom qui, curieusement, sonnait à l’oreille de Maximilian comme celui d’un père, d’un protecteur) fit un geste négatif de la tête.

- Inutile. Les temps sont dur pour l’Empire. Il aura tout le temps de s’entraîner contre les forces du Chaos.

Les deux cavaliers qui étaient restés à cheval hochèrent la tête, comme s’ils approuvaient Luthor. Ulrich haussa les épaules et recula. Luthor se tourna vers Maximilian, ravi que quelqu’un consente enfin à lui adresser la parole.

- Permettez-moi de vous féliciter pour votre adresse guerrière, messire, dit le chevalier écarlate. Si je ne m’abuse, vous avez bien tué quatre de ces chevaliers du chaos.

Maximilian hésita. La personne qui se cachait derrière ce heaume rouge était-t-elle sincère ou bien se moquait-t-elle de lui ?

- Je vous en prie, répondit-t-il d’un ton indifférent. Je crois bien que chacun d’entre vous en a tué au moins six…

- Huit, répliqua sèchement Ulrich.

Ses trois camarades eurent un mouvement désapprobateur.

- Voyez-vous, mon cher ami, continua Luthor comme s’il n’avait rien entendu, moi et mes compagnons faisons partie d’un ordre de chevalerie très ancien, et nos… aptitudes nous confèrent un talent martial relativement exceptionnel. Dites-moi, et parlez sans crainte : quelles sont vos croyances religieuses ?

Maximilian était légèrement dérouté par la tournure que prenait la conversation.

- Et bien, répondit-t-il lentement, j’avoue être assez peu intéressé par les discours abstraits des différents clergés mais…

- Excellent, le coupa aussitôt Luthor. Nous permettrez-vous de vous inviter chez nous ? Nous pourrons continuer cette agréable conversation…

Maximilian était plus que pris par surprise, mais il approuva d’un signe de tête. Luthor l’invita alors à venir sur sa monture. Alors que Maximilian montait sur le dos de l’imposant destrier, un détail le frappa : le ventre de l’imposante bête ne bougeait absolument pas, comme si elle n’avait pas besoin de respirer. Inquiet mais ne laissant rien transparaître de ses pensées, Maximilian laissa Luthor monter à son tour et prendre le contrôle de la monture. Le petit groupe se dirigea alors vers la forêt et disparu bientôt sous les immenses arbres.

- Dites moi, reprit Luthor au bout de quelques minutes de pas, y-a-t-il longtemps que vous êtes combattant ?

- Je me suis engagé dans l’Ordre Panthère à seize ans, expliqua Maximilian. Je me suis toujours intéressé au maniement des armes.

- Parfait, parfait, murmura Luthor plus pour lui-même que pour son interlocuteur. Et si vous deviez reproché quelque chose à votre Ordre, qu’est-ce que ce serait ?

Maximilian hésita avant de répondre :

- Je ne devrais pas dire cela, mais il m’arrive de songer que les supérieurs hiérarchiques de l’Ordre n’en sont pas toujours les meilleurs combattants…

- Excellent ! aboya Luthor sous son heaume rouge. N’ayez jamais crainte de dire la vérité, messire…

- Maximilian Draken, répondit le chevalier.

- Draken ? Un nom bien original, commenta son interlocuteur. Et une étrange coïncidence, quand on songe à notre ordre…

Maximilian haussa les sourcils.

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Suite interressante, quoiqu'un peu courte :D

Moi, ces chevaliers rouges me font penser à des vampires mais seul l'avenir nous le dira.

Niveau forme, une ou deux fautes par-ci parl-là mais rien de méchant.

Ah si, par contre, essaye de mettre un espace après tes tirets dans les dialogues, ca les rendra plus agréables à lire ^_^

Sur ce, Waz, a+

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